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Le diagnostic est effectué le plus précocement pos-sible pour répondre à l’inquiétude des malades et des familles, mettre en place un traitement adapté, proposer les bonnes stratégies de soin, et accompa-gner le maintien à domicile et l’entrée en institution. Médecins généralistes et spécialistes, mais aussi le grand public, sont sensibilisés au repérage des pre-miers troubles.La prise en charge à la consultation mémoire du cen-tre Ruffi, l’une des dix consultations labellisées par l’ARH en Languedoc-Roussillon, ou à l’hôpital de jour répond à une démarche diagnostique bien codifiée : examen médical, bilan neuropsycho-logique, imagerie cérébrale. Le traitement propose un projet de soins avec ou sans prise de médicaments.Sur demande du médecin traitant, l’accès direct en hôpital de jour et en consultation urgente est possible. Et depuis 3 ans, une consultation géronto-logique fonctionne également à l’hôpital d’Uzès en partenariat étroit avec la consultation mémoire du centre Ruffi.Le suivi des malades repose sur 2 à 3 consultations chaque année ; ce sont près de 1000 malades qui sont revus régulièrement. La mise en place pro-gressive des aides professionnelles pour faciliter le maintien à domicile s’effectue en partenariat avec les professionnels libéraux, les CLIC2 et l’association France Alzheimer Gard. Les aidants familiaux ne sont pas oubliés : information, édu-cation, consultation infirmière pour répondre aux problèmes pratiques, soutien psychologique.Les incidents médicaux qui émaillent l’évolution de la maladie (troubles du comportement, chutes), nécessitent parfois une hospitalisation au CHU en médecine gériatrique ou soins de suite. La coordi-
nation entre les praticiens gériatres permet une prise en charge optimale.Le centre de gérontologie de Serre Cavalier propose 2 structures de « répit » : accueil de jour et héberge-ment temporaire. Le recours à ces structures est faci-lité par l’appui financier de l’Allocation Personnalisée à l’Autonomie. L’intervention des équipes pluridisci-plinaires des structures de répit permet également d’améliorer l’autonomie du malade, de prévenir des hospitalisations indues et de préparer une entrée en institution dans de bonnes conditions.L’entrée en hébergement est souvent inéluctable.
Selon le désir de la famille, ce sera le Centre Ruffi ou celui de Serre Cavalier qui offre également
une unité spécialisée pour les patients déambulants avec troubles du compor-tement. Le travail avec les familles y est fondamental, la réflexion éthique en équipe aussi notamment pour les situations de fin de vie.Par le professionnalisme des acteurs,
la diversité des réponses et le travail de coordination, cette filière peut être
considérée comme exemplaire.
1 ARH : Agence Régionale d’Hospitalisation du Languedoc Roussillon2 CLIC Centre Local d’Information et de Coordination
N° 7 SEPTEMBRE 2007
[email protected] trimestrielle distribuée gratuitement au personnel
Connexion Cadres, Réactif Nîmes, les nouveaux bulletins de la rentrée
La lettre d’échanges d’informations entre les cadres de l’établissement. C’est une « newsletter », publiée chaque mois par mèl et rédigée par les cadres : Question réponse, ZOOM sur…, mobilité, liens Internet utiles,… Plus l’interactivité sera grande, plus les échanges seront riches. A vos claviers !
Le bulletin de la Délégation à la Recherche Clinique et à l’Innovation. Il associe tous les partenaires du CHU en formation et en recherche : Facultés de Médecine, Pharmacie, Odontologie, Université autonome de Nîmes, les entreprises de biotechnologie de la ville. Le bulletin se veut la vitrine de la recherche et des formations nîmoises. Publication trimestrielle, à l’attention du corps médical de l’établissement, sa diffusion sera élargie aux autres éta-blissements publics et privés du Gard, aux autres CHU, aux organismes de recherche…
Si notre revue « Informations », l’une des plus anciennes parmi les jour-naux internes des hôpitaux, est restée longtemps esseulée, la voici en bonne compagnie. Et sachez que les dévelop-pements des sites Internet et Intranet ont repris ! A suivre…
Plan de Communication du CHU 2 nouveaux nés
Annie Ramperez, Responsable Communication
Malades atteints d’Alzheimer une filière de soins exemplaire au CHU
Docteur Denise STRUBEL, Service de gérontologie et Prévention du Vieillissement
Diagnostic précoce, consultation Mémoire du centre Ruffi labellisée par l’ARH1, consultation avancée à l’hôpital d’Uzès, hôpital de jour, partenariats public - privé - associatif pour le maintien à domicile retardent l’entrée en institution.
