ÉGALITÉ GARÇONS - FILLES À L’ÉCOLECOMMENT AIDER L’ENSEIGNANT À APPLIQUER

LE PROGRAMME POUR L’ÉGALITÉ GARÇON-FILLE À L’ÉCOLE?

COMMENT AIDER L’ENSEIGNANT À APPLIQUERLE PROGRAMME POUR L’ÉGALITÉ GARÇON-FILLE À L’ÉCOLE?

Où?DANS DES ÉCOLES-RÉGIONS PILOTES

Partenaires?MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALEPARTENAIRES FÉMINISTES,PERSONNALITÉS (politique, stars...)

Usagers?LES MATERNELLE ET PRIMAIRES, ENSEIGNANTS, PARENTS D’ÈLEVES

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> C’est en éduquant les enfants, que l’on change la société.

> UN PROGRAMME DÈS LE PLUS JEUNE AGE ET DE FAÇON PROGRESSIVE ET ADAPTÉE AFIN DE CONDUIRE À L’ACCEPTATION DE LA DIVERSITÉ HUMAINE.

Depuis 1944 :Amélioration deL’ÉGALITÉ DES FEMMES ET HOMMES EN FRANCE

Mais des inégalités subsistent : LES JEUNES FEMMES SE DIRIGENT VERS DES FILIÈRES

MOINS DEMANDEUSES D’EMPLOIS.

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1944 198319751965 2000 2003 2006

DROIT DE VOTE ET D’ÉGIBILITÉ

(FEMMES)

EXERCER UNEACTIVITÉ PRO.

SANS ACCORD DU MARI (FEMMES)

MIXITÉ SCOLAIREOBLIGATOIRE

LOI ROUDY :ÉGALITÉ

PRO. - INTERDITDISCRIMINATIONS

PRO EN RAISON DU SEXE.

PARITÉ ENPOLITIQUE

LOI QUIVISE À

SUPPRIMERÉCARTS SALAIRES

H/F

50/50H/F

LISTE ÉLÉCTORALES

> Les femmes intègrent de plus en plus les études supérieures.

> Les femmes sont de plus en plus nombreuses à intégrer les filières scientifiques.

> Les femmes sont de plus en plus nombreuses à travailler.

> Les femmes choisissent de plus en plus le métier de cadre.

Répartition des filles et des garçons à l’université à la rentrée 2010 dans

les filières dites «littéraires»

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MALGRÉ DES AVANCÉES HISTORIQUES, SOCIÉTALES ET LÉGISLATIVES,

IL RESTE DU CHEMIN À PARCOURIR POUR QUE

L’ÉGALITÉ DES CHANCES ENTRE LES FILLES ET LES GARÇONS DEVIENNE UNE RÉALITÉ.

PRENDRE EN COMPTE LA DIMENSION DE L’ÉGALITÉ ENTRE LES SEXES

IMPLIQUE DE MODIFIER PROFONDÉMENT

NOTRE FAÇON DE PENSER ET DE VOIR LE MONDE, DE LE STRUCTURER. L’ÉGALITÉ INTERROGE NOS REPRÉSENTATIONS, NOS VALEURS, NOS CROYANCES.

ELLE REMET EN QUESTION NOS

DÉFINITIONS DU GENRE, DES RÔLES SOCIAUX ET PROFESSIONNELS, DE L’IDENTITÉ.

LA QUESTION DE L’ÉGALITÉ A TRAIT AUX VALEURS VÉHICULÉES DANS LES MÉDIAS, LA

CULTURE, LE SYSTÈME ÉDUCATIF ET LA SOCIÉTÉ DANS SON ENSEMBLE.

FINALEMENT, TRAVAILLER SUR LA QUESTION DE L’ÉGALITÉ-MIXITÉ EST COMPLEXE CAR

CELA IMPLIQUE DE MODIFIER

CE QU’IL Y A DE PLUS PROFONDÉMENT ANCRÉ EN NOUS :

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NOS STÉRÉOTYPES

SEXISME

>

CINÉMA ETFILMS D’ANIMATION

TV, DESSINS ANIMÉS

JEUX VIDÉOS ÉDUCATION

JEUX POURENFANTS

PUB TVET AFFICHES

MUSIQUE ET CLIPS

QUI EST PRÉSENT DANS LE VIE QUOTIDIENNE DES ENFANTS À TRAVERS :

08H00 08H20 08H40 10H30 17H30 18H30 20H10

DESSINS ANIMÉSAVANT D’ALLER

À L’ÉCOLE

PUBLICITÉSJEUX ENFANTS

PAR GENRESÀ LA TV

AFFICHESSUR LE

CHEMIN DE L’ÉCOLE

INFLUENCESDE LA COURDE RÉCRÉ

JEUX VIDÉOSAPRÈS LEGOÛTER

FILM OUDESSIN ANIMÉ

LE SOIR

JEUX POURENFANTS

EN ATTENDANTLE DÎNER

Journée-type d’un enfantUNE EXPOSITION CONSTANTE AUX CLICHÉS

> L’enfant associe jour après jour, des TRAITS DE CARACTÈRE, des COMPÉTENCES, des ATTITUDES À UN SEXE PLUTÔT QU’À UN AUTRE et qui forgent sa VISION DE LA PLACE QU’IL OU ELLE PRENDRA DANS LA SOCIÉTÉ.

