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Session 3 Session 3 Théories et structuration des organisations,Théories et structuration des organisations,
nouvelles formes organisationnelles nouvelles formes organisationnelles et systèmes de travail à haute performanceet systèmes de travail à haute performance
Jean Lorrain Jean Lorrain
À partir d’une présentation montée parÀ partir d’une présentation montée par
Réal Jacob, professeur aux HECRéal Jacob, professeur aux HEC
DBA: 6830 DBA: 6830 Fondements organisationnelsFondements organisationnels
et humains de la gestionet humains de la gestion
Automne 2002Automne 2002
Réal Jacob, UQTR, 2000
DynamiqueDynamiqueRareté de Rareté de ressourcesressources
StabilitéStabilitéAbondance deAbondance de
ressourcesressources
OFFREOFFRE
Homogénéité Homogénéité SimplicitéSimplicité
Hétérogénéité Hétérogénéité ComplexitéComplexitéDEMANDEDEMANDE
Dictature de Dictature de
l l ’OFFRE:’OFFRE:quantité, contrôle,quantité, contrôle,standardisationstandardisation
Démocratie de la Démocratie de la
DEMANDEDEMANDE: : coût, qualité, temps,VA, coût, qualité, temps,VA,
personnalisation personnalisation
Réal Jacob, UQTR, 2000
Des tendances émergentesDes tendances émergentes
• De l'organisation services à l'organisation CLIENTCLIENT
• De l'organisation château à l'organisation RÉSEAURÉSEAU
• De l'organisation réelle à l'organisation VIRTUELLEVIRTUELLE
• De l'organisation fermée à l'organisation COMPARÉECOMPARÉE
• De l'organisation suffisante à l'organisation APPRENANTEAPPRENANTE
Réal Jacob, UQTR, 2000
la PME« apprenante »
la PME« transformée »
la PME« internationale »
la PME« étendue »
Gestion de lachaîne de valeur etnouvelles formesd ’organisation
Gestion desNTIC/SI etcommerceélectronique
Gestion del’innovation etde laconnaissance
Gestion de lacommercialisationinternationale etglobale
A B
C D
la PME
compétitive
Les PME en mutationLes PME en mutationtransformée, étendue, internationale, apprenantetransformée, étendue, internationale, apprenante
Source: Programme de veille stratégique sur les PME - INRPME/UQTR-DEC, 1999.
Réal JacobJocelyn Perreault
Yvon Bigras Louis Raymond
Réal Jacob, UQTR, 2000
DynamiqueDynamiqueRareté de Rareté de ressourcesressources
StabilitéStabilitéAbondance deAbondance de
ressourcesressources
OFFREOFFRE
Homogénéité Homogénéité SimplicitéSimplicité
Hétérogénéité Hétérogénéité ComplexitéComplexitéDEMANDEDEMANDE
L'organisation L'organisation SUFFISANTESUFFISANTE
Vers l'organisationVers l'organisation
APPRENANTEAPPRENANTE
Réal Jacob, UQTR, 2000
Avantage compétitif, savoirs et apprentissageAvantage compétitif, savoirs et apprentissage• PerspectivePerspective: avantage concurrentiel = création et valorisation
des savoirs à la base de l ’innovation continue de produits et de procédés; perspective de Pfeffer «Enacted organization» (ex: travaux de Hamel, G., Prahalad, C.K. (1995). La conquête du futur. Stratégies audacieuses pour prendre en main le devenir de votre secteur et créer les marchés de demain. Paris: InterÉditions, Montréal: Éditions du Renouveau Pédagogique (traduction: Competing for the Future. Breakthrough Strategies for Seizing Control of Your Industry and Creating the Markets of Tomorrow, 1994: Harvard Business School Press; travaux de Drucker, P. (1993) Post Capitalist Society. Oxford: Butterworth; Newsweek, 14 juin 1993; Julien e Jacob, 1997 et 1999: liste de référence).
• ProcessusProcessus: Savoirs individuels et processus de création et de transformation des savoirs individuels en savoirs collectifs (1+1 = 3) (ex: travaux de Nonaka et Takeuchi)
• ActionAction: Leviers à la base de l ’organisaiton apprenante (ex: travaux de Senge, P. (1990). The Fifth Discipline: The Art and Practice of the Learning Organization. New-York: Doubleday Currency).
Réal Jacob, UQTR, 2000
Les processusinformationnels
de gestion desconnaissances
Les processustransformationnels
de gestion desconnaissances
«Knowledge«Knowledge management»management»«Knowledge«Knowledge
management»management»
«Organizational learning»«Organizational learning»«Learning organization»«Learning organization»
«Organizational learning»«Organizational learning»«Learning organization»«Learning organization»
Réal Jacob, UQTR, 2000
De la donnée à l'intelligence de décisionDe la donnée à l'intelligence de décision
DonnéeDonnée
InformationInformation
ConnaissanceConnaissance
IntelligenceIntelligence
Source: BROUARD, F. “Trop de données, pas assez d'intelligence”. Idé, novembre 1999.Www.ide-mag.com/veilleur.htm
Réal Jacob, UQTR, 2000
Valorisation de l'information Valorisation de l'information par l'interactionpar l'interaction
Innovation de Procédé
Innovation de Produit
Séquentielle Interactive
InteractionProcessus Produit
Collectifs d'apprentissage
Tendance
Réal Jacob, UQTR, 2000
Une observation d'ensembleUne observation d'ensemble
“ “ Appliquer plus rapidement les connaissances au Appliquer plus rapidement les connaissances au travail à exécuter, accéder aux connaissances plus travail à exécuter, accéder aux connaissances plus rapidement, les mettre à la disposition de plus de rapidement, les mettre à la disposition de plus de personnes, les mettre à jour et les améliorer plus personnes, les mettre à jour et les améliorer plus aisément : voici des avantages appréciables qui aisément : voici des avantages appréciables qui indiquent que les connaissances doivent être indiquent que les connaissances doivent être considérées comme une ressource économique de considérées comme une ressource économique de plus en plus stratégique. Mais pour cela, il faut les plus en plus stratégique. Mais pour cela, il faut les gérer ” gérer ” (Benoît Guay, vice-président, Services en gestion de la (Benoît Guay, vice-président, Services en gestion de la connaissance, DMR).connaissance, DMR).