Maladie d’AlzheimerGrande Cause Nationale 2007
en FranceNombre de malades : 1 million dont 800 000 de plus de 75 ans
Dans le Gard :> 8 000 cas
Nouveaux cas / an :> 200 000
Pédiatrie l’école des enfantsExtrait d’une interview réalisée par J Pierre Ibanes, Département Audiovisuel et Télémédecine
Dès le mois d’octobre, un atelier correspondance est programmé. Les enfants de l’École de la Gazelle choisissent un correspondant parmi nos résidents.En Décembre, ils échangeront autour de cartes de vœux pour la nouvelle année.En Juin, pour se souhaiter de bonnes vacances,
création de cadres photos des résidents avec leur correspondant offerts par les enfants.Des rencontres autour de lecture, d’expositions sont prévues tout au long de l’année.Ces rencontres intergénérationnelles permettent de collecter des paroles auprès des résidents telles que : « Les heures sont bien longues lorsqu’on est
vieux. Mais lorsque les enfants sont présents, le temps est trop court. Faut-il déjà que les enfants partent ? »
Serre-Cavalier rentrée pour les grands et les petitsLiliane Arbona, Direction de l’établissement
Septembre est là. Les enfants reprennent le chemin de l’école, les résidents du Centre de Gérontologie les attendent avec impatience. Mais où sont les enfants ?
Toutes les matières qui sont dispensées dans les écoles sont-elles enseignées ?Anne Bouzy : Je suis institutrice de formation dans le premier degré, donc « spécialisée » pour les enfants de l’école mater-nelle jusqu’au CM2. Je ne suis pas professeur du second degré, mais pour tout ce qui concerne le collège et le lycée, j’ai à disposition des logiciels informatiques qui permettent de mettre les enfants sur des révisions par exemple.Il existe aussi beaucoup de sites web éducatifs (de l’éducation nationale entre autre) qui nous permettent de récupérer des cours. Je fais aussi beaucoup de soutien, d’aide pédagogique.La prise en charge scolaire des enfants à l’hospitalisation de courte durée ne pose-t-elle pas problème eu égard à ceux qui effectuent un long séjour ?
Il est vrai qu’aujourd’hui les durées d’hospitalisation des enfants sont de plus en plus courtes.Pour ces enfants-là,… il n’y a pas de contact avec leur établis-sement d’origine.… Je me sers des ouvrages scolaires qu’ils ont éventuellement apporté pour les faire travailler.Lorsqu’il s’agit d’hospitalisation plus longue, je me mets en rapport le plus vite possible avec la classe d’origine de l’élève et les enseignants. Je définis alors les objectifs de progressions et toutes les notions qu’il doit connaître.Combien d’élèves pouvez-vous accueillir annuellement dans cette classe ?J’accueille environ 200 enfants sur l’année dans la salle de classe de pédiatrie soit 3 ou 4 chaque jour. J’assume un ser-vice à mi-temps tous les après-midi parce que le matin, les
Depuis 1982, une école fonctionne au sein du service de Pédiatrie avec une salle de classe bien équipée et une vraie maîtresse, Anne Bouzy, affectée depuis trois ans.
Tels sont les termes de l’additif au rapport de certification du CHU que vient de publier l’HAS.En effet, le rapport de certification du CHU, en juin 2006, comportait deux réserves pour lesquel-les des actions correctives probantes devaient être mises en œuvre sous 1 an :- Supprimer les transcriptions des prescriptions médicales.- Garantir l’application des bonnes pratiques en matière d’isolement et le respect des droits des patients en matière d’hébergement en psychiatrieParticipation de tous, démarche qualité ont permis d’aller au-delà des attentes formulées par la Haute Autorité en Santé sur l’organisation du CHU.La prescription médicale informatisée, saisie au lit du malade sur des microordinateurs portables, donne accès à l’enregistrement de l’administration
des médicaments par les équipes infirmières. A la fin de l’année 2007, 520 lits seront informatisés et l’ensemble des lits à fin 2008. Pour les services en attente d’informatisation, de nouveaux supports de prescription ont été élaborés et validés après des phases de tests impliquant médecins et infir-miers. A ce jour, les transcriptions des prescrip-tions médicales sont totalement supprimées.La construction du nouveau bâtiment de psychia-trie est devenue un objectif prioritaire de l’éta-blissement. Dès l’été 2006, l’autorité de tutelle octroyait au CHU le financement des études. Le cabinet d’études a débuté en février 2007 le recueil des besoins des services. En parallèle, des travaux de réhabilitation sont effectués dans les locaux actuels, sanitaires, peinture, climatisa-tion, mobilier. Tout ceci témoigne du réel souci de l’établissement d’améliorer le respect des droits
des patients en matière de conditions d’héberge-ment. Enfin, un important travail de formalisation des pratiques, conduit par les équipes médicales et paramédicales, a abouti à la rédaction de la procédure « Prise en charge de l’agitation d’un patient ».Preuve est donnée que la démarche continue d’amé-lioration de la qualité est aujourd’hui une compo-sante de la culture de note établissement.
