Rouge et Blanc - Magazine Officiel du Stade De Reims

En avantle Stade

Reims - SochauxLE VRAI DÉPART

Les coulisses des tribunes& des loges

Numéro 2 - Août 2012GRATUIT

Le poster d’Agassa son interview fl ash

La foi en Rouge et BLancOn ne peut pas se mentir. Nos couleurs n’ont pas fait l’entrée en Ligue 1, dont on rêvait. Le scénario est même le plus cruel de ceux que nous avions envisagés. Mais, comme disent les Suisses, il n’y a pas le feu au lac. Nous n’en sommes, ce samedi, qu’à la troisième journée. Et si la réussite qui nous a manqué lors des matches contre l’OM et Bastia veut bien nous sourire face à Sochaux, notre club retrouvera, dans le classement, une situa-tion plus conforme à ses ambitions. Notre équipe est en devenir, et bientôt elle trou-vera toutes ses marques. Le temps est à la compréhension et à l’indulgence, pas à l’inquiétude. Nos joueurs, leurs entrai-neurs et tout le staff technique sont en place et travaillent à obtenir au plus tôt la récompense de leurs efforts. Nous sa-vons tous d’où nous venons. Trente trois ans après l’avoir quitté nous retrouvons la Ligue 1 pour notre plus grand bonheur et nous entendons en profiter. Auguste Delaune a retrouvé ses couleurs et ses clameurs. Le stade vibre, sur la pelouse et dans les tribunes. La foi en Rouge et Blanc nous habite.

Didier Perrin

EDITN°1L1 : 6 fois Champion en 1949, 1953, 1955, 1958,1960 & 1962

L2 : Champion en 1966

Coupe de France : Double Vainqueur en 1950 & 1958

Coupes d’Europe : 2 fois finalistes de la C1 en 1956 & 1959

REIMS Palmarès

R ugeBlanc

Magazine officiel

Magazine officiel du Stade de Reims, édité à 20 000 exemplaires par 2P.com Media Group, et le Stade de Reims. RCS N°512057928.16, rue Gabriel Voisin 51 100 Reims. ISSN: en cours. Directeur de la publication: Jean-Pierre Caillot. Co-gérants : Gérard Peyrefiche et Philippe Pétard. Rédaction, conception, commercialisation : 2Pcom Media Group. Directrice artistique : Estelle Baudelot. Publicité : Aurore Bruschi. Distribution : Fréderic Bencheman. Imprimé par les Nouvelles Imprimeries Champenoises. Crédits photos: Y.Pageot, F.Poidevin, V.Lapauw, Jean Claude Sikorsynski, X. Le Rouge & Blanc est une marque déposée pour la France. Ce magazine est protégé par la loi du 11 mars 1957 sur la propriété artistique. Dépôt légal: À parution Reproduction même partielle strictement inderdite. L’éditeur n’est pas responsable des éventuelles erreurs, le magazine décline toutes responsabilités pour les photos, textes et prix des annonces publicitaires, qui n’engagent que la responsabilité des annonceurs.

PaRtenaiReS officieLS du Stade de ReimS :

sommaireVu des tribunes

Le mercato

RésultatsClassements etStatistiques

Le match du jour

Vu des loges

P4-5 &6

P16

P10-11

P12-14& P 20 à 22

P24 -26

ugeMagazine officiel

R Blanc

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Reims - Marseille :

Que de regrets...Pour son grand retour dans l’élite, le Stade a concédé une défaite que la plu-part des observateurs s’accordent à qua-lifier d’imméritée. Avec un soupçon de réalisme et un brin de réussite, les Rouge et Blanc aurait même pu faire chuter les Marseillais d’entrée. Mais ces derniers, efficaces à défaut d’être brillants, ont su convertir l’une de leurs occasions de but. Pas de quoi pavoiser donc, mais pas de quoi rougir non plus.Le 12 août, dans un Delaune magnifique et plein à craquer, les Stadistes sont en ef-fet passés à deux doigts de l’exploit. Trop timides durant le premier quart d’heure, où Kaboré (6e) et Valbuena (10e) auraient pu ouvrir le score, les Rémois ont ensuite

peu à peu réalisé que cet OM-là n’avait rien d’un ogre. S’enhardissant au fil des minutes, ils ont su maîtriser et neutraliser les Marseillais les plus dangereux, tout en développant un jeu collectif intéressant avec une organisation en 4-2-3-1 deve-nue la marque des équipes «modernes». Courtet (14e) et surtout Ghilas (36e) se procuraient deux belles occasions, mais Mandanda s’interposait.

Réussite maximaleAprès la pause, les Rouge et Blanc ont bien contrôlé des Phocéens - certes domi-nateurs, mais guère tranchants sauf en de

Le ballon va raser le poteau droit de Mandanda

rares occasions par Ayew (65e) et Gignac (74e) - et se sont procurés quelques si-tuations dangereuses, notamment par un Courtet très en vue, sans toutefois parve-nir à ouvrir le score.Comme souvent, ce manque de réalisme a été payé cash : à la 78e minute, une lon-gue transversale de Kaboré trouve Chey-rou délaissé sur le côté gauche. Sa re-prise de volée instantanée trouve les filets d’Agassa jusqu’alors impeccable. Un très joli but avec une réussite maximale pour l’OM, ce qui n’enlèvera rien à la bonne prestation des Rémois. Ils ont trouvé dans ce match des motifs d’espérer, même si ce sont tout de même un ou trois points qui s’envolent un peu trop facilement...

0 1

Du grand spectacle aussi dans les tribunes, à hauteur de l’évènement.

5

Vu des tribunesL1, la passion des retrouvailles

Une vue à 180° d’Auguste Delaune en joie. Le Stade avait fait le plein. Le match se jouait à guichets fermés.

Entre les deux mon coeur balance. Il y a des jours où il est dur d’être rémois et supporter de l’OM.

Tous ensemble, on encourage les Rouge et Blanc

Que du bonheur en Rouge et Blanc et en famille.

