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Rapport annuel 2001-2002 - Réseau Santécom · • Soins de base en santé mentale 092 000 $ • Services de soutien à domicile 076 000 $ • Services en enfance, jeunesse, famille

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CLSC Ahuntsic1 165, boul. Henri-Bourassa EstMontréal (Qc)H2C 3K2Téléphone: (514) 381-4221Ligne directe:(514) 389-7520 [+poste]Télécopieur: (514) 389-1361Site Internet: www.clsc-ahuntsic.qc.ca

Production:Michel Lussier, agent d’information

Révision linguistique:Michel Lussier et Martine Brisson

Photos de la page couverture:Photo du haut: Michel LussierPhotos du bas: Santé Canadawww.hc-sc.gc.ca/francais/media/photos

Dépôt légal de la version originale sur papierQuatrième trimestre 2001Bibliothèque nationale du QuébecISBN: 2-921467-29-1

TABLE DES MATIÈRES

! Le rapport de la présidente du Conseil d'administration et du directeur général...3

! La Direction générale...5! La Direction des programmes et des services professionnels...6

" Le rapport annuel de la responsable des soins infirmiers...9" Le rapport sur l'application de la procédure des plaintes...10

! La Direction des services à la communauté...13" Secteur enfance, famille...13" Secteur jeunesse, famille...16" Les mandats spéciaux...18" Secteur adultes et services courants...19

• Les services aux adultes...19• Les services courants...24

! La Direction des services de soutien à domicile...26! La Direction des services administratifs...28

" Les ressources humaines...29" Les ressources techniques...29" Les ressources financières...30

! Le rapport du Conseil des infirmières et des infirmiers...31! Le rapport du Conseil multidisciplinaire...34! Le rapport du Conseil des médecins, des dentistes et des pharmaciens...37! Les conseils ou comités créés en vertu de la loi...38! Les statistiques...40! Les objectifs du CLSC Ahuntsic en 2001 2002...44! La liste des employés en 2001-2002...45

Le CLSC Ahuntsic a adopté le 22 mars 1999 un code d’éthique et de déontologie pour lesadministrateurs du Conseil d’administration.

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Nicole Rheault,présidente

Daniel Corbeil,directeur général

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Le rapport de la présidente du Conseild’administration et du directeur général

L e principal dossier, cette année, fut sans contredit la poursuite de la démarchede rapprochement avec les Résidences Laurendeau, Légaré, Louvain, afin deregrouper les missions des deux établissements. Ainsi, l’actualisation de la Loi surla gouverne du réseau (adoptée en juin 2001) a modifié la composition des conseils

d’administration. En ce qui nous concerne, le CLSC Ahuntsic et les Résidences seront régiespar un conseil d’administration unifié. De même, il n’y aura qu’un seul plan d’organisationpour les deux établissements et leurs instances professionnelles seront également fusion-nées. Ce dossier a été déposé au ministère de la Santé et des Services sociaux ainsi qu’àla Régie régionale de la santé et des services sociaux de Montréal-Centre afin que le Ministreautorise le regroupement et que nous puissions ainsi obtenir le décret gouvernemental quientérinerait cette décision.

Le 2 mai 2002, le Ministre de la santé et des services sociaux, monsieur François Legault,autorisait le regroupement des deux missions. Le 21 août 2002, le Conseil des ministresentérinait cette décision par décret.

SUR LE PLAN FINANCIER

Nous ne pouvons passer sous silence le sous-financement de nos services. Nous avonsl’obligation, en tant qu’administration publique, de ne dépenser seulement que ce qui nousest attribué et nous avons toujours respecté la notion d’équilibre budgétaire. Nous avonségalement la responsabilité de connaître les besoins de la population et d’adapter nosservices pour bien y répondre. Nous avons cependant de sérieuses contraintes financières.Depuis trois ans, les budgets de développement sont largement insuffisants. Nous avonsprésenté l’an dernier un plan d’équilibre budgétaire. Malgré cela, nous avons encore cette

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année des temps d’attente dans certains services (Info-Santé, les prélèvements, etc.) etdes listes d’attente dans plusieurs programmes et services (au soutien à domicile, en santémentale, en santé parentale, aux services jeunesse, etc.). Nous avons fait de nombreusesreprésentations auprès de notre député, du Ministre de la santé et des services sociaux,de la Régie régionale, de la population de notre quartier. Beaucoup d’efforts, mais demaigres résultats. C’est pourquoi nous continuerons d’exprimer nos besoins en 2002-2003.

LE DEGRÉ D'ATTEINTE DES OBJECTIFS

En conformité avec la Loi sur les services de santé et les services sociaux, le Conseild'administration établit les priorités et les orientations du CLSC qu'il administre et voit àleur respect. Ces priorités portent sur les besoins de santé, tant physiques que psychiques,sur les besoins sociaux à satisfaire, sur les clientèles à desservir et sur les services à offrir.Elles doivent tenir compte des particularités géographiques, linguistiques, socioculturelleset socio-économiques des usagers ainsi que des ressources humaines, matérielles etfinancières mises à la disposition du CLSC Ahuntsic.

Grâce au plan de compressions que nous avons établi et à certains revenus additionnels nonrécurrents (par exemple, le budget octroyé pour la campagne de vaccination contre laméningite), nous terminons l’année avec un excédent budgétaire de 154 509 $, ce qui nouspermet d’éponger le déficit accumulé au fonds d’exploitation durant les années antérieu-res, et de nous laisser une petite marge de manœuvre pour faire face aux imprévus.

Voici en détail les budgets que nous avons obtenus en cours d’année:

BUDGETS RÉCURRENTS

• Soins de base en santé mentale 092 000 $• Services de soutien à domicile 076 000 $• Services en enfance, jeunesse, famille 033 000 $ (annualisé à 97 000 $ en 2002-2003)

BUDGETS NON RÉCURRENTS

• Campagne méningite 220 000 $• Aide aux utilisateurs de drogues injectables 060 000 $ (sur 3 ans)• Étude d’expansion des services en milieu

carcéral (Établissements de détentionde Montréal et de Rivière-des-Prairies) 025 000 $

• Projet «Au cœur de la vie»(santé cardiovasculaire) 015 000 $

• Campagne de vaccination contre l’influenza 008 200 $

Le dynamisme de notre organisation ne se dément pas d’une année à l’autre comme en faitfoi la description des principales réalisations dans chacune des directions.

C'est donc avec beaucoup d'optimisme que nous aborderons 2002-2003 et ce, grâce à lacompétence et au dynamisme de chacun des membres de notre personnel.

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La Direction généraleComme nous l'avons mentionné plus haut, la démar-che de rapprochement avec les Résidences Lau-rendeau, Légaré, Louvain, afin de regrouper lesmissions des deux établissements, a été le dossier quia demandé le plus d'énergie au cours de 2001-2002pour la Direction générale et les membres du Conseil

d'administration. Dans le cadre de cette opération, le directeur général a assumé la fonctionde directeur intérimaire aux Résidences afin d’assurer la transition vers le futur regrou-pement. Déjà, certaines opérations ont été réalisées conjointement, notamment l’assem-blée publique annuelle d’information qui s’est tenue aux Résidences le 11 décembre 2001.

Par ailleurs, d'autres dossiers d'établissement ont été réalisés au cours de la dernière année:

" Le CLSC s’implique pour établir des liens de collaboration avec les cliniques médicalesde la sous-région Nord;

" Le CLSC a procédé à la mise à jour de son plan d’organisation. La principale modificationconcerne la création de la Direction des services à la communauté qui regroupe l’ancien-ne Direction des services courants et des services aux adultes ainsi que l’ancienne Direc-tion des services à l’enfance, à la jeunesse et à la famille;

" Les membres du Conseil d’administration ont effectué plusieurs interventions publiquespour connaître les attentes de la population du quartier en matière de services addition-nels nécessaires pour répondre à leurs besoins à la suite du sous-financement qui toucheles services à domicile, les services à la jeunesse et les services en santé mentale;

" Le CLSC a analysé la charge de cas et la charge de travail des employés de la Directiondes services de soutien à domicile, plus particulièrement des infirmières;

" Le CLSC a entériné une série d’actes médicaux délégués et a, également, procédé àl’élaboration de nouvelles méthodes de soins.

LA STRUCTURE ORGANISATIONNELLE DU CLSC AHUNTSIC

Les effectifs du CLSC Ahuntsic en date du 31 mars 2002

Le nombre total des employés du CLSC Ahuntsic était de 252, en date du 31 mars 2002.

Le nombre d'employés ayant un statut d'équivalent temps plein était de 149 et 103 avaientun statut de temps partiel. De plus, le personnel cadre était composé de dix personnesà temps complet. Enfin, le CLSC Ahuntsic comptait treize médecins actifs, équivalantà 8,25 médecins à temps plein.

Pour ce qui est des heures rémunérées, elles sont passées de 408 752 à 394 060, soit unebaisse de 3,6 %.

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" Sur le plan des communications avec la population ainsi qu’avec ses employés, le CLSCa produit plusieurs documents:

• publication de onze chroniques dans le journal du quar-tier;

• publication de dix éditions du journal interne;

• publication du Répertoire des ressources à la communau-té d’Ahuntsic, édition 2002;

• élaboration de trois procédures touchant les relationsavec les médias, le traitement des demandes des étu-diants ainsi que le fonctionnement du Centre de docu-mentation.

Par ailleurs, le Service des communications a continué,comme par les années passées, à répondre aux nombreuses

demandes d’information, toujours à la hausse, en provenance du public et des employés.

La Direction des programmeset des services professionnels

La Direction des programmes et des services professionnels a pour mandat de soutenir lapratique professionnelle et d’assurer ainsi des services de la meilleure qualité possible àla population. Il s’agit d’un objectif primordial dans le contexte actuel d’alourdissementet d’accroissement des mandats confiés aux CLSC. Nos travaux permettent à l’établisse-ment de se donner un moyen unificateur pour intégrer, consolider et développer deséléments de coordination professionnelle tels que la philosophie d’intervention, l’enca-drement professionnel et la supervision, l’évaluation, la programmation, les stages, larecherche, l’amélioration de la qualité des services et l’éthique professionnelle.

L’AFFILIATION UNIVERSITAIRE ET LES STAGES

À titre de centre affilié à l’Université de Montréal, nous poursuivonset intensifions notre contribution à la formation universitaire d’unerelève que nous voulons bien équipée pour intervenir dans les servicesde première ligne. Conséquemment, nous participons régulièrementaux travaux du comité de coordination universitaire de l’enseigne-ment et de la recherche, ce qui nous permet de resserrer les liens quenous avons déjà avec les représentants des différentes facultés etécoles.

Édition 2002

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Au chapitre des sta-ges, nous avons ac-cueilli dans les dif-férentes directionsdu CLSC un total detrente-trois stagiai-res des niveaux uni-versitaire, collégial,secondaire ou dusecteur profession-nel. Les disciplinesconcernées sont lessciences infirmiè-res, le service so-cial, la psychologie,les techniques entravail social, l'aideà domicile effectuépar des auxiliairesfamiliaux, la sexolo-gie et l’hygiène den-taire.

Par ailleurs, notre affiliation avec l’Université de Montréal a franchi cette année une étapeimportante car, en plus de renouveler notre contrat d’affiliation pour une période de cinqans, nous avons collaboré à la mise sur pied d'un réseau composé de huit CLSC affiliés afin

d’améliorer l’enseignement et la recherche.

D'autre part, nous avons participé à différen-tes recherches.

" Nous collaborons au projet intitulé «Aucœur de la vie» qui a pour but de favoriserl’intégration des activités de promotionconcernant la santé du cœur à la pratiquequotidienne des intervenants de la Direc-tion des services à la communauté, sec-teur des services courants du CLSC Ahunt-sic. Ce projet émane de l’Institut nationalde santé publique du Québec en collabora-tion avec la Direction de la santé publiquede la Régie régionale de la santé et des ser-vices sociaux de Montréal-Centre.

" Nous avons collaboré aux trois recherchessuivantes à titre de membre de leur comitéconseil respectif:

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Daniel Corbeil, directeur général, en compagniedu Dr Gilles Paradis, épidémiologue, responsabledu projet «Au cœur de la vie» à la Direction de lasanté publique.

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! Recherche intitulée «Les modes d’appropriation de l’espace chez les jeunes Québécoisd’origine haïtienne et leur famille en HLM du quartier Ahuntsic (Montréal): des para-mètres pour un développement social» de l’Université du Québec à Montréal;

! Recherche intitulée «Ampleur et conséquences de la revictimi-sation: état de la situation chez les femmes qui consultent lesressources d’aide du Québec» du Centre de recherche interdisci-plinaire sur la violence familiale et la violence faite aux femmesde l’École de Service social de l’Université de Montréal.

