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MARS 2016 Nos ancêtres les gaulois di- saient «Faut rigoler» pour em- pêcher que le ciel nous tombe sur la tête. Beaumarchais disait : « je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d'en pleurer.» Les motifs pour pleurer ne manquent pas : le chômage, le terrorisme, le réchauffe- ment de la planète, les im- pôts quand on est trop pauvre pour ne rien payer, quand on est trop riche pour trop payer. Il y a ceux qui pensent qu’on cotise trop quand ils sont en bonne santé et qu’on rem- bourse trop peu quand ils sont malades. Pour 2016, nous pouvons toujours sauver la face : c’est l’année du Singe ! Edito Faut rigoler ! Théodore HOARAU Président de la Mutualité de La Réunion Vous n’avez toujours pas choisi votre mu- tuelle décès ? Ce n’est pas trop tard. Ne lais- sez pas vos proches dans l’embarras. Ils comptent sur vous aujourd’hui et demain ! La Mutualité de La Réunion a développé sur toute l’île un réseau d’agences MUTA pour être au plus près des familles. Des conseillers mutualistes répondent tous les jours à vos demandes, vous conseillent et vous propo- sent les meilleures garanties adaptées à vos besoins. La cotisation est annuelle et familiale et cou- vre toute la famille. Votre contrat est assuré par la Mutualité de la Réunion. Lorsque le décès survient, chaque famille a la liberté to- tale du choix de l’entreprise de pompes fu- nèbres pour organiser suivant les volontés du défunt ses obsèques. Le réseau MUTA Décès : Des bénévoles et militants près de chez vous ! MUTA DÉCÈS, UN PATRIMOINE SOLIDAIRE ! Faites comme Madame Baptisto, « tout avec MUTA » ! Et comme elle, faites un geste d’amour pour ceux qui restent. Se consacrer entièrement à sa famille au moment d’un décès, être présent auprès de ceux qu’on aime, c’est normal et c’est ce que chacun souhaite. Voyez en votre mutuelle décès un soutien au moment où vous en aurez le plus besoin. Elle s’occupe de tout. Un appel téléphonique et tout s’organise comme vous l’aviez prévu. A la tête de la section décès de Saint-Denis, Jean-Paul Clain a toujours été proche des fa- milles et il connaît parfaitement les difficultés qu’elles peuvent rencontrer. Il est entouré d’une équipe de militants qui, comme lui, ont vu évo- luer les mutuelles décès. Les regroupements entre Saint-Jacques, Saint-Denis et la Montagne ont été nécessaires. Dans mon équipe je re- trouve les représentants de ces trois secteurs de Saint-Denis et c’est une grande fierté d’être en- touré de ceux qui ont participé depuis toujours à la solidarité au moment du décès. Nous avons tous les contacts des services mu- tualistes pour apporter un premier soutien aux familles endeuillées. C’est très important d’être là lorsque le deuil survient. Nous représentons la Mutuelle Décès, notre rôle est d’accompa- gner la famille et d’être un relais utile. « Je profite aussi pour remercier tous les adhé- rents de la section décès de St-Denis qui ré- pondent présents chaque année à la Journée Familles Solidaires et aux actions organisées par la Mutualité de La Réunion dans le cadre de la lutte contre le diabète ». La solidarité des familles réunion- naises face au décès, est exception- nelle et pour sauvegarder ce patrimoine culturel unique à la Réu- nion, les sections décès (ex mutuelles obsèques) qui forment le réseau MUTA Décès, sont auprès des familles endeuillées et continuent à favoriser cette tradition solidaire. Ils sont plus de 240 bénévoles dans toute l’île, des hommes et des femmes qui donnent de leur temps pour aider, informer, conseiller et faire connaître MUTA Décès près de chez eux. Tout adhérent à MUTA Décès peut deve- nir membre de sa section décès ou correspondant MUTA Décès. Pourquoi ? Vous êtes proches des fa- milles endeuillées, vous êtes les meil- leurs ambassadeurs de MUTA Décès et les mieux placés pour répondre aux attentes des familles. Vous êtes le relais solidaire et ça c’est très valori- sant. Alix Lechat, Président de MUTA Décès MUTA Décès est né et s’est développé grâce à la soli- darité des Réunionnais. Avant, il y avait les francs au décès. Lorsque la mort frap- pait une famille, chacun apportait un franc CFA pour que les proches du défunt n’aient pas de souci matériel. Puis ont été créées les mutuelles décès. La législation a évoluée et toutes les mutuelles ont dû se regrou- per pour répondre aux normes imposées, surtout par l’Europe. Aujourd’hui, un grand réseau s’est formé au sein de la Mutualité de La Réunion. Des femmes et des hommes s’organisent pour se rapprocher des familles lorsque le deuil arrive. La Mutuelle décès vous rassure tout simplement ! La section décès de Saint-Denis Les présidents des sections Décès.

