Le meilleur canal pour réussir son immigration

mArChé De L’empLoi Au CANADA

2011 et les signes d’embauche Une étude menée par la firme de recrutement Manpower auprès de 1900employeurs, révèle un climat de recrutement très positif au Canada.

(Les prévisions d’embauche secteur par secteur)

EDITORIAL

Des conclusions préoccupantes

Le miNistère De L’immiGrAtioN Du QuéBeCsoumis À L’eXAmeN Du vérifiCAteur GéNérAL

P. 2 - 4EDITORIAL

P. 6-7

P. 7

seCteur Du trAvAiL

P. 19

Vous avez ici quelques propositions

de prix de petits appareils électro-

ménagers neufs et usagés.

Le Bulletin d’informations et d’analyses au service de l’immigration au Canada 23ème parution

seCteur Des AffAires

eNtrée eN viGueur De LA première réGLemeNtAtioN sur

Le trAvAiL Des CoNsuLtANts eN immiGrAtioN Au QuéBeC

Les candidats à l’immi-gration de plus en plus

protégés au Canada

eDuCAtioNL’oCDe classe les jeunes

Canadiens parmi les meil-leurs au monde

sANté

pénurie de médecins en saskatchewan

professioNLes pharmaciens

et les perspectivesd’emploi en ontario

P. 18

P. 8

P. 12

P. 10

immiGrAtioN

Les nouveaux arrivants de plus en plus attirés par le manitoba

CoLomBie-BritANNiQuefaciliter davantage la reconnaissance

des qualifications professionnellesdes nouveaux arrivants

P. 13

P. 17

P. 5 - 6

Le plein essor de l’industrie des jeux vidéo au Canada

AutosuffisANCe DuQuéBeC eN GAz NAtureL

P. 15

P. 14

Acces cANADAchez

CoCktAiL De presse A ACCès CANADA- BéNiN

Alain Guerrero entretient les candidatsà l’immigration sur les opportunités

d’emplois au Canada

P. 6CroissANCe De proDuCtivitéLe Québec en tête des provinces canadiennes

L’emploi poursuit sa croissance au Canada(20 000 nouveaux emplois enregistrés

en décembre 2010)

CANADA

tourisme, une vigueuraffichée en 2010

P. 5

P. 19

P. 9

Le prix des choses

Vous avez ici quelques propositions de prix destéléphones cellulaires neufs et usagés au Canada

Acheter les téléphonescellulaires au Canada

Création de nom-breux milliersd’emplois à

l’horizon 2015

Acces cANADA News

23ème parution 2

Le constat fait par le Vérificateur géné-ral du Québec à l’AssembléeNationale interpelle tout candidat à

l’immigration au Canada.

Le Vérificateur général est une entité indé-pendante et impartiale ayant pour rôle devérifier l’exactitude des états financiers desgouvernements et ses différents orga-nismes, de même que ceux de plusieurssociétés d’Etat.

Nommé pour un mandat non renouvelablede dix ans par le Premier ministre, sur pro-position de l’Assemblée nationale, il exa-mine la manière dont les pouvoirs publicsappliquent les décisions.

Le Vérificateur général, par son indépen-dance, participe ainsi à la vitalité de ladémocratie canadienne en demeurant unesource fiable d’informations objectives etfactuelles dont les élus ont besoin pour sur-veiller les dépenses et les activités du gou-vernement. Chaque province du Canadapossède son propre Vérificateur général.

tout récemment, celui du Québec s’estpenché sur le processus de sélection desimmigrants travailleurs qualifiés auministère de l’immigration et desCommunautés Culturelles.

L’un des objectifs visés était de vérifier quele ministère « effectue les activités desélection des immigrants travailleursqualifiés en conformité avec la réglemen-

tation applicable et selon les saines pra-tiques de gestion… ».

Fort de cette compétence que lui confèreson statut par la loi du 1er août 1977, leVérificateur général du Québec a présentéà l’Assemblée Nationale le rapport sur lasélection des immigrants, catégorie des tra-vailleurs qualifiés pour l’année 2010.

Les constats relevés dans ce rapport sontpréoccupants :

« entre 40 et 57 % des dossiers (de 11826 à 16 853 dossiers) comportaient deserreurs dans l’attribution des points de lagrille de sélection …», a déclaré SylvieLaflamme, Directrice du bureau deVérification générale du Québec devantles députés de l’Assemblée Nationale de laprovince.

Et ce n’est pas tout ! Madame Laflamme adécouvert plus dans cette étude menée surdes demandes traitées rien qu’au Bureaud’immigration du Québec à Paris, auService Amérique du Nord et à la Directionde la sélection pour le Maghreb :

« pour 34 à 51% de ces dossiers (de 10052 à 15 079 dossiers), le ministère nepeut s’assurer de la justesse de sa déci-sion d’attribuer ou non un certificat desélection du Québec à cause de l’ab-sence de toutes les informations néces-saires la soutenant ».

Le miNistère De L’immiGrAtioN Du QuéBeC soumis À L’eXAmeN Du vérifiCAteur GéNérAL

EditorialEditorial

Des conclusions préoccupantes

Acces cANADA News

23ème parution 3

Selon le rapport, il n’y a pas assez demécanismes de contrôle-qualité qui per-mettraient d’assurer la bonne gestion lasélection des travailleurs qualifiés. Celasignifie que le ministère ne prend passuffisamment de mesures pouvant per-mettre de s’assurer que la sélection ounon des candidats à l’immigration esteffectuée conformément aux règlementset au guide des procédures et que lesdemandes font l’objet d’un traitementjudicieux.

« Certains facteurs et critères de la grillede sélection sont difficiles à évaluer demanière objective en l’absence de balisesmesurables », relève le rapport.

L’absence de balises mesurables ne per-met pas également aux conseillers demieux apprécier le facteur d’adaptabi-lité chez le candidat lors de l’entrevue.