! Nous avons collaboré au recrutement de dyades mères-enfants(garçons et filles de six à 12 ans) pour une recherche poursuiviepar des professeurs de l'Université de Montréal sur le thème dela violence faite aux femmes et à leurs enfants. En continuité avecleur recherche précédente sur l'identification des facteurs de

protection les plus susceptibles d'amoindrir les effets néfastes (troubles physiques,psychologiques et comportementaux) qu'engendre chez l'enfant le fait d'être témoin deviolence conjugale, il s'agit de connaître le point de vue des enfants exposés à ce type deviolence.

LE GROUPE DE TRAVAIL SUR L’ÉTHIQUE

Compte tenu de l’alourdissement des clientèles, de la complexité des problématiques etde la gestion du risque, les intervenants sont de plus en plus aux prises avec des situationsdifficiles et sont confrontés à des problèmes d’éthique. C’est pourquoi nous avons mis surpied un groupe de travail qui a pour mandat d’identifier les besoins des intervenants enmatière d’éthique professionnelle et de déterminer les moyens pour répondre à ces besoins.

Le groupe de travail est sous notre responsabilité et est constitué de représentants dupersonnel infirmier, psychosocial, médical et de réadaptation.

LES MESURES D’URGENCE PSYCHOSOCIALE

Dans le cadre du mandat dévolu par la Régie régionale de la santé et des services sociauxde Montréal-Centre aux CLSC concernant les mesures d’urgence psychosociales, le CLSCAhuntsic a constitué une équipe d’intervention. Certains membres de cette équipe sontintervenus à deux reprises cette année, soit à la suite d’une demande d’un HLM et d’unedemande d’une école primaire. Par ailleurs, les membres de l’équipe se sont réunis pourdes activités de formation continue et pour clarifier les rôles et les fonctions reliées à cemandat d’intervention.

LA PRATIQUE INFIRMIÈRE

La responsable des soins infirmiers travaille en collaboration avec la directrice des pro-grammes et des services professionnels. Vous trouvez ci-après son rapport annuel.

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LE RAPPORT ANNUEL DE LA RESPONSABLE DES SOINS INFIRMIERS

La responsable des soins infirmiers voit aubon fonctionnement du Conseil des infirmiè-res et des infirmiers et participe à ses travaux(voir le rapport annuel du Conseil en page24).

Par ailleurs, la responsable des soins infir-miers a piloté les dossiers suivants en coursd’année:

• Rencontres d’information avec les infirmiè-res sur la révision et l’ajout de nouveauxactes médicaux délégués et les procéduresinterdisciplinaires. Cette révision a été ef-fectuée en collaboration avec le CMDP etle CII;

• Élaboration de règles de soins pour l’admi-nistration d’une première dose de médica-ment;

• Élaboration du document «Compétenceprofessionnelle infirmière», approuvé par le CII;

• Élaboration et mise en application, avec les directions concernées, de la procédure destérilisation des petits instruments médicaux. Par la suite, enseignement de cetteprocédure au personnel concerné;

• Organisation des formations en réanimation cardiorespiratoire pour les infirmières,en collaboration avec le formateur des Résidences Laurendeau, Légaré, Louvain;

• Tenue de sept rencontres avec les adjointes clinique santé pour partager les informa-tions cliniques et développer le soutien professionnel des infirmières;

• Rencontre des infirmières nouvellement embauchées et des stagiaires pour les rensei-gner sur la philosophie et les méthodes de soins ainsi que sur le modèle McGill;

• Participation au processus d’analyse de plaintes pouvant toucher le personnel infir-mier;

• Participation aux comités d’établissement en ce qui concerne la pratique infirmièreet la qualité des soins;

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• Participation aux travaux sur les services de santé dans les établissements de détention;

• Échanges cliniques réalisés, entre autres, lors de trois rencontres de la Table des res-ponsables des soins infirmiers de la région de Montréal-Centre.

LE PROJET DE SOLIDARITÉ INTERNATIONALE

Le CLSC Ahuntsic s’est engagé dans le développement d’une mission exploratoire auNicaragua, en Amérique centrale. Il s’agit d’un projet de solidarité internationale qui a pourbut d’accroître notre connaissance des communautés culturelles et des populations auxprises avec la pauvreté. Ce projet cherche également à reconnaître, mettre à profit etenrichir les connaissances et les compétences des membres du personnel du CLSC ainsi qu’àimpliquer celui-ci dans des actions de solidarité internationale.

En collaboration avec SUCO-Nicaragua (Solidarité, Union et COopération), unorganisme québécois de coopération internationale, le Comité de solidaritéinternationale du CLSC Ahuntsic a réalisé une mission exploratoire au Nicaraguadans le but d’examiner les possibilités de jumelage entre le CLSC et différents

organismes de cette région qui offrent des services de santé et des services sociocommunau-taires au Nicaragua, un des pays les plus pauvres d’Amérique latine.

LE TRAITEMENT DES PLAINTES

Depuis avril 1999, notre direction a le mandat de traiter lesplaintes exprimées à l’endroit du CLSC.

LE RAPPORT

SUR L’APPLICATION DE LA PROCÉDURE DES PLAINTES

Cette année, nous avons analysé vingt plaintes dont dix-huitont été déposées par les usagers eux-mêmes, une par le re-présentant d'un usager et une par un assistant d'un usager.Aucune de ces plaintes n’a été rejetée sur examen prélimi-naire. Nous les avons examinées selon le processus internedéjà en place. Les vingt plaintes comportaient au totaltrente-sept objets portant sur l’accessibilité et la conti-nuité des services (dix-sept), les soins et les services dispen-sés (huit), les actes médicaux (cinq), les relations interper-sonnelles (quatre) et l’aspect financier (trois).

Ces objets de plainte ont été analysés et traités selon laprocédure générale: vingt-quatre ont nécessité une infor-mation adéquate aux plaignants et treize ont amené desmesures correctives.

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Pour ce qui est du délai de traitement des plaintes, cinq ont été traitées en moins detrente jours, treize autres à l’intérieur de soixante jours et deux avec plus de soixantejours. À la fin de l’exercice, le traitement de deux plaintes était en cours.

D’autre part, nous recevons certains commentaires de vive voix suggérant des amélio-rations. Nous tenons compte de ces propos et nous ajustons la situation dans la mesureoù il est possible de le faire et compte tenu de nos ressources.

En terminant, nous ne pouvons passer sous silence les très nombreux témoignages desatisfaction en regard des services dispensés à notre population et de la qualité d’in-tervention. Ces commentaires contribuent à valoriser et à stimuler notre travail d’aide etde support à la population du quartier Ahuntsic.

DES TÉMOIGNAGES DE SATISFACTION

«Dans les dernières semaines, ma mère et moi avons eu l’occasion de rencontrer unenouvelle infirmière.

Nous voulons vous dire que nous la trouvonsresponsable, compétente, habile et gentille. Noussommes certaines qu’elle saura faire un travailexceptionnel auprès des gens du quartier Ahuntsic.

Aussi, nous voulons ajouter que nous sommestoujours très satisfaites de la recevoir car elleprocure des soins de grande qualité. Récemment,elle est venue plus souvent nous voir pour sur-veiller une plaie. Elle n’a rien négligé et tout vabeaucoup mieux.

En terminant, nous voulons vous remercier de votre attention et vous assurer de nossentiments les meilleurs.»

«Par la présente, je voudrais vous souligner mon appréciation au sujet de la qualité dusupport que l'une de vos techniciennes en travail social m’a apporté lors d’une difficultédernièrement vécue en rapport avec un membre de ma famille.

Son niveau d’écoute, son soutien moral ainsi que sa compréhension vis-à-vis la situationd’urgence que je vivais ont été d’un précieux secours. Ce sont des qualités d’un travailprofessionnel que j’apprécie énormément en tant que cliente.»

«Je vous écris pour vous remercier pour votre formidable équipe.

Les secrétaires à l’accueil sont toujours souriantes, prennent le temps d’écouter etd’expliquer s’il y a lieu. Elles sont d’une grande patience avec les gens âgés ou avec les

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gens plutôt difficiles.

J’ai suivi une thérapie avec une de vos psychologue à la suite d’une tentative de suicide.J’étais dans un état pitoyable, plus aucune envie de vivre. Je ne faisais confiance à per-sonne. Avec cette psychologue, j’ai appris à me connaître sous un autre jour, voir la vietelle qu’elle est et «dealer» avec elle en me faisant confiance. Maintenant, je vis seule,dans un logement; jamais ne n’aurais cru cela possible avant.

J’ai aussi rencontré un médecin en santé mentale. Il prenait le temps qu’il fallait pourm’expliquer ce que c’était que la dépression, sous tous ses angles.

Je dois quitter votre équipe, car j’ai déménagé, mais cela, à contrecœur. Lorsque l’onn’est plus rien, l’on ne croit plus en rien et aucun espoir n’est possible. C’est alors quel’on a besoin de gens souriants et de leur patience, c’est à mon avis très important.

Je ne me suis jamais sentie une moins que rien aux yeux des gens de votre équipe, maisune personne en difficulté qui avait besoin d’aide.

Je change de CLSC, et j’espère que je n’y serai pas traitée comme un simple numéro.

Merci beaucoup à vous et à votre équipe.»

«C’est la première fois que je viens au CLSC pour accom-pagner ma fille. Pour nous, c’était une situation qui nepouvait attendre. Elle s’était levée le matin avec le visageenflé.

J’ai trouvé l’accueil excellent et les services aussi.

Félicitations et continuez!

Merci encore.»

«Au cours des récents mois de son stage, une de vos intervenantes était en charge dema mère. Au moment de quitter, alors qu’elle transmet le dossier à une autre tra-vailleuse sociale, je tiens à lui rendre un hommage bien mérité. Pendant cette période,elle a fait constamment la preuve d’une compétence, d’une maturité et d’un dévoue-ment qui méritent d’être reconnus. Ayant eu moi-même, tout au long de ma carrièreà l’Université de Montréal, bien que dans un autre domaine professionnel, la respon-sabilité de stagiaires, je crois pouvoir fournir cette appréciation en connaissance decause.

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La Direction des services à la communautéSECTEUR ENFANCE/FAMILLE

Nos services s’adressent tout d’abord aux familles qui ont des enfants de moins de cinq ans.Nous les dispensons également aux jeunes âgés entre six et onze ans lorsque l’école ne peutpas répondre à leurs besoins.

Notre équipe est composée d’intervenants de différentes professions qui dispensent desservices au CLSC, à domicile et dans les garderies du territoire. De plus, l’organisationcommunautaire assure une dimension d’intégration sociale très importante dans l’actua-lisation de ces services et dans le développement de services complémentaires aux famillesdans le quartier.

LA PÉRINATALITÉ

La venue d’un nouvel enfant est parfois l’occasion pour les familles de faire appel aux ser-vices du CLSC, que ce soit pour de l’information, une rencontre prénatale, une consultation,la vaccination de l’enfant, la pesée du nourrisson ou une visite à domicile.

Afin de répondre aux besoins des femmes enceintes qui vivent des situations difficiles, desservices plus spécifiques leurs sont offerts par le biais d’un suivi individuel au CLSC ou àdomicile, d’entrevues téléphoniques et de rencontres thématiques par petits groupes.

LES AVIS DE NAISSANCE

Sur réception des avis de naissance remplis par les divers centres accoucheurs, lesinfirmières du CLSC contactent tous les nouveaux parents du quartier. Ce contact a pourbut de s’enquérir de leur nouvelle situation de vie, de répondre à leurs questions, de lesinformer des ressources et des services disponibles tant au CLSC que dans le quartier.

LE PROGRAMME OLO

Le CLSC offre le programme OLO dans le cadre d’unprojet national destiné aux femmes enceintes défa-vorisées. Nous dispensons des services personnalisésen fonction des besoins de la clientèle. Ces servicescomprennent la distribution de suppléments alimen-taires, des activités de groupe et un suivi individuel.

L’ORIENTATION POSTNATALE

En 1994, le CLSC a adhéré à la démarche régionale d’implantation du système d’orientationpostnatale dans des situations problématiques. Ce projet vise une meilleure coordination

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des services d’aide à la famille entre le réseau hospitalier et les CLSC. Il tend à favoriserl’adaptation des parents à leur nouveau rôle et à prévenir ainsi les mauvais traitementsenvers leurs enfants. À la demande du centre hospitalier, nous contactons les parents partéléphone. C’est l’occasion d’évaluer la situation vécue à la maison depuis la sortie de lamère du centre hospitalier et d’intervenir à domicile en fonction d’un plan d’interventionconvenu avec les parents.

LES RENCONTRES PRÉNATALES

Depuis septembre 1998, nous offrons des rencontres prénatales sur une base régulière.

LES ACTIVITÉS PÉRINATALES EN MATIÈRE DE NUTRITION

«PURÉE SIMPLE»

Il s'agit d'une activité qui informe les jeunes mères sur l'introduction des aliments solidesà la diète des bébés. C’est l’occasion pour elles de parler de leurs préoccupations tellesque les allergies, le développement des habitudes alimentaires ou de tout autre problèmequ’elles vivent au quotidien.

