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sara-caradec
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Diplômé en architecture Ensa Grenoble
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c a r t o g r a p h i e s e n s i b l e1ere et 4eme de couverture
Deux parcours touristiques projetaient pour le projet de SCOT en Drôme.
portefolio
INDEX par échellede projet
Sara Caradec
02
ÉCHELLE TERRITOIRE
METROPOLE
BIOVALLÉE
ÉCHELLE VILLE
REPENSER L’HABITATSAILLANS
ÉCHELLE QUARTIER
HALLE DE MARCHEQUARTIER BERRIAT
LOGEMENTS
EXPANSION TRAME VERTE VERS : _ LA FLORE DES RELIEFS ALENTOURS _ LES PARCS URBAINS PREEXISTANTS _ LES PROJETS EN COURS DE REALISATION
PARCS URBAINS EXISTANTS
STRATEGIES
ECHELLE MACRO-LOCALE
GRENOBLE CARRE BERRIAT
ENSAG 2012 L3S5 LOIRET STRATEGIES SITOLOGIQUES 02.11.2012 1.10000MARIA ALECU - LOISE BEHAGHEL - LEA BLANC - REMY BORDET - GABRIEL BREMOND -
MARION BRIERE - JULIE BRUN - SARA CARADEC - HUGO CHEVALLIER - JEAN BAPTISTE CLOT
- LINA DAHEL - CAMILLE DEPUYDT - RHITA EL HAJRAOU - THOMAS GACHET - THOMAS
GHELFI - RAPHAELLE GONZALEZ - GUILLAUME GROS - LAURA GUERIN - CAMILLE LACAILLE
- FLORENT MEILLAND - ANDREA PAFUNDI - SOLINE MOGIER - JONATHAN RIBOUD - LOU
RODET - LAURA SANTATO - MARIANNE VALET - MAATI ZOUITINA
CONTEXTE SITOLOGIQUE
BIOLOGIE
FLUX
SITOLOGIQUES
CONTEXTE ANTHROPOLOGIQUE
AXE HISTORIQUE A REVALORISER
HISTOIRE
PROJETS ATTRACTIFS NON REALISES
PROJETS ATTRACTIFS EN COUR DEREALISATION OU REALISES
NOUVELLE LIGNE DE TRAM E
RESSOURCES EN BETON
RESSOURCES EN BOIS
PORTES D’ENTREES DU QUARTIER CREANT DES LIENS AVEC LES ZONES DYNAMIQUES INTERNES ET EXTERNES AU QUARTIER.
DRAC
ISERE
1 2 3
TOPOGRAPHIE / HYDROLOGIE
RELIEF
PRINCIPAUX COURS D’EAU: LE DRAC ET L’ISERE
1
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3
MASSIF DE LA CHARTREUSE (Alt : 2082m)
MASSIF DU VERCORS (Alt : 2341m)
MASSIF DE BELLEDONE (Alt : 2977m)LUI TOURNER DOS / CREER DES INTERMEDIAIRES VISUELS VILLES-MONTAGNES
POINT DE VUE VERS LA BASTILLE (POINT DE REPERE DANS LA VILLE)
POINT DE VUE VERS BELLEDONE / CORRELER VILLE ET MONTAGNE
LIMITES DU QUARTIER BERRIAT
1
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TRACER DES ANCIENS CANAUX
CrŽŽ dans une version "Etudiant" d'Allplan
0 100 50020050
04 014 020
Index 001
ÉCHELLE ÉDIfICE
ESPACE LUDIQUEHÔTEL
ÉCHELLE 1:1
GAIAWORSHOP
LA CHARETTE
RECHERCHE PLASTIQUE
fORMES
VOYAGE &
PENSÉES
01INDEX
026 030
034 036
Index 002
ÉTUDE TERRITORIALEBIOVALLÉE: PROJETER LES ESPACES D’UN ECO-TERRITOIRE RURAL DE RÉfÉRENCE AU NIVEAU EUROPÉEN.DRÔMEfRANCE
MASTER 2013
échelle territoriale 04
09
ÉTUDE MÉTROPOLITAINECOMMENT TISSER LA MÉTROPOLE GRENOBLOISE A PARTIR DE LA POESIE QUOTIDIENNEGRENOBLEfRANCE
06
Lors de nos premières visites sur les zones de projet –massif Chartreuse et Vercors - nous avons été confrontés au vide, nous n’avons croisé personne, et c’est en lisant les traces laissées par les habitants, que nous nous sommes imaginés leur quotidien. Et c’est ainsi que le thème de la présentation est né : Comment tisser la métropole par la poésie quotidienne ?
ANALYSE METROPOLITAINE
Comment t i sser la mét ropo le à par t i r de la poés ie quo t id ienne?
_______Allez à la rencontre des habitants
Notre travail a donc débuté par un arpentage sensible et photographique. Ce travail a été compilé sous la forme d’un cahier collaboratif, dans lequel sont mit en valeur les traces de vie, les paroles des habitants sur leur territoire et les cartes mentales produites lors d’atelier. Le quotidien est ce qui par définition n’a rien d’exceptionnel. Pourtant des artistes ont pris ce thème
pour le sublimer : par le cadrage photographique, un détournement des objets du quotidien ou par le poème. Chez les auteurs le quotidien est décrit comme source de créativité et d’innovation, qu’il doit être porteur de changement, et qu’il n’est pas forcément médiocrité. Pour nous, la poésie du quotidien c’est tous ces lieux que l’on ne remarque pas et qui pourtant
Master 2 - Semestre 1
Atelier dirigé par Aysegül Cankat
Avec Benjamin et Valmir
Echelle territoriale 005
constituent notre attachement à notre lieu de vie. Nous avons cherché la multiplicité des visions pour appréhender une métropole à la fois de manière plus globale, mais aussi plus sensible. Les cartes produites reflètent tous les lieux forts du quotidien de la vingtaine d’habitants participant et les sentiments qui y sont attachés.
C’est un volet supplémentaire qui s’ajoute à la lecture démultipliée du territoire. Le territoire ne se décompose plus seulement par des calques conventionnels. Par cette démarche, nous tachons de montrer d’un territoire sans habitant ne peut être pensé. Le but serait de favoriser la création d’une communauté soudée autour de l’envie d’améliorer eux-mêmes leur cadre de
vie en coproduisant leur territoire.
Deux nouveaux quartiers ont finalement été projeté en mettant en avant les interactions des futurs habitant au cœur de la conception.