Certification du CHU les 2 réserves sont levées sans restriction, 10/10Annie RAMPEREZ, Responsable communication
« Au vu du rapport de suivi fourni par l’établissement, la Haute Autorité de Santé décide de lever la réserve et l’invite à poursuivre la mise en œuvre du plan d’amélioration de la qualité. »
Les animateurs des groupes de travailSecteurs Médecins Cadre de santéMédecine Pr de WAZIERES M Claude SABATIERChirurgie Dr CUVILLLON Elisabeth PATATUTGérontologie Dr STRUBEL Nathalie BESSIEREPsychiatrie Dr ABBAR Josiane RANIERI
enfants sont sollicités pour les soins et examens divers, les visites des équipes médicales… Pour ouvrir l’école aux enfants hospita-lisés dans d’autres services, Anne Bouzy voudrait développer un programme de travail « au lit » sur ordinateur portable. Cela permettrait de rompre l’isolement de l’enfant et de lui éviter de passer ses après-midi devant la télévision.
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Rentrée à l’IFSI 127 étudiants990 candidats ont présenté le 28 mars 2007 le concours d’entrée en Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) du CHU de Nîmes.Après les deux épreuves d’admissibilité, culture générale sur deux heures et tests psychotechniques sur une heure trente, 397 candidats ont été déclarés admissibles.
En mai, l’IFSI a organisé 66 jurys pour les épreuves de sélections orales. Ces jurys se composent de 2 cadres de santé filière infirmière dont l’un est un formateur et d’un psychologue. Cet entretien est destiné à apprécier l’aptitude du candidat à suivre la formation, à connaître ses motivations et son projet professionnel.
127 étudiants ont fait la rentrée le 17 septembre 2007 pour une durée de formation de 38 mois. Cinq d’entre eux sont des personnels hospitaliers qui bénéficient de la promotion professionnelle.La rentrée 2007 est aussi celle d’une nouvelle gou-vernance pour l’IFSI avec la création d’un conseil pédagogique qui remplacera le conseil technique existant jusqu’alors.
Figure : cyphose dorsale physiologique à gauche, hypercyphoseà droite
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« Il est trop lourd mon cartable » refrain d’enfant scolarisé
Dr Arnaud DUPEYRON, Service de Rééducation Réadaptation Fonctionnelle
Plusieurs points méritent d’être éclaircisCe cartable est il effectivement trop lourd ?Des scientifiques italiens se sont penchés sur la question depuis une dizaine d’années et pour eux, cela ne fait aucun doute : OUI. Ils rapportent que la charge du cartable est proportionnellement plus importante que celle tolérée légalement chez le travailleur adulte. Ils précisent que, dans la plupart des cas, la durée journalière de port n’excède pas 7 minutes en moyenne ce qui paraît peu mais cela veut aussi dire que certains le portent très (trop) longtemps.Est-ce que cela a une conséquence sur la santé de l’enfant notamment pour son dos ?Pas de véritable réponse faute d’étude rigoureuse. Mais il semble que cela puisse être le cas, en partie. Des chercheurs danois ont mis en évidence un lien probable entre le mal de dos des 12 - 15 ans et le port régulier de charges lourdes, les sports violents, le tabac et le fait d’appartenir au sexe féminin…Cela favorise-t-il les troubles posturaux (hypercyphose, scoliose…) ?La scoliose n’est pas en rapport. En revanche un travail récent montre que le port de charge sur le dos ou sur l’épaule a tendance à effacer la lordose lombaire chez les adolescents, ce qui en soit n’est pas dangereux, mais ressemble étrangement aux phénomènes adaptatifs que l’on peut observer dans les populations adultes lombalgiques. Les charges lourdes modifient la posture de l’adolescent en modi-fiant la mobilité du bassin et en diminuant les possibilités de mouvements de la colonne vertébrale, en augmentant la position penché en avant (et donc la tête en arrière). Ceci est à fortiori plus gênant lorsque les enfants ont déjà des troubles posturaux comme une scoliose ou un glissement vertébral (spondylolisthesis).Peut-on faire quelque chose ? Et bien oui !Les campagnes d’information et d’éducation dans les écoles sont efficaces et permettent d’améliorer la façon de se tenir ou de porter des objets lourds.Cela peut il éviter aux enfants d’avoir mal au dos à l’âge adulte ?Cela n’est pas garanti, mais le principe de précaution nous incite à les protéger par des moyens simples comme l’utilisation de cartables à roulettes ou ne porter que ce qui est nécessaire, un véritable combat de tous les jours.