En effet, au nom de ce facteur, leRèglement sur la sélection des ressortis-sants étrangers et le Guide des procé-dures d’immigration demandent auxconseillers de considérer les connais-sances du candidat sur le Québec, lesdémarches qu’il a effectuées pour facili-ter son intégration éventuelle et ses qua-lités personnelles. Cela vaut un maximumde six points à l’entrevue de sélection envertu du nouveau règlement; d’où lanécessité de la mise en place de méca-nismes efficaces pouvant permettre uneévaluation objective du candidat à l’en-trevue de sélection.

« De 2006 à 2008, il y a eu 45% desdemandes de certificats de sélection detravailleurs qualifiés qui ont été accep-tées grâce aux points attribués pour lefacteur d’adaptabilité », note le rapport,

qui reconnaît cependant plus loin unenette amélioration dans la grille de sélec-tion du Canada (Fédéral). En effet, lefédéral a carrément décidé de retirer cecritère pour faire de sa grille de sélec-tion, une grille complètement objective.

A la différence de celle du Québec, lagrille de sélection du Canada ne com-porte que des balises mesurables liées «au niveau d’études de l’époux ou duconjoint de fait, des études antérieuresau Canada, du travail antérieur auCanada, de l’emploi réservé et de laparenté au Canada. »

La subjectivité qui caractérise l’évaluationdes connaissances linguistiques au coursde l’entrevue de sélection demeure l’au-tre reproche formulé par le Vérificateurgénéral. L’importance des points attribués(maximum de 22 points : 16 pour le fran-çais et 06 pour l’anglais) au cours de l’en-trevue, mérite que les autorités compé-tentes trouvent des critères d’évaluationplus pertinents que le simple jugement quiest laissé au conseiller à l’immigration lorsde l’entrevue. Selon le rapport, les infor-mations dans le dossier ne permettentpas toujours de justifier l’attribution despoints.

Cependant, il faut ajouter que les testsobjectifs posent d’autres problèmes, dontleur coût et leur manque d’accessibilité.Par exemple, nos clients congolais doiventsortir du pays pour pouvoir se soumettreaux tests du TEF et de l’IELTS exigés par lefédéral. Si des tests officiels sont exigés, ilfaudra augmenter le nombre de testsagréés et s’assurer que les tests soient dis-ponibles dans les principaux pays sourcesdu MICC.

EditorialEditorial

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23ème parution4

Le ministère a bien sûr un droit de répliquequ’il a formulé au paragraphe 3.155 durapport :

« Le ministère reconnaît et déplore qu’il yait des erreurs dans l’administration deson système de sélection, encore quecelles détectées par le vérificateur généralsoient de portée très variable. Cela dit,cette situation peut être reliée au premierchef à un effet de volume si l’on consi-dère que, chaque année, environ 80 000dossiers sont ouverts et traités, si onajoute au système de sélection de la caté-gorie économique les demandes présen-tées dans le cadre des autres catégoriesd’immigration et celles relevant de l’im-migration temporaire. en outre, le minis-tère gère 6 bureaux d’opération à l’étran-ger et réalise annuellement quelque 20000 entrevues de sélection dans plus de40 localisations de par le monde, impli-quant souvent des interprètes et desconsultants. La gestion à distance de cesopérations et leur étendue géographique,de même que le volume des dossiers àtraiter, sont donc susceptibles de générerun niveau de risques d’erreurs élevé. »

Ces erreurs sont malheureusement récur-rentes à cause surtout de l’absence demécanismes solides pouvant assurer laconformité et l’équité des décisions prises

après coup.

Dans ces circonstances, les services offertspar les consultants en immigration sontessentiels. Ils favorisent le suivi rigoureux des dossiersdes clients qui ont recours à leurs presta-tions tout au long des différentes étapesde la procédure jusqu’à l’obtention du visa.En cela, le contact direct avec les candidatsà l’immigration, le suivi de proximité et sur-tout, la compréhension technique des exi-gences en matière d’immigration consti-tuent des éléments qui amenuisent voire éli-minent les risques d’erreurs dans les procé-dures.

À cet effet, madame Laflamme explique :

« Le soutien que ces consultants appor-tent peut constituer un avantage pour leministère dans la mesure où les dossiersdéposés sont bien préparés et qu’ilscontiennent la documentation requise ».

En 2011, deux projets de loi importantsentreront en vigueur, tant au niveau duQuébec que du Fédéral, afin d’assurer uncontrôle encore plus accru du travail desconsultants, afin que les gouvernementss’assurent que les candidats à l’immigrationobtiennent un service professionnel et dequalité.

EditorialEditorial

faites savoir à vos parents et amis qu'en matière d'immigration commedans tout autre domaine, il ne faut jamais envoyer d'argent à despersonnes qu'ils ne connaissent pas. Le nombre de fraude par internet enmatière d'immigration et autre est très important et, en général, les nomsde firmes existantes sont utilisés par les fraudeurs.

pAr séCurité

Acces cANADA News

23ème parution 5

Le secteur de la res-

tauration

au Canada

La restauration demeure

l’un des secteurs de l’in-

dustrie touristique pour-

voyeur d’emplois au

Canada.

Ce secteur a mobilisé

directement un peu plus

d’un million de personnes

en 2010, soit 6,4% de la

population active et indirectement 210 000

personnes. Il compte 4% du PIB du Canada.

L’année dernière (2009), le plat le plus

consommé dans ces unités de restauration

demeure les pommes de terre frites tandis

que la boisson la plus consommée est le café

chaud.

En 2010, l’industrie dutourisme a connu une

hausse marquée par rap-port à l’année précédenteau Canada.

Selon une étude duConference Board, ce pro-grès est dû non seulementaux voyages des touristescanadiens, mais aussi destouristes de l’extérieur del’Amérique du Nord deplus en plus nombreux.

Par exemple, le nombre denuitées dans les établissements d’hébergement aconnu une hausse de 2,8% par rapport à l’annéeprécédente.

Mais la ville de Montréal enregistre une hausseplus affichée que la moyenne nationale : 3,6%.

Le Conference Board note que d’ici à 2012, lenombre de touristes au Canada devra retrouverson niveau d’avant la récession.

Le Canada s’affiche aujourd’hui comme lecentre d’impulsion mondial dans le

domaine des jeux vidéo après le Japon et lesEtats-Unis.

En 2008, ce secteur a enregistré une crois-sance de 23%, et de 30% en 2009.

