12
Sommaire Page 2 : Manger-Bouger Page 3 : Manger-Bouger (suite) Le coin des poètes Page 4: Le coin des poètes (suite) Pages 5-6 : La rétro Pages 7-8 : Papinage - maminage Le Pain d’Alouette Page 9 : Doigts de fée Page 10 : Pourquoi je fais du théâtre Page 11 : A vos papilles - Retour sur... Page 12 : Rions un peu - Hommage Regards Croisés Le journal intergénérationnel de Sallaumines n°17 Mars 2014 L’Équipe de rédaction Edito - 1 - C’est avec plaisir que je découvre de nouveaux rédacteurs du journal Regards Croisés. Après les Jeunes Citoyens et Responsables du Club Ados, voici venir les résidents de l’EHPAD «le Pain d’Alouette» qui viennent apporter leur plume au journal. Ces derniers nous narrent leur arrivée dans ce bel établissement venu renforcer l’offre résidentielle des seniors à Sallaumines. Vous découvrirez également le défilé des résidents du Foyer Logement Résidence pour les pensionnaires de l’EHPAD. A tous je vous souhaite une excellente lecture. Christian Pedowski, Maire de Sallaumines Suite à l’ouverture du nouvel EHPAD (Établissement d’Héber- gement pour Personnes Âgées Dé- pendantes) «Le Pain d’Alouette» le 18 septembre dernier, nous som- mes devenus Sallauminois. C’est dans un cadre verdoyant et un bâtiment flambant neuf que nous avons posé nos valises. Venant tous d’horizons différents, nous voilà ici réunis chacun avec nos richesses. Nous ne nous connaissions pas et pourtant nous apprenons à vivre ensemble, en communauté. Dès notre entrée nous avons appris à faire connaissance : « Comment vous appelez-vous ? Où habitez- vous ? À quel étage ? » Plusieurs unités de vie s’offraient à nous et il fallait en savoir un peu plus sur chacun. Nous formons véritablement un groupe soudé. Quand nous avons un petit coup de blues, avec les affinités créées nous savons que nous pouvons compter les uns sur les autres. Nous nous rendons même parfois visite pour prendre un café. Suite page 8 Le Pain d’Alouette nouvelle version ville d'échanges et de communication

Regards croisés n° 17

Embed Size (px)

DESCRIPTION

 

Citation preview

SommairePage 2 : Manger-Bouger Page 3 : Manger-Bouger (suite) Le coin des poètesPage 4: Le coin des poètes (suite)Pages 5-6 : La rétro

Pages 7-8 : Papinage - maminage Le Pain d’AlouettePage 9 : Doigts de féePage 10 : Pourquoi je fais du théâtrePage 11 : A vos papilles - Retour sur...Page 12 : Rions un peu - Hommage

Regards Croisés Le journal intergénérationnel de Sallaumines

n°17Mars 2014

L’équipe de rédaction

Edito

- 1 -

C’est avec plaisir que je découvre de nouveaux rédacteurs du journal Regards Croisés.Après les Jeunes Citoyens et Responsables du Club Ados, voici venir les résidents de l’EHPAD «le Pain d’Alouette» qui viennent apporter leur plume au journal.Ces derniers nous narrent leur arrivée dans ce bel établissement venu renforcer l’offre résidentielle des seniors à Sallaumines.Vous découvrirez également le défilé des résidents du Foyer Logement Résidence pour les pensionnaires de l’EHPAD.A tous je vous souhaite une excellente lecture.

Christian Pedowski, Maire de Sallaumines

Suite à l’ouverture du nouvel EHPAD (établissement d’Héber-gement pour Personnes Âgées Dé-pendantes) «Le Pain d’Alouette» le 18 septembre dernier, nous som-mes devenus Sallauminois.C’est dans un cadre verdoyant et un bâtiment flambant neuf que nous avons posé nos valises.Venant tous d’horizons différents, nous voilà ici réunis chacun avec nos richesses. Nous ne nous connaissions pas et pourtant nous apprenons à vivre ensemble, en communauté.Dès notre entrée nous avons appris à faire connaissance : « Comment vous appelez-vous ? Où habitez-vous ? À quel étage ? » Plusieurs unités de vie s’offraient à nous et il fallait en savoir un peu plus sur chacun.Nous formons véritablement un groupe soudé. Quand nous avons un petit coup de blues, avec les affinités créées nous savons que nous pouvons compter les uns sur les autres.Nous nous rendons même parfois visite pour prendre un café.