Quelques définitionsScoliose : déformation évolutive de la colonne vertébrale dans les trois plans de l’espace dont l’origine est inconnue.Spondylolisthesis : glissement de vertèbres les plus souvent au niveau lombaire, aggravé par l’obésité et pouvant survenir chez l’enfant, n’évoluant généralement que très peu avec l’âge.Cyphose : courbure naturelle à convexité postérieure (dorsal)Lordose : courbure naturelle à convexité antérieure (cervical et lombaire)
Clinique desanticoagulants
les patients à l’école
Dr Géraldine LAVIGNE-LISSALDE, Laboratoire d’Hématologie
La clinique des anticoagulants poursuit deux objectifs : adaptation des posologies et éducation des patients sous traitement par anticoagulant.
Le traitement anti-vitamine K (AVK) est grand pourvoyeur d’effets indésirables. Aussi, depuis 1998, des équipes hospitalières ont développé une nouvelle forme de prise en charge des patients basée sur leur éducation et sur l’adaptation optimale des posologies.Le logiciel d’aide à la prescription des AVK, fonctionnant avec un système expert, génère des recommandations et alertes spécifiques sur les modifications de posologies, la date du prochain test INR ou la conduite à tenir en cas de surdosage par exemple. Ces préconisa-tions sont personnalisées puisqu’elles prennent en compte les différents paramètres du patient tels que âge, poids, type d’AVK utilisé, période du traitement, zone thérapeutique souhaitée.Le logiciel a été introduit au laboratoire en mars 2006 et mis à la disposition de tous les praticiens du CHU. Puis les premiers patients ont été pris en éducation au sein du laboratoire.En cette rentrée 2007, cette activité de clinique des anticoagulants s’étendra au service du Pr. Messner avec la mise en place d’un programme d’éducation des patients sous
AVK commun au service de cardiologie et de la « Clinique des Anticoagulants ». L’objectif futur de ce projet est la participation du CHU de Nîmes au réseau natio-
nal naissant, aux côtés des CHU de Toulouse-Rangueil et de l’AP-HP Lariboisière, avec gestion de données communes par voie d’Internet.
Contacts :Laboratoire d’Hématologie 04 66 68 32 11
Dr Géraldine LAVIGNE-LISSALDE,[email protected],
Pr Jean-Christophe GRIS, jcgris@chu-nimesMme Hélène BRES, infirmière, au 04 66 68 31 61
CardiologiePr Patrick MESSNER,
[email protected],Mme Véronique TALARON,
Semaine du goût 2007 sur le thème
« Fête Plaisir »Pour cette 18e édition, les diété-
ticiennes et les cuisiniers du CHU se mobilisent pour initier petits et
grands à l’art du goût. L’objectif de cette semaine est de promouvoir le goût,
le patrimoine culinaire et les métiers de bouche. Les hos-pitalisés, les résidents et les personnels pourront aiguiser
leurs papilles grâce aux repas à thème proposés chaque jour au déjeuner. Les saveurs - acide, amer, salé, sucré - seront mises en avant dans des recettes inédites telles que tajine d’agneau aux fruits secs, poulet sauce diable, porc au caramel, pintade aux aman-des… Une ronde des pains accompagnera ces plats pour découvrir ou redécouvrir différentes variétés : pain aux olives, aux noix, aux graines de pavot… Invitez vous
1re journée du CLAN formation réussieLe 12 juin 2007, le CLAN organisait une journée de conférences et ateliers pratiques pour les professionnels du CHU « Les enjeux de la prévention de la dénutrition en milieu hospitalier ». Au programme : visite de l’unité centrale de production en activité, ateliers sur le bon usage d’une sonde de nutrition entérale ou la réalisation d’un soin de bouche. Un auditoire nombreux a su apprécier la grande qualité des sept conférences médicales assurées par nos médecins des différentes disciplines.Cette journée a aussi permis de sensibiliser le grand public à l’ali-mentation équilibrée. Les diététiciennes étaient à leur disposition pour prodiguer conseils et recommandations.Les films et documentaires réalisés à cette occasion, merci à notre équipe technique et aux acteurs soignants, sont à la disposition des pôles et contribuent à valoriser le succès de cette journée à travers l’amélioration constante des pratiques professionnelles.