Lunettes « I love le Stade de Reims » achetées à la bou-tique sur le nez... ou la tête, les filles s’en mêlent

On est Bleu on est Blanc on est Rouge... et on vibre!

MATCHcontre

le


R Blanc

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En amoureux dans la tribune Jonquet

Ils étaient nombreux les supporters à s’être déplacés en famille, entre amis mais aussi en couple lors de la rencontre qui opposait les Rouge et Blanc aux Bleu de l’OM. Parmi eux Ophélie et Romain, jeunes lycéens rémois de 19 ans qui se fréquentent depuis quatre ans. Croisés main dans la main en ce dimanche en-soleillé dans le haut de la rue de Vesle,

ils transformaient leur route vers le stade Auguste-Delaune en une agréable balade d’amoureux. Amour et football peuvent faire bon ménage.Lui, originaire de Croix-Rouge est pas-sionné de football depuis toujours. Il est un des nombreux abonnés. Elle, réside à Trois-Fontaines. Et comme elle l’a souvent fait l’an dernier, alors que les Rouge et

A Delaune comme dans de nombreux stades de Ligue 1, les amoureux n’hésitent plus à se rendre ensemble à des

matches de football. Ophélie et Romain, un jeune couple de Rémois étaient en tribune Jonquet lors du match du Stade

de Reims contre OM.

Blanc évoluaient encore en Ligue 2, elle a décidé de le le suivre lors des grandes af-fiches de la Ligue 1 comme Lyon, le PSG, Lille ou encore Montpellier. « Je me suis abonné dès que cela a été possible car je voulais vraiment suivre le Stade cette saison. Et en même temps, cela procure l’assurance de ne pas passer à côté des grosses soirées» expliquait Romain. Installé dans la tribune Jonquet, le couple craignait vraiment cette équipe mar-seillaise. Durant les quarante-cinq pre-mières minutes, ils ont vibré lorsque les Rémois se procuraient des occasions, et tremblé lorsque les Marseillais étaient dangereux. Et ils ont beaucoup chanté.

Plus de bruitÀ la pause, porte 18 ils livraient leurs sen-timents. « Nous passons vraiment un bon moment! Il y a des occasions, le Stade est très loin d’être ridicule. Nous ne pen-sions pas que les Rémois tiendraient tête comme ça. L’ambiance est incroyable, ça change de la Ligue 2. Les supporters marseillais font beaucoup de bruit, on vou-drait entendre encore plus les Rémois, il faut que l’on fasse plus de bruit »Plus les minutes de la seconde période défilaient, plus, comme une grande partie du public, Ophélie et Romain croyaient à l’exploit des Rémois. Vu le jeu proposé par les Rouge et Blanc, faire plier l’un des cadors de l’élite du football français leur apparaissait possible. Jusqu’au coup de tonnerre de Benoît Cheyrou qui a brisé les espoirs des milliers de Rémois dévoués au Stade de Reims.Ophélie et Romain étaient donc déçus à la fin de la rencontre. Déçus, mais opti-mistes pour le reste de la saison et heu-reux d’avoir vécu ce match là ensemble.« C’était vraiment une belle soirée, on au-rait pu les battre, c’est dommage ». Et ils sont repartis comme ils étaient ar-rivés, en amoureux, main dans la main, avec en prime des souvenirs plein la tête.

Avant match

Après match

Pendant match

MATCHcontre

le

8


R Blanc

Bastia - Reims :

Furia à FurianiLa réception s’annonçait musclée, elle l’a été ! 15 000 supporters du Sporting, chauffés à blanc, attendaient les Rémois à Armand-Césari pour l’entrée en lice des Bastiais à domicile, d’autant plus motivés qu’un fauteuil de co-leader les attendait en cas de succès. Loin d’être impres-sionnés par cet accueil, les Stadistes se montraient dominateurs durant le premier quart d’heure, ouvrant même la marque par Fauvergue (6e), auteur d’un geste ty-pique d’avant-centre à la réception d’un coup-franc de Sekkat. Une entrée en ma-tière idéale pour la confiance.La suite, comme on pouvait s’y attendre, a été plus compliquée. Sans être géniaux, les Corses ont largement dominé les débats, mais sont longtemps restés im-

puissants face à un collectif champenois bien organisé en deux lignes défensives très resserrées. Un regret : constamment sous pression, Reims n’est pas parvenu à organiser ses contres et ne s’est jamais montré dangereux.

Ladouble peineAprès une première période hachée par les coups de sifflet, Bastia a accentué sa pression, jusqu’à l’heure fatidique (59e) où Weber déséquilibrait Thauvin dans la surface. Penalty et expulsion du défen-seur central : la double peine, imméritée en l’occurrence, sanctionnait des Rémois

Le pénalty de Modeste qui fait basculer le match.

courageux et changeait la physionomie de la rencontre.A 1-1, les Corses retrouvaient un surcroît de volonté sans pour autant se montrer très dangereux et le Stadistes pouvaient sérieusement entrevoir le partage des points. L’arbitre en décidait autrement à la 82e minute en expulsant Tacalfred pour une faute discutable sur Modeste. A neuf contre onze, les Rémois résistaient encore, mais à la 95e (alors que le pan-neau électronique n’avait annoncé que quatre minutes de temps additionnel...), Ilan trompait Agassa d’un petit pointu. La victoire bastiaise est sans doute logique tant les Corses ont dominé, mais ses cir-constances laisseront un goût amer aux Champenois. Furiani reste Furiani...

