Upload
vuongbao
View
213
Download
1
Embed Size (px)
Citation preview
La
pe
tite
ma
rch
an
de
d’a
llu
me
tte
s
1
Do
ssie
r
Péd
ag
og
iqu
e
Opéra de Reims
13 rue Chanzy 51100 Reims
Location tél : 03 26 50 03 92
SAISON 2011-2012
La Petite Marchande d’Allumettes – Conte Musical T. Nguyen
Le propos de La Petite Marchande fait partie de
l’imaginaire collectif : un soir de Noël, dans une
ville ayant revêtu son manteau de neige, une
petite fille souhaiterait rentrer chez elle afin de
retrouver sa grandmère. Mais elle doit d’abord
vendre des allumettes sur le trottoir gelé.
Librement inspiré de la fable d’Andersen, ce
conte musical – lauréat du prix Envie d’Agir-
imaginé par Thomas Nguyen, sera crée grâce à
la collaboration entre Opéra et le Collectif Io,
composé de jeunes musiciens professionnels
issu du Conservatoire à Rayonnement Régional
de Reims.
Là où l’histoire devient poignante originale
dénonçait la misère du XIXème siècle, ce qui
ressort du conte musical porté par une musique
à l’inspiration éclectique, c’est plutôt le pouvoir
de la force de l’imaginaire. Le spectateur est
pris dans les rets du monde de la petite fille,
oscillant entre réalité et rêve, entre grisaille et
féerie.
Le feu au bout de l’allumette, qui crée des
instants magiques, devient une métaphore de
l’art qui console, transporte, véhicule l’espoir.
Un spectacle à voir pour simplement se rappeler
que, d’une étincelle, peut jaillir un océan de
beauté…
Musique : Thomas Nguyen
Texte : Brigitte Macadré
Direction artistique : Thomas Nguyen
Direction musicale : Gabriel Philippot
Orchestration :
Gabriel Philippot / Thomas Nguyen - Mise en
scène : Christine Berg - Scénographie : Elie
Romero - Lumières : Laura Robinet - Costumes :
Juan Morote - Chef de choeur : Cédrine Zwein -
Illustration / Graphisme : Alice Richard -
Directeur de production : Vincent Marcoup
Le conteur : Loïc Brabant - La petite marchande
d’allumettes : Marion Monier - Babou : Lucie
Robineau - La petite fille, la mère, une libellule :
Marine Bailleul - Le garçon, le petit pâtissier, le
petit frère, le hanneton : Damien Briand
Avec 16 chanteurs issus du Conservatoire et
des Maisons de Quartier de Reims
10 instrumentistes issus du Conservatoire à
Rayonnement Régional de Reims
Une co-production Collectif Io et Opéra de Reims. Le spectacle
est subventionné par la DRAC Champagne-Ardenne, la Région
Champagne-Ardenne/ORCCA, le département de la Marne et la
Ville de Reims. Avec le soutien du Conservatoire à Rayonnement
Régional. Avec le soutien de la société Riwal France.
Sommaire
Notes d’intentions 2
L’argument 2
Il était une fois Christian Andersen 3
Pistes d’exploitations pédagogiques 3
Quelques lectures 3
Cinéma 4
Pour en savoir plus 5
La presse en parle 5
Mirum: Vivamus est ipsum, vehicula nec, feugiat
rhoncus, accumsan id, nisl. Lorem ipsum dolor sit
amet, consectetuer
Vendredi 4 novembre
20h30
Scolaires
Jeudi 3 novembre
Vendredi 4 novembre
14h30
Jeu
ne p Service
Jeune Public
La
pe
tite
ma
rch
an
de
d’a
llu
me
tte
s
2
Sur la mise en scène :
Christine Berg Ce conte d’Andersen, dans nos souvenirs
d’enfants, est particulièrement poignant :
cette petite fille pauvre qui meurt de froid sur
le trottoir est terriblement pathétique et tire
les larmes...C’est certes une manière de
dénoncer la misère mais la ré- écriture de
Brigitte Macadré ne me semble pas axée sur
cet aspect-là du conte. Je sens plutôt une
volonté de mettre en avant l’aspect
merveilleux des fictions que la petite fille
provoque en craquant ses allumettes : rêves
magiques, évasions douces, tout un petit
monde de théâtre s’anime devant nos yeux et
s’évanouit. N’est-ce pas là une métaphore de
l’art, cette capacité à transcender toutes les
réalités et la clef (même si c’est là une
allumette) de tous les voyages ?