Selon un rapport de l’AssociationCanadienne du Logiciel de Divertissement,l’industrie des jeux au Canada génère 1,7

milliard de dollars en activité économiquedirecte et environ 15 000 emplois.

L’économie canadienne des jeux vidéorepose essentiellement sur l’exportation, carplus de la moitié des entreprises réalisent 90à 100 % de leur chiffre d’affaires à l’étranger,notamment aux Etats-Unis.

La croissance de l’industrie des jeux vidéosest surtout remarquable dans la province

Nouvelles du CanadaNouvelles du Canada

L’économie canadienneEn brèves…

Des cuisiniers en pleine activité

iNDustrie Du tourisme

une vigueur affichée en 2010

seCteur Des AffAires

Le plein essor de l’industrie des jeux vidéo au Canada

é

Acces cANADA News

23ème parution6

Nouvelles du CanadaNouvelles du Canada

du Québec avec 6000 emplois.

Dans cette province, la ville de Montréalregroupe environ 80% de cette industrieavec près d’une quarantaine d’entreprises.

Selon Sylviane Pilon, directrice d’AllianceJeu, organisme représentant cette industrieau Québec, « D’ici 2011, le Québec devrait

atteindre les 8 000 emplois dans le jeuvidéo, et une majorité de ces nouveauxemplois sera créée à montréal », a-t-elle noté.

En dehors du Québec, les provinces del’Ontario et de la Colombie-Britannique sontégalement bien animées par l’industrie desjeux vidéo, qui constitue l’un des moteurs del’économie canadienne.

Dans le domaine des entreprises, la pro-vince du Québec est le leader canadien

de la croissance de la productivité.

Selon des données de Statistique Canada,l’efficacité des entreprises dans cette pro-vince a bondi de 2%, soit le gain le plusimportant depuis 2003.

Ces hausses de productivité ont été consta-

tées dans les secteurs du commerce de détail,du transport et de l’entreposage, ainsi quede l’industrie culturelle.

Il faut noter que la productivité se calcule parla production de biens et de services parheure. Elle peut notamment augmenter grâceà des technologies plus récentes et à desmachineries plus performantes.

Les perspectives d’embauche seront positivesen 2011 au Canada.

Une étude menée par la firme de recrutementManpower auprès de 1900 employeurs dansle pays, révèle un climat de recrutement trèspositif.

Selon Manpower, parmi les employeurs interrogés,« 16% ont l’intention d’embaucher du personnelau cours des trois prochains mois et 72% ontl’intention de maintenir leur effectif…. ».

La firme de recrutement estime ainsi à 14% laprévision nette d’emploi au Canada aupremier trimestre de l’année 2011.

Cela représente une amélioration de 3 pointsde pourcentage comparativement à la mêmepériode, il y a un an.

L’embauche dans plusieurs provinces canadiennes

L’ouest canadien sera le plus grand réservoird’emploi au cours de l’année 2011 à cause

ACtivité Des eNtreprises Au CANADA

Croissance de productivité, le Québec en tête des provinces canadiennes

Les perspectives d’embauche seront positives en 2011 au Canada.

mArChé De L’empLoi

2011 et les signes d’embauche au Canada

é

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23ème parution 7

Nouvelles du CanadaNouvelles du Canada

surtout de la vigueur de l’industrie minière etdu secteur énergétique. Dans cette région,16% des employeurs ont l’intention de recruterdu personnel au cours du premier trimestre de2011.

Dans l’Atlantique, 13% des employeurs procé-deront à des recrutements dans la mêmepériode, tandis que le solde net d’embauchesera de 12% en Ontario et de 7% auQuébec.

Pour Lori Procher, vice-présidente et directricegénérale de Manpower, ces belles perspec-tives d’emploi en 2011 seront surtout dues àune importante hausse des activités dans plu-sieurs secteurs au Canada.

« Les employeurs nous communiquent eneffet l’intention d’augmenter leurs effectifs àun rythme similaire à celui du trimestre der-nier. on prévoit également un progrès desactivités d’embauche comparativement àl’an dernier dans huit des dix secteurs », alaissé entendre Lori Procher.

Les prévisions d’embauche, secteur par secteur

Dans le secteur du commerce de gros et dedétail, Manpower fait une prévision netted’emploi de 17% au premier trimestre de l’an-née ; soit une hausse de six points de pourcen-tage comparativement à l’année dernière.

Les perspectives d’embauche sont égalementbonnes dans le secteur du transport et desservices publics, où l’on note une prévision

nette de 16% pour le prochain trimestre, soitune hausse de six points de pourcentage parrapport à 2009.

Il est de même au cours du premier trimestrede l’année 2011 dans plusieurs autres secteursd’activité :

finances, assurance et immobilier, 14 % deprévision nette d’emploi. (On note ici, unelégère baisse de deux points de pourcentagepar rapport à l’année dernière).

fabrication de biens durables, 13% de prévi-sion nette d’emploi ; soit une hausse de 5% parrapport à l’année dernière.

Administration publique,13% de prévisionnette d’emploi, soit une hausse de deux pointsde pourcentage par rapport à l’année der-nière.

industrie minière, 12 % de prévision netted’emploi : on note ici un léger progrès en com-paraison de l’année dernière.

Construction,11 % de prévision nette d’em-ploi, soit un progrès de trois points de pourcen-tage sur le solde net par rapport à l’annéedernière.

education,10 % de prévision nette d’emploi,soit une augmentation de cinq points de pour-centage sur celle de l’année dernière.

fabrication de biens non durables,10 % deprévision nette d’emploi, soit un progrès decinq points comparativement à l’année dernière.

CommuNiQué De L’eNQuête sur LA popuLAtioN ACtive

L’emploi poursuit sa croissance au Canada(20 000 nouveaux emplois enregistrés en décembre 2010)

De novembre à décembre 2010, le marchédu travail est passé de 15 000 à 20 000

nouveaux emplois.

Selon Statistique Canada, l’emploi s’est accrude 2,2% par rapport à décembre 2009, avec

surtout, une forte progression dans le rang desjeunes.