Réal Jacob, UQTR, 2000
Un échantillon de définitionsUn échantillon de définitions Knowledge management involves recognizing, documenting and
distributing explicit and tacit knowledge in order to improve organizational performance” (Rossett, 1999)
KM is the process of linking your company's knowledge to your business strategy, designing knowledge-supportive organizational structures, and breeding knowledge professionnals” (Tissen, Andriessen et Deprez, 1999)
KM is the process of knowledge capture, sharing, and reuse that organizations used to become more productive and allowed them to get closer to their customers” (Davenport, 1998)
Réal Jacob, UQTR, 2000
KM is most frequently associated with two types of activities; one is to document and appropriate individuals' knowledge and then disseminate it through such venues such as a company wide data-base; Km also includes activities that facilitate human exchanges using such tools as groupware, email and the internet (Bassi, 1997)
Knowledge management caters to the critical issues of organizational adaptation, survival and competence in face of increasingly discontinuous environmental change. Essentially, it embodies organizational processes that seek synergistic combination of data and information processing capacity of information technology, and the creative and innovative capacity of human beings (Malhotra, 1997)
Réal Jacob, UQTR, 2000
Les processusinformationnels
de gestion desconnaissances
L'exemple de la CSSTL'exemple de la CSST
InternetExtranetIntranet
L'exemple de la CSSTL'exemple de la CSST
InternetExtranetIntranet
Exemples:Travaux deDavenport,
Prusack, ZackRépérerCodifierDiffuser
Partager Actualiser
Exemples:Travaux deDavenport,
Prusack, ZackRépérerCodifierDiffuser
Partager Actualiser
Réal Jacob, UQTR, 2000
INTERNET CSST
Les citoyens du Québec
Les internautes du monde entier
Les personnes intéressées par la santé et la sécurité du travail
"Pour diffuser nos messages de santé et sécurité du travail""Pour diffuser nos messages de santé et sécurité du travail"
- Informations générales- Revue : Prévention au travail- Documentation sur la
prévention- Jeux-questionnaires sur la
prévention
- Formulaires (non complétés)- Pointeurs vers des sites d'intérêt- Ressources pour les travailleurs
accidentés- Correspondance non opérationnelle
Source: Pierre Rhéaume, Directeur général de la planification, Jean Drolet, responsable de l ’innovation. CSST, 1999
Réal Jacob, UQTR, 2000
EXTRANET CSST
"Pour collaborer avec nos partenaires""Pour collaborer avec nos partenaires"
Hôpitaux
CliniquesEntreprises
Institut de recherche
Régies régionales Associations sectoriellesetc.
- Transfert électronique de formulaires - Portraits de l'employeur et
du travailleur - Centres de documentation
- Répertoire toxicologique- Courrier électronique- Paiements électroniques- etc.
La majorité de ces applications font partie du projet duCOMMERCE ÉLECTRONIQUE
Source: Pierre Rhéaume, Directeur général de la planification, Jean Drolet, responsable de l ’innovation. CSST, 1999
Réal Jacob, UQTR, 2000
INTRANET CSST"Pour collaborer entre nous""Pour collaborer entre nous"
- Portrait du travailleur- Portrait de l'employeur- Dossiers du travailleur- Recueils de lois et
politiques
- Forums d'échangesPrévention
FinancementRéparation
- Sites d'expertise
Agents d'indemnisation Gestionnaires
Conseillers en réadaptationInspecteurs
Agents de financement
etc.
Source: Pierre Rhéaume, Directeur général de la planification, Jean Drolet, responsable de l ’innovation. CSST, 1999
Réal Jacob, UQTR, 2000
Les processustransformationnels
de gestion desconnaissancesUn regard à partir
des travaux de Nonaka et Takeuchi,
et Choo notamment
Un regard à partir des travaux
de Nonaka et Takeuchi, et Choo notamment
Réal Jacob, UQTR, 2000
Synthèses de Moingeon et Ramanantsoa et Synthèses de Moingeon et Ramanantsoa et Easterby-SmithEasterby-Smith
ViséeDESCRIPTIVE
Apprentissageorganisationnel
ViséePRESCRIPTIVE
Organisationapprenante
Organisation Individu/Groupe
Perspectives
PsychologiqueSociologique
Culture
Perspectives
ManagementStratégiqueProduction
Réal Jacob, UQTR, 2000
Savoirs individuels
ExplicitesTacites
Savoirs individuels
ExplicitesTacites
Processus (visée descriptive)
Processus (visée descriptive)
Nouveaux savoirs
collectifs
ExplicitesTacites
Nouveaux savoirs
collectifs
ExplicitesTacites
Stratégie et organisation: leviers de développement (visée prescriptive)Stratégie et organisation: leviers de développement (visée prescriptive)
Une synthèse des travaux de NonakaUne synthèse des travaux de Nonaka
Réal Jacob, UQTR, 2000
Les connaissances explicites et tacitesLes connaissances explicites et tacites
ExplicitesExplicites
O____________O____________F____________F____________O____________O____________C____________C____________O____________O____________
ExplicitesExplicites
O____________O____________F____________F____________O____________O____________C____________C____________O____________O____________
TacitesTacites
S____________S____________E____________E____________C____________C____________I___________I___________
TacitesTacites
S____________S____________E____________E____________C____________C____________I___________I___________
Réal Jacob, UQTR, 2000
IV
Connaissance tacite
(non structuré)
I
III
Connaissance explicite
(structuré)
II
Environnement
Focus
Com
ple
xité
Faible
Élevée
Opérationel Stratégique
Statique Dynamique