2 1

Classements

Classement

Passeurs

Buteurs Reims - Marseille 0-1

Télévision : LA LIGUE 1 EN DIRECT

Ligue1 / 1ère journée

Résultats RCSStatistiques

SOCHAUX - BATIA EVIAN - BORDEAUX ASSE - LILLE TROYES - VA NANCY - BREST

2-32-31-20-11-0

0-10-10-12-21-1

RENNES-LYON REIMS - OM NICE - AJACCIO PSG - LORIENTMONTPELLIER - TFC

1. Ibrahimovic (PSG), Maoulida (Bastia): 2 buts

3. Eduardo (Ajaccio), Modeste (Bastia), Gouffran, Obraniak, Saivet (Bordeaux), Khlifa, Wass (Evian), Chedjou, Pedretti (Lille), Aliadière (Lorient), Gourcuff (Lyon), Cheyrou (Marseille), Camara (Montpellier), Mollo (Nancy), Hamouma (St-Etienne), Doubaï, Privat (Sochaux), Ben Yedder (Toulouse) : 1 but

CSC : Maxwell (PSG) pour Lorient, Rincon (Troyes) pour Valenciennes.

1. Khazri (Bastia ) : 2 passes

2. Diarra (Ajaccio), Palmieri (Bas-tia), Ben Khalfallah, Obraniak (Bordeaux), Rabiu (Evian), Martin (Lille), Briand (Lyon), Kaboré (Mar-seille), Utaka (Montpellier), Nene (PSG), Cohade (St-Etienne), Cor-chai, Roudet (Sochaux), Aurier (Tou-louse): 1 passe

Dimanche 12 août au stade Auguste-Delaune.

Spectateurs : 21 044.

Arbitre : M. Ennjimi.

Buts : Benoit Cheyrou (78e)

Avertissements : Ghilas (9e), Toudic (90e + 3) pour Reims; J. Ayew (90e + 3) pour Marseille.

Reims : Agassa - Glombard, Tacalfred (cap.), Weber, Signorino - Krychowiak, Devaux (Ca, 76e) - Fortes, Ghilas (Toudic, 62e), Ayité - Courtet (Fauvergue, 78e). Entraîneur: Hubert Fournier

Marseille : Mandanda (cap.) - Azpilicueta, Fanni, N’Koulou, Morel - Kaboré, Cheyrou - J. Ayew, Valbuena, A. Ayew - Gignac (Abdullah, 89e). Entraîneur : Elie Baup.

Dimanche 26 août- 17 heures : Montpellier - OM (Canal + et Be In Sport 1)- 17 heures : ASSE - Brest (Be In Sport 2)- 21 heures : PSG - Bordeaux (Canal +)

Samedi 1er septembre- 17 heures : Lyon - Valenciennes (Canal +)- 20 heures : Multiplex (Be In Sport 1)

Dimanche 2 septembre- 14 heures : Bordeaux - Nice (Be In Sport 1)- 17 heures : OM - Rennes (Be In Sport 1)- 21 heures : Lille - PSG (Canal + et Be In Sport 1)

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BASTIABORDEAUXLILLEVALENCIENNESMARSEILLENANCYLYONAC AJACCIOPARIS-SGLORIENTMONTPELLIERTOULOUSESOCHAUXEVIAN-TGSAINT-ETIENNEREIMSBRESTNICETROYESRENNES

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+1+1+1+1+1+1+1+10000-1-1-1-1-1-1-1-1

Classements Classements

Classement

Passeurs 3ème journée 4ème journée

Buteurs Bastia - Reims 2-1 (0-1)

Ligue1 / 2ème journée

RCS Résultats

Statistiques

1-12-10-01-00-0

4-12-02-11-02-1

1. Maoulida (Bastia), Obraniak (Bordeaux), Aliadière (Lorient), Go-mis (Lyon) , Ibrahimovic (PSG), Ben Yedder (Toulouse) : 2 buts

8.Eduardo (Ajaccio), Ilan (Bas-tia), Gouffran, Saivet (Bordeaux), Baysse (Brest), Khlifa, Wass (Evian), Chedjou, Kalou, Pedretti (Lille), Traoré (Lorient), Bastos, Gourcuff, Lisandro (Lyon), Cheyrou, Fanni, Gignac (Marseille), Camara, Herrera (Montpellier), Bakar, Mollo (Nancy), Fauvergue (Reims), Gra-del, Hamouma (St-Etienne), Dou-baï, Privat (Sochaux), Capoue (Tou-louse), Bahebeck (Troyes) : 1 but

CSC : Maxwell (PSG) pour Lorient, Rincon (Troyes) pour Valenciennes.

1. Khazri (Bastia), Utaka (Mont-pellier) : 2 passes

2. Diarra (Ajaccio), Modeste, Palmieri (Bastia), Ben Khalfal-lah, Obraniak (Bordeaux), Rabiu (Evian), Martin, Payet (Lille), Autret (Lorient), Briand, Grenier (Lyon), Cheyrou, Kaboré (Marseille), Nene (PSG), Sekkat (Reims), Cohade (St-Etienne), Corchia, Roudet (So-chaux), Aurier, Braaten, Tabanou (Toulouse), N’Sakala (Troyes) : 1 passe

Vendredi 24 aoûtEvian - Lyon (20h45)

Samedi 25 aoûtNice - Lille (17 h)Rennes - Bastia (20 h)Troyes - LorientNancy - ToulouseVA - AjaccioReims - Sochaux

Dimanche 26 aoûtMontpellier - OM (17 h)ASSE - BrestPSG - Bordeaux (21 h)

Samedi 1er septembreLyon - VA (17 h)Bastia - ASSE (20 h)Lorient - NancyToulouse - ReimsBrest - TroyesAjaccio - EvianSochaux - Montpellier

Dimanche 2 septembreBordeaux - Nice (14 h)OM - Rennes (17 h)Lille - PSG (21 h)

Samedi 18 août au stade Armand-Cesari.

Spectateurs : 13 989.

Arbitre : M. Rainville.

But pour Reims : Fauvergue (5e)Buts pour Bastia : Modeste (62e), Ilan (90e +5)

Avertissements : Mary (27e), Khazri (29e) pour Bastia. Sekkat (31e), Ca (34e), Fauvergue (66e), Agassa (82e) pour Reims. Expulsions : Weber (59e), Tacalfred (82e) pour Reims.

