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MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ BO Santé Protection sociale – Solidarité n o 2012/5 du 15 juin 2012, Page 1. . . ADMINISTRATION ADMINISTRATION GÉNÉRALE MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE, DE LA JEUNESSE ET DE LA VIE ASSOCIATIVE MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE MINISTÈRE DE LA VILLE MINISTÈRE DES SPORTS Direction des ressources humaines Sous-direction du droit du personnel et des relations sociales Bureau de l’action sociale – DRH2C Note de service DRH/DRH2C n o 2012-61 du 15 février 2012 relative aux prestations d’action sociale en faveur des agents pour 2012 NOR : ETSR1203559C Examinée par le COMEX le 15 février 2012. Date d’application : 1 er janvier 2012. Résumé : revalorisation des taux des prestations d’action sociale. Mots clés : action sociale des agents du ministère – mise à jour des taux 2012 – principe d’harmoni- sation des prestations – articulation budgétaire spécifique en métropole entre DR et DD. Références : Loi n o 2007-148 du 2 février 2007 de modernisation de la fonction publique (article 26 complétant l’article 9 de la loi n o 83-634 du 13 juillet 1983 relatif à l’action sociale de l’État) ; Décret n o 2006-21 du 6 janvier 2006 relatif à l’action sociale au bénéfice des personnels de l’État ; Circulaire DAGPB/SRH2D n o 2007-192 du 10 mai 2007 relative aux prestations d’action sociale ; Circulaire DRH/DRH2C n o 2011-284 du 13 juillet 2011relative à l’organisation de l’action sociale en faveur des agents pour 2011. Annexes : Annexe I.1. Circulaire B9 n o 11-MFPF1132346C du 28 novembre 2011relative à la revalorisation du taux des prestations interministérielles d’action sociale pour 2012. Annexe I.2. Circulaire B9 n o 11-MFPF1126108C du 23 septembre 2011 relative à la revalorisation des conditions d’attribution du chèque-vacances aux agents actifs et retraités de la fonction publique de l’État. Annexe I.3. – Note B9/11 n o 596 du 30 septembre 2011 relative à la mise en œuvre de la circulaire de modification du barème chèque-vacances à compter du 1 er octobre 2011. Annexe I.4. – Circulaire B9 n o 11-MFPF1132348C du 28 novembre 2011relative au barème commun de certaines prestations interministérielles d’action sociale à régle- mentation commune pour séjours d’enfants, applicable en 2012 au bénéfice des agents des DDI. Annexe I.5. Note B9 n o 11-725 du 29 novembre 2011 relative à l’arrêt du « prêt mobilité » et à la réévaluation des plafonds donnant droit à l’« AIP ». Annexe I.6. – Note B9 n o 12-023 du 31 janvier 2012 relative au taux 2012 de l’allocation pour les enfants handicapés poursuivant des études entre 20 et 27 ans. Annexe II. – Montants de base des prestations ministérielles et paramètres de calcul du quotient familial. Annexe III. – Typologie des prestations d’action sociale.

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MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 1.

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ADMINISTRATION

ADMINISTRATION GÉNÉRALE

MINISTÈRE DU TRAVAIL,DE L’EMPLOI ET DE LA SANTÉ

MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE,DE LA JEUNESSE ET DE LA VIE ASSOCIATIVE

MINISTÈRE DES SOLIDARITÉSET DE LA COHÉSION SOCIALE

MINISTÈRE DE LA VILLE

MINISTÈRE DES SPORTS

Direction des ressources humaines

Sous-direction du droit du personnelet des relations sociales

Bureau de l’action sociale – DRH2C

Note de service DRH/DRH2C no 2012-61 du 15 février 2012 relative aux prestations d’action sociale en faveur des agents pour 2012

NOR : ETSR1203559C

Examinée par le COMEX le 15 février 2012.

Date d’application : 1er janvier 2012.

Résumé : revalorisation des taux des prestations d’action sociale.

Mots clés : action sociale des agents du ministère – mise à jour des taux 2012 – principe d’harmoni-sation des prestations – articulation budgétaire spécifique en métropole entre DR et DD.

Références :Loi no 2007-148 du 2 février 2007 de modernisation de la fonction publique (article 26 complétant

l’article 9 de la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 relatif à l’action sociale de l’État) ;Décret no 2006-21 du 6 janvier 2006 relatif à l’action sociale au bénéfice des personnels de l’État ;Circulaire DAGPB/SRH2D no 2007-192 du 10 mai 2007 relative aux prestations d’action sociale ;Circulaire DRH/DRH2C no 2011-284 du 13 juillet 2011 relative à l’organisation de l’action sociale en

faveur des agents pour 2011.

Annexes :Annexe I.1. – Circulaire B9 no 11-MFPF1132346C du 28 novembre 2011 relative à la revalorisation

du taux des prestations interministérielles d’action sociale pour 2012.Annexe I.2. – Circulaire B9 no 11-MFPF1126108C du 23 septembre 2011 relative à la revalorisation

des conditions d’attribution du chèque-vacances aux agents actifs et retraités de lafonction publique de l’État.

Annexe I.3. – Note B9/11 no 596 du 30 septembre 2011 relative à la mise en œuvre de lacirculaire de modification du barème chèque-vacances à compter du1er octobre 2011.

Annexe I.4. – Circulaire B9 no 11-MFPF1132348C du 28 novembre 2011 relative au barèmecommun de certaines prestations interministérielles d’action sociale à régle-mentation commune pour séjours d’enfants, applicable en 2012 au bénéfice desagents des DDI.

Annexe I.5. – Note B9 no 11-725 du 29 novembre 2011 relative à l’arrêt du « prêt mobilité » et à laréévaluation des plafonds donnant droit à l’« AIP ».

Annexe I.6. – Note B9 no 12-023 du 31 janvier 2012 relative au taux 2012 de l’allocation pour lesenfants handicapés poursuivant des études entre 20 et 27 ans.

Annexe II. – Montants de base des prestations ministérielles et paramètres de calcul duquotient familial.

Annexe III. – Typologie des prestations d’action sociale.

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Annexe IV. – Tableau récapitulatif des dispositifs d’action sociale interministérielle et ministé-rielle.

La directrice des ressources humaines à Mesdames et Messieurs les préfets de région (direc-tions régionales de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale, directions de lajeunesse, des sports et de la cohésion sociale [outre-mer], direction régionale et inter-départementale de l’hébergement et du logement) ; Mesdames et Messieurs les préfetsde département (directions départementales de la cohésion sociale, directions départe-mentales de la cohésion sociale et de la protection des populations, directions de lacohésion sociale, du travail, de l’emploi et de la population de Saint-Pierre-et-Miquelon).

La présente circulaire a pour objet de préciser les taux 2012 des prestations d’action sociale et deconsolider l’harmonisation effective en matière d’action sociale au bénéfice des agents des secteurscohésion sociale et jeunesse et sports.

1. Revalorisation 2012 des taux des prestations interministérielles et ministérielles

Je vous informe que les taux de base des prestations interministérielles (PIM) ont été réévalués àcompter du 1er janvier 2012 (cf. circulaire du 28 novembre 2011 ci-jointe).

Les prestations ministérielles (PM) mises en place à compter du 1er janvier 2007 ont également étéréévaluées. En effet, la CNAS réunie le 28 novembre 2007 a acté le principe d’un montant de basedes prestations ministérielles égal au double du montant de base des prestations interministériellesde même nature (prestations séjour d’enfant et séjour linguistique).

Les autres PM ainsi que les quotients qui permettent de calculer le coefficient agent (quotientfamilial de référence et quotient familial plafond) ont également été réévalués en leur appliquant lemême taux d’évolution que celui constaté pour les prestations interministérielles, soit 1,70%.

Vous trouverez en annexe II le tableau récapitulatif des nouveaux taux applicables, qui ont déjà étéintégrés dans l’application Agep.

2. Arrêt de la prestation interministérielle d’action sociale (PIM)du prêt mobilité à compter du 1er janvier 2012

Afin de faciliter l’accès de certains agents de l’État au logement locatif, le ministère chargé de lafonction publique avait institué le « prêt mobilité » dont le nombre de bénéficiaires n’a cessé dediminuer depuis sa création. En conséquence, eu égard à la faible attractivité de cette PIM, il a étédécidé d’y mettre fin à compter du 1er janvier 2012 (cf. note du 29 novembre 2011 ci-jointe).

Les agents ayant d’ores et déjà un prêt mobilité en cours de remboursement peuvent toujourss’adresser à CRESERFI (titulaire jusqu’au 31 décembre 2011 du marché relatif à la mise en œuvre du« prêt mobilité ») afin d’obtenir toutes les précisions qu’ils estiment nécessaires.

Par ailleurs, il vous est demandé de bien vouloir retirer l’ensemble des supports de communicationrelatifs à cette prestation.

3. Réévaluation des plafonds donnant droit aux prestations (PIM) « chèques-vacances »et « aide à l’installation des personnels de l’État (AIP) »

Pour bénéficier de l’AIP, les revenus fiscaux de référence (RFR) plafonds sont revalorisés depuis le1er octobre 2011 de la manière suivante :

– une seule part fiscale : 24 818 € ;– deux parts fiscales ou plus : 36 093 €.Ces nouveaux plafonds correspondent au RFR minimal ouvrant droit au bénéfice du chèque–

vacances, dans la tranche de bonification la moins avantageuse.Le barême du chèque-vacances a, quant à lui, été modifié et revalorisé : création d’une nouvelle

tranche de bonification de l’État de 30 % pour les agents aux revenus les plus modestes et revalori-sation de 15 % des RFR plafond par la circulaire du 23 septembre 2011 ci-jointe.

4. Réintroduction de la prestation (PIM) « aide au maintien à domicile (AMD) »dans le courant du premier semestre 2012

Le ministre de la fonction publique s’est engagé à réintroduire la prestation (PIM) « aide aumaintien à domicile (AMD) » des agents retraités de la fonction publique d’État dans le courant dupremier semestre 2012. Une convention est en cours de signature avec la CNAV pour la gestion dece dispositif à gestion et financement DGAFP.

Des informations complémentaires seront communiquées ultérieurement.

5. Transfert de la masse salariale et des moyens d’action sociale afférentsaux CREPS, au musée national du Sport et aux écoles nationales ENVSM et ENSM

L’harmonisation des prestations d’action sociale au bénéfice des agents titulaires ou contractuelsissus des secteurs cohésion sociale, jeunesse et sports et Acsé a été effectuée en 2011. Toutes lesdemandes de prestations d’action sociale de ces agents sont instruites depuis le 1er janvier 2011 parle correspondant d’action sociale de leur direction.

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Il convient de rappeler que les agents suivants bénéficient également des prestations d’actionsociale servies par la direction régionale dont ils dépendent :

– agents du service du droit des femmes ;– agents de la MNC affectés en région, bien que la MNC ait un statut de service à compétence

nationale – SCN (critère de la gestion de proximité qui inclut les moyens d’action sociale) ;– agents en décharge totale pour activité syndicale (critère de la gestion de proximité qui inclut les

moyens d’action sociale).L’année 2012 est une année de consolidation, en tenant compte de l’évolution du périmètre de

l’action sociale du ministère avec la mise en œuvre du transfert de la masse salariale et des moyensd’action sociale afférents aux CREPS – musée national du Sport – écoles nationales ENVSM etENSM.