Sur la musique :
Thomas Nguyen L'idée d'un travail sur le conte est née d'une
envie de faire découvrir ou redécouvrir à tous
les publics (jeunes comme adultes) cette
forme de littérature permettant de se créer et
d'entrer dans un véritable monde onirique ; la
puissance du conte résidant dans la capacité
à stimuler l'imagination créatrice du lecteur
et du spectateur.
Le projet Illusions Poétiques a pour dessein
de faire entrer lecteurs et spectateurs dans
un monde de rêves, de poésie et d’évasion
par le biais de quatre contes, de quatre livres
audio illustrés et de quatre spectacles.
La Petite Marchande d’Allumettes, conte
d’Hiver est le premier opus de cette tétralogie.
Pour travailler sur cette adaptation du conte
d’Andersen, j’ai souhaité associer mon travail
de compositeur à l’univers visuel d’Alice
Richard et aux mots de Brigitte Macadré.
Alice Richard et moi-même avons ensuite
bénéficié de l’accompagnement du dispositif
d’Etat Envie d’Agir dont nous avons été
lauréats en Novembre 2009 pour cette
création, ce qui nous a permis de développer
ce projet et de nous associer avec de
nombreux partenaires.
La rencontre avec la metteur en scène
Christine Berg et son univers poétique a
ensuite été très enrichissante pour la
conception et la création du spectacle.
Le spectacle La Petite Marchande
d’Allumettes, conte d’hiver a pour objectif de
faire voyager les spectateurs dans un monde
de rêves et de poésie. Le conte original
d’Andersen dénonce la misère du XIXème
siècle et l’actualisation permet au spectateur
de s’identifier à l’histoire de la petite
marchande d’allumettes. Le pouvoir de
l’imaginaire en est d’autant plus fort. Le
spectateur voyage avec la petite fille dans un
monde oscillant entre réalité et rêve, grisaille
et féerie. Une (re)découverte de l’imagination
créatrice d’images poétiques...
« Le monde de la réalité a ses limites ; le
monde de l'imagination est sans frontières »,
Jean-Jacques Rousseau.
Sur le texte : Brigitte
Macadré Re-découvrir l’univers des contes d’Andersen
en compagnie d’un jeune compositeur aux
colorations musicales à la fois poignantes,
classiques et contemporaines fut un retour au
pays de l’enfance mais aussi une prise de
conscience du caractère universel de cette
histoire.
Une petite fille obligée de vendre des
allumettes sur un trottoir glacé la veille de
Noël alors que les autres enfants découvrent
leurs cadeaux entourés de leur famille, une
petite qui a faim et froid et qui recrée par la
force de son imagination, des mondes
merveilleux, des illusions qui la transportent
ailleurs, voilà ce qu’Andersen nous donne à
voir, voilà ce qu’il raconte. Et il n’était pas
question de trahir ce propos là, parce qu’il
reste aujourd’hui et pour toujours porteur
d’espoir et de rêve et qu’on peut aussi y voir
une superbe métaphore de l’art qui
transporte, guérit et ouvre l’horizon.
Notes d’intentions Mais la petite marchande est aussi espiègle
et irrévérencieuse, elle maltraite son
conteur qui a bien du mal à raconter
l’histoire, elle se moque d’autres
personnages qui se trompent de conte, elle
aime chanter, rire et s’envoler sur les notes
de musique. Entre humour, poésie et
gravité, c’est elle qui m’a emmenée dans
ses illusions, et je n’ai pas eu le cœur d’y
résister. J’ai voulu offrir aux enfants et aux
adultes qui les accompagnent ces instants
enchanteurs que procure une flamme, la
flamme qui danse au bout d’une allumette,
sur les lèvres des comédiens, dans les
doigts des musiciens ou dans les yeux du
public.