Source: Value-Based knowledge management, Tissen, Andriessen et Lekanne Deprez, 1999
Réal Jacob, UQTR, 2000
Une synthèse des travaux de NonakaUne synthèse des travaux de Nonaka
Savoirs individuels
ExplicitesTacites
Processus (visée descriptive)
Processus (visée descriptive)
Nouveaux savoirs
collectifs
ExplicitesTacites
Stratégie et organisation: Leviers de développement (visée prescriptive)
Ex: Travaux de Nonaka et Takeuchi• dialogue continue entre l ’explicite et l ’implicite via quatre modes de conversion des savoirs: socialisation, combinaison,intériorisation, extériorisation• processus de création de savoirs organisationnels collectifs• conditions théoriques favorisant la création de savoirs collectifs: intention,autonomie, fluctuation, chaos créatif, redondance, variété requise• le management milieu-haut-bas• l ’organisation «hypertexte»
Réal Jacob, UQTR, 2000
Un guide pour l'actionUn guide pour l'action
Savoirs individuels
ExplicitesTacites
Processus (visée descriptive)
Processus (visée descriptive)
Nouveaux savoirs
collectifs
ExplicitesTacites
Stratégie et organisation: Leviers de développement (visée prescriptive)
Réal Jacob, UQTR, 2000
Savoirs individuels
ExplicitesTacites
Processus (visée descriptive)
Processus (visée descriptive)
Nouveaux savoirs
collectifs
ExplicitesTacites
Stratégie et organisation: Leviers de développement (visée prescriptive)
Un guide pour l'actionUn guide pour l'action
Réal Jacob, UQTR, 2000
Types de veille stratégiquesTypes de veille stratégiques
Niveau Logique d'actiondominante
Critère clé Compétence clédominante
Veille compétitive
(accessibilité facile
à restreinte)
Surveiller Connexionà des
réseaux d'informationà signaux forts
Compétenceinformationnelle
Veillepré-compétitive
(accessibilité difficile)
Anticiper Connexion à desréseaux d'information
à signaux faibles
Compétenceinteractionnelle
(virtuelle ou relationnelle)
Réal Jacob, UQTR, 2000
La veille à la Chaire BombardierLa veille à la Chaire Bombardier
Études de caractérisation (information compétitive)
Séminaires d'études (information pré-compétitive)
Soutien individualisé (étude comparative en veille, développement de prototype)
Rencontre annuelle des fournisseurs (information compétitive)
Réal Jacob, UQTR, 2000
Savoirs individuels
ExplicitesTacites
Processus (visée descriptive)
Processus (visée descriptive)
Nouveaux savoirs
collectifs
ExplicitesTacites
Stratégie et organisation: Leviers de développement (visée prescriptive)
Un guide pour l'actionUn guide pour l'action
Réal Jacob, UQTR, 2000
Le syndrome du crocodile!Le syndrome du crocodile!( Bouteiller, 1997)( Bouteiller, 1997)
TempsTemps
Évolutiondes
organisations
Nouvelles exigences
Nouvelles exigences
Valeur ajoutée des compétences
Valeur ajoutée des compétences
Écart 1Écart 1 Écart 2Écart 2 Écart 3Écart 3
t1 t2 t3
QuelsQuelsleviers leviers
de dévelop-de dévelop-pement ?pement ?
Réal Jacob, UQTR, 2000
Des leviers de développementDes leviers de développement
• Formation qualifianteFormation qualifiante
• Formation continueFormation continue
• Formation juste-en-tempsFormation juste-en-temps
• Formation individualiséeFormation individualisée
Réal Jacob, UQTR, 2000
Intensification de l'investissement formationIntensification de l'investissement formation($ formation/masse salariale)($ formation/masse salariale)
%%
Ensemble des organisationsEnsemble des organisations
Organisations «leaders»Organisations «leaders»
Forum-étalonnage Forum-étalonnage concurrentielconcurrentiel
Source: Training & Development, 1998, n = 500
1,46
3,93
2,35
Réal Jacob, UQTR, 2000
ExempleExemple«Learning technologies»«Learning technologies»
Livraisonfixe
Livraisonsur mesure selon les besoins de l'apprenant
Spécifique
TEMPS
Méthodes classiques
«Learning Technologies»Ex: Centres virtuels d'apprentissage
Ex: Formation Internet
LIEU Peu importe
Réal Jacob, UQTR, 2000
Evolution des méthodes de formationEvolution des méthodes de formation
Salle de classeSalle de classe
«Learning technologies»«Learning technologies»
Autres méthodes Autres méthodes autoformationautoformation
Autres méthodesAutres méthodes
Source: Training and Development, 1999
1997 2000
78%L:77%
9%L:12%
7%L:7%
6%L: 4%
61%L: 58%
23%L:27%
10%L:11%
6%L: 5%
L: Leaders
Réal Jacob, UQTR, 2000
Quelles «learning technologies» à Quelles «learning technologies» à l'horizon 2000?l'horizon 2000?
Ensemble
Téléconférence Téléconférence
CD-ROMCD-ROM
InternetInternet
Système électronique Système électronique d ’aide à la d ’aide à la
performanceperformance
IntranetIntranet
Source: Training & Development, 1999
Leaders
62%
80%
58%
45%
70%
71%
93%
62%
57%
90%
Réal Jacob, UQTR, 2000
Formation et nouvelles technologies, Formation et nouvelles technologies, pourquoi: Le cas Bellpourquoi: Le cas Bell
Accès aux ressources nécessairesafin d’assurer un apprentissagesignificatif pour l’apprenant
“Granularité” des contenus de formation
Permet une formation “Juste en temps” quicrée un net avantagepour l’apprenant
Combine outils d’apprentissage etoutils de performance (au travail)
Économiquement rentable
Permet de capitaliser sur l’initiative de mise à niveau du parc informatique et deslogiciels de communication
Respect du rythmede l’apprenant
Coût
Nbre de participants
Légende:• Présentiel• Formation à distance sur Intranet / Internet
Flexibilité:• temps• distance / déplacements• styles d’apprentissage
Préparé par Michel Richer, Bell Canada, novembre 1998Source: Michel Richer, Direction formation, Bell Canada.