6. Modalités de gestion financière et d’instructions des demandes de prestations

Je vous rappelle, conformément à la directive nationale d’orientation du 14 décembre 2011, que lescrédits d’action sociale en 2012 sont intégrés dans la dotation globale de fonctionnement (titre 2 ettitre 3) qui vous a été notifiée, sur la base suivante : 90 €/ETPT sur le titre 2 et 359 €/ETPT sur letitre 3.

Pour le titre 3, il convient de souligner que ce montant inclus les crédits de médecine deprévention, bien que la médecine de prévention, en tant qu’obligation réglementaire de l’employeur,ne fasse pas partie du champ de l’action sociale.

Je souhaite attirer votre attention sur le fait que les crédits d’action sociale n’ayant pas été trans-férés au programme 333, demeurent inscrits sur le programme 124. Le programme 333 porte lescrédits de fonctionnement courant des directions départementales interministérielles (DDI) de lamétropole uniquement. Cette particularité conduit à mettre en place une gestion différenciée entre lamétropole et les DOM.

Pour la métropole

La DRJSCS est à la fois le RBOP et le RUO unique des crédits d’action sociale, pour le compte desDDI. Cette organisation financière spécifique implique d’articuler entre chaque DRJSCS et les DDIconcernées des modes de gestion adaptés, tenant compte des contextes locaux.

Chaque DRJSCS doit s’attacher, dans un premier temps, à définir et à notifier aux DDI une enve-loppe de crédits d’action sociale pour 2012, calculée sur la base des ratios sus-indiqués. Ces enve-loppes représentent le « droit de tirage » de chaque DDI en la matière.

Il vous appartient ensuite de déterminer les circuits et l’organisation en matière de dépense quiprévaudront, selon deux grands schémas possibles :

– soit une centralisation complète de la gestion de l’action sociale et de l’instruction des dossiersindividuels et des autres dépenses collectives au niveau de la DRJSCS.

Cela suppose que les demandes individuelles de prestations sont transmises au correspondantsocial de la DRJSCS pour instruction et paiement, de même que les demandes de dépenses sur letitre 3.

Ce schéma n’est pas forcément aisé à mettre en œuvre pour certaines dépenses du titre 3, telleque la restauration collective ou l’organisation d’un arbre de Noël, compte tenu de l’ancrage de cesdispositifs au contexte local de chaque direction. Ces dépenses font par ailleurs l’objet de travauxinterministériels visant à une harmonisation des prestations pour les agents affectés en DDI.

Néanmoins, pour les subventions aux séjours d’enfants (PIM à règlementation DGAFP mais àgestion et financement des ministères), l’harmonisation des prestations servies aux agents affectésen DDI a été réalisée, sur la base des taux servis aux agents des ministères sociaux, de manièrelissée sur deux exercices budgétaires 2012 et 2013. En 2012, ce sont les subventions aux colonies devacances, en centres de loisirs sans hébergement, en maisons familiales et gîtes qui sont harmo-nisées. Le barème applicable au 1er janvier 2012 est précisé en annexe I dans la circulaire du28 novembre 2011 ;

– soit une centralisation partielle de la gestion de l’action sociale en DRJSCS, avec l’instruction desdemandes individuelles et des autres dépenses collectives en DDI, puis la transmission desdossiers à la direction régionale pour le paiement des dépenses.

Ce schéma présente a priori davantage de souplesse en matière de gestion et d’organisation,notamment pour les dépenses d’action sociale du titre 3.

Dans tous les cas, il convient de rappeler que l’autonomie de décision du directeur départementaln’est pas remise en cause en matière de gestion de son « droit de tirage » et de ses arbitrages dedépenses d’action sociale, dans le respect des textes applicables, et notamment en application duprincipe d’une délégation de gestion au profit du directeur régional, ordonnateur des crédits duprogramme 124 pour le compte des directeur départementaux.

Pour les DOM

La DJSCS est à la fois le RBOP et le RUO unique des crédits d’action sociale et met en place lapolitique d’action sociale telle que définie dans la directive d’orientation nationale 2012.

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7. Rappel de quelques règles d’attribution des prestations d’action sociale

Il convient de rappeler, compte tenu de situations plus ou moins spécifiques auxquelles les corres-pondants d’action sociale peuvent être confrontés, certaines règles applicables en matière d’actionsociale.

Montant de la prestation

La participation de l’administration ne peut pas être supérieure à la dépense réellement engagéeou au reste à charge pour l’agent, déduction faites des autres aides dont il peut bénéficier (comitéd’entreprise, aides locales...).

Revenus à prendre en compte

Les revenus à prendre en compte sont ceux de l’année n - 2, afin de faciliter la production depièces justificatives telle la déclaration de revenus. Néanmoins, lorsque l’agent subit un changementde situation (divorce, séparation, naissance, décès...) il convient de retenir la situation la plus favo-rable pour l’agent (au vu des pièces justificatives).

Enfants à charge

Seuls les enfants fiscalement à charge de l’agent demandeur ou de son foyer fiscal peuventdonner lieu au versement d’une prestation.

La seule exception réside dans les prestations ministérielles « famille » et « camping », pourlesquelles les agents séparés qui partent en vacances avec leurs enfants, alors que ceux-ci ne sontpas fiscalement à leur charge, peuvent bénéficier de ces prestations. Le quotient familial est alorscalculé, pour ces prestations uniquement, comme si les enfants étaient fiscalement à charge.

En cas de famille recomposée et d’imposition distincte des adultes, les revenus des deux adultesdoivent être pris en compte pour calculer le revenu fiscal de référence.

En cas de garde alternée, chaque enfant donne lieu à une demi-part dans le calcul du quotient sicette garde alternée a fait l’objet d’une décision du juge.

Il est à noter que, si les revenus pris en compte sont ceux de l’année n - 2, le nombre de partsfiscales au foyer est apprécié pour l’année n.

Versement des prestations dans le cas d’un couple d’agents de l’État

Les aides servies aux parents, agents de l’État, au titre de leurs enfants sont accordées indif-féremment au père ou à la mère, mais ne peuvent en aucun cas être versées aux deux.

Dans le cas d’un ménage d’agents de l’État, l’ouverture du droit à la prestation est désormaisappréciée par référence à l’indice le moins élevé détenu par l’un des conjoints.

Le demandeur devra produire une attestation de non-paiement de la prestation à son conjoint,établie par le service gestionnaire de ce dernier.

** *

Soucieuse de vous apporter un appui vous permettant la mise en place des dispositifs harmonisésd’action sociale au profit des personnels cohésion sociale, jeunesse et sports et Acsé de votredirection, je vous invite à faire appel, si vous l’estimez utile, au bureau de l’action sociale à ladirection des ressources humaines, qui vous apportera les éclaircissements et renseignementscomplémentaires dont vous auriez besoin pour leur mise en œuvre.

La directrice des ressources humaines,M. KIRRY

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Circulaire B9 no 11-MFPF1132346C du 28 novembre 2011 relative à la revalorisationdu taux des prestations interministérielle d’action sociale pour 2012

MINISTÈRE DU BUDGET,DES COMPTES PUBLICS

ET DE LA RÉFORME DE L’ÉTAT

MINISTÈRE DE LA FONCTION PUBLIQUE

Direction du budget2BPSS no 11-3407A

Direction générale de l’administrationet de la fonction publiqueB9 no 11-MFPF1132346C

Fait le 28 novembre 2011.

La ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l’État, porte-parole duGouvernement, et le ministre de la fonction publique à Monsieur le ministre d’État,ministre des affaires étrangères et européennes et Mesdames et Messieurs les ministreset secrétaires d’État (directions des ressources humaines).

Objet : prestations interministérielles d’action sociale à réglementation commune. – Taux 2012.

Références :Circulaire DGAFP-FP/4 no 1931 et DB-2B no 256 du 15 juin 1998 relative aux dispositions appli-

cables aux agents des administrations centrales et des services déconcentrés de l’État enmatière de prestations d’action sociale à réglementation commune ;

Circulaire DGAFP-FP/4 no 2025 et DB-2B no 2257 du 19 juin 2002 relative à la réglementation etaux taux des prestations d’action sociale pour 2002 ;

Circulaire DGAFP-B9 no 2128 et DB-2BPSS no 07-182 du 30 janvier 2007 relative aux prestationsindividuelles d’action sociale à réglementation commune ;

Circulaire DGAFP-B9 no 11-BCRF1102447C et DB-2BPSS no 11-3302 du 1er avril 2011 relative auxprestations interministérielles d’action sociale à réglementation commune.

Vous voudrez bien trouver en annexe un tableau recensant les taux applicables à compter du1er janvier 2012 pour les prestations d’action sociale visées en objet, à l’exception de l’allocation pourles enfants infirmes poursuivant des études entre 20 et 27 ans. Pour cette dernière, le taux applicableà compter du 1er janvier 2012 sera égal à 30 % de la base mensuelle de calcul des prestations fami-liales au 1er janvier 2012.

Les conditions d’attribution demeurent celles qui ont été définies par la circulaire DGAFP-FP/4no 1931 et DB-2B no 256 du 15 juin 1998, citée en référence, précisées par la circulaire DGAFP-FP/4no 2025 et DB-2B no 2257 du 19 juin 2002 et modifiées par la circulaire DGAFP-B9 no 2128 etDB-2BPSS no 07182 du 30 janvier 2007 et la circulaire DGAFP-B9 no 11-BCRF1102447C et DB-2BPSSno 11-3302 du 1er avril 2011.

VALÉRIE PÉCRESSE FRANÇOIS SAUVADET

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PRESTATIONS INTERMINISTÉRIELLES D’ACTION SOCIALEÀ RÉGLEMENTATION COMMUNE

Taux applicables à compter du 1er janvier 2012

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Circulaire B9 no 11-MFPF1126108C du 23 septembre 2011 relative à la revalorisation desconditions d’attribution des chèques-vacances aux agents actifs et retraités de la fonctionpublique de l’État

MINISTÈRE DU BUDGET,DES COMPTES PUBLICS

ET DE LA RÉFORME DE L’ÉTAT

MINISTÈRE DE LA FONCTION PUBLIQUE

Direction du budget2BPSS no 11-3407A

Direction générale de l’administrationet de la fonction publiqueB9 no 11-MFPF1132346C

Fait le 23 septembre 2011.

Le ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l’État et le ministre de lafonction publique à Monsieur le ministre d’État, ministre des affaires étrangères et euro-péennes et Mesdames et Messieurs les ministres et secrétaires d’État (directionschargées des ressources humaines et du personnel, services sociaux).

Objet : circulaire relative à la revalorisation des conditions d’attribution du chèque-vacances auxagents actifs et aux fonctionnaires retraités de la fonction publique de l’État.

Références :Circulaire B9 no 09-2181 et 2BPSS no 09-3040 du 30 mars 2009 ;Circulaire B9 no 11-BCRF 1032966C et 2BPSS no 11-3272 du 14 février 2011.

Les conditions d’attribution du chèque-vacances sont modifiées à compter du 1er octobre 2011 enapplication des barèmes joints en annexe I, II et III à la présente circulaire.

Ces nouvelles règles s’appliquent aux demandes pour lesquelles le premier prélèvement d’épargneintervient à compter du 1er décembre 2011.

La présente circulaire abroge et remplace les barèmes joints en annexe I et II de la circulaire citéeen référence du 14 février 2011.