L’ARGUMENT
Au cœur de la ville enneigée par
un soir de Noël, une petite fille
voudrait rentrer chez elle et
retrouver sa grand-mère. Mais
elle sait bien qu'il faut d'abord
sourire aux passants sur ce
trottoir gelé et vendre ses
allumettes. Leurs flammes vont
pourtant ouvrir au cœur de la
ville des visions magiques, un
temple, une pâtisserie, une
maison enchantée, une prairie
peuplée d'insectes beaux
parleurs, et une grand-mère
espiègle. Qui aurait pu imaginer
qu'un trottoir gelé cachait tant de
merveilles?
La
pe
tite
ma
rch
an
de
d’a
llu
me
tte
s
3
Il ETAIT UNE FOIS…HANS CHRISTIAN ANDERSEN 1805 -1875
Ou l’histoire d’un petit garçon qui voulait devenir célèbre…..
« MA VIE EST UN CONTE DE FEES » Hans Christian Andersen est né le 2 avril 1805 au Danemark, plus précisément à Odense, un petit
village d’une île de Fionie située dans le nord du pays. Il connut une enfance difficile dans une famille
très pauvre : son père était artisan cordonnier et sa mère lavandière. Après la mort de son père en 1816
et le remariage de sa mère, il partit seul et presque sans ressources à Copenhague (1819) pour y
chercher fortune. Mais ce fut, au départ tout du moins, un échec. En 1822, après trois années difficiles,
il obtint une bourse grâce à l'intérêt d'un directeur de théâtre, Jonas Collin. Cela lui permit de suivre des
études régulières. Son baccalauréat passé, il commença à publier, à partir de 1830 (date de publication
d’un premier recueil de poèmes).
En 1833 et 1834, il visite la France et l'Italie. De retour dans son pays, Andersen publie, en 1835, le
premier fascicule des Contes racontés aux enfants. Ce recueil connaît un grand succès, il sera suivi d'un
autre presque chaque année (comme par exemple La petite sirène, La petite fille aux allumettes,
Poucette, Le vilain petit canard, La reine des neiges). Devenu célèbre, Andersen partagera son temps
entre les voyages (il passera neuf années en tout hors de son pays natal) et les séjours auprès d'amis
influents. Il rencontrera Victor Hugo, Lamartine, Dumas fils, Heine, Dickens…
Il écrit ainsi des récits de voyages (Reflet d'un voyage dans la Harz, 1831), des pièces de théâtre (Amour
sur la tour de Saint-Nicolas), des poèmes (Fantaisies et esquisses, 1831), des romans (L'Improvisateur,
1835 ; Les Deux baronnes, 1848).
En bref : la vie d’Andersen ressemble étrangement à la métamorphose du vilain petit canard :
du pauvre enfant, à la limite de l’illettrisme, jaillira un des plus grands écrivains du XIXème siècle….
LES PISTES
D’EXPLOITATIONS PEDAGOGIQUES
EN FRANÇAIS
Lecture et analyse du conte Montrer notamment que, dans une polyphonie
habile, l’écriture joue de l’ambiguïté entre réalité
et imaginaire notamment par l’étude du
vocabulaire et des champs lexicaux :
a) De la réalité : l’obscurité, le froid,
l’abandon
b) Du rêve : la lumière, la chaleur, le
bien-être, la présence
Etude des jeux d’oppositions : rêve / réalité,
désarroi / espoir, froid / chaleur, vie / mort…
Etude du champ lexical de la souffrance
(première partie du conte) puis du champ lexical
du bien-être.
Etude de la structure narrative Progression de l’intensité des images
provoquées par les allumettes.
Parallèle entre la flamme de l’allumette et la
permanence de la vision.
A vos stylos
Conserver le point de départ de l’histoire et
imaginer une autre suite à La petite marchande
d’allumettes.
Reprendre le texte de la couverture et créer
une suite de l’histoire en la situant à notre
époque.
Quelques lectures pour aller plus loin LA PETITE MARCHANDE D’ALLUMETTES A KABOUL, DE
DIANA MOHAMADI, CHEZ ROBERT LAFONT.
