no54

.frLe magazine de la ville

avril 2008

ElectionsFrançois

Commeinhesréélu à 52,92%

DémocratieLe nouveau visage

du conseil municipal

FormationSète à la pointe

des métiers de la mer

EnvironnementLa ville gère

ses eaux pluviales

Un seul gagnant : notre ville( é d i t o )

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e remercieles Sétoises et les Sétois qui ont, par leur vote, choisi de me reconduire à latête de notre ville de Sète pour undeuxième mandat. Une importantemobilisation citoyenne de 76% desinscrits qui s’est traduite par uneadhésion claire à notre projet, qui arecueilli quasiment 53% des suffra-ges. 11889 voix, soit 531 de plus quelors de ma première élec-

tion en 2001, alors que 4 candidatsavaient fait de moi, au 1er tour,leur adversaire principal, souventsans nuances. Mes remerciements vont égale-ment à toutes celles et tous ceuxqui, à mes côtés, se sont impliquésdans cette campagne pour expli-quer et recueillir l’adhésion de lapopulation autour de notre projet.Un projet ambitieux mais réaliste,d’autant plus crédible qu’il s’ap-puie sur un bilan concret, de nombreuses réali-sations qui ont amélioré notre qualité de vieainsi que l’attractivité de notre ville depuis2001. L’équipe que j’aurai l’honneur de conduire jus-qu’en 2014 s’est fixé pour but de poursuivre etamplifier le bel élan pris par Sète ces dernièresannées.

C’est une équipe profondémentrenouvelée, choisie pour sa diversi-té, ses compétences, ainsi que sadisponibilité et sa volonté à de ser-vir au mieux la population sétoise.Nous, élus, sommes à votre service.Même si cela nous impose d’im-portants sacrifices en termes de vieprivée, de repos ou de déplace-ments, c’est avec un grand bon-heur que nous avons choisi dedonner de notre temps et de notreénergie pour faire avancer la ville àlaquelle nous sommes si attachés.

Dans cette élection, iln’y a pas des“gagnants” et des “per-dants”. Nous ne som-mes pas dans unmatch de foot, volleyou water-polo. Cen’est pas la victoired’un camp ou d’unclan, d’un parti oud’une tendance poli-tique. Le gagnant, c’est l’em-

ploi dont la situation va continuerà s’améliorer dans notre ville, grâceau développement portuaire, ausoutien au tourisme et au commer-ce et à l’implantation à Sète denouvelles activités adaptées à notreépoque et notre territoire, en lienavec l’Agglomération, chargée du développe-

ment économique. Le gagnant, c’est le logement, qui va grâce àl’accélération de l’action entreprise trouver lesréponses adaptées au renchérissement du fon-cier, à la dégradation et à l’inadaptation de l’an-cien et au déficit de logements sociaux que nousavons commencé à combler. Le gagnant, c’est l’environnement qui se verramieux protégé, valorisé car il est ce que nousavons de plus précieux à Sète et autour du bas-sin de Thau. Le gagnant, c’est l’éducation qui conditionnetant le devenir de nos enfants, qui doivent trou-ver ici, dans tous les quartiers, les moyens d’en-seignement modernes dans un environnementadapté, favorisant aussi la formation profession-nelle et l’émergence à Sète d’un véritable pôleuniversitaire pour donner à nos jeunes lesmeilleures chances pour l’avenir. Le gagnant, c’est aussi le déplacement dansnotre ville à la configuration si particulière, oùcomportements, nouvelles réalisations et régle-mentation se complèteront pour que se dépla-cer cesse d’être une tracasserie quotidienne pourdes milliers d’entre nous. Le gagnant, c’est encore le sport, la culture, lesloisirs, tous ces facteurs d’épanouissement etd’enrichissement personnel qui s’enrichiront etseront toujours plus soutenus pour répondreaux besoins et aux attentes du plus grand nom-

bre, des tout petits à nos aînés.

Le gagnant, c’est notre ville de Sètedans son ensemble, les 43300Sétoises et Sétois décomptés audernier recensement partiel, quiétablit la vitalité retrouvée d’uneville qui avait vu sa populationrégresser entre 1990 et 2000.

J’ai dit souvent, au cours de lacampagne, que nous n’étions pasdans un combat “droite” contre“gauche” mais dans l’oppositionentre deux visions de la ville, quioffrait un choix clair aux Sétois. Pour la constitution de l’équipemunicipale, il n’y a eu aucunenégociation partisane, ni tractationsecrète. Comme je l’ai été tout aulong du premier mandat, jedemeure le garant d’une approchenon partisane des dossiers munici-paux, où seul doit primer l’intérêtgénéral. Si je ne renie en rien mon engage-ment personnel, les choix partisansn’ont jamais dicté ma conduite.L’équipe qui m’entoure, composéeen grande majorité de femmes etd’hommes non encartés à un parti,de toutes sensibilités, le montrebien. Hier, aujourd’hui commedemain. Je suis le maire de tous les

Sétois.

JC’est une équipeprofondément

renouvelée, choisiepour sa diversité,

ses compétences, ainsique sa disponibilité etsa volonté de servir aumieux la population

sétoise.

Dans cette élection,il n’y a pas des

“gagnants” et des“perdants”. Ce n’estpas la victoire d’uncamp ou d’un clan,d’un parti ou d’unetendance politique.

Les gagnants, ce sontl’emploi, le logement,

l’environnement,l’éducation, le dépla-cement et encore le

sport, la culture et lesloisirs. Le gagnant,

c’est notre ville de Sètedans son ensemble, les

43300 Sétoises etSétois décomptés audernier recensementpartiel, qui établitla vitalité retrouvéed’une ville qui avait

vu sa populationrégresser entre1990 et 2000.

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sUn maire et des élus de proximité, ouverts, àl’écoute, en particulier de celles et ceux qui ontle plus de mal à se faire entendre. Car la détres-se la plus grave est parfois la moins audible etvisible. Mon activité de médecin, grâce àlaquelle je conserve un autre typede contact avec la populationsétoise, m’a toujours fait privilégierl’écoute, la patience, le courageaussi, autant de qualités nécessairesà la bonne conduite des affairespubliques. Cette activité me per-met de ne pas me transformer enprofessionnel de la politique, car laseule chose qui m’anime dans cetteaventure est la passion de ma villeet la volonté d’œuvrer pour offrir le meilleuravenir possible à nosenfants. Je continuerai, et lesélu(e)s qui m’entou-rent feront de même,à pratiquer uneconcertation et undialogue actifs, baséssur le bon sens, latolérance et les faits,que je préfère auxeffets. J’espère êtreaidé en cela par uneopposition au conseilmunicipal qui semontre constructive,qui sache s’extrairedes positions de prin-cipe pour offrir auxSétoises et aux Sétois un débat argumenté etbasé, lui aussi, sur des faits et non des procèsd’intention ou des contre-vérités.

Riche de l’expérience d’un premier mandat,alors que, simple médecin issu de la société civi-le, je n’avais aucune expérience politique pré-alable avant 2001, je serai pour ce second man-dat mieux armé pour éviter les pièges qui, aucours du premier, ont pu faire perdre du tempssur certains dossiers ou générer un flottementsur d’autres. J’ai désormais une bonne connaissance dumonde des collectivités et de l’administration,une vision très précise du rôle de l’élu et desaléas de l’univers politique, au sein duquel jen’hésiterai pas à montrer mon indépendancelorsqu’il en va des intérêts des Sétois.

Le nouveau mandat de conseillergénéral du 1er canton que les élec-teurs m’ont confié renforcera cetteaction de proximité et me permet-tra aussi de mieux défendre lesintérêts de notre ville au sein duConseil général, collectivité auxattributions très étendues, qui gèreun budget extrêmement lourd depresque 1,5 milliard d’euros ayantun réel impact sur votre vie quoti-dienne, et notamment celle des personnes lesplus fragiles. Durant mon premier mandat, lesaides aux réalisations sétoises obtenues duDépartement avaient triplé par rapport à lapériode précédente. Je m’emploierai, comme

maire et comme Conseiller général, à améliorerle quotidien de tous les Sétois avec les outilsdont nous disposons, avec pragmatisme et sansjamais tomber dans l’opposition systématique. Le même pragmatisme et ouverture animeront

notre action avec tous les acteursqu’ils soient publics, privés, asso-ciatifs, toujours dans le but d’ou-vrir et développer notre ville poury améliorer les conditions de vie ety trouver les réponses appropriéespour satisfaire leurs attentes. De formidables perspectives s’ouv-rent pour Sète, mais nous dispo-sons déjà d’un parc important d’é-quipements qu’il faut entretenir,valoriser, rénover ou repenser par-

fois, mais ne jamais abandonner.

Disposant de moyens limités, et avec l’ambi-tion déterminée d’alléger enfin la pression fis-cale qui pése sur les Sétois, nous n’aurons pasl’obsession de “réaliser pour réaliser”. Il fautsatisfaire certains besoins, répondre au mieuxaux exigences du service public, et gérer aumieux l’existant. Mais éviter touteréalisation de prestige et obtenir,grâce à une action efficace auprèsde nos partenaires, le maximum definancements extérieurs. Fidèles à la ligne que nous avonstracée depuis 2001, le souci de labonne gestion de la ville afin de maintenir l’é-quilibre financier sera le fil conducteur de toutel’action municipale. Nous contiendrons autant que possible lesdépenses de fonctionnement de la ville et cible-

rons au mieux les investissementsen évitant toute précipitation. Ce souci de la bonne gestion nouspermettra de maintenir à un tauxélevé l’effort d’investissement pourla ville que nous avons considéra-blement accru au cours du 1ermandat par rapport à la périodeprécédente, à la grande satisfactiondes administrés. Pour mener à bien ces projets, jesais que nous pouvons compter sur

une administration efficace, des fonctionnairesqui ont une haute idée du service public et quiméritent d’être confortés dans leur rôle. Sansopérer de révolution dans cette administration,nous veillerons à une organisation optimale et

une permanente adaptation pour qu’elle répon-de au mieux à sa mission. Le service au publicdoit être irréprochable et s’ils doivent respectercelles et ceux qui l’incarnent, les citoyens-contribuables sont en droit d’être exigeantsquant à l’utilisation de l’argent public. Une exigence à laquelle nous, élus, devons enpermanence être attentifs, et qui doit se réper-cuter dans l’action de services municipauxmodernes et efficaces.

Chères Sétoises, chers Sétois, je sais que vousaimez votre ville autant que moi, et je vous ledis : pour peu que l’on s’en donne la peine, l’a-venir de notre ville est enthousiasmant. Vous avez, par votre vote, adhéré à un projet etaccordé votre confiance à une équipe pour lemettre en œuvre.

Comme je l’ai dit tout au long de la campagne,rien ne se fera d’un coup de baguette magique,rien ne se fera sans un effort conjoint de lamunicipalité et de la population pour répondreaux grands défis autour desquels j’ai axé monprogramme : se loger, trouver un travail, se

déplacer, protéger notre environ-nement, s’éduquer et se cultiver. Ensemble, nous répondrons à cesdéfis de la manière la plus efficaceet c’est pour cela, que, les électionspassées, nous devons être le plusrassemblés possible, ne laisser per-

sonne au bord de la route. Entre Sétois, ce qui nous unit est plus impor-tant que ce qui nous divise. Nous disposonsd’un cadre de vie exceptionnel, de riches tradi-tions et d’une culture vivante mais d’un envi-ronnement fragile, qui nous impose une disci-pline à toute épreuve, et parfois, une évolutiondans nos habitudes quotidiennes.

Il nous faut être lucides mais optimistes : sivous nous avez accordé votre confiance, c’estque vous croyez, comme nous, que notre villeest sur la bonne voie. Regardons l’avenir avecenthousiasme. Le chantier commence aujourd’hui, et je vousl’assure, avec vous tous, nous ferons en sorteque Sète, où il fait meilleur vivre aujourd’huiqu’hier, soit encore mieux demain.

François COMMEINHESVotre maire

Conseiller général du 1er canton

De formidablesperspectives s’ouvrent

pour Sète et jen’hésiterai pas àmontrer mon

indépendance lorsqu’ilen va de l’intérêt

des Sétois.

Je demeure le garantd’une approche nonpartisane des dossiersmunicipaux, où seuldoit primer l’intérêt

général. Je suisle maire de tous

les Sétois.

Ensemble,nous répondrons à

ces défis de la manièrela plus efficace.

Se logerAujourd’hui, de nombreux Sétois rencontrentdes difficultés pour se loger. Afin que chacunpuisse accéder au logement, lamunicipalité compte mettre enplace un plan d’action en trois voletsvisant à augmenter l’offre de loge-ment social, à rénover l’habitatancien et à contenir l’inflation fon-cière. En ce qui concerne le premier volet, l’ob-jectif est d’atteindre 20% de logements sociaux,au travers notamment du réaménagement desentrées Est et Ouest de la ville et grâce à une

action dynamique auprès des promoteurs.L’office public d’HLM développera l’accession àla propriété, ce qui permettra de relancer de nou-

veaux programmes. Il veillera àaméliorer le taux de rotation deslogements et à ce qu’ils correspon-dent mieux aux besoins. La réhabili-tation du patrimoine immobilierexistant constitue le deuxième volet.