Pour le ministre du budget, des comptes publicset de la réforme de l’État et par délégation :Par empêchement du directeur du budget :

Le chef de service,G. GAUBERT

Pour le ministre de la fonction publiqueet par délégation :

Par empêchement du directeur généralde l’administration et de la fonction publique :

Le directeur adjoint au directeur généralde l’administration et de la fonction publique,

T. ANDRIEU

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Note B9/11 no 596 du 30 septembre 2011 relative à la mise en œuvre de la circulairede modification du barème chèque-vacances à compter du 1er octobre 2011

MINISTÈRE DE LA FONCTION PUBLIQUE

Direction générale de l’administrationet de la fonction publique

Sous-direction des politiquesinterministérielles

Bureau des politiques sociales B9

Références B9/11 – no 596

Fait le 30 septembre 2011.

Le ministre de la fonction publique à Monsieur le ministre d’État, ministre des affaires étran-gères et européennes, et Mesdames et Messieurs les ministres et secrétaires d’État(directions chargées des ressources humaines et du personnel, services sociaux).

Objet : mise en œuvre de la circulaire de modification du barème chèque-vacances à compter du1er octobre 2011.

Référence : circulaire B9 no 09-2181/2BPSS no 09-3040 du 30 mars 2009.

Pièce jointe : circulaire relative à la modification des conditions d’attribution du chèque-vacancesB9 no 11-MFPF1126108C et 2BPSS no 11-3348 du 23 septembre 2011.

La présente note a pour objet de vous informer de la modification du barème de la prestationinterministérielle d’action sociale « chèque-vacances », qui prendra effet à compter du1er octobre 2011.

Le comité interministériel d’action sociale qui s’est tenu le 29 juin a décidé d’élargir les conditionsd’attribution de la prestation chèque-vacances, afin de renforcer l’attractivité de cette prestation etd’en élargir le nombre de bénéficiaires.Deux mesures ont ainsi été décidées :

– la création d’une nouvelle tranche de bonification de l’État de 30 % pour les agents aux revenusles plus modestes ;

– la revalorisation de 15 % des RFR plafond, afin que davantage d’agents puissent prétendre àcette prestation.

L’ensemble des autres conditions d’attribution prévues par la circulaire B9 no 09-2181/2BPSSno 09-3040 du 30 mars 2009 demeurent inchangées.

Cette revalorisation entre en vigueur le 1er octobre 2011, les demandes de chèque-vacances serontinstruites sur la base de ce nouveau barème à compter de cette date.

Afin de faire connaître le nouveau barème à l’ensemble des agents, une campagne de communi-cation sera lancée début octobre. Vous devriez ainsi recevoir des affiches, formulaires et dépliantssur lesquels figure le nouveau barème.

Afin d’éviter toute confusion pour les agents, je vous demanderai de bien vouloir substituer, àcompter du 1er octobre, l’ensemble des supports de communication actuellement en votre possessionpar les nouveaux tenant compte de l’élargissement des conditions d’octroi.

Compte tenu des délais contraints de mise en œuvre de ces mesures, dans l’hypothèse où lalivraison de ces nouveaux supports de communication intervenait postérieurement au 1er octobre, jevous informe que ces derniers seront disponibles sur le site Internet www.fonctionpublique-chequesvacances.fr, dès cette date. Dans l’attente de la réception des nouveaux supports, vouspourrez ainsi orienter vos agents vers ce site.

Par ailleurs, je vous demande de bien vouloir davantage sensibiliser les agents aux délais relatifsaux modalités de gestion de cette prestation car de nombreuses réclamations soulignent encore laméconnaissance de ceux-ci.

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BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 11.

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Un délai de six semaines est prévu entre la date à laquelle le dossier est considéré éligible et ladate à laquelle interviendra le premier prélèvement sur le compte du bénéficiaire. De même, à l’issuedu dernier prélèvement, un délai de six semaines est à prévoir avant la réception des chèques-vacances.

En outre, j’attire à nouveau votre attention sur le fait que la délivrance de l’attestation detravailleur handicapé ne se limite pas aux seuls agents recrutés en qualité de travailleur handicapé.Tout agent public en activité qui fournit une pièce justifiant de son handicap en application des 1o, 2o,3o, 4o, 9o, 10o et 11o de l’article L. 5212-13 du code du travail, même si son handicap n’était pas précé-demment connu du service, ou qui a fait l’objet d’une procédure de reclassement pour inaptitudephysique doit se voir délivrer cette attestation.

** *

Je vous remercie de bien vouloir assurer une diffusion large de ces informations auprès de vosrelais traditionnels en matière d’action sociale, que ce soit au niveau des ministères ou à l’échelondéconcentré.

Mes services restent naturellement à la disposition des serivces gestionnaires des ressourceshumaines et de l’action sociale en administration centrale, pour répondre à toutes les questionsqu’ils jugeront opportunes.

Le directeur, adjoint au directeur généralde l’administration et de la fonction publique,

T. ANDRIEU

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BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 15.

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A N N E X E I V

AGENTS HANDICAPÉS EN ACTIVITÉ

CHÈQUE-VACANCES(À remplir par le service ressources humaines)

Je soussigné(e) :

Nom : ............................................................................... Prénom : ..............................................................................

Ministère : .........................................................................................................................................................................

Fonction : ..........................................................................................................................................................................

Téléphone (obligatoire) : ..............................................................................................................................................

E-mail : ..................................................................................... @.....................................................................................

Atteste que : ....................................................................................................................................................................

DEMANDEUR

Civilité : Mme � Mlle � M. �

Nom de naissance : .................................................................... Nom : ....................................................................

Nom d’usage : .................................................................................................................................................................

AFFECTATION

Affecté dans le service ci-après désigné :

Nom du service : ............................................................................................................................................................

Adresse : ...........................................................................................................................................................................

est employé par le service en qualité de travailleur handicapé ou a bénéficié d’une procédure dereclassement.

Fait à : ................................................................................................. le : / /

Signature et cachet :

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BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 16.

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Circulaire B9 no 11-MFPF1132348C du 28 novembre 2011 relative au barème commun de certainesprestations interministérielles d’action sociale à réglementation commune pour séjoursd’enfants, applicable en 2012 au bénéfice des agents des DDI

MINISTÈRE DU BUDGET,DES COMPTES PUBLICS

ET DE LA RÉFORME DE L’ÉTAT

MINISTÈRE DE LA FONCTION PUBLIQUE

Direction du budget2BPSS no 11-3407A

Direction générale de l’administrationet de la fonction publiqueB9 no 11-MFPF1132348C

Fait le 28 novembre 2011.

La ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l’État, porte-parole duGouvernement, et le ministre de la fonction publique à Madame la ministre de l’éco-logie, du développement durable, des transports et du logement ; Monsieur le ministrede l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration ; Monsieurle ministre de l’économie, des finances et de l’industrie ; Monsieur le ministre du travail,de l’emploi et de la santé ; Monsieur le ministre de l’éducation nationale, de la jeunesseet de la vie associative ; Monsieur le directeur de l’agriculture, de l’alimentation, de lapêche, de la ruralité et de l’aménagement du territoire ; Madame la ministre des solida-rités et de la cohésion sociale (directions des ressources humaines).

Objet : prestations interministérielles d’action sociale à réglementation commune. – Barèmecommun applicable en 2012 au bénéfice des agents des directions départementales inter-ministérielles (DDI) pour certaines prestations pour séjours d’enfants.

Références :Circulaire DGAFP-FP/4 no 1931 et DB-2B no 256 du 15 juin 1998 relative aux dispositions appli-

cables aux agents des administrations centrales et des services déconcentrés de l’État enmatière de prestations d’action sociale à réglementation commune ;

Circulaire DGAFP-FP/4 no 2025 et DB-2B no 2257 du 19 juin 2002 relative à la réglementation etaux taux des prestations d’action sociale pour 2002 ;

Circulaire DGAFP-B9 no 2128 et DB-2BPSS no 07-182 du 30 janvier 2007 relative aux prestationsindividuelles d’action sociale à réglementation commune ;

Circulaire DGAFP-B9 no 11-BCRF1102447C et DB-2BPSS no 11-3302 du 1er avril 2011 relative auxprestations interministérielles d’action sociale à réglementation commune.

Comme le prévoyait la charte de gestion des DDI, une concertation interministérielle a été menéeen matière d’action sociale de l’employeur, dans l’objectif d’aboutir à une harmonisation des presta-tions à destination des agents.

S’agissant des subventions pour séjours d’enfants dites « à réglementation commune » (circulairedu 15 juin 1998 citée en référence), il a été décidé, comme suite à la réunion interministérielle tenuele 27 juin 2011, que l’harmonisation des prestations servies aux agents affectés en DDI serait réaliséede manière lissée sur les exercices budgétaires 2012 et 2013.

La présente circulaire concrétise la première étape de mise en œuvre de cette convergence.Le barème d’attribution présenté en annexe, relatif à certaines prestations pour séjours d’enfants

(séjours en colonies de vacances, en centres de loisirs sans hébergement, en maisons familiales devacances et gîtes), s’applique en 2012 au bénéfice des agents affectés en DDI.

Dans ce cadre, le quotient familial mensuel (QF) est calculé en fonction, d’une part, du revenufiscal de référence (RFR) figurant sur le dernier avis d’imposition disponible et, d’autre part, dunombre de parts, apprécié à la date de la demande, du (des) foyer(s) fiscal(aux) des personnes ayantla charge effective et permanente de l’enfant et répertoriée dans le logement du demandeur oùl’enfant réside à titre principal : QF = RFR/nombre de parts/12.

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BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 17.

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Si le demandeur vit maritalement (mariage ou pacte civil de solidarité – Pacs), il est tenu comptedu RFR et du nombre de parts fiscales mentionnées sur l’avis d’impôt sur le revenu ou de non impo-sition du couple.

Si le demandeur présente trois avis d’impôt sur les revenus ou de non-imposition du fait de sonmariage ou de la conclusion d’un Pacs, son RFR résultera de l’addition des RFR portés sur les troisavis.

Si le demandeur vit en concubinage avec une autre personne, il est procédé à l’addition de leursdeux RFR, sur la base de leurs deux avis d’impôt sur les revenus ou de non-imposition.

Si le demandeur a connu, entre l’année de l’avis d’imposition et le moment où il fait sa demande,un changement de sa situation matrimoniale, tel qu’un divorce, une rupture en cas de Pacs, uneséparation ou le décès de son conjoint, il sera procédé à une reconstitution de RFR sur la base de sanouvelle situation matrimoniale. Les revenus pris en compte à ce titre seront ceux effectivementperçus par le demandeur.

Dans les trois hypothèses précitées, il est procédé à la reconstitution du nombre de parts fiscales,apprécié à la date de la demande.

Par ailleurs, les règles suivantes sont mises en œuvre pour le calcul du quotient familial :– une part supplémentaire est comptabilisée dans le cas où le demandeur est en situtation de

parent isolé assumant seul la charge financière de son enfant ;– une demi-part est ajoutée dans le cas d’un agent porteur de handicap, ou ayant un enfant ou

une personne à charge porteur de handicap titulaire d’une carte d’invalidité et/ou bénéficiantd’une prestation sociale liée au handicap.

Les conditions d’attribution demeurent celles qui ont été définies par la circulaire DGAFP-FP/4no 1931 et DB-2B no 256 du 15 juin 1998 citée en référence, précisées par la circulaire DGAFP-FP/4no 2025 et DB-2B no 2257 du 19 juin 2002, et modifiées par la circulaire DGAFP-B9 no 2128 etDB-2BPSS no 07-182 du 30 janvier 2007 et la circulaire DGAFP-B9 no 11-BCRF1102447C et DB-2BPSSno 11-3302 du 1er avril 2011.