Il s'agit d'une version contemporaine du célèbre
conte : Ce récit dépeint la réalité d'un pays et d'un
peuple abîmés par les guerres. Forcée par les
difficultés économiques de sa famille à jouer les
marchandes ambulantes sur Chicken Street, célèbre
artère de Kaboul, Diana a dû apprendre, elle aussi, à ne
compter que sur elle-même. POUR LE COLLEGE, CLASSE DE 6EME
LA PETITE FILLE AUX ALLUMETTES, auteur Andersen,
illustrateur, Georges Lemoine, chez Nathan et Folio Cadet
UNE VERSION "MODERNISEE" DU CONTE
Il se présente comme une transposition de l'ouvrage
d’Andersen, en cette fin de XX° siècle, à Sarajevo dévasté
par la guerre. Il rappelle la douloureuse actualité de ces
enfants qui traversent avec une résignation et une dignité
héroïques les insupportables cortèges de souffrances que
les guerres entraînent avec elles. UN HABILE CONTREPOINT DE NARRATIONS
Sur la page de gauche de l’album, ou parfois sur la page
de droite en regard de l’illustration : le conte d’Andersen.
Sous les illustrations, ou parfois en chevauchement sur les
deux pages : des phrases avec une typographie différente :
manuscrites au crayon gris « écrites » par Georges
Lemoine, l’illustrateur, évoquant des moments forts du
conflit bosniaque dans Sarajevo.
UNE REFLEXION A ENGAGER AVEC LES ELEVES
AUTOUR DU TEXTE ET DE L'IMAGE
Lemoine dit avoir " cherché des sonorités sombres un peu
terribles mais qui correspondaient à la vérité" en utilisant
la technique de l'huile sur papier. Il s’est également inspiré
de photos de Jean-Claude Courtausse et Gérard Ronteau.
Dans son travail, il s’appuie donc généralement sur le
texte de l’auteur mais aussi sur une réalité qu’il cherche à
dépeindre.
GEORGES LEMOINE A ILLUSTRE D’AUTRES CONTES D’ANDERSEN
La Petite Sirène, Gallimard Jeunesse, 2005
Le Petit Soldat de plomb, Grasset Jeunesse, 1983 et 2003
Le Méchant Prince, Gallimard Jeunesse, 1979 et 1995
Le Rossignol de l’empereur de Chine, Gallimard Jeunesse, 1979…
La
pe
tite
ma
rch
an
de
d’a
llu
me
tte
s
4
EN HISTOIRE
Misère et pauvreté au XIXème siècle à
l’époque d’Andersen. Cette thématique peut
être étudiée à travers la biographie de
l'écrivain....
Par extension : étude de cette thématique
dans le monde d’aujourd’hui.
EDUCATION CIVIQUE
Thème : « l’enfant, une personne qui a des
droits et des devoirs »
Etait-il fréquent, au XIXème siècle, que des
enfants travaillent pour gagner de l’argent ?
Citez d’autres œuvres (films, romans, poèmes)
témoignant du travail des enfants.
Absence des ces droits au XIXème siècle
dont le personnage de la petite fille aux
allumettes est emblématique : elle souffre de
faim, froid et de mauvais traitements… Ce
rappel du passé permet de montrer que les
sociétés sont perfectibles sur le plan du droit
et de la lutte contre l’exclusion.
Pensez-vous qu’aujourd’hui, il existe encore
dans le monde des enfants qui travaillent ?
est-ce autorisé par la loi ? Qu’est-ce qui, en
France et dans la plupart des pays
industrialisés, garantit aux enfants de ne pas
travailler avant l’âge de seize ans ?
Etude de la convention internationale des
droits de l’enfant (1989)
Fil conducteur : quels sont les différents
droits de l’enfant ? comment les faire
respecter ?
Suite…
ALLUMETTE
Tomi Ungerer transforme le conte d'Andersen : la petite
marchande d'allumettes devient l'héroïne d'une fable
contemporaine et vit dans un dépotoir, au milieu de
carcasses de voitures éventrées et de poubelles où
grouillent les rats.
Le dessin fortement cerné de noir, une palette de couleurs
sombres déclinant les marrons et les gris, un trait dur et
acéré, évoquent l'art expressionniste et mettent en valeur
une critique acerbe de la société de consommation et de la
bourgeoisie.