La réhabilitation de l’habitat indigne, déjà bienentamée lors de la première mandature grâce auProgramme de Rénovation Urbaine, sera pour-suivie et permettra de remettre des logements sur

le marché. Quant au troisième volet, il consiste àmettre en place de nouveaux programmes rési-dentiels pour maîtriser l’inflation immobilière.Le développement des entrées Est et Ouest per-mettra d’y réaliser des constructions à la foisrespectueuses de l’environnement et inscritesdans l’identité insulaire sétoise. Elles iront au-delà de l’obligation réglementaire en termes delogements sociaux. Enfin, une conférence perma-nente sur le logement associant collectivités terri-toriales, organismes publics et privés, institutionsfinancières, associations de consommateurs,agences immobilières etc. sera mise en place trèsrapidement afin d’aider chacun à trouver à Sètedes solutions de logement adaptées à ses moyenset à ses besoins.

FRANÇOIS COMMEINHES ET SES 38 COLISTIERS ONT BÂTI UN PROGRAMMECONCRET ET TRÈS PRÉCIS QUI S’ARTICULE AUTOUR DE SIX GRANDS AXES : SELOGER, TROUVER UN EMPLOI, S’ÉDUQUER, SE DÉPLACER, PROTÉGER L’ENVIRON-NEMENT, SE CULTIVER ET SE DIVERTIR. TOUR D’HORIZON DE CES SIX GRANDSDÉFIS QUI SONT LA CLEF D’UNE MEILLEURE QUALITÉ DE VIE.

Une conférence permanente sur le

logement sera mise enplace très rapidement.

François Commeinhes MaireMédecin gynécologue, 58 ans.Lors des dernières élections muni-cipales, les Sétoises et les Sétois ontà nouveau accordé leur confianceà François Commeinhes pour pré-sider aux destinées de Sète.Médecin gynécologue, PDG de laclinique Sainte-Thérèse, ce père defamille de deux enfants (28 et 33

ans) est animé d'unevéritable ambitionpour sa ville. Ouvertd’esprit et pragma-tique, féru de joutes,arts plastiques et viti-culture, FrançoisCommeinhes a suorienter Sète vers lemonde extérieur pourmieux mettre envaleur ses traditions et

son art de vivre. C’est sur cet élanretrouvé qu’il entend poursuivreson action. Ce deuxième mandatva permettre de consolider les basesposées pour que la ville de Sèteaille de l’avant afin de mieux s’yloger, y trouver un emploi, s’ydéplacer, se cultiver et se distraire,s’éduquer et protéger notre envi-ronnement, afin de garantir l’ave-nir des générations futures.

Antoine de Rinaldo Ancien cadre supérieur bancaire,71 ans. Homme de conviction, soucieux del’intérêt général, Antoine deRinaldo est le concepteur de la poli-tique des 3 C, considération,concertation et communication.Fidèle à une maxime “servir, ne passe servir”, il a permis à la ville deretrouver sa capacité d’autofinance-ment. Il sera en charge des financeset marchés publics et supervisera lesprogramme de travaux neufs etd’entretien de la voirie communale.

Laurence MagneProfesseur agrégé d’économie-ges-tion, 42 ans. Cette enseignante sétoise faitpreuve d’un dynamisme à touteépreuve. Férue de tennis, de motoet de ski, elle est aussi passionnéede joutes. Optimiste et enthousias-te par nature, elle mettra à profitses connaissances pointues en éco-nomie pour intervenir en faveurdu développement économique dela ville. Elle aura aussi en chargele commerce, l’artisanat et lesmarchés et s’occupera de tout cequi concerne l’enseignement supé-rieur.

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Emile Anfosso Directeur de l’OPHLM, 57 ans. Originaire du quartier haut, EmileAnfosso a passé 4 ans dans la Marinemarchande avant de devenir, en 1978,directeur de l’OPHLM. Rigoureux ges-tionnaire au sens du managementincontesté, il est aussi le président duFC Sète. Il voue au football comme àson métier, la même passion restéeintacte au fil des ans. Il mettra à profitson expérience dans le domaine l’habi-tat et du logement et sera aussi chargédes travaux neufs et de l’entretien et lagestion des bâtiments communaux.

Pierrette Roucoulet Fonctionnaire territoriale, 47 ans. Directrice pendant dix ans de laMaison des loisirs de l’Île de Thau,Pierrette Roucoulet est très investiedans le secteur social, notammentauprès des jeunes. Première élue àla condition féminine de Sète, ellecontinuera à mettre ses initiativeset sa ténacité au service de toutesles femmes et notamment celles endifficulté. Sportive et passionnéed’art, elle sera également chargéedu secteur jeunesse et des activitéspériscolaires.

Jocelyne Cassany Retraitée de l’enseignement, 58 ans. Née en Algérie, Jocelyne Cassanyest arrivée à Sète en 1963.Mariée, mère de deux enfants, ellea le caractère d’une battante quiaime aller au bout de ses projets.Passionnée par les voyages, la lit-térature. Cette ancienne directriced’école aura en charge l’enseigne-ment public primaire et secondai-re ainsi que la restauration collec-tive.

Francis HernandezAdministratif, 49 ans.En tant qu’élu au tourisme, il acontribué au classement quatre étoi-les de l’office de tourisme de Sète. Deformation hôtelière, directeur devillages de vacances et de complexeshôteliers, Francis Hernandez a aussiété président du syndicat des profes-sionnels de l'industrie hôtelière. Cetancien restaurateur à l’enthousias-me communicatif mettra à profitson expérience pour s’investir enfaveur de son domaine de prédilec-tion, le tourisme bien sûr.

10 adjoints au plus près des sétois

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Trouver un emploiLa nouvelle municipalité a fait de l’accès à l’em-ploi l’une de ses priorités, avec comme objectif defaire retomber les chiffres du chômage au-des-sous de la moyenne nationale. “L’emploi nedépend pas directement de la ville, mais les éluspeuvent créer les conditions propices à son dévelop-pement”, a expliqué le maire, qui entend valoriserles atouts de la ville. Ainsi, le développement etla réorganisation du port, en concertation avec le

Conseil régional, seront au centredu mandat. Tout d’abord, la plai-sance, du fait des retombées écono-miques qu’elle engendre, se verraoctroyer une place beaucoup plusimportante. Un port en eau profon-

de sera créé dans un second temps et la pêche,qui doit trouver des conditions d’exercice dignesdu 1er port de Méditerranée, sera elle aussi réor-ganisée. Le gisement d’emplois existant autour

du pôle constitué par Ifremer, l’IUT, le lycée dela Mer et la Station biologique de la Plagette (lireaussi p.14) sera exploité et développé. Dans unautre secteur, la dynamisation du commerce, quipasse par la requalification du centre-ville, serapoursuivie. Un centre d’accueil des croisières -palais des congrès sera également créé afin derépondre aux besoins du secteur. Un secteur quicontinuera lui aussi d’être valorisé au travers d’ac-tions de promotion des produits du terroir et dedifférentes manifestations. EduquerL’éducation et la formation seront au cœur des pré-occupations municipales. Un programme d’inves-tissement pluriannuel sera mis en place pour équi-per et moderniser les écoles maternelles et primairesde la ville. De même, une nouvelle école sera cons-truite et l’extension des places en crèche sera pour-suivie afin de répondre aux besoins de la populationet d’anticiper le développement des quartiers Ouest

de la ville. La semaine de quatre jours sera étendueà toutes les écoles et, parallèlement, la ville élargirason offre d’activités culturelles, sportives et de loisirsdestinées aux enfants. Dans le même esprit, unenouvelle ludothèque sera créée à l’île de Thau. Dansle domaine de l’enseignement supérieur et de la for-mation professionnelle, la municipalité s’impliqueradavantage encore dans le fonctionnement du CFA.La création d’un pôle universitaire d’excellence dansle domaine halieutique, pour faire de Sète “une réfé-rence, du conchyliculteur au chercheur international”,s’inscrira dans le prolongement du partenariat initiédepuis 3 ans avec la Chambre de Commerce, laVille et l’Institut d’Administration des Entreprisesde Perpignan pour la mise en place d’un mastermaritime. Des résidences étudiantes seront créées.Enfin, pour que la formation ne soit pas l’apanagedes plus jeunes, l’université du temps libre, créée en2001 conformément aux promesses électorales deFrançois Commeinhes, sera confortée.

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Jean-Marie Taillade Kinésithérapeute, retraité, 67 ans. Jean-Marie Taillade n’a pasattendu l’âge des loisirs pours’investir dans la vie associati-ve. Ce touche-à-tout a été à lafois volleyeur à l’Arago, prési-dent du Lion’s club et jouteur àla Jeune lance sétoise.Passionné de musique, il auraen charge la coordination desanimations festives et culturel-les ainsi que des cérémoniesofficielles. Il sera égalementchargé de défendre la langueoccitane et s’occupera de l’écolela Calandretta.

Jean-Claude Gros Ingénieur à la retraite, 65 ans .Jean-Claude Gros n’est pas né àSète mais à Conakry en Guinée.Le retour sur l’île singulière, àl’âge d’un an, a été son premiervoyage. Elu en 2001 à la propretéet à l’environnement, cet ancieningénieur va pouvoir poursuivrele travail accompli dans le cadrede sa délégation car il sera chargéde la propreté et de la qualitéurbaine. Il interviendra égale-ment dans le domaine de l’eau,des transports et des risquesmajeurs et gèrera le parc auto et legarage.

Marie-Ange Molinier-LiguoriSecrétaire de direction, 60 ans. Femme de contact et de dialogue,Marie-Ange Molinier- Liguori atissé des liens étroits avec les repré-sentants associatifs et les comités dequartier. Fonceuse et passionnée,cette Italienne de souche mettra ànouveau son dynamisme au servi-ce de la vie des quartiers, desjumelages, des associations d’usa-gers et des projets associatifs. Elleaura aussi en charge tout ce quiconcerne la population, les élec-tions, l’accueil de la mairie et desmairies annexes.

Colette Pouzoulet Retraité, 68 ans. Ancienne aide-comptable, ColettePouzoulet a le sens de la perfec-tion. Mère de trois enfants etgrand-mère de six petits- enfants,elle est passionnée de peinture, delecture et de théâtre. Curieuse aubon sens du terme, elle aime allerau bout des choses. Enrichie parson expérience précédente en tantqu’élue, elle s’investira à nouveausans compter pour faire progresserle secteur de la solidarité en étantau plus près des gens et de leurspréoccupations.

Un plan pluriannuelsera mis en place pouréquiper et moderniser

les écoles.

Elyane Albano Femme au foyer, 61 ans. Née à Carcassonne, Elyane Albanoest arrivée à Sète en 1971 pour pren-dre la gérance d’un commerce.F e m m ede dialo-gue, elle aé g a l e -ment sumettre àprofit ses qualités relationnelles entant qu’assistante de directeur des res-sources humaines. Pragmatique, àl’écoute, à la fois discrète et enjouée,elle est prête à s’investir sans compterpour le monde des joutes nautiqueset ses représentants. Elle sera égale-ment en charge des Pompes funèbres.

Blandine Evrard-Authié Professeur des écoles, 50 ans. Mère de deux enfants de 18 et 21ans, cette enseignante sétoise a le goûtdu savoir qui sied à sa profession etl’esprit d’équipe qui caractérise toutamateur de sport collectif. D’undynamisme à toute épreuve, elle saits’investir sans compter pour les jeunesgénérations. Cette mère de famille ded e u xe n f a n t smettra àprofit sonexpérien-ce et songoût pour le travail en équipe au ser-vice de l’enseignement privé primai-re et secondaire. Elle s’investira égale-ment dans le domaine du sport.

Gérard Bastide Professeur agrégé de géographie,61 ans. Sétois, filsde dockeret de res-t a u r a -t e u r ,Gérard Bastide a connu l’ambianceanimée du quai de la Marine avantde rejoindre celle, plus studieuse, dessalles de classe. Il reçoit en 2005 lahaute distinction des Palmes acadé-miques. Sensible à la bravoure deceux qui ont donné leur vie pour laFrance, il a également permis à denombreux élèves de remporter leconcours de la Résistance. Il s’occupe-ra de l’enseignement professionnelainsi que des Anciens combattants etvictimes de guerre.

Michel Bodart Biologiste, 46 ans. D’origine belge et sicilienne,Michel Bodart a passé plus detemps à Sète que partout ailleurs.In s ta l l éd e p u i s92 sur lapresqu’î-le, il s’yadonne àsa passion : la voile. Par son métierd’analyste agroalimentaire, il estparticulièrement sensibilisé auxenjeux environnementaux. Ausein de la nouvelle équipe munici-pale, il sera chargé de la forma-tion, de l’hygiène et de la sécurité.Il s’occupera donc de la policemunicipale, du centre superviseururbain et de la commission localede sécurité.

