Double concerto pour violon et violoncelle

de Johannes Brahms

Sinfoniettade Leoš Janáček

Direction

Maxime PascalSolistes

Dorothée RoyezHugo Rannou

l’Orchestre de Formation Professionnelle

Ven. 13 nov. 20hLille Auditorium du Nouveau Siècle

Sam. 14 nov. 20h30Amiens Conservatoire à Rayonnement Régional

Dim. 15 nov. 16hAire-sur-la-Lys Salle du Manège

ORCHESTRE NATIONAL DE LILLE

Concerts symphoniques Jeudi 29 octobre et mardi 3 novembre 20h,

Lille – Nouveau SièclePierre Boulez vs Hector Berlioz

Boulez Rituel in MemoriamBerlioz Symphonie fantastique

À partir de 5 3

Concerts symphoniques Vendredi 30 octobre,

Lesquin – Centre culturelFantastique !

Offenbach Orphée aux Enfers, ouvertureDukas L’Apprenti sorcier

Berlioz Symphonie fantastiqueTarif 21,90 3

Famillissimo dès 5 ans Samedi 31 octobre

Lille - Nouveau SiècleHalloween Party

Ludorama Atelier maquillage, coiffure et musique / dès 14h30

Concert symphonique / 16hDukas L’Apprenti sorcier

Berlioz Symphonie fantastique (extraits)Tarif 3 3 / 03 62 13 79 91

Programme proposé dans le cadre de Renaissance /lille3000

OPÉRA DE LILLE

Opéra de chambre Mardi 17 novembre à 20h

Avenida de Los Incas 3518 de Fernando FiszbeinDirection Maxime Pascal/Le Balcon

Mise en scène Jacques OsinskiAvec Elise Chauvin, Florent Baffi,

Pablo Ramos Monroy, Guilhem Terrail, Camille Merckx, Romain Pascal, Johan Leysen

Retrouvons le pétillant ensemble Le Balcon et Maxime Pascal dans un opéra contemporain

— le premier de son compositeur, l’argentin Fernando Fiszbein — chronique troublante

de trois copains trentenaires dans un immeuble de Buenos Aires.

À l’issue du spectacle : rencontre avec l’équipe artistique

(entrée libre)Tarifs 5/9/14/18/23 3

Réservations www.opera-lille.fr

Dédicacé à ses deux créateurs, le violoniste Josef Joachim et le violoncelliste Bernard Haussman, Le Double Concerto pour violon et violoncelle de Johannes Brahms (1833-1897) est une œuvre symphonique et concertante majeure. Amis de longue date du compositeur, chambristes et solistes excep-tionnels, ces deux artistes comptent parmi les interprètes les plus influents de la sphère germanique de l’époque. D’une facture classique en trois mouvements vif-lent-vif, cette dernière œuvre symphonique du compositeur (1887) remet à la page une formule concertante très marginale en cette fin de XIXe siècle. En effet, si la période baroque est majoritairement jalonnée de « concertos grossos » (œuvres concertantes avec plusieurs solistes), le genre tombe en désuétude dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle au profit du concerto de soliste. Or, Brahms réussit magistralement à combiner fusion du violon et du violoncelle en un seul instrument dialoguant avec l’orchestre, mise en lumière de chaque soliste, et chatoiement orchestral digne de ses pages symphoniques.

La Sinfonietta (1926) est la dernière œuvre symphonique de Leoš Janácek (1854-1928). Créée à Prague, elle fut jouée de son vivant sur plusieurs continents (New-York en 1927, Vienne et Londres en 1928) avec un succès notable. Elle doit son surnom de « militaire », donné par le compositeur lui-même, à la fanfare qui constitue le premier mouve-ment, et à l’usage exceptionnel de 14 trompettes dont deux basses. L’orchestration de Janácek rappelle par certains aspects son instrument de prédilection, l’orgue, dans les oppositions de registres et de blocs sonores ou la combi-naison complexe de timbres – qui renvoie à la composition de véritables « mixtures ». Les cinq mouvements de l’œuvre sont contrastés autant dans leur agencement (alternance de tempos et caractères différents) que dans leur constitu-tion (beaucoup de changements agogiques ou métriques), et explorent des sources d’inspiration aussi variées que les chansons populaires moraves (II et IV), les élans lyriques de la mélancolie (III) ou les accents martiaux des cuivres.