S’agissant des autres prestations pour séjours d’enfants (séjours mis en œuvre dans le cadre dusystème éducatif et séjours linguistiques), les droits des agents des DDI restent déterminés en 2012selon le barème appliqué par leur ministère. Le barème harmonisé sera étendu à ces prestations àcompter du 1er janvier 2013.

VALÉRIE PÉCRESSE FRANÇOIS SAUVADET

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BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 18.

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PRESTATIONS INTERMINISTÉRIELLES D’ACTION SOCIALE À RÉGLEMENTATION COMMUNE –SÉJOURS D’ENFANTS (HORS SÉJOURS MIS EN ŒUVRE DANS LE CADRE ÉDUCATIF ET SÉJOURSLINGUISTIQUES)

Montants applicables à compter du 1er janvier 2012au bénéfice des agents des directions départementales interministérielles

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Note B9 no 11-725 du 29 novembre 2011 relative à l’arrêt du « prêt mobilité »et à la réévaluation des plafonds donnant droit à l’ « AIP »

MINISTÈRE DE LA FONCTION PUBLIQUE

Direction générale de l’administrationet de la fonction publique

Sous-direction des politiquesinterministérielles

Bureau des politiques sociales B9

Références B9/11 - no 725

Fait le 29 novembre 2011.

Le ministre de la fonction publique à Monsieur le ministre d’État, ministre des affaires étran-gères et européennes, et Mesdames et Messieurs les ministres et secrétaires d’État(directions chargées des ressources humaines et du personnel, services sociaux).

Objet : informations relatives aux prestations interministérielles d’action sociale « prêt mobilité »et « aide à l’installation des personnels de l’État » (AIP).

Références :Circulaire B9 no 09-2163/2BPSS/no 08-1273 du 9 juin 2008 ;Circulaire B9 no 09-2182/2BPSS/no 09-3040 du 30 mars 2009.

La présente note a pour objet de vous informer de l’arrêt de la prestation interministérielle d’actionsociale « prêt mobilité » le 31 décembre 2011, et d’attirer votre attention sur le fait que la modificationdu barème de la prestation chèque-vacances a eu pour conséquence indirecte l’augmentation desRFR plafonds ouvrant droit à la prestation AIP.

I. − ARRÊT DE LA PRESTATION D’ACTION SOCIALE INTERMINISTÉRIELLE « PRÊT MOBILITÉ »Au titre de l’action sociale interministérielle qu’il met en œuvre, le ministère chargé de la fonction

publique avait institué le « prêt mobilité » afin de faciliter l’accès de certains agents de l’État aulogement locatif.

1. Contexte

Par une communication du secrétaire d’État chargé de la fonction publique, les membres ducomité interministériel d’action sociale (CIAS) ont été informés des orientations en matière d’actionsociale interministérielle pour l’horizon 2011-2012.

Parmi ces mesures, figure l’abandon, à compter de 2012, du prêt mobilité en raison de sonabsence d’attractivité parmi les agents de l’État, malgré un élargissement de ses conditions d’attri-bution en 2008.

Le nombre de bénéficiaires de la prestation n’a cessé de diminuer depuis sa création et n’était quede 160 en 2010.

Le marché relatif à la mise en œuvre du « prêt mobilité », avait été confié, à la suite d’une mise enconcurrence, à CRESERFI, établissement financier du crédit social des fonctionnaires (CSF) pour unepériode allant du 1er avril au 31 décembre 2011, renouvelable 2 fois par période de douze mois.

Au vu des orientations politiques susénoncées, il a été décidé de ne pas renouveler l’actuelmarché. Le marché arrivera donc à terme le 31 décembre 2011.

2. Conséquences

Toute demande de prêt mobilité réceptionnée par CRESERFI après le 31 décembre 2011 ne pourradonner lieu à l’obtention d’un prêt. Il est donc Important que vos services aient connaissance decette date limite afin de pouvoir orienter les agents les sollicitant sur cette prestation.

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Les dossiers déjà réceptionnés par CRESERFI avant le 31 décembre (inclus), et pour lesquelscertaines pièces étaient manquantes, pourront cependant être complétés au-delà de cette date.

Par ailleurs, les agents dont le prêt a déjà été accordé et qui est en cours de remboursement,pourront toujours s’adresser à CRESERFI afin d’obtenir les renseignements dont ils ont besoin.

Je vous demanderai également de bien vouloir retirer l’ensemble des supports de communicationrelatifs à cette prestation mis à disposition des agents ou placés dans des lieux de vie et de passagede votre administration.

II. – REVALORISATION DES REVENUS FISCAUX DE RÉFÉRENCE (RFR)PLAFONDS OUVRANT DROIT À LA PRESTATION AIP

La circulaire B9 no 09-2182/2BPSS/no 09-3040 du 30 mars 2009 relative à l’AIP prévoit dans son III« Conditions d’attribution » que « pour obtenir le bénéfice de l’AIP (quelle que soit sa forme), l’agentdoit disposer d’un revenu fiscal de référence (RFR), pour l’année n - 2 (si la demande est effectuée enannée n), inférieur ou égal au revenu fiscal de référence minimal ouvrant droit au bénéfice duchèque-vacances, dans la tranche de bonification la moins avantageuse, pour une seule part fiscale(un seul revenu au foyer du demandeur de l’AIP) ou deux parts fiscales (plus d’un revenu au foyerdu demandeur). (...) ».

Dans la mesure où le barème du chèque-vacances a été modifié et revalorisé de 15 % par lacirculaire B9 no 11-MFPF1126108C et 2BPSS no 11-3348 du 23 septembre 2011, les RFR plafondsouvrant au bénéfice de l’AIP sont désormais les suivants :

– dans le cas d’une seule part fiscale, le RFR plafond est de 24 818 € ;– dans le cas de deux parts fiscales (ou plus), le RFR plafond est de 36 093 €.

J’attire votre attention sur le fait que ces nouveaux plafonds ne figurent pas sur les supports decommunication dont vous avez été destinataires, courant septembre, dans la mesure où la circulairede modification du barème chèque-vacances n’avait pas encore été signée au moment du lancementde cette campagne.

Le prestataire est bien évidemment informé de ces nouveaux RFR plafond et l’instruction del’ensemble des dossiers AIP reçus depuis le 1er octobre s’effectue bien sur la base de ces RFR revalo-risés.

** *

Je vous remercie de bien vouloir assurer une diffusion large de ces informations auprès de vosrelais traditionnels en matière d’action sociale, que ce soit au niveau des ministères ou à l’échelondéconcentré afin notamment d’éviter la réception par CRESERFI de demandes de prêt mobilité qui nepourront que rester sans suite.

Mes services restent naturellement à la disposition des services gestionnaires des ressourceshumaines et de l’action sociale en administration centrale, pour répondre à toutes les questionsqu’ils jugeront opportunes.

Le directeur général de l’administrationet de la fonction publique,

J.-F. VERDIER

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Note B9 no 12-023 du 31 janvier 2012 relative au taux 2012 de l’allocationpour les enfants handicapés poursuivant des études entre 20 et 27 ans

MINISTÈRE DE LA FONCTION PUBLIQUE

Direction générale de l’administrationet de la fonction publique

Sous-direction des politiquesinterministérielles

Bureau des politiques sociales B9

Références B9/12 – no 023

Fait le 31 janvier 2012.

Le directeur général de l’administration et de la fonction publique à Mesdames et Messieursles directrices et directeurs des ressources humaines des ministères.

Objet : prestations interministérielles d’action sociale à réglementation commune. – Taux 2012 del’allocation pour les enfants handicapés poursuivant des études entre 20 et 27 ans.

Texte de référence : circulaire DGAFP-B9 no 11-MFPF1132346C et DB-2BPSS no 11-3407A du28 novembre 2011 relative aux prestations interministérielles d’action sociale à réglementationcommune. – Taux 2012.

La circulaire du 28 novembre 2011 citée en référence a fixé les taux applicables à compter du1er janvier 2012 pour les prestations interministérielles d’action sociale à réglementation commune,hormis l’allocation pour les enfants handicapés poursuivant des études entre 20 et 27 ans. Le taux decette dernière est en effet déterminé par référence à la base mensuelle de calcul des prestationsfamiliales, dont le montant pour 2012 n’était alors pas connu.

Je vous informe que, pour 2012, le taux mensuel de l’allocation spéciale pour les jeunes adultesatteints d’une maladie chronique ou d’un handicap et poursuivant des études, un apprentissage ouun stage de formation professionnelle au-delà de 20 ans et jusqu’à 27 ans est porté à 119,70 € (30 %du montant des bases mensuelles de calcul des prestations familiales pour 2012, fixé à l’article 104de la loi no 2011 du 21 décembre 2011 de financement de la sécurité sociale pour 2012).

Je vous remercie de bien vouloir assurer une diffusion large de cette information auprès de vosrelais en matière d’action sociale.

Le directeur général de l’administrationet de la fonction publique,

J.-F. VERDIER

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BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 22.

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Montants de base des prestations ministérielleset paramètres de calcul du quotient familial

Données applicables à compter du 1er janvier 2012

Prestations ministérielles

Calcul du coefficient agent :Quotient familial plafond : 1 652 €.Quotient familial de référence : 1 107 €.Constante : 5,44.Bornes du coefficient agent : 70 % à 130 %.Formule : (QF plafond – [RFF/12/nombre de parts]/constante).

Aide « nouveau logement » : 490 € (montant de base).Bornes du coefficient agent : 70 % à 130 %.

Prêts et secours :Secours : 1 350 € maximum par an (inchangé).Prêt : 2 200 € maximum (inchangé).

Aide aux vacances :

TYPE DE SÉJOUR MONTANTde base/personne/an

Les colonies de vacances pour les enfants de 6 à 12 ans révolus 14,02 €

Les colonies de vacances pour les enfants de 13 à 17 ans révolus 21,26 €

Les séjours linguistiques pour les enfants de 6 à 12 ans révolus 14,02 €

Les séjours linguistiques pour les enfants de 13 à 17 ans révolus 21,26 €

Les séjours en famille 7,39 €

Aide au séjour en camping 2,45 €

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BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 23.

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Typologie des prestations d’action sociale servies aux personnels des services centrauxet déconcentrés – secteur cohésion sociale/jeunesse et sports

Prestations à gestion interministérielle : gestion et financement par la DGAFPservies aux agents rémunérés sur le budget de l’État

CESU garde d’enfant 0-3 ans et 3-6 ans.

Chèques-vacances.

Aide à l’installation des personnels (AIP).

Aide au maintien à domicile (AMD) au bénéfice des agents retraités (sera effective courant1er semestre 2012).

Prestations interministérielles (PIM) versées selon le QF de l’agent. Pour les agents qui en sontbénéficiaires, le montant versé varie entre 70 % et 130 % du montant de base indiqué (horssubvention « repas »)

Aides aux parents effectuant un séjour en maison de repos avec leur enfant.

Prestation séjours d’enfants (interministérielle).

Prestation séjours linguistiques (interministérielle).

Les centres de loisirs sans hébergement (interministérielle).

Les séjours d’enfants en maison familiale de vacances et gîte (interministérielle).

Séjours mis en œuvre dans le cadre du système éducatif classe de neige ou classe verte (inter-ministérielle).

Prestations concernant les enfants handicapés.

Allocation aux parents d’enfants handicapés de moins de 20 ans.