Nouvelle vision du territoire
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Fontaine - Territoire complèxe
André Corboz «Territoire comme palimpseste et autres essais» maquette conceptuelle
LA POESIEDU
QUOTIDIEN
LECTURE DÉMULTIPLIÉE
FONTAINE - TERRITOIRE COMPLEXE
Echelle territoriale 006
Au final, la démarche employé au premier semestre, nous a permis d’élaborer une vision de la coproduction de la métropole, en prenant en compte l’expertise, et l’histoire des habitants. Nous avons présenté une Métro qui deviendrait une métropole multi-résiliente et qui ne se composerait non pas par réseau, mais par une multitude d’actions, une multitude de communauté résiliente. Où nous proposions aussi l’élaboration d’une carte collaborative à l’échelle de la métropole sur une plateforme collaborative en ligne qui pourrait recenser toutes les initiatives locales soutenue par les habitants métropolitains. Dans le but de donner une vision claire des possibilités et faciliter l’initiative et le partage. Je cherche, je trouve, je participe.
Car te co l labora t i ve e t ouver te des in i t ia t i ves c i toyennes sur le te r r i to i re de la mét ropo le g renob lo ise
_______Stage LAHGGLO
20h/semaine 3mois
Au premier semestre l’organisation des ateliers de cartographie mentale avec les unions de quartier de Grenoble, m’a permis de faire la connaissance de LAHGGLO (Les Associations d’Habitant de Grand Grenoble Lien et Ouverture) .Entre temps, LAHGGLO a été sollicité par la ville pour organiser la journée grand public de la Biennale de l’Habitat durable 2015, le samedi 11 Avril.
Ayant connaissance du projet que je menais en groupe à l’école, et le thème de cette biennale: comportement et usage dans la ville durable, ils m’ont proposé de faire partie du comité de pilotage.Et finalement, la carte collaborative des initiatives que nous avions projeté au premier semestre est née, la Biennale lui donnant une visibilité auprès des élus et lui assurant une pérennité.
Echelle territoriale 007
Ce recensement a impulsé toute la dynamique de l’organisation de cette journée, puisque les ateliers, tables rondes et visites étaient une manière de lui donner corps, en donnant à voir aux visiteurs les initiatives en cours sur le territoire.
Cette carte est sur la plateforme Umap, elle utilise les fonds de carte openstreetmap. Chacun peut la faire vivre, librement.
Echelle territoriale 008
97 Communes de Drôme regroupées en trois Communautés de Communes décident en 2002 de se rassembler autour d’une idée, développer durablement leur territoire rural (1er territoire agricole Bio de france). Ce projet mobilise de manière coordonnée les programmes de développement durable des pouvoirs publics. Il a été labellisé pôle d’excellence rurale en 2006 par l’Etat. Le projet est soutenu entre 2009 et 2014 par le Conseil régional Rhône-Alpes à hauteur de
territoire d’eau invisible au premier regard, un réseau aquatique très présent. L’armature bleue serait un moyen d’organiser le territoire avec ses éléments naturels ou historiques liés à l’eau, de lui conférer une reconnaissance et une attractivité à échelle internationale, en s’appuyant sur l’identité de la Vallée de la Drôme fédérée et qualifiée jusque dans les ambiances sensibles des bourgs. La rivière sauvage de la Drôme se jette dans le fleuve Rhône, entre Valence et Montélimar, et est d’une exceptionnelle qualité.
10 millions d’euros comme l’un des 7 Grands Projet Rhône-Alpes. Notre travail consistait à trouver par une approche thématique définie (l’eau dans notre cas) une nouvelle manière de concevoir ce territoire rural, en lui donnant une visibilité, qui actuellement leur fait cruellement défaut. Comment relier ce territoire d’exception à un réseau plus grand, qui lui permettrait de lui assurer une identité forte. Pendant trois mois, nous avons fait remonter à la surface, un
Sub l imer le carac tè re sauvage, cultivé, habité de la rivière Drôme au travers d’une armature bleue
_______Donner une identité au projet
Biovallée
«Un réseau de visibilité existant non exploité»
Echelle territoriale 009
Un territoire irrgué, riche d’un réseau Bleu, potentiel lien entre les villes
Vallée du Roubion
Ger
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Vallée de la Roanne
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Séminaire Sept.-Nov. 2013 Les outils du géographe
Master Aedification Ville Territoire
Sara Caradec - Raphael Désilets Laura Schermesser
Son régime torrentiel permet de nombreuse activités liées à l’eau, support à un éco-tourisme florissant. Nous avons aussi mis en relation tous les réseaux de visibilités par le biais de l’eau. __Échelle du village, les ouvrages
d’eau (canaux, lavoirs, fontaines) transmette une culture de l’eau très forte.__Échelle du territoire, les nombreux ruisseaux baignables, sont support de nombreuses activités.__Echelle nationale, elle fait partie des 12rivières proposant un parcours de canoë en france. L’expérience dynamique du paysage que propose son parcours canöe révèle la pluralité des paysages et leur caractère séquencé mêlant sauvage, cultivé et habité.__Échelle européenne, la rivière
Drôme fait partie des dernières rivières libre de france, et s’inscrit donc dans le réseau de rivière sauvage.__Echelle internationale, la rivière a remporté le Riverpriz en 2005, pour sa gestion et qualité. Un réseau déjà présent sur le territoire mais peu exploité.
Echelle territoriale 010
0,2KM
Crest
L’eau n’a pas de frontière elle coule sans discontinuité de sa source jusqu’au Rhône, et lie physiquement les communes composant le territoire de Biovallée. Autrefois servant au tracé des frontières aujourd’hui elle rallie les communes à un même dessein, celui d’un développement durable. L’armature bleue va prendre conscience de cette trame de biodiversité, et y ajouter tous les facteurs composant le territoire. Elle correspond mieux à la base de ce qu’on pourrait appeler un schéma
en gardant le plus de km de rive public, et en remettant la ressource au centre des préoccupations des habitants. La création d’événements ou de fêtes autour de la rivière serait une façon d’intégrer la population au processus de renforcement de l’armature bleu.
finalement, une lecture du territoire à partir de sa colonne vertébrale, la rivière Drôme. Dans le but de venir rattacher via le réseau de cours d’eau des vallées, les villages dans la profondeur.
directeur du territoire. Le territoire qui compose la Biovallée se veut et s’affirme comme rural, un paysage rural c’est l’alliance de paysage sauvage, social et de paysage cultivé. Les rapports à l’eau sont différents dans chaque ville intensifier leur potentiel intrinsèque suit la logique d’un territoire multi-polaire. Il s’agit donc de rouvrir les villes sur l’eau de manière physique, sensible et sociale: en renforçant l’ambiance générée par l’eau, en démocratisant l’accès aux berges
Echelle territoriale 011
O U V E R T
P A Y S A G E
PUBLICR A S S E M B L E U R
D É C O U V R I R
CULTURE
parcours
ENTRÉE DE VILLEp i é t o n s
PARVIS
GARE
CYCLISTES
p r o f i t e r
o r i e n t a t i o n
t e r r o i r sf a b r i q u e s
1-SCOT axé sur le tourisme et le transport
2- parcourir des micro-vallées dynamisées
B IOVALLEE 2050u n m a i l l a g e d y n a m i q u e
proposition d’une relecture du territoire parle transport et l’installation architecturale
École Nationale d’Architecture de Grenoble - 2014Sara Caradec - Raphael Désilets - Laura Schermesser
ÉCO-MOBILITÉl e c t u r e
ÉTUDE MODES D’HABITER RURAUXCOMMENT CONSIDÉRER LA DENSITÉ EN MILIEU RURAL.