Bastia : Novaes - Angoula, Marchal, Mary (Harek, 46e), Marque - Cahuzac (cap.), Rothen - Maoulida, Khazri (Palmieri, 64e), Thauvin - Modeste. Entraîneur : Frédéric Hantz.

Reims : Agassa - Mandi, Tacalfred (cap.), Weber, Sekkat (Fortes, 56e) - Devaux (Fofana, 61e), Krychowiak - Ayité, Ca, Glombard - Fauvergue (Courtet, 77e). Entraîneur : Hubert Fournier

LYON - TROYESOM - SOCHAUXBASTIA - REIMSBORDEAUX - RENNESLORIENT - MONTPELLIER

LILLE- NANCYTOULOUSE - ASSEVA - NICEBREST - EVIANAJACCIO - PSG

1234567891011121314151617181920

LYONMARSEILLEBASTIABORDEAUXLORIENTLILLETOULOUSENANCYVALENCIENNESBRESTAC AJACCIOPARIS-SGMONTPELLIERNICESAINT-ETIENNEEVIAN-TGREIMSRENNESSOCHAUXTROYES

66664444432211000000

Pts J. G. N. P. p. c. Diff.

22222222222222222222

22221111111000000000

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STADE DE REIMS - FC SOCHAUX-MONTBÉLIARD

Numéros des joueurs

Kossi Agassa

16Mohamed

Fofana2

Grzegorz Krychowiak

4

Bocundji Ca21

Christopher Glombard

27

Gaëtan Courtet

18

Nicolas Fauvergue

13

Odaïr Fortes

7

Franck Signorino

3

Antoine Devaux

6

Floyd Ayité

10

Kamel Ghilas

5

Sur le banc : RAMARE 8 - GHISOLFI 24 - TOUDIC 9 - MANDI 23 - LIEBUS 1 - SOUARÉ 26 - SEKKAT 15

Les deux premières rencontres ont permis aux

Stadistes de se faire une petite idée de ce qui

les attend en Ligue 1. Ils savent désormais

qu’il leur faudra notamment affi cher en toute

circonstance une solidarité sans failles face à

l’adversité (y compris celle de l’arbitre) et faire

preuve d’un grand réalisme pour concrétiser

leurs occasions de but. En accueillant Sochaux

ce samedi, les hommes d’Hubert Fournier doi-

vent mettre à profi t ces enseignements tirés

des matches contre Marseille et Bastia.

Face aux Doubistes, qui connaissent un début

de saison diffi cile et une fi n de mercato pertur-

bée (Boudebouz et Perquis ont un bon de sor-

Débloquer le compteurtie, mais ne partent pas et ne jouent pas), les

Rémois ont une belle opportunité de débloquer

leur compteur. Par une victoire, s’entend...

Celle-ci semble à la portée des Rouge et Blanc,

à condition de rester très vigilants derrière du

fait d’une charnière totalement remaniée (sus-

pension de Weber et Tacalfred) et de se montrer

plus tranchants dans la zone offensive. Dans

ce domaine, si Fauvergue et Courtet ont mon-

tré de bonnes dispositions, il est évident que

les supporters - qui seront encore nombreux à

Delaune - attendent beaucoup mieux de Ghilas

et Fortes, qui doivent élever leur niveau de jeu.

MATCHdu jour

le

Numéro 1 : Johan LIEBUS

Numéro 2 : Mohamed FOFANA

Numéro 3 : Franck SIGNORINO

Numéro 4 : Grzegorz KRYCHOWIAK

Numéro 5 : Kamel GHILAS

Numéro 6 : Antoine DEVAUX

Numéro 7 : Odaïr FORTES

Numéro 8 : Johann RAMARE

Numéro 9 : Julien TOUDIC

Numéro 10 : Floyd AYITE

Numéro 13: Nicolas FAUVERGUE

Numéro 15: Khalid SEKKAT

Numéro 16 : Kossi AGASSA

Numéro 17 : Josué BALAMANDJI

Numéro 18 : Gaëtan COURTET

Numéro 19 : Alexi PEUGET

Numéro 20 : Quentin PEREIRA

Numéro 21 : Bocundji CA

Numéro 22 : Mickael TACALFRED

Numéro 23 : Aissa MANDI

Numéro 24 : Florent GHISOLFI

Numéro 25 : Anthony WEBER

Numéro 26 : Pape SOUARE

Numéro 27 : Christopher GLOMBARD

Numéro 28 : Yann BENEDICK

Numéro 30 : Jérémy MALHERBE

ou

AVANT ou APRÈS MATCH

AVANT ou APRÈS MATCH


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vous nous avez fait vibrerMerci !

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Doubles Champions du Monde de Canoë biplace par équipe 2011 - 2010

4èMes aux jeux olyMpiquesde londres 2012

Rouge et Blanc : Marseille, Bastia... vous avez vu des points communs lors de ces deux premières rencontres ?

Hubert Fournier : Essentiellement la dé-faite, avec un but d’écart. A part cela rien vraiment de très criant. C’étaient des matches très différents, surtout dans leur contenu. Ce que je retiens de ces deux oppositions c’est leur résultat, la défaite.

L’analysedu coach

Hubert Fournier : « On n’est pas encore libéré »

R&B : On a le sentiment que dans les deux cas le score aurait pu être différentH.F. : On peut toujours se dire ça. Bien sûr que dans l’un et l’autre cas on aurait pu mieux faire, et qu’on avait probablement le créneau pour mieux faire. Mais on pour-ra se dire cela après chaque match.

R&B : En tirant les enseigne-ments de ces deux premières oppositions, vous avez noté des points communs pour les expli-quer ?

H.F. : Dans les deux cas, il y a eu des périodes de match où on n’a pas répondu présent. Mais à Bastia, on a été très péna-lisé. Quatre cartons jaunes, deux rouges... c’est diffi cile à avaler dans un match où il ne se passe rien de très dramatique. On est en train de changer les règles de notre sport où parfois j’ai du mal à me retrouver. On est en train de transformer un sport où l’engagement physique tient un rôle important, en un sport de salon où tout contact, même le plus loyal, est immédiatement sanctionné. En continuant dans cette voie, dans quelque temps, le football va devenir un autre sport.