Réal Jacob, UQTR, 2000
Evolution du marché de la formation InternetEvolution du marché de la formation Internet
Source: Training and Development, 1999
19971997
19981998
19991999
20002000
20012001
20022002
197 millions
500 millions
900 millions
1,9 milliards
3,2 milliards
5,5 milliards
Réal Jacob, UQTR, 2000
Savoirs individuels
ExplicitesTacites
Processus (visée descriptive)
Processus (visée descriptive)
Nouveaux savoirs
collectifs
ExplicitesTacites
Stratégie et organisation: Leviers de développement (visée prescriptive)
Un guide pour l'actionUn guide pour l'action
Réal Jacob, UQTR, 2000
Une organisation du travail qualifianteUne organisation du travail qualifiante
Ensemble
Groupe de résolution de Groupe de résolution de problèmes, «task forces»problèmes, «task forces»
Groupe d'amélioration Groupe d'amélioration continuecontinue
Équipes de travail Équipes de travail responsabiliséesresponsabilisées
Source: Training & Development, 1999
55 %
55 %
28 %
Leaders
70 %
57 %
45 %
CoachingCoaching 65%65% 76%76%Source: Training & Development, 1999
Réal Jacob, UQTR, 2000
Exemple d'apprentissage par les pairs:Exemple d'apprentissage par les pairs:Le groupe de codéveloppement professionnelLe groupe de codéveloppement professionnel
Communauté de pratique qui réunit de quatre à huit personnes Communauté de pratique qui réunit de quatre à huit personnes qui veulent s’entraider pour apprendre les unes des autres afin qui veulent s’entraider pour apprendre les unes des autres afin de devenir plus efficaces. de devenir plus efficaces.
Ces personnes se donnent des moyens pour apprendre par la Ces personnes se donnent des moyens pour apprendre par la réflexion et par l’échange réguliers sur des préoccupations réflexion et par l’échange réguliers sur des préoccupations professionnelles vécues actuellement par les participants professionnelles vécues actuellement par les participants (projets, problèmes, enjeux). (projets, problèmes, enjeux).
Un des moyens privilégiés est un exercice structuré de Un des moyens privilégiés est un exercice structuré de consultation où, dans une perspective de recherche conjointe, consultation où, dans une perspective de recherche conjointe, les participants échangent afin d'enrichir leur compréhension et les participants échangent afin d'enrichir leur compréhension et d'élargir leur capacité d’action.d'élargir leur capacité d’action.
Source: Payette, A., Champagne, C. Le groupe de co-développement.2000
Réal Jacob, UQTR, 2000
Un contexte de travail facilitantUn contexte de travail facilitant
• Attentes de la main-d'œuvre active au Attentes de la main-d'œuvre active au Canada et au Québec - 1998 . Sondage Canada et au Québec - 1998 . Sondage CROP, 1999 CROP, 1999 (www.rhri.org/5_5.htm)(www.rhri.org/5_5.htm)
• Les attentes des nouveaux travailleurs en Les attentes des nouveaux travailleurs en contexte nord-américain (www.spherion.com)contexte nord-américain (www.spherion.com)
Réal Jacob, UQTR, 2000
Savoirs individuels
ExplicitesTacites
Processus (visée descriptive)
Processus (visée descriptive)
Nouveaux savoirs
collectifs
ExplicitesTacites
Stratégie et organisation: Leviers de développement (visée prescriptive)
Un guide pour l'actionUn guide pour l'action
Réal Jacob, UQTR, 2000
Un outil de «benchmarking» convivial, Un outil de «benchmarking» convivial, complet, développé uniquement pour les complet, développé uniquement pour les
PMEPMEPlusieurs centaines de variables sur base Plusieurs centaines de variables sur base
de données informatisées regroupées de données informatisées regroupées sous diverses thématiquessous diverses thématiques
Un partenariat Groupement des chefs Un partenariat Groupement des chefs d'entreprise du Québec, INRPME-UQTRd'entreprise du Québec, INRPME-UQTR
Réal Jacob, UQTR, 2000
Exemple de Exemple de contenucontenu
La page pour la La page pour la fonction GESTION et fonction GESTION et
CONTRÔLE de CONTRÔLE de l’entreprisel’entreprise
Pratiques de gestion
Commentaires
Liens entre les pratiques et les résultats
Résultats
Réal Jacob, UQTR, 2000
Une synthèse stratégiqueUne synthèse stratégique
Réal Jacob, UQTR, 2000
Niveaux d'intégration des TIC
Informationnel
Innovation diffuseServices publics à valeur ajoutée
Processus transformationnels
Stratégie
Dimension structureorganisation du travail
alignement des pratiques de gestion
ExtériorisationCombinaison
Socialisation
Intériorisation
Dimension cultureconfiance, partage
Contexte:conditions
déterminantes
TransactionnelInteractionnel
Individuel
Collectif
Un cadre de référence générique sur la Un cadre de référence générique sur la transformation transformation
des services publicsau moyen des TIC: des services publicsau moyen des TIC: perspective de la gestion des connaissancesperspective de la gestion des connaissances
Réal Jacob, UQTR, 2000
Problème à résoudrepar un inspecteur
BD/C
Consultation des savoirs explicites codifiés dans
les bases de connaissances (ex: «pages jaunes expertises»
meilleures pratiques, solutions terrain...)