LES ATELIERS DE CUISINE OLO

Ces ateliers de cuisine adaptée ont été mis sur pied pour que les jeunes mères développentles habilités nécessaires à la réalisation de recettes que l’on voudrait leur enseigner. Cetteactivité est construite pour qu’elles puissent goûter ce qu’elles confectionnent et ressentirun plaisir à cuisiner.

L’ALLAITEMENT

En collaboration avec l’Association de gardiennaged’Ahuntsic, des rencontres sur l’allaitement ont lieuau CLSC à chaque semaine et sont d’une durée detrois heures. Une infirmière du CLSC et un membrede l’Association coaniment ces rencontres fréquen-tées par une dizaine de mères à chaque semaine.

LES SERVICES AUX FAMILLES

LES SERVICES MÉDICAUX

Des services médicaux, sur recommandation des intervenantes de l’équipe, sont toujoursdisponibles pour certaines familles. Toutefois, le suivi des mères devient problématiqueen raison du peu de ressources médicales disponibles.

L’IMMUNISATION

Les infirmières s’assurent de compléter le calendrier de vaccination des enfants de moinsde vingt-quatre mois et d’âge préscolaire. Ce service, également disponible auprès des

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pédiatres, se donne sur rendez-vous.

LES SERVICES PSYCHOSOCIAUX

Afin de supporter les familles qui vivent des difficultés d’ordre psychosocial, lesintervenants sociaux dispensent des consultations soit individuelles, soit en couple ou soiten famille, au CLSC ou à domicile. Ces consultations se font dans un contexte departicipation volontaire et respectent l’entente préalablement survenue entre la personneet l’intervenant.

Les intervenants sociaux agissent aussi comme personnes-ressources auprès des autresprofessionnels de l’équipe et sont intégrés à des groupes d’intervention, notamment pourle projet OLO et pour les ateliers de stimulation pour les enfants âgés entre six mois et deuxans.

Les intervenants s’impliquent aussi dans des activités ponctuelles (éducatives et de for-mation) par des présentations dans des groupes communautaires du quartier.

LA DÉFICIENCE INTELLECTUELLE ET PHYSIQUE

Nous répondons aux besoins généraux de la population en matièrede déficience intellectuelle et physique et aux besoins particuliersdes familles qui ont un enfant handicapé et nous sommes en contactavec un réseau de ressources qui dessert des clientèles similaires.

LE PROGRAMME DE RÉPIT POUR LES FAMILLES

Nous offrons des services d’auxiliaires éducatrices à des jeunes mères qui viennent toutjuste d’avoir leur bébé et qui, temporairement, ne sont pas en mesure d’accomplircertaines tâches quotidiennes.

Le plan d’intervention que nous établissons avec la famille prévoit que l’on profite de cetteoccasion pour leur inculquer quelques notions de prévention.

LES ATELIERS DE STIMULATION

Nous offrons des ateliers de stimulation précoce à des familles. Ces ateliers comprennentdix rencontres et sont répartis en deux groupes selon l’âge de l’enfant: un groupe pour lesmoins de six mois et un pour les six à douze mois.

LES ENTENTES DE SERVICES

En pédopsychiatrie, nous poursuivons notre entente de services professionnels avec lePavillon Albert-Prévost. Cette entente permet aux enfants et à leurs parents d’avoir accèsà l’avis d’un pédopsychiatre sur demande d’un professionnel du CLSC.

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LE RÉSEAU DES SERVICES DE GARDE

Nous assurons une liaison régulière avec l’ensemble des garderies du territoire.

Le programme de base comprend notamment les activités de surveillance des immunisa-tions, le dépistage et la prévention de problèmes de santé, la promotion d’un environne-ment sécuritaire et l’information sur les maladies infectieuses. Nous sommes égalementen mesure de faire des discussions de cas avec le personnel et les responsables des garderiesrelativement au dépistage de situations de négligence, de troubles de comportement oude situations familiales qui rendent difficile l’adaptation de l’enfant en garderie.

La Direction des services à la communautéSECTEUR JEUNESSE/FAMILLE

[POUR LES SIX À ONZE ANS]

Les services à la jeunesse et à la famille sont offerts aux jeunes âgés de six à vingt-quatreans ainsi qu’à leur famille. Des services de base sont assurés dans les écoles publiques duquartier. Au primaire, nous offrons des services de santé, d’intervention sociale etd’hygiène dentaire. Au secondaire et au cégep, seuls les services de santé y sont dispenséssur place. Les interventions au CLSC ou à domicile sont adaptées afin de mieux joindre lespopulations les plus vulnérables, par une approche globale des besoins des jeunes et de leurfamille, tant pour le volet social que pour le volet santé.

LA SANTÉ PHYSIQUE

Les infirmières en santé scolaire rencontrent les enfantsindividuellement pour dépister les problèmes biopsy-chosociaux éventuels. Après évaluation, elles orien-tent l’enfant selon le problème observé et par la suiteassurent le suivi. En outre, elles procèdent à l’étude dela fiche de santé de l’enfant, au contrôle de son étatvaccinal et au dépistage de problèmes auditifs et vi-suels qui pourraient l’affecter. Enfin, elles appliquentles programmes de prévention et de promotion de lasanté en rencontrant les enfants dans les classes.

L’INTERVENTION PSYCHOSOCIALE EN MILIEU SCOLAIRE

Les intervenants sociaux en milieu scolaire voient au développement des jeunes en utilisantdifférents moyens: les informations et les conseils aux directeurs et au personnel des écoles,l’intervention directe auprès de l’élève, de ses parents et de son réseau ainsi que l’orienta-tion vers des ressources appropriées. Les intervenants effectuent également des rencon-tres de groupe dans certaines écoles où il y a des jeunes qui vivent des situations par-ticulières. Enfin, nous avons également utilisé l’action communautaire pour aider certaines

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écoles à faire face à des problèmes sociaux particuliers.

L’HYGIÈNE DENTAIRE

Le programme provincial en hygiène dentaire est implanté depuis1994 pour les écoles du territoire. Les hygiénistes dentaires procè-dent annuellement à l’identification des enfants à risque élevé decarie dentaire par un dépistage systématique chez les jeunes à lamaternelle. À la suite de ce dépistage, un suivi individuel est offertpour les jeunes qui sont vulnérables à la carie dentaire, à raison dedeux rencontres par année, pendant les trois premières années duprimaire. En 3e année, il y a une évaluation de l’impact du program-me sur la santé dentaire des jeunes.

Par ailleurs, nous organisons plusieurs activités de prévention et de promotion de saineshabitudes de vie dans les classes de 4e année, les classes d’accueil et les classes spéciales.

SECTEUR JEUNESSE/FAMILLE

[POUR LES DOUZE À VINGT-QUATRE ANS]

LA CLINIQUE DES JEUNES

Les jeunes de douze à vingt-quatre ans sont invités à fréquenter la clinique des jeunes duCLSC. Ces jeunes doivent habiter sur le territoire d’Ahuntsic ou fréquenter une des écolesdu quartier. Ils peuvent se présenter sans rendez-vous lors d’une première visite, tant pourune consultation en service social que pour des soins infirmiers. Après évaluation, ilspourront être orientés, selon les besoins, pour une consultation médicale au CLSC (troisplages horaire sont disponibles par semaine), vers une clinique du quartier ou vers l’équipesociale de suivi à l’intérieur de la direction.

LA SANTÉ SCOLAIRE AU NIVEAU SECONDAIRE

Les infirmières offrent des services de promotion et de prévention dans les écolessecondaires publiques du quartier. Les projets mis en place pour les jeunes varient selonles milieux. Parmi ceux-ci, mentionnons notamment «Pairs aidants», «Ruban en route»,«Cuisine collective», «Stands d’information», «Relations amoureuses», «Tabagisme».

LE SUIVI PSYCHOSOCIAL

Les jeunes ont accès à un service d’accueil et d’évaluation psychosociale tous les jours dela semaine. Au besoin, ils sont orientés vers notre équipe de suivi psychosocial. Lesconsultations concernent particulièrement les relations parents/enfant. Les parents sontdonc systématiquement impliqués dans le plan d’intervention offert aux jeunes.

Il est de plus en plus évident que les situations vécues par les jeunes sont ressenties avec

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une plus grande intensité et ont tendance à se complexifier devant les services limités duréseau et les changements de pratique qui renforcent le maintien dans le milieu.

LE PROJET JEUNESSE D’AHUNTSIC

Parmi les dossiers d’action communautaire, le plus important est sans con-tredit le Projet jeunesse d’Ahuntsic qui en est à sa troisième année. Rap-pelons que la Régie régionale de la santé et des services sociaux du Montréalmétropolitain a proposé, en mai 1998, de développer à Montréal et d’icil’an 2002, un projet jeunesse de services intégrés à l’intention des enfants,des adolescents, des jeunes adultes et de leurs parents. Le CLSC a reçu lemandat d’animer et de coordonner les démarches devant permettred’élaborer un plan d’action local de services intégrés et de s’assurer, avecses partenaires, de sa mise en œuvre.

Nous avons consacré la première année du projet à élaborer le portraitsociodémographique des jeunes de moins de vingt-quatre ans et de leurfamille sur le territoire du CLSC.

Durant la deuxième année, le comité local de coordination a poursuivi méthodiquementses travaux en colligeant dans un recueil les principales actions ou activités à entreprendreou à consolider dans le quartier. Le comité a procédé à de nombreuses consultations auprèsde 250 intervenants regroupés par groupe d’âge. L’intérêt est de permettre aux diversintervenants de se côtoyer et de dégager certaines actions rassembleuses en fonction deleur possibilité de financement et de leur degré de réalisation.

Cette année, le CLSC a développé, à partir des orientations régionales, un plan d’inter-vention intersectoriel. Avec un financement adéquat, le CLSC pourra mettre sur pied desprojets pour améliorer les services aux jeunes. Déjà, certaines actions locales ont étéentreprises.

LES MANDATS SPÉCIAUX

Le CLSC gère, pour son territoire, l’application de deux programmes provinciaux, soit leProgramme de soutien aux familles qui vivent avec une personne handicapée ainsi quel’inscription aux colonies de vacances des jeunes de six à dix-sept ans qui sont suivis auCLSC.

LE SOUTIEN AUX FAMILLESQUI VIVENT AVEC UNE PERSONNE HANDICAPÉE

Ce programme a pour objectif de soutenir financièrement les familles qui vivent, de façonchronique et intense, des périodes de grande fatigue et de stress à cause de la chargesupplémentaire créée par le handicap de leur enfant.

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Depuis décembre 1995, nous assurons la gestion de ce programme. Nous accueillons etévaluons les demandes d’aide financière, et nous admettons les familles selon les critèresdu programme cadre. Nous statuons ensuite sur le montant d’allocation par famille enfonction de grilles de mise en priorité établies selon la région. Nous assurons l’allocationfinancière et réévaluons les besoins selon le plan d’intervention convenu avec la famille.

LES COLONIES DE VACANCES

Les CLSC de Montréal ont accepté, depuis 1999, la gestion du programme des colonies devacances auparavant centralisé au Centre jeunesse de Montréal et au Centre Batshaw. Aubudget annuel alloué pour notre territoire, s’ajoute une contribution volontaire des pa-rents, versée entièrement à l’ajout de places pour des besoins spéciaux en camp d’hiverou en camp d’été.

LA VACCINATION CONTRE LA MÉNINGITE

Dans le cadre de l’opération de vaccination contre la méningite, quis’est déroulée de juillet 2001 à la fin de mars 2002, le CLSC a vacciné18 500 jeunes âgés de 2 mois à 20 ans dans les écoles, dans les garderieset au CLSC.

La Direction des services à la communautéSECTEUR ADULTES ET SERVICES COURANTS

Le secteur adultes et services courants est la porte d’entrée pour la majorité de la clientèleambulatoire adulte du quartier.

Les services courants englobent le domaine de la santé physique et celui de la santé psy-chosociale. Les services aux adultes comprennent, quant à eux, la santé mentale, l’actioncommunautaire et l’application du programme VIH-sida en milieu carcéral.

Par ailleurs, ce secteur est responsable des services de réception, de téléphonie etd’archives pour l’ensemble du CLSC et du Système d’information clientèle qui traite lesdonnées statistiques reliées aux services rendus à la population du territoire.

LES SERVICES AUX ADULTES

LA SANTÉ MENTALE

L’équipe de santé mentale est composée de professionnels de disciplines diverses (psy-chologie, service social, sciences infirmières, organisation communautaire, médecine).Nous privilégions, lorsque c’est possible, le regroupement d’intervenants en fonction deprojets cliniques spécifiques ou de clientèles cibles: les personnes qui souffrent de troubles

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transitoires, de troubles sévères et persistants, de problèmes psychosociaux ou, encore,de déficience intellectuelle ou physique. L’intervention psychosociale se fait de façonconcertée auprès d’individus, de groupes et d’organismes communautaires.