29 octobre 17 novembre

Concerts Symphoniques – Opéra – RencontresMaxime PascaL – Le Balcon

Lille Amiens Aire-sur-la-Lys Lesquin

Maxime Pascal © Jean-Baptiste Millot

L’Orchestre de Formation Professionnelle du conservatoire de Lille et du Pôle Supérieur d’Ensei-gnements Artistiques Nord – Pas-de-Calais souffle ses dix bougies.Dix ans… et une moyenne d’âge de vingt ans à peine, chef inclus !Dix ans… mais chaque année un nouveau défi avec de nouvelles œuvres, de nouveaux élèves de conservatoires et étudiants de l’enseignement artistique supérieur, de nouveaux artistes invités.

En dix ans, ce vaisseau amical et musical a battu pavillons baroques, afro-cubain, jazz ou, pour cette session, symphoniques. Embarquons pour une nouvelle aventure artistique, cette année en compagnie de la violoniste Dorothée Royez et du violoncelliste Hugo Rannou. Anciens élèves du conservatoire d’Amiens, ils sont à l’orée d’une carrière professionnelle après s’être formés dans de prestigieuses académies européennes. En soulignant ce parcours, l’OFP rend visible ces connexions indispensables existant entre conser-vatoires et pôles d’enseignement supérieur. C’est également l’opportunité de mettre en valeur tout l’intérêt de la mobilité des étudiants. Enfin, cet évènement révèle les liens tissés de longue date entre le Nord – Pas-de-Calais et la Picardie.

Pour diriger cette belle formation, nous avons succombé à la tentation de convier à nouveau le jeune et talentueux chef d’orchestre Maxime Pascal, également invité cette année par l’Opéra de Lille et l’orchestre national de lille. Un retour en forme de bis, pour celui qui enthousiasma la précé-dente session symphonique de l’OFP et dont l’aura

ne cesse de croître depuis qu’il remporta le Young Conductors Award à Salzbourg en 2014. De la jeunesse, du talent, de l’envie, de l’hybri-dation, du compagnonnage, de la générosité, des croisements, de la résonnance, de nouveaux terri-toires, horizons et perspectives… l’OFP depuis dix ans, c’est tout cela et bien plus encore. Pour les élèves et étudiants, pour leurs enseignants, pour le public, pour le rayonnement, pour la musique avant toute chose…

Depuis 10 ans, les étudiants et élèves partici-pant à l’OFP ont eu la chance d’interpréter les œuvres d’auteurs variés, et de jouer aux côtés de nombreux artistes.Parmi les chefs d’orchestre : Vincent Barthe, Jean-Marc Burfin, Laurent Erdös, Philippe Ferro, Jean Gobinet, Nicolas Krüger, Claire Levacher, Maxime Pascal, Claude Pichaureau, Scott Sandmeier, Géza Szilvay et Pascal Verrot.Les solistes : l’altiste Claire Merlet, le clarinet-tiste Éric Perrier, le hautboïste Baptiste Gibier, les pianistes Dominique Merlet et Jean-Michel Dayez, ou encore la soprano Elsa Maurus, la mezzo-so-prano Camille Merckx, les ténors Stanislas de Barbeyrac et Gijs Van Der Linden, le trompettiste Romain Leleu et le violoniste Fernand Iaciu.Les compositeurs : Ludwig van Beethoven, Peter Eötvös, Ferrucio Busoni, Albert Roussel, Bruno Mantovani, Hector Berlioz, Claude Debussy, Yoshihisa Taïra, Robert Schumann, Felix Mendelssohn, Piotr Ilitch Tchaïkovski, Henri Frédien Tomasi, Dmitri Chostakovitch, Antonín Dvorák, Hugo Ribeiro, Sergueï Prokofiev, Johannes Brahms, Henri Dutilleux, Richard Strauss et Gustav Mahler.

L’OFP a 10 ans, mais ce n’est pas une raison pour se prendre au sérieux. Avec patience et humour, Maxime Pascal a accepté de répondre à nos facétieuses questions.