Gestion des risques professionnelsle CHU est nominéPour les 9e Journées Internationales de la Qualité Hospitalière, à Paris les 10 et 11 décembre 2007, le CHU est retenu pour présenter un poster sur sa stratégie de prévention des risques. Il concourt ainsi au Prix Qualité-Gestion des risques 2007 parrainé par la revue « Risques et Qualité ». La démarche déployée sur les 160 servi-ces de l’établissement a permis d’instaurer une dynamique de prévention avec tous les acteurs hospitaliers et d’amorcer une culture du risque. Tous nos vœux à l’équipe en course !
Directeur de publication : Jean-Olivier ARNAUDRédactrices en chef : Laure SANTORI, Annie RAMPEREZ
Conception-réalisation : Cellule communication 04 66 68 30 91Photos : département audiovisuel
Impression : Imprimerie ROUVERANDDépôt légal : à parution
Résultats de l’enquête aux lecteurs de Flash Informations
Annie Ramperez, Responsable Communication
Entre les deux mon cœur balance ! Merci aux 300 téméraires qui ont rempli le questionnaire !Merci à ceux qui ont signalé qu’ils ne recevaient pas le bulletin.Merci à ceux qui souhaitent participer à poursuivre l’aventure de la communication interne en proposant leur participation et leurs suggestions :• le rythme de parution est souhaité mensuel à 42 % et trimestriel à 39 %. Ces derniers
suggèrent le plus souvent une revue.• la diffusion n’est pas satisfaisante pour 13 % des
enquêtés qui suggèrent de diffuser par Intranet et seulement 2 exemplaires par service pour éviter le gaspillage.
• les rubriques manquantes le plus souvent citées portent sur la vie du personnel, la mobilité, les mouvements du personnel et la présentation des activités.
Ces propositions sont enrichissantes ; la plupart ont été retenues dans le nouveau bulletin « Connexion Cadres ».
URCAM et CHU partenairesAvec le secteur libéral, c’est l’ensemble des professionnels de santé des établissements de soins qui sont appelés à participer à des actions pour une prescription « raisonnable ».Le CHU a accepté de mettre à disposition de l’Union Régionale
des Caisses d’Assurance Maladie du Languedoc Roussillon son panel de prescrip-teurs pour tester les 2 « Antisèches », supports de communication relatifs aux prescriptions hospitalières qui ont des répercutions sur le secteur libéral : transport, médicament générique et arrêt de travail.Vous avez reçu les dépliant et carnet de note, supports informatifs. Qu’en pensez-vous ? Remplissez la carte d’évaluation et retournez la sans enveloppe avant le 31 octobre 2007 Merci
Bonnes vacances Bernard AIGONUne « figura » quitte le paysage managérial du CHU. Bienheureux le « mundillo » qui le récu-père ! Ses qualités de cœur font l’unanimité. Il sut aussi se montrer habile négociateur. Tous ses anciens collaborateurs et collègues se joignent à la rédaction de Flash Informations pour lui souhaiter une agréable retraite.
• Conférences tout public du 4e trimestre 2007, Carré d’Art, 16 h 30 ou 17 h
Mardi 16 octobre 2007 « Sport et personnes âgées » Dr Denise STRUBELMardi 13 novembre 2007 « Vivre avec un trouble bipolaire » Dr M. ABBARMardi 11 décembre 2007« Sexualité, une nouvelle approche » Pr Pierre COSTA
• Conférence pour les profession-nels de santé, Carré d’Art, 14 hJeudi 18 octobre 2007 « Les débuts de l’allaitement » Mme Danièle BRUGUIERE, Pôle Promotion Santé• 12e journée d’Enseignement Post Universitaire desSages-femmes, Novotel ATRIAVendredi 16 novembre 2007 « L’obésité, un vrai problème de santé publique - Incidence sur la femme, la mère, l’enfant »
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