Allocation spéciale jeune adulte poursuivant des études.

Subvention réglementaire pour la restauration dite « subvention repas ».

Prestations ministérielles (PM)Nota. – Les PIM et les PM ne sont pas cumulables, en revanche les PIM peuvent prendre le relaisd’une PM de même nature

Prestations séjour d’enfant (ministérielles).

Prestations séjours linguistiques (ministérielle).

Prestations séjours en famille (ministérielle).

Prestations séjours en camping (ministérielle).

Conventions passées avec des voyagistes et autres prestataires (ministérielle).

Aide au nouveau logement (ministérielle).

Aide financière ou secours (ministérielle).

Prêt à taux zéro.

Prestations locales qui peuvent être mise en œuvre dans les services (à titre d’exemple)

Bons cadeaux Noël enfants.

Spectacle de Noël.

Bons cadeaux Noël agents.

Panier gourmand ou autres cadeaux fin d’année.

Aide rentrée scolaire ou études (montant)

Aide aux adhésions spectacle et culturels enfants.

Aides aux adhésions adultes.

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MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 24.

. .

Aide au BAFA.

Aide à la conduite accompagnée.

Soutien scolaire.

Aide au logement.

Aide à la petite enfance (réservation de places en crèche).

Participation de l’employeur à la restauration collective des agents.

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MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 25.

. .

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12.

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e PIM

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ulaire

no

1931

du

15 ju

in 19

98.

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1,85 €

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cripti

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ns u

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sécu

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socia

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fant(s

) âgé

(s) de

moin

s de 5

ans a

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ier jo

ur du

séjou

r (l’a

gent

peut

être

acco

mpag

né d

e plu

sieur

s de

ses e

nfants

âgé

s de

moins

de 5

ans,

dans

ce ca

s la p

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ordé

e au

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des e

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ser 3

5 jou

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r an.

L’aide

ne

peut

être

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tant r

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ment

dépe

nsé.

Texte

de

référe

nce

PIM: c

ircula

ire n

o19

31 d

u 15

juin

1998

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ie de

vaca

nces

ou ce

ntre

de lo

isirs.

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moin

s de

13

ans

Soum

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tions

de

resso

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nt fam

ilial.

Subv

entio

n PIM

: 7,01

€.

Subv

entio

n PM

: 14,0

2 €

.

Page 26: Santé, Protection sociale, Solidarité - N° 5 du 15 juin 2012solidarites-sante.gouv.fr/fichiers/bo/2012/12-05/ste_20120005_0100... · BO Santé – Protection sociale – Solidarité

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 26.

. .

DO

MA

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t de

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Soum

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tions

de

resso

urce

s: q

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nt fam

ilial.

Subv

entio

n PIM

: 10,6

3 €

.Su

bven

tion

PM: 2

1,26 €

.La

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tation

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t serv

ie da

ns la

limite

de 21

jour

s par

an.

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ion in

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nistér

ielle

pren

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le rel

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u-delà

de

cette

limite

. Son

mon

tant v

arie s

elon

l’âge

de l

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de

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fant).

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ilial, l

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e 4

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s vac

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ou de

leur

s con

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nistèr

e de

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t des

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noter

: le

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de s

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ment

être

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en

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dan

s les

dép

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ou à

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r.Te

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e réf

érenc

e PIM

: circ

ulaire

no

1931

du

15 ju

in 19

98.

Texte

de

référe

nce

PM: c

ircula

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/SRH2

D no

2007

-192

du10

mai

2007

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e PM

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D/20

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u20

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09.

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l.

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n PIM

: 5,06

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Soum

is a

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de

resso

urce

s: q

uotie

nt fam

ilial.

Subv

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n PIM

: 2,55

€.

La p

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La p

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limi

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ntfam

ilial.

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ision

s: le

s ac

cueil

s en

dem

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nées

son

t pris

en

charg

e da

nsles

mêm

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nditio

ns q

u’un

séjou

r en

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ée co

mplèt

e. Da

ns ce

cas,

la pr

estat

ion e

st se

rvie

à mi

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par

jour p

our 2

011.

Texte

de

référe

nce

PIM: c

ircula

ire n

o19

31 d

u 15

juin

1998

.En

mais

on fa

milia

le de

vac

ance

set

gîte.

Séjo

ur e

n pe

nsio

n co

mpl

ète

Soum

is a

ux c

ondi

tions

de

resso

urce

s: q

uotie

nt fam

ilial.

Subv

entio

n PIM

: 7,38

€.

Autre

form

uleSo

umis

aux

con

ditio

ns d

eres

sour

ces:

quo

tient

familia

l.

Subv

entio

n PIM

: 7,01

€.

La pr

estat

ion es

t serv

ie da

ns la

limite

de 45

jour

s par

an po

ur ch

acun

des e

nfants

à la

charg

e du

bén

éficia

ire.

La p

restat

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e co

nform

émen

t au

calc

ul du

quo

tient

familia

l.Âg

e: l’

enfan

t doit

être

âgé

de

moins

de

18 a

ns a

u pr

emier

jour

du

séjou

r (pa

s de

limite

d’âg

e po

ur le

s enfa

nts h

andic

apés

).À

noter

: la pe

rsonn

e qui

acco

mpag

ne l’e

nfant

au co

urs d

e son

séjou

rpe

ut n’a

voir

aucu

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n de

pare

nté a

vec l

ui.Lie

u d’a

ccue

il: le

séjou

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se d

éroule

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s un

centr

e fam

ilial d

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es te

l que

: une

mais

on fa

milia

le de

vaca

nces

; un

villag

e de

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y c

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is les

gîte

s ou

les

villag

es d

e toi

le off

rant d

esse

rvice

s coll

ectifs

. Son

t exc

lus le

s séjo

urs e

n cam

pings

mun

icipa

uxet

privé

s.Il d

oit to

ujour

s s’ag

ir d’é

tablis

seme

nts d

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socia

l géré

s san

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t luc

ratif;

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îtes d

e Fran

ce (g

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es d

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pes,

cham

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d’hô

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tc.) s

ont d

es é

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seme

nts a

grée

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Fédé

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s de

Franc

e, so

us la

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onsa

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u rel

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d’enfa

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s pa

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Page 27: Santé, Protection sociale, Solidarité - N° 5 du 15 juin 2012solidarites-sante.gouv.fr/fichiers/bo/2012/12-05/ste_20120005_0100... · BO Santé – Protection sociale – Solidarité

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 27.

. .

DO

MA

INE

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rance

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és d

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régle

-me

ntatio

n en v

igueu

r pou

r acc

ueilli

r des

enfan

ts âg

és de

4 à 1

3 ans

au s

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e fam

illes

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ntren

t dan

s la

catég

orie

d’étab

lisse

-me

nts re

tenus

.Te

xte d

e réf

érenc

e PIM

: circ

ulaire

no

1931

du

15 ju

in 19

98.

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rs mi

s en

œuv

re da

ns le

cadr

e du

systè

me é

duca

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Forfa

it po

ur 2

1 jou

rs ou

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Soum

is a

ux c

ondi

tions

de

resso

urce

s: q

uotie

nt fam

ilial.

Subv

entio

n PIM

: 72,7

1 €

.

Pour

des

séjo

urs

d’une

dur

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re, p

ar jou

rSo

umis

aux

con

ditio

ns d

eres

sour

ces:

quo

tient

familia

l.

Subv

entio

n PIM

: 3,45

€.

La p

restat

ion e

st se

rvie

dans

la li

mite

de 2

1 jou

rs pa

r an.

La p

restat

ion e

st att

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e co

nform

émen

t au

calc

ul du

quo

tient

familia

l.L’e

nfant

doit

parti

ciper

à un

séjo

ur c

ultur

el tra

nspla

nté,

d’env

i-ro

nnem

ent,

de d

écou

verte

du

patri

moine

ou

d’éch

ange

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dago

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conc

ernan

t un

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sse

entiè

re ou

un

grou

pe d

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homo

gène

, l’en

seign

emen

t de

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ciplin

es f

onda

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onti-

nuan

t à ê

tre a

ssur

é.Le

séjou

r doit

avoir

une

dur

ée m

inima

le de

5 jou

rs et

avoir

lieu

tout

ou p

artie

en p

ériod

e sc

olaire

. Il p

eut s

e dé

roule

r en

Franc

e ou

àl’é

trang

er.La

pres

tation

doit ê

tre at

tribu

ée qu

elque

s jou

rs av

ant le

dépa

rt, au

vud’u

ne a

ttesta

tion

d’ins

cripti

on d

élivré

e pa

r le

direc

teur d

e l’é

cole

que

fréqu

ente

l’enfa

nt.Te

xte d

e réf

érenc

e PIM

: circ

ulaire

no

1931

du

15 ju

in 19

98.

Texte

de

référe

nce

PM:

circu

laire

noDG

PB/SR

H2D/

2007

/192

du10

mai

2007

.Te

xte d

e réf

érenc

e PM

: no

te de

serv

ice D

AGPB

/SRH2

D/20

09 d

u20

févri

er 20

09.

Séjou

rs lin

guist

iques

.En

fant

de m

oins

de 1

3 an

sSo

umis

aux

con

ditio

ns d

eres

sour

ces:

quo

tient

familia

l.

Subv

entio

n PIM

: 7,01

€.

Subv

entio

n PM

: 14,0

2 €

.

Enfan

t de

plus d

e 13

ans

Soum

is a

ux c

ondi

tions

de

resso

urce

s: q

uotie

nt fam

ilial.

Subv

entio

n PIM

: 10,6

3 €

.Su

bven

tion

PM: 2

1,26 €

.

La p

restat

ion m

inisté

rielle

est

servi

e da

ns la

limi

te de

21

jours

par

an;

La p

restat

ion in

termi

nistér

ielle

pren

ant

le rel

ais a

u-delà

de

cette

limite

. Son

mon

tant v

arie

selon

l’âg

e de

l’en

fant.

La p

restat

ion e

st att

ribué

e co

nform

émen

t au

calc

ul du

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familia

l.Le

séjou

r doit

se d

éroule

r pen

dant

la pé

riode

des

vaca

nces

scola

ires

appli

cable

en

Franc

e. To

utefoi

s, po

ur d

es r

aison

s pa

rticu

lières

(contr

ainte

liée a

u tra

nspo

rt...),

le sé

jour p

eut d

ébute

r ava

nt la

date

offici

elle

des v

acan

ces o

u s’a

chev

er ap

rès la

rentr

ée sc

olaire

.Il

peut

s’agir

de

séjou

rs:

–or

ganis

és o

u fin

ancé

s par

les a

dmini

strati

ons d

e l’É

tat;

–or

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és so

it pa

r des

pers

onne

s phy

sique

s ou

moral

es ay

ant l

aqu

alité

de c

omme

rçant

et titu

laires

d’un

e lic

ence

d’ag

ent

devo

yage

, soit

par

des o

rgan

ismes

ou

asso

ciatio

ns sa

ns b

ut luc

ratif

titulai

res d

e l’a

grém

ent p

révu

à l’a

rticle

7 d

e la

loi n

o92

-845

du13

juille

t 199

2;–

mis

en p

lace

par

les é

tablis

seme

nts d

’ense

ignem

ent

dans

leca

dre

des

relati

ons

perm

anen

tes n

ouée

s av

ec d

es é

tablis

seme

ntsétr

ange

rs (ap

parie

ment)

.

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MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 28.

. .