Maxime Pascal, merci de bien vouloir vous plier à ce questionnaire autour du chiffre 10.Pas de problème, message reçu 5 sur 5.

Maxime Pascal, à 10 ans, vous rêviez à quoi ?À 10 ans, je rentrais en CM2 dans une école de Carcassonne, la ville où j’ai grandi. À l’époque, j’étais passionné par le dessin. Je voulais devenir dessina-teur. Je faisais plein de bandes dessinées avec des monstres dedans. Je pense avoir conservé ce goût du bizarre, de l’étrange, de la surprise, voire du trouble. Ce n’est sans doute pas un hasard si j’ai dirigé « La Métamorphose » de Michael Levinas d’après l’œuvre de Franz Kafka.

Il y a 10 ans, vous faisiez quoi ?Il y a tout juste 10 ans, j’étais admis au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse (CNSMD) de Paris dans les classes d’écriture, d’analyse musi-cale et d’orchestration. Très rapidement j’ai ressenti la nécessité de diriger. C’est donc avec bonheur que j’ai intégré la classe de direction d’orchestre de François-Xavier Roth.

Dans dix ans, vous vous voyez où ?Alors là, aucune idée. Je travaille énormément et pour l’instant, je me consacre entièrement à entre-tenir cette dynamique. Avec le souci constant de ne pas sombrer dans la routine. Car pour moi, l’en-semble Le Balcon et le public, il faut entretenir cette flamme provoquée par les étincelles de notre goût de la surprise.

Tous styles musicaux confondus, quels sont vos dix artistes de référence ?Michael Jackson, Claude Debussy, Fonky Family, Serge Gainsbourg, Ella Fitzgerald, Freddie Mercury, Karlheinz Stockhausen, Montserrat Cabbalé, DJ Savant, Julie Fuchs… Comme vous le voyez, je suis assez éclectique dans mes goûts. Je peux passer du punk à la musique de la renaissance, des pionniers du rap français à la musique contemporaine. Le fil conducteur dans tout cela est peut-être une passion pour la curiosité, la création, une certaine forme de radicalité mais aussi la quête d’un plaisir à partager entre musiciens et avec le public.Je pense aussi appartenir à une génération qui a évolué dans un spectre musical très large. Professionnellement cela s’en ressent. Les musiciens de ma génération s’émancipent de plus en plus des répertoires spécifiques. Ce côté touche-à-tout m’ex-cite. Sans être dilettante, j’aime me confronter, avec

professionnalisme, à des territoires musicaux qui me sont encore inconnus. Je ne cherche pas à faire moderne à tout prix, mais plutôt à entretenir cette notion de surprise. Pas tant au niveau de l’effet, que de l’effort, au sens de challenge que cela requiert. Être aventurier plutôt qu’aventureux.

Croyez-vous à « la malédiction de la 9e symphonie » qui fait qu’il est si rare d’en composer une 10e ?Absolument, ne parlez pas de cela, malheureux. Certains pensent même que c’est le chiffre 9 qui porte la poisse. Allez demander à ces pauvres Beethoven, Franz Schubert, Antonín Dvorák, Anton Bruckner ou Gustav Mahler. De toute manière il est d’ailleurs fortement déconseillé de composer trop de symphonies !

Avec votre « ensemble sonorisé » Le Balcon, vous n’êtes jamais frustré de ne pouvoir monter le volume au-delà de 10 ?J’ignore si vous connaissez Spinal Tap, ce film paro-dique sur un groupe de Heavy Metal possédant des amplificateurs aux potentiomètres gradués jusque 11 ? Et bien le Balcon, c’est pire… Avec cet ensemble à géométrie variable, nous embarquons de l’électricité et de l’électronique. Donc quand il faut envoyer… Car ça serait extrêmement frustrant de ne pas pouvoir le faire. C’est pourquoi nous le faisons très souvent et nous jouons extrêmement fort ! Entendu ! ?