SAILLANSDRÔMEfRANCE
MASTER 1 2013
échelle de la ville 014
012
Le village retenu pour cet exercice est Saillans, situé au cœur de la Biovallée, au bord de la Rivière Drôme. Il connait un fort potentiel attractif dû à son emplacement: à 20min des deux grandes villes du territoire qui sont Die et Crest. D’autre part il se métamorphose en été et devient un site de baignade prisé dans la région, c’est le petit Saint-Tropez de la Biovallée. Saillans est une ancienne ville fortifiée, dont le centre bourg ne s’est pas développé en dehors de ces limites. On constate cependant
des poches de lotissement contemporaines au tissu lâche et parfois encore intercalé par des parcelles agricoles, autour du bourg plus dense.
Nous nous sommes implantés sur un site non construit, face à l’école primaire, non loin de la Mairie, et de la place du marché.
L’agr icu l tu re au ry thme du quot id ien ,en t re v i l l e e t lo t i s , v i v re la campagne
_______Contre le mitage des terres
agricole, la densité.
p lace du v i l l age
éco le / ma i r ie
médec in
pharmac ie
b ib l io thèque
sa i l l ans
programme
si te de p ro je t
l’espace potagé 1000 m2
la salle communale 230 m2
le covoiturage l’irrigation le verger 750 m2
la serre / l’atelier 750 m2
l’espace jeux 180 m2 les emplois reliés
l’association
Actuellement c’est un pré pour chevaux, c’est un site parfait pour amener une transition bâtie entre les deux types de tissu présents, lotissement, et bourg historique. De plus il est sur l’axe structurant du village. Nous avons la chance d’avoir un site avec beaucoup de cachet, une ancienne enceinte avec
Echelle de la ville 015
p lan d ’ imp lan ta t ion
une jolie porte en pot à feu marque le milieu du terrain, qui descend en pente douce de la route, vers le Ruisset. Le relief environnant marque les perspectives visuelles.Trois facteurs créent la ligne directrice du projet:
__ENVIRONEMENTAL :on souhaite réconcilier les cultures et l’habitat,
parce que vivre à la campagne, c’est vivre au milieu de grands paysages et de champs. Pour cela, nous avons mis volontairement l’accent sur des espaces mutualisés à l’échelle du village et pas seulement du nouveau quartier. Des espaces extérieurs faisant référence aux cultures, à la campagne, et d’autres pour favoriser les contacts entre les gens.
__SOCIAL: la préservation de l’ambiance que l’on peut trouver dans les villages, comme connaitre ses voisins, s’entraider. Le projet vient naturellement renforcer ces interactions entre les habitants par la création d’une aire de jeux pour enfants en lien direct avec l’école primaire, et les habitats positionnés dans un grand espace vert ouvert.
Echelle de la ville 016
T1 + studio
T3 + studio
T2 + studio
T4 + studio
__ÉCONOMIQUE: Le projet repose sur une vie associative forte qui va cimenter l’esprit du village et ce nouveau quartier. Car tous les espaces extérieurs sont pensés comme terres cultivables par les Saillansons. Ces espaces sont gérés par une association, où une cotisation annuelle est demandée aux adhérents (du village ou nouveaux quartiers) pour l’entretien du matériel ainsi que l’achat des semences. Des réunions dans la salle communale sur site, permettent de se mettre d’accord sur les taches à accomplir et ce qui est semé. Les récoltes sont partagées sous forme de paniers entre tous les adhérents. La production de l’association
pourrait suffire à produire les légumes pour 160personnes à l’année environ. De plus, l’arrivée de nouveaux habitants dans le village est un facteur de développement économique non négligeable pour le village. Enfin, le projet permet l’embauche d’une personne pour gérer les 2.680m² mutualisés du projet.
Notre concept d’habitat est de réinterpréter le pavillon standard pour l’ouvrir sur la campagne : le paysage cultivé. C’est-à-dire, ne plus construire de barrière entre culture et habitat en s’entourant d’un espace privé jardiné…. mais à la place, nous
le jardin fruitier
le patio / la terrasse
l’espace potager
l’irrigation
proposons de mettre le jardin intime ou cœur de la maison, l’espace extérieur devient une continuité des espaces de vie intérieure. Il n’y a plus de limite entre culture et habitat, homme et paysage sont lié physiquement et visuellement. Les toitures enfin deviennent plates, et également cultivables: on voit naître une continuité entre le paysage et l’habitat.Nous proposons de construire la majorité de la parcelle, d’ouvrir l’habitat sur des espaces extérieurs mutualisés et cultivés, dans le but de vivre réellement la campagne. Nous avons donc pensé un plan de logement qui peut se développer selon la taille de la famille qui souhaite
Echelle de la ville 017
Projet Nov. Janvier 2014
Master Aedification Ville Territoire
Sara Caradec - Raphael Désilets Laura Schermesser
s’y installer. Ainsi en montant un étage, on peut agrandir la maison et accueillir jusqu’à 8personnes. Le modèle est basé sur une maison+une annexe studio, louable une partie de l’année, pouvant se transformer en bureau, ou bien encore être vendu séparément.
Une qualité de vie liée à l’eau et au paysage on vient à la campagne pour se ressourcer il était normal de retrouver tous les éléments chers à notre bien être. Le petit cours d’eau du Ruisset retrouve un peu de grâce en étant désherbé, avec un petit chemin le longeant, parfait pour se balader en famille jusqu’à la Drôme.
Ces jardins sont une fenêtre ouverte sur la campagne: qui permet de leur offrir la possibilité de s’émanciper de leur cadre quotidien le temps d’une promenade, d’un trajet tout bête voiture domicile.
Au final le projet tout entier va vers cette idée perdue, et qui ré-émerge ces dernières années avec la prise de conscience écologique, celle de réapprendre à vivre ensemble, cultiver son jardin, savoir ce que l’on mange. Et surtout contre l’individualisme ambiant, retrouver des valeurs saines, en accord avec le bien être de la terre et donc le notre.
