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Prévalence de BPCO en Roumanie et de l’influence possible des caractéristiques sociales et des ménages

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Page 1: Prévalence de BPCO en Roumanie et de l’influence possible des caractéristiques sociales et des ménages

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116 17e Congrès de pneumologie de l

rofessionnels, conditions de travail, événements de vie et santé,andicap santé, santé et itinéraire professionnel, etc. ;étude sociologique de l’approche par les spécialités médicales du

isque « poussière » et de la formation dispensée lors des étudesédicales.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.381

56révalence de BPCO en Roumanie et de l’influenceossible des caractéristiques sociales et desénages

.F. Mihaltan Florin a, F.F. Florentina Furtunescu b,.F. Dana Farcasanu c, I.D. Ioana Daramus c

Institut de pneumologie M, Nasta, Bucharest, RoumanieCarolDavila université de médecine et de pharmacie, Bucharest,oumanieCPSS, Bucharest, Roumanie

a BPCO est un problème de santé publique très important au niveaue l’individu et de la société.ous avons cherché d’estimer la prévalence de la BPCO chez lesoumains âgés de +40 en relations avec certaines variables socialest l’exposition des ménages spécifiques.ne enquête transversale a été réalisée en utilisant un échantillontratifié de 9638 sujets âgés de 40+. À l’aide d’un questionnairee présélection, 51 % des répondants ont été identifiés commetant à risque de BPCO (4930). Deux mille sujets, choisis auasard, ont été invités à procéder à une évaluation spiromé-rique (au moins trois tests de spirométrie par patient, en fonctionTS/ERS normes). Sujets fumeurs (actuels ou anciens) avec un rap-ort FEV1 inférieur 0,7 étaient considérés comme ayant une BPCO.es variables sociales envisagées étaient région géographique,rbain/rural, l’éducation, la profession, catégorie de revenu. Nousvons analysé le mode de cuisson et la source de chauffage domes-ique a la maison. Nous avons trouvé une prévalence de la BPCOe 9,7 % (±2,18) (15,7 % et 3,9 % chez les mâles et les femelles).ucune corrélation significative n’a été trouvée avec la région géo-raphique, zone urbaine/rurale distribution, l’éducation, l’emploit catégorie de revenu, à la fois pour les hommes et les femmes.ucune différence significative n’a été trouvée pour la source dehauffage et de cuisson.onclusions.— Notre étude a montré que presque la moitié de laopulation générale âgée de +40 répond aux critères choisi, étant àisque de BPCO (environ cinq millions de personnes). Dans le grouperisque, la prévalence de la BPCO atteint 9,7 %.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.382

57es mésothéliomes, 31e maladie à déclarationbligatoire depuis janvier 2012. Chérié-Challine a, J. Le Moal b, F. Martin c, J.-C. Pairon d

Département santé travail, InVS, Saint-Maurice, FranceDépartement santé environnement, InVS, Saint-Maurice, FranceService de pneumologie, hôpital, Compiègne, FranceService de Path Prof., CHIC, Créteil, France

ntroduction.— Le ministère de la Santé a rendu obligatoire laéclaration des mésothéliomes. Cette mesure concerne tous lesédecins, et tous les mésothéliomes. Elle vise à renforcer leur

urveillance épidémiologique, en complément du PNSM (plèvre,3 départements) et à mieux comprendre les facteurs d’exposition

otamment environnementaux.éthode.— L’InVS pilote la mise en place du dispositif de notifi-ations, avec l’appui des instances représentatives des médecins.ans chaque région, le dispositif est développé par les agences

e francaise — Lille, vendredi 1er au dimanche 3 février 2013

égionales de santé avec les Cires-InVS et les réseaux régionaux deancérologie. On attend 800 à 1200 nouveaux cas par an.’InVS démarrera en 2013, les enquêtes d’exposition pour mieuxomprendre trois populations : les mésothéliomes survenant chezes femmes (38 % avec exposition professionnelle à l’amiante, 83 %es hommes), chez les hommes de moins de 50 ans et les mésothé-iomes hors plèvre.ésultats.— L’exhaustivité est un élément essentiel pour atteindre

es objectifs. Un point sera présenté sur la situation nationalees notifications et les différences régionales. Les premiers ensei-nements sur la situation épidémiologique seront discutés. Larocédure de notification sera rappelée. Les objectifs et les moda-ités des enquêtes d’exposition seront décrits.onclusion.— Cette DO permettra la production régulière’indicateurs de surveillance et d’informations sur les origines desas. Elle devrait permettre d’améliorer les connaissances tem-orospatiales de ces cancers. Elle pourrait permettre d’orienteres actions de prévention. La qualité du système dépendra dea participation active et continue des médecins déclarants, descteurs régionaux et de l’InVS.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.383

58rofil clinique et radiologique de la silicoseseudotumorale. Étude de 45 cas

. Mounaji , H. Benjelloun , N. Zaghba , N. Yassine , A. Bakhatar ,. Bahlaoui

Service des maladies respiratoire, CHU Ibn Rochd, Casablanca,aroc

a silicose est la plus fréquente des pneumoconioses. La formeseudotumorale est rare. Nous rapportons une étude rétrospectiveortant sur 45 cas de silicose pseudotumorale colligés au servicees maladies respiratoires du CHU Ibn Rochd de Casablanca surne période de 15 ans. Il s’agit de 45 hommes. La moyenne d’âgest de 50 ans. Le tabagisme est retrouvé dans 31 cas, avec uneonsommation moyenne de 24 PA. Un antécédent de tuberculosest retrouvé dans neuf cas. Trente et un patients étaient des pui-atiers, dix étaient des mineurs et quatre étaient des macons. Leableau clinique est dominé par la dyspnée dans 37 cas, le syndromeronchique dans 34 cas et les hémoptysies dans 15 cas. L’imagerieretrouvé des opacités pseudotumorales dans tous les cas, avec

es opacités micronodulaires dans 30 cas, un pneumothorax et uneleurésie dans un cas chacun et des adénopathies médiastinalesans huit cas. La bronchoscopie a montré des tâches d’anthracosesans 31 cas. L’exploration fonctionnelle respiratoire a montré unrouble ventilatoire mixte dans 28 cas et restrictif probable dans sixas. Les bacilloscopies sont positives chez cinq patients. La ponc-ion biopsie transpariétale montre un granulome tuberculoïde sansécrose caséeuse dans 1 cas. Le traitement est basé sur les bron-hodilatateurs de longue durée d’action dans 37 cas, les corticoïdesnhalés dans 34 cas, et les diurétiques dans sept cas. Le traite-ent antibacillaire est démarré dans cinq cas de silico-tuberculose.

’évolution est bonne dans 18 cas, stationnaire dans 18 cas. Huitatients ont été perdus de vue et un patient est décédé. La prisen charge thérapeutique de cette forme particulière est essentiel-ement symptomatique, d’où l’importance de la prévention.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.384

59e mésothéliome pleural malin : à propos de 28 cas