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Revue de presse de l'album "Songlines" de Manu Codjia (BEE018)

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L’AFFRANCHI DE CHAUMONT

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LA MARSEILLAISE

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CULTUREJAZZ.NET

On attendait ce premier disque de Manu Codjia ! Il est là et ilconfirme tous les espoirs qu’on avait construits dans l’attente de

l’écoute. Ce monsieur est bien le grand musicien dont on a souventvanté des qualités toujours perceptibles malgré la grande

discrétion du personnage. Dans ce Songlines , il a opté pour lasobriété du trio, formule risquée cependant car elle ne tolère ni les

erreurs ni les passages à vide. Avec Daniel Humair et FrançoisMoutin, on joue la sécurité mais il faut être à la hauteur. Et c’est

bien le cas. La musique est toujours là, parfaitement façonnée etpour retrouver une intensité similaire, on pense à la force du trio

Gateway [1] qui réunissait John Abercrombie, Dave Holland et Jackde Johnette. Pour mesurer la richesse de l’univers de Manu Codjia,

on pourra s’arrêter sur le contraste entre la finesse de Al Blade (ballade...) où chacun laisse les notes s’épanouir et la dureté du

propos de Roc Ferek , sorte de free rock agité mais toujours souscontrôle : l’art des grands ! Daniel Humair, lui-même, parle de

Songlines avec beaucoup de chaleur et d’enthousiasme. Pour luic’est un vrai "disque de jazz". On ne saurait mieux dire.

Alors,écoutez-le !

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VOXX

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LES DNJ.COM

MANU CODJIA : « Songlines »Bee Jazz 2007

Manu Codjia (g), François Moutin (cb), Daniel Humair (dm)

Il fallait oser ! Lorsque l’on s’appelle Manu Codjia et que l’on a cette réserve presque timide qu’onlui connaît, du genre à jamais jouer les gros bras dans les formations dans lesquelles il joue (commechez Texier par exemple), il fallait oser pour son premier album se lancer tout de go dans un format entrio. Car dans une formation de ce type, le guitariste y est toujours ultra exposé, soliste d’un bout àl’autre, de surcroît de ses propres compositions et donc livré impudemment aux oreilles critiques. EtManu a osé avec une formidable liberté qui l’amène ici et maintenant à afficher son caractèreparticulièrement éclectique, ses choix qui ne choisissent pas, son refus absolu d’enfermement. Pourceux qui attendaient l’expression d’un truc perso jamais fait avant que Codjia aurait mûri durant dessiècles à grands renforts d’écriture réécrite, on repassera c’est pas le sujet. Et pourtant tout enempruntant aux autres, cet album est incroyablement personnel. Comme un manifeste en somme.Avec une écriture subtile à l’efficacité waterproof, Codjia affirme toutes ses sensibilités avec mesureet élégance (même lorsqu’il se montre un poil furieux, il reste d’une grande classe). Toujours dans lamesure et avec cette fameuse réserve, sorte d’anti guitare héros, Manu Codjia refuse de se laisserenfermer dans un cadre straight. Ses affinités vont bien sûr de Scofield avec ses lenteurs bleutées(référence évidente d’un bout à l’autre), qu’à Frisell dans son jeu réverbéré, à Mike Stern parfois car il

y a aussi de la popsong chez Codjia et enfin Ducret dans sa furie rock. Codjia refuse de choisir maisfinalement pourquoi le ferait il d’ailleurs ? Et pourtant si Codjia donne tout ce qu’il aime avec passionc’est toujours sans se départir jamais d’une grande cohésion.Après avoir rodé avec ses deux camarades son répertoire à l’occasion de deux soirées au Sunside (voirl’article de Sophie Chambon dans Jazzman de mars), Manu Codjia, Daniel Humair et François Moutinprirent la route de la Buissonne pour aller direct à l’enregistrement. Pas mal pour se faire la mainlorsque l’on sait que ces trois pointures n’avaient pas trop de temps pour répéter ensemble. Pas malpour arriver à cette cohésion étonnante que l’on trouve d’emblée à l’écoute de l’album alors même queMoutin et Codjia jouaient là pour le première fois ensemble. Et cette cohésion on la trouve avec cesentiment de rentrer immédiatement dans la cour des grands. Ce petit quelque chose qui fait qu’avecces trois là on comprend qu’on a à faire aux choses sérieuses. De la musique de très haut niveau. Dugenre de celle qui n’a pas besoin de complexité pour atteindre à la profondeur, voire à la gravité du

propos. François Moutin (mais on le sait depuis longtemps), s’affirme là une fois de plus comme l’undes 10 plus grands contrebassistes actuel, phénoménal de liberté (on pense à Scott La Faro ) etd’énergie qui le laisse rarement derrière. Quand à Humair, bien sûr, rien de son jeu ne s’émousse

jamais, maître absolu des relances en douceur, des bruissements fluides et de la passation despouvoirs.Avec une très grande intimité, sans jamais donner dans le démonstratif (ce n’est franchement pas legenre à Manu), Codjia nous livre un album jamais uniforme mais toujours dans l’unicité. Ce contourvague au sein duquel se déploient des compositions brillantes et douces à la fois au charme trouble, àl’évanescence éphémère, à la fougue sereine. Avec la reconnaissance de cette paternité multiple qui lepousse à porter plus loin la musique de ses maîtres, Manu Codjia franchit une étape nécessaire à sapropre émancipation. Une étape qui le porte déjà sur le chemin des grands. Des très grands.