Le taux de chômage a regressé dans des pro-vinces comme le Québec, l’Ontario et leNouveau-Brunswick. é

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23ème parution8

Sur le plan national, le dernier Communiqué del’Enquête sur la Population Active indique une netterégression du taux de chômage : Il a été maintenuà 7,6% au cours du mois de décembre 2010.

Ces hausses marquées de l’emploi ont été enregis-trées dans le secteur de la fabrication, du trans-port et l’entreposage et le secteur des ressourcesnaturelles.

Découvrez ci-dessous, les taux de chômage desdifférentes provinces du Canada. Ils sont issus dudernier communiqué de l’Enquête sur la PopulationActive (EPA) paru le 07 janvier 2011, pour lapériode de novembre à décembre 2010.

L’Organisation de Coopération et deDéveloppement Economiques (OCDE),

suite à une récente étude, a noté que lesélèves canadiens font partie des meilleursapprenants au monde en matière de maî-trise de certaines matières scolaires commela lecture, les mathématiques et les sciences.

Cette étude avait pour objectif de compa-rer les connaissances et les compétences de500 000 jeunes de 15 ans dans 65 pays ourégions du monde.

L’OCDE a conclut que les élèves canadienscontinuent de se classer dans le peloton detête dans ces différentes disciplines scolaires.

Dans le domaine de la lecture, les élèvescanadiens viennent après la Corée du Sud,la Finlande et les régions de Shanghai et deHong Kong.

Le Canada a également de bons résultatsen mathématiques où il occupe le 8ème ranget la 7ème place en sciences.

Selon l’étude, le Canada a une proportionélevée d’élèves très performants.

Dans le domaine de la lecture par exemple,les élèves de neuf (09) provinces cana-diennes obtiennent un rendement égal ousupérieur à la moyenne des pays de l’OCDE.

Des travailleurs en pleine activité.

soCiété…

Nouvelles du CanadaNouvelles du Canada

Alberta………….......................................................................……de 5,6 % à 5,6 %Saskatchewan……..................................................................……..de 5,5 % à 5,5 %Manitoba …………..........................................................................de 5,1 % à 5,2 %Colombie- Britannique.....................................................................de 6,9 % à 7,6 %Ontario………....…......................................................................….de 8,2% à 8,1 %Québec…...........................................................................................de 7,9% à 7,6 %Nouvelle-Ecosse….............................................................................de 9,6 % à 10,4 %Nouveau-Brunswick…......................................................................de 10,3 % à 9,4 %île-du-Prince-Edouard….................................................................de 12,5 % à 11,9 %Terre-Neuve-et-Labrador ...............................................................de 13,8 % à 13,7 %

Provinces canadiennes Les taux de chômage /de novembre à décembre 2010

performANCes Des éLèves eN LeCture, mAthémAtiQues et sCieNCes À L’éCoLe

L’oCDe classe les jeunes Canadiens parmi les meilleurs au monde

Acces cANADA News

23ème parution 9

La province du Québec connaîtra bientôtune autosuffisance en gaz naturel, qui

pourrait engendrer des économies de deuxmilliards de dollars canadiens par an àcompter de 2015.

« Nous en avons encore pour quelquesannées et on pourrait produire à compterde 2015 », indique André Caillé, présidentde l’Association Québécoise du Pétrole etdu Gaz.

Il est convaincu que le Québec est en mesured’assumer sa pleine consommation de gaznaturel avec les réserves de ‘’Shales del’Utica’’, dans la Vallée du Saint-Laurent,entre Québec et Montréal.

Déjà, un projet de loi sur l’exploitation degaz naturel au Québec est en train d’êtrepris pour mieux réglementer l’activité.

« Les entreprises veulent une réglementa-tion, mais on doit demeurer concurrentielavec nos provinces voisines. il est aussiquestion de délivrance des permis. si çaprend quatre ans pour un permis, on estloin des délais de nos concurrents », confiele président de l’Association Québécoise duPétrole et du Gaz.

Dans les prochaines années, l’industrie dugaz naturel devra générer à la province duQuébec, de grandes retombées écono-miques et la création de nombreux milliersd’emplois.

GAz NAtureL Au QuéBeC

faire une économie de 2 milliards de dollars par an à compter de 2015(Création de nombreux milliers d’emplois en vue au Québec)

Le gouvernement du Québec a procédé ennovembre 2010, au lancement officiel

d’un important organisme financier :‘’ Finance Montréal ’’.

Selon Raymond Bachand, ministre desfinances du Québec, ‘’ Finance Montréal ’’ apour mission « d’accroître le rayonnementinternational de l’industrie financière de lamétropole et du Québec ».

S’inspirant d’organismes semblables àToronto et à Paris, ‘’ Finance Montréal ’’entend générer près de 100 000 emploisdans le secteur des services financiers deMontréal.

La province compte ainsi investir dans ce

projet, un million de dollars en cinq ans tandisque près de dix entreprises ont promis d’yinjecter 100 000 dollars canadiens au coursdes deux prochaines années.

Il s’agit par exemple de la BanqueLaurentienne, la Banque Nationale, laBanque Royale, la Banque de Montréal, laBanque TD, le Mouvement Desjardins, laBourses de Montréal…

Au nombre des activités, il faut noter queFinance Montréal entend miser sur laconcertation entre ses membres sans oublierla collaboration des universités et des écolesde gestion, pour offrir des activités derecherches et de formation.

CréAtioN De FinanCe MontréaL

Accroître le rayonnement international de l’industrie financière au Québec(Près de 100 000 emplois en perspectives)

L es nouvel les duL es nouvel les du QuébecQuébec

Acces cANADA News

23ème parution10

L es nouvel les duL es nouvel les du QuébecQuébec

Selon le quotidien China Securities Journal,la ville de Pékin aurait actuellement l’inten-

tion d’injecter environ 600 milliards de dollarscanadiens dans son expansion du réseau fer-roviaire d’ici 2015.

Ce projet devrait permettre, d’après la mêmesource, de tripler la taille du réseau ferro-viaire à grande vitesse en Chine et générerd’importantes retombées économiques pourcertains fournisseurs québécois comme l’entre-prise montréalaise Bombardier.