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MARS 2016

Nos ancêtres les gaulois di-saient «Faut rigoler» pour em-pêcher que le ciel noustombe sur la tête.

Beaumarchais disait : « je mepresse de rire de tout, de peurd’être obligé d'en pleurer.»

Les motifs pour pleurer nemanquent pas : le chômage,le terrorisme, le réchauffe-ment de la planète, les im-pôts quand on est troppauvre pour ne rien payer,quand on est trop riche pourtrop payer.

Il y a ceux qui pensent qu’oncotise trop quand ils sont enbonne santé et qu’on rem-bourse trop peu quand ilssont malades.

Pour 2016, nous pouvonstoujours sauver la face : c’estl’année du Singe !

Edito

Faut rigoler !

Théodore HOARAUPrésident de la Mutualité de La Réunion

Vous n’avez toujours pas choisi votre mu-tuelle décès ? Ce n’est pas trop tard. Ne lais-sez pas vos proches dans l’embarras. Ilscomptent sur vous aujourd’hui et demain !

La Mutualité de La Réunion a développé surtoute l’île un réseau d’agences MUTA pourêtre au plus près des familles. Des conseillersmutualistes répondent tous les jours à vosdemandes, vous conseillent et vous propo-

sent les meilleures garanties adaptées à vosbesoins.

La cotisation est annuelle et familiale et cou-vre toute la famille. Votre contrat est assurépar la Mutualité de la Réunion. Lorsque ledécès survient, chaque famille a la liberté to-tale du choix de l’entreprise de pompes fu-nèbres pour organiser suivant les volontésdu défunt ses obsèques.

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MUTA DÉCÈS,UN PATRIMOINESOLIDAIRE !

Faites comme Madame Baptisto, « tout avec MUTA » ! Et comme elle, faites un gested’amour pour ceux qui restent.

Se consacrer entièrement à sa famille au moment d’un décès, être présent auprès deceux qu’on aime, c’est normal et c’est ce que chacun souhaite.

Voyez en votre mutuelle décès un soutien au moment où vous en aurez le plus besoin.Elle s’occupe de tout. Un appel téléphonique et tout s’organise comme vous l’aviez prévu.

A la tête de la section décès de Saint-Denis,Jean-Paul Clain a toujours été proche des fa-milles et il connaît parfaitement les difficultésqu’elles peuvent rencontrer. Il est entouré d’uneéquipe de militants qui, comme lui, ont vu évo-luer les mutuelles décès. Les regroupementsentre Saint-Jacques, Saint-Denis et la Montagne

ont été nécessaires. Dans mon équipe je re-trouve les représentants de ces trois secteurs deSaint-Denis et c’est une grande fierté d’être en-touré de ceux qui ont participé depuis toujoursà la solidarité au moment du décès.Nous avons tous les contacts des services mu-tualistes pour apporter un premier soutien auxfamilles endeuillées. C’est très important d’êtrelà lorsque le deuil survient. Nous représentonsla Mutuelle Décès, notre rôle est d’accompa-gner la famille et d’être un relais utile.« Je profite aussi pour remercier tous les adhé-rents de la section décès de St-Denis qui ré-pondent présents chaque année à la JournéeFamilles Solidaires et aux actions organisées parla Mutualité de La Réunion dans le cadre de lalutte contre le diabète ».