L’INTERVENTION DE GROUPE

Nous avons développé des groupes thérapeutiques qui répondent bien aux besoins desparticipants et brisent leur isolement.

Avec son approche thérapeutique cognitivo-comportementale, le groupe «Point de vue»offre une démarche qui aide plus spécifiquement lesgens qui présentent des problèmes liés à des symptômesdépressifs ou d’anxiété.

Un deuxième groupe thérapeutique, appelé «L’Ouver-ture», permet à la clientèle aux prises avec diversproblèmes de type transitoire de vivre une expériencede groupe à partir d’une approche brève orientée versles solutions.

De plus, nous poursuivons toujours nos efforts decollaboration et de rapprochement avec le PavillonAlbert-Prévost de l’Hôpital du Sacré-Cœur de Mon-tréal. Nous en sommes arrivés à une concertation plusétroite, au grand bénéfice de la clientèle que nousdesservons, et nos efforts mutuels ne peuvent quecontinuer.

En ce qui concerne le suicide, des efforts concertés avec différents organismes tels queSuicide-Action Montréal, le Centre de crise IRIS, le centre Dollard-Cormier et le PavillonAlbert-Prévost, nous ont permis de signer un protocole d’intervention. Ce protocole adonné naissance au Projet Marco qui a pour but de venir en aide aux personnes suicidaireset plus particulièrement de réduire le temps d’attente pour répondre à cette clientèle.

L’ACTION COMMUNAUTAIRE

L’action communautaire reconnaît la capacité des citoyens d’agir sur leur santé. Elle estporteuse de solutions collectives et soutient le développement du potentiel de lacommunauté. Elle contribue à la mise sur pied d’organismes ou appuie des organismes déjàexistants qui en ont besoin. Elle participe à l’identification des enjeux locaux et renforceles initiatives du milieu. Elle favorise et joue un rôle actif dans la concertation locale afinde faire converger les efforts déployés et mener des actions préventives avec le milieu,visant notamment les personnes en situation de pauvreté et d’exclusion sociale.

Cette année, nos principales collaborations avec nos partenaires ont été les suivantes.

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SOLIDARITÉ AHUNTSIC

Solidarité Ahuntsic est une table de concertation locale qui regroupe des organismes detous les secteurs d’activités ainsi que des citoyens du quartier et qui œuvre dans le domainedu développement social. Cette dimension du développement fait référence, selon leConseil de la santé et du bien-être,

«à la mise en place et au renforcement, au sein des communautés, à l’échelle dela collectivité, des conditions requises pour permettre, d’une part, à chaqueindividu de développer pleinement ses potentiels, de pouvoir participer active-ment à la vie sociale et de pouvoir tirer sa juste part de l’enrichissement collectif,et, d’autre part, à la collectivité de progresser, socialement, culturellement etéconomiquement, dans un contexte où le développement économique s’orientevers un développement durable, soucieux de justice sociale».

Cette table de concertation multisectorielle se développe rapidement et rallie la presquetotalité des acteurs communautaires et institutionnels du quartier. La participation du CLSCaux activités de concertation générées par cette table représente un investissementimportant en organisation communautaire. À titre d’exemple, mentionnons la démarcheconcertée de lutte contre la pauvreté, la prévention de l’itinérance, le transport pour lesaînés et pour d’autres clientèles à mobilité réduite, le développement de logementssociaux, la réflexion sur les problèmes qui affectent la petite enfance, les locaux pour lesorganismes communautaire. Il est donc pertinent de poursuivre notre participation auconseil d’administration de cet organisme et de maintenir nos collaborations. Les travauxde la prochaine année porteront sur les orientations à long terme, la finalisation des travauxd’accessibilité, le financement du centre communautaire et la consolidation des projetsen cours.

LE CENTRE COMMUNAUTAIRE D’AHUNTSIC

Le manque d’espace à un coût abordable ainsique la dispersion géographique des organis-mes communautaires étaient des problèmesbien connus dans le quartier depuis une bonnequinzaine d’années. L’an dernier, SolidaritéAhuntsic et le CLSC ont réussi à réunir le finan-cement nécessaire à l’acquisition et à l’amé-nagement d’une ancienne école et, par lasuite, à la mise sur pied d’un centre commu-nautaire qui rassemble actuellement dix-neuforganismes communautaires. En plus d’obte-nir un loyer modique, les organismes collecti-visent certains services, partagent des espa-ces ainsi que des équipements et prennentpart à la gestion du Centre. Ce centre communautaire permet donc de réaliser des écono-

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mies importantes et favorise la concertation et la vie communautaire tout en rendant cesressources plus accessibles aux citoyens et citoyennes.

LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ

Nous collaborons, toujours avec Solidarité Ahuntsic, à un projet de développement socialpour contrer la pauvreté dans les HLM Saint-Benoît, Saint-Sulpice, André-Grasset etMeunier-Tolhurst. Ce projet permet aux organismes impliqués de mobiliser les résidentspour qu’ils prennent en charge leur milieu de vie et pour qu’ils trouvent des solutions auxproblèmes et aux difficultés qu’ils vivent.

Dans cette optique, la Maison Fleury a ouvert ses portes à la communauté d'Ahuntsic. Il s'agitd'un local communautaire où l'on peut trouver différents services, notamment des con-sultations juridiques individuelles sur les droits des locataires et les démarches à suivre pourbénéficier d'un logement social dans Ahuntsic, des cours de francisation, des séancesd’information sur la recherche d’emploi, des cuisines collectives organisées par le Servicede nutrition et d'action communautaire (SNAC) en collaboration avec La Nouvelle Maisondes grands-parents, des séances d'information sur les services du CLSC Ahuntsic, de l'aideaux devoirs et des activités récréatives.

D’autre part, le CLSC a entrepris une démarche à l’interne qui vise à soutenir les inter-venants dans leurs actions en contexte de pauvreté.

LA CLÉ DES CHAMPS

La Clé des champs vient en aide aux personnes qui souffrent d’agora-phobie et de phobie sociale. Nous poursuivons avec cet organisme unedémarche de consolidation qui, avec l’ajout de financement, lui permetd’étendre son rayonnement en formant et en soutenant d’autres groupesd’entraide du même genre qui désirent voir le jour dans la régionmétropolitaine et même dans d’autres régions.

LES HABITATIONS DE LA VISITATION

Les Habitations de la Visitation offrent vingt-six logements sociaux à loyer modique pourdes personnes atteintes de troubles de santé mentale. La création de cet organisme est lefruit d’un partenariat entre le CLSC Ahuntsic, l’Office municipal d’habitation de Montréal,la Maison l’Éclaircie et le Regroupement des ressources alternatives du Nord.

Nous nous impliquons dans les activités de cet organisme en participant au comité de gestionet au comité de sélection des nouveaux locataires.

LA CONNAISSANCE DU QUARTIER

Les différentes données sur le quartier sont centralisées et diffusées au fur et à mesure en

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fonction de leur pertinence sur le site Internet du CLSC, dans son Rapport annuel, etc.).Par ailleurs, le CLSC procédera à la mise à jour de la carte de quartier en collaboration avecSolidarité Ahuntsic.

L'ITINÉRANCE

Nous participons à un projet communautaire sur la prévention de l'itinérance dans lessecteurs Ahuntsic et Bordeaux/Cartierville. Ce projet vise à établir une certaineconcertation entre les ressources pour favoriser l'accessibilité des itinérants, de ceux quirisquent de le devenir ainsi que des utilisateurs de drogues injectables, aux services quipeuvent leur venir en aide et qui existent déjà dans la communauté.

LE PROGRAMME DE DÉPISTAGEDU VIH-SIDA ET DES MTS EN MILIEU CARCÉRAL

Le programme de dépistage du VIH-sida et des MTS en milieu carcéral entame sa neuvièmeannée d’existence. Le maintien de ce programme est rendu possible grâce à une subventionde la Régie régionale de la santé et des services sociaux de Montréal-Centre et de laDirection de la santé publique.

L’équipe qui applique ce programme est composée de cinqprofessionnelles, de trois infirmières, d'une agente de relationshumaines et d'une sexologue. Elles sont présentes dans les troiscentres de détention de Montréal: la Maison Tanguay, l’Établis-sement de détention de Montréal (Bordeaux) et le Centre dedétention de Rivière-des-Prairies, ce qui exige une logistiqueparticulière. Les détenus peuvent y recevoir des services desanté physique et mentale. L’expertise développée au fil desannées est de plus en plus grande. Les membres de l’équipeoffrent à la fois de l’intervention individuelle et de l’interven-

tion de groupe. En outre, ils vaccinent les détenus contre l'hépatite A et l'hépatite B etvoient au dépistage des MTS.

Nous avons pour objectifs d’inciter les détenus à contacter notre service de préventionet de dépistage du VIH-sida et des MTS et de les encourager à se faire vacciner contrel’hépatite virale. Les personnes ciblées sont celles qui sont vulnérables aux hépatites A etB, les porteurs chroniques d’hépatite C, les utilisateurs de drogues injectables et leurspartenaires sexuels, les prostituées, les jeunes consommateurs de cocaïne et d’héroïne etles détenus qui portent des tatouages.

Les services courants comprennent l’ensemble des activités qui visent à assurer une réponseimmédiate à toute personne qui s’adresse au CLSC, sur place ou par téléphone, pour desproblèmes de santé de nature physique, psychosociale ou sociale. Ces services sont offertspar trois groupes de professionnels, soit les médecins et les infirmières, les intervenantspsychosociaux et les organisateurs communautaires.

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La Direction des services à la communautéLES SERVICES COURANTS

LA SANTÉ PHYSIQUE

Les médecins et les infirmières des services courants jouent un rôle de premier plan dansl’accueil, l’évaluation clinique, l’intervention de première ligne et l’orientation des ci-

toyens dans le système de santé et de servicessociaux ainsi que dans le réseau des servicescommunautaires. Ils collaborent avec les autresprofessionnels de la santé, dans un contexte decontinuité et de complémentarité, afin d’as-surer un service de qualité sans faire abstrac-tion de la famille et de l’environnement.

La diversité de la clientèle et l’évolution desproblématiques sociosanitaires font en sorteque ces professionnels se doivent de toujoursêtre à la fine pointe des connaissances dans ledomaine de la santé. Leur expertise s’appuiesur une somme considérable de connaissancesscientifiques et cliniques, théoriques et pra-tiques ainsi que sur une vaste expérience. Ilsdoivent porter des jugements exacts sur dessituations globales de santé.

Les services de santé physique sont dispensés de trois façons: à la clientèle qui se présenteau CLSC, à celle qui contacte Info-Santé et à celle qui est détenue en milieu carcéral.

LA CLINIQUE AMBULATOIRE

Les services courants du CLSC sont offerts à la population du lundi au vendredi, de 8 h à20 h, et les fins de semaine, de 8 h à 16 h. Souvent, les gens viennent d’eux-mêmes pourune consultation, mais ils peuvent aussi nous être orientés par les centres hospitaliers, lescliniques médicales ou encore par la Direction des services de soutien à domicile. Lesservices médicaux sont offerts sur rendez-vous. Pour les soins infirmiers, la clientèle peutse présenter aussi sans rendez-vous.

Le personnel clinique responsabilise les usagers afin qu’ils puissent se donner eux-mêmesles soins qu’ils requièrent en leur enseignant ce qu’il faut faire ou en leur donnant del’information sur des ressources appropriées disponibles dans le quartier.

C'est dans cette optique que nous collaborons au projet intitulé «Au cœur de la vie», lequela pour but de favoriser l’intégration des activités de promotion concernant la santé du cœur

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à la pratique quotidienne des intervenants du secteur des services courants et des servicesaux adultes de la Direction des services à la communauté du CLSC Ahuntsic. Ce projet émanede l’Institut national de santé publique du Québec en collaboration avec la Direction dela santé publique de la Régie régionale de la santé et des services sociaux de Montréal-Centre.

Le CLSC Ahuntsic possède un centre de prélèvements ouvert du lundi au vendredi, sauf lesjours fériés, de 7 h 30 à 11 h 30. Ce service est offert sans rendez-vous, à toute la population,sans discrimination de territoire du domicile de l’usager.

INFO-SANTÉ

Info-Santé est une ligne téléphonique qui permet àla population de contacter une infirmière vingt-quatre heures par jour, sept jours par semaine.L’infirmier d’Info-Santé est en mesure d’évaluer lasituation de santé du client, pour ensuite lui prodi-guer des conseils ou l’orienter vers une ressourceappropriée, que ce soit dans le domaine de la santéphysique, mentale ou psychosociale. De plus, ce ser-vice permet de détecter des problèmes de santépublique et d’agir plus rapidement, évitant ainsi une

détérioration de la situation ou une hausse de l’anxiété chez la population vis-à-vis unproblème de santé.