Consultation en ligne dessavoirs expérientiels des collègues
ex: Appel à tous
Connaissances organisées en
solutionpour le client
Analyse et synthèse de l'information
Si solution efficace, codificationet classification
dans la base de connaissances solutions terrain
La CSST: une organisation qui se transforme par La CSST: une organisation qui se transforme par l'exploitation de son propre savoirl'exploitation de son propre savoir
Réal Jacob, UQTR, 2000
DynamiqueDynamiqueRareté de Rareté de ressourcesressources
StabilitéStabilitéAbondance deAbondance de
ressourcesressources
OFFREOFFRE
Homogénéité Homogénéité SimplicitéSimplicité
Hétérogénéité Hétérogénéité ComplexitéComplexitéDEMANDEDEMANDE
L'organisation L'organisation SERVICESERVICE
Vers l'organisationVers l'organisation
CLIENTCLIENT
Réal Jacob, UQTR, 2000
Intégration par laIntégration par la stratégiestratégie
DifférenciationDifférenciationpar lespar les
produits/marchésproduits/marchésservices/clientsservices/clients
Horizontalité Horizontalité des services soutiendes services soutien
Unité de pensée: les besoins du CLIENTUnité de pensée: les besoins du CLIENT
PMPMSCSC
PMPMSCSC
PMPMSCSC
PMPMSCSC
D
SS
SS
Réal Jacob, UQTR, 2000
Quelques exemplesQuelques exemples
• Les reconfigurations par unités d'affaires Les reconfigurations par unités d'affaires dans le secteur privédans le secteur privé
• Les reconfigurations par programme-Les reconfigurations par programme-clientèle dans le secteur publicclientèle dans le secteur public
• Les reconfigurations déconcentrées et Les reconfigurations déconcentrées et décentralisées selon l'approche milieudécentralisées selon l'approche milieu
• Le guichet unique 7/24Le guichet unique 7/24
Réal Jacob, UQTR, 2000
DynamiqueDynamiqueRareté de Rareté de ressourcesressources
StabilitéStabilitéAbondance deAbondance de
ressourcesressources
OFFREOFFRE
Homogénéité Homogénéité SimplicitéSimplicité
Hétérogénéité Hétérogénéité ComplexitéComplexitéDEMANDEDEMANDE
L'organisation L'organisation CHÂTEAUCHÂTEAU
Vers l'organisationVers l'organisation
RÉSEAURÉSEAU
Réal Jacob, UQTR, 2000
Répondre ensemble à des besoins
Ministères
Associations sectorielles
Institutions d'enseignement
Entreprises
Régions
Fournisseurs
Centres de recherche
Besoins
Réal Jacob, UQTR, 2000
Ses fournisseurs Ses clientsLa PME
Flux de matières et flux d’informations
Achats
Marketing
Finances
GRH
Production
Logistique
DG
Forces de l’environnement
Défis pour les organisations
Chaîne de valeur
De la compétitivité individuelle
à lacompétitivité de la chaîne logistique
De la compétitivité individuelle
à lacompétitivité de la chaîne logistique
Réal Jacob, UQTR, 2000
HôpitalHôpital
État civil Ass. maladie Alloc.fam
Pour la naissanced ’un enfant
Pour la naissanced ’un enfant
L’Etat en réseauL’Etat en réseauL’Etat en réseauL’Etat en réseau
Source: Paradis, M. (1999). La mise en œuvre de l'inforoute gouvernementale.
Secrétariat aux inforoutes, Conseil du Trésor.
Réal Jacob, UQTR, 2000
Définition génériqueDéfinition générique
un groupe d’organisations autonomesautonomes
• coopérant durablementdurablement ensemble• à partir d’objectifs partagés en communpartagés en commun• en vue d ’utiliser de manière optimale et
complémentaire complémentaire les compétences distinctives et les ressources humaines, financières, technologiques et informationelles des partenaires
• en vue d ’offrir des produits / services à valeur valeur ajoutée en conformité avec les besoins des clientèlesajoutée en conformité avec les besoins des clientèles avec lesquelles ces organisations sont en transaction
Réal Jacob, UQTR, 2000
Différentes formes de réseauxDifférentes formes de réseaux
les réseaux stratégiquesles réseaux stratégiques (réseaux intégrés de services, alliances stratégiques R/D, exportation, formation de la main-d'œuvre, approvisionnement, etc.; co-entreprises; organisations intégrées en réseau dans une même chaîne de valeur, intégration en réseau synergique entre une firme-pivot et un réseau de sous-traitants)
Réal Jacob, UQTR, 2000
Réseau centralRéseau central
Réseau annexeRéseau annexe
Réseau annexeRéseau annexe
Réseau annexeRéseau annexe
Antennes
Antennesde veille
de veille
Antennes
Antennes
de veil
le
de veil
le
AntennesAntennesde veillede veille
Sous-traitant d'intelligenceSous-traitant d'intelligence(1er niveau)(1er niveau)
Sous-traitant de capacitéSous-traitant de capacitéou de spécialité (2e niveau)ou de spécialité (2e niveau)
Fournisseur ou membreFournisseur ou membred'un réseau annexéd'un réseau annexé
Firme-pivot
Réal Jacob, UQTR, 2000
Apprentissage qualifiant Compétitivité individuelle
Recherche d’excellence
Information structuranteVeille stratégique
NTIC
Information circulanteApprentissage de groupe
Échange de données informatisé
Technologies trans-organisationnelles
IVConcurrence/coopération
Apprentissage continuAutoformation
Rétroaction systématique
I II
III
Apprentissage collectifSynergie créatrice
Innovation
Apprentissage collectifSynergie créatrice
Innovation
JACOB, R., JULIEN, P.A., RAYMOND, L. Compétitivité, savoirs stratégiques et innovation: les leviers de l’apprentissage collectif en contexte de réseau. Gestion, vol. 22 (3), septembre, 93-100, 1997.