La solidarité des familles réunion-naises face au décès, est exception-nelle et pour sauvegarder cepatrimoine culturel unique à la Réu-nion, les sections décès (ex mutuellesobsèques) qui forment le réseauMUTA Décès, sont auprès des famillesendeuillées et continuent à favorisercette tradition solidaire.

Ils sont plus de 240 bénévoles danstoute l’île, des hommes et des femmesqui donnent de leur temps pour aider,

informer, conseiller et faire connaîtreMUTA Décès près de chez eux. Toutadhérent à MUTA Décès peut deve-nir membre de sa section décès oucorrespondant MUTA Décès.

Pourquoi ? Vous êtes proches des fa-milles endeuillées, vous êtes les meil-leurs ambassadeurs de MUTA Décèset les mieux placés pour répondreaux attentes des familles. Vous êtes lerelais solidaire et ça c’est très valori-sant.

Alix Lechat, Président de MUTA DécèsMUTA Décès est né et s’est développé grâce à la soli-darité des Réunionnais.

Avant, il y avait les francs au décès. Lorsque la mort frap-pait une famille, chacun apportait un franc CFA pourque les proches du défunt n’aient pas de souci matériel.

Puis ont été créées les mutuelles décès.

La législation a évoluée et toutes les mutuelles ont dû se regrou-per pour répondre aux normes imposées, surtout par l’Europe.

Aujourd’hui, un grand réseau s’est formé au sein de la Mutualitéde La Réunion. Des femmes et des hommes s’organisent pour serapprocher des familles lorsque le deuil arrive.

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La section décès de Saint-Denis

Les présidents des sections Décès.

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RENCONTRE

Depuis le début de l’année la Clinique de la Paix à Saint-Benoît accueilleles visiteurs de la VMEH. André Laï Teck et ses équipes ont eu le plaisirde présenter les actions et missions de la VMEH au Directeur de la Cli-nique et au personnel d’encadrement et soignant.

Les moustiques sont particulièrement friandsdes peaux douces et fines des nourrissons etdes petits enfants.Certaines peaux sont plus fragiles et sensiblesque d’autres et peuvent présenter des mani-festations inflammatoires locales avec rou-geur importante, démangeaisons, parfoisinfection au bout de quelques jours.

Les piqûres de moustiques ont la particularité d’êtrelocalisées aux parties découvertes : visage, bras etjambes, éventuellement le tronc lorsque l’enfant estpeu couvert ce qui est fréquent en saison chaude etsurtout le soir.

- Le traitement est d’abord préventif : éviter tous les gîtes à moustiques dans l’environ-nement, dans la maison et le jardin : flaques d’eau stagnante sur le sol ou dans certainesgrandes feuilles d’arbre, caches pots, plantes de décoration, etc…Un traitement insecticide régulier est efficace. L’utilisation des produits largement ré-pandus dans le commerce tels que les tortillons, les plaquettes ou liquides branchés surune prise de courant éloignent les moustiques, ne sont absolument pas toxiques et ontl’avantage de pouvoir laisser les fenêtres de la maison ouvertes facilitant une bonne aé-ration et d’agir longtemps. Les plants de citronnelles sous les fenêtres ont une certaineefficacité.