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C’EST IMPORTANT DE DONNER DES REPÈRES À L’ENFANT AFIN QU’IL PUISSE S’ÉPANOUIR,

ON POURRAIT MÊME SE DEMANDER S’IL EST LÉGITIME DE CHANGER LES STÉRÉOTYPES QUI LUI DONNENT CES

REPÈRES.

EXEMPLES DE MANIFESTATIONS DES STÉRÉOTYPES DE GENRE >

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QUELQUES IMAGES QUI GENRENT LES ENFANTS :

VOILÀ CE QU’ON DONNE À VOIR

À UNE UNE FILLE ET À UN GARÇON

«ON PROFILE LES GARÇONS POUR OCCUPER LES FONCTIONS MASCULINES D’AUTORITÉ ET DE POUVOIR ET LES FILLES POUR PRENDRE EN CHARGE LES ENFANTS, LE FOYER, LE MARI» (BAUDELOT, 2000, P. 34).

Selon l’auteur, notre société communique l’idée que les femmes sont plus douées pour la compréhension des autres que pour la compréhension du monde.

Ainsi, les filles intériorisent, à partir des discours de leurs familles, des médias, de l’école et finalement de la société dans son ensemble, que leur place est davantage dans des activités intérieures qu’extérieures.

La notion de destin probable UNE EXPOSITION CONSTANTE AUX CLICHÉS

Le sentiment d’auto-efficacité ou d’efficacité personnelle

L’effet Pygmalion : «JE PENSE DONC TU ES»

> De même, sans en avoir pleinement conscience, elles se dirigent spontanément vers une orientation qui leur permet de concilier vie professionnelle et vie privée.

> Ce «destin probable» constitue une sorte de voie normale qu’il est naturel de suivre et qui peut donc influencer leurs choix d’orientation scolaire.

> interroger le regard de l’enseignant sur ses pratiques.

Les stéréotypes constituent des obstacles à la réalisation des choix individuels, tant des hommes que des femmes. Ils contribuent à la persistance des inégalités en influant sur les choix des filières d’éducation, de formation ou d’emploi, sur la participation aux tâches domestiques et familiales et sur la représentation aux postes décisionnels.(Commission Européenne, 2008).

Selon Bandura (1980), nous nous engageons plus ou moins facilement dans un comportement en fonction de nos attentes et notamment des sentiments d’efficacité personnelle que nous nous sommes construits antérieurement.

D’après cette théorie, les croyances ou idées que les enseignants possèderaient sur les élèves, et qu’ils exprimeraient plus ou moins implicitement, provoqueraient chez ces derniers des comportements conformes à ces idées.

En d’autres termes, notre attente sur le comportement d’autrui pourrait entrainer la réalisation du comportement attendu.

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La pédagogie de la réussite et de l’égalitéL’ABCD : UN PROGRAMME PROMETTEUR MAIS INCOMPLET ET ENNUYEUX

>

> L’enseignant peut aller consulter des activités à proposer et à intégrer à son cours ainsi que télécharger des «outils pédagogiques».

Cependant, l’enseignant n’est pas encouragé à le faire, et les séquences proposées sont loins d’être communiqués de manière à susciter l’attention des enfants, voire même du professeur qui les propose.

> Voici un exemple de séquence proposé par «l’ABCD de l’égalité».

> Aucunes illustrations, aucunes mise en page, ne cherche pas à enthousiasmer l’instituteur qui serait susceptible de l’utiliser.

????

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Accompagner l’enseignant pour utiliser ce programmeINTERVENTION IN-SITU DE DESIGNERS, PROPOSITIONS D’OUTILS

VÉHICULANT LES PROGRAMMES DU GOUVERNEMENT.

La posture du designer dans le projet pour l’égalité garçons/filles à l’école pourrait être une intervention expérimentale et prospective de designers, accompagnés de plasticiens, de sociologues ect auprès d’écoles “pilotes”.

L’INTERVENTION SERAIT IN SITU, AVEC UNE PHASE D’OBSERVATION.

ÉTAPE 1

OSBERVATION

AUTRES...