L'INFLUENZA

Les services de santé physique, ce sont aussi des activités qui s’adressent à toute lacommunauté. À titre d’exemple, mentionnons la campagne de vaccination contre l’in-fluenza (grippe) qui a lieu à chaque automne. Plus de 2 200 personnes ont été vaccinéescette année, soit les personnes âgées de 65 ans et plus ainsi que les personnes qui souffrentde maladie chroniques.

LA SANTÉ PSYCHOSOCIALE

Nous offrons des services de consultation psychosociale sans rendez-vous, sur place ou autéléphone, de 8 h à 20 h, du lundi au vendredi, ainsi que de 8 h à 16 h les fins de semaineet les jours fériés.

Notre accueil psychosocial offre un service complet d’accueil, d’évaluation et d’orienta-tion tout en effectuant, le cas échéant, une intervention massive en situation de crise. Aprèsévaluation de la demande, nous pouvons soit donner une réponse immédiate, soit orienterla personne vers un programme spécifique du CLSC, soit la diriger vers une ressourcecommunautaire ou vers un autre établissement du réseau.

Les demandes qui nous sont adressées sont diversifiées, mais il s’agit surtout de demandes

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de support pour traverser une crise situationnelle causée, entre autres, par une perturbationde la situation familiale, une perte d’emploi, etc. Nous répondons aussi à un grand nombrede demandes de dépannage ou encore d’information sur les ressources du milieu.

Enfin, nous poursuivons notre collaboration avec le Service de police de la Communautéurbaine de Montréal pour venir en aide aux familles victimes de violence. Nous collaboronsaussi avec le CLSC du Plateau Mont-Royal pour offrir des services d’aide aux victimes deviolence conjugale et familiale de notre territoire qui sont aux prises avec des démarchesjudiciaires à la Cour municipale ou à la Cour du Québec.

La Directiondes services de soutien à domicile

Les services offerts par la Direction des services de soutien à domicile ont encore faitl’objet de beaucoup de publicité cette année, surtout à cause du manque de ressourcesfinancières pour répondre de façon adéquate aux besoins grandissants de notre clientèle.Des représentations soutenues, auprès des différentes instances, ont permis de faire con-

naître la réalité de cette clientèle qui nécessite dessoins et des services pour recouvrer la santé et évi-ter ainsi une hospitalisation ou un hébergement per-manent.

De façon générale, ces services sont destinés à toutepersonne, peu importe son âge, qui souffre d’inca-pacités temporaires ou permanentes, ou qui pré-sente des risques de perte d’autonomie permanen-te.

Nous offrons également des services aux proches. Ce sont ceux et celles qui composentl’entourage immédiat de la personne, à savoir un membre de la famille, un ami ou un voisin,qui assurent de façon régulière un soutien émotif et des services variés pour compenserles incapacités de la personne.

Les services que nous offrons sont les suivants:

• Accueil, évaluation et orientation des demandes de service (de 8 h à 20 h, du lundi auvendredi; après 20 h, c’est la Centrale Info-Santé du CLSC Villeray qui prend la relève);

• Évaluation des besoins et élaboration d’un plan de services (de 8 h 30 à 16 h 30, du lundiau vendredi; horaire variable le soir);

• Coordination des demandes de services de longue durée à domicile ou en hébergement[guichet unique] (de 8 h 30 à 16 h 30, du lundi au vendredi; horaire variable le soir);

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• Coordination des services de longue durée à domicile [gestion de cas] (de 8 h 30 à16 h 30, du lundi au vendredi; horaire variable le soir);

• Soins infirmiers (de 7 h à 23 h, sept jours par semaine; après 23 h, c’est la Centrale Info-Santé du CLSC Villeray qui prend la relève);

• Services d’aide et d’assistance à domicile (de 7 h à 23 h, sept jours par semaine; après23 h, c’est la Centrale Info-Santé du CLSC Villeray qui prend la relève);

• Services psychosociaux (de 8 h 30 à 16 h 30, du lundi au vendredi; horaire variable lesoir);

• Services de réadaptation fonctionnelle à domicile [physiothérapie et ergothérapie] (de8 h 30 à 16 h 30, du lundi au vendredi; horaire variable le soir);

• Services médicaux à domicile (de 8 h 30 à 16 h 30, du lundi au vendredi); vingt-quatreheures par jour, sept jours par semaine, sur appel, pour les personnes en phase terminale;

• Action communautaire (de 8 h 30 à 16 h 30, du lundi au vendredi; horaire variable le soiret les fins de semaine).

L’ACTION COMMUNAUTAIRE

L’apport des nombreux bénévoles qui œuvrent au sein d’organismes communautaires oud’associations qui viennent en aide aux personnes en perte d’autonomie est très important.

Nous travaillons en étroite collaboration avecces précieux partenaires. Le développementet l’organisation communautaire sont essen-tiels pour assurer cette concertation et cettecomplémentarité de services. Nous désironsfaire connaître davantage la réalité quoti-dienne de nos organisateurs communautaires.

Précisons d’abord que les organisateurs communautaires travaillent toujours en collabo-ration avec des gens et des organisations du quartier. Leur préoccupation première est derester collés à la réalité du terrain et aux besoins ressentis et exprimés par un groupe depersonnes.

À la Direction des services de soutien à domicile, la contribution des organisateurscommunautaires se traduit en soutien direct aux usagers et aux intervenants. Lesorganisateurs communautaires consacrent une partie importante de leur travail à négocieravec les gens du milieu pour trouver les ressources nécessaires qui répondront à des besoinsspécifiques et variés: organiser le déménagement à coûts minimes d’une personnehandicapée sans réseau, trouver une aide financière pour le transport quotidien à l’hôpital

aimtadistrict11.org/accueil.html

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de personnes qui doivent subir des traitements de chimiothérapie, obtenir gratuitementet livrer quotidiennement pendant quelques semaines des repas à domicile à une personnesans revenu, trouver une aide pour défrayer les coûts d’installation d’aides techniques dansune salle de bain, dépanner une famille dans le besoin, sans mobilier et sans revenu, etc.

LA RÉORGANISATION DU TRAVAIL

Afin de répondre de façon adéquate aux besoins de notre clientèle et compte tenu de nosressources financières limitées, nous mettons à contribution l’ensemble de nos intervenantspour identifier nos priorités d’interventions et pour réorganiser le travail de chacun. C’estpourquoi nous utilisons des listes d’usagers en attente de services afin d’établir la prioritédes demandes comme il se doit.

Par ailleurs, nous centralisons la gestion de ces listes à cause du nombre important d’usagersen attente de services et par souci de répondre équitablement aux demandes, quelle qu’ensoit la provenance. En outre, ces demandes sont classées en fonction des risques encouruspar l’usager ou ses proches: «risques imminents», «risques probables», «risques possibles»et «aucun risque».

Ce système permet de cibler davantage nos actions communes pour continuer à offrir unservice de qualité à notre clientèle.

LES MALADIES PULMONAIRES OBSTRUCTIVES

Nous avons intégré les services respiratoires (dépistage, suivi continu, enseignement,réadaptation respiratoire, etc) à la gamme de services du CLSC, selon une approche globaleet multidisciplinaire, pour assurer une continuité de soins et de services auprès de laclientèle atteinte de maladie pulmonaire obstructive chronique et ce, dans le cadre d’unprogramme régional.

La Direction des services administratifsLes services administratifs, qui apportent un supportimportant à l’ensemble des activités du CLSC, coordon-nent la gestion des ressources humaines, techniques etfinancières. La gestion des ressources humaines assurel’embauche du personnel, l’administration des avantagessociaux, la mise à jour du dossier de l’employé etl’application des diverses conventions collectives.

La gestion des ressources techniques comprend les services d’entretien ménager ainsi quel’entretien et le fonctionnement des installations et des équipements. Enfin, la gestion desressources financières englobe les achats, la rémunération des employés et la comptabilité(rapports financiers et statistiques).

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LES RESSOURCES HUMAINES

Toujours dans le but de faciliter l’adaptation du personnel aux changements et d’améliorerle bien-être des employés, le CLSC poursuitl’application du Plan de développement desressources humaines qui met l’accent sur lesactivités de formation des employés et dupersonnel d’encadrement.

Dans le cadre de la prévention de la violenceen milieu de travail, le CLSC a poursuivi sestravaux en favorisant un climat sécuritairetant pour la clientèle que pour les employés.Tout en continuant de diffuser et d’appliquerla politique en vigueur, le CLSC a actualisécertaines actions ciblées.

Tous les établissements de santé ont reçu une évaluation concernant leur taux d’absen-téisme au travail, évaluation prévue dans le dossier intitulé «L’urgence et le temps d’agiren santé mentale». Aux différentes actions préventives déjà en place au CLSC (Programmed’aide aux employés, Plan de développement des ressources humaines, formation desemployés, supervision clinique, etc.), nous avons élaboré un plan d’action local qui inclutune entente de services avec le bureau de santé des Résidences Laurendeau, Légaré,Louvain.

Le CLSC a expérimenté cette année un projet pilote pour appliquer la semaine de quatrejours pour les auxiliaires familiaux de la Direction des services de soutien à domicile. Cetteexpérimentation vise à améliorer la qualité de vie au travail tout en maintenant la qualitédes services dispensés à la clientèle.

LES RESSOURCES TECHNIQUES

Sur le plan informatique, le CLSC aprocédé à la mise à jour de son plandirecteur en fonction de l’évolutiondes besoins dans chaque direction et entenant compte des développementsdes nouveaux logiciels. Par ailleurs, leCLSC a mis en place une politique desécurité du réseau.

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LES RESSOURCES FINANCIÈRES

Les revenus du fonds d’exploitation se sont élevés à 12 624 702 $ (6,81 % d’augmentation)comparativement à des dépenses de 12 470 193 $, ce qui laisse un surplus de 154 509 $.

LA PROVENANCE DES REVENUS

" Financement de la Régie régionale de Montréal-Centre:11 962 189 $ (94,75 %)

" Autres sources (ministère de la Sécurité publique, revenus d’intérêt, stages, etc):662 513 $ (5,25 %)

" Total: 12 624 702 $ (100 %)

LES DÉPENSES PAR DIRECTION

" Direction des services de soutien à domicile:5 504 359 $ (43,60 %)

" Direction des services à la communauté:5 109 089 $ (40,47 %)

• Secteur enfance, jeunesse, famille:2 558 014 $ (20,26 %)

• Secteur adultes et services courants:2 551 075 $ (20,21 %)

" Direction générale et Direction des services administratifs:848 570 $ (6,72 %)

" Direction des programmes et des services professionnels:400 870 $ (3,18 %)

" Fonctionnement des installations et loyers:593 373 $ (4,70 %)

" Charges non réparties:13 932 $ (0,11 %)

" Total:12 470 193 $ (100 %)

" Surplus:154 509 $

En conclusion, il est permis d’affirmer que la situation financière du CLSC Ahuntsic est saine.

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Le rapport du Conseil des infirmièreset des infirmiers

Le Conseil des infirmières et des infirmiers (CII) est l'instance qui regroupe, au CLSC, l'en-semble des membres de cette profession. Il est responsable, envers le Conseil d'admi-

nistration, d'apprécier, de manière générale, laqualité des actes infirmiers, et de faire des re-commandations sur les règles de soins infirmierset la distribution des soins dispensés par sesmembres. Cette instance est également respon-sable, envers le directeur général, de donner sonavis sur l'organisation scientifique et techniquede l’établissement et des moyens à prendre pourévaluer et maintenir la compétence des infirmiè-res et des infirmiers. Notons enfin que ce conseil

relève directement du Conseil d'administration de l'établissement.

Le comité exécutif a tenu neuf réunions régulières dont une pour le choix des officiers.Deux réunions spéciales ont eu lieu avec le comité exécutif du CII des Résidences Lau-rendeau, Légaré, Louvain dans le but d’unifier les deux conseils.

Les priorités de travail du comité exécutif sont la pratique professionnelle, la réorgani-sation locale, le partenariat et la pratique professionnelle.

L’APPLICATION DU MODÈLE CONCEPTUEL MCGILL

Le modèle conceptuel en soins infirmiers McGill est appliqué auprès des diverses clientèlesdesservies par les infirmières du CLSC.

Le comité exécutif a mandaté pour une deuxième année le «comité d’appréciation de laqualité de l’acte infirmier» pour réévaluer la rédaction des notes d’évolution aux dossiersdes usagers. Ce comité, composé des adjointes cliniques santé, complète son analyse etprévoit déposer son rapport pour septembre 2002.

LA DÉLÉGATION D’ACTES MÉDICAUX ET LES RÈGLES DE SOINS INFIRMIERS

Le comité exécutif a adopté les nouveaux actes médicaux délégués aux infirmières ainsique la révision des protocoles des actes médicaux délégués et procédures interdiscipli-naires actuels.