DO

MA

INE

Sd

’inte

rven

tio

nP

RE

ST

AT

ION

SC

ON

DIT

ION

SM

ON

TA

NT

SO

BS

ER

VA

TIO

NS

Texte

de

référe

nce

PIM: c

ircula

ire n

o19

31 d

u 15

juin

1998

.Te

xte d

e réf

érenc

e PM

: circ

ulaire

DG

PB/SR

H2D

no20

07-19

2 du

10 m

ai 20

07.

Texte

de

référe

nce

PM: n

ote d

e se

rvice

DAG

PB/SR

H2D

no20

09 d

u20

févri

er 20

09.

Séjou

r fam

ille.

Soum

is a

ux c

ondi

tions

de

resso

urce

s: q

uotie

nt fam

ilial.

Subv

entio

n PM

: 7,39

€.

La p

restat

ion e

st att

ribué

e co

nform

émen

t au

calc

ul du

quo

tient

familia

l.L’a

ide p

eut ê

tre ve

rsée p

our t

out t

ype d

e loc

ation

saiso

nnièr

e ou

desé

jour d

ans

un v

illage

de

vaca

nces

dan

s le

cadr

e de

séjo

ur e

nfam

ille (p

arents

+en

fants)

, hor

s hôte

llerie

.La

pres

tation

est s

ervie

dans

la lim

ite de

7 jou

rs pa

r ann

ée ci

vile e

t ladu

rée d

u sé

jour n

e pe

ut êtr

e inf

érieu

re à

une

sema

ine (6

nuit

s).La

pres

tation

est v

ersée

pour

chaq

ue m

embr

e du f

oyer

dans

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itedu

nom

bre

de p

laces

prév

u pa

r le

contr

at de

loca

tion

ou d

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alim

ite du

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re de

perso

nnes

du fo

yer d

ont le

s nom

s son

t por

téssu

r la

factur

e.Te

xte d

e réf

érenc

e PM

: circ

ulaire

DG

PB/SR

H2D

no20

07-19

2 du

10 m

ai 20

07.

Texte

de

référe

nce

PM: n

ote d

e se

rvice

DAG

PB/SR

H2D

no20

09 d

u20

févri

er 20

09.

Séjou

r en

camp

ing.

Soum

is a

ux c

ondi

tions

de

resso

urce

s: q

uotie

nt fam

ilial.

Subv

entio

n PM

: 2,45

€.

Pres

tation

attr

ibuée

par

jour e

t par

perso

nne.

La p

restat

ion e

st att

ribué

e co

nform

émen

t au

calc

ul du

quo

tient

familia

l.Le

séjo

ur d

oit a

voir

lieu

dans

un

camp

ing a

grée

par

une

autor

itéco

mpéte

nte.

La p

restat

ion m

inisté

rielle

est

servi

e da

ns la

limi

te de

21

jours

par

anné

e civ

ile e

t par

memb

re du

foye

r.La

pres

tation

est v

ersée

pour

chaq

ue m

embr

e du f

oyer

dans

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itedu

nomb

re de

perso

nnes

du fo

yer d

ont le

s nom

s son

t por

tés su

r la

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e. Le

s age

nts sé

parés

qui

parti

raien

t en

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nces

avec

leur

(s)en

fant(s

) alor

s qu

e ce

ux-ci

ne

sont

pas

fisca

lemen

t à le

ur c

harg

epe

uven

t bén

éficie

r de c

ette p

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ion. L

e quo

tient

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l est

alors

calcu

lé po

ur c

ette

pres

tation

com

me s

i ce

s en

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étaien

t à

charg

e.Te

xte d

e réf

érenc

e PM

: circ

ulaire

DG

PB/SR

H2D

no20

07-19

2 du

10 m

ai 20

07.

Texte

de

référe

nce

PM: n

ote d

e se

rvice

DAG

PB/SR

H2D

no20

09 d

u20

févri

er 20

09.

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MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 29.

. .

DO

MA

INE

Sd

’inte

rven

tio

nP

RE

ST

AT

ION

SC

ON

DIT

ION

SM

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TA

NT

SO

BS

ER

VA

TIO

NS

Chèq

ues-v

acan

ces.

Pres

tatair

e: E

XTEL

IA.

Adres

se: C

NT c

hèqu

es-va

canc

esde

man

de T

SA49

101,

7693

4Ro

uen

Cede

x 09

.w

ww

.fon

ctio

npub

liqu

e-ch

eque

svac

ance

s.fr.

Valab

le de

ux an

s en

plus d

e son

anné

e d’é

miss

ion.

1600

00 p

oint

s d’

accu

eil

dutou

risme

, des

loisi

rs et

de la

cultu

re c

onve

ntio

nnés

par

l’age

nce

natio

nale

pour

les

chèq

ues-

vaca

nces

(hé

ber-

geme

nt, r

estau

ration

, vo

yage

et tra

nspo

rt, cu

lture,

loisi

rs).

Sous

form

e de c

oupu

res de

10 et

20 €

.Le

chè

que-v

acan

ces

est

une

pres

tation

d’ai

de a

ux lo

isirs

et au

xva

canc

es. C

e titr

e pe

rmet

de fi

nanc

er le

dépa

rt en

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ance

s et u

nlar

ge é

venta

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ctivit

és c

ultur

elles

et

de l

oisirs

. Le

chè

que-

vaca

nces

est u

n titr

e nom

inatif

qui p

ermet

de p

répare

r en

douc

eur

son b

udge

t vac

ance

s, cu

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loisi

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ette p

restat

ion es

t bas

ée su

run

e ép

argne

de

l’age

nt, a

bond

ée d

’une

parti

cipati

on d

e l’É

tatpo

uvan

t rep

résen

ter 1

0 à

30 %

du

monta

nt ép

argné

par

l’age

ntpe

ndan

t une

dur

ée d

e 4

à 12

mois

.Le

s ag

ents

hand

icapé

s en

acti

vité

béné

ficien

t d’u

ne b

onific

ation

comp

lémen

taire

représ

entan

t 30 %

de l

a part

icipa

tion

de l’É

tat. C

eco

mplém

ent v

ersé

par

le Fo

nds

pour

l’ins

ertion

des

pers

onne

sha

ndica

pées

dan

s la

foncti

on p

ubliq

ue (F

IPHFP

) abo

ndera

dire

c-tem

ent l

a pa

rticip

ation

de

l’État

.La

ges

tion

de c

ette

pres

tation

inter

minis

tériel

le d’a

ction

soc

iale

est

assu

rée p

ar EX

TELIA

, qui

réalis

e, po

ur le

comp

te du

mini

stère

dubu

dget,

des c

ompte

s pub

lics e

t de l

a fon

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publi

que l

’instr

uctio

nde

s dem

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s qui

lui so

nt ad

ressé

es p

ar les

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nts d

e l’É

tat.

Atten

tion:

les c

hèqu

es-va

canc

es o

nt été

reva

lorisé

s:–

une t

ranch

e d’ép

argne

bon

ifiée à

30 %

est c

réée p

our l

es ag

ents

aux

reven

us le

s plus

mod

estes

;–

les re

venu

s fisc

aux

de ré

féren

ce so

nt ma

jorés

de

15 %

.Ce

tte re

valor

isatio

n es

t entr

ée en

vigu

eur d

epuis

le 1er

octob

re 20

11,

les d

eman

des s

ont i

nstru

ites s

ur la

bas

e de c

es n

ouve

aux b

arème

sde

puis

cette

date

.Te

xte d

e réf

érenc

e PIM

: circ

ulaire

no

1931

du

15 ju

in 19

98.

Texte

de

référe

nce:

loi n

o99

-584

du 1

2 jui

llet 1

999.

Texte

de

référe

nce:

circu

laire

B9 –

2154

du

11 ja

nvier

200

8.Te

xte

de r

éfér

ence

: cir

culai

re B

9 no

10-B

CFF1

0055

55C

du18

mars

201

0.Te

xte d

e réf

érenc

e: n

ote e

xplic

ative

201

0-114

du

22 m

ars 2

010.

Texte

de

référe

nce:

circu

laire

du 2

3 se

ptemb

re 20

11.

Aide

exc

eptio

nnell

e à

la fam

ille.

Prêts

à ta

ux zé

ro.

Gesti

onna

ire: I

sabe

lle D

UFOU

R,tél

.: 01

-40-56

-48-66

, co

urrie

l:isa

belle

.dufou

r@sa

nte.go

uv.fr

.

Soum

is a

ux c

ondi

tions

de

resso

urce

s: q

uotie

nt fam

ilial.

Monta

nt mi

nimum

: 400

€.

Monta

nt ma

ximal

: 220

0 €+1

%de

frais

de

doss

ier.

Perm

et de

faire

face

à de

s frai

s exc

eptio

nnels

qui p

artici

pent

à l’am

é-lio

ration

des

con

dition

s de

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quoti

dienn

e (sa

nté, a

ména

geme

nt,rép

aratio

ns...)

.Dé

cision

pris

e pa

r un

e co

mmiss

ion c

onsu

ltativ

e d’a

ttribu

tion

des

aides

fina

ncièr

es e

t des

prêt

s de

l’adm

inistr

ation

centr

ale.

La co

mmiss

ion se

réun

it une

fois

par m

ois sa

uf au

mois

d’ao

ût (do

nc11

com

miss

ions)

et tra

ite l

es d

eman

des

de p

rêt d

es s

ervice

sce

ntrau

x et

des s

ervice

s déc

once

ntrés

.Pr

êt sa

ns in

térêt

rembo

ursa

ble a

u plu

s en

quara

nte m

ensu

alités

.

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MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 30.

. .

DO

MA

INE

Sd

’inte

rven

tio

nP

RE

ST

AT

ION

SC

ON

DIT

ION

SM

ON

TA

NT

SO

BS

ER

VA

TIO

NS

Aide

s fina

ncièr

es.

Gesti

onna

ire:

voir

l’ass

istan

teso

ciale

du pe

rsonn

el do

nt vo

usdé

pend

ez.

Soum

is a

ux c

ondi

tions

de

resso

urce

s: q

uotie

nt fam

ilial.

Monta

nt ma

ximum

ann

uel

des

aides

allo

uées

: 135

0 €

.Pe

rmet

de p

allier

des

diffi

culté

s fin

anciè

res p

assa

gères

liée

s à

unév

énem

ent i

mprév

u.Dé

cision

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r un

e co

mmiss

ion c

onsu

ltativ

e d’a

ttribu

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des

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fina

ncièr

es e

t des

prêt

s de

l’adm

inistr

ation

centr

ale o

u de

laco

mmiss

ion ré

giona

le co

nsult

ative

d’at

tribu

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des

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à p

artir

du ra

ppor

t de

l’ass

istan

te so

ciale

de ré

féren

ce.

Petite

enfa

nce.

Gest

ionn

aire

AC

: Is

abel

leRA

NNOU

, tél.

: 01-4

0-56-5

9-92,

cour

riel:

isabe

lle.ra

nnou

@sa

nte.go

uv.fr

.

CESU

0-3 a

nsSi

te:

http

://w

ww

.ces

u-fo

nctio

npub

lique

.fr/0-

3/ind

ex.

html.

Mod

ulé

en f

onct

ion

des

resso

urce

s et

de l

a sit

uatio

nfam

iliale.

Cumu

lable

avec

les

pres

tation

slég

ales

dont

ils b

énéfi

cient

deple

in dr

oit.

Le m

ontan

t de

l’ai

de:

220

€,

385

€ou

655

€pa

r an

née

pleine

et p

ar en

fant à

charg

e.