ENSEIGNANTS DESIGNERS PLASTICIENS

> En collaborant avec les enseignants , les intervenants pourront proposer des outils, ainsi ils pourraient investir le programme scolaire de manière subtile afin d’éduquer le regard critique des enfants face aux stéréotypes de genres.

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AUTRES...

Accompagner l’enseignant pour utiliser ce programmeINTERVENTION IN-SITU DE DESIGNERS, PROPOSITIONS D’OUTILS

VÉHICULANT LES PROGRAMMES DU GOUVERNEMENT.

Après la période d’exploration du terrain, des problématiques posées, des outils seront proposés des outils aux enseignants (et aux élèves), QUI LES AIDERAIENT À APPLIQUER LE PROGRAMME DE L’ÉDUCATION NATIONALE ( et du plan d’action pour l’égalité garçon/fille à l’école).

ÉTAPE 2

PROPOSITION D’OUTILS

PLASTICIENSENSEIGNANTS

> L’état subventionnerait cette intervention dans des régions pilotes afin d’aider les communes à la financer.

outil

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> On pourrait également questionner et analyser les pratiques de l’enseignant, en créant des outils à plusieurs degrés d’interprétations afin d’ouvrir également le regard critique de l’instituteur sur ses propres pratiques.

outil

QUI POURRAIT AVOIR DE NOMBREUXSUPPORTS OU FORMES

JEUX ET ATELIERSPOUR ENFANTS

INTERVENTIONS SURL’EXTÉRIEUR

ÉTUDES(film d’animation,publicités, jeux vidéos)

JEUX VIDÉOS DESSIN ANIMÉPETITES ANIMATIONS

OUTILS PÉDAGOGIQUESSUPPORTS DE COURS

INTERACTIFS

>Cette intervention pourrait ensuite infecter sa vie quotidienne afin qu’il questionne le monde qui l’entoure.En ramenant les outils proposés ou des dérivés à la maison, ses propres jouets et médias seraient également changés pour permettre à sa réflexion d’agir sur l’existant et en dehors de l’école.

> Cette «invasion» pourrait également servir de déclencheurs pour les parents à leur tour, sur la façon de penser les stéréotypes, et changer éventuellement certains de leurs comportements vis à vis de leur enfant.

Les outils sont testés dans les écoles,une amélioration et ajustement seront donc possibles. On pourra déterminer alors si ces outils peuvent être proposés dans d’autres académies.

ÉTAPE 3

TESTS OUTILS

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QUI POURRAIT AVOIR DE NOMBREUXSUPPORTS OU FORMES

Aujourd’hui il existe de nombreux programmes et contenus approuvés et réalisés CEUX-CI SONT AUJOURD’HUI SOUS FORME TEXTUELLE, TRÈS PEU IMAGÉEET NE PERMET PAS DE METTRE CE CONTENU EN PRATIQUE

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>»outils pédagogiques» de l’ABCD DE L’ÉGALITÉ = pdf peu encourageants

L’égalité des sexes dès le plus jeune âge“Nous traitons les enfants comme des individus plutôt qu’en fonction de leur sexe”, explique Lotta Rajalin, la directrice d’Egalia. Car les écoles maternelles sont censées combattre la répartition traditionnelle des rôles entre les sexes, promouvoir l’égalité et laisser les enfants se forger librement leur propre identité. C’est ce que préconise la loi sur l’enseignement de la petite enfance de 1998.

EN SUÈDE, PAR EXEMPLE

LEURS CONTENUS SONT DÉJA APPLIQUÉS

> Avec l’enseignement du bechdel test

> projet Dig Equality : projet de designers pour l’innovation dans le design pour l’égalité homme/femme dans la société

Il y a également une réelle prise de consciencedans les médias, les réseaux sociaux et internetDE NOMBREUSES RÉACTIONS, BEAUCOUP D’ARTICLES, AINSI QUE DES PROJETS COMMENCENT À AGIR CONTRE LA CONSTERNATION CONTEMPLATIVE QU’IL EXISTEAUTOUR DE CES INÉGALITÉS.

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>féminist frequency est une chaîne crééepour explorer les stéréotypes de genredans les médias.

>goldiebox : marque de jeux pour enfantsqui essaient de changer les stéréotypes de «jeux pour filles» et jeux pour garçons»

> always «like a girl»Campagne d’Always pour lutter contreles stéréotypes de comportement et d’attitude chez les petites filles.

> En décembre dernier, une étude de l’institut Geena Davis portant sur des émissions de prime time, des dessins animés et des films familiaux diffusés sur dix grandes chaînes aux États-Unis avait démontré que 28,3% des personnages féminins sont vêtus de façons sexy, contre seulement 8% de personnages masculins. De même, dans les programmes diffusés en première partie de soirée, 37,5% des femmes étaient minces. Les hommes, eux, n’étaient que 13,6% dans ce cas.