Suite page 8

Le Pain d’Alouette nouvelle version

ville d'échanges et de communication

- 2 -

Manger-BougerLa gym toujours !Eliane DUBOIS, monitrice de sport des écoles depuis 1953 à Sallaumines.

Rappelons-nous combien nous avions plaisir de nous retrouver avec elle, totalement dévouée au sport de notre commune !

Eliane, elle-même commence le sport après la guerre 39/45. Parallèlement, à la gym des écoles, elle pratique le sport à l’A.O.S. (Avenir Ouvrier Sallauminois), sous l’emblème bleu et jaune. Son équipe participe à des compétitions départementales, régionales et nationales.Remportant des coupes et divers trophées, signe de ses compétences à motiver et entraîner des jeunes pour les amener à la victoire.

Eliane donne des cours de gymnastique au foyer dans les années 1980, elle travaille bénévolement à la gym volontaire dans la salle Pierre de Coubertin, où j’ai moi-même pratiqué pendant 25 années.« C’était des moments que je qualifierais les meilleurs avec parfois plus de cent personnes présentes» me confie Eliane.

Ceci dans une ambiance enthousiaste, sportive et conviviale que nous étions au rendez-vous à chaque séance suivante, pour retrouver Eliane DUBOIS, notre animatrice hors-pair.

Pendant les derniers instants, à la fin du cours, systématiquement nous avions à exécuter une danse, ô combien difficile, devant notre maladresse, dans une ambiance de joie collective que nous n’oublierons jamais.

Encore merci Eliane !

Carmen

1997

- 3 -

Le coin des poètes

Manger-Bouger (suite)

Jacqueline

Sophie

Visite au magasinL’activité physique et le sport se différencient par l’esprit de compétition. Pour autant, les deux sont bénéfiques pour la santé. Voici un exemple d’activité physique alliant l’utile à l’agréable.

En me levant ce matinJe décide d’aller au magasinJ’aime le brouhaha entenduDe l’annonce des promotions soutenues

J’aime la foule se pressantde servir en choisissantLire la joie sur leur visagepensant voir un mirage

Certains choisissant sans chaleur,Bah : j’ajouterai un peu de beurreD’autres résistent mal à la foisDe tenir ces merveilles en leurs doigts

Et le sac s’emplit d’alimentsQu’ils feront cuire en rentrantEt moi, je rentre enchantéeD’avoir un peu bavardé

Avec ces personnes rencontréesqui nous donnent des idéesDes encouragements bénéfiquesJ’ai presque découvert l’Amérique

Souvenir !

Parle-moi, chaque parole sur ta bouche est un écho mélodieux.

Quand ta voix meurt dans mon oreille, mon âme résonne et s’éveille.Je sais que tu m’attends.

Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps, car j’ai besoin de chaleur humaine et de tendresse ! Et sans toi je n’existe pas.

- 4 -

Wanda

Mon anniversaire c’est aujourd’huiEt je suis encore en vieLe destin me comble de joieHeureuse d’être encore làJe chante, je me promèneJ’en suis fort aiseParfois une larme perleMais c’est d’émoiFêtée par Monsieur le MaireJ’en suis très fièreMerci à la DirectionLe personnel, la cuisinePuis les résidents du FoyerC’est le bonheur d’avoir 100 ans

Un siècle

C’est ce que représente la vie de Wanda Talaga, que j’ai connue toute gamine.Elle habitait en face de mes parents, rue de Vire à Sallaumines.Et je me souviens que je dormais avec elle, quand son mari était de poste de nuit à la fosse, car elle avait peur.Le matin, quand il rentrait j’étais en train de déjeuner avant d’aller à l’école à Lens en secondaire.Pour en revenir à cette journée d’anniversaire, c’était féerique digne d’une princesse … Quel faste …Encadrée par toute sa famille, les félicitations, les ovations et les gestes attendris de tout le monde.De monsieur le Maire et le conseil municipal, le personnel très dévoué sous la direction de Monsieur HOBER et de son adjointe Christelle.Elle a soufflé toutes les bougies sur le gâteau et hourra !Peut-être ferons-nous de même pour elle, quand elle aura 110 ans ? Ce que je lui souhaite !Bravo Wanda et merci à toi pour nous avoir fait vivre ces bons moments.

La forêt

Si tu n’as pas vu les sapins,tu peux changer de chemin.Majestueux, comme loup de mer,pour t’initier à leurs mystères,Ils te protégeront de leurs bras insoumiset te parleront le langage de la vieHerbe folle par-ci, champ cultivé par-là,Orties qui te chatouillent, ou trèfle recherché.Elle abrite escargots, orvets ou quelques ratset même mille secrets si tu as bien regardé.Si tu n’as pas suivi l’abeille, le papillonpressés par le temps à leurs tâches éphémèresApproche ton regard, écoute leurs chansons,Et tu découvriras un monde de lumière.