C’est

un ti

tre sp

écial

de p

aieme

nt pr

éfina

ncé p

ar l’É

tat q

ui pe

rmet

derém

unére

r les

servi

ces à

la p

erson

ne o

u de

l’org

anism

e à q

ui vo

usfai

tes ap

pel p

our l

a gard

e de v

otre e

nfant

âgé d

e moin

s de 3

ans.

Ce d

ispos

itif e

st ex

clusiv

emen

t rés

ervé

aux

agen

ts rém

unéré

s sur

lebu

dget

de l’

État a

yant

à leu

r cha

rge

un o

u plu

sieur

s en

fants

demo

ins d

e 3

ans.

Sont

exclu

s les

age

nts re

traité

s de

l’État

.Le

dro

it es

t ouv

ert à

la fi

n de

la p

ériod

e de

cong

é de

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rnité

ou

d’ado

ption

. Vou

s dev

ez jo

indre

à votr

e dem

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une a

ttesta

tion d

erep

rise

d’acti

vité

déliv

rée p

ar l’e

mploy

eur.

Si la

conjo

inte d

e l’ag

ent n

e trav

aille

pas,

le ca

lcul s

e fait

à pa

rtir d

ela

date

de n

aissa

nce

de l’

enfan

t plus

10

sema

ines p

our l

e 1er

et le

2een

fant,

18 s

emain

es à

part

ir du

3e

et 22

en

cas

de n

aissa

nce

multip

le.Si

le co

ngé d

’adop

tion n

’est p

as pr

is, ou

pris

parti

ellem

ent, l

es dé

lais

réglem

entai

res se

ront

fictiv

emen

t app

liqué

s.Av

antag

es:

–l’e

xoné

ration

des

cotis

ation

s soc

iales

salar

iales

et d

e l’im

pôt s

urle

reven

u (da

ns la

limi

te de

183

0 €

par a

n), p

our l

’aide

fina

ncièr

ereç

ue;

–le

maint

ien d

es ai

des f

inanc

ières

pou

r la g

arde d

’enfan

ts ve

rsées

par l

a CA

F (PA

JE).

Ils se

rvent

:–

soit

à rém

unére

r un

salar

ié en

dire

ct;

–si

la ga

rde

de l’

enfan

t est

effec

tuée

par u

n sa

larié

en e

mploi

direc

t ou

par u

n(e) a

ssist

ant(e

) mate

rnel(

le) a

gréé

(e), i

l s’ag

it alo

rsd’u

ne si

tuatio

n de

part

iculie

r emp

loyeu

r.À

ce t

itre,

vous

dev

ez r

espe

cter

des

oblig

ation

s so

ciales

et

notam

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effec

tuer l

a déc

larati

on d

es sa

laires

et le

paie

ment

des

cotis

ation

s soc

iales

;–

soit

à pay

er un

e ass

ociat

ion o

u un

e entr

epris

e (qu

’elle

soit

pres

-tat

aire

ou m

anda

taire

de se

rvice

s à la

pers

onne

).S’i

l s’ag

it d’u

ne e

ntrep

rise

ou d

’une

asso

ciatio

n, les

tick

ets C

ESU

–ga

rde

d’enfa

nt 0

à 3

ans p

ermett

ent d

e rég

ler u

ne fa

cture

parti

el-lem

ent o

u tot

aleme

nt. A

ucun

e dé

clarat

ion d

e co

tisati

ons

socia

lesn’e

st à

effec

tuer.

C’est

l’entr

epris

e ou

l’as

socia

tion

pres

tatair

e ou

mand

ataire

qui

s’en

charg

e.Inf

os g

lobale

s voir

le si

te: h

ttp://w

ww.tic

ket-c

esu.f

r/tick

et-ce

su/Pa

ges/

Defau

lt.asp

x.

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MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 31.

. .

DO

MA

INE

Sd

’inte

rven

tio

nP

RE

ST

AT

ION

SC

ON

DIT

ION

SM

ON

TA

NT

SO

BS

ER

VA

TIO

NS

Texte

de

référe

nce:

loi n

o20

05-84

1 du

26

juille

t 200

5.Te

xte d

e réf

érenc

e: d

écret

no

2005

-1360

du

3 no

vemb

re 20

05.

Texte

de

référe

nce:

circ

ulaire

FP/4

no

2120

5 B

JPM-

06-26

18 d

u10

juille

t 200

6.Te

xte d

e réf

érenc

e: B

9 – 2

153

du 2

7 dé

cemb

re 20

07.

Texte

de

référe

nce:

B9

no11

-MFP

F113

2350

C du

28

nove

mbre

2011

.

CESU

3-6 a

nsSi

te:

http

://w

ww

.ces

u-fo

nctio

npub

lique

.fr/3-

6/ind

ex.

aspx

.

Mod

ulé

en f

onct

ion

des

resso

urce

s et

de l

a sit

uatio

nfam

iliale.

Cumu

lable

avec

les

pres

tation

slég

ales

dont

ils b

énéfi

cient

deple

in dr

oit.

Le m

ontan

t de

l’ai

de:

220

€,

385

€ou

655

€pa

r an

née

pleine

et p

ar en

fant à

charg

e.

Ce d

ispos

itif e

st ex

clusiv

emen

t rés

ervé

aux

agen

ts rém

unéré

s sur

lebu

dget

de l’É

tat et

ayan

t à le

ur ch

arge u

n ou p

lusieu

rs en

fants

âgés

de 3

à 6

ans

.Le

dro

it au

disp

ositif

pren

d eff

et à

la da

te du

3e

anniv

ersair

e de

l’enfa

nt et

est o

uvert

jusq

u’à so

n 6e

anniv

ersair

e.En

cas d

’adop

tion

d’un

enfan

t âgé

de 3

à 6 a

ns, le

dro

it au

disp

ositif

est o

uvert

à co

mpter

de

la fin

du

cong

é d’a

dopti

on.

En ca

s d’ad

optio

n et

dans

l’hyp

othès

e où

le co

ngé d

’adop

tion

a pris

fin a

u co

urs

de l’

anné

e en

cou

rs, v

ous

deve

z joi

ndre

à vo

trede

mand

e un

e att

estat

ion d

e rep

rise

d’acti

vité

déliv

rée p

ar vo

treem

ploye

ur.

Si au

cun c

ongé

d’ad

optio

n n’es

t pris

(si la

conjo

inte o

u le c

onjoi

nt de

l’age

nt ne

trav

aille

pas,

s’il s

’agit

d’un

choix

des

pare

nts ad

optan

tspa

r exe

mple)

, ou

s’il n

’est p

ris q

ue p

artiel

lemen

t, les

déla

is rég

le-me

ntaire

s se

ront

fictiv

emen

t ap

pliqu

és à

com

pter

de l

a da

ted’a

rrivé

e de

l’en

fant a

u foy

er.Ils

serve

nt:

–so

it à

rémun

érer u

n sa

larié

en d

irect

;–

si la

gard

e de

l’en

fant e

st eff

ectué

e pa

r un

salar

ié en

emp

loidir

ect o

u pa

r un(e

) ass

istan

t(e) m

atern

el(le)

agr

éé(e)

, il s

’agit

alors

d’une

situa

tion

de p

articu

lier e

mploy

eur.

Àce

titr

e, vo

us d

evez

res

pecte

r de

s ob

ligati

ons

socia

les e

tno

tamme

nt eff

ectue

r la d

éclar

ation

des

salai

res et

le p

aieme

nt de

sco

tisati

ons s

ocial

es.

–so

it à p

ayer

une a

ssoc

iation

ou

une e

ntrep

rise (

qu’el

le so

it pr

es-

tatair

e ou

man

datai

re de

servi

ces à

la p

erson

ne).

Infos

glob

ales v

oir le

site

: http

://www

.ticke

t-ces

u.fr/t

icket-

cesu

/Page

s/De

fault.a

spx.

Texte

de

référe

nce:

loi n

o20

05-84

1 du

26

juille

t 200

5.Te

xte d

e réf

érenc

e: d

écret

no

2005

-1360

du

3 no

vemb

re 20

05.

Texte

de

référe

nce:

circ

ulaire

FP/4

no

2120

5 B

JPM-

06-26

18 d

u10

juille

t 200

6.Te

xte d

e réf

érenc

e: B

9 – 2

153

du 2

7 dé

cemb

re 20

07.

Texte

de

référe

nce:

B9

no11

-MFP

F113

2349

C du

28

nove

mbre

2011

.

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MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 32.

. .

DO

MA

INE

Sd

’inte

rven

tio

nP

RE

ST

AT

ION

SC

ON

DIT

ION

SM

ON

TA

NT

SO

BS

ER

VA

TIO

NS

Stru

ctur

es d

’acc

ueil

petit

een

fance

.Ni

veau

adm

inistr

ation

centr

ale.

Les

perso

nnels

d’ad

minis

tratio

n ce

ntrale

peu

vent

béné

ficier

de

4str

uctur

es d

’accu

eil p

our l

a pe

tite e

nfanc

e.Ce

s stru

ctures

se co

mpos

ent d

e:–

2 crè

ches

pou

r les

moin

s de

3 an

s;

–1

jardin

d’en

fants

pour

les e

nfants

âgé

s de

3 à

6 an

s;–

1 ce

ntre

de lo

isirs

pour

ceux

âgé

s de

6 à

11 a

ns.

Elles

ont

été m

ises

en p

lace

de lo

ngue

date

, dan

s un

obje

ctif d

eco

ncilia

tion

de l

a vie

pro

fessio

nnell

e et

de l

a vie

fam

iliale

etd’é

galité

pro

fessio

nnell

e ho

mme/f

emme

.

Stru

ctur

es d

’acc

ueil

petit

een

fance

.Ni

veau

servi

ces d

écon

centr

és.

En S

RIAS.

Les S

RIAS

effec

tuent

des r

éserv

ation

s de

berce

aux

pour

l’en

semb

lede

s age

nts d

e l’É

tat d

’une

région

.htt

p://sr

ias.ile

-de-fr

ance

.gouv

.fr/

Noël

Arbr

e de

Noë

lSe

rap

proc

her

de v

otre

corre

s-po

ndan

t acti

on so

ciale.

Varia

bles e

n fon

ction

du co

ntexte

local.

Exem

ple e

n AC

: les

enfa

nts n

edé

pass

ant p

as l’

âge

de 1

6 an

sda

ns l

’anné

e en

cou

rs, e

t y

comp

ris le

s enfa

nts à

naît

re.

Varia

ble e

n fon

ction

du

conte

xteloc

al.Ex

emple

en

AC:

Pour

les

chè

ques

cad

eaux

en

faveu

r de

leur

s en

fants,

âgé

sde

16

ans a

u plu

s:–

jusqu

’à l’â

ge d

e 11

ans

, les

bons

sont

d’une

valeu

r de 3

2 €(2

coup

ures

de

16 €

);–

de 1

2 à

16 a

ns i

nclus

, la

valeu

r est

de 4

8 €

(3 co

upur

esde

16 €

).Au

tre a

ctivit

é sa

ns fr

ais p

our l

esag

ents

et pr

is en

charg

e en

tiè-

rem

ent

par

le b

urea

u de

l’acti

on s

ocial

e: o

rgan

isatio

nd’

un s

pect

acle

ou

d’un

ean

imati

on d

e No

ël.