Echelle de la ville 018
ÉTUDE
CARRE BERRIATGRENOBLE
Une approche systémique dans le but de créer des liens pour répondre à la question posée dans une logique éco-responsable
LICENCE 02 03
échelle du quartier 020
HABITAT
QUARTIER BERRIATGRENOBLE
Logements+réhabilitation des restos du cœur
HALLE
QUARTIER fICTIf
Une halle de marché qui fait lien
EXPANSION TRAME VERTE VERS : _ LA FLORE DES RELIEFS ALENTOURS _ LES PARCS URBAINS PREEXISTANTS _ LES PROJETS EN COURS DE REALISATION
PARCS URBAINS EXISTANTS
STRATEGIES
ECHELLE MACRO-LOCALE
GRENOBLE CARRE BERRIAT
ENSAG 2012 L3S5 LOIRET STRATEGIES SITOLOGIQUES 02.11.2012 1.10000MARIA ALECU - LOISE BEHAGHEL - LEA BLANC - REMY BORDET - GABRIEL BREMOND -
MARION BRIERE - JULIE BRUN - SARA CARADEC - HUGO CHEVALLIER - JEAN BAPTISTE CLOT
- LINA DAHEL - CAMILLE DEPUYDT - RHITA EL HAJRAOU - THOMAS GACHET - THOMAS
GHELFI - RAPHAELLE GONZALEZ - GUILLAUME GROS - LAURA GUERIN - CAMILLE LACAILLE
- FLORENT MEILLAND - ANDREA PAFUNDI - SOLINE MOGIER - JONATHAN RIBOUD - LOU
RODET - LAURA SANTATO - MARIANNE VALET - MAATI ZOUITINA
CONTEXTE SITOLOGIQUE
BIOLOGIE
FLUX
SITOLOGIQUES
CONTEXTE ANTHROPOLOGIQUE
AXE HISTORIQUE A REVALORISER
HISTOIRE
PROJETS ATTRACTIFS NON REALISES
PROJETS ATTRACTIFS EN COUR DEREALISATION OU REALISES
NOUVELLE LIGNE DE TRAM E
RESSOURCES EN BETON
RESSOURCES EN BOIS
PORTES D’ENTREES DU QUARTIER CREANT DES LIENS AVEC LES ZONES DYNAMIQUES INTERNES ET EXTERNES AU QUARTIER.
DRAC
ISERE
1 2 3
TOPOGRAPHIE / HYDROLOGIE
RELIEF
PRINCIPAUX COURS D’EAU: LE DRAC ET L’ISERE
1
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MASSIF DE LA CHARTREUSE (Alt : 2082m)
MASSIF DU VERCORS (Alt : 2341m)
MASSIF DE BELLEDONE (Alt : 2977m)LUI TOURNER DOS / CREER DES INTERMEDIAIRES VISUELS VILLES-MONTAGNES
POINT DE VUE VERS LA BASTILLE (POINT DE REPERE DANS LA VILLE)
POINT DE VUE VERS BELLEDONE / CORRELER VILLE ET MONTAGNE
LIMITES DU QUARTIER BERRIAT
1
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TRACER DES ANCIENS CANAUX
CrŽŽ dans une version "Etudiant" d'Allplan
0 100 50020050
021 023024
Deuxième année, deuxième semestre, le projet d’un marché couvert de 800m² en structure bois. Le quartier étant fictif, le contexte était assez flou, le champ très libre. Néanmoins, la hauteur des bâtiments alentour, la position du site entre un parc végétalisé et le centre ville allait devenir la base du projet, plus que la contrainte structurelle.
MARCHE COUVERT
STRUCTURE BOIS
QUARTIER fICTIf
_______Bâtiment comme place public
Comment le programme d’une halle de marché pouvait faire lien entre parc et ville, entre homme et nature?
L’espace public allait devenir l’identité du projet marqué par l’aménagement d’une place dynamique, lieu d’échange et de rencontre. Le projet est implanté à l’ouest, bénéficiant de l’ensoleillement matinal. Une continuité dans le cheminement piéton est préservée à travers la halle, la coupant en trois parties. Un marché n’est pas ouvert toute la journée, tout l’enjeu était
de trouver une solution pour rendre l’espace public alentour attractif au delà des heures d’ouvertures.
La toiture accessible recouvre à la manière d’un drap les trois espaces dédiés au marché. Une rampe à l’échelle urbaine permet d’accéder à la toiture, c’est finalement l’espace public de la halle qui s’ouvre en belvédère sur le parc au Sud. L’espace est ponctué par les verrières qui permettent un apport de lumière naturelle dans la halle, et deviennent le mobilier urbain de cet espace.
Licence 2 - Semestre 2
Projet commun à la promotionProjet majoré - Jury M. Durand
Toiture. Latte de bois 200*20 Lambourdes 80*60 Chevrons 80*100 Potelets de remise a niveaux Chevrons Voliges inclinées 3% Pare pluie rigide Lambourdes, chevrons, Isolation, pare vapeur Pannes 300*100 Potelets d'inclinaison Treillis 200*300 assemblages broches
A
B
N
Marché couvertespace et structure
Studio LiveneauENSAG 03.2012Caradec Sara
Plan masse 1/1000
Coupe A structurelle 1/50 Coupe B 1/100
Elévations Sud et Est 1/200
Axonométrie 1/300
Plans toiture et général 1/200
Echelle du quartier 021
AMBIANCE MARAIS, CANAL, UTILISATION DE PLANTES LACUSTRES
0 100 50020050 1:1000
STRATEGIES
ECHELLE MESO-LOCALE
CARRE BERRIATENSAG 2012 L3S5 LOIRET STRATEGIES SITOLOGIQUES 1.1000
MARIA ALECU - LOISE BEHAGHEL - LEA BLANC - REMY BORDET - GABRIEL BREMOND - MARION BRIERE - JULIE BRUN - SARA CARADEC - HUGO CHEVALLIER - JEAN BAPTISTE CLOT - LINA DAHEL - CAMILLE DEPUYDT - RHITA EL HAJRAOU - THOMAS GACHET - THOMAS GHELFI - RAPHAELLE GONZALEZ - GUILLAUME GROS - LAURA GUERIN - CAMILLE LACAILLE - FLORENT MEILLAND - ANDREA PAFUNDI - SOLINE MOGIER - JONATHAN RIBOUD - LOU RODET - LAURA SANTATO - MARIANNE VALET - MAATI ZOUITINA
CONTEXTE SITOLOGIQUE
CONTEXTE ANTHROPOLOGIQUE
CLIMATOLOGIE
BIOLOGIE
GEOLOGIE
ORGANISATION URBAINE
HISTOIRE
MORPHOLOGIE
PERCEPTIONS
FLUX
SITOLOGIQUES
POSITIONNEMENT ET ATTRACTIVITE
CHEMINEMENT PIETON A CREER
LIGNE DE BUS EXISTANTE
LIGNE DE TRAM EXISTANTE
ARRET EXISTANT ARRET A CREER
LIGNE DE BUS PROLONGER
LIEUX DE CULTE A CREER
ARTISANAT A IMPLANTER
ZONE DE PROJET
COMMERCE A IMPLANTER
ELEMENTS HISTORIQUES A VALORISER
BATIMENTS INSALUBRES
ARTISANAT EXISTANT
COMMERCE EXISTANT
CANAUX
PARKING A CREER
PISTE CYCLABLE
HAUTEUR DE LA NAPPE PHREATIQUE- DE 3 M : DIFFICULTÉ TECHNIQUES POUR CONSTRUIRE DES NIVEAUX SOUTERRAINS
VENTS D’HIVER VENTS D’ETE
EQUIPEMENTS PUBLICS
REAMENAGEMENT DE LA RUE NICOLAS CHORIER
REAMENAGEMENT DE LA RUE MARX DORMOY
EQUIPEMENTS PUBLICS A RESTAURER
LIEUX DE CULTE
LOGEMENTSPARCELLES
ZONE D’ENSOLEILLEMENT PERMANENTE ZONE D’OMBRE PERMANENTE
ESPACES VEGETALISES PRIVES
MISE EN PLACE DE LA TRAME VERTE PAR CREATION ET REAMENEGMENT DE PARCS ET LIAISONS VERTES.