Des élus tous les jours à vos côtés

Se déplacerLa nouvelle équipe municipale propose plusieursprojets d’envergure inscrits dans le respect del’environnement et tirant le meilleur profit ducontexte géographique afin que les habitants dela ville puissent circuler plus librement et plusproprement. En effet, la circulation à Sète estaujourd’hui un véritable casse-tête. Son améliora-tion passe nécessairement par la réduction de laplace de la voiture, donc par un effort collectif etune évolution des comportements.Déjà initiée sous la première man-dature, l’utilisation des modes decirculation douce, c’est-à-dire lesvoies piétonnes et cyclables, sera pri-vilégiée dans l’ensemble des aména-gements urbains. L’amélioration dela circulation en ville passera par lacréation de nouvelles poches de stationnement,l’aménagement d’aires de délestage aux entrées deville et la lutte contre les voitures ventouses. Un

nouveau dispositif de tarification permettra d’a-méliorer la rotation des véhicules afin de renfor-cer le commerce de proximité. Un parking sou-terrain sera aménagé en face du théâtre Molière,permettant à la fois de rendre leur place aux ter-rasses et piétons sur l’avenue Victor-Hugo et dedesservir le nouveau centre administratif munici-pal qui sera implanté dans les locaux de l’anciencollège. Un pôle multimodal, situé près de lagare, deviendra la station centrale des transports

en commun sétois, tirant profit dela situation privilégiée de la ville enmatière de desserte portuaire, ferro-viaire et routière. Les canaux seronteux aussi valorisés par la mise enplace d’un système de navettes mari-times, un moyen de déplacementoriginal et attractif.

Protéger l’environnementAfin de faire de la préservation du patrimoinenaturel du bassin de Thau le fil conducteur de

chacun des projets municipaux, la nouvellemunicipalité a créé une délégation élargie ettransversale pour veiller à ce que toutes les déci-sions soient prises à l’aune de leur impact envi-ronnemental. De nombreuses mesures serontmises en place, comme le remplacement progres-sif du parc automobile public par une flotte devéhicules propres. L’accent sera mis sur la gestiondes déchets, avec la création d’une brigade verte,chargée d’informer les gens sur les heures deramassage et le tri sélectif, et la pénalisationfinancière des infractions répétées. Ceci afin defavoriser le développement des comportementséco-responsables. Toutes les constructionspubliques seront soumises aux normes HQE etle photovoltaïque sera privilégié, notammentdans les constructions HLM, conformément à cequi a été initié au cours du premier mandat deFrançois Commeinhes. La valorisation du patri-moine naturel passera par la création de circuitsde découverte, ainsi que par la modification du

Marion Devineau Agent commercial, 50 ans. D’origine sétoise, MarionDevineau est une passionnée denature, de sport de plein air et derandon-née enm o n t a -g n e .Ferventemilitanteécologiste, cette femme enjouée n’ade cesse de parcourir la ville àvélo. L’esprit d’initiative chevilléau corps, elle s’occupera des espacesverts et des parcs et jardins. Elleaura également en charge la pro-tection de l’environnement et leséconomies d’énergie.

Abdelkader Bouallaga Intermittent du spectacle, 29 ans. Né en Algérie, Kader Bouallaga estarrivé à Sète en 1982. Marié et père

de familled’un gar-çon de sixans, il aété dan-

seur hip hop avant d’être repérépour travailler sur le film d’AbdelKéchiche “La Graine et le Mulet” entant qu’assistant régisseur. Ancienanimateur socio-culturel de la mai-son de quartier, devenu intermittentdu spectacle, Kader Bouallaga serachargé d’assister Jean-Marie Tailladedans la coordination des animationsfestives et culturelles.

Josette Faura Retraitée, 60 ans. Passion-née parla pein-ture et lesvoyages,J o s e t t e

Faura a travaillé pendant long-temps aux archives municipales dela Ville de Sète. Cette passionnéed’histoire y a assouvi sa soif de cul-ture et de savoir. Au sein de lanouvelle équipe municipale,Josette Faura sera chargée de s’oc-cuper du personnel communal etdes relations sociales.

Delphine Le Sausse Pharmacienne, 32 ans Double championne du monde deski nautique handisport et champ-ionne de France de ski alpin,DelphineLe Saussea forgéson par-c o u r s ,t a n tsportif que professionnel, à force decourage et de volonté. Amoureusede sa ville, elle s’investira dans le

domaine sportif et sera égalementchargée de la circulation et du sta-tionnement ainsi que de la dématé-rialisation des procédures et de lamise en place d’un guichet uniquedes services à la population.

Armand Formato Ancien négociant automobile, 65 ans.Ce Sétois de souche et de cœur ae f f ec tué37 ans decarrièred a n sl’automo-b i l e .Marié et père de famille, ArmandFormato aime donner du plaisir auxgens, les sortir de leur solitude. Parcequ’il sait être présent et à l’écoute, ilsera chargé au sein de la nouvelleéquipe municipale de l’animationen direction des personnes âgées.

Moussa Naïm Médecin anesthétiste-réanimateurretraité, 73 ans. M o u s s aNaïm estoriginai-re de l’ÎleMaurice.Il n’y adonc rien d’étonnant à ce que sapremière passion soit la pêche, laseconde étant le football. Cetancien médecin veille sur la santédes joueurs du FC Sète depuis1970. Sa profession l’a conduit àfaire de la pondération sa princi-pale qualité. A l’écoute des gens, ilveillera sur les relations avec lescultes et s’occupera des questions desanté et de handicap.

Sébastien Pacull Responsable d’agence immobilière,34 ans.Sétois depuis trois générations,Sébastien Pacull est actuellementdirecteur régional d’une agence delocation immobilière. Ce joueur detennis et passionné de golf assisteraLaurenceM a g n een faveurdu déve-l o p p e -m e n téconomique de la ville et s’occupe-ra plus particulièrement des arti-sans. Il sera aussi chargé de veillerà la dématérialisation des procé-dures et de la mise en place d’unguichet unique des services à lapopulation.

Serge Païola Cadre supérieur retraité, 61 ans. Sportif dans l’âme, cet heureuxg r a n d -père nemanquepas depugnaci-té et decourage. Joueur de foot, de basket,de tennis, amateur de boules, il estaussi un pratiquant chevronné decross. Pour ce second mandat, ilsera chargé du sport et sera assistédans sa tâche par Delphine LeSausse et Blandine Evrard-Authié

Nadia Taouil Mère de famillle, 30 ans. Mère det r o i senfants ,N a d i aTa o u i lest une

jeune femme investie dans sa vie etdans sa ville. En 2005, sa rencon-tre avec Abdel Kéchiche lui vaut dedécrocher le double rôle d’assistan-te metteur en scène et d’actricedans le film “La Graine et leMulet”. D’origine marocaine parson père et algérienne par sa mère,elle s’investira pour dynamiserl’action sociale pour la jeunesse àSète. Elle s’occupera également descentres sociaux.

Michèle Bourdel Aide-comptable, 60 ans.

Nouvelles é t o i s e ,Michè leBourdelne vou-lait pas

voir la dynamique impulsée parFrançois Commeinhes s’arrêter.

L’utilisation des modesde circulation doucesera privilégiée dans

l’ensemble des aména-gements urbains.

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Plan Local d’Urbanisme, qui permettra que deséléments incomparables du patrimoine soientclassés. Autre priorité, la lutte contre les indus-tries génératrices de nuisances sera poursuivie.“Celles-ci n’ont rien à faire à côtéd’un cœur de ville, je ferai tout pourque de telles installations se délocali-sent dans des endroits bien plus adap-tés à leurs activités”, a ainsi déclaré lemaire, “même si seul je n’en ai mal-heureusement pas le pouvoir”. Afin de préserver lecaractère exceptionnel du territoire qui borde l’é-tang de Thau, la ville s’appuiera sur l’intercom-munalité. Les efforts engagés seront poursuivis,qu’il s’agisse de l’assainissement ou du projet desauvegarde du lido. Enfin, parce que la pollutionpeut aussi être visuelle, auditive et olfactive, dessolutions efficaces seront mises en place pourmettre un terme aux incivilités.

Se distraire et se cultiverRenforcer le rayonnement de la ville, accompa-gner la vitalité des traditions et du tissu associatifsétois et mettre les loisirs sportifs et culturels à la

portée de tous constituent les troisobjectifs que la nouvelle municipa-lité s’est fixés. Sète connaît une vita-lité culturelle et sportive très fortegrâce à ses nombreux équipements,au dynamisme de son tissu associa-

tif et à la ferveur de ses traditions. Un grand pôleculture et animation, chargé de coordonner l’ac-tion municipale dans ce domaine et d’amplifiercette dynamique sera prochainement créé. Lafréquence des événements sera augmentée afind’étendre les ailes de saison et donc d’élargir lafréquentation touristique. Le travail de rénova-tion des infrastructures sportives sera poursuiviavec notamment la réhabilitation complète dugymnase Maurice-Clavel. Concernant les infras-tructures culturelles, la capacité d’accueil du

théâtre de la Mer sera élargie pour en faire lagrande scène d’été de la région. Des établisse-ments nouveaux verront également le jour. Unlieu culturel dédié à la mer et au patrimoinemaritime sera construit, qui accueillera la dona-tion que s’apprête à faire le charpentier de mari-ne André Aversa ; un pôle culturel et de loisirscomprenant à la fois un miniplexe, des structuresde détente type bowling et un grand espace dédiéà la création et à la diffusion artistique verra lejour à l’entrée Est de la ville. Les établissementsvoués à l’éducation artistique, comme le conser-vatoire, verront la qualité de leur enseignementet leur forte fréquentation reconnues à leur justevaleur. Enfin, la ville apportera tout son concoursà la valorisation et la meilleure connaissance denotre patrimoine culturel et traditionnel (joutesnautiques, occitan…), en lien avec les associa-tions concernées.

Lydie Di Crasto-Mancuso Coiffeuse, 44 ans. Mère de deux enfants, petite-fille derestaurateurs, elle a notamment par-ticipé à la mise en place du forum de

l ’ a l t e r -n a n c e .Elle seracha r g é ed’assisterLaurence

Magne dans le domaine du dévelop-pement économique et plus particu-lièrement en direction des commerces.

Régis Lombardi Infirmier libéral, 28 ans. Célibataire, sans enfant, il est pas-s i o n n épar lev o l l e y .I n v e s t idans lavie poli-

tique, le jeune infirmier ne ména-ge pas sa peine pour faire progres-ser le quotidien des Sétoises et desSétois. A l’écoute et préoccupé parle bien-être de ses concitoyens,Régis Lombardi sera chargé de lapolitique de la ville. Il s’investiraégalement dans le fonctionnementdes centres sociaux et l’actionsociale pour la jeunesse.

Catherine Maraval Notaire, 43 ans. Originaire de Carcassonne,Catherine Maraval a eu un véri-table coup de foudre pour Sète.“Une ville très attachante et pleinede riches-se oùc h a q u et a l e n tpeut serévéler”,selon elle. Passionnée de peinture,

de littérature et d’architecture,Catherine Maraval assistera Jean-Marie Taillade dans la coordina-tion des animations festives et cul-turelles. Elle aura aussi en chargeavec Josette Faura le personnelcommunal et les relations sociales.

Rodolphe Mezan Etudiant en droit, 28 ans. Célibataire, sans enfant, RodolpheMezan se destine à une carrière dejuriste d’entreprise. Il fait preuve

d ’ u n emotiva-tion àt o u t eép reuvep o u r

s’impliquer dans la vie de sa villenatale. Il mettra sa jeunesse et sondynamisme à profit en s’occupant del’informatique, des affaires juri-diques et des questions d’assurance.

Tina Candore-Pelizza Femme au foyer, 60 ans. Mère de trois filles et grand-mèrede quatre petits-enfants, TinaCandore-Pelizza adore s’occuperdes enfants. Cette ancienne com-merçante est toujours prête à s’in-vestir avec eux dans le montaged’une pièce de théâtre ou d’unspectacle.Dans sanouvellemi s s i ondédiée àl’enfanceet à la famille, Tina Candore-Pelizza continuera à chercher sansrelâche l’épanouissement des petitsSétois et la quiétude des parents.

François Liberti Pêcheur retraité, 61 ans.

Jean-Luc Bou Professeur de lettres, 50 ans.

Hélène Capmas Assistante de direction, 60 ans.

Michel Gailhard Professeur de sciences retraité, 61 ans.

Janine Léger Enseignante spécialisée, 56 ans.

Marie-Thérèse Mattera Médecin, 51 ans.

Jacques montagardIngénieur retraité, 63 ans.

Francis DelpechInfirmier libéral, 57 ans.

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Toutes les décisionsseront prises à l’aunede leur impact envi-

ronnemental.

9 conseillers municipaux pour l’opposition

Marie-Line Assénat Infirmière libérale, 50 ans.

Liberté d’expressionRetrouvez dès le mois prochain dans le magazine sète.fr latribune de l’opposition et celle de la majorité.