Cette entreprise et le ministère des chemins defer de Chine ont déjà signé au début du moisde décembre 2010, un protocole d’ententepour renforcer leur partenariat.

Ils ont accepté de développer conjointement

divers produits et systèmes, dont le matérielroulant et les solutions de signalisation pour lesgrandes lignes et les lignes régionales.

trANsport ferroviAire

Des retombées économiques pour le Québec dans un projet de 600 milliards en Chine.

Bientôt des retombées économiques dans le transport ferroviaire au Québec

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23ème parution 11

L es nouvel les de l ’L es nouvel les de l ’ AlbertaAlbertaAppui Du CANADA Au projet reBrAND

Aider les jeunes d’edmonton à se préparer au marché du travail

tourisme

réhabiliter et rendre attractifs plus de 70 parcs et aires de loisirs

DéveLoppemeNt De teChNoLoGies NovAtriCes

stimuler l’activité économique en facilitant la commer-cialisation de produits biomédicaux sophistiqués

Dans le cadre d’une entente, les gouverne-ments du Canada et de l’Alberta ont

décidé d’investir près de 800 000 dollars envue de faciliter la commercialisation de pro-duits biomédicaux sophistiqués.

L’objectif visé est de stimuler l’activité écono-mique et d’améliorer la qualité des citoyensdes collectivités de l’Alberta.

Myka Osinchuk, directrice exécutive del’Institute for Reconstrutive Sciences inMedicine (IRSM) indique que son institut s’em-ploie « à élaborer de nouvelles solutionsbiomédicales qui transformeront la vie despatients…Ce financement nous permettrade regrouper des cliniciens, des scientifiqueset des ingénieurs de renommée mondialepour accélérer le développement de techno-logies novatrices ».

Le gouvernement du Canada a décidé d’ap-puyer financièrement les jeunes de la ville

d’Edmonton à travers le projet Rebrand.

Les bénéficiaires de ce projet assisteront à desateliers axés sur la préparation aux entre-vues, la rédaction de curriculum vitae et lestechniques de recherche d’emploi.

« pour beaucoup de jeunes Canadiens, latransition vers le marché du travail constitueun défi, surtout dans le contexte actuel.Notre gouvernement donne aux jeunes desmoyens d’atteindre leurs buts en appuyantdes initiatives comme projet rebrand », aconfié l’honorable Laurie Hawn, secrétaireparlementaire du ministre de la Défensenationale .

Les gouvernements du Canada et del’Alberta s’entendent autour d’un projet en

vue d’améliorer les équipements de plus de70 parcs et aires de loisirs de la province.

L’objectif visé est de créer des emplois tout enrehaussant l’attrait du réseau de parcs del’Alberta. Car, pour les autorités compétentes,l’augmentation de l’activité touristique devraitgénérer des retombées économiques à longterme dans les collectivités et entrepriseslocales.

« Cette initiative intéressante créera immé-

diatement de l’emploi dans la province, touten donnant un coup de pouce à long termeaux économies locales », a confié M. LeeRichardson, député fédéral de Calgary-Centre, au nom du ministre d’Etat à laDiversification de l’Economie de l’Ouest.

En ce qui concerne les améliorations à appor-ter aux équipements des parcs provinciaux, ils’agira par exemple d’améliorer des sentiersde randonnée, de réaménager des camps,remplacer les tables et foyers de pique-nique.

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23ème parution12

L es nouvelles de laL es nouvelles de la SaskatchewanSaskatchewan

Selon une étude publiée par ‘’l’institutCanadien d’information sur la santé’’, au

début du mois de décembre 2010, laSaskatchewan se classe « au dernier rang desprovinces canadiennes quant au nombre demédecins par habitant ».

En effet, d’après cette étude, on dénombraitprès de 1700 médecins dans la province, soitune augmentation de 3% par rapport à2008.

Malgré cela, la Saskatchewan demeure laprovince où l’on retrouve le moins de médecinspar habitant au Canada.Pour pallier ce problème, le gouvernement

provincial a mis sur pied une agence de recru-tement.

Il favorise également l’admission d’un plusgrand nombre d’étudiants en médecine àl’Université de la Saskatchewan.

Il faut noter que la province de laSaskatchewan compte 164 médecins pour100 000 habitants, derrière la Nouvelle-Ecosse, qui arrive au premier rang avec 231médecins pour 100 000 habitants.

La moyenne nationale s’élève à 201 médecinspour 100 000 habitants.

Des travailleurs âgés sans emploi ont la possi-bilité d’acquérir de nouvelles compétences en

vue de réintégrer le marché professionnel enSaskatchewan.

Cela a été possible grâce à une initiativeconjointe des gouvernements du Canada et de laSaskatchewan à travers le soutien de plusieursprogrammes d’envergure nationale dans ce sens.

En Saskatchewan, 12 projets ont permis à 300travailleurs âgés, de bénéficier de cette initiative.« L’économie de la Saskatchewan continue de

créer de nombreuses possibilités d’emploi pournos citoyens. Nous sommes heureux d’investir plusde 22 000 dollars dans ce programme conçu pouraider un segment essentiel de notre population àréintégrer le marché du travail et à profiter despossibilités offertes. », a confié l’honorable RobNorris, ministre de l’Enseignement Supérieur, del’Emploi et de l’Immigration de la Saskatchewan.

Il faut noter qu’à ce jour, plus de 13 600 travail-leurs âgés sans emplois au Canada ont bénéficiéde ce projet.

sANté

pénurie de médecins en saskatchewan

mArChé De L’empLoi

un programme pour aider des chômeurs âgés à réintégrer le marché de l’emploi

Le comité consultatif en matière d’affairesfrancophones a recommandé au gouverne-

ment de la Saskatchewan de mettre en placeplus de ressources pour accroître l’immigrationfrancophone dans la province.

Plusieurs recommandations ont été donc sug-gérées dans ce sens pour faciliter l’intégration

des francophones en Saskatchewan.