R&B : A Bastia, vous avez le sentiment que votre équipe a été piégée ?H.F. : Sans mettre l’arbitrage en cause, il est clair qu’on n’est pas arbitré de la même façon à Bastia qu’à Reims. Il y a incontestablement des paramètres à prendre en compte. Mais je ne veux pas nous cacher derrière des circonstances car nous avions beaucoup mieux à faire dans le jeu.

R&B : Et contre l’OM ?

H.F. : Rien à voir. Dans ce match il y a eu aussi beaucoup de réussite pour l’OM, et très peu pour nous. Le facteur chance n’était pas de notre côté. Mais cette réussite, il faut savoir aller la chercher. Contre l’OM nous avons fait un match in-téressant et nous nous sommes procurés des occasions. Nous avons surtout pé-ché par manque de construction. Contre l’OM nous avons été vaillants, et contre Bastia nous avons eu beaucoup de cœur. C’est bien, mais ça ne suffi t pas. Il faut que dans le jeu on passe la vitesse supé-rieure. En fait, on n’est pas encore libéré. Ce sera peut être le cas contre Sochaux. En tout cas je l’espère.

R&B : Pour ce match vous aller pouvoir faire appel à la nou-velle recrue du Stade de ReimsH.F. : L’arrivée de Pape Souaré est une bonne chose, et il tombe à pic, car nous avons perdu deux défenseurs centraux à Bastia. On voit bien ainsi que très vite, on peut être à court d’effectif... C’est bon aussi pour l’émulation. Pape Souaré est un joueur polyvalent qui a une bonne lec-ture du jeu.

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Julien ABSALOn

Double Champion Olympique de VTT 2008 - 2004

sélectionné aux jeux olyMpiquesde londres 2012Matthieu PéCHé

et Gauthier kLAuSS

Doubles Champions du Monde de Canoë biplace par équipe 2011 - 2010

4èMes aux jeux olyMpiquesde londres 2012


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Le Mercato du Stade de Reims

Pape Souaré en prêt

Ce pourrait être comme la rédaction d’un faire part de mariage : « Le Stade de Reims est heureux de vous annoncer la signature, sous forme de prêt, du défenseur sénégalais Pape Soua-ré, âgé de 22 ans, en provenance de Lille ». Souaré a joué 11 matches de Ligue 1 avec le LOSC, 4 en 2010-2011 (le premier le 20-02-2011 contre Montpellier perdu 1-0, et 7 en 2011-2012 (il est donc Cham-pion de France), 16 en CFA (avec Lille B en 2008-2009). Il a aussi joué un match

de C3 en 2011 et a disputé les Jeux Olym-piques de Londres, avec le Sénégal quart de finaliste, où il a fait bonne figure, 5 passes décisives. Il est sous contrat avec le LOSC jusqu’en 2015.Pape Souaré pourrait bien retrouver So-chaux en L1. Lors du match contre Lorient, match en retard de la 24eme journée de L1, il avait remplacé au pied levé Florent Balmont touché aux ischio-jambiers lors de l’échauffement. Pour le déplacement à Sochaux, Balmont 32 ans, n’était pas totalement remis de sa blessure. Rudi Garcia avait donc fait de nouveau appel à Pape Souaré, son défenseur sénégalais de 21 ans.

Persévérance

« Il nous a fallu de la persévérance confie Olivier Létang, mais le dossier s’est accé-léré soudain récemment, après son retour de Londres. On aurait préféré l’avoir défini-tivement, mais c’est déjà bien. »« On aurait aussi aimé déjà le faire ve-nir l’an dernier, en début de saison, ex-plique Jean Pierre Caillot. Mais Lille avait hésité pour le prêter avant de décider de le conserver. On avait gardé un oeil sur lui. Cette année, Lille a décidé de le faire. C’est un très bon joueur qui vient de faire les J.O. . Cela nous permet de renforcer notre défense. C’est un arrière gauche qui

peut aussi jouer en défense centrale. Car même si on avait pensé être bien dans ce secteur, quand on se fait expulser nos deux centraux comme à Bastia, avoir un joueur supplémentaire qui peut évoluer dans l’axe permet d’avoir d’autres solu-tions. »Pape Souaré s’est entrainé avec ses nouveaux partenaires juste après avoir apposé sa signature sur son contrat. Il portera désormais le n°26 et c’est mon-tré emballé par sa nouvelle destination. « Reims à un beau projet qui me convient. Ici, je devrais avoir du temps de jeu. Je pourrai donc progresser encore. Je suis flatté que le club ait confiance en moi. Je me sens très bien. Ce n’est que du bon-heur » a glissé Pape Souaré en affirmant « Je rentre de compétition, et je suis en forme. Je suis près a répondre présent si l’entraineur fait appel à moi, et dès le match contre Sochaux ».

Sa fiche

Pape N’Diaye SouaréNé le : 6 juin 1990 à Mbao (Sénégal)Taille : 1m78Poids : 69 kgDéfenseur

Pape Souaré à droite à l’entrainement.

Le Blog de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Reims et d'Epernay

le blogchampeco.net

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Comment, en l’espace de deux saisons, perdre

un coach de la valeur de Francis Gillot, des

joueurs du calibre de Martin, Bréchet, Anin et

Maïga - en attendant les départs à court ou

moyen terme de Boudebouz et Perquis - et es-

pérer se maintenir en L1 alors que la relève,

certes très prometteuse, du centre de forma-

tion est encore un peu tendre ?