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ref…Un mois à Sète

Février2- Inauguration auxMétairies de la PlaceNiepce, remodelée etornée de 4 arbres et700 arbustes (lirep.10).4- Lancement de l’o-pération Jeunestalents (lire p.10).5- Promeo, sociétésétoise de GilbertGanivenc, lève 34,5Millions d’euros enBourse.7- Inauguration de laMaison des associa-tions à la Pierrerie(lire p.18).9- Ouverture officiel-le de la piste de ski ruePaul-Valéry. Affluencerecord pour la 4e édi-tion de Neige à Sète.10- Le peintreMaurice Sarthou àl’honneur GalerieDock-Sud.13- Finale municipalede la prévention rou-tière place Stalingrad.Trois jeunes sétois sesont qualifiés pour lafinale départementale(lire p.11).15- Vernissage de l’ex-position Instants delumière, consacrée àColette Richarme, aumusée Paul-Valéry(lire p.10).

20- Les anciens sétoisse sont régalés troisjours durant salleBrassens (lire p.10).21- Omar el Jazouli,maire de Marrakech,a visité les équipe-ments culturels de laville.23- Un rassemble-ment de soutien àIngrid Betancourts’est tenu devant l’hô-tel de ville.24- Après 3 ans detravaux, l’église Saint-Pierre a été rouverte.25- Inédits et dessinsde Paul Valéry récem-ment acquis par laville ont été présentésau musée.29- Première exposi-tion de l’école desBeaux arts sallePeschot (lire p.20).

Mars2- Les numismatesont tenu leur salonannuel salle Brassens.3- Fin des travaux ducomplexe funéraire,agrandi pour unmeilleur accueil desfamilles (lire p.11).4- Début de 4 moisde travaux rue JeanVilar, la rue Rose Rocdevenant à sensunique.5- Ca sent le prin-temps : les paillotes seréinstallent sur laplage.6- Remise des prix du

concours villes etvillages fleuris àBéziers. Sète a rem-porté 2 fleurs et obte-nu le prix d’honneurdans sa catégorie.9- 21 243 sétois sesont rendus dans lesbureaux de vote.16- FrançoisCommeinhes estréélu avec 52,92% desvoix.18- Visite à Sète deMichel Barnier,ministre de l’agricul-ture et de la pêchevenu rencontrer lespêcheurs et inaugurerl’usine de diester (lirep.21).20- Première séanceau Conseil généralpour FrançoisCommeinhes (lirep.30).21- Gros succès pourle forum de l’emploisalle Brassens. Plus de700 personnes onttrouvé un emploi.22- Premier conseilmunicipal de la nou-velle mandature.F r a n ç o i sCommeinhes estréélu maire de la villepar le conseil. Dixadjoints sont dési-gnés.24- Tournoi dePâques du FC Sète austade Louis-Michel.

Dératisation - désinsectisationUne campagne est programméede 13 au 19 mai. Afin d’obtenirun meilleur résultat, les habitantssont invités à signaler la présencede nuisibles sur la voie publiqueau service protection civile, hygiè-ne, salubrité (53 rue Paul-Valéry.04-67-51-03-17). Les particuliersayant besoin de raticide ou souri-cide peuvent s’adresser à l’agentcommunal situé derrière les hal-les, du mardi au samedi de 8h30à 11h30.

Inscription en maternelleLes enfants nés en 2005 peuventêtre inscrits dans les écoles mater-nelles de la ville auprès du serviceenseignement situé 11 rue Alsace-Lorraine ou de la mairie annexe del’île de Thau pour les écoles rele-

vant du quartier. Les parents doi-vent se présenter munis d’un certi-ficat de vaccination (fourni par lebureau d’hygiène, 11 rue Alsace-Lorraine, sur présentation du car-net de santé), d’un justificatif dedomicile (EDF ou Télécom) et dulivret de famille (s’il n’y en a pas, del’acte de naissance de l’enfant, de lacarte de séjour de la mère ou d’uneattestation de résidence). Lesenfants âgés de deux ans le jour dela rentrée pourront être inscritsmais ne seront admis à l’école quesous réserve des places disponibles.Rens. au 04-67-51-68-22.

CadastreLe bureau, situé au centre tech-nique municipal, quai des mou-lins, sera fermé du 21 au 25 avril.

A noter ce mois-ci

Assu 2000Ce bureau représente à Sète ungroupe de 420 agences créé en1975 et devenu le premier réseaufrançais de courtiers pour particu-liers. Il propose des produits pourauto et moto, habitation, épargne...Ouvert lundi de 14 à 19h, mardiau vendredi de 9h30 à 12h et de14 à 19h, le samedi de 9h30 à12h30.Assu2000, 10 rue Honoré-Euzet.Tel. 01-48-10-40-77.

La PignataAvec un accueil chaleureux, Antonet Morad proposent des repas sim-ples et efficaces à base de légumes,sucres lents et protéines végétalesou animales, ainsi que de bellespizzas au feu de bois. Plats du jouret pizzas à emporter.Ouvert le midi du lundi au vend-redi et samedi soir.La Pignata, 21 rue Pierre-Sémard. Tel. 04-67-74-78-90.

La Teinche“Venez, goûtez, vous reviendrez”.C’est le slogan de ce lieu convivialrepris par une ancienne de LaHuchette. On retrouve le feu debois propice à la plancha et à debelles grillades de poissons et vian-des fraîches.Ouvert du mercredi au samediinclus, midi et soir.La Teinche, 82, Grand rueMario-Roustan.Tel. 04-67-74-59-05.

Yaban GamesCyber-café, mais aussi magasin dejeux vidéos, réparation consoles etPC, Yaban Games propose tous lessamedis une nuitée ouverte jusqu’à4 h du matin pour 25 euros, pizzaet boisson comprises.Ouvert du lundi au samedi de 9 à20h.Yaban Games, 5 avenue Marx-Dormoy. Tel. 04-67-53-29-13.

Rochet coiffeurAu bord des marinas des Quilles,ce magasin grand et à la déco soi-gnée, propose dans une ambiancezen ses services de coiffeur visagis-te, sa boutique cadeaux, et un cen-tre d’esthétique, épilation, beautémains et pieds, phytobiodermie(huiles essentielles), chromothéra-pie, massage relaxation ou énergé-tique, balnéothérapie.Ouvert du lundi au vendredi116, chemin des Quilles, Quai dela Tintaine. Tel. 04-67-53-42-58

Table d’émeraudeDans un décor cossu, éclairé à l’an-cienne, l’établissement proposeson restaurant mais aussi sa salade-rie, son salon de thé agrémenté dejeux et d’une bibliothèque. A notersa soirée spéciale le deuxième ven-dredi du mois.Ouvert tous les jours sauf mardi etdimanche midi.Table d’émeraude, 17 rue Pierre-Sémard. Tel. 09-50-84-48-73www.emeraude.eresto.com

Nouveaux commerçantsVous venez d’installer votre commerce à Sète et vous souhaitez le voirfigurer gratuitement dans les colonnes de “Sète.fr”, contactez lerédacteur de la rubrique au 04-67-46-20-80.

300 logements et une résidencepour personnes âgées en constructionLe site dépollué de l’ancienne carrière du Ramassis va bientôt laisser place à un pro-gramme résidentiel d’envergure. 300 logements, du 2 au 6 pièces duplex, vont sortirde terre d’ici la fin2009. Le complexecomprendra 69appartements en rési-dence pour personnesâgées. 21 logementsseront attribués àl’Office public HLMde la Ville de Sète et25 autres serontacquis par laFoncière, associationgestionnaire de loge-ments sociaux. Lesriverains ont été conviés à une réunion publique où le planning des travaux leur a étéprésenté. Le cabinet Kaufman and Broad est le maître d’ouvrage de cette opération,qui a démarré en novembre par le terrassement, qui se poursuivra jusqu’en mai, pourlaisser ensuite place au gros oeuvre. A l’arrière de la résidence, un jardin paysager seraaménagé, ainsi qu’une d’une piscine réservée aux habitants de la résidence. C’est unenouvelle vie qui s’ouvre pour cet espace désormais rebaptisé “Les Marches du soleil”.

Directeur de publication : Michel Tauler, Directeur délégué : Jean-Claude Dugrip, Rédactrice en chef : Tiphaine Collet. Rédaction : Jean-Hervé Mirouze, Michel Dumergue, Bernard Baraillé, Jocelyne Vanel, Agence Enjey et Céline Cabaye. Assistante de rédaction : Sandra Di-Maïo. Illustrations : Christian Corraze. Photos & maquette : service communication. Impression : SARL EUROPRINT Siret n°45348554100014. Dépot légal mensuel. Les informations

doivent être transmises au service communication avant le 10 du mois précédent le mois de parution. Service communication, hôtel de ville 34206 Sète Cedex tél. 04 67 46 20 80 / Fax 04 67 74 14 15 / Email : communication@ville-sete.fr

Les restos de plage ouvertsDepuis le 1er mars, les bars et restaurants ont commencé àfaire leur apparition sur les plages sétoises. La Ville a en effetsouhaité faire profiter ces structures de la nouvelle régle-mentation relative aux concessions de plage qui permet auxcommunes touristiques qui le désirent de disposer d’équipe-ments et d’installations démontables durant une période dehuit mois, contre six précédemment. Les concessionnairesont donc pu démarrer le montage de leurs structures dès le1er mars pour être fin prêts pour les vacances d’avril. Ilsauront jusqu’au 31 octobre pour les démonter. Les Sétoisauront le plaisir de retrouver les mêmes établissements queles années précédentes et sur une plus longue période. Cettedécision va dans le sens de l’objectif recherché d’étendre lafréquentation touristique sur les ailes de saison.

Le FISAC est un organisme qui collecte une taxe payée par les grandessurfaces. Le produit est ensuite réparti par la Chambre de commerce, lesmairies et Thau agglomération entre les petits commerçants réalisant destravaux d’amélioration de leurs façades. Les premiers chèques représen-tant 30% des travaux réalisés, soit 75 000 euros, ont été remis par MichelMateu, président de la CCI, et François Commeinhes, maire de Sète etprésident de Thau agglomération, à deux commerçants sétois : MagaliRéthoré, opticien, et M. J. Fatala, de Royal Juice. Deux commerces quiviennent de refaire leur devanture.Le Fisac, qui a pour objectif de rendre les commerces du centre-ville plusattractifs, est aussi impliqué dans la rénovation du passage Le dauphinainsi que dans le financement des tickets de parking gratuits.

Le FISAC embellit le cœur de ville

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Première fois des Beaux-Arts à la salle PeschotL’école des Beaux-Arts est sortie de ses murs pour présenter l’expositionPremière fois à la salle Peschot. L’objectif de cette exposition est dou-ble : ouvrir l’école sur la ville en installant une exposition ponctuelledans le centre de la cité pour permettre aux Sétois de voir ce que fontles élèves de la classe préparatoire de l’école des beaux-arts et, dans lemême temps, proposer aux élèves de faire une première expérienced’exposition publique. Les étudiants ont réalisé des travaux spécifique-ment pour ce projet en prenant en compte le lieu, le quartier, le squa-re et les gens qui vivent autour.Les étudiants et les enseignants ont fabriqué l’exposition sur place.Chaque étudiant occupait un espace d’un m2, volontairement et arbi-trairement défini. Ce m2 dévolu à chacun pouvant se développer enhauteur. L’ensemble de la classe a travaillé aussi collectivement sur cer-tains éléments ainsi que sur l’accrochage de cette installation. Mêlanttous les médiums, peinture, dessin, volume, images, son, performan-ce..., cette rencontre entre l’école, ses étudiants, ses enseignants et laville a obtenu un grand succès d’affluence dès le vernissage, vendredi 29février, en présence du maire et de l’élue déléguée aux arts plastiques,d’artistes, de parents et d’amateurs d’art curieux de découvrir le travaildes jeunes plasticiens.

Le public s’est déplacé en nombre jeudi 7 février pour inaugurer lapremière Maison de la vie associative sétoise. Avant de dévoiler laplaque inaugurale de ce lieu dédié à toutes les associations, dont lesiège est domicilié à Sète ou qui justifient d’une activité permanentesur la commune, élus et représentants du monde associatif ont visitéles espaces extérieurs, désormais embellis et sécurisés. Le maireFrançois Commeinhes a invité les agents municipaux qui ont partici-pé à ce chantier à poser pour la photo officielle. Une façon de saluerle travail remarquable fourni à la fois par les menuisiers, les chauf-fagistes, les peintres, les jardiniers et le service des moyens généraux,qui ont permis à ces anciens locaux laissés à l’abandon et cibles denombreux actes de vandalisme de retrouver un nouvel attrait.Chacun a ensuite pu visiter à sa guise les nouvelles salles claires etlumineuses, qui se composent d’une entrée, d’une bibliothèque, d’unesalle informatique et d’une grande salle de réunion dotée d’une cloi-son amovible. “Ce lieu doit être le reflet de la qualité de la vie associative sétoise”, a déclaré François Commeinhes dans son discours, rappe-lant que Sète compte 232 associations auxquelles elle apporte un soutien financier à hauteur de 2,09 millions d’euros. Représentants du mondeassociatif, parmi lesquels figuraient ceux de l’Ensemble polyphonique Saint-Clair, de l’association Racines italiennes, du club de Pétanqueetc, et élus se sont ensuite retrouvés autour du verre de l’amitié (lire aussi p.18).