Pour René Carpentier, président du comitéconsultatif, « il y a beaucoup de nouveauxarrivants qui sont accueillis dans le milieuanglophone. Ce serait souhaitable qu’il yait de ressources (…) en français », a-t-il faitremarquer.

iNtéGrAtioN

favoriser l’accès des immigrants francophones à plus de ressources pour faciliter leur intégration

Acces cANADA News

23ème parution 13

Les nouvelles duLes nouvelles du ManitobaManitoba

immiGrAtioN

Les nouveaux arrivants de plus en plus attirés par le manitoba

seCteur De LA sANté

L’hôpital de saint-Boniface en quête d’infirmières en cardiologie

DisCours Du trôNe

La vision de l’emploi au manitoba selon le gouvernement de Greg selinger

Depuis quelques années, le Canada a instauréun projet dénommé : Programme des

Candidats des Provinces (PCP).

Ce programme a été mis en place pour permettreaux gouvernements provinciaux de répondre auxbesoins spécifiques de leur marché du travail.Chaque province pourrait par exemple définir lesobjectifs et la sélection d’immigrants.

Selon une récente étude menée par l’Institut deRecherche en Politique Publique sur ces pro-grammes au niveau de chaque province, leManitoba a été désigné comme étant le meilleurélève.

Les résultats de cette étude indique que la pro-vince du Manitoba dispose « d’un programme

de sélection efficace, capable d’attirer, retenir etintégrer les immigrants ».

L’un des constats qui témoignent de l’efficacité dudispositif de la province réside dans le fait que lesimmigrants sélectionnés par le Manitoba s’intè-grent rapidement à la population active.

Par ailleurs, « l’institut de recherche en politiquepublique » constate que ces nouveaux arrivantsconnaissent des niveaux de chômage peu élevésdans les années qui suivent leur arrivée.

« A long terme, ces immigrants choisis par laprovince ont amélioré leur bien être matériel etsocial et ont pris racine au manitoba. un signeque le programme a bien atteint ses objectifs »,note l’étude.

Aun an des élections provinciales au Manitoba, l’unedes importantes promesses faites par le Premier

ministre Greg Selinger est relative à l’emploi desjeunes.

En dépit du fait que l’économie de la province est àl’avant-plan, le gouvernement entend mettre en œuvrepour les prochains mois, davantage de stratégies envue de mieux favoriser l’épanouissement des jeunes surle marché du travail.

Dans son discours au Trône prononcé au milieu du moisde novembre 2010, le Premier ministre du Manitoba,Greg Selinger a voulu inciter les jeunes à rester àl’école et à accéder à des formations professionnelles.« La formation et l’éducation constituent de meil-

leurs investissements…plus la qualité de l’éduca-tion et de la formation sera élevée, meilleure sera laformation des jeunes et plus ils auront d’occasionsde s’intégrer au marché du travail et de participer àla croissance économique », a confié le Premierministre du Manitoba.

Il prévoit ainsi mettre sur pied une « brigade pour lesjeunes », une sorte de guichet d’emplois faisant le lienentre les besoins des entreprises et les jeunes sansemploi.

Plusieurs secteurs d’activités ont été abordés par lePremier ministre. Dans le domaine de la santé, il aannoncé par exemple l’accès pour tous lesManitobains à un médecin de famille, d’ici 2015.

L’hôpital Saint-Boniface dans la province duManitoba manque depuis quelques mois d’infir-

mières en cardiologie.

Entre 35 et 40% des postes d’infirmières de ce servicesont vacants et engendre aujourd’hui dans cette institu-

tion hospitalière des temps d’attente plus longs.

Pour combler ce manque, la direction de l’hôpital pourle moment encourage les infirmières à faire plusd’heures supplémentaires et sollicite la contributiond’infirmières stagiaires.

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23ème parution14

DyNAmisAtioN Du mArChé De L’empLoi De LA CoLomBie-BritANNiQue

faciliter davantage la reconnaissance des qualifications professionnelles des nouveaux arrivants

Les gouvernements du Canada et de laColombie-Britannique s’unissent pour appuyer

financièrement un projet qui aidera les profes-sionnels formés à l’étranger à mettre rapidementen pratique leurs connaissances et leurs compé-tences.

Ces nouveaux arrivants pourront participer éga-lement à des programmes d’insertion profession-nelle et de mentorat dans divers domaines.

L’honorable Ida Chong, ministre de l’Economierégionale et du Développement desCompétences de la Colombie-Britannique aexpliqué la pertinence du projet.« Avec plus d’un million de possibilités d’em-ploi prévues en Colombie-Britannique d’ici2019, les immigrants seront appelés à jouer un

rôle important puisqu’ils apporteront leursavoir-faire à notre future économie », a-t-illaissé entendre.

L es nouvelles de laL es nouvelles de la Colombie-Britannique Colombie-Britannique

Faciliter l’insertion professionelle des nouveauxarrivants en Colombie-Britannique

Le gouvernement du Canada et de la Colombie-Britannique ont signé au cours du mois de

décembre 2010, une entente sur la gestion del’aquaculture.

Cette entente définit clairement les responsabilitésfédérales et provinciales dans la gestion et laréglementation du secteur de l’aquaculture enColombie-Britannique après le 18 décembre 2010.

« Cette entente permettra au secteur aquacole decontinuer de générer des salaires, des investisse-ments et une activité économique se chiffrant àdes centaines de millions de dollars pour nos col-lectivités côtières, et fera en sorte que cetteindustrie demeure une source de produits de lamer durables et délicieux estimés à l’échellelocale et internationale. », a noté M. Ben Stewart,ministre de l’agriculture de la Colombie-Britannique.

L’industrie de l’aquaculture en Colombie-Britannique fournit environ 6 000 emplois et plus de224 millions de dollars en revenus pour lesBritanno-Colombiens.

L’industrie de l’aquaculture fournit environ 6 000emplois aux Britanno-Colombiens.

seCteur De LA pêChe eN CoLomBie-BritANNiQue

une entente pour dynamiser la gestion de l’aquaculturedans la province

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23ème parution 15

L es nouvelles de l’L es nouvelles de l’ OntarioOntario

Le pharmacien est un professionnel de la santé. Ilest responsable de l’utilisation optimale des médi-

caments.