Le coin des poètes (suite)

Marilou

Elisabeth

Jacqueline

- 5 -

J’ai retrouvé une photo de ma sœur et moi.

Ce cliché date de 1956 et ça m’a fait remonter bien des souvenirs !

Nous deux sur un scooter ! Ah là, là où est-il ce temps là ! Une autre époque.C’était un bel été.Ma sœur, jeune mariée était en congé. Elle travaillait à la lainière de Roubaix.Son mari, mineur était de l’après-midi. Alors elle venait me chercher pour faire de grandes balades.C’était vraiment des moments su-perbes.Il n’y avait pas beaucoup de circula-tion à cette époque, et les casques n’étaient pas de rigueur.Les hommes sur les trottoirs se re-tournaient sur cette belle blonde qui

conduisait sa monture comme une cavalière, chevauchant son cheval.Moments merveilleux qui sont gravés dans mon cœur.Merci, maman de m’avoir donné cette grande sœur.Aujourd’hui, les années ont passé, les rides sont arrivées.Un jour, toutes les deux nous partirons pour le grand voyage et nous chevaucherons toutes les deux de nouveau sur des beaux nuages !

Un souvenir inoubliable que cet épisode.Nous sommes partis un dimanche après-midi avec ma maman et ma sœur, j’avais 14 ans et ma sœur 13 ans et aussi avec un voisin, dont la sœur était cultivatrice à Grouches-Luchuel dans la Somme.A pied, jusque Thélus où on a retrouvé d’autres cultivateurs connus qui prenaient le même chemin avec un chariot attelé, conduit par un cheval qui s’appelait « Bijou » et un mulet « Carabine ». Nous avons traversé Maroeuil au bord du soir où nous avons dormi sur la paille dans une ferme, Arras était en feu, on voyait les grandes flammes.Le lendemain, nous avons repris la route en passant par Humbercamps, le chariot a été renversé par un camion de soldats anglais, il a fallu dételer les bêtes et les mettre dans une pâture. Nous avons donc dû continuer avec les bagages à la main et à pied !Les Anglais étaient encore là, à mettre des lignes téléphoniques ! Nous sommes arrivés à Lucheux à deux kilomètres de notre but et surprise : dans la gueule du loup !!Nous avons dû rester dans Lucheux sans pouvoir continuer, les Allemands arrivaient en motos et side-cars de la côte de Doullens et il a fallu attendre le lendemain pour arriver à notre destination.

Eté 1956

Evacuation 1939-1940

La rétro

Marilou

Elisabeth Legrand

- 6 -

La rétro (suite)Sallaumines, souvenez-vous quelle année ?

La première salle Maurice Thorez, la section des supporters Club Lensois y faisait des repas, le siège se tenait au café « Au Sporting » et sur cette photo quelques adhérents :

- Mlle Claudine MAEGHT- M. Raymond LEROY- M. Paul WASSON (père)- Au centre M. Casimir KUSNIERECK- M. Gérard WASSON- M. Daniel WASSONet le président du club de football de Sallaumines « Chez Simon », était M. Claude MAEGHT.

La belle époque.

Alfred

1973

- 7 -

Papinage - MaminageCa avance !

Dans le cadre des actions intergénérationnelles, un projet de plus est né en partenariat avec le C.C.A.S via le FLR, il s’agit de « PAPINAGE MAMINAGE ».

Sorte de parrainage intergénérationnel, réalisé par les Jeunes Citoyens Responsables, dans lequel jeunes et moins jeunes apprennent mutuellement à se connaître, ce projet s’étend sur le long terme car pour une personne âgée, deux jeunes adolescents sont choisis et prendront régulièrement contact avec cette dernière.

Le Papinage/Maminage avait débuté mi-décembre 2013. Durant la séance, six jeunes avaient pu rencontrer trois mamies pour faire plus ample connaissance et surtout comprendre les enjeux de ce projet. Tout cela fut expliqué par le directeur de l’établissement Jacques Duclos, Olivier HOBER et le Directeur du service Jeunesse, Abdelkader CHARA.

Suite à cette journée, un autre après-midi a été réalisé aux vacances de Noël dans le but de d’offrir quelques cadeaux chocolatés.