Jean-Marc Gelin

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le 16 Avril 2007Critique de l'album 'Songlines'

Estampillé "jeune valeur montante du jeune jazz français", leguitariste Manu Codjia n’en est pourtant pas à ses premierspincements de cordes. Sollicitée dans le Strada Sextet d’Henri Texier,dans le Baby Boom de Daniel Humair, ou au sein du Ladyland d’Erik Truffaz, la musicalité de Codjia est acquise depuis déjà bienlongtemps. Avec ‘Songlines’, Manu Codjia le sideman a simplement

décidé de faire place à Manu Codjia le leader, à la tête de son premieralbum entièrement composé de sa main.Pour son baptême, le guitariste a choisi la périlleuse formation en trio.Périlleuse car elle exige précision et amplitude. Creux sonores etfausses notes sont à bannir. Aussi Manu Codjia s’est-il bien gardé de

jouer les guitar-heroes aveugles et présomptueux. Il ne s’agissait paspour lui de plonger dans la cour des grands en apnée. C’est pourquoi,derrière lui, il a pris soin de solidement s’attacher deux bouteilles

d’oxygènes au débit inépuisable : François Moutin à la contrebasse etDaniel Humair à la batterie. Avec de telles pointures, Codjia s’estassuré d’évoluer dans un espace sonore parfaitement contrôlé etcopieusement nourri. Néanmoins, encore fallait-il oser !Personnalité discrète à la vie, Manu Codjia ne semble souffrir d’aucuncomplexe guitare en main. L’attaque est sûre, le touché délicat. Fortde son expérience, le jeune guitariste jongle avec les univers et lestextures. A l’ambiance douce et aérienne de ‘Ritournelle’ ou de ‘Al

Blade’ succède l’incandescence rugueuse et frénétique de ‘MotionSpivari’ ou de ‘Roc Ferek’. François Moutin se montre toujours aussiintraitable en assurant une ligne de basse libre et énergique. DanielHumair est orchestral, caressant et explosif. Il distribue, relance sanscesse, imperturbable.Au final, ‘Songlines’ est un album élégant tout en résonance, riche deses certitudes et de ses mystères.

Mathieu Menossi Sortie en mars 2007 - Bee Jazz

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By Jeff Dayton-Johnson

Electric guitarists in jazz sort themselves into two camps. Do youfollow the magisterial Charlie Christian , and favor clean lines that ahorn player might play, using electricity the way Billie Holiday used amicrophone to make subtle nuances more easily heard? Or do youfollow the arguably less gifted (but equally influential) Johnny Smith,embracing fuzz and sustain and all the wonderful things that pedalscan do? After rock and roll had its way with the instrument, thissecond path would certainly be the more often traveled.

Guitarist Emmanuel Codjia will have none of these distinctions. On the one hand, he exploitsthe sonic capabilities of the electric instrument for all they're worth, completely at home withthe aesthetic contributions of rock and roll, but also with the gentle sort of sound wash oneassociates with Bill Frisell. On the other hand, Codjia constructs his solos drawing on a verymelodic conception. It is interesting but not impossible to imagine many of the improvisationsincluded on Songlines , his first album as leader, transcribed to the saxophone or the trumpet.

Many listeners will have their favorite Codjia moment, given the guitarist's considerableproductivity as a sideman in recent years. Mine is his solo on “Reflection,” on ChristopheWallemme's Namaste (Bee Jazz, 2006).

For his first date as leader, Codjia could easily have gathered many of his musical travelingcompanions in a kind of French jazz all-star extravaganza. Instead, he has wisely opted for anintimate and far more demanding trio format with heavyweights Daniel Humair on drums andFrançois Moutin on bass. The downside of this strategy is that you do not hear on this recordthe implicit empathy among musicians that is the fruit of a long partnership. To our benefit,though, Codjia is kept on his toes by his more experienced sidemen.

Part of the pleasure of listening to Songlines is the insertion of a loud electric guitar into arelatively intimate acoustic jazz trio you might have thought more suited to a piano leader.Whether Codjia's playing is steely and crackling (”N'Yack Stuff”) or dreamy (”Al Blade”),you hear the bass strings slapping and the slightest brushing of the cymbals; this is a tribute toengineer Gérard de Haro. The multi-part “Nage Mute” appears to feature some subtleoverdubs, but mostly the record sounds live.

Most of the compositions are quite good, which is critical in a small group setting. At severalpoints—”Jamin',” the closing moments of Codjia's solo on “N'Yack Stuff,” the lovely “AlBlade,” “Nicolas' Clock”—you have the feeling you've heard these melodies before. “RocFerek”’s mix of ersatz heavy metal and bop improvisation is not always as successful, butwell worth the effort.

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PASSAGES RADIOS :

Interview par Sébastien Vidal diffusion le 17 avril

Présentation de ‘’Songlines’’ par Michel Contat dans l’émission d’AlexDutilh du 23 Mars « Jazz de cœur jazz de pique »

Interview par Yvan Amar dans l’émission ‘’Un Poco Agitato’’ le 28 mai à15h + 1 titre live en solo