Une maison pour les associations

Doté d’un nouveau hall, d’un bureau d’accueil, d’un espace de convivialité et d’un salon funéraire supplémentairesainsi que de plusieurs locaux à destination du personnel, le complexe funéraire de Thau est désormais prêt à répon-dre aux nouveaux besoins de la population. “Ces travaux étaient indispensables pour mettre en adéquation cet équi-

pement avec la hausse du nombre de crémations, qui est passé de 50 en 1998à 350 en 2008”, a précisé le maire François Commeinhes dans son allocu-tion. L’accueil des familles a été le fil conducteur de ce chantier, avec la créa-tion de deux nouveaux espaces qui leur sont dévolus. Le premier, équipé d’unpetit salon et d’un plan d’eau pour favoriser la relaxation, se trouve au seinde la pyramide de verre. Le second est accessible directement à partir du halld’entrée. Grâce à ces travaux, le complexe funéraire a également gagné en lisi-bilité puisque les locaux administratifs ont été séparés de ceux accueillant dupublic. Au total, ce sont 502 548 euros qui ont été investis pour agrandir le

complexe funéraire, dont les portes resteront bientôt ouvertes aux familles 24h sur 24.

Le complexe funéraire agrandi et plus accueillantLa ville allemandejumelée avec Sète,Neuburg, a elle aussirécemment connudes élections muni-cipales. Des élec-tions lors desquellesles Neubourgeoisont reconduit à70,5% le maireBernhard Gmehling(CSU) à la tête deleur ville.

La dernière semaine de mars est à marquer d’une pierre blanche concernant le grand chantier desauvegarde du Lido de Sète à Marseillan piloté par Thau agglomération. Elle coïncide en effet avecl’ouverture au public de la nouvelle route du Lido, sur la portion triangle de Villeroy-domaine deListel. Première avancée concrète de ce programme d’envergure, cet ouvrage, long de deux kilo-mètres et réalisé par les entreprises Eiffage, Buesa et Eurovia, est situé le long de la voie ferrée afinde rendre à la plage toute sa profondeur. “D’ici le début du mois de juin, nous aurons démoli l’an-cienne route, prolongé la construction de la nouvelle, sur la portion allant de Listel aux TroisDigues, aménagé les parkings longitudinaux (600 places) et celui de 400 places au niveau des Troisdigues et enfin, ouvert la voie verte cyclable, qui longera à terme les 12 kilomètres de littoral”,annonce Thau agglomération. Un premier pas vient donc d’être franchi en faveur de la lutte cont-re l’érosion. Il s’inscrit dans le cadre de la première tranche de 25 millions d’euros financée à hau-teur de 20% par l’Europe, 30% par l’Etat, 15% par la Région, 15% par le Département et 20%par Thau agglomération 20%. Un premier pas vient donc d’être franchi en faveur de la lutte cont-re l’érosion. Il s’inscrit dans le cadre de la première tranche de 25 millions d’euros financée à hau-teur de 20% par l’Europe, 30% par l’Etat, 15% par la Région, 15% par le Département et 20%par Thau agglomération 20%.

La nouvelle route du Lido opérationnelle

Neuburg réélit son maire

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Jeunes talents : inscriptions ouvertesC’est devant un public nombreux que l’adjointe au mairedéléguée à l’enfance, la jeunesse et les loisirs a lancé la 3e édi-tion de l’opération “jeunes talents” et présenté le nouveau jury.Une soirée conviviale qui a également été l’occasion de regar-der le film réalisé par les services municipaux lors du voyage àBruxelles des lauréats 2007. “J’étais très heureuse de nousrevoir à l’écran. Cette visite à Bruxelles a été une expérienceinoubliable”, a déclaré l’une d’entre eux. Ce concours, auquelparticipe le Lion’s club de Sète, récompense 15 jeunes de 14 à20 ans s’étant illustrés à titre individuel dans les domaines sco-laire, culturel, sportif, artistique, scientifique ou économique,en les conviant à un voyage de trois jours à la découverte desinstitutions européennes. Les candidatures doivent être dépo-

sées aus e r v i c ee n f a n c eet jeunes-se, 11 rueA l s a c e -Lorraine,avant le30 avril.

Le jury est présidé cette année par Chantal Desbordes, 1ère femme contre-amirale de la Marine française et écrivain, et composé d’Eric Battista, artis-te-peintre, écrivain et ancien champion sportif, Olivier Martinelli, profes-seur de mathématiques et écrivain, Pierre Brugvin, architecte, LaëtitiaJanbon, 1er bâtonnier de France, Madeleine Delacoux, directrice de RadioThau Sète (RTS), Michel Cantou, chercheur en biologie marine et présidentde l’association le Trident sétois, Leos Maere, jeune talent 2007 et de Thi TuTram Nguyen, membre du conseil municipal des jeunes.

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Sète, pôle d’excellence POSÉE ENTRE MER ET LAGUNE, SÈTE FAIT CONVERGER VERS ELLE LES AMOUREUX DE L’EAU SALÉE ETDES ÉLÉMENTS MARINS. SI LES TOURISTES SONT LA PARTIE LA PLUS VISIBLE DE CETTE ATTRACTION,D’AUTRES, PLUS DISCRETS, Y SONT COMME DES POISSONS DANS L’EAU. ILS ONT CHOISI LA VILLEPOUR CONCRÉTISER LEUR RÊVE : DEVENIR DES PROFESSIONNELS DE LA MER. IFREMER, STATION MÉDITERRANÉENNE D’ENVIRONNEMENT LITTORAL (SMEL), LYCÉE DE LA MER,IUT DE CHIMIE... AUTANT DE LIEUX CONSACRÉS AU PARTAGE DU SAVOIR ET À LA TRANSMISSION DESCONNAISSANCES SUR LE MILIEU HANLIEUTIQUE. RÉPARTIS DANS LA VILLE, ILS SONT INSCRITS DANSSON HISTOIRE ET RÉVÈLENT L’MPORTANCE DE L’ÉCONOMIE MARITIME POUR LA CITÉ.

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G râce à l’implication de la ville, qui a souvent offert les terrains pourque les bâtiments sortent de terre, le tissage du pôle maritime s’est

peu à peu resserré. Les élèves du Lycée de la Mer deviennent des marins-pêcheurs en contact avec les scientifiques d’Ifremer. A moins qu’ils ne setournent vers l’étang de Thau et mettent alors en pratique, dans leurs éle-vages de coquillages ou de poissons, des avancées portées par les ensei-gnants-chercheurs de l’Institut de biologie marine de la Plagette(SMEL). Dans tous ces secteurs, ils peuvent aussi croiser des étudiants oudes techniciens issus de l’IUT de chimie, et qui opèrent des prélèvementsd’eau, en mer ou dans la lagune, pour en déterminer la qualité. “Lesmétiers de la mer recrutent” précise Michel Tudesq, le directeur du Lycéede la Mer. “Même s’ils répondent parfois à des activités de niche économique.Plusieurs secteurs sont en mutation ou en développement. Lesgrandes compagnies demandent des marins français.” Autre lieude référence, l’IUT de chimie, seul en France à proposer uneformation orientée vers le cycle de l’eau et l’environnement.“Nous sommes aussi les seuls à proposer une licence, très pointue,dans ce créneau ” précise Geneviève Cerveau, responsable del’établissement. Les places sont rares et la sélection sévère.Moins de 20% des dossiers d’inscription sont finalementacceptés. Ce département délocalisé de l’IUT de chimie deMontpellier accueille des étudiants en provenance de toutesles régions françaises “y compris l’outremer, et même le Vénézuela” , préciseGeneviève Cerveau.Pour les techniques contemporaines d’élevage, Sète est également un pôlede référence internationale. Grâce aux aquariums que l’Université dessciences de Montpellier avait installés dans le bâtiment de la station debiologie marine au siècle dernier, Sète a été “l’un des premiers endroits oùon a pu faire cohabiter des animaux d’eau de mer avec des espèces en prove-nance des eaux froides européennes” rappelle François Bonhomme, le direc-teur. Centre de découverte (le batiment possédait dès avant la deuxièmeguerre mondiale un aquarium et un musée des techniques de pêche), il atoujours accueilli des équipes de recherche. “Cest aussi ici qu’on a réussipour la première fois à maîtriser l’élevage et surtout la reproduction du bar etde la daurade grâce à une équipe pionnière dans la piscicultue en eau de mer,dans les années 60.”Quant à Ifremer, installé au cœur de la vie sétoise depuis plusieurs décen-nies, il apporte conseils et expertise aux professionnels de la mer. Deuxgrands laboratoires, regroupant une cinquantaine de scientifiques, s’inté-ressent à la lagune de Thau et à la mer Méditerranée. Grâce à leurscontacts avec leurs collègues étrangers, les chercheurs d’Ifremer disposentde données et de connaissances qui dépassent le strict cadre du golfe duLion. Cette vue d’ensemble leur permet de proposer des scénarios d’évo-lution aux professionnels marins. Depuis 2001 et l’installation de l’éta-blissement dans le quartier des Quilles, ils partagent aussi leurs locaux et

leurs points de vue avec leurs homologues de l’Institut de recherche et dedéveloppement (IRD). “Les océans répondent à de grandes régles et se com-portent de façon similiare à l’intérieur de grands systèmes” explique GildasLe Corre, le directeur du Laboratoire de recherche halieutique.Grâce àl’enseignement, à l’expérience des professionnels et à la richesse dessavoirs, la connaissance des milieux marins ne cesse de s’enrichir. “Lespartenariats que nous avons conclus élargissent également l’éventail des pos-sibilités”, raconte Gildas le Corre.

Outre desexpériencespratiques,les jeunes

du Lycée dela Mer

s’entraînentaussi à

naviguersur des

simulateurs.

Grâce à l’enseigne-ment, à l’expérience

des professionnels et àla richesse des savoirs,

la connaissance desmilieux marins necesse de s’enrichir.

Lycée de la mer :former des générations de marinsPlus grand lycée maritime de France, le Lycée de la mer Paul-Bousquetest également l’un des plus anciens encore en activité. “C’est aussi le seulà posséder un port dans son enceinte” précise Michel Tudesq, son directeur.Créé en 1851, 40 ans avant le lycée Paul-Valéry, il témoigne de l’impor-tance que les Sétois ont toujours porté aux marins. D’une capacité d’ac-cueil d’environ 250 élèves, le bâtiment sera bientôt soumis à une restruc-turation architecturale d’envergure, avec la construction de nouveauxlocaux. Car près de 120 adolescents sont internes et viennent parfois deloin pour suivre ces enseignements. Seul lycée maritime de la côte médi-terranéenne, il accueille des élèves de Toulon, de Nice, de Port-Vendres,de même que des jeunes venus de départements “de l’intérieur” et tentéspar la grande bleue. Aux premières formations destinées aux mécaniciensde la marine à vapeur se sont ajoutées les formations aux métiers de lapêche, puis à ceux de la conchyliculture et de l’aquaculture. C’est audébut des années 1980 que l’établissement quitte le navire qui l’héber-geait encore, amarré en face de la gare -le Paul-Bousquet, du nom dugénéreux mécène qui a financé l’ouverture des premiers cours- et que lesbâtiments actuels sont construits à la Pointe du Barrou, près d’ancienschantiers navals. Le déménagement s’accompagne d’une transformationde fond : les formations maritimes s’alignent désormais sur le système del’Education Nationale. Naissent les CAP, BEP, et une dizaine d’annéesplus tard, les premiers bacs professionnels en culture marine. Pour cetterentrée 2007, le Lycée a encore étoffé son offre de formation avec l’ou-verture d’un BTS d’aquaculture par apprentissage. C’est aussi le seul lycée

à avoir un de centre de formation de lutte contre les incendies en inter-ne, et l’un des rares a être homologué pour les techniques de survie. Laformation continue est également présente, avec près de 90 000 heuresde cours dispensées à des stagiaires adultes, qu’ il s’agisse de brevets deplongée, de formations au métier de poissonnier ou de skipper de voi-lier.“Les débouchés sont nombreux, car les générations de pêcheurs ou d’a-quaculteurs devront bientôt être renouvelées. En outre, les voyages se dévelop-pent, et avec eux les bateaux de croisière. Les aquariums et poissons d’appar-tement sont un marché porteur, et le secteur de l’offshore est toujours aussidynamique. Le fluvial offre aussi de nombreuses perspectives. D’une manièregénérale, le niveau de formation de nos élèves et stagiaires ne cesse de s’élever.”

maritimeCarole Mayaud : jeune marin

au caractère bien trempéCarole Mayaud est originaire de Dijon. Mais c’est le plaisir de laplongée sous-marine, qu’elle pratiquait déjà, qui l’a conduite achoisir une formation maritime. A 18 ans, elle est élève en Bacprofessionnel “Conduite et gestion des entreprises maritimes».Jeune femme énergique et décidée, c’est aussi la présidente du Foyerdes élèves et la déléguée des élèves au Conseil d’administration duLycée. Après un été de stage, entre contrôle des moteurs ou veille àla passerelle sur les ferrys de la SNCM, entre Marseille et la Corse,elle souhaite s’orienter vers la grande pêche industrielle. “Le pêche,c’est intéressant car les tâches sont variées” juge-t-elle. Loin de laMéditerranée, elle a envie de voyager et de travailler dans la“grande pêche industrielle.” Celle qui se fait sur de très gros cha-lutiers, dans lesmers tropicales àla recherche duthon rouge del’Océan Indien, ouen quête d’un pois-son de grand prix,la légine, dans lesmers froides desKerguelen.