Dans un orchestre, c’est comme au football, le capitaine c’est le n° 10 ?En fait pas vraiment. Le capitaine ça serait plutôt le violon solo, et le hautbois solo le n°10. Personnellement au football je joue n°7, ailier droit. Mais depuis que l’attaquant Éric « Magic Seven » Cantona a transcendé le numéro 7 avec Manchester United, les postes ne sont plus si clairement définis. À bien y réfléchir, le chef d’orchestre, c’est plutôt une espèce de coach.

Vous êtes plutôt dixtuor ou double quintette ?Les deux formations ont des caractéristiques très spécifiques. Le double quintette, on peut notamment le spatialiser de part et d’autre du public. Un peu comme une sono. Et c’est pas mal.

Quelque chose à ajouter ?Non rien. Et vous quoi de neuf ?

© Étienne Voisin

Dorothée Royez commence le violon au CRR d’Amiens. Elle y poursuit son enseignement musical auprès de Anne Lopez, Dominique Barbier, Laurent Rannou, Michel Poulet, et obtient un premier prix de conserva-toire en 2006. Elle part ensuite étudier à Paris chez Pierre-Olivier Queyras, qui la prépare aux concours d’entrée des écoles supérieures en Allemagne.En 2009, Dorothée Royez commence ses études supérieures à la Musikhochschule de Stuttgart dans la classe de Christine Busch et y obtient sa licence en 2014. Pour la saison 2012-2013, Dorothée est engagée dans l’orchestre philhar-monique de Stuttgart. Depuis 2015, elle étudie auprès de Erik Schumann à la Musikhochschule de Francfort, et fait partie de l’orchestre de l’opéra de Wiesbaden pour la saison 2015-2016. Elle se produit régulièrement à Stuttgart et ses environs, ainsi qu’en France, notamment lors de Festivals de musique de chambre.Dorothée joue un instrument de Gabriel-

Adolphe Thibout.

Hugo Rannou est un violon-celliste français originaire d’Amiens. Il fait ses premiers pas dans la musique dans la classe de Michel Poulet, et rejoint ensuite Véronique Marin-Queyras au conservatoire de Rueil-Malmaison en cycle de perfectionne-ment. Il commence ses études supérieures en Allemagne à la Musikhochschule de Freiburg dans la classe d’Adriana Contino et Daniel Grosgurin, et étudie actuellement dans la classe de Conradin Brotbek à Stuttgart.Hugo Rannou est lauréat du concours France du Lions Club, premier prix du concours interna-tional Knopf de Düsseldorf et deuxième prix du concours Julio Cardona de Covilha (Portugal). Il s’est spécialisé dans la musique de chambre et la musique contemporaine, est co-directeur artistique du festival Musique au bois (Creuse), joue régulièrement en tant que soliste et s´est ouvert au jazz et à la musique ancienne. Il a approfondi son enseignement auprès de Peter Buck, Christine Busch, Cornelis Witthoeft, Sylvie Altenburger, Michel Moragues, Wolfram Christ et Troels Svanne.Hugo Rannou joue un violoncelle de Claude-

Augustin Miremont de 1873.

Alors qu’il a à peine 30 ans, Maxime Pascal a déjà su se faire une place sur la scène

musicale française. Après avoir étudié le piano et le violon, il intègre le Conservatoire National Supérieur de Musique (CNSM) de Paris en 2005 dans les classes d’écriture, d’analyse musicale et d’orchestration.

Il est alors rapidement amené à diriger, et perçoit la nécessité de pallier le manque de proximité entre le public et les musiciens. Encore étudiant, il fonde ainsi en 2008 l’or-chestre Le Balcon, nommé d’après la pièce de Jean Genet, afin de créer un spectacle total à l’aide d’un important système de sonorisation. Cet ensemble novateur à géométrie variable peut être composé de musiciens, chanteurs, compositeurs, informaticiens et metteurs en scène selon les productions, et abolit les fron-tières entre musique contemporaine, répertoire classique et musiques actuelles. Il est dans ce cadre amené à travailler avec des personna-lités telles que Pierre Boulez, George Benjamin, Michael Lévinas ou Arthur Lavandier.