LA COMPÉTENCE PROFESSIONNELLE

Le comité exécutif a adopté le document intitulé «Compétence professionnelle infirmière»

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contenant une grille d’évaluation basée sur les «Perspectivesde l’exercice de la profession infirmière» (OIIQ, 1996).

Les modalités d’application seront étudiées en 2002-2003 pourrépondre aux besoins d’amélioration continue de la compé-tence des infirmières.

LA RÉORGANISATION LOCALE

LE STATUT DE LA RESPONSABLE DES SOINS INFIRMIERS

Le comité a donné suite à la recommandation des membres lorsde l’assemblée générale annuelle du 7 juin 2001 concernant lestatut de la responsable des soins infirmiers. Une lettre des-

tinée au directeur général a recommandé que la RSI détienne un poste cadre et qu’avecl’Association des CLSC et CHSLD du Québec, il fasse pression sur le gouvernement pour quele poste en soit un d’encadrement.

LE REGROUPEMENT DU CLSC AVEC LES RÉSIDENCES LAURENDEAU, LÉGARÉ, LOUVAIN

Les comités exécutifs des CII des deux établissements ont élaboré un projet de règlementpour le CII unifié. Le nouveau règlement précise, entre autres, la composition du comitéexécutif, la représentativité du CLSC et des Résidences, la fréquence des réunions ducomité exécutif et celle du comité sur la qualité des soins.

Le projet de règlement unifié sera présenté aux assemblées générales annuelles des CII duCLSC et des Résidences de juin 2002 pour adoption par les membres. Le prochain conseilunifié débutera ses travaux en septembre 2002.

LE PARTENARIAT

LES COMMUNICATIONS

LA PRÉSENTATION DU RAPPORT ANNUEL AU CONSEIL D’ADMINISTRATION DU CLSC

La présentation du rapport a eu lieu le 29 octobre 2001 avec un résumé du document «Lavision contemporaine de l’exercice infirmier au Québec»

(mai 2001), mémoire de l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec présenté dans lecadre de la définition du champ de pratique et des activités réservées à certainsprofessionnels.

LES CONCOURS «RECONNAISSANCE CLINIQUE» ET «MÉRITE»

Deux infirmières se sont mérité les honneurs pour les concours «Reconnaissance clinique»

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et «Mérite» qui viennent souligner à chaque année l’engagement et le professionnalismedes infirmières.

L'ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE

L’assemblée générale annuelle a permis de prendre des décisionset de donner l’orientation des dossiers pour l’année 2001-2002.

Une activité de formation a eu lieu durant cette assemblée,activité qui portait sur le projet intitulé «Suivi intégré pourles personnes âgées (SIPA)», projet en cours aux CLSC

Bordeaux-Cartierville et Côte-des-Neiges.

ARTICULATION AVEC LES INSTANCES DU CLSC

LE GROUPE DE TRAVAIL SUR L’ÉTHIQUE

Les besoins en matière d’éthique ont été identifiés en vue de répondre au sondage dugroupe de travail sur ce sujet.

LES STAGIAIRES EN SCIENCES INFIRMIÈRES

Les infirmières du CLSC, épaulées pas les superviseurs des stagiaires de la Faculté desSciences infirmières de l’Université de Montréal, ont reçu seize stagiaires de septembre2001 à juin 2002. Une formule innovatrice a été développée par les infirmières du secteurenfance, jeunesse, famille pour intégrer la campagne de vaccination contre la méningitedans le cadre des stages. Ainsi, onze stagiaires ont utilisé l’approche communautaire pourla vaccination massive des jeunes âgés de deux mois à vingt ans du quartier.

UN AVIS À LA DIRECTION GÉNÉRALE

Un avis sur l’importance du travail des infirmières au centre de prélèvements et de leurapport en prévention (conseils en matière de santé et suivi des clientèles qui ont desproblèmes de santé bien identifiés) a été acheminé à la Direction générale.

Cet avis fait ressortir l’importance que ce soit des infirmières qui travaillent au centrede prélèvements, compte tenu de leur apport professionnel et des difficultés qui sur-viendraient dans l’organisation du travail si des techniciens de laboratoire les rempla-çaient.

LES PRIORITÉS POUR L’ANNÉE 2002-2003

• L’unification des CII du CLSC et des Résidences Laurendeau, Légaré, Louvain• L’organisation des services médicaux de première ligne en lien avec les services infir-

miers et sociaux du CLSC• La compétence professionnelle des infirmières et des infirmiers• Le modèle McGill et le plan d’intervention• L’évolution des dossiers qui impliquent des changements de pratique

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Le rapport du Conseil multidisciplinaireL'exécutif du Conseil multidisciplinaire (CM) a tenu onze rencontres formelles et quelquesrencontres spéciales afin de compléter certains travaux.

L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE

L’assemblée générale s’est tenue le 31 mai 2001. Une activité intitulée «Le jeu de lareconnaissance» a permis aux participants de ces ateliers de dégager et de mettre encommun leurs éléments de réflexion.

Par la suite, durant la tenue de l’assemblée générale formelle, les membres ont adopté leprocès-verbal de l’assemblée générale du 25 mai 2000, le rapport final et les recomman-dations sur la lourdeur de la tâche ainsi que le rapport annuel 2000-2001.

L’exécutif a ensuite présenté aux membres les priorités pour l’exercice 2001-2002.

Enfin, il y a eu tenue d’élection pour remplacer les membres dont le mandat se terminait.

LES TRAVAUX EFFECTUÉS EN 2001-2002

LES MODIFICATIONS DU PLAN D’ORGANISATION

En septembre 2001, le CLSC crée la Direction des services à lacommunauté qui regroupe dorénavant les services du secteurenfance, jeunesse famille ainsi que les services courants et lesservices destinés aux adultes.

À la suite de cette création, deux des trois postes de chefs deprogrammes au sein de cette direction ont été ouverts et comblés.Quant au troisième poste, il n’a pu l’être en raison de questionsbudgétaires. Des développements à ce sujet pourraient avoir lieuà l’automne 2002.

L'exécutif a été tenu au courant tout au long de l’année des déve-loppements dans ce dossier.

LE RAPPROCHEMENT AVEC LES RÉSIDENCES LAURENDEAU, LÉGARÉ, LOUVAIN

L'exécutif a été consulté en regard d’un document de travail présentant le nouvel orga-nigramme des deux établissements regroupés. Selon cet organigramme, un poste dedirecteur général adjoint sera créé afin d’assister le directeur général dans ses fonctions.Par ailleurs, ce plan a été conçu avec le souci de ne pas procéder à des coupures de postes.

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Ce nouvel organigramme sera présenté aux deux conseils d’administration en juin prochainpour adoption. Il est prévu qu’il soit ensuite mis en application en septembre; toutefois,il a été mentionné que des modifications à ce plan pourraient être apportées selon lesbesoins et l’évolution du rapprochement.

Par ailleurs, le rapprochement avec les Résidences implique également la fusion desconseils multidisciplinaires respectifs des deux établissements. Des rencontres préparatoi-res à cette opération ont été tenues en cours d’année, et le travail se poursuivra en 2002-2003.

LE SUPPORT À L’INTERVENANT CONCERNANT LE TRAITEMENT D’UNE PLAINTE

Ainsi, dans le but de mieux circonscrire les besoins des membres en cequi concerne le support qui doit leur être apporté lors du traitementd’une plainte, un questionnaire leur a été acheminé. Le matériel ainsiamassé a été analysé et aura permis l’émission de recommandations quiont été transmises à la Direction générale en mai 2002.

Par ailleurs, il est important de noter que le processus de traitementd’une plainte subira des modifications au cours de la prochaine annéeen raison de récents changements législatifs.

LE GROUPE DE TRAVAIL SUR L’ÉTHIQUE

L'exécutif a été informé du développement des travaux du groupe de travail sur l’éthiquedont le mandat est d’identifier les besoins du personnel du CLSC en matière d’éthique etd’émettre des recommandations quant à la meilleure façon de répondre à ces besoins. Ainsi,un sondage a été mené auprès de l’ensemble du personnel du CLSC, dont les membres duCM.

Le groupe de travail émettra ses recommandations finales auprès de la Direction généraleen juin prochain. Le comité exécutif suivra par la suite l’évolution des travaux.

L'ORIENTATION DES USAGERS VERS LES MÉDECINS DU CLSC

Le cheminement de ce dossier est long et met en lumière d’importantes divergencesd’opinions entre les intervenants psychosociaux et les médecins.

Des rencontres ont eu lieu entre les représentants du CM et du CMDP mais n’ont pu résulterà ce jour en une entente de collaboration dans les situations urgentes. L’évolution de cespréoccupations sera ramenée à la Direction générale pour analyse des suites possibles.

L’ORGANISATION DE L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE

L'exécutif a préparé l’assemblée générale qui traitera de l’intervention en contexte de

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pauvreté et qui, lors de son assemblée formelle, présentera les membres du comité exécutifdu CM des Résidences Laurendeau, Légaré, Louvain.

LES DOSSIERS À TRAITER OU À RELANCER

LA LOURDEUR DE LA TÂCHE

Les objectifs qui avaient été déterminés dans ce dossier ont été atteints. En effet, lesrecommandations formelles du comité exécutif ainsi que des suggestions de modalitésd’application ont été transmises à la direction générale dans une lettre datée du 9 janvier2002. Le 22 avril 2002, la Direction générale, après consultation de son comité de régie,faisait part au comité exécutif des suites qu’elle entendait donner à ces recommandations.

LA PAUVRETÉ

Au cours de l’année 2001-2002, lecomité exécutif a été tenu in-formé des développements dansce dossier, année durant laquellele comité sur la pauvreté a ren-contré des groupes cibles à l’in-terne.

Les membres du CM auront l’occa-sion de réfléchir à cette questionlors de l’activité prévue à la pro-chaine assemblée générale an-nuelle, activité qui a été prépa-rée en collaboration avec le Co-

mité sur la pauvreté.

L’ARTICULATION DU COMITÉ EXÉCUTIF

AVEC LE COMITÉ DE PRATIQUE PSYCHOSOCIALE ET COMMUNAUTAIRE

Le comité de pratique psychosociale et communautaire a été notamment consulté cetteannée au sujet du projet de cadre de référence de la pratique psychosociale prôné par leRegroupement des CLSC de la région de Montréal. Les résultats de cette consultation ontété entérinés par l'exécutif et ce, tel que présentés.

LA TRANSMISSION DE L’INFORMATION AUX MEMBRES DU CM

À quelques reprises durant l’année, l'exécutif a communiqué avec ses membres par le biaisdu journal interne du CLSC. Également, les tableaux d’affichage ont été utilisés pourannoncer la date de la prochaine assemblée générale annuelle.

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Le rapport du Conseil des médecins,des dentistes et des pharmaciens

L’année 2001-2002 est à souligner pour le Conseil des médecins, des dentistes et despharmaciens du CLSC et ce, pour diverses raisons:

• L’équipe s’est consolidée avec l’arrivée de sang neuf, en l’occurrence leDr Linda Azancot, au CLSC, et le Dr Suzanne Fleurant, à la Maison Tanguay;

• L’arrivée de la secrétaire médicale, madame Liette Larivière, qui s’estvite intégrée et a su se faire apprécier de toute l’équipe;

• Le rapprochement avec les Résidences Laurendeau, Légaré, Louvain, quinous oblige à ne former qu’un seul CMDP avec les médecins de cet éta-blissement (processus en cours);

• La diminution de plus de 50 % du nombre de plaintes envers les médecins(seulement deux plaintes ont été reçues depuis juillet 2001, et aucune de-puis janvier 2002);

• L’année se termine avec le départ, lors de la dernière rencontre du CMDP,du Dr Thibault à titre de cheffe du service médical, poste auquel elle a consacré beaucoup

d’énergie et de temps, et du Dr Blanque, à titre de présidente du CMDP, poste qu’ellea occupé avec beaucoup de doigté.

La nouvelle année commence donc avec une grande interrogation et une grosse commande:la composition du comité exécutif du nouveau CMDP unifié, et l’élaboration du nouveaurèglement de ce CMDP unifié.