A LIRE ENCORE Sans domicile fixe, lesley Beake, école des loisirs
Mère absente, fille tourmentée, Rolande Causse, Gallimard Jeunesse
Les voleurs de lumière de Carvajal Victor, Nouvelles, Flammarion Castor poche
Déclaration des droits de l'enfant
20 novembre 1959
Afin de répondre pleinement aux besoins spécifiques de l'enfance, la
communauté internationale adopte, à l'unanimité, lors de l'Assemblée
générale des Nations Unies du 20 novembre 1959, la Déclaration des
droits de l'enfant. Le texte commence par le rappel des grands thèmes qui
ont présidé à la rédaction de la Charte des Nations Unies et de la Déclaration des droits de l'homme. Référence est faite ensuite à la
Déclaration de Genève. Le texte énonce 10 principes.
CINEMA
LA PETITE FILLE AU ALLUMETTES DE ROGER ALLERS – DISNEY 2005
La Petite Fille aux allumettes (The Little matchgirl) est un court-métrage d'animation de Walt Disney Pictures
réalisé par Roger Allers en 2005. Il devait être la 2e séquence du film musical Fantasia 2006, mais le projet fut
abandonné en 2003. Il est proposé sur l'édition DVD collector de La Petite Sirène de Disney. La production
Disney a conservé la trame de l'histoire. Seul, le lieu de l’action est modifié : il se situe en Russie et non au
Danemark.
Pas une parole, pas un bruitage : le conte est simplement illustré par la musique d'Alexandre Borodine avec le
troisième mouvement (Nocturne) de son Second quatuor à cordes.
LES PROLONGEMENTS POSSIBLES :
EN EDUCATION MUSICALE : on pourra étudier les rapports entre les images et la musique de Borodine. Les
deux arts cohabitent dans une parfaite symbiose.
EN ARTS PLASTIQUES : l’étude de l’utilisation des couleurs par rapport au sens de l’histoire est une piste
intéressante.
INTERPRETATION
Karen, la petite marchande d’allumettes : Catherine
Hessling.
Axel Ott et le lieutenant : Jean Storm.
L’agent de police et le hussard de la mort : Manuel
Raaby.
La poupée mécanique : Amy Wells (Mme Jean
Tedesco).
Une passante : Mme Heuschling.
Ce film muet en noir et blanc une œuvre plus
difficile d’accès que la précédente. On
pourra la conseiller à partir de la classe de
3ème. Il témoigne du goût du metteur en
scène pour le trucage et l’invention
technique. L’utilisation de la pellicule
panchromatique pour des prises de vue en
studio représentait alors une innovation : elle
confère à l’œuvre une délicate coloration
onirique.
A vos stylos
Réaliser une cartographie des pays où les droits de l’enfant sont
particulièrement bafoués.
Rassembler les recherches dans un dossier que les élèves illustrent
par des articles de journaux et des photos.
La
pe
tite
ma
rch
an
de
d’a
llu
me
tte
s
5
Pour en savoir plus
PARTITION
La Petite marchande d’allumettes de Thomas Nguyen est une création
pour l’opéra de Reims. Le compositeur a l’amabilité de mettre à
disposition des enseignants son œuvre afin que les différents chants
(très abordables à partir du cycle 3) puissent être étudiés en classe.
Pour se procurer des extraits de la partition, il suffit de contacter :
Caroline Mora,
Responsable du service jeune public de l’Opéra de Reims
Laure Bergougnan,
Professeure missionnée par le Rectorat de Reims
WEBOGRAPHIE
Vous trouverez le texte du conte d’andersen sur le site :
http://www.chez.com/feeclochette/andersen.htm.
Différentes fiches pédagogiques à consulter sur :
http://crdp.ac-bordeaux.fr/cddp33/...pdf/marchande051206.pdf
http://www3.ac-clermont.fr/cddp15/lr/affouvrs_gene.php?titre=la+petite+fille+aux+allumettes
http://crdp.ac-bordeaux.fr/attirelirev2/pdf/doc-pdf-47.pdf