Le talent de Maxime Pascal est rapidement reconnu dans la sphère musicale : il est amené à diriger le Gustav Mahler Jugendorchester à Salzbourg, le Kammerorchester de Munich, ou encore l’orchestre national de lille, qui a inter-prété du Fauré à l’aide d’instruments amplifiés. Il est également invité à se produire entre autres au Festival Ars Musica de Bruxelles, à la Villa Médicis de Rome et au BIFEM de Bendigo en Australie.

En 2014 a lieu la consécration internationale de ce « maestro aux amplis », qui est le premier français à remporter le prestigieux concours de chefs d’orchestre « Nestlé and Salzburg

Festival Young Conductors Award ».

© D.R.

Violons 1TIGOULET ÉlisaJEANNET AuréliaBEAUJON AgatheBORON PaulineDELMOTTE HadrienDELPLACE MaximeDEVOS AnastasianeGUILBAUD VictoriaHAMID ROUSSEAUX ChaïnezeMc ELROY DavidMORAWIEC AnnePAYEN Mathilde

Violons 2PETIT Sarah-LéonoreJACQUES ÉdouardCARON LouDEFROMONT SimonDUBOIS PaulineFERREIRA FélixHOUZE EugénieJACKSON MatthewMAILLARD ClémentinePEGAZ ÉmelineTENAILLON JulietteWANDRIESSE TARAMINI Astrée

AltosWETZEL ValentinCOTTENCEAU DorianADENOT NathanFENE MarylouHOET CyprienKAZAKEVICIUTE SimonaLUCHART ProsperPIMENTA ClémentROGEAUX AliceSOUCHEYRE Hector

VioloncellesCORABŒUF ÉmilieLORENTZ TiphaineAELVOET ClaraCARLIER AgatheDE FRANCQUEVILLE ValentinDEROSIER EmmaFLIPO NathanGUICHARD FloraMAHE-DRESZER Aziliz

ContrebassesSCHUMPP PascalPELAES GuilhermeGONIN LunaVERMEULEN Rémi

FlûtesCORNU HélèneHOUEN Marc-AntoineMARCEAU GwladysSCHLOSMACHER Marie

HautboisDAVID GuillaumeMARCEAU Julien

ClarinettesBETRANCOURT ThibautHAREL AmélieMARTIN LucieROLLOT Thomas

Clarinette basseSCHMIT Laura

BassonsDUPISRE ElliottLUCHART Léon

CorsDELCOURT DimitriLE MEUR SolinePAURISE VivienPELT Marwan

TrompettesDAVID VivienDESTOOP GabrielDUFAY ChristopherLUBERT GuillaumeMAYORAL DE LA PUENTE SergioMEURIN ObinPERRIER Cyril PHILIPPE MatthieuQUILLIOT Mélanie

Trompettes en faDEGRUGILLIER GuillaumeLEGRAND AntoineNEDELEC Marc

Trompettes bassesPATTYN AlexandreBARME Alexis

TrombonesDEBROUTELLE DimitriLAPIERRE LouisDESCHAMPS BaptisteVINCENT Florian

TubasJOSSIEN HenriCALVO AlexanderFOURNIER Martin

HarpeGIAMMICHELE Anaïs

Timbales et percussionsCARTON SylvainVAN RECHEM Swann

Coordinatrice du projet Encadrement du pupitre de violonsAprès des études au CNSM de Paris dans la classe de Gérard Jarry, où elle obtient le prix de violon et de musique de chambre, Sandrine Naudy joue sous la direction de grands chefs d’orchestre tels que M. Rosenthal, S. Bichkof ou E. Krivine. Elle s’oriente très tôt vers la musique de chambre et devient soliste de l’Orchestre de Chambre de Jean-François Paillard, avec lequel elle se produit régulièrement en France et à l’étranger. Titulaire du certificat d’ap-titude (CA) de violon, elle est professeur au Pôle Sup Norpa et au conservatoire de Lille.

Encadrement du pupitre de violonsKen Sugita débute le violon à Tokyo, puis continue sa formation dans diverses villes du monde. À Boston, il poursuit ses études avec Dorothée Delay au conser-vatoire de la Nouvelle-Angleterre, et accepte le poste du plus jeune « Super Soliste » de l’Orchestre Philharmonique de Boston. Ken Sugita est co- fondateur de l’ensemble Parnasse en 1983, et intègre en 1986 l’orchestre national de lille. En 1980, Ken Sugita et le guitariste Anthony Glise forment un duo, toujours actif en festivals et concerts en Europe et aux États-Unis. Depuis 1999, il est égale-ment directeur artistique de la Chorale Saint Nicolas (Wasquehal), dont il arrange et compose les chants liturgiques. Il joue au sein du groupe jazz-rock « Mara and Friends ».