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Les Conseils ou les comitésde l'établissement

LES MEMBRES DU CONSEIL D’ADMINISTRATION

Mme Nicole Rheault, présidenteM. Claude Duchemin, vice-président

M. Daniel Corbeil, secrétaire

Mme Marie-Suzie BrédyMme Carole Brousseau

Mme Caroline CôtéM. Yves Godec

Mme Danick Jean-VernetMme Corine LabbéM. Marc Picard

M. Benoît Tremblay

LES CONSEILS INSTITUÉS PAR LA LOI ET LES MEMBRES DES COMITÉS EXÉCUTIFS

LE CONSEIL DES MÉDECINS, DES DENTISTES ET DES PHARMACIENS

Dr Maria Blanque, présidenteDr Diane Milot, vice-présidenteDr Quang-Ngoc Le, secrétaire

M. Daniel Corbeil, directeur général

LE CONSEIL DES INFIRMIÈRES ET DES INFIRMIERS

Mme Diane Landry, présidenteMme Micheline Périard, vice-présidente

Mme Marie-Sonia Breau, secrétaireMme Diane Cadotte, agente de communication

remplacée par Mme Elvira Gallant (1er janvier 2002)M. Daniel Corbeil, directeur général

Mme Johanne Gauthier, responsable des soins infirmiers par intérim

LE CONSEIL MULTIDISCIPLINAIRE

M. Luc Tremblay, présidentMme Michèle Lavigne, vice-présidenteMme Marie-Claude Pelletier, secrétaireM. Robert Therrien, conseiller spécial

remplacé par Mme Julie St-Pierre (1er janvier 2002)M. Daniel Corbeil, directeur général

Mme Micheline Moreau, directrice des programmes et des services professionnels

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LE COMITÉ DE VÉRIFICATION

DU 1ER AVRIL AU 31 DÉCEMBRE 2001

Mme Marie-Suzie BrédyM. Claude DucheminMme Liliane Dupuis,

directrice des services administratifsM. Yves Godec

DU 1ER JANVIER AU 31 MARS 2002

M. Claude DucheminMme Liliane Dupuis,

directrice des services administratifsM. Yves Godec

M. Benoît Tremblay

LE COMITÉ D’ÉVALUATION DU DIRECTEUR GÉNÉRAL

Mme Marie-Suzie BrédyM. Yves Godec

Mme Corine Labbé

LE COMITÉ D’ORIENTATION DE L’ACTION COMMUNAUTAIRE

DU 1ER AVRIL AU 28 OCTOBRE 2001

M. Daniel BoivinMme Carole Brousseau

M. Daniel Corbeil, directeur généralM. Claude Grillot

M. Pierre Laurence, membre de la populationMme Micheline Moreau, directrice des programmes et des services professionnels

Mme Lucie SéguinMme Corine Labbé

M. Benoît Tremblay

DU 29 OCTOBRE 2001 AU 31 MARS 2002

M. Daniel BoivinMme Carole Brousseau

M. Daniel Corbeil, directeur généralMme Danick Jean-Vernet

M. Claude GrillotM. Pierre Laurence, membre de la population

Mme Micheline Moreau, directrice des programmes et des services professionnelsMme Lucie SéguinM. Luc Tremblay

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LES STATISTIQUESPOPULATION DU QUARTIER

POPULATION TOTALE (ESTIMATION POUR 2002): 76 277 PERSONNES

35 644 HOMMES (46,73 %)40 633 FEMMES (53,27 %)

PERSONNES ÂGÉES DE MOINS DE 20 ANS: 07 490 HOMMES (09,82 %)07 470 FEMMES (09,79 %)

PERSONNES ÂGÉES DE 20 À 64 ANS: 23 033 HOMMES (30,20 %)24 072 FEMMES (31,56 %)

PERSONNES ÂGÉES DE 65 ANS ET PLUS: 05 121 HOMMES (06,71 %)09 091 FEMMES (11,92 %)

NOMBRE DE NAISSANCES: 00 766 ENFANTS

LA PROTECTION DE LA JEUNESSE

NOMBRE DE SIGNALEMENTS TRAITÉS: 00 104 RETENUS

00 081 NON RETENUS

111 SIGNALEMENTS PORTAIENT SUR: NÉGLIGENCE (54)ABUS PHYSIQUE (21)TROUBLES DE COMPORTEMENT (17)ABUS SEXUELS (10)AUTRES (09)

SERVICE DE PRÉLÈVEMENTS

LE CLSC A EFFECTUÉ 18 931 PRÉLÈVEMENTS. À TITRE INDICATIF, 465 PERSONNES ONT EU ACCÈS AU SERVICE

DE PRÉLÈVEMENTS POUR LA PÉRIODE COMPRISE ENTRE LE 22 ET LE 26 AVRIL 2002 INCLUSIVEMENT. LA DURÉ

D'ATTENTE DES PERSONNES QUI SONT ARRIVÉES À 8 H 30 LE 29 AVRIL 2002 A ÉTÉ DE 38 MINUTES.

ASSURANCE-SALAIRE

NOMBRE D'HEURES TRAVAILLÉES: 192 651 HEURES

RATIO D'HEURES D'ASSURANCE-SALAIRE PAR RAPPORT AUX HEURES TRAVAILLÉES: 4,95 HEURES

VARIATION DU RATIO: DIMINUTION DE 28,7 %

INFO-SANTÉ

NOMBRE D'APPELS TRAITÉS: 017 258 APPELS

NOMBRE D'APPELS TRAITÉS/100 RÉSIDANTS: 000 038,08* APPELS

* POUR LA RÉGION DE MONTRÉAL-CENTRE: 000 030,14 APPELS

OBJECTIF: 000 035 APPELS

DÉLAIS D'ACCÈS: 0000 06,9 MINUTES

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SERVICES DE SOUTIEN À DOMICILE (EN DATE DU 31 MARS 2002)

NOMBRE DE PERSONNES DIFFÉRENTES EN ATTENTE D'ÉVALUATION DE SERVICES: 022

NOMBRE DE PERSONNES DIFFÉRENTES QUI ONT ÉTÉ ÉVALUÉES MAIS QUI SONT EN ATTENTE D'AU MOINS UN

SERVICE (PAR TYPE DE SERVICES):

SERVICES PSYCHOSOCIAUX: 090ERGOTHÉRAPIE: 083PHYSIOTHÉRAPIE: 022TOTAL: 195

NOMBRE DE PERSONNES EN ATTENTE DE REHAUSSEMENT DE SERVICES (PAR TYPE DE SERVICES):

SERVICES PSYCHOSOCIAUX: 030ERGOTHÉRAPIE: 030AIDE À DOMICILE: 077TOTAL: 137

GRAND TOTAL: 354

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NOMBRE D'USAGERS ET D'INTERVENTIONS PAR PROGRAMME

INTERVENTIONS ET ACTIVITÉS PONCTUELLES INDIVIDUELLES (EN COUPLE ET EN FAMILLE)

2000-2001 2001-2002

Centres d’activité Usagers Interventions Usagers Interventions

Activités médicales 2920 5462 2478 5196Info-Santé local nc 16010 nc 17258Soins infirmiers à domicile 2038 20977 2261 22464Services de santé courants 6741 19140 4619 13858Santé parentale et infantile 1216 6420 1175 4903Aide à domicile 949 38458 845 37559Services dentaires préventifs 410 2602 388 1237Services psychosociaux courants 193 971 302 1148Services psychosociaux à domicile 864 5163 873 5244Vaccination contre la méningite na na na 18455Vaccination antigrippale na na 1430 1439Santé scolaire 272 7099 179 2885Services sociaux scolaires 191 1008 128 788Centre de prélèvements nc 18267 nc 18931Santé mentale 408 2716 394 3028Nutrition 29 49 62 104Interventions communautaires autres na na 6 21Ergothérapie et physiothérapie 685 4698 496 4221Services d’éducation familiale et sociale 670 2802 625 3226Carcéral na na 417 2004Carcéral, fonds affectés - VIH-SIDA/MTS na na 785 3286

TOTAL 13114 151842 13109 163969

INTERVENTIONS ET ACTIVITÉS PONCTUELLES (COMMUNAUTAIRES OU EN GROUPE)

Activités médicales 0 0 0 0Info-Santé local 0 0 0 0Soins infirmiers à domicile 0 0 0 0Services de santé courants 0 0 0 1Santé parentale et infantile 7 109 11 142Services dentaires préventifs 0 94 0 156Services psychosociaux courants 4 29 0 0Services psychosociaux à domicile 0 0 0 0Santé scolaire 0 701 0 559Services sociaux scolaires 0 6 1 1Santé mentale 4 29 3 19Nutrition 1 29 1 14Interventions communautaires - SAD 26 335 31 393Intervention communautaires autres 32 742 23 568Ergothérapie et physiothérapie 0 0 0 2Services d’éducation familiale et sociale 7 57 7 30

TOTAL 76 2131 71 1885

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NOMBRE DE DEMANDES REÇUES PAR L'ACCUEIL

Origine ethnique Usagers Pourcentage Usagers Pourcentage

Africaine 149 001,14% 176 001,34%Afro-américaine 9 000,07% 15 000,11%Amérindienne 10 000,08% 8 000,06%Antillaise 13 000,10% 11 000,08%Arabe 597 004,55% 587 004,48%Asiatique d’Extrême-Orient 72 000,55% 81 000,62%Asiatique du sud-est 130 000,99% 117 000,89%Autres communautés européennes 70 000,53% 74 000,56%Canadienne autre 110 000,84% 124 000,95%Européenne de l’est 164 001,25% 121 000,92%Européenne du nord 36 000,27% 39 000,30%Grecque 23 000,18% 13 000,10%Haïtienne 826 006,30% 732 005,58%Indo-pakistanaise 113 000,86% 128 000,98%Insulaire du pacifique 10 000,08% 10 000,08%Italienne 608 004,64% 605 004,62%Juive 1 000,01% 2 000,02%Latino-américaine 419 003,20% 365 002,78%Portugaise 57 000,43% 59 000,45%Québécoise anglophone 84 000,64% 80 000,61%Québécoise francophone 8161 062,23% 8643 065,93%Autres 84 000,64% 113 000,86%Non précisée 1368 010,43% 1006 007,67%

TOTAL 13114 100,00% 13109 100,00%

NOMBRE D'USAGERS SELON L'ORIGINE ETHNIQUE

2000-2001 2001-2002

Programme Information Service Information Service

Soutien à domicile 1057 1795 298 1695Services courants 3628 1395 3603 1336Jeunesse 357 383 298 369

TOTAL 5042 3573 4199 3400

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Les objectifs du CLSC Ahuntsic en 2001-2002L'AMÉLIORATION CONTINUE DE LA QUALITÉ ET DE L'ORGANISATION DES SERVICES

• LE RAPPROCHEMENT AVEC LES RÉSIDENCES LAURENDEAU, LÉGARÉ, LOUVAIN

• LE PLAN D’ORGANISATION DU CLSC• L'ORGANISATION DES SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE

• LE SOUTIEN PARENTAL

• LES CONGÉS PRÉCOCES

• LE PROJET JEUNESSE

• LA SANTÉ MENTALE

• LA MISE EN ŒUVRE DES ORIENTATIONS POUR LES PERSONNES AYANT DES INCAPACITÉS ET POUR LEURS PROCHES

• LE RÉSEAU DE SOINS INTÉGRÉS POUR LA CLIENTÈLE VULNÉRABLE ATTEINTE DE MALADIE PULMONAIRE OBSTRUCTIVE

CHRONIQUE

• LE RÉSEAU DE SOINS INTÉGRÉS POUR LA CLIENTÈLE ATTEINTE D’INSUFFISANCE CARDIAQUE

• LA LOI SUR LE PROTECTEUR DES USAGERS

• L'AFFILIATION UNIVERSITAIRE

• LE PLAN D’INTERVENTION

• LA PAUVRETÉ

• L'ÉTHIQUE

• LES COMMUNAUTÉS CULTURELLES

• LE DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME INFORMATIQUE

• LE RÉAMÉNAGEMENT DES ESPACES

LE SOUTIEN PROFESSIONNEL, TECHNIQUE ET ADMINISTRATIF

• LA BUDGÉTISATION DES ÉTABLISSEMENTS

• LA PRÉVENTION DE LA VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL (VOLETS CLIENTÈLE ET EMPLOYÉS)• LE DOSSIER «L’URGENCE ET LE TEMPS D’AGIR EN SANTÉ MENTALE»• LE CONTRÔLE DES DÉPENSES

• LES ARCHIVES

LE DÉVELOPPEMENT DES RESSOURCES HUMAINES

• LE PLAN DE DÉVELOPPEMENT DES RESSOURCES HUMAINES

• LES ACTIVITÉS DE FORMATION DES EMPLOYÉS DE L’ÉTABLISSEMENT

• LES ACTIVITÉS DE FORMATION DU PERSONNEL D’ENCADREMENT

• LA SEMAINE DE QUATRE JOURS

Veuillez noter que ces objectifs contiennent des actions à réaliser qui sont contenusdans un document explicatif disponible sur demande.