Que mettre sur la peau de votre enfant pour le protéger ?Il n’y a pas de produit miracle, la plupart des spécialités efficaces chez l’adulte peuventêtre irritantes sur une peau fragile et sont donc déconseillées. Elles ne doivent pas êtreappliquées trop souvent ; l’essence de citronnelle préparée par votre pharmacien peutêtre utilisée avec certains succès.Les bombes aérosols agissent peut de temps. La moustiquaire à l’inconvénient d’enfer-mer votre bébé dans un monde clos et si un moustique est oublié ou se glisse à l’inté-rieur, il sera couvert de piqures. Traiter la moustiquaire avec un insecticide pulvérisépeut limiter les risques.Si l’évolution spontanée est en général favorable en 2 ou 3 jours, il peut être judicieuxd’utiliser quelques produits simples : désinfecter la peau matin et soir pendant 2 ou 3jours pour éviter une surinfection avec un produit incolore.Si la réaction inflammatoire locale est importante et entraine des démangeaisons etune agitation, une pommade anti inflammatoire faible appliquée matin et soir associéeà un sirop anti-allergique calmant peut soulager rapidement.Si vous voyagez dans les pays, où le risque de paludisme est important, il faut bien en-tendu demander à votre médecin quelle chimioprophylaxie médicamenteuse vousdevez suivre pendant tout le séjour et une à six semaines après le retour selon le médi-cament utilisé.Le virus Zyka dont on parle beaucoup se transmet également par piqures de moustiqueet entraine un syndrome grippal.

Contact Dr Turquet : [email protected]

Les moustiques !

SANTÉ La rubrique santé du Dr Michel Turquet - Pédiatre

La VMEH, à Saint-BenoîtDes visiteurs auprès des malades de la Cliniquede la Paix !

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Signature de la convention entre la VMEH et la Clinique de la Paix par André Laï Teck Présidentde la VMEH et Fernand Mehez Directeur de la Clinique de la Paix.

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C’est au-delà des frontières que Georges Barbe, animateur coor-donnateur de l’Université Solidaire vous emmène cette année. Uneinvitation au voyage qui ne se refuse pas lorsque c’est Georges quivous en parle. Avec lui, pas de place au hasard, il a tout préparédans les moindres détails.

Georgesde l’Université Solidaire !

Pas d’hésitation à avoir, les voyages deGeorges sont minutieusement orga-nisés et préparés avec des profession-nels des voyages. La sélection estrigoureuse !

« Les guides touristiques sont surplace, moi je suis celui qui sera auxcôtés de tous les membres du groupe,à chaque instant. Je les accompagne,je les encadre, je les ai tous à l’œil dit-il en souriant ! ».

C’est un plaisir d’accompagner lesgroupes de l’Université Solidaire.C’est une grande famille ici. Avant departir, Georges les rencontre, les in-vite à découvrir leur prochaine des-tination. Chacun repart toujoursavec un carnet de voyage. Georgesconnaît tout le monde et créé desliens avec son futur groupe. J’ai unefiche avec tous les renseignementsnécessaires.

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Rejoignez l’Université Solidaire !

L’atelier danse orientale, animé parLéone, en pleine séance de répétition.

A Saint-Louis et à Saint-Denis, les ate-liers de langue “Anglais” recherchentdes intervenants.

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La promesse de Georges : « Y a plusà faire, y a qu’à se laisser faire ! »

Mon objectif est de leur rendre le sé-jour, le plus facile possible, que cha-cun se laisse porter au fil des jourssans avoir à se préoccuper des détailslogistiques. Je partage avec le groupe,tous les moments et il faut savoir faireface à tous les imprévus.

Georges n’oublie pas l’après-voyage :Un grand moment organisé, pouréchanger les photos, les souvenirs etpenser au prochain voyage !