Encadrement du pupitre d’altosBenjamin Bricout étudie le violon au conservatoire de Tourcoing puis de Lille avant d’intégrer l’École Supérieure de Musique Reine Sofía à Madrid dans la classe de Zakhar Bron, puis la classe d’Urs-zula Gorniak au conservatoire royal de Bruxelles. Il commence ensuite l’alto, et joue principale-ment en quatuor puis dans d’autres formations. Il effectue pendant plusieurs années des tournées en France et à l’international en quatuor, et se produit dans de nombreux orchestres, dont l’or-chestre de Douai pendant vingt ans. Il enseigne également à l'école de musique de Villeneuve d'Ascq depuis 2001. En 2013, Benjamin Bricout intègre l’orchestre national de lille au pupitre d’alto, dont il est reçu co-soliste en juin 2015.

Encadrement du pupitre de violoncellesIssu d’une famille de musiciens, Jean-Michel Moulin débute le violoncelle au CRR de Lille. À 16 ans, il est reçu à l’Orchestre de Lille et étudie dans la classe de Maurice Gendron au CNSM de Paris. Il y obtient un premier prix de violoncelle et de musique de chambre. Il devient violoncelle solo de l’orchestre national de lille en 1982. Passionné de musique de chambre, Jean-Michel Moulin est également le violoncelliste du quatuor Lalo avec lequel il donne de nombreux concerts en France et à l’étranger.

Pôle Supérieur d’Enseignements Artistiques Nord – Pas de Calais

Contact presse – Pauline Fossier03 28 36 67 96

pfossier@polesupnorpa.frwww.polesupnorpa.fr

CRR d’Amiens 03 22 91 26 06 ou 03 22 71 71 30

Conservatoire de LilleAction culturelle – Étienne Voisin

03 28 38 77 60ac-conservatoire@mairie-lille.fr

www.conservatoire-lille.fr

Le Manège03 21 39 78 78

Le Pôle Sup Norpa et le conservatoire de Lille tiennent à remercier leurs différents partenaires pour leur implication, directe ou indirecte, dans la mise en place de ce projet. C’est grâce à eux, et aux équipes des lieux accueillant l’orchestre, que l’OFP a pu célébrer sa 10e édition et proposer une série de concerts de qualité chaque année.

Nouveau SiècleRue Mendès France

59 000 Lille03 28 82 69 00

www.onlille.com

CRR d’Amiens3, rue Desprez80 000 Amiens03 22 80 52 50www.amiens.fr

Le ManègePlace du Château

62 120 Aire-sur-la-Lys03 21 39 65 66

(Office de Tourisme)www.ville-airesurlalys.fr

Encadrement du pupitre de contrebassesMathieu Petit étudie la contrebasse dans la classe de Sylvain Wiener au CRR d’Aubervilliers-La Courneuve, et poursuit ses études au CNSM de Paris, où il obtient son DNSPM avant de se perfec-tionner auprès de Philippe Noharet. En 2004, il intègre l’orchestre national de lille en tant que tuttiste, puis est reçu contrebasse solo en 2006. Passionné de pédagogie, il a enseigné dans divers établissements et académies. En 2012, il est nommé professeur de contrebasse au Pôle Sup Norpa. Il se produit régulièrement en récital ou en petite formation, notamment avec l’Ensemble Convergences et Romain Leleu.

Encadrement du pupitre de harpeAnne Le Roy Petit commence ses études au CRR de Nice puis entre au CNSM de Lyon. La même année, elle devient titulaire du CA de harpe, et remporte le 2e prix du IIIe Concours International de Harpe de Gargilesse (France). Après avoir été professeur de harpe à l’ENM de Bourg La Reine, puis professeur assistant de la classe de harpe au CNSM de Lyon, elle enseigne à partir de 1992 la harpe au CRD de Roubaix. Depuis 1988, elle est harpe solo de l’orchestre national de lille avec lequel elle a joué plusieurs fois en soliste. Elle se produit également régulièrement avec d’autres formations (orchestres, ensembles de musique contemporaine ou de musique de chambre). Depuis 2012, elle est professeur au Pôle Sup Norpa.