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La liste des employés en 2001-2002

DIRECTION GÉNÉRALE

CORBEIL, DANIEL DIRECTEUR GÉNÉRAL

JOLICOEUR, Ghislaine Attachée de direction

ÉQUIPE MÉDICALE

DR THIBAULT, SONIA CHEF DU SERVICE MÉDICAL

DIRECTION DES SERVICES À LA COMMUNAUTÉ

DIRECTION DES SERVICES DE SOUTIEN À DOMICILE

LARIVIÈRE, Liette Secrétaire médicale(relève de la Direction des services à la communauté)

Dr AZANCOT, Linda Direction des services à la communauté

Dr BARBAROSIE, Teodor Direction des services à la communauté

Dr BLANQUE, Maria Direction des services à la communauté

Dr CATALA, Lise Direction des services de soutien à domicile

Dr FLEURANT, Suzanne Direction des services à la communauté

Dr HOANG, Ngoc Vinh Direction des services à la communauté

Dr LE, Quan Ngoc Direction des services à la communauté

Dr LE, Quang Tien Direction des services à la communauté

Dr LEMAY, Odette Direction des services de soutien à domicile

Dr MILOT, Diane Direction des services de soutien à domicile

Direction des services à la communautéD

r NGUYEN, Quang Thanh Direction des services à la communauté

Dr RAINVILLE, Normand Direction des services à la communauté

Dr RICHARD, Christiane Direction des services à la communauté

DIRECTION DES PROGRAMMES ET DES SERVICES PROFESSIONNELS

MOREAU, MICHELINE DIRECTRICE

GAUTHIER, JOHANNE RESPONSABLE DES SOINS INFIRMIERS

BRISSON, Martine Secrétaire de direction

BESNARD, Nathalie Archiviste médicaleCARON, Martin Auxiliaire en archivesLUSSIER, Michel Agent d’informationRACETTE, Sylvie Auxiliaire en archives

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DIRECTION DES SERVICES ADMINISTRATIFS

DUPUIS, LILIANE DIRECTRICE

CÔTÉ, Manon Secrétaire de direction

ALLARD, Marc ConciergeBRASSARD, Christian ConciergeDELORME, Patricia MagasinièreGAROFANO, Bruno ConciergeHÉBERT, Johanne Agente de ressources humainesLÉONARD, Sylvain Technicien en administrationOUIMET, Michel ConciergePELLETIER, Gilles ConciergePELLETIER, Lise Technicienne en administrationPOUDRIER, Guylaine Technicienne en administration

DIRECTION DES SERVICES À LA COMMUNAUTÉ

LEMAY, JEAN-GUY DIRECTEUR

SECTEUR ADULTES ET SERVICES COURANTS

BOURDON, Bernard Travailleur social, chef de programme psychosocial

FRENETTE, Louise Infirmière bachelière, chef de programme santé

JODAR, Céline Infirmière bachelière, adjointe clinique santé

Adjoint clinique psychosocial (Poste vacant)

BRUNELLE, Josée Secrétaire de direction

ALAIN, Carole Commis intermédiaireBASQUE, Nathalie Travailleuse socialeBEAULIEU, Irène Agente de relations humainesBEAUMIER, Huguette Agente de relations humainesBELLEROSE, Lucie PsychologueBERGERON, Isabelle InfirmièreBLAIS, Julie Commis intermédiaireBOIVIN, Daniel Organisateur communautaireBRISEBOIS, Lucie Commis intermédiaireBUCK, Shannon Commis intermédiaireDION, Solanges Infirmière bachelièreDUPÉRÉ, Lise Commis intermédiaireDUSSAULT, Michel Agent de relations humainesDUVAL, Madeleine Commis intermédiaireFILION, Christine Commis intermédiaireGAUTHIER, Caroline Technicienne en travail socialGERARDI, Stéphanie Travailleuse socialeGUERIN, Marie Infirmière bachelièreGOUDREAU, Huguette Commis intermédiaireGOUIN, Louise Commis intermédiaire

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GROULX, Guylaine Infirmière bachelièreHUOT, Marie Commis intermédiaireLAFRANCE, Francine Infirmière bachelièreLAFRENIÈRE, Lucie Infirmière bachelièreLAVERGNE, Marie-Josée Commis intermédiaireLAVIGNE, Michèle Travailleuse socialeLÉGARÉ, Julie Technicienne en travail socialLESSARD, Nathalie Commis intermédiaireMADISON, Michèle Commis intermédiaireMARCEAU, Gordon PsychologueMAROIS, Suzanne Agente de relations humainesMASSE, Lyse PsychologueMC GRAW, Dianne Travailleuse socialeMICHAUD, Luce Infirmière bachelièreMILLER, Brian Infirmier bachelierNGO, Phong Liem Infirmier bachelierOUIMET, Danielle PsychologuePATENAUDE, Mylène Technicienne en travail socialPELLETIER, Pascale Technicienne en travail socialPÉRIARD, Micheline InfirmièrePICARD, Maria-Luisa Commis intermédiairePIERRE-LOUIS, Élida Infirmière bachelièrePITRE, Caroline Infirmière bachelièrePOTVIN, Benoît Technicien en travail socialPOULIN, Rolande InfirmièrePRÉVOST, Francine Agente de relations humainesPROVENCHER, Jeannette Commis intermédiaireROY, Jeanne-Mance Travailleuse socialeSABOURIN, Pauline Infirmière bachelièreSANON, Nardège Commis intermédiaireSHAMIE, Hélène Commis intermédiaireST-JEAN, Georgette Commis intermédiaireVALOIS, Suzanne Infirmière bachelière

SECTEUR ENFANCE, JEUNESSE, FAMILLE

Chef de programme (Poste vacant)

CADOTTE, Diane Infirmière bachelière, adjointe clinique santéGOBEIL, André Agent de relations humaines, adjoint clinique psychosocial

DORÉ, Carole Agente de relations humainesDUFOUR, Mylène ErgothérapeuteDUGAS, Lyne Infirmière bachelièreFOURNIER, Marie-Claude Infirmière bachelièreGALLANT, Elvira Infirmière bachelièreGARCEAU, Ginette Hygiéniste dentaireGARNEAU, Cécile InfirmièreGAUTHIER, Nathalie Agente de relations humainesGOUDREAU, Marjolaine Agente de relations humainesJOUBARNE, Lorraine Agente de relations humainesLALIBERTÉ, Carole Thérapeute en réadaptation fonctionnelle par l’activitéLANNO, Carole Organisatrice communautaireMALNATI, Carole Infirmière bachelière

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MATHIEU, Marie-Hélène Infirmière bachelièreMONETTE, Carole Infirmière bachelièreMONTPLAISIR, Francine InfirmièreMUTICELLI, Diana Infirmière bachelièrePERRON, Johanne Auxiliaire familialePIVIN, Gabrielle Infirmière bachelièrePROVOST, Nicole DiététisteRIOUX, Gaétane Agente de relations humainesSÉGUIN, Lucie Organisatrice communautaireSENÉCAL, Denise Infirmière bachelièreST-GERMAIN, Yves Infirmier bachelierST-JACQUES, Madeleine Infirmière bachelièreST-PIERRE, Julie ÉducatriceTHERRIEN, Robert Agent de relations humainesTHUOT, Colette Hygiéniste dentaireTOUSIGNANT, Josée Hygiéniste dentaireTREMBLAY, Luc Agent de relations humaines

DIRECTION DES SERVICES DE SOUTIEN À DOMICILE

COLLETTE, NICOLE DIRECTRICE

GIRARD, Mireille Chef de programmeGRÉGOIRE, Suzanne Chef de programmeMAISONNEUVE, Diane Chef de programme

ARCHAMBAULT, Michèle Ergothérapeute, adjointe clinique en réadaptationLAPIERRE, Monique Infirmière bachelière, adjointe clinique santé

RONDOU, Danielle Secrétaire de direction

ALIE, Guylaine Infirmière bachelièreANFOSSI, Michel JournalierAUCLAIR, Sylvie Infirmière bachelièreBEAUDOIN, Adrien Auxiliaire familialBELLEROSE, Pauline Travailleuse socialeBIENVENUE, Pauline SecrétaireBORDELEAU, Linda ErgothérapeuteBORDENAVE, Gladys Travailleuse socialeBOYER, Louise Auxiliaire familialeBRAZEAU, Rachel Auxiliaire familialeBREAU, Marie-Sonia Infirmière bachelièreBRISEBOIS, Monique Commis seniorBROSSARD, Chantal Infirmière bachelièreBROUILLARD, Johanne PhysiothérapeuteBROUSSEAU, Carole Organisatrice communautaireBRUNET, Manon Auxiliaire familialeCAMPBELL, Normand Auxiliaire familialCARLOS, Carole Technicienne en travail socialCARRIÈRE, Manon PhysiothérapeuteCHALIFOUX, Ginette Travailleuse socialeCHAMPAGNE, Sabrina Auxiliaire familialeCHARBONNEAU, Reine InfirmièreCHOUINARD, Michèle Auxiliaire familiale

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CIMBERT, Michaël Infirmière bachelièreCLAVEL, Marie Infirmière bachelièreCÔTÉ, Caroline Technicienne en travail socialCÔTÉ, Johanne PsychologueCOUTURE, Geneviève Auxiliaire familialeCYR, Diane Auxiliaire familialeDEMERS, Richard Auxiliaire familialDENIS, Nathalie Technicienne en travail socialDESBIENS, Chantal Infirmière bachelièreDESGROTTES, Marie-Claude Auxiliaire familialeDESPRÉS, Linda Technicienne en travail socialDOUCET, Maryse PhysiothérapeuteDROLET, Chantal Infirmière bachelièreDUGAL, Lise Infirmière bachelièreDUQUETTE, Lucie Technicienne en travail socialEMMANUEL, Josette InfirmièreFERLAND, Chantal PsychologueFERLAND, Jocelyne Technicienne en travail socialFIERRO, Jessica Auxiliaire familialeFONTAINE, Yolande Auxiliaire familialeFORTIN, Sylvie Auxiliaire familialeGAGNÉ, Denise Infirmière bachelièreGAREAU, Louise Infirmière bachelièreGAUVIN, Nathalie Agente de relations humainesGAUVREAU, Ginette Auxiliaire familialeGINGRAS, Céline Travailleuse socialeGINGRAS, Francine Travailleuse socialeGRÉCO, Richard Auxiliaire familialGRILLOT, Claude Organisateur communautaireGUERIN, Suzanne Infirmière bachelièreHÉBERT, Johanne Travailleuse socialeHÉNAULT, Micheline Auxiliaire familialeHENRI, Claude Auxiliaire familialJEAN-LOUIS, Fabienne Infirmière bachelièreJEAN-VERNET, Danick ErgothérapeuteLABBÉ, Johanne Infirmière bachelièreLABELLE, Louise Auxiliaire familialeLABONTÉ, Darling Auxiliaire familialeLABONTÉ, Manon Infirmière bachelièreLACOSTE, Mylène Technicienne en travail socialLALIBERTÉ, Sonia Infirmière bachelièreLAMBERT, Lise Auxiliaire familialeLAMOUREUX, Colette Auxiliaire familialeLANDRY, Angela Infirmière bachelièreLANDRY, Diane Infirmière bachelièreLAROUCHE, Nathalie Infirmière bachelièreLAVOIE, Gaston Travailleur socialLEBEL, Guylaine Technicienne en travail socialLEBLANC, Geneviève Technicienne en travail socialLEGROS, Pauline Thérapeute en réadaptation fonctionnelle par l’activitéLEMAY, Louise Travailleuse sociale, adjointe clinique psychosocialLEROUX, Richard Auxiliaire familialLÉVESQUE, Vital Auxiliaire familialMAYER, Normand Auxiliaire familial

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MÉNARD, Luc PhysiothérapeuteMILLETTE, Danielle ErgothérapeuteMOYERSOEN, Nancy ErgothérapeuteNGET, Sochetana Infirmière bachelièrePAGÉ, Diane Auxiliaire familialePELLETIER, Marie-Claude Technicienne en travail socialPINAULT, Régine Auxiliaire familialePOITRAS, Serge Auxiliaire familialPROULX, Mireille Infirmière bachelièreQUINTIERI, Marilena Technicienne en travail socialRICARD, Sylvie Auxiliaire familialeRICHER, Monique Infirmière bachelièreRIOUX, Bruno Travailleur socialROBITAILLE, Chantal Infirmière bachelièreROBLIN, Chantal Auxiliaire familialeROY, Martha Auxiliaire familialeSALNAVE, Yolande Infirmière bachelièreSARIAN, Sylvie Technicienne en travail socialSAUVÉ, Denise SecrétaireSAVARD, Marcelle Technicienne en travail socialST-FLEUR, Irma Infirmière bachelièreST-GELAIS, France Agente de relations humainesST-LAURENT, Lucette Infirmière bachelièreST-PIERRE, Hélène InfirmièreST-PIERRE, Monique Auxiliaire familialeSYLVESTRE, Lucien Auxiliaire familialTRAN-THAN, Binh Infirmier bachelierTURCOTTE, Francine InfirmièreVASQUEZ, Carlos Auxiliaire familialVENNE, Louise Auxiliaire familialeYVON, François Auxiliaire familial