> Crystal Smith Sur son blog, cette Canadienne a décidé d’analyser à quel point la publicité pour les jouets pouvait formater l’esprit des petits garçons. Elle a recensé 658 mots dans 27 spots TV pour des jouetsdestinés aux garçons âgés de 6 à 8 ans. Pour les filles, elle a listé 432 mots à partir de 32 spots. Le résultat met en relief l’ampleur de la discrimination sexuelle dans la publicité pour les jouets, selon Crystal Smith, qui présente son étude sous forme de nuages de mots pour traduire la fréquence d’apparition des occurrences :

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Des ouvragesARTICLES

CHAMBERLAND Claire, « Les filles connaitront-elles un jour l’expérience du pouvoir ? », Revue canadienne de service social, vol 5, été 1998.« Tous les garçons et les filles…, » Fenêtres sur cours, revue du SNUipp – FSU, supplément au n° 230, octobre 2002.Brochures

« Que voient les enfants dans les livres d’images ? » et « Quels modèles pour les filles ? », Association du côté des filles, Brochures, 1997.« Les chiffres clés de l’égalité entre les femmes et les hommes 2002 », publication du Service des Droits des Femmes et de l’Egalité.« Les dates clés de l’égalité entre les femmes et les hommes 2002 », publication du Service des Droits des Femmes et de l’Egalité.Les renseignements généreux, « Dominations et liberté, rudiments de sociologie critique », brochure téléchargeable : http://www.les-renseignements-genereux.org/brochures/2693

OUVRAGE SUR LE GENRE

CARNINO Guillaume, « Pour en finir avec le sexisme », éditions l’Echappée, 2005.SCHWARZER Alice, « La petite différence et ses grandes conséquences », éditions des femmes, 1977.DELPHY Christine, « L’ennemi principal » 1 et 2, éditions Syllepse, 2001DELPHY Christine, « Classer, Dominer », éditions La Fabrique, 2008.DORLIN Elsa, « Sexe, genre et sexualités », éditions Philosophies PUF, 2008.« Sexe, race, classe, pour une épistémologie de la

domination », sous la direction de Elsa DORLIN. Editions PUF, 2009.GUILLAUMIN Colette, « Sexe, race et pratique du pouvoir. L’idée de nature. », éditions Coté-Femmes, 1992.HERITIER Françoise, « Masculin, féminin, la pensée de la différence », éditions Odile Jacob, 1996.MATHIEU Nicole-Claude, « L’anatomie politique, catégorisations et idéologies du sexe », éditions Coté-Femmes, 1991.VIDAL Catherine, BENOIT-BROWAEYS Dorothée, « Cerveau, sexe et pouvoir », éditions Belin, 2005.

Siteswww.ducotedesfilles.org, Association européenne « Du côté des filles ».www.lesptitsegaux.org, Répertoire d’activités visant la promotion de conduites non-sexistes entre filles et garçons de maternelle et de primaire.www.lyon.iufm.fr/aspasie, Fond documentaire « le genre en éducation », catalogue en ligne, ouvrages et revues empruntables gratuitement.http://www.feministes.net/http://www.genrimages.org/http://clio.revues.org/http://lecafe-ministe.blogspirit.com/http://avea.net/utopie/, « au pays d’utopie », des contes anti-sexistes et anti-spécistes pour la littérature enfantine.http://gendertrouble.org/http://infokiosques.net/http://www.lab-elle.org/label/association/ : un label associatif de littérature jeunesse

Emissions de radio« Dégenrée », émissions sur toutes sortes de thèmes, téléchargeables et écoutables en faisant la vaisselle : http://radio.indymedia.org/en/taxonomy/term/736« Cas libres », une antenne libre « sans tabou ni jugement », sur le corps, les sexualités, les relations amoureuses… émissions téléchargeables et écoutables sur www.cas-libres-poivron.org et sur Grenoble les jeudis

Des rapportsCommission Européenne (2008).5erapport sur l’égalité entre les femmes et les hommes. Belgique : Bruxelles.

La HALDE (2008).Place des stéréotypes et des discriminations dans les manuels scolaires.Porchet, M. (2002).Les jeunes et les études scientifiques. Rapport à l’attention de Monsieur le ministre de l’éducation Nationale.Richer, Philippe., Rignault, Simone (1997).La représentation des hommes et des femmes dans les livres scolaires. Rapport au Premier Ministre. Paris : La Documentation française.

Tisserant P., Wagner A.L., (2007).Les stéréotypes et les discriminations liés au genre dans les manuels scolaires. In LA HALDE, Place des stéréotypes et des discriminations dans les manuels scolaires.

Jeanne DUFIEFDSAA DG 2ÈME ANNÉE

SEPTEMBRE 2014