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Chef de laboratoire Ifremer : Gildas le CorreC’est paradoxalement en faisant un stage dans un élevage d’aquaculture que Gildas leCorre a découvert sa préférence pour les poissons sauvages. Après déjà plusieurs années d’é-tudes, il se tourne vers la biologie marine et la génétique. “Pour mon métier, il faut êtrepluridisciplinaire” souligne-t-il. “Les statistiques sont aussi importantes, car nos profes-sions ont quitté le strict champ de l’observation pour des études plus quantitatives.” Recrutétrès tôt par la station de Sète, il est toujours resté fidèle à l’Ile singulière. “J’ai changé dejob régulièrement en interne. Finalement, mon activité professionnelle est suffisammentvariée pour que je n’ai pas envie de partir de Sète.” L’étude des poissons dans le golfe duLion et plus généralement en Méditerranée constitue le cœur de la mission du laboratoiresétois qui sert aussi de point de référence aux implantations Ifremer de trois départementsultramarins. En effet, il fédère les laboratoires de recherche en milieu tropical de laMartinique, de la Guyane et de la Réunion. Mais ce ne sont pas les voyages exotiques quiplaisent à Gildas le Corre, directeur delaboratoire attentif. Pour lui, l’étude despoissons est aussi un moyen de commu-niquer avec les hommes, notamment lespêcheurs. “Discuter, faire passer des mes-sages pour une meilleure gestion de laressource... si le travail scientifique est dequalité, alors les professionnels l’enten-dent. Ce n’est jamais gagné d’avance, ilfaut de la pédagogie. Mais avec desexplications, on finit toujours par tom-ber d’accord.”

La Station de Biologie marine :inscrite dans l’histoire mais tournée vers l’avenirAutre patrimoine sétois, le bâtiment de la Station méditerranéenne d’environ-nement littoral. Fondée en 1878 par la volonté d’Armand Sabatier, médecin,député et homme de sciences, la Station Zoologique de Cette rentre dans sesmurs près de vingt ans plus tard, en 1893, grâce à un legs de la ville qui offrecette parcelle à l’embouchure du canal vers l’étang. “La ville a toujours été làchez elle”, souligne François Bonhomme, le directeur de la Station. “D’autantque depuis le début, c’est elle qui entretient notre jardin.” Le beau bâtiment hauss-manien contenait à l’époque des bassins d’eau tiédie dans son sous-sol, ce quia permis pendant près de 40 ans d’accueillir un aquarium public. “Un petitMonaco”, disaient les anciens. C’était à l’époque une sortie très appréciée desSétois, et de nombreux enfants ont pu y découvrir des collections de nacre, destortues marines, et même un squelette de baleine très impressionnant. A la finde la guerre, l’aquarium ayant été détruit, la Station s’est tournée vers larecherche et la formation des étu-diants. Au début des années 70, aprèsles premiers succès des élevages pisci-coles, une halle d’aquaculture a étéconstruite. Les formations à objectifprofessionnel se sont alors mises enplace : “les demandes pleuvaient” sesouvient François Bonhome. C’estaussi à cette époque qu’a commencé àse développer la parasitologie marine,spécialité toujours en pointe dans l’é-tablissement. En 1993, un siècleaprès être sortie de terre, la Station asubi un nouveau lifting. Les salles ontété remaniées et les équipes de recher-che fondamentale se sont déplacéesde Montpellier vers les rives de Thau.“La Station a été créée dès le début pouroffrir un accès au milieu salé aux ensei-gnants de la Faculté des Sciences deMontpellier. Il y a toujours eu de larecherche à Sète.” Le bâtiment hébergemaintenant trois domaines de recher-che : la parasitologie, la génétique despoissons (leurs évolutions et leurs

choix d’adaptation), ainsi qu’une orientation plus “écologiste” qui s’intéresseau plancton et aux herbiers marins. En outre, la ville est actuellement en négo-ciation pour céder des terrains sur lesquels sera aménagé un centre d’expéri-mentation unique sur tout le littoral. Celui-ci permettra d’observer et d’étu-dier le fonctionnement de l’écosystème, la biodiversité et les effets des forçagesanthropiques locaux, comme la pollution, et globaux, comme l’augmentationde la température et du CO2. Michel Cantou, plongeur professionnel salariéde l’établissement, fournit la plupart des scientifiques en spécimens marins.Deux sessions de formations sont aussi organisées chaque année pour desfuturs techniciens d’exploitations aquacoles (bac+2), ou pour des chefs de pro-jet en culture marine (bac +5). Le transfert de savoir et de compétences se per-pétue. Congrès, rencontres internationales, colloques rythment l’année.Depuis 2006, l’institut s’est également lancé dans l’hébergement de “jeunespousses”, de jeunes entrepreneurs désireux de créer leur entreprise avec desprojets novateurs.

Ifremer : des relations fortes avec la ville“Des liens traditionnels” unissent Ifremer et la ville, rappellela plaquette de présentation. Implanté depuis plusieursdizaines d’années à Sète, d’abord près du Cimetière marin,puis à Villeroy, l’établissement partage avec la ville des rela-tions fortes, celles de partenaires attentifs. “Il y a un respectmutuel entre professionnels de la pêche ou de l’ostréiculture et lesscientifiques de nos équipes”, se félicite Gildas Le Corre, chefdu département de recherche halieutique méditerranéenneet tropicale. Ici, le travail se fait en collaborationavec les représentants des filières maritimes.Pour permettre aux pêcheurs ou aux ostréicul-teurs d’y voir plus clair à long terme, les scienti-fiques d’Ifremer doivent établir des diagnostics.Analyse de la situation, étude de son évolutiondans le temps grâce à des données chiffrées, col-lecte d’informations en mer, comparaison avecdes situations similaires dans d’autres zones depêche, proposition de scénarii pour l’avenir,recommandations pour la gestion de la ressour-ce... c’est dans le détail et la précision de ces dif-férentes tâches que réside l’expertise des scienti-fiques. Pour faire fonctionner le “thermomètre dela pêche”, les équipes d’Ifremer organisent descampagnes d’observation à bord du navirel’Europe. Ils partagent ensuite leurs donnéesavec leurs homologues d’autres pays méditerra-néens. “On ne peut se permettre d’avoir un cher-

La Stationméditerra-

néenned’environ-

nementlittoral

occupe unmagnifiquebâtiment àla Plagette.

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L’IUT de chimie s’agrandit et se diversifieLe plus récent des instituts marins de Sète a ouvert en 1994.Département délocalisé de l’IUT de Montpellier, il recrute des bachelierspour en faire des techniciens. Ils forme aussi des adultes qui souhaitent sespécialiser ou faire prendre un virage spécifique à leur carrière profes-sionnelle. Encadrés par 7 enseignants d’université et 4 professeurs dusecondaire, près de 140 étudiants sont formés chaque année aux métiersde l’analyse chimique. Sète est le seul IUT français à proposer cette orien-tation, liée aux métiers de l’environnement. “Etre spécialisé dans ce domai-ne constitue un avantage lors de la recherche d’emploi”, se félicite GenevièveCerveau, la responsable du lieu. “Si leurs stages se sont bien passés, nosétudiants sont souvent embauchés par des grands groupes. Après l’obten-tion de leur diplôme, ils trouvent quasiment tous un travail. Chimiste,technicien dans l’industrie cosmétique, la parfumerie, ou les produitspharmaceutiques, responsables de laboratoires d’entreprises liées au trai-tement des eaux... le panel des emplois est large.” Aurélie Vaillé, étudian-te en première année, a choisi cette voie parce qu’elle préférait être enca-drée par des enseignants, plûtot que seule à la fac. Ce qui ne l’empêchepas de vouloir poursuivre encore quelques années ses études, puisqu’ellesouhaite êre océanologue. Les étudiants partagent leur formation entrecours de science, TP, cours pratiques, stages et travail personnel. Deshoraires lourds qui ne les rebutent pas, puisque l’établissement croulesous les demandes. C’est pourquoi l’IUT s’agrandit, raconte GenevièveCerveau. Des travaux qui ont pu commencer grâce à l’intervention de laville auprès de la région. Après avoir donné là aussi le terrain pour per-mettre l’installation de l’IUT, la ville participe au financement des tra-vaux à hauteur de 15%, sur un budget global de 2,5 millions d’euros.L’extension offrira une halle de génie chimique pour les travaux pra-tiques, ainsi qu’un amphithéâtre de 150 places et des salles de TD sup-plémentaires, soit 40% de plancher en plus.

Guy Imbert, assistant ingénieur“Il a des doigts d’or” s’exclame la directrice de l’IUT de chimie deSète. Pour l’établissement, Guy Imbert est une perle rare : il ainstallé les labos et les salles de TP, et surtout, il continue à cons-truire des répliques de petite taille de systèmes de traitement pro-fessionnels. Filtration sur lit de sable, échanges thermiques, modè-le de station d’épuration : des “pilotes” qui permettent aux étu-diants de se former avec des outils performants. “Il faut savoir tra-vailler tous les matériaux, ainsi que les matières premières”,explique-t-il. “J’ai pas mal bourlingué professionnellement, j’aiappris de nombreuses techniques différentes que je mets en œuvreici.” Originaire de Sète, où il a fait ses études technologiques aulycée Joliot-Curie, puis à l’Ecole Pratique qui était alors située rueHaute, il a “assisté à la naissance des IUT”. Embauché en 1967par la fac de sciences de Montpellier, il a travaillé dans le premierIUT montpelliérain dès sa création, en 1968. L’ouverture de l’an-tenne de Sète lui a permis de revenir dans sa ville natale pour for-mer des jeunes. “Les tâches sont variées, le contact avec les étu-diants est agréable.Pour eux, il fauttoujours être autop de la technolo-gie. Et s’ils abi-ment ou cassent lesmaquettes, ce n’estpas grave. Onrépare. Ils sont làpour apprendre.”

cheur derrière chaque pêcheur”, explique Gildas Le Corre.Pour bien exploiter “ce jardin qu’est le golfe du Lion”, les équi-pes évoluent et se forment en permanence. Grâce aux mesu-res standardisées, les échanges d’informations sont efficaces.Les rencontres avec les professionnels sont sources deconfrontation d’idées. “C’est enrichissant, c’est intéressant, c’estconstructif ” estime le chercheur. “Notre démarche est une aideà la décision, pour faire évoluer une activité humaine dans unmilieu sauvage” résume Gildas Le Corre.

L’Ifremer adéménagé en2001,s’installantdans deslocauxbeaucoupplus spacieuxsitués àVilleroy.

Quelque 140étudiants

sont forméschaque année

à l’IUT.

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Stefano Marras,“coach” pour poissons

Tunnel de nage, chambre de sprint, travail avec la vidéo...L’athlète est un poisson, et son coach, un jeune doctorant ! StefanoMarras, qui a fait ses 4 premières années d’études en Sardaigne, està Sète pour étudier les capacités physiologiques du loup (bar). Cepoisson dispose en effet de plusieurs types de course selon qu’il achasse (sprint), nager, ou fuit. “Je suis venu à Sète grâce à unebourse d’études. Ici, je savais qu’il y avait de bons chercheurs.”Grâce à son observation de la nage du poisson, Stefano et ses collè-gues vont pouvoir déduire son comportement dans le milieu natu-rel. “Etudier les performances du poisson, c’est de la recherche pure.Mais les conclusions que l’on va en tirer serviront à terme à amé-liorer les élevages.”

- mardi et mercredi soir : atelierchant (25 euros par trimestre). - samedi après-midi (14h-18h):atelier hip-hop, atelier jeux et acti-vités manuelles.Des soirées jeux et des sorties sontégalement programmées pour lesados qui fréquentent la structure.

Les anniversairesLe samedi après-midi, une salle estmise à disposition des enfants de 3à 13 ans pour les anniversaires, aurez-de-chaussée du centre de loisirsFroment, rue Robespierre. Tarifs,réservations et inscriptions au ser-vice enfance jeunesse loisirs. Tel.04-67-51-68-15. Cette offre n’estpas valable pendant les vacancesscolaires.