Dernièrement, un nouvel après-midi s’est déroulé le 11 janvier dernier. Durant ce moment passé en compagnie de leur « mamie », ces adolescents ont écrit une liste des activités qu’ils allaient faire avec cette dernière. La séance s’est terminée autour d’un chocolat chaud et de biscuits partagés entre jeunes et aînés.

Laura Cuvillier

Papinage - Maminage (suite)Samedi 8 février dernier, les jeunes ados se sont rendus au foyer Jac-ques Duclos de Sallaumines pour y passer un après-midi avec leur papi et mamie de projet.Après une présentation individuelle de chaque invité, les retrouvailles ont été fêtées autour d’un goûter composé de crêpes au chocolat, caramélisées ou sucrées accompa-gnées de chocolat ou de café.S’en est suivie une lecture de com-positions poétiques réalisées par les résidents du foyer ainsi que ceux du foyer « Quenehem » de la ville de Calonne Ricouart qui ont été aussi invités pour l’occasion.

Pour finir, l’après-midi s’est terminé autour de chants populaires lancés par les mamies et accompagnés de leurs Jeunes Citoyens Responsables.

Article de Charlotte FAGNEZ

Bien que tout soit réuni pour nous permettre d’avoir le sourire au quotidien, il faut bien avouer que ce n’est pas tous les jours tout rose. Certains d’entre nous sont venus ici à l’EHPAD par nécessité. Après une hospitalisation par exemple lorsqu’il était impossible de rentrer à la mai-son. Nos enfants travaillant nous ne voulions pas les embêter et leur causer plus de soucis qu’ils n’en ont déjà. Mais tout au fond de notre cœur nos racines restent à domicile…Au quotidien nous essayons de garder le moral et heureusement que nous sommes bien entou-rés, que ce soit par nos proches (familles, amis, anciens voisins…) mais aussi par le personnel. Nous avons la chance de pouvoir accueillir nos bien-aimés tout au long de la journée. Des activités tous les matins et après-midis nous sont proposées et c’est grâce à cela que nous apprenons à nous connaître nous, les nouveaux Sallauminois.

Certains parmi nous ont fait le choix d’entrer ici pour un rapprochement familial. Les visites sont ainsi plus faciles. Quand d’autres sont venus visiter, ils ont eu un véritable coup de cœur : l’établissement est neuf. Le grand hall d’accueil, les couleurs attrayantes, le choix du mobilier, l’aménagement intérieur avec les dif-férents espaces de vie commune ont fortement contribué à notre bonne installation. Nous pouvons circuler librement, nous ne nous sentons ab-solument pas « en prison ». Bien au contraire, nous nous sentons ici en sécurité et protégés!C’est avec un grand plaisir que nous avons intégré le comité de rédaction du journal « Regards Croisés » le 5 février dernier, et c’est avec joie que nous ressortons nos plumes pour les parutions à venir : nous avons du « pain d’alouette » sur la planche !

- 8 -

Le Pain d’Alouette nouvelle version (suite)

- 9 -

Le pantalonDoigts de fée

Carmen

- 10 -

Pourquoi je fais du théâtreJacqueline : On oublie ses soucis. Ça remonte le moral. J’adore, je me sens moins seule, j’ai rencontré des personnes gentilles, très sociables, c’est chaleureux !

Geneviève : Monique m’a débloquée , c’est gai, je ne par-lais plus. J’ai découvert Sallaumines, je ne sortais jamais avant, maintenant je vais par-tout au foyer Jacques Duclos, à la halte répit, au loto, au Téléthon. On est bien avec le pro-fesseur de théâtre, on est bien reçu à Hem.

Martine : Sans le groupe, je m’ennuierais, on a des parties de plaisir, on oublie tous ses soucis. J’ai pris mon indépendance. On est allé en vacances, ça ne m’était jamais arrivé. J’espère que cela durera longtemps.

Patricia : Quand j’ai rencontré le groupe du théâtre, ma vie a changé. Je peux sortir avec le groupe, ça me plaît d’être sur scène, toute ma famille vient me voir quand je joue.

Annick : Une occupation, j’étais timide avant, voir du monde, connaître le monde du spectacle, jouer la comédie, découvrir d’autres villes, d’autres gens et je fais partie d’une famille aujourd’hui, je me sens mieux dans ma peau.

Mauricette : Au début, j’étais timide, puis, j’ai pris de l’assurance. J’aime revoir mes amis du théâtre, je chante, on sort, j’aime bien faire rire. J’ai accueilli mon frère, on l’a sauvé.

Maurice : J’ai vu l’ambiance, tout le monde m’aime, je suis la mascotte, c’est pour cela que je « débloque ». Jamais je n’aurais cru aller jusque là : « monter sur scène ». Mon rêve était de devenir acteur. J’aime la comédie, le groupe m’a aidé à revivre !