Pour Alexandre Lacombe, président du club, la

réponse est claire et nette. «Je pense que le

groupe dispose de la qualité suffi sante pour

atteindre l’objectif du maintien, voire un peu

plus», a-t-il déclaré avant la reprise. Pour ce

faire, Sochaux mise sur un collectif soudé et

équilibré. «On a recruté des joueurs comme

Daf, Yartey, Kanté et Contout qui nous sem-

Numéros des joueurs

Sochaux, un Lion en péril blaient aptes à encadrer au mieux les jeunes»,

commente le président Lacombe. L’ancien

Auxerrois, ayant purgé sa suspension, fera

d’ailleurs sa rentrée à Delaune. «C’est un gars

qui a de l’expérience. Quand il rentre sur un ter-

rain, il a des certitudes, de la confi ance en lui.

J’espère qu’il transmettra tout cela au groupe»,

commente l’entraîneur sochalien Eric Hély.

Si les Doubistes restent confi ants, il leur faudra

néanmoins rapidement prendre des points pour

réussir, comme l’an dernier, un bon début de

saison. Les deux premiers matches, soldés par

autant de défaites, dont l’une à domicile face

au promu bastiais, ne leur ont pas permis de

se rassurer. La rencontre de ce samedi face à

Reims est donc déjà cruciale : défaite interdite

à Delaune.

PierrickCros

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MathieuPeydernes

17

Cédric Kante

6

David Sauget

23

Ryad Boudebouz

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CédricBakambou

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RoyContout

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LopyJoseph

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Ishmael Yartet

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Sébastien Corchia

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Thierry Doubaï

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MATCHdu jour

leNuméro 1 : CROS PierrickNuméro 2 : CORCHIA SébastienNuméro 3 : BANANA YayaNuméro 4 : DOUBAÏ ThierryNuméro 5 : CARLÃO Carlos RobertoNuméro 6 : KANTÉ CédricNuméro 7 : DIAS RafaëlNuméro 8 : LOPY JosephNuméro 9 : PRIVAT SloanNuméro 10 : BOUDEBOUZ RyadNuméro 11 : MIKARI YassinNuméro 12 : CONTOUT RoyNuméro 13 : CAMARA AbdoulNuméro 14 : GURLER SerdarNuméro 15 : YARTEY IshmaelNuméro 16 : POUPLIN SimonNuméro 17 : PEYBERNES MathieuNuméro 18 : ROUDET SébastienNuméro 19 : DUPLUS FrédéricNuméro 20 : BUTIN EdouardNuméro 21 : NOGUEIRA VincentNuméro 22 : BAKAMBOU CédricNuméro 23 : SAUGET DavidNuméro 24 : PERQUIS DamienNuméro 25 : DAF OmarNuméro 26 : PRCIC SanjinNuméro 27 : POUJOL LoïcNuméro 28 : OSANGA KingNuméro 29 : BOUMAL Petrus


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22

Sous le signe du Lion

Créé en 1928 par un membre de la fa-mille Peugeot, le FC Sochaux-Montbéliard a vécu ses plus riches heures au plan national avant la guerre. Deux titres de champion (1935, 1938) et une Coupe de France (1937) récompensent alors une équipe très en avance sur son temps, tant en termes de structure que de recru-tement. Le palmarès attendra toutefois longtemps pour être enrichi (Coupe de la Ligue 2004, Coupe de France 2007).A la fin des années 20, le FCSM faisait en effet figure de précurseur au sein du football français. Dès 1927, la marque au Lion lance la construction d’un stade «mo-derne» qui deviendra plus tard le stade Bo-nal. Deux ans plus tard, Sochaux recrute à tour de bras parmi les meilleurs Français et des joueurs étrangers de renom. Le pro-

fessionnalisme est encore interdit, mais Peugeot reconnaît les payer à l’heure... En 1930, la firme automobile crée la Coupe Peugeot, qui rassemble les meilleures équipes françaises. D’abord interdite par la Fédération, cette dernière doit se résoudra à l’évidence devant le succès populaire de la compétition : l’ère du foot pro est arrivée (premier championnat en 1932-33).

Une formationde qualité

Après la guerre, le FC So-chaux abandonne les re-crutements dispendieux et innove en choisissant de former lui-même ses joueurs. La «Phalange des Lionceaux» est alors l’em-bryon du premier centre de formation jamais créé en France.Une formation dont la qua-lité ne s’est jamais démen-tie jusqu’à aujourd’hui. La liste non exhaustive des meilleurs Lionceaux de ces trente dernières années ferait rêver plus d’un en-traîneur : Ruts, Stopyra, Genghini, Bats, Anziani, Sauzée, Paille, Sylvestre, Ljuboja, Pedretti, Frau, Mé-nez, Martin, Boudebouz...

MATCHdu jour

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Marvin Martin, international formé à Sochaux, jouera cette saison avec les Dogues.

La symphonie inachevée

La saison 1980-81 restera à jamais gravée dans la mé-moire des supporters sochaliens. Ayant terminé 2e du précédent championnat, le FC Sochaux accède pour la troi-sième fois de son histoire à la Coupe de l’UEFA. Les Dou-bistes vont y réaliser un parcours mémorable.A la baguette, un joueur de 22 ans dont la classe est en train d’éclore : Bernard Genghini. Au sein d’une équipe composée de jeunes talents (Stopyra, Anziani, Rust) et de vieux briscards (Djaadaoui, Revelli, Ivezic, Durkalic), le futur champion d’Europe 1984 réussit l’exploit de marquer au moins un but à toutes les équipes adverses. Tour à tour, le Servette, Boavista, l’Eintracht Francfort et le Grasshopper Zürich cèdent devant la fougue sochalienne, à l’issue de matches retour au suspense insoutenable. Contre Zürich, à cinq minutes de la fin, le quatrième but de Genghini dans la compétition ouvre les portes de la demi-finale. Face aux Hollandais d’Alkmaar, le futur international marque encore deux fois, à l’aller et au retour, mais n’ayant pu faire que match nul à domicile (1-1), les Jaunes s’inclinent aux Pays-Bas (3-2), manquant la finale d’un souffle. Jamais plus les Sochaliens n’iront si loin dans une compétition européenne.