Centre social Nicolas-GabinoPlace Marius-Bonneton04-67-74-06-24Horaires d’ouverture : du lundiau vendredi de 9h à 12h et de14h à 19h30, sauf le mercredijusqu’à 18h30.

Activités de 6 à 17 ansEspace Jeux : Tous les mercredis,de 14h à 17h à l’espaceMéditerranée du centre social.Accès libre pour les adhérents.• Mercredi 2 avrilSortie acrobranche à Bessilles, de14h à 17h30

A partir de 6,50 euros sur inscrip-tion avant le 1er avril.Parcours “découverte” pour les 6-12 ans et parcours “panoramique”pour les 12-17 ans, avec uneoption “saut pendulaire géant”(prévoir 1 euro).• Mercredi 9 avrilConcours de jeux de société, de14h à 17h (à l’espace Méditerranéedu centre social). Accès libre pourles adhérents.• Mercredi 30 avrilSortie cinéma Iron Man (film fan-tastique), de 13h30 à 17h. 1,50euros sur inscription (avant le 29avril)

Vacances de Pâques• Du 14 au 18 avril, espace jeu àl’espace Méditerranée du centresocial, tous les jours de 10h à 12het de 16h à 18h. Accès libre pour

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Gagnez un séjour à Bruxellesavec le concours “Jeunes talents”Si vous n’avez pas encore déposé votre candidature pour le concours des jeunestalents, il ne vous reste plus que quelques jours pour le faire. Date limite desinscriptions : mercredi 30 avril 2008. Lieu : service enfance jeunesse, 11 rueAlsace Lorraine. Tel : 04-67-51-68-27.Pour participer à ce concours, il suffit d’habiter Sète, d’avoir entre 14 et 20 ans,et de s’être illustré dans un domaine scolaire, culturel, artistique, scientifique,économique ou sportif.

Service enfance jeunesse et loisirs11, rue Alsace-Lorraine.04-67-51-68-10.Toutes les inscriptions ont lieu auservice enfance jeunesse.

Vacances de Pâques aux chaletsSaint-HuguesDu 13 au 19 avril, le service enfan-ce jeunesse propose des séjours àthèmes pour les enfants et les ado-lescents de la ville. Tarif en fonc-tion des revenus.

- Vacances à la ferme pour les 6/9ans : découverte et approche desmétiers de la montagne (fermier,apiculteur, ânier) et nombreusesactivités ludiques autour de cethème.- Sport et montagne pour les10/13 ans : randonnée, ski, accro-branche, course d’orientation etrencontre de différents sportifs dehaut niveau.- Initiation à la cuisine pour les11/12 ans : pour les petits gastro-nomes qui ont envie d’apprendredes recettes et des techniques culi-naires de grands chefs.Secourisme et montagne pour les14/15 ans : passage de l’attestationde formation aux premiers secours(AFPS), initiation aux différentsmétiers de secourisme en moyennemontagne.

Les triambules (6-12 ans)Les ateliers Triambules reprennent

pour le troisième et dernier trimes-tre à compter du 7 avril. Du chantvariété le mercredi matin, ducirque le lundi soir ainsi que duthéâtre le mardi et le jeudi soir sontproposés aux enfants de 6 à 12 ans.Vous pouvez encore inscrire vosenfants. Les nouveaux enfants sontacceptés et les tarifs varient enfonction des revenus. Tel. 04-67-51-68-17.

Centres de loisirs Les centres de loisirs de la ville deSète fonctionnent tous les mercre-dis de l’année et pendant les vacan-ces scolaires, de 7h50 à 18h15. Ilsaccueillent les enfants de 2 ans 1/2à 12 ans 1/2, à la journée ou la

demi-journée. Les tarifs varient enfonction des revenus des familles etl’aide aux loisirs est déduite.Les vacances de Pâques se dérou-lent du 14 au 25 avril. N’oubliezpas de réserver vos journées au ser-vice enfance jeunesse du 10 marsau 10 avril.

Carte JAS (12-18 ans)Jeudi 17 ou vendredi 18 avril, lematin ou l’après-midi : sortie auquad. Tarif : 10,20 euros.Inscriptions à partir du 2 avril 14h.Renseignements au 04-67-18-69-59.

Cyber EspaceRue Robespierre04-67-74-36-88Le cyber espace propose aux jeunesde 6 à 18 ans de nombreux ateliersgratuits toute l’année.- lundi, mardi, jeudi, vendredi(17h-19h) : ateliers jeux (ping-pong, baby-foot, billard, jeux d’a-dresse, jeux de plateau, jeux destratégie) ; aide scolaire pour lescollégiens (inscription au cyberespace, à partir de 17h).

Ouverture des inscriptionspour les colos de l’étéLes séjours enfants aux Chalets Saint-Hugues : des séjours à thèmes sont propo-sés pour les 6-12 ans avec de nombreusesactivités de plein air : Camping, pêche, bai-gnades, randonnées, accrobranche, baladesà dos d’âne, VTT, minigolf, patinoire…Date des séjours : 7 au 20 juillet / 28 juilletau 10 août / 10 au 23 août 2008Inscription à partir du 30 avril au serviceenfance jeunesse loisirs. Renseignements au04-67-51-68-25.

les adhérents.• Mini-stage balades et visitesautour du bassin de Thau, pour les6-12 ans

De 14h à 17h, sauf le vendredi 18avril de 12h30 à 16h30 (ce jourlà, pique-nique prévu dans le parcd’Issanka).A partir de 9 euros, sur inscriptionavant le 10 avril.le 14 avril, Balaruc-les-Bains etBalaruc-le-Vieuxle 15 avril, Marseillanle 16 avril, Frontignanle 17 avril, Mireval et Vic-la-Gardiolele 18 avril, Issanka-Gigean • Mini-stage théâtre, pour les 12-17 ansA l’espace Méditerranée du centresocial. Tous les jours du 14 au 18avril, de 14h à 16h, Préparation d’un spectacle qui serajoué le 24 mai lors d’un festivalrégional organisé par la Fédérationdes centres sociaux.A partir de 9 euros, sur inscriptionavant le 10 avril.• Du 21 au 25 avril espace jeu àl’espace Méditerranée du centresocial, tous les jours de 10h à 12het de 16h à 18h. Accès libre pourles adhérents.• Mini-stage découverte et initia-tion au tennis ballon pour les 12-17 ans au gymnase Maurice-Clavel, tous les jours du 21 au 25avril, de 14h30 à 17h. A partir de

9 euros, sur inscription avant le 17avril.• Mini-stage activités manuellespour les 6-12 ans à l’espace Cannasdu centre social, tous les jours du21 au 25 avril, de 14h à 17h. Accèslibre sur inscription avant le 17avril.• Mercredi 9 avrilSortie au zoo du Lunaret et visitede la serre amazonienne. A partirde 3,50 euros pour les enfants et4,50 euros pour les adultes.Inscription au centre social du 22mars au 7 avril.• Dimanche 27 avrilSortie en famille et entre amis à lacité médiévale de Carcassonne :promenade dans la ville, visite dela cité des oiseaux et spectaclevolant.A partir de 6,50 euros pour lesenfants et 7,50 euros pour les adul-tes.Inscription au centre social du 8 au22 avril.

Centre Social Villefranche 1, rue Villefranche04-99-57-20-90

Du 1er au 30 avril, des travaux demise en conformité seront réalisésau centre social Villefranche. Lecentre sera donc fermé. L’accueildu public ainsi que les activités etpermanences sociales seront délo-calisées. Pour tout renseignementconcernant les lieux et horaires del’accueil et des activités, téléphonezau centre social Villefranche de 9hà 12h et de 14h à 17h30.• Samedi 12 avril : soirée jeux, de20h à minuit. Pour connaître lelieu, merci d’appeler le centresocial.

Mini-stagedu 21 au 25 avril, pour les 10-14ans : Loisirs et sports de plein air,avec la participation d’Héraultsport.

Sortie Familledimanche 27 avril : visite de lacité de Carcassonne et du Parc desOiseaux.Départ à 7h30. Visite libre de lacité. Après le repas, spectacle etvisite de la volière au Parc desOiseaux. Retour à Sète vers 19h.Tarif à partir de 6,50 euros parenfant et 7,50 euros par adulte.Inscriptions du 8 au 22 avril.

Semaine du 31 mars au 4 avrilLundi : salade exotique, escalopede dinde, épinards béchamel, petitsuisse, fruit.Mardi : céleri rémoulade, macaro-nade avec emmental râpé, croc lait,compote de pêches ou compotepommes-ananas.Jeudi : betteraves crues râpées,aiguillette de poulet colombo,haricots verts, yaourt aromatisé,crêpe au chocolat.

Vendredi : concombre bulgare,marmite de fruits de mer, riz créo-le, gouda, lacté vanille.

Semaine du 7 au 11 avrilLundi : salade Iceberg, lasagnes,yaourt aux fruits mixés, fruit.Mardi : tomates basilic, parmen-tier de colin, Saint-Nectaire, flannappé caramel.Jeudi : macédoine vinaigrette,boulettes de bœuf à la tomate, len-tilles, fromage blanc, fruit.Vendredi : gaspacho douceur,poulet à l’ananas, semoule à la can-nelle, dessert douceur.

Semaine du 14 au 18 avril :menus des centres de loisirsLundi : radis beurre, sauté d’a-gneau, riz créole, tomme blanche,compote de pêches.Mardi : crêpe au fromage, steakhaché sauce échalotes, courgettesbraisées, yaourt aux fruits mixés,fruit.Mercredi : salade Iceberg, pouletrôti, pennes emmental râpé,Coulommiers, fruit. Jeudi : raïta au concombre, ome-lette estragon, carottes braisées,fondue vache qui rit, tarte auxpommes.Vendredi : salade de haricots verts,filet de lieu sauce dieppoise, pom-mes vapeurs, petit moulé ail et

fines herbes, fruit.

Semaine du 21 au 25 avrilLundi : carottes râpées au miel,filet de poisson sauce citron, blé,gouda, compote pommes cannelle.Mardi : duo de choux, gratin aujambon de dinde, pommes deterre, lacté vanille, fruit.Mercredi : pommes de terreciboulette, sauté de bœuf, tomatesau four, bleu, gâteau chocolat,Jeudi : tomates au basilic, burgerde veau, polenta sauce tomate,babybel, fruit rouge.Vendredi : friand au fromage, filetde hoki sauce agrumes, poêlée delégumes verts, chèvre, fruit.

A table !

Inscription à la CalandretaLes inscriptions à la Calandreta dels dalfinets sont ouvertes pour les enfants nésen 2006 ou avant. La Calandreta est une école associative, laïque et gratuite souscontrat avec l’Education Nationale. Elle propose un enseignement bilingue occi-tan-français, de la maternelle au CM2, tout en mettant en œuvre des pratiquespédagogiques originales inspirées de la méthode de Célestin Freinet.Pour tous renseignements, contacter le 06-15-83-10-17.

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esse

I naugurée le 7 février (lire p.11), la Maisonde la vie associative a été spécialement amé-

nagée à l’intention de toutes les associationsdont le siège est situé dans les limites de la com-mune, quel que soit leur secteur d’activité, ainsiqu’à celle de toutes les associations départemen-tales, régionales ou nationales justifiant d’ac-tions permanentes dans la ville. En inaugurantce lieu, le maire a souhaité qu’il profite à la vita-lité du tissu associatif sétois et précisé qu’unagent municipal se tiendrait à la disposition deses acteurs pour les aider dans leursdémarches. “Déposer une demandede subvention, solliciter une aidetechnique… Les démarches adminis-tratives peuvent souvent s’avérercomplexes pour les responsables asso-ciatifs. Ici, dans ce nouveau lieu quileur sera dédié, un agent municipalrompu aux arcanes administratifssera présent pour les renseigner, lesorienter et les aider à optimiser le fonctionnementde leur association”, a déclaré le maire. Lieu ressource, cette Maison de la vie associati-ve proposera divers services comme un accès àInternet, une bibliothèque ou encore deux sal-les de réunion. “Deux postes informatiques y

seront en accès libre, qui offriront des services debureautique et une connexion Internet haut débit.Les visiteurs auront aussi à leur disposition uneimprimante/photocopieuse ainsi qu’une biblio-thèque. Du mardi au vendredi, de 12h à 19h, etle samedi de 10h à 17h, un agent sera présentpour les orienter dans leurs recherches ou jouer lerôle d’interface avec les services municipaux. Leslocaux pourront également être utilisés surdemande préalable, le soir, de 19h à 22h, grâce àla présence d’un gardien”, détaille l’élue déléguée

à la vie associative, la vie des quar-tiers et aux jumelages. Plus de deux mois de travaux et150 000 euros ont été nécessairespour permettre à la Maison de lavie associative d’ouvrir ses portes.“Nous avons initié ce projet en2004, mais avant de le mener àbien, nous avons veillé à reloger l’as-sociation qui occupait les lieux dans

un local situé dans le même quartier. Puis, il afallu engager d’importants travaux pour remettreen état ces anciens locaux laissés à l’abandon, quiont été la cible de nombreux actes de vandalis-mes”, souligne l’élue. “Tout a été refait du sol auplafond, toiture comprise”, précise Olivier Rosso,

directeur adjoint du pôle patrimoine immobi-lier de la ville. Une grande partie de ces travaux

La maison de la vie associative sétoiseouvre ses portes

( p r o x i m i t é )

IL MANQUAIT UN LIEU À SÈTE. UN ENDROIT QUI PUISSE SERVIR DE LIEU DE RENCONTRE, D’ÉCHANGE ET D’INFORMATIONENTRE LES DIFFÉRENTS ACTEURS DE LA VIE ASSOCIATIVE SÉTOISE. CAR ILS SONT NOMBREUX, CES ACTEURS. LA PRESQU’ÎLECOMPTE PAS MOINS DE 232 ASSOCIATIONS. SPORTIVES, CULTURELLES, CARITATIVES, LUDIQUES OU IDENTITAIRES…CELLES-CI PARTICIPENT AU DYNAMISME DE LA CITÉ ET OFFRENT UN RICHE PANEL DE SERVICES AUX SÉTOIS. LA MUNICI-PALITÉ, QUI LEUR APPORTE UN SOUTIEN TECHNIQUE, HUMAIN ET FINANCIER À HAUTEUR DE 2 MILLIONS D’EUROS, A SOU-HAITÉ ALLER PLUS LOIN, EN OUVRANT LA MAISON DE LA VIE ASSOCIATIVE SÉTOISE.