Objet

de

la pr

estat

ion:

À l’o

ccas

ion d

e la

fête

de N

oël,

divers

es a

ction

s peu

vent

être

orga

-nis

ées

en f

aveu

r de

s en

fants

du p

erson

nel

(spec

tacle,

goû

ter,

chèq

ues c

adea

ux...)

Béné

ficiai

res:

Les e

nfants

des

pers

onne

ls:

–en

acti

vité

(y co

mpris

les

foncti

onna

ires

et ag

ents

en c

ongé

:co

ngé

annu

el, d

e ma

ladie,

de

forma

tion,

mater

nité..

.);

–en

pos

ition

de m

ise à

disp

ositio

n, so

us ré

serve

qu’i

ls ne

bén

éfi-

cient

pas d

e pres

tation

de m

ême n

ature

aupr

ès de

leur

emplo

yeur

;–

vaca

taires

titul

aires

d’un

con

trat d

e co

urte

durée

, tou

jours

envig

ueur

au

31 d

écem

bre

de l’

anné

e en

cour

s.Pr

écisi

ons:

Les a

gents

en

cong

é pa

rental

, en

dispo

nibilit

é et

en re

traite

ne

sont

pas c

once

rnés

par

le bé

néfic

e de

cette

pres

tation

.Da

ns le

cas d

’un m

énag

e d’ag

ents

de l’É

tat, la

pres

tation

est s

ervie

àun

seul

des p

arents

.En

cas d

e divo

rce ou

de sé

parat

ion d’

agen

ts en

fonc

tion a

u mini

stère,

la pr

estat

ion e

st ac

cord

ée a

u pa

rent a

uprès

duq

uel v

it l’e

nfant.

Enfan

ts ha

ndica

pés

Gest

ionn

aire

AC

: Is

abel

leRA

NNOU

, tél.

: 01-4

0-56-5

9-92,

cour

riel:

isabe

lle.ra

nnou

@sa

nte.go

uv.fr

.

Alloc

ation

aux

pare

nts d

’enfan

tsha

ndica

pés

ou i

nfirm

es d

emo

ins d

e 20

ans

.

Aucu

ne co

nditio

n d’i

ndice

ou

deres

sour

ces n

’est e

xigée

.En

reva

nche

, les

pare

nts d

oiven

tpe

rcevo

ir l’a

lloca

tion

d’édu

-ca

tion

de l

’enfan

t ha

ndica

pé(A

EEH)

.

Subv

entio

n PIM

: 152

,9 €

.L’a

lloca

tion e

st ve

rsée m

ensu

ellem

ent ju

squ’a

u mois

au co

urs d

uque

ll’e

nfant

attein

t ses

20

ans.

Aucu

ne c

ondit

ion d

’indic

e ou

de

resso

urce

s n’e

st ex

igée.

Enrev

anch

e, les

pare

nts d

oiven

t perc

evoir

l’all

ocati

on d

’éduc

ation

de

l’enfa

nt ha

ndica

pé (A

EEH)

.Po

ur le

s jeu

nes

en in

terna

t: pr

orati

satio

n de

l’all

ocati

on d

’actio

nso

ciale

en 3

0epo

ur le

s péri

odes

de

retou

r à d

omici

le.L’e

nfant

doit

être

âgé

de m

oins

de 2

0 an

s et

avoir

un

taux

d’inc

a-pa

cité

supé

rieur

ou

égal

à 50

%.

La p

restat

ion e

st cu

mulab

le av

ec le

s pres

tation

s fam

iliales

léga

les.

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MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 33.

. .

DO

MA

INE

Sd

’inte

rven

tio

nP

RE

ST

AT

ION

SC

ON

DIT

ION

SM

ON

TA

NT

SO

BS

ER

VA

TIO

NS

L’allo

catio

n n’e

st pa

s cu

mulab

le av

ec l

’alloc

ation

com

pens

atrice

prév

ue p

ar l’a

rticle

39

de la

loi n

o75

-534

du 3

0 jui

n 19

75, l

’allo-

catio

n au

x ad

ultes

han

dicap

és, l

’alloc

ation

diffé

rentie

lle s

ervie

autitr

e de

s dro

its a

cquis

.Te

xte d

e réf

érenc

e PIM

: circ

ulaire

no

1931

du

15 ju

in 19

98.

Alloc

ation

spé

ciale

pour

jeu

nes

adult

es, a

tteint

s d’un

e ma

ladie

chro

nique

ou d’

un ha

ndica

p, et

pour

suiva

nt se

s étud

es au

-delà

de 2

0 an

s et j

usqu

’à 27

ans

.

Aucu

ne c

ondit

ion d

e res

sour

cen’e

st ex

igée.

Subv

entio

n PIM

: 119

,70 €

.L’a

lloca

tion

est

versé

e me

nsue

lleme

nt (y

comp

ris p

enda

nt les

vaca

nces

scola

ires)

jusqu

’au m

ois a

u co

urs d

uque

l l’en

fant a

tteint

ses 2

7 an

s.Au

cune

cond

ition

de re

ssou

rce n

’est e

xigée

.L’e

nfant

doit

être â

gé d

e plus

de 2

0 ans

et d

e moin

s de 2

7 ans

, avo

irun

taux

d’in

capa

cité s

upéri

eur o

u ég

al à 5

0 % o

u êtr

e atte

int d

’une

malad

ie ch

roniq

ue.

L’allo

catio

n n’e

st pa

s cu

mulab

le av

ec l’

alloc

ation

com

pens

atrice

et

l’allo

catio

n au

x ad

ultes

han

dicap

és.

Texte

de

référe

nce

PIM: c

ircula

ire n

o19

31 d

u 15

juin

1998

.

Séjou

rs en

cen

tre d

e va

canc

essp

écial

isé p

our e

nfants

han

di-ca

pés.

Âge:

auc

une

cond

ition

d’âge

n’est

exigé

e: l’e

nfant

peut

être

majeu

r.Au

cune

con

dition

de

resso

urce

n’est

exigé

e.

Subv

entio

n PIM

: 20,0

1 €

.La

pres

tation

est

servi

e da

ns la

limi

te de

45

jours

par a

n.Âg

e: au

cune

cond

ition

d’âge

n’es

t exig

ée: l’

enfan

t peu

t être

maje

ur.

Aucu

ne co

nditio

n de

ress

ource

n’es

t exig

ée.

Enfan

ts qu

i eu é

gard

à leu

r tau

x d’in

capa

cité (

50 %

au m

oins)

ouvre

ntdr

oit à

l’all

ocati

on d

’éduc

ation

de

l’enfa

nt ha

ndica

pé (A

EEH)

.Je

unes

adu

ltes

à ch

arge

attein

ts d’u

n ha

ndica

p rec

onnu

com

me te

lpa

r la M

DPH

ou d

’une a

ffecti

on ch

roniq

ue. E

n ce

qui

conc

erne c

esde

rnier

s, il

est p

récisé

que

le v

ersem

ent d

e ce

tte p

restat

ion n

’est

pas

cond

itionn

é pa

r le

verse

ment

de l’

AEEH

ou

de l’

alloc

ation

comp

ensa

trice

.Te

xte d

e réf

érenc

e PIM

: circ

ulaire

no

1931

du

15 ju

in 19

98.

Loge

ment

Dema

nde

de lo

geme

nt so

cial.

Le m

inistè

re ne

disp

ose

pas d

e pa

rc de

loge

ment

socia

l en

prop

re.Le

s dos

siers

de de

mand

e de l

ogem

ents

sont

adres

sés à

la pr

éfectu

re.

Aide

au

nouv

eau

loge

men

t.Ge

stio

nnai

re A

C:

Isab

elle

RANN

OU, t

él.: 0

1-40-5

6-59-9

2,co

urrie

l: isa

belle

.rann

ou@

sante

.gouv

.fr.

Soum

is a

ux c

ondi

tions

de

resso

urce

s: q

uotie

nt fam

ilial.

Subv

entio

n PM

: 490

€.

La p

restat

ion e

st de

stiné

e à

comp

ense

r pa

rtiell

emen

t les

frai

sen

gagé

s à

l’occ

asion

d’un

cha

ngem

ent

de r

éside

nce

princ

ipale,

quel

qu’en

soit

le mo

tif.Le

s prin

cipes

reten

us so

nt:

La p

restat

ion es

t des

tinée

au ch

ange

ment

de ré

siden

ce p

rincip

ale d

el’a

gent.

Le m

ontan

t de

la p

restat

ion e

st for

faitai

re et

indép

enda

nt de

ladé

pens

e en

gagé

e, ma

is en

auc

un ca

s, il

ne p

eut ê

tre su

périe

ur à

cette

dép

ense

.L’a

ide p

eut ê

tre ve

rsée p

lusieu

rs foi

s dan

s l’an

née s

i l’ag

ent e

ffectu

eplu

sieur

s dém

énag

emen

ts.La

pres

tation

est

soum

ise a

u qu

otien

t fam

ilial,

déso

rmais

là a

ussi

dans

une

four

chett

e de

70

% à

130

%.

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MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 34.

. .

DO

MA

INE

Sd

’inte

rven

tio

nP

RE

ST

AT

ION

SC

ON

DIT

ION

SM

ON

TA

NT

SO

BS

ER

VA

TIO

NS

La d

eman

de d

’aide

dev

ra êtr

e dé

posé

e au

plus

tôt 2

mois

ava

nt le

chan

geme

nt de

résid

ence

si l

’agen

t est

en m

esur

e de

prés

enter

une

des

pièce

s jus

tifica

tives

dem

andé

es e

t au

plus

tard

dans

les

trois

mois

qui s

uiven

t l’em

ména

geme

nt.Te

xte d

e réf

érenc

e: lo

i 200

9-323

du

25 m

ars 2

009.

Loca

-pass

La g

aranti

e loc

a-pas

s, l’a

vanc

e«l

oca-p

ass»

s’ad

resse

nt au

xsa

lariés

d’un

e entr

epris

e priv

éeou

aux

jeu

nes

de m

oins

detre

nte a

ns e

n rec

herch

e ou

en

situa

tion

de 1

erem

ploi (

CDD,

CDI...

).

Mobil

i-pas

s:Vo

us d

evez

être

sala

rié d

’une

entre

prise

ass

ujettie

au

1 %

logem

ent.

Le m

ontan

t de

l’aide

(160

0 €

ou23

00 €)

est f

oncti

on de

s con

di-tio

ns d

e vo

tre d

émén

agem

ent

et de

certa

ins fr

ais e

ngag

és.

La g

aranti

e loc

a-pas

s:C’e

st un

eng

agem

ent

de 3

6 mo

is pr

is pa

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e-mail

àl’a

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ip@mf

p.fr.

Site

www.

mfps

ervice

s.fr.

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sens

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ACTE

;

Page 35: Santé, Protection sociale, Solidarité - N° 5 du 15 juin 2012solidarites-sante.gouv.fr/fichiers/bo/2012/12-05/ste_20120005_0100... · BO Santé – Protection sociale – Solidarité

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2012/5 du 15 juin 2012, Page 35.

. .

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aine

sens

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Le m

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ère.

Texte

de

référe

nce:

circ

ulaire

FP4

no

2121

et

2B 0

6-305

6 du

24 a

oût 2

006.

Texte

de

référe

nce:

circu

laire

B9 n

o09

-2182

.

Le q

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Gest

ionn

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: Is

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: 01-4

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riel:

isabe

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uv.fr

.

Le q

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bven

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Texte

de

référe

nce:

circu

laire

quoti

ent f

amilia

l de

mai 1

999.