Loulou : J’apprends à communiquer avec les gens. J’aime faire du théâtre. Je me sens bien, il y a des jours où je fais rire tout le monde. J’apprends à lire. Je fais attention à moi, à ma santé. Je vais à la chorale. Je revis. Je fais de la cuisine, je m’occupe bien de ma petite Marie. On me donne des conseils. Ma vie est complètement changée !

Nadjia : J’ai évolué avec ma petite famille que j’ai maintenant… Dans mon enfance, j’ai rêvé de faire du patinage ou du théâtre, et bien voilà, j’ai exercé mon vœu grâce à Monique, elle nous a unis comme sa petite famille. Il y a notre professeur qui s’appelle Djamel, il est bien comme profes-seur éducateur, gentil avec nous et correct. Il y a Michèle tous les mardis, mercredis, vendredis, elle nous sert du café. Je suis contente, ma vie a changé. Je remercie Monique et le CCAS.

Kelly : Le groupe m’apporte la joie de partager des moments inoubliables. J’ai appris à connaître des personnes. Quand j’arrive à la porte de la Maison de la Citoyenneté, j’oublie tous mes soucis, j’ai le sourire. Quand je joue mon rôle, je me sens très bien, j’essaye de la jouer, comme si c’était moi. Grâce à Monique, on peut discuter de nos problèmes personnels, ouvrir notre cœur !

Témoignages

- 11 -

Flan à la noix de coco

Le défilé à l’Ehpad

A vos papilles

Retour sur...

Ingrédients :

1 boîte de lait concentré sucr镽 litre de lait•3 œufs•125 g de noix de coco râpé•Un peu de caramel pour le moule•

Battre les ingrédients dans un saladier. Pla-cer un peu de caramel au fond d’un moule assez haut, ou dans de petits ramequins in-dividuels.Placer au four au bain-marie 20 minutes à 180°c (12 mn par ramequin)Démouler froid et servir.

Le jeudi 27 février 2014, ce ne sont pas moins de 40 artistes qui ont défilé sur le tapis rouge de la résidence « Le pain d’alouette » de Sallaumines. C’est devant une salle comble que nos aînés se sont donnés en spectacle, alliant talent et bonne humeur.Les jeunes du centre de loisirs de la commune étaient également de la partie, en proposant une chorégraphie exceptionnelle à l’entracte de cette belle journée.Les chansons de Marylou, le texte de Jacqueline « c’est nous les Sallauminois » chanté par les résidents du foyer Jacques Duclos, le rendez-vous donné dans la « rue de notre amour » inter-prété par les résidents du « Pain d’alouette » sont autant de moments qui resteront à coup sûr dans les mémoires des Sallauminois.Au vu du succès de cette manifestation, c’est certain, nos aînés ne vont pas s’arrêter en si bon chemin. A vos agendas ! Un nouveau rendez-vous vous sera prochainement proposé…

Carmen

-12 -

L’équipe de RédactionJacqueline, Olivier, Alfred, Saâdi, Monique, Pascale, Camille, Carmen, Sophie, Monique F. , Marilou, Michèle, Huguette, Abdelkader, Hassan et les jeunes JCR.

Vous souhaitez témoigner ou faire part d’une passion, d’une expérience... Contactez le comité de rédaction au : 03.21.67.36.61

Rions un peu !

Une amie nous a quittée.Elle est partie comme elle a vécu, en silence.Jamais elle n’a fait deviner ses souffrances.Et pourtant, elles étaient là, ancrées en elle.

Et même dans la douleur, elle savait rester belle.Toujours un sourire, toujours un geste d’amitié.

Nous ne saurons jamais t’oublier.Repose en paix chère Lucie.

Tu as mérité ton paradis.

Marilou

Hommage à Lucie

Un crocodile en balade rencontre un chien :Salut ! Sac à puces, lui lance-t-il !Salut ! Sac à main dit le chien

Un professeur demande à un élèveQue vous rappelle 1111Un élève lève le doigt et dit : l’invasion des uns

Comment cuire les carottes sans feu?Vous en mettez 9 dans une casserole, puis vous en enlevez une. Et ainsi, les carottes sont qu’8.

Erratum :Une erreur s’est glissée dans notre numéro 16. Le poème, ‘’Salut braves mineurs’’ a été écrit par Madame Espinose Yvette de Hulluch et non par Madame Espinon.

Quel oiseau est capable de soulever un éléphant?La grue