EXTANSION DES CORRIDORS BIOLO-GIQUES VERS LES RIPISYLVES DU DRAC
ARBRES EXISTANTS
ILOTS DONT LES JARDINS PARTICIPENT AUX CORRIDORS BIOLOGIQUES FACADES A VEGETALISER
ARBRES A PLANTER
ESPACES VEGETALISES PUBLICS
ESPACES VEGETALISES PUBLICS
PORTES DU QUARTIER A REAMENAGER
REAMENAGEMENT DE LA RUE D’ALEMBERT
PRECONISATIONS ARCHITECTURALES EN RAPPORT AVEC LES UNITÉS D’AMBIANCE
ESPACE DE CREATIONRAPPORT AU SOL: RDC en relation avec l’espace public; permettre l’instalation d’activités et d’artisanats. Les rendre porreux et visibles (vitrines).MATERIAUX/COULEURS: Mettre en rapport avec les activités artisanales (textiles, cuir, métal...)GABARITS/IMPLANTATION: Uniformiser les hauteurs, avoir le répondant de chaque coté de la rue. R+4 à R+6 en moyenne.
ESPACE LUISANTRAPPORT AU SOL: Prévoir RDC pouvant accueillir des commerces.MATERIAUX/COULEURS: Minéralité (pierre, crépis...) et couleurs chaudes (jaunes, oranges, rouges, ocres) Distinguer les RDC au niveau des matériaux. GABARITS/IMPLANTATION: Hauteur inférieure à celle de l’église pour garder sa visibi-lité dans le quartier (point de repère); R+4 R+5 en moyenne.
ESPACE SEQUENCESRAPPORT AU SOL: Prévoir continuité pietonne du niveau de sol, des RDC mixtes (commerces, activités, logements). Limiter les barières physiques (clotures, haies...)MATERIAUX/COULEURS: Couleurs vives et/ou nuances naturelles (terre, vert, orange...); et matériaux naturels (terre, bois, pierre et forte présence du végé-tal).GABARITS/IMPLANTATION: Typologie qui favorise l’ensolleillement et la place du végétal. Implantation “organique” qui viendrais cadrer, jalonner le cheminement tout restant largement ouvert et perméable sur les espaces végétalisés et aquatiques.
ESPACE VIBRANTRAPPORT AU SOL: Prévoir des RDC mixtes (équipements en rapport avec le son, activités, ou logements).MATERIAUX/COULEURS: Utilisation de matériaux phoniques ou aphoniques (réverbérants ou isolants acoustiques), facades évoquant la musicalité (ex: Xéna-kis)GABARITS/IMPLANTATION: Inventer des formes en rapport avec l’ambiance de foisonnement perceptif et d’originalité a générer avec des batiments signaux qui viendraient enrichir la déambulation par exemple.
ESPACE INTIME VERDOYANTRAPPORT AU SOL: Conserver notions d’intimités tout laissant voir du végétal depuis la rue. Eviter les RDC entiers de garages.MATERIAUX/COULEURS: Privilégier matériaux hétéroclites mais simples et/ou en raport avec l’histoire du quartier (brique, bois pierre, crépis...)GABARITS/IMPLANTATION: Conserver les diversités d’implantations ouvrières et garder le rythme du découpage parcellaire en façade Densi�er: au sol (tout en gardant une forte présence du végétal) ; en hauteur (en restant dans le gabarit ouvrier: R+3 max.)
LIMITES Besoin de cohérence des gabarits en fonction de la largeur des axes adjacents.Sur le long terme, cours Jean Jaures, prévoir l’augmentation des gabarits moyen (tendres vers ceux de Joseph Vallier: R+8 et plus).A la transition entre les limites et l’intérieur du quartier prévoir une décroissance progres-sive des hauteurs pour e�ectuer la suture.
VEGETALISATION MASSIVE DE LA RUE CHORIER
SERVITUDES PIETONNES A CREER OU A RENFORCER
VOIES A CREER LORS DE LA DISPARITION DE L’USINE
RUE BLANCHE TRAITER FACADES ET SOLS AVEC MATERIAUX CLAIRS POUR ELARGIR VISUELLEMENT ET MINIMISER L’ECRASEMENT PAR LE VERCORS.
PIETONNISATION DE LA PLACE ST BRUNO ET DE SES ABORDS, HOMOGENEISATION DES TEXTURES AU SOL
COUPE A-ARUE NICOLAS CHORIERECH. 1/200
1.7 2.3 5.0 1.5 1.5
COUPE B-BRUE MAX DORMOYECH. 1/200
1.5 1.0 5.0 1.0 0.5
RUE D’ALEMBERTECH. 1/200
1.5 1.5 2.5 2.5 1.5
PROMENADE VERTE, CONTINUITE VISUELLE ET MATERIELLE PONCTUEE D’OEUVRES D’ART SUR LE THEME DE LA NATURE
+ 3 M -
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3 M
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DISPOSITION DE MOBILIER PHONO-ABSORBANT
REPERE VISUEL NOCTURNE A CREER, CHEMINEE BELVEDERE REPERE VISUEL EXISTANT
PARC SONORE, CREATION D’UN ESPACE VEGETAL DE DEAMBULATION LIE ET OUVERT SUR LE PARCPARMENTIER, INSERTION DE CELLULES SONORES DIFFUSANT DE LA MUSIQUE THERAPEUTIQUE.
CHANGEMENT DU REVETEMENT DES ARCHES AFIN DE LIMITER LA REVERBERATION
RUPTURE DE LA TEXTURE DE LA RUE NICOLAS CHORRIER
DIMINUTION OU AUGMENTATION DE L’INTENSITE LUMINEUSE
E
J L
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G K
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D L’approche de cette analyse est systémique, l’exercie consisté à prendre en compte tous les paramètres d’analyse du quartier et à en faire remonter le sens en créant des liens dans une logique éco- responsable.-Ainsi chaque trinôme de l’atelier a poussé au maximum la recherche dans un domaine donné de la légende ci-contre, puis avons compilé dans une carte «PLU» les informations les plus intéressantes pour le développement de ce quartier.