Réseaux stratégiques: 4 défisRéseaux stratégiques: 4 défis
Réal Jacob, UQTR, 2000
les réseaux d'apprentissageles réseaux d'apprentissage (ex: groupes de maillage - Cercle des chefs mailleurs du Québec; groupes de co-développement interentreprises; inter-sectoriels, sectoriels, territoriaux)
les réseaux d'informationles réseaux d'information (ex: réseaux de veille - cas des Réseaux d'information et de transfert du Mouvement de la qualité; ces réseaux - Secteur santé, Commerce de détail, Clientèle, Amélioration continue, Formation continue, Facilitateurs - sont alimentés par des comités conseils de recherche d'information)
Réal Jacob, UQTR, 2000
les réseaux virtuelsles réseaux virtuels (ex: groupes de collaboration à distance, communautés de pratique)
les réseaux territoriauxles réseaux territoriaux (ex: l'organisation du local en réseau)
les réseaux internesles réseaux internes (ex: l'organisation à base d'équipes)
Réal Jacob, UQTR, 2000
CRIM Conc.INRS
Laval
Poly HEC
ETS
Mtl
UQAM McGill
Sherb.
CRIM DMRCGI
Alis
Logis. Posit.
Télégl.
Ericsson
Bell Hydro
CAE
Synergie
CroissanceSource: Y. Sanssouci,Pdg
Réal Jacob, UQTR, 2000
DynamiqueDynamiqueRareté de Rareté de ressourcesressources
StabilitéStabilitéAbondance deAbondance de
ressourcesressources
OFFREOFFRE
Homogénéité Homogénéité SimplicitéSimplicité
Hétérogénéité Hétérogénéité ComplexitéComplexitéDEMANDEDEMANDE
L'organisation L'organisation RÉELLERÉELLE
Vers l'organisationVers l'organisation
VIRTUELLEVIRTUELLE
Réal Jacob, UQTR, 2000
Barnes & NobleBarnes & Noble
18731873
11 millions 11 millions pi.carréspi.carrés
Amazon.comAmazon.com
19951995
00
Des atomesDes atomes Aux «bits»Aux «bits»
Réal Jacob, UQTR, 2000
Information et connexionInformation et connexion
• 1 milliard de pages WEB1 milliard de pages WEB• 16 millions de sites avec nom de domaine16 millions de sites avec nom de domaine• 7 millions de millions de courriels en 19997 millions de millions de courriels en 1999• 205 millions d’internautes en 2000 soit une 205 millions d’internautes en 2000 soit une
augmentation de 800% depuis 1995augmentation de 800% depuis 1995• 35 millions de nouveaux branchés en 199935 millions de nouveaux branchés en 1999• 490 millions en 2002490 millions en 2002• 720 millions en 2005720 millions en 2005
Réal Jacob, UQTR, 2000
LES TIC ET LE LES TIC ET LE CITOYENCITOYEN
QUÉBEC CANADA ÉTATS-UNIS
18 % (1) 23 % (2) 25 % (99) (5)
29 % (1) 43,0 % (3) 45,0 % (99) (3)
10,6 % (7) 17 % (4) 28 % (99) (6)
(1) Enquête ScienTech, juin 1999(2) Statistique Canada, 1999(3) Computer industry almanach inc., (http://www.c-i-a.com/199902iu.html)
(4) Ekos Research associates, juin 1998. (5) The Yankee Group, 1999. (6) Intelliquest, 1999. (7) Institut de la Statistique du Québec, mai 1999
Internautes ayant déjà transigé avec le gouvernement par Internet
14,8 % (7)
Taux de branchement des ménages
% d’internautes / population totale
% des internautes ayant déjà acheté en ligne
Réal Jacob, UQTR, 2000
Entreprises et Internet/WEB au QuébecEntreprises et Internet/WEB au Québec Taux de
branchement1999
1995Établissements
informatisés
57%8%65%
(1)
Présence WEB 10-24 25-49 50-99 100+
33%
26%38%44%61%
SecteursServices professionnelsFabricationCommerce de grosFinances et assurancesTransportPrimaireConstructionCommerce de détail
93%70%69%66%63%63%61%40%
Secteurs - Présence WEBServices professionnelsFabricationCommerce de grosFinances et assurancesTransportPrimaireConstructionCommerce de détail
(1) Le commerce électronique. CEFRIO/IQ, 2000
71%53%54%91%65%30%32%57%
Réal Jacob, UQTR, 2000
Autre partenaire
La PME« étendue »
Marchés
Client/Donneurd’ordres
Fournisseur/Sous-traitant
Nature etqualité desliens entrela PME et sespartenairesd’affaires
Recherched’information etde solutions àl’extérieurde la PME
Relations
-banques-douanes-transporteurs-compétiteurs-gouvernements-centres derech.-consultants-autres
Relations
Frontières
Infrastructure de transactionset d’échanges d’informationavant, pendant et après vente
Infrastructure/gestion des TI/SIInfrastructure de support
ERPERPPlate-forme élec.Plate-forme élec.CollecticielCollecticielExtranetExtranetInternetInternetAgentsAgentsintelligents, etc.intelligents, etc.
L'entreprise «étendue»L'entreprise «étendue»
Source: Raymond, L., Menvielle, W. (2000). La PME «étendue»: Rapport de veille stratégique. Observatoire DEC / INRPME, Université du Québec à Trois-Rivières.
Réal Jacob, UQTR, 2000
Lieu
TempsStatut
Technologie
Travailvirtuelseul ou
en équipeFinalités
Performance
Qualité de vie au travail
Individuelles
Organisa-tionnelles
Sociétales
Environnement
Politiques publiques
Source: Programme Télétravail CEFRIO, chercheur intégrateur: R. Jacob.