Le pharmacien dispense des soins pharmaceutiquesen visant à identifier, à solutionner et à prévenir lesproblèmes liés au traitement des maladies (ou à leurprévention) par l’usage des médicaments.

En Ontario, en dehors des pharmacies de détails, lepharmacien peut trouver un emploi dans les centreshospitaliers, les industries pharmaceutiques, les uni-versités.

Le pharmacien sur le marché de l’emploi

Pour travailler en Ontario, le pharmacien doitd’abord détenir un baccalauréat en pharmacie etcompléter une ou deux années de sciences au niveauuniversitaire. Ensuite, il doit réussir l’examen duBureau des Examinateurs en Pharmacie du Canadaet enfin compléter un stage pratique pour devenirmembre de l’Ordre des Pharmaciens de l’Ontario.

Le vieillissement de la population et l’augmentationde médicaments d’ordonnance ouvrent de bonnesperspectives d’emploi à la profession.Selon Emploi-Avenir Ontario, « Les comptoirs phar-

maceutiques postaux, les chaînes d’escompte et leremplacement des aides en pharmacie par despharmaciens professionnels sont autant de ten-dances qui pourraient jouer un rôle importantdans l’augmentation du nombre de débouchés ».

eCoNomie

L’ontario enregistre 31 000 nouveaux emplois en novembre 2010

mArChé Du trAvAiL

plusieurs centaines d’emplois en vue dans l’industrieautomobile à oshawa

sANté

Les pharmaciens et les perspectives d’emploi en ontario

Le salaire annuel moyen d’un pharmacien estd’environ 100 000 dollars canadiens.

Il faut noter qu’en Ontario, les finissants en phar-macie parviennent souvent à faire de bonnesaffaires sur le marché de l’emploi.

« En 2008, les nouveaux diplômés obtenaient enmoyenne autour de 50 dollars canadiens l’heureou environ 91 000 dollars canadiens par an », afait remarquer Michel Bernard, présidentd’Excel Pharma, une firme spécialisée dans leplacement de pharmaciens.

En Ontario, la formation professionnelle en phar-macie est offerte dans les institutions comme lesUniversités de Toronto et de Waterloo.

Par ailleurs avec le Programme d’étude Ontario-Québec, Services de santé, les personnes franco-phones résidant en Ontario pourraient suivre desétudes postsecondaires en français au Québec àl’Université de Montréal et de Laval.

La province de l’Ontario a affiché une haussede l’emploi au cours du mois de novembre

2010.

Selon les récentes données de StatistiqueCanada, la province a connu 31 000 nouveauxemplois au cours de cette période. Cela a faitrégresser le taux de chômage de 8,6% en octo-bre 2010 à 8,2% en novembre de cette même

année.Cette augmentation de l’emploi observée, aporté la croissance du nombre des travailleurs à2,1% ; soit 140 000 nouveaux travailleurs aucours des 12 derniers mois.

Il faut noter qu’en décembre 2010, le taux dechômage de la province a regressé : il passé de8,2% à 8,1%

General Motors, le constructeur automobileaméricain a annoncé au cours du mois de

novembre 2010, l’embauche de près de 700personnes dans son usine d’Oshawa, enOntario.Selon General Motors Canada, cetteembauche devra permettre de mettre en

place une deuxième équipe de travail pour lemontage des nouvelles Camaro Cabriolet deChevrolet et Regal de Buick.

Il faut noter que cette entreprise emploie auCanada, plus de 9 000 personnes.

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23ème parution16

Une délégation du Canada-Atlantique a parti-cipé du 30 novembre au 03 décembre 2010

à la plus importante conférence et exposition inter-nationale d’Amérique latine sur les technologies,l’équipement et les services pour le secteur de lamarine militaire, dénommée : EXPONAL 2010.

Cette délégation canadienne était composée dereprésentants d’entreprises du Nouveau-Brunswick,de la Nouvelle-Ecosse et de Terre-Neuve-Et-Labrador et surtout de l’honorable Keith Ashfield,ministre du Revenu national, ministre de l’Agence dePromotion Economique du Canada et ministre de laporte d’entrée de l’Atlantique.

Il s’agissait surtout de mettre en vedette des bienset des services de qualité du Canada-Atlantique etde prendre contact avec d’importants acheteurs envue de réaliser des ventes et de consolider les rela-tions commerciales.

Selon Keith Ashfield, cette participation permettraau Canada-Atlantique de créer davantage d’em-plois et de nouveaux débouchés.

« Nous avons exposé les entreprises du Canada-Atlantique à beaucoup de nouvelles perspectivesd’exportation, notamment avec les chefs de filedes secteurs de la marine militaire et commer-ciale d’Amérique latine », a noté Keith Ashfield.

Le gouvernement canadien a accepté de financerl’« institut d’été sur les collectivités sûres en

santé » à travers le projet ‘’ Développement de lacapacité de leadership des femmes et des filles duCanada-Atlantique ’’.

Une première vague de près de 300 femmesvenues de toutes les contrées du Canada-Atlantique devra bénéficier d’une série d’ateliers

de formation en vue de mieux les outiller à despostes de responsabilité et de décision.

« Grâce à ce projet, celles qui vivent au Canada-Atlantique auront une chance d’élargir leurs hori-zons et de se préparer à tenir des rôles de chefsde file et de décideuses dans la collectivité », aconfié l’honorable Gail Shea, députée d’Egmont,au nom du ministre de la condition féminine du Canada.

eXpositioN iNterNAtioNALe D’AmériQue LAtiNe sur Les teChNoLoGies, L’éQuipe-meNt et Les serviCes pour Le seCteur De LA mAriNe miLitAire

une aubaine de création d’emplois et de nouveauxdébouchés pour le Canada Atlantique

DéveLoppemeNt Du LeADership Des femmes et Des fiLLes Du CANADA-AtLANtiQue

inciter les femmes à occuper des postes de responsabilité et de décision

CoNstruCtioN D’iNfrAstruCture

Créer des occasions d’affaires à travers le dragage du port de sydney

Stephen Harper, Premier ministre du Canada,a annoncé au cours du mois de décembre

2010, le dragage du port de Sydney, enNouvelle-Ecosse. Cela devrait servir à la récep-tion de conteneurs.