A N A L Y S E & O B S E R V A T I O N URBAINE - PLU
QUARTIER BERRIAT
GRENOBLE
_______Première expérience d’analyse systémique
Echelle du quartier 023
AMBIANCE MARAIS, CANAL, UTILISATION DE PLANTES LACUSTRES
0 100 50020050 1:1000
STRATEGIES
ECHELLE MESO-LOCALE
CARRE BERRIATENSAG 2012 L3S5 LOIRET STRATEGIES SITOLOGIQUES 1.1000
MARIA ALECU - LOISE BEHAGHEL - LEA BLANC - REMY BORDET - GABRIEL BREMOND - MARION BRIERE - JULIE BRUN - SARA CARADEC - HUGO CHEVALLIER - JEAN BAPTISTE CLOT - LINA DAHEL - CAMILLE DEPUYDT - RHITA EL HAJRAOU - THOMAS GACHET - THOMAS GHELFI - RAPHAELLE GONZALEZ - GUILLAUME GROS - LAURA GUERIN - CAMILLE LACAILLE - FLORENT MEILLAND - ANDREA PAFUNDI - SOLINE MOGIER - JONATHAN RIBOUD - LOU RODET - LAURA SANTATO - MARIANNE VALET - MAATI ZOUITINA
CONTEXTE SITOLOGIQUE
CONTEXTE ANTHROPOLOGIQUE
CLIMATOLOGIE
BIOLOGIE
GEOLOGIE
ORGANISATION URBAINE
HISTOIRE
MORPHOLOGIE
PERCEPTIONS
FLUX
SITOLOGIQUES
POSITIONNEMENT ET ATTRACTIVITE
CHEMINEMENT PIETON A CREER
LIGNE DE BUS EXISTANTE
LIGNE DE TRAM EXISTANTE
ARRET EXISTANT ARRET A CREER
LIGNE DE BUS PROLONGER
LIEUX DE CULTE A CREER
ARTISANAT A IMPLANTER
ZONE DE PROJET
COMMERCE A IMPLANTER
ELEMENTS HISTORIQUES A VALORISER
BATIMENTS INSALUBRES
ARTISANAT EXISTANT
COMMERCE EXISTANT
CANAUX
PARKING A CREER
PISTE CYCLABLE
HAUTEUR DE LA NAPPE PHREATIQUE- DE 3 M : DIFFICULTÉ TECHNIQUES POUR CONSTRUIRE DES NIVEAUX SOUTERRAINS
VENTS D’HIVER VENTS D’ETE
EQUIPEMENTS PUBLICS
REAMENAGEMENT DE LA RUE NICOLAS CHORIER
REAMENAGEMENT DE LA RUE MARX DORMOY
EQUIPEMENTS PUBLICS A RESTAURER
LIEUX DE CULTE
LOGEMENTSPARCELLES
ZONE D’ENSOLEILLEMENT PERMANENTE ZONE D’OMBRE PERMANENTE
ESPACES VEGETALISES PRIVES
MISE EN PLACE DE LA TRAME VERTE PAR CREATION ET REAMENEGMENT DE PARCS ET LIAISONS VERTES.
EXTANSION DES CORRIDORS BIOLO-GIQUES VERS LES RIPISYLVES DU DRAC
ARBRES EXISTANTS
ILOTS DONT LES JARDINS PARTICIPENT AUX CORRIDORS BIOLOGIQUES FACADES A VEGETALISER
ARBRES A PLANTER
ESPACES VEGETALISES PUBLICS
ESPACES VEGETALISES PUBLICS
PORTES DU QUARTIER A REAMENAGER
REAMENAGEMENT DE LA RUE D’ALEMBERT
PRECONISATIONS ARCHITECTURALES EN RAPPORT AVEC LES UNITÉS D’AMBIANCE
ESPACE DE CREATIONRAPPORT AU SOL: RDC en relation avec l’espace public; permettre l’instalation d’activités et d’artisanats. Les rendre porreux et visibles (vitrines).MATERIAUX/COULEURS: Mettre en rapport avec les activités artisanales (textiles, cuir, métal...)GABARITS/IMPLANTATION: Uniformiser les hauteurs, avoir le répondant de chaque coté de la rue. R+4 à R+6 en moyenne.
ESPACE LUISANTRAPPORT AU SOL: Prévoir RDC pouvant accueillir des commerces.MATERIAUX/COULEURS: Minéralité (pierre, crépis...) et couleurs chaudes (jaunes, oranges, rouges, ocres) Distinguer les RDC au niveau des matériaux. GABARITS/IMPLANTATION: Hauteur inférieure à celle de l’église pour garder sa visibi-lité dans le quartier (point de repère); R+4 R+5 en moyenne.
ESPACE SEQUENCESRAPPORT AU SOL: Prévoir continuité pietonne du niveau de sol, des RDC mixtes (commerces, activités, logements). Limiter les barières physiques (clotures, haies...)MATERIAUX/COULEURS: Couleurs vives et/ou nuances naturelles (terre, vert, orange...); et matériaux naturels (terre, bois, pierre et forte présence du végé-tal).GABARITS/IMPLANTATION: Typologie qui favorise l’ensolleillement et la place du végétal. Implantation “organique” qui viendrais cadrer, jalonner le cheminement tout restant largement ouvert et perméable sur les espaces végétalisés et aquatiques.
ESPACE VIBRANTRAPPORT AU SOL: Prévoir des RDC mixtes (équipements en rapport avec le son, activités, ou logements).MATERIAUX/COULEURS: Utilisation de matériaux phoniques ou aphoniques (réverbérants ou isolants acoustiques), facades évoquant la musicalité (ex: Xéna-kis)GABARITS/IMPLANTATION: Inventer des formes en rapport avec l’ambiance de foisonnement perceptif et d’originalité a générer avec des batiments signaux qui viendraient enrichir la déambulation par exemple.
ESPACE INTIME VERDOYANTRAPPORT AU SOL: Conserver notions d’intimités tout laissant voir du végétal depuis la rue. Eviter les RDC entiers de garages.MATERIAUX/COULEURS: Privilégier matériaux hétéroclites mais simples et/ou en raport avec l’histoire du quartier (brique, bois pierre, crépis...)GABARITS/IMPLANTATION: Conserver les diversités d’implantations ouvrières et garder le rythme du découpage parcellaire en façade Densi�er: au sol (tout en gardant une forte présence du végétal) ; en hauteur (en restant dans le gabarit ouvrier: R+3 max.)
LIMITES Besoin de cohérence des gabarits en fonction de la largeur des axes adjacents.Sur le long terme, cours Jean Jaures, prévoir l’augmentation des gabarits moyen (tendres vers ceux de Joseph Vallier: R+8 et plus).A la transition entre les limites et l’intérieur du quartier prévoir une décroissance progres-sive des hauteurs pour e�ectuer la suture.