IMPLICATIONS
Réal Jacob, UQTR, 2000
DynamiqueDynamiqueRareté de Rareté de ressourcesressources
StabilitéStabilitéAbondance deAbondance de
ressourcesressources
OFFREOFFRE
Homogénéité Homogénéité SimplicitéSimplicité
Hétérogénéité Hétérogénéité ComplexitéComplexitéDEMANDEDEMANDE
L'organisation L'organisation FERMÉEFERMÉE
Vers l'organisationVers l'organisation
COMPARÉECOMPARÉE
Réal Jacob, UQTR, 2000
Standards de performanceStandards de performance
• Normes de mesureNormes de mesure
• Exemples:Exemples:
– Normes ISONormes ISO
– Normes QSNormes QS
– Normes Six Normes Six SigmaSigma
• Étalonnage Étalonnage concurrentiel concurrentiel (benchmarking)(benchmarking)
– spécifiquespécifique
– générique (ex: générique (ex: pratiques pratiques exemplaires)exemplaires)
Réal Jacob, UQTR, 2000
Qu'est-ce que Six SigmaQu'est-ce que Six Sigma??
PhilosophyPhilosophy
• Belief that eliminating defects in products and processes is the best way to improve costs, cycle time, and customer satisfaction
MethodologyMethodology• Step-by-step cookbook
Metric and GoalMetric and Goal• 99.9997%• 3.4 Defects Per Million Opportunities
(DPMO)• Near-zero defects
ToolsTools• Basic analysis tools• Statistical tools
Séminaire fournisseur BBD et Chaire BBD
Réal Jacob, UQTR, 2000
• De s ACTIVITÉSDe s ACTIVITÉS • Aux RÉSULTATSAux RÉSULTATS
Cibles clairesCibles clairesRessourcesRessources
Autonomie de décisionAutonomie de décisionMesureMesure
ConséquencesConséquences
Cibles clairesCibles clairesRessourcesRessources
Autonomie de décisionAutonomie de décisionMesureMesure
ConséquencesConséquences
Vers l'imputabilitéVers l'imputabilité
Réal Jacob, UQTR, 2000
Trois enjeux stratégiquesTrois enjeux stratégiquesTrois enjeux stratégiquesTrois enjeux stratégiques
DynamiqueDynamique
StabilitéStabilité
OFFREOFFRE
Homogénéité Homogénéité SimplicitéSimplicité
Hétérogénéité Hétérogénéité ComplexitéComplexitéDEMANDEDEMANDE
Dictature de Dictature de
l l ’OFFRE:’OFFRE:
Démocratie de la Démocratie de la
DEMANDEDEMANDE: :
TRANSFORMATION
TRANSFORMATION
Réal Jacob, UQTR, 2000
Contexte : Conditions déterminantes
Processus : Phénomènes déterminants
Act
eurs
: E
njeu
x et
rôl
es d
éter
min
ants
Dém
arche d
e tran
sformation
Complexité de l’organisation
Pressions de l’environnement
Disponibilité des ressources
Niveau d’inertie (structure et culture)
Support des groupes externes
OrientationSensibilisation
HabilitationIntégration
Régénération
Haute direction
Champion(s)Équipe(s) porteuse(s)
Personnes touchées
Structure
Rythme
CiblesStratégiesPlan
Performance de l’organisation
Stratégie d’action
Une gestion stratégique du changementUne gestion stratégique du changement
Source: Rondeau, Alain. Numéro spécial de la revue Gestion, septembre 1999.
Réal Jacob, UQTR, 2000
DynamiqueDynamiqueRareté de Rareté de ressourcesressources
StabilitéStabilitéAbondance deAbondance de
ressourcesressources
OFFREOFFRE
Homogénéité Homogénéité SimplicitéSimplicité
Hétérogénéité Hétérogénéité ComplexitéComplexitéDEMANDEDEMANDE
Management Management TRANSACTIONNELTRANSACTIONNEL
Management Management TRANSFORMATIONNETRANSFORMATIONNE
LL
Un leadership renouveléUn leadership renouvelé
Réal Jacob, UQTR, 2000
• Ex: Travaux de Ex: Travaux de Kochan et OstermanKochan et Osterman
• Ex: Travaux de Dave Ex: Travaux de Dave UlrichUlrich
• Ex: Travaux sur les Ex: Travaux sur les «high performance «high performance work systems»work systems»
• NiveauxNiveaux
– StratégiqueStratégique– FonctionnelFonctionnel– Lieu de travailLieu de travail
L'alignement des pratiques de gestionL'alignement des pratiques de gestion
Réal Jacob, UQTR, 2000
Quelques sites internet commentésQuelques sites internet commentés• Strategic Road: un site qui vous fait naviguer à travers d’autres sites sur différentes thématiques en gestion avec plus de 15 000 liens.
– http://www.strategic-road.com/index.html
• Le carrefour du futur. Le site de Joel De Rosnay, un des sites les plus branchés sur ce qui s’en vient avec de nombreux liens avec d’autres sites qui s’intéressent à l’avenir des organisations.
– http://194.199.143.5/derosnay/index.html
• Site du Conseil du trésor sur les pratiques exemplaires. Pour se comparer…..
– http://www.tbs-sct.gc.ca/tb/iqe/bmrkg_f/indexf.html
• Programme du travail de Direction ressources humaines Canada. Informations sur la législation, les innovations en milieux, analyse interactive d’innovations de gestion dans plus de 200 conventions collectives, etc.
– http://labour-travail.hrdc-drhc.gc.ca/doc/lab-trav/fra/index.cfm
• World Economic Forum. À consulter pour les publications sur la nouvelle compétitivité
– http://www.weforum.org/
• L'Observatoire de l'administration publique
– http://enap.uquebec.ca/Observatoire. Pour être branché sur les nouveaux développements dans le monde public et para-public
• Center for Creative Leadership. Le centre le plus important au monde sur ce sujet.– http://www.ccl.org/learning.htm
• CEFRIO: Pour se tenir à jour sur le rôle des technologies de l’information au niveau de la transformation des organisations.