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Tél. 0262 947 700 Entrée libre et gratuite

l’Université Solidaire Tél : 0262 947 700

Page 4: MUTADÉCÈS, SOLIDAIRE - mutasante.com · Il n’y a pas de produit miracle, la plupart des spécialités efficaces chez l’adulte peuvent être irritantes sur une peau fragile et

Mutualité de la Réunion : Immatriculée au répertoire SIRENE sous le numéro SIREN n° 321 073 470, agréée en branches 1, 2 et 20. Siège social : 14, Boulevard Doret -BP 340 - 97467 Saint-Denis cedex. Union sou-mise aux dispositions du Livre II du Code de la Mutualité et au contrôle de l'ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution) 61 rue Taitbout 75436 Paris Cedex 09, cet organisme indépendant peut être saisidirectement par un assuré.Photos : Mutualité de la Réunion - Reproduction interdite.

ASSOCIATION DIABÈTE NUTRITION 974Pratiquer une activité physiquepour rester en bonne santé !

Il est maintenant clairement établi que la pratiqued'une activité physique régulière entraîne uneamélioration de la santé physique et mentale. L'association ADN 974 met en place des activités phy-siques à visée de santé, encadrées par des professionnelsformés.

Nous sommes présents sur 17 communes de l'île afin devous proposer différentes activités : gym douce, gym to-nique, renforcement musculaire, marche et marche nor-dique.

N'hésitez pas, mettez-vous ou remettez-vous à pratiquerde l’activité physique et contactez nos équipes afin deconnaître les créneaux mis en place près de chez vous.

Nos séances s’adressent en prioritéaux personnes suivantes :

- Diabétiques ou pré-diabétiques- En surpoids ou obèses- Ayant de l’hypertension ou du cholestérol- Ayant plus de 60 ans- Pratiquant peu d’activité physique

Les conditions d’inscription - Adhésion à l’association ADN 974- Frais de licence à la Fédération Sport Pour Tous (10€par an)- Certificat médical de non contre-indication

Contactez nos éducateurs sportifsSt Denis, Ste Suzanne : Anatole DEBAIZE - 06 93 99 39 53St Paul, La Possession, St Leu : Bruno TURPIN - 06 93 99 39 54Tampon, St Pierre, St Louis, Etang Salé : Damien MUSSARD - 06 92 25 77 07Bras Panon, St Benoit, Ste Rose, St André : France COURTEAUX - 06 93 99 39 52Ste Marie : Guillaume CHARLETTINE - 06 92 00 35 00Entre Deux, Le Port : Magalie FIARDA - 06 92 25 77 37

ADN à l’ARS

Océane : très bonne idée et c’est la première fois pour moi. Onn’ose pas le faire et on trouve toujours des excuses. Ici sur place,c’est pratique et utile.Jean-Luc : A priori on se sent en bonne santé et on ne se posepas de question. C’est une très bonne initiative de nous propo-ser ce dépistage sur notre lieu de travail. On est davantage sen-sibilisés sur la question. A refaire !

Sharone Francken Diététicienne ADN - Karinne Assens, Di-rectrice Adjointe Ressources Humaines de l’ARS - ElodieGuérineau Animatrice Nutrition Santé ADN- Diane BaillieuxDiététicienne Coordonatrice Nutrition Santé ADN - StellyChopinet-Dijoux Chargée de mission à la Direction Stratégieet Performance à l’ARS.

Une première pour l’ARS qui a proposé le mois dernier,une matinée de dépistage diabète à ses collaborateurs àSaint-Denis. Une action santé qui s’inscrit dans le cadredu plan « Bien vivre ensemble au travail ». Il était impor-tant de sensibiliser nos collègues sur la problématiquesanté numéro 1 à La Réunion souligne Karinne Assens, laDirectrice Adjointe au Ressources Humaines.

Sur Saint-Pierre, une nouvelle initiativeco-financée par le Fonds Muta :SPORT SANTE PLUS OBESITE.

Outre le Fonds MUTA, l'ARS, le CHU, le CNDS et laville de Saint-Pierre ont, entre autres, participé aufinancement du projet.RENSEIGNEMENTS : Office des Sports et du TempsLibre : 0262 25 06 49 / www.oms-saint-pierre.com