VEGETALISATION MASSIVE DE LA RUE CHORIER
SERVITUDES PIETONNES A CREER OU A RENFORCER
VOIES A CREER LORS DE LA DISPARITION DE L’USINE
RUE BLANCHE TRAITER FACADES ET SOLS AVEC MATERIAUX CLAIRS POUR ELARGIR VISUELLEMENT ET MINIMISER L’ECRASEMENT PAR LE VERCORS.
PIETONNISATION DE LA PLACE ST BRUNO ET DE SES ABORDS, HOMOGENEISATION DES TEXTURES AU SOL
COUPE A-ARUE NICOLAS CHORIERECH. 1/200
1.7 2.3 5.0 1.5 1.5
COUPE B-BRUE MAX DORMOYECH. 1/200
1.5 1.0 5.0 1.0 0.5
RUE D’ALEMBERTECH. 1/200
1.5 1.5 2.5 2.5 1.5
PROMENADE VERTE, CONTINUITE VISUELLE ET MATERIELLE PONCTUEE D’OEUVRES D’ART SUR LE THEME DE LA NATURE
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DISPOSITION DE MOBILIER PHONO-ABSORBANT
REPERE VISUEL NOCTURNE A CREER, CHEMINEE BELVEDERE REPERE VISUEL EXISTANT
PARC SONORE, CREATION D’UN ESPACE VEGETAL DE DEAMBULATION LIE ET OUVERT SUR LE PARCPARMENTIER, INSERTION DE CELLULES SONORES DIFFUSANT DE LA MUSIQUE THERAPEUTIQUE.
CHANGEMENT DU REVETEMENT DES ARCHES AFIN DE LIMITER LA REVERBERATION
RUPTURE DE LA TEXTURE DE LA RUE NICOLAS CHORRIER
DIMINUTION OU AUGMENTATION DE L’INTENSITE LUMINEUSE
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CONTEXTE SITOLOGIQUECONTEXTE PHYSIQUE
ClimatologieEnsoleillement, Luminosité, MasquesPluviomètrie, HydromètrieVentsTempératures, Risques naturelsBiologie, faune, flore, Topographie, Géologie
CONTEXTE ANTHROPOLOGIQUECONTEXTE HISTORIQUE
Histoire sociale et symboliqueHistoire architecturale et urbaineToponymieHistoire des savoirs faire
CONTEXTE ACTUEL
Administratif (réglementations et normes)Politique (échelle international à locale)Programmatique (répartitions)Positionnement et attractivité (relation quartier et extérieur, perméabilité)Morphologie (urbaine et des édifices)TransportsRisques anthropologiques (pollution, sécurité)Socio-comportemental (habitants, culture, occupation des l’espace dans le temps)Perceptions objectives (luminosité, vues, odeurs, textures)Perceptions subjectives (ressenties, ambiance)Limite et frontiere (naturelles, culturelles, d’usages, visuelles)Techniques et savoirs faire locaux (sur un rayon de 50km)
Echelle du quartier 024
Suite à l’analyse systémique, nous avons projeté un programme sur ce quartier comprenant 15 logements collectifs, un aménagement urbain, et un dispositif d’agriculture urbaine. Nous étions sur la parcelle f, au centre du quartier, sur l’axe Nicolas Chorrier. D’après la carte commune nous devions réintroduire de l’artisanat et repenser le gabarit de la voirie.
C O N T E X T E PROGRAMMATIQUE
QUARTIER BERRIATGRENOBLE
_______Concevoir d’après une ambiance
La parcelle est en angle, donnant sur un axe passant, et une ruelle calme, les restaurants du cœur sont installés ici depuis de nombreuses années, dans une vielle maison.
L’idée était de penser aux ambiances rêvées des habitants d’un quartier de Grenoble, pour leur offrir ce qui leur correspondrait le plus. Les ambiances pouvant
faire appel autant à notre perception visuelle que sonore ou olfactive, voire à des sentiments encore plus arbitraires tel que ceux de bien être, de sécurité ou d’anxiété que l’on peut ressentir à certains endroits (ruelle étroite, verte ou dégagée, vue sur la montagne, place, bâti neuf ou ancien). Le rêve prit donc place dans la conception du projet, et c’est une nouvelle manière de penser l’habitat qui fut expérimentée.
Licence 3 - Semestre 1
Atelier dirigé par M. LoiretAgence Loiret&Joly
Avec Lina Dahel
Echelle du quartier 025
HÔTEL
SUR UNE fALAISE
COTE DE GARRAfBARCELONEESPAGNE
échelle de l’édifice 26
PARCOURS LUDIQUE
L’ENfANT EN VILLE
PARC DE LA VILLENEUVEGRENOBLE
027 029
ÉCHELLE DE L’ÉDIFICE
PROJET LUDIQUE
Interroger la place de l’enfant dans la ville et l’architecture qui lui est consacré
Extrait du PFE
Echelle de l’édifice 027
L’intention de départ est de considérer le jeu non plus comme du mobilier mais comme un composant de l’aménagement. Il ne s’agit pas de se limiter à une aire dans le parc, mais à l’expérimenter à travers le parc. Le parc se prête d’autant plus à ces considérations qu’ils est déjà très fréquenté par les enfants. Le parcours ludique a été mis en place pour proposer aux visiteurs et habitants, un point de vue décomplexé sur le quartier. En effet, il est déjà
Voler Grimper
Se cacher
Passerelle
Glisser
Surveiller
Grimper Sauter
Escalader
Via ferrata
Observer
Jouer à...
63enfants
participants
21parents
jalonné d’espace de jeux, reflet de l’importance de la place de l’enfant et héritage de la période d’expérimentation pédagogique à la création de la Villeneuve. Une concertation sur l’aire de jeux centrale du parc a pu être mené d’en le cadre d’un jeu de piste organisé par la MDH des Baladins. L’installation permet de combler un manque, celle de la séparation des fratries mais également en venant s’inscrire dans la pente et les pins, elle permet de proposer un espace ludique architectural et paysager.
Echelle de l’édifice 028
Projet et études détails techniques
Hôtel sur la côte de Garraf
Universitat Internacional de Catalunya
Contexte:__Site exceptionnel de la Costa de Garraf, Barcelonafalaise plus ou moins abrupte se jetant dans la mer.
J’ai commencé l’archi-tecture à Barcelone, et ce fut une année remarquable sur beaucoup de plans. La confirmation de mon futur métier, et une passion naissante pour ces études. Le dernier projet de l’année fût celui d’un grand hôtel luxueux sur la côte. Un programme de
200chambres, comprenant tous les équipements possibles, parking, restaurant, espace bien être, terrain de sport, piscine...Première expérience dans la maquette de site, et le dessin des courbes de niveau. Imaginez nos têtes devant l’annonce du projet, première année, à peine habitué aux charrettes. C’est peut-être le projet auquel je fais le plus souvent référence car il m’a appris à dédramatiser les choses. Il suffit de trouver un angle d’approche et le projet se développera de lui-même. Nous avions construit des formes
toute l’année, et c’est par ce prisme là, une forme radicale, que le projet s’est développé. La répétition d’un module par chambre, puis leur addition pour les espaces plus complexes.