Le gouvernement fédéral investira 19 millions dedollars tandis que le gouvernement de laNouvelle-Ecosse y consacrera 15,2 millions dedollars.

Pour Stephen Harper, ce projet sera créateur de

nombreux emplois et permettra au port de saisirplusieurs occasions d’affaires.

Pour Darrell Dexter, premier ministre de laNouvelle-Ecosse, le dragage du port de Sydneydevra générer des emplois et incitera les jeunesà rester dans la région.

« Ce projet améliorera l’économie du Cap-Breton et de toute la province », a-t-il faitremarquer.

Les nouvelles dans les

Autres Provinces Canadiennes

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23ème parution 17

Accès Canada-Bénin a organisé le mardi 30novembre 2010 un cocktail de presse à son siège

à Saint –Michel (Cotonou).

Au cours de ce rendez-vous d’échanges, de nombreuxclients et visiteurs présents pour la circonstance se sontimprégnés du rôle que joue Accès Canada dans laprocédure d’obtention du visa permanent canadien.

Le PDG de la firme Accès Canada, Alain Guerrero,arrivé au Bénin à cet effet, a exposé aux différentsinvités les opportunités d’emplois qu’offre aujourd’huile Canada.

« Le Canada est une terre d’immigration et les per-sonnes à la recherche de travail au Canada sontles bienvenues parce qu’elles bénéficient de condi-tions très favorables si elles sont bien accompa-gnées dans leurs démarches », a confié à la presseAlain Guerrero, PDG d’Accès Canada, firme spécialiséedans les demandes de résidence permanente auCanada.

Il a par exemple cité certaines provinces canadiennesfavorables aujourd’hui à l’emploi comme l’Alberta, laSaskatchewan, le Manitoba, la Colombie-Britannique,l’Ontario…

Aux dires d’ Alain Guerrero, « Accès Canada existedepuis 1995 et fait ses preuves dans plusieurspays francophones et surtout en Afrique ».

Après seulement deux années d’installation au Bénin,Accès Canada-Bénin a déjà permis à plus d’une cen-taine de clients de s’établir au Canada, sans oublierles nombreux candidats à l’immigration ayant démarréactuellement leur procédure.

A la fin de ce cocktail de presse, plusieurs clients s’ensont retournés plus confiants et surtout ravis d’avoirdiscuté pendant de longues heures avec le PDGd’Accès Canada en personne, Alain Guerrero.Il faut noter qu’en 2010, Accès Canada a obtenu le « prix international pour le management et leservice à la clientèle », décerné par les Publicationsde Comercio International S.A. Actualidad, un célèbremagazine d’affaires, crée en 1962.

Acces cANADAchez

CoCktAiL De presse Au sièGe D’ACCès CANADA- BéNiN

Alain Guerrero entretient les candidats à l’immigration sur les opportunités d’emplois au Canada

Un moment d’échanges entre Alain GUERRERO et les clients.

Alain GUERRERO en interview avec les journalistes.

Ici, deux conseillères d’Accès Canada derrière Alain GUERRERO.

Les candidats à l’immigration écoutent attentivement le PDG d’Accès Canada.

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23ème parution18

Il y a quelques mois, le ministre de laCitoyenneté et de l’Immigration, Jason

Kenney annonçait la prise de certainesmesures législatives pour sévir contre lesconsultants malhonnêtes.

Au Québec, les autorités compétentes sontpassées à l’acte. La première réglementationsur le travail des consultants en immigrationest entrée en vigueur le 04 novembre 2010.

Ce règlement donne désormais à la ministrede l’Immigration et des CommunautésCulturelles le pouvoir de poursuivre une per-sonne qui agit comme consultant sans êtredûment reconnu.

Selon cette loi québécoise, la ministre del’Immigration et des Communautés Culturellesa le pouvoir de suspendre ou de révoquer lareconnaissance d’un consultant en immigrationqui ne respecte pas ses obligations.Pour Mme Kathleen Weil, Ministre del’Immigration et des Communautés Culturelles,il s’agit d’une avancée importante, tant sur le

plan de la protection des candidats à l’immi-gration que sur celui de l’intégrité des servicespublics et des lois d’immigration du Québec.

« Ce nouveau règlement permettra d’enrayerles mauvaises pratiques des consultants enimmigration frauduleux. il fera aussi unedifférence importante dans la vie des personnesvulnérables qui pourraient subir les actionsde personnes mal intentionnées », a notéKathleen Weil.

eNtrée eN viGueur De LA première réGLemeNtAtioN sur Le trAvAiL Des CoNsuL-tANts eN immiGrAtioN Au QuéBeC

Les candidats à l’immigration de plus en plus protégés au Canada

iNtéGrAtioN

un nouveau programme pour attirer les immigrantsagriculteurs en Nouvelle-ecosse

Les autorités gouvernementales de laNouvelle-Ecosse entendent attirer désor-

mais les fermiers immigrants dans leur pro-vince à travers un nouveau programme initié àcet effet.

L’objectif visé est de revitaliser l’industrieagricole dont la main-d’œuvre devient de plus

en plus vieillissante.Il faut noter par exemple que l’âge moyen desagriculteurs de la province est de 57 ans.

Ce programme est déjà opérationnel dans lesprovinces du Manitoba, de la Saskatchewanet de l’Alberta.

Nouvellesrelatives aux programmes d’intégration

Les candidats à l’immigration seront de plus en plus protégés au Canada

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23ème parution 19

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…………....…3,18 Lei roumain

Ce tableau permet d’effectuer la conversion du dollar canadien en

certaines devises internationales en fonction du taux de change sur

le marché. Ainsi, à la date du 23 janvier 2011 :

1 dollar canadien valait :

Il est à mentionner que ces taux ne sont pas applicables au versement des frais gouvernementaux par nos

clients qui doivent tenir compte de potentielles variations mais aussi de frais de rapatriement incluant

des commissions de change et des retenues à la source du pays d’origine. Ces éléments expliquent la

différence.

Chaque client peut, s’il le désire, fournir sa propre traite bancaire pour acquiter ses frais gouvernementaux .

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Conversion du dollar canadien