L’ensemble de cetteréhabilitation a été

mené avec le souci deréaliser des économies

d’énergie afinde préserver

l’environnement.

La maison de la vieassociative, côté

pratique :Adresse :Espace Victor Meyer/La Pierrerie Rue duMoulin à Vent.Tél. : 04-67-53-52-04.Jours et heures d’ouverture : du mardi auvendredi, de 12h à 19h.Le samedi de 10h à 17h. Possibilité d’u-tiliser les locaux, le soir, de 19h à 22h,sur demande préalable.

Ce sont lesservices

municipauxqui ontréalisé

la majeurepartie destravaux.

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a été réalisée en interne, par les services tech-niques municipaux dont il convient de saluerl’excellent travail. “Peintures, menuiseries (cons-truction de la bibliothèque, de la banque d’ac-cueil, des meubles informatiques), chauffage etespaces verts, jusqu’au nettoyage après chantier ontété pris en charge par les agents de la ville qui ontfait preuve d’ingéniosité et de performance tech-nologique”, salue le responsable. Les autres étapes du chantier ont consisté àréaliser un drainage en périphérie du bâtimentpour résoudre les problèmes d’infiltration d’eauen terrasse, à reprendre les cloisons et carrelages,à rénover l’installation électrique ainsi que lespeintures et menuiseries. De nombreux aména-gements ont également été effectués pour per-mettre l’accessibilité de l’ensemble des pièces,sanitaires compris, aux personnes à mobilitéréduite. “Si le bâtiment ne peut être considérécomme HQE (Haute Qualité Environnementale)du fait de la partialité de sa rénovation, l’ensem-ble de cette réhabilitation a été mené dans unsouci d’économie de frais de fonctionnement et derespect de l’environnement, notamment en matiè-re de chauffage et d’éclairage”, ajoute OlivierRosso. Les espaces extérieurs ont été embellis.Enfin, une clôture a été installée pour limiter lesactes de vandalisme et préserver les abords dubâtiment. Entièrement rénové, cet espace sera ouvert dèsle mois d’avril. Les associations qui animent lavie sétoise disposeront enfin d’un lieu. Ce nou-vel outil s’inscrit en complément des aides déjà

apportées par la ville au tissu associatif, tellesque la mise à disposition de locaux (voir ci-contre), des subventions à hauteur de 2 millionsd’euros et des services, comme le forum des

associations qui se déroule chaque année aumois d’octobre, ou encore le guide des associa-tions, qui recense les coordonnées de plus de200 d’entre elles.

L’ensemble dela réhabilita-tion a étémené dansun soucid’économied’énergie etde respectde l’environ-nement.

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Un patiofleuri a été

créé afind’égayer etd’éclairer

le halld’accueil.

Les extérieursont étéembellis etune clôture aété installéeafin depréserver lesabords dubâtiment.

Rien à jeter parmi les sélectionnésComme chaque année depuis six ans, le jury de la soirée Rien à jeter, réuni à l’EspaceBrassens et composé de professionnels de la musique, de représentants des structuresculturelles départementales et régionales, de journalistes spécialisés et de diffuseurs, n’apas eu la tâche facile pour départager les jeunes talents de la chanson française candi-dats à l’édition 2008. 136 dossiers de candidature avaient été reçus. Après une pre-mière sélection, 30 candidats ont été présentés pour la sélection définitive. Après lec-ture de leur parcours artistique, deux titres par groupe ont été entendus. Quatre grou-pes ou artistes sont arrivés en tête.CEDRIC (de Montpellier) : à mi-chemin entre l’imaginaire et le réel, chaque chanson estcomme un court-métrage dans lequel se croisent d’insolites personnages ! DANITO (de Pouzolles -34) : des morceaux qui combinent le swing, la musette etc. surdes textes originaux aux sons de l’accordéon, de la contrebasse, des guitares et percussions. KALIS (de Marseille) : un rock parfaitement agencé, un chant prenant, des textes remplisde pertinence.LA MOUISE (deNîmes) : le trio forméen 2003 ne renie passes origines folk et s’a-venture dans descontrées électriques.Soirée Rien à jeter,théâtre de la Mer,mercredi 11 juin à20h. Tarif : 5 euros + frais de loc. Entrée gratuite pour ceux ayant acheté un billetpour l’une des autres soirées du festival.

Journées portes ouvertes à l’IUT ChimieComme tous les ans, l’IUT Chimie a reçu d’éventuels futurs élèves et leursparents pour présenter la gamme de ses enseignements, tournés principale-ment vers l’environnement. Mais cette année, il y avait du nouveau puisque,après treize ans d’existence, le vaste bâtiment implanté près du Centre nau-tique Fonquerne est en cours d’agrandissement. Il est maintenant flanquéd’une vaste construction d’un étage qui, dès la prochaine rentrée, renfermerades salles de classe et, surtout, un grand amphithéâtre. “Il sera consacré à l’en-seignement théorique, libérant ainsi des surfaces pour l’enseignement pratiqueet les labos”, précise Geneviève Cerveau, directrice de l’établissement (lireaussi p. 14).Les futurs élèves, venusde toute la France etmême de l’étranger, ontpu visiter leur prochainlieu de travail etconverser avec les ensei-gnants et les étudiantsen fin de cycle.

3 défibrillateurs offerts par le KiwaniVendredi 15 février, le club service Kiwani a remis aux commerçants desHalles un défribillateur en présence des élus municipaux. Le docteurJacques Le Serre a expliqué l’importance de cet appareil dans un lieu aussifréquenté et passager que les Halles centrales : “En cas d’arrêt cardiaque,première cause de mortalité dans le monde, (60 000 décès en France paran), une intervention est nécessaire dans les 3 minutes. Or, les secours met-tent en moyenne 8 à 12 minutes pour intervenir. Les défribillateurs, dontl’emploi est d’une extrême simplicité, permettent de sauver des vies. Deuxautres appareils ont été offerts à la municipalité. Ils seront placés au StadeLouis-Michel et au centre balnéaire Raoul-Fonquerne.

“La très très grosse entreprise” est le titre du prochain film de Pierre Jolivet,centré autour des thématiques de l’environnement. Ce qui l’a conduit à choi-sir le cadre privilégié de Sète et du bassin de Thau pour une partie du tour-nage. Cette nouvelle comédie sociale raconte l’histoire de trois riverains, unfleuriste, un restaurateur et un ostréiculteur, unis dans un même combat cont-re une multinationale qui pollue l’étang au bord duquel ils vivent. Petite pré-cision cependant : les scènes de pollution ont été tournées à Berre. A Sète, l’é-quipe de tournage, composée d’une cinquantaine de personnes dont Jean-PaulRouve, Marie Gillain, Adrien Jolivet et Roschdy Zem, aura été présente troisjours durant au total. Deux journées en gare de Sète et une pour filmer unescène à la sortie du Tribunal de commerce. Environ 200 figurants sétois et desenvirons ont été mobilisés pour l’occasion. Avant le tournage du prochain filmde Claude Chabrol, et la sortie du dernier Agnès Varda en partie tourné à Sète,la ville confirme l’intérêt croissant qu’elle suscite dans le monde du 7e art.

Pierre Jolivet en tournage à Sète

Beaucoup de Sétois ont répondu à l’invitation du musée vendredi 15février pour le vernissage de l’exposition Colette Richarme, Inspirationssétoises. Mais aussi beaucoup de Montpelliérains qui se sont déplacés pour

honorer l’œuvre et la mémoire de leur concitoyenne. Car c’est àMontpellier que Colette Richarme a choisi de s’installer avec sa famille en1937. Proche de l’école Montpellier-Sète dominée par la figure de François

Desnoyer, cette artiste a pourtant eu du mal àse faire accepter dans ce groupe constitué exclu-sivement d’hommes. L’injustice est aujourd’huiréparée avec l’exposition que lui consacre lemusée Paul-Valéry. Le maire FrançoisCommeinhes n’a pas manqué de saluer à cetteoccasion “celle qui a apporté sa pierre à cet édi-fice extraordinaire réalisé par ceux qui ont mar-qué à jamais l’histoire de la peinture sétoise”. Lesdeux filles de Richarme n’ont pas caché leurplaisir et leur émotion de voir se concrétiser unévénement dont elles ont longtemps rêvé.Jusqu’au 11 mai, une soixantaine d’œuvres -huiles sur toile, gouaches, aquarelles, carnets decroquis pris sur le vif, et de nombreux dessins -retrace le parcours sudiste de Colette Richarme,entre abstrait et figuratif (lire sète.fr n°53).

Beau succès pour Richarme au musée Paul-Valéry

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Afin d’améliorer l’insertion professionnelle desjeunes étudiants en BEP hôtellerie du lycéeCharles-de-Gaulle dans un secteur d’activitéqui manque cruellement de personnels sensibi-lisés à la langue et à la culture allemande, lelycée a décidé de créer une plate-forme acadé-mique franco-allemande pour la formation pro-fessionnelle. Ce projet, soutenu par la ville deSète et le comité de jumelage Sète-Neuburg, aété inauguré par le recteur d’académie le 23 jan-vier. C’est dans ce cadre que 17 jeunes de ter-minale BEP hôtellerie sont partis effectuer unstage professionnel de trois semaines dans desentreprises hôtelières neubourgeoises.

17 étudiants à Neuburg Deux invités prestigieux au café litteraireLe café littéraire Lire et Dire, animé par Tino Di Martino, s’est tenu le vendredi 29 février à la galerie DockSud. Deux écrivains, Brigitte Camus et Jean-Claude Lamy, étaient invités à présenter leurs ouvrages autour dela personnalité et de l’œuvre du peintre Bernard Buffet. Un artiste qui n’a jamais cessé d’alimenter la polémiqueet de susciter les passions. Cette réputation sulfureuse, ainsi que le prestige des deux auteurs ont attiré à la gale-rie Dock Sud de très nombreux deconnaisseurs. Un café littéraire par-ticulièrement réussi donc, dans unlieu privilégié où sont présentéesjusqu’au 8 avril une trentaine detoiles de Maurice Sarthou. Buffet ou la psychanalyse en signa-ture - Auteurs : Brigitte Camus etYves Birtin - paru en 2007 aux édi-tions de l’EpureLe Samouraï - Auteur : Jean-Claude Lamy - paru en 2008 chezAlbin Michel

Michel Barnier, ministre de l’agriculture et de la pêche et ancien com-missaire européen, s’est rendu à Sète mardi 18 mars afin d’y rencont-rer les représentants des pêcheurs et d’inaugurer la nouvelle unité des-tinée à la production de Diester de l’usine Saipol, en compagnienotamment du maire François Commeinhes, du député Gilles d’Ettoreet du Préfet de région.Première étape de la visite, une réunion avec les pêcheurs, mais aussiles ostréiculteurs et conchyliculteurs de l’étang de Thau était organiséeà la Maison de la mer. De nombreux sujets ont pu être évoqués, etnotamment la mise en œuvre du plan pour une pêche durable etresponsable, ce qui a permis aux pêcheurs d’exprimer leurs préoccu-pations. Très attentif, le ministre s’est dit “plus attaché aux effets desuivi qu’aux effets d’annonce” et a promis de revenir à Sète. Dans un

second temps, Michel Barnier s’est rendu à l’usine Saipol, au cœur duport, afin d’inaugurer l’unité d’estérification, qui permet de transfor-mer huile et méthanol en diester. Le ministre a salué après la visite“une unité industrielle exemplaire”, avant de s’engager à conforter lafilière agrocarburants “au bilan économique et écologique exemplai-re