Financièrement, il est désormais impos-sible au FCSM de garder ses talents bien longtemps. Sans investissement massif extérieur - car on voit mal Peugeot s’y ris-quer vu la conjoncture -, le club doubiste est donc «condamné» à former. Finaliste de la Gambardella en 2010 avec quelques individualités remarquées dont Rafaël Dias et Cédric Bakambu, l’horizon ne s’an-nonce toutefois pas si maussade.


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Des stars dans la loge des Présidents

Le président de l’OM, Vincent Labrune bien sûr, mais aussi le footballeur Emmanuel Adebayor et

le comédien Pierre Arditi ont été les invités vedette de la loge de Jean-Pierre Caillot et Didier Perrin.

Le climat était très chaleureux entre le président rémois Jean-Pierre Caillot et Vincent Labrune, président de l’OM. Après les 45 premières minutes de jeu, Vincent Labrune se montrait même très fairplay estimant qu’un avantage au score de 1 voire de 2 buts pour les rémois n’aurait pas été un scandale. Ce qui ne l’a pas empêché toutefois de se ré-jouir de la victoire de son camp à la fin de la rencontre. Mais sans fanfaronnade.

Et puis visite surprise du comédien Pierre Arditi grand amateur de foot né à Paris mais Marseillais de coeur. Son père, Georges Arditi, un grand peintre décédé en janvier dernier, était natif de la capitale phocéenne. Pierre Arditi, venu avec Gérard Lemarié, mais sans sa femme l’actrice Evelyne Bouix qu’il a épousé il y a deux ans après 25 ans de vie com-mune, et sans sa soeur Rachel à qui il a récemment donné la réplique. Le comédien s’est dit surpris et séduit par la qualité du jeu rémois.

A journée exceptionnelle, présence exceptionnelle. C’est Mahiédine Mekhissi qui a donné le coup d’envoi de ce premier match de L1 entre Le Stade de Reims et l’Olympique de Marseille. Et juste avant, le champion du 3000 m steeple avait fait briller sa médaille d’argent des JO de Londres aux côtés de Didier Perrin, Olivier Létang et Jean-Pierre Caillot.

Hélas non, ce n’est pas la nouvelle recrue du Stade de Reims qu’encadrent les pré-sidents Caillot et Per-rin à la mi-temps du match contre l’OM. Hélas non Emmanuel Adebayor, 28 ans, n’améliorera pas son palmarès (171 buts marqués en 451 matches ) en rouge et blanc. L’attaquant to-golais de Manchester City prêté à Totten-ham était à Delaune comme supporter. Il voulait être aux côtés de son ami et parte-naire en équipe natio-nale, Kossi Agassa pour ce choc de la 1ere journée de la Ligue 1 retrouvée. Le président Caillot l’a donc invité. Le joueur africain de l’année a été satisfait par la prestation de son compatriote et de toute l’équipe rémoise. Et trouvait le score bien injuste.

MATCHcontre

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A journée exceptionnelle, présence exceptionnelle. C’est Mahiédine Mekhissi qui a donné le coup d’envoi de ce premier match de L1 entre Le Stade de Reims et l’Olympique de Marseille. Et juste avant, le champion du 3000 m steeple avait fait briller sa médaille d’argent des JO de Londres aux côtés de Didier Perrin, Olivier Létang et Jean-Pierre Caillot.


R Blanc

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La loge n°15C’est souvent le repère des anciennes gloires du Stade

de Reims. Muller, Kopa, Fontaine, Colonna, Lech, Bianchi s’y retrouvent régulièrement. La loge n°15, à côté de celle

des Présidents, mèle souvent les émotions d’hier à celles d’aujourd’hui.

Comme dans l’épopée d’Alexandre Du-mas, les mousquetaires sont quatre. Le d’Artagnan de l’équipe, c’est Jean Michel Martinelli (au centre sur la pho-to) vacciné au Rouge et Blanc depuis l’age de 6 ans, actionnaire et sponsor du club. Il est la véritable courroie de transmission entre les anciens joueurs et les dirigeants actuels. Président de TSO logistique, il affirme « Le stade, c’est un lieu de vie formidable ».Autour de lui François Hutteaux, son fils Alexandre, et Dominique Calio, d’Arca Location qui a récemment enrichi l’en-treprise existante depuis 20ans, d’une division automobile spécialisée dans la location financière destinée aux PME.

Et à gauche, Alain Godot, le propriétaire du Cottage, hôtel restaurant du Val de Murigny, dont le gendre n’est autre qu’ Enrique da Silva Gomez, l’ex joueur de Reims.

Jean Michel Martinelli avec Franco Marzin, Dominique Calio et Georges Lech.

François Hutteaux, son épouse, son fils Alexandre, Domi-nique Calio, Alain Godot et Georges Lech.

Sébastien Bocahu, fan du Stade, mais aussi propriétaire du Kabaret à Tinqueux. Le K qui présente sa revue de music-hall « Kankan à la Folie » est le nouveau lieu de divertisse-ment de la région.

MATCHcontre

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FormationLes U 15

ramasseurs de balles

Les 14 U15 (Under Fifteen) qui officiaient comme ramasseurs de balles lors de Reims – OM ne semblaient pas peu fiers et heureux de la mission qui leur était confiée . Aucun de ces jeunes en préfor-mation (dire préfo) au stade, présent à Reims, n’avait du reste décliné l’invitation. La reprise de l’entrainement avait lieu le lendemain. Ils étaient arrivés à 19 h, soit 2 h avant le match pour prendre connais-sance des consignes, enfiler le survet noir de Hummel, le nouvel équipementier, et gagner le poste qui leur avait été attribué. Certains avaient déjà l’expérience de la L2, mais là, c’était différent. la L1, et le premier match à Delaune. De quoi avoir le trac. Heureusement tout s’est bien passé.Cette année, il y a 73 jeunes gens de 12 à 15 ans, en préfo dont une vingtaine en U15, la dernière marche avant le passage

en formation, au centre du stade Géo An-dré. Ces élus, tous rémois, associent leur formation sportive à l’enseignement sco-laire, la vie en club avec la vie en famille. Il n’y a pas de déracinement affectif. Ils vivent chez eux, avec leurs parents leurs frères ou soeurs.

Entraînementaux Eglantines

Le matin, chacun d’eux gagne son collège, soit François Legros, soit le Sacré Coeur, où ils sont en 3eme. Ils ont cours de 8h à 12h puis de 13h30 à 15h30. C’est alors que leur deuxième vie commence. Un bus du club les attend à la sortie de l’école pour les amener au bout de la rue de

Laon, au complexe des Eglantines où de 16h30 à 18h ils ont entrainement les lun-di, jeudi et vendredi. Le mercredi, comme il n’y a pas cours l’après midi ils viennent aux Eglantines par leur propre moyen, et le mardi c’est relâche.

Ces horaires aménagés type sport-étude fonctionnent bien. Les échec scolaires sont rares. L’objectif est l’obtention du brevet du collège et la montée en seconde. Le taux de réussite de ces dernières an-nées est de 85%. Au plan sportif l’éclo-sion est optimisée. La perspective du bout de la ligne est de passer pro un jour, ce qui constitue déjà une performance et dé-pend de la qualité de la génération. Mais des garçons comme Lucas Deaux ou Aïs-sa Mandi sont passer par là. Alors...

Les 14 U15 encadré par Robert Mastri adjoint de Paulo Pereira, le père de Quentin, avant la rencontre Reims-OM

Les 4 objectifs de la préfo

« En préfo, nous avons 4 objectifs pré-cis explique Julien Witkowski le respon-sable des U12 au U15 :

1) Accueillir les meilleurs joueurs de Reims et de sa couronne alentours

2) Représenter le Stade de Reims dans toutes les compétitions officielles ou amicales

3) Accompagner les jeunes dans leur projet sportif sans les pénaliser scolai-rement

4) Préparer les joueurs à l’intégration au centre de formation.


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Dominique ColonnaCorse et Rémois

Avec le Stade de Reims il a gagné trois championnats de France (1958, 1960, et 1962), une Coupe de France en 1958, et, en 1959 à Stuggart, participé à la fi nale de la Coupe d’Europe face au Real de Ma-drid de Raymond Kopa lors de laquelle il s’inclina deux fois, devant Mateos et Di Stefano.C’est dire si cet homme a le maillot rouge et blanc collé à la peau.Mais Dominique Colonna dit «Doumé» n’est pas que rémois. Il est Corse,

jusqu’au bout des doigts, de nom et de prénom, et même né à Corte, la capitale historique de la Corse il y a 84 ans. Revoir

Reims en Ligue 1 est une grande joie pour lui. Mai revoir son club affronter ses Corses le plonge dans un grand trouble.« A Corte, raconte Dominique Co-lonna, on a le cœur qui penche plus pour Bastia que pour Ajaccio. Peut être est-ce à cause du col de Vizzavona qui barre la route à 1163 m d’altitude de la ville impé-riale. En revanche, les Ajacciens sont des supporters assidus du Stade de Reims. Je pense que

FestivalA Châlons-en-Champagne

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du 31/08 au 10/09

En plein cœur de la Champagne !

A 90 min de Metz,

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Entre les deux son cœur balance...

pour le match contre Bastia, leur cœur, comme le mien battait tout autant pour les Rémois que pour les Bastiais. En re-vanche, le 12 décembre prochain, quand les Rouge et Blanc vont revenir sur l’Ile pour affronter Ajaccio les sentiments se-ront moins mitigés ».

Pas inquiet« Je n’étais pas à Bastia pour le match poursuit le légendaire gardien. Je l’ai vu à la télé, dans ma bergerie, dans la mon-tagne. J’y passe deux mois et je redes-cends début septembre. C’est ma trans-humance... Mais je l’ai suivi à la télé (j’ai un groupe électrogène) et Kopa qui y était m’en a parlé. Dans le foot, beaucoup de choses ont évolué, sauf l’arbitrage. Au-jourd’hui les arbitres connaissent les lois du jeu, mais ils ne savent que très peu du jeu. »L’ancien gardien qu’il est, serait pour la vidéo, sur la ligne de but, pour être certain que le ballon ait franchi ou pas la ligne fa-tidique. Mais ailleurs, il est plus réservé. Il croit surtout que les arbitres devraient être recrutés parmi les anciens joueurs. « Avant rit-il, c’étaient des employés de la SNCF parce qu’ils ne payaient pas leur billet ».« Je ne suis pas inquiet pour le Stade, les joueurs ont des qualités. Ils vont ap-prendre vite et se ressaisir. J’y crois très fort. Et du reste, je viendrai les encoura-ger à Reims dans quelques semaines. »

Dominique Colonna à côté de sa bergerie

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Depuis le 31 juillet, la boutique offi cielle du club,

au Stade Delaune, a adapté ses horaires à son

nouvel environnement. Elle est donc ouverte du

mardi au samedi de 10h00 à 12h00 et de 14h00

à 18h00. Lorsque les matchs à domicile auront

lieu le dimanche, la boutique ouvrira ses portes à

partir de 14h00.


R Blanc

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La boutiquedu Stade de ReimsLes dernières tenues n°1 et 2, à domicile et à

l’extérieur des joueurs du Stade de Reims, crées par l’équipementier Hummel sont désormais

en vente à la boutique. La tenue n°3 arrivera prochainement.

Les articles Rouge et Blanc qui prévalent à Delaune et les Bleu marine des déplacements sont aux mêmes tarifs.

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Grand Cirque de Noël 2011 A4 ter:Mise en page 1 13/01/11 14:48 Page1


R Blanc

34

Autographecollector

Franck SIGNORINO

Défenseur latéral gauche

Né le 19 septembre 1981

1,75 m

68 kg

Documents

Rouge et Blanc - Magazine Officiel du Stade De Reims