Encadrement du pupitre de boisÉric Perrier obtient en 1990 un premier prix de virtuosité de clarinette dans la classe de Thomas Friedli au conservatoire de Genève. Titulaire du CA après des études de pédagogie au CNSM de Paris, il enseigne au Pôle Sup Norpa et au conservatoire de Lille et participe activement à la vie musicale de la région (Orchestre Symphonique de Douai, Festival « Musique en Roue libre », etc.). Son expé-rience de musicien d’orchestre et de chambriste

lui a permis de jouer auprès de solistes interna-tionaux comme Marielle Nordmann et Philippe Cuper. Fondateur du duo Sauguet avec la pianiste Isabelle Hennrich, il est lauréat des concours inter-nationaux de musique de chambre de Martigues et Guérande. Directeur de collection aux éditions Billaudot, il contribue à élargir le répertoire de son instrument.

Encadrement du pupitre de trompettesCédric Dreger entre en 2001 au CNSM de Lyon dans la classe de Pierre Dutot et en sort en 2005 diplômé à l’unanimité avec les félicitations du jury. Depuis lors, il occupe le poste de trompette solo à l'orchestre national de lille. Il est régulièrement sollicité pour jouer avec diverses formations tels que La Chambre Philharmonique d’Emmanuel Krivine, les orchestres de Strasbourg, Lyon et Toulouse, et l’ensemble de cuivres Turbulences de David Guerrier. En 2013, il est invité par l’Orchestre Philharmonique de Berlin à présenter un poste de deuxième trompette. Il est également membre de Lille Brass Ensemble et Lille Brass Quintet, deux jeunes formations prestigieuses regroupant l’ex-cellence des cuivres de la région. Cédric Dreger enseigne la trompette au conservatoire de Croix.

Encadrement du pupitre de percussionsBéatrice Caron commence ses études musicales au CNR de Douai et obtient en 1982 une médaille d’or de percussion. Elle rentre ensuite au conser-vatoire d’Asnières-sur-Seine dans la classe de M. Brana et obtient un 1er prix à l’unanimité. À 18 ans, elle est reçue timbalier solo à l’Orchestre Régional de Montpellier, et obtient une licence de musicologie. Titulaire du DE et du CA, Béatrice Caron se consacre dès 1988 à la pédagogie. Elle enseigne actuellement au conservatoire de Lille, et se produit régulièrement en qualité de timbalier avec l’ensemble baroque Matheus.

Dim. 20 déc. 2015 Nouveau Siècle

Le Chœur régional et les concerts Lalo du CRR

Concert de Noël

Dim. 24 janv. 2016 Auditorium du CRR

Concert Orchestre Symphonique Junior

Mer. 11 mai 2016 Auditorium du CRR

Concert Musique de Chambre : Ekaterina Frolova et Vesselin Stanev

Ven. 27 mai 2016 Auditorium du CRR

Golden Jazz Festival

Dim. 12 > Ven. 17 juin 2016 Théâtre Sébastopol

Programme varié Musique et Danse

www.conservatoire-lille.fr

Sam. 28 nov. 2015 Opéra de Lille

Créations autour d’un bal tango

Dim. 13 déc. 2015 CRR de Lille

Concert croisé avec l’association Chambre à part

Dim. 31 janv. 2016 Opéra de Lille

Carte Blanche à Jacques Rebotier

Jeu. 26 mai 2016 Roubaix

Écrire en chœur (danse)

Ven. 3 et Sam. 4 juin 2016 Opéra de Lille

Opéra Le Monstre du Labyrinthe de Jonathan Dove

www.polesupnorpa.fr

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Ven. 26 février > Dim. 06 mars 2016« L’air de rien…

les jeunes ont du talent ! »partenariat entre le Pôle Sup Norpa

et le CRR de Lille