– http://www.cefrio.qc.ca
Réal Jacob, UQTR, 2000
• Le temps de l’incertitude : un site développé par un ancien cadre supérieur du monde public et qui aborde différentes thématiques en
gestion telles la tolérance à l’incertitude, la gestion de soi, la gestion du changement, le coaching, l’engagement du cadre, l’apprentissage,
etc.
– http://members.tripod.com/~marcaurele/
• A best bet for all your training development needs...TrainingSuperSite
– http://www.trainingsupersite.com
• L'Apprentissage Organisationnel, Infos, SOMMAIRE, Reseau d'Activites a Distance
– http://www.reseau.org/rad/approrga.htm
• Inforoute FTP. Le site le plus complet sur la formation professionnelle et technique au Québec.
– http://www.inforoutefpt.org/
• La plus grande librairie virtuelle au monde.
– http://www.amazon.com
• Une bibliothèque virtuelle sur la gestion des compétences. Plusieurs textes disponibles gratuitement en «Fulltext» http://www.brint.com/k
• KMWorld.com correspond à un site web spécialisé en gestion des connaissances.
• http://www.neteconomie.fr/. Pour mieux comprendre l'économie de l'information, de l'immatériel et des réseaux.
Réal Jacob, UQTR, 2000
• Les centres de veille concurrentielle mis sur pied par le MIC (Québec)
(www.upc.qc.ca/micst/science-techno/veille/veille1.html
• TBE The Benchmarking Exchange (Industry Week) (www.benchnet.com)
• American Productivity and Quality Center (www.apqc.org/)
• The InterAgency Benchmarking and best practices (agences gouvernementales) (www.va.gov/fedsbest/)
• Canada ’s Innovation and Quality Exchange (www.tbs-sct.gc.ca/tb/iqe/mnpgen.html)
• e-com.ic.gc.ca (Site d'Industrie Canada sur le commerce électronique)
• www.mmedium.com/commerce (Site de Multimédium sur le commerce électronique, les TIC et la veille
stratégique)
• www.institut.qc.ca (Site de l'Institut du commerce électronique)
Réal Jacob, UQTR, 2000
Quelques références pertinentes
• Cartier, M. (1999). Le nouveau contexte de la veille. Texte sur le site Multimédium. (www.mmedium.com)• Castells, M. The information society, vol.1: The rise of the network society. Oxford: Blackwell Publishers,
1996. Voir www.thechronicle.demon.co.uk/archive/castelss.htm• Choo, C.W. The knowing organization: how organizations use information to construct meaning, create
knowledge, and make decisions. New-York: Oxford University Press. 1998.• CEFRIO. 2B or not 2B. Revue Réseau du CEFRIO. Numéro spécial sur les affaires électroniques. Juin 2000.• CEFRIO. Le gestionnaire de demain. Revue Réseau du CEFRIO. Numéro spécial la transformation du rôle du
gestionnaire dans l'univers numérique. Janvier 2000.• Collins, T., Doorley, T.L. Les partenariats. Paris : InterÉditions, 1992.• Davenport, T. Prusack, L. Knowledge management Boston: Harvard Business School Press. 1998.• Doz, Y., Hamel, G. L'avantage des alliances. Paris: Dunod. 2000• Drucker, P. Management challenges for the 21st century. Harper Business. 1999. Traduit en français. Un
«must».• Jacob, R. La fonction formation et développement de la main-d'œuvre et l'innovation diffuse: quelques pistes
de réflexion et d'action. Relations Industrielles, vol. 54 (3), 473-489, 1999.• Jacob, R., Turcot, S. La PME “apprenante”: information, connaissance, interaction, intelligence. Rapport de
recherche commandité / veille stratégique. Observatoire DEC / INRPME-UQTR, 94 p., février 2000.
Réal Jacob, UQTR, 2000
• Jacob, R., Pariat, L. Gérer les connaissances, Un défi de la nouvelle compétitivité du 21 ième siècle: Information, connaissance, interaction, gestion des ressources humaines. Publication du CEFRIO, août, 2000.
• Julien, P.A., Raymond, L., Jacob, R., Ramangalahy, C. (1999). Types of technological scanning in manufacturing SMEs: an empirical analysis of patterns and determinants. Entrepreneurship and Regional Development, vol. 11, p. 281-300.
• Julien, P.A. L’entreprise partagée, en réseau. Gestion, vol. 19, 4, 1994.
• Kanter, R.M. Collaborative advantage, Harvard Business Review, july-august, 96-108, 1994.
• Le Boterf, G. Construire la compétence collective de l'entreprise. Gestion, vol. 22 (3), 82-85. 1997.
• Nonaka , I., Takeuchi, H. La connaissance créatrice: la dynamique de l'entreprise apprenante. Bruxelles: DeBoeck. 1998.
• Poulin, D., Montreuil, B., Gauvin, S. L’entreprise réseau : bâtir aujourd’hui l’organisation de demain. Montréal : Publi-Relais, 1994.
• Sérieyx, H., Azoulay. H. Face à la complexité, mettez du réseau dans vos pyramides Paris: Éditions Village Mondial. 1996.
• Tissen, R., Andriessen, D., Deprez, F.L. Value-based knowledge management: creating the 21st century company, knowledge intensive, people rich. Addison-Wesley. 1998.
• Zack, M. H. Managing codified knowledge. Sloan Management Review, summer, 45-58. 1999.
• NUMÉROS SPÉCIAUX DE GESTION
– Septembre 1995, vol. 20, no. 3: La gestion aujourd'hui. (sous la direction de L. Lapierre)
– Automne 2000, vol. 25, no 2: L'analyse comparative