Echelle de l’édifice 029
ÉTUDE MODE D’HABITERREALISATION DES DISPOSITIfS A ECHELLE 1:1
Grands Ateliers de l’Isle d’AbeauGAIA
ECHELLE TEMPORELLEDEUX JOURS
échelle réelle 30
WORSHOP LA CHARRETTEDeux journées
LA BASTILLEGRENOBLE
033
031
CONCEPTD’HABITER
ÉTUDE D’AMBIANCE
_______Licence 2 ENSAG
Dans un premier temps nous avons réalisés des maquettes d’études sur différents thèmes, l’enveloppe, la lumière, l’éphémère, la modularité, la parois coulissante, pliante.Comment l’enveloppe peut elle interagir avec l’usager, le concept d’enveloppe bâtiment. La question de mobilité qu’elle soit cinétique, optique, ou encore des espaces évolutifs, sont des concepts présents dans nos villes, d’où l’importance d’en comprendre leur potentiel. Puis nous sommes allés aux Grands Ateliers construire une structure qui reprenait la plupart des concepts développés en maquette
pour tester la perception que l’on en avait. Un chantier de deux jours réunissant tout l’atelier dirigé par M. Liveneau. Un travail de conception mené en quelques jours à vingt, qui nous appris à gérer le temps, et surtout la prise de décision rapide. Habiter, vivre, être sont des choses que l’on se doit d’éprouver. L’exercice avait pour but avant tout de ne pas oublier lorsqu’on dessine un concept architectural que celui à pour vocation première son expérimentation. Un espace à parcourir, à éprouver où les jeux d’ombres et lumière changent totalement la compréhension de l’espace.
Echelle réel 031
Dispositf:__Structure porteuse en OSB, paravent amovible en toile, et toiture OSB (motif à la découpe laser) et tasseaux.
Echelle réel 032
WORKSHOPLA CHARRETTE
LAINE - BRIQUESET une voû te
PRIX GENIUS LOCCI
_______La bastille Grenoble
Sous les voûtes de la Bastille, deux journées pour penser et monter cette installation en laine et briques. La lumière transforme la laine en faisceaux lumineux, révélant ainsi la voûte. L’appareillage des briques filtre la lumière, la forme donnée continue celle de la voûte et vient l’enrouler en spirale. Ce fut une expérience enrichissante, vu que ce Workshop rallie les étudiants de trois écoles d’architecture (Lyon, St Etienne, Grenoble). L’installation fût récompensée pour son intégration et la mise en valeur du site.
Echelle réel 033
MAQUETTES
Génèse des formes sans volonté
Taller formes ESARQ 2009
ANALYSE DES FORMES
Car ton p lume No i rB lancNo i r e t B lancBo isMéta lP lâ t re
_______Barcelone 2009
Représentation 035
Tiré du rapport de fin d’études écrit en 2013 intitulé:Quand l’utopie agit sur le réel.
Pensée 01
«Je pense qu’il est important de ne pas négliger cette part d’imaginaire lorsque l’on réfléchit à un projet. Chaque création doit interroger le monde des possibilités car notre imagination peut être infinie, et qu’il est bon de ne pas reproduire sans cesse les mêmes schémas, les mêmes plans qui fonctionnent à tous les coups, mais de s’interroger sur comment on peut agir pour que demain soit toujours meilleur qu’aujourd’hui. L’architecture est sociale, et par définition évolutive, elle suit les mœurs et usages de ses habitants. L’enseignement reçu à
l’école d’architecture m’a permis de voir que les utopies étaient de réel moteurs pour penser la ville de demain, et bien qu’étant « des réalités sans défaut » et par définition irréalisables, elles contenaient en chacune d’elles des éléments de réponse, et de réflexion pour améliorer les choses ou encore prévenir certains problèmes. J’en ai tiré comme conclusion que l’imaginaire a été de tout temps une base de réflexion pour de nouvelles idéologies, et manière de concevoir.
Pensée 02
«Cette recherche dans la limitation des impacts de la construction, s’inscrit dans la volonté d’harmoniser les relations existantes mais trop souvent oubliées entre l’homme, sa terre, et ses usages.»
Pensée 03
«Selon moi, lors de la conception d’un projet, l’architecte se doit de garder une part de rêve pour toucher la sensibilité, et correspondre aux attentes inavouées.»
Pensée 04
«Ainsi l’imagination devient un moteur pour nos territoires, car à mon sens si lors de la conception on s’attache à comprendre le fragile équilibre qui règne sur ce lieu et l’unité qui en ressort, alors tous les autres facteurs se révéleront à nous. Par la dimension sociale, écologique ou encore esthétique, le monde et les hommes ne sont qu’un équilibre à préserver, que ce soit entre les espèces vivantes ou les choses, on
VOYAGES & PENSÉES
Rapport de fin d’étudesMémoire
Intemporel
échelle intemporelle 037
AMSTERDAM - zURICH
VALS - STOCKHOLM
BERNE - GUADELOUPE
SAN fRANCISCO- PARIS
TORONTO - ILE MAURICE
NEW ORLEANS - OTTAWA
LAS VEGAS - LONDRES
MARSEILLE - BANGKOK
BARCELONE - QUEBEC
LOS ANGELES - LYON
SANTA MONICA - KOH TAO
fLORENCE - LIMA - BOLIVIE
HELSINKI - LA PAz - PEROU
ANDALOUSIE - CUzCO
ABBAYE DU THORONET
peut dire que l’architecture fait partie et joue un rôle dans cet écosystème. Je recherche autant que possible à aspirer vers cet équilibre dans les projets que je réalise. Car je pense profondément que ce siècle sera celui du changement de regard que l’on porte envers notre terre d’accueil, et que le respect que nous lui devons sera enfin prit en compte par le plus grand nombre.»
Pensée 06
«L’écosophie comme approche philosophique, fonctionne pour nous alors comme une boîte à outils, qui nous aide à mieux
comprendre tous les facteurs qui sont en jeu dans l’écologie architecturale. Dans notre cas, il s’agira de construire un autre regard architectural. La création est le sens de la vie, et l’«écosophie guatarienne» constructive, envisage un retour aux valeurs essentielles au Bien-être de l’homme, par un regain d’identité et d’appartenance, une perte de l’individualisme ambiant, par la création, ou le ménagement du lien social. La joie de vivre, la solidarité, la compassion à l’égard d’autrui doivent être considérées comme des sentiments en voie de disparition, à ré-impulser dans nos sociétés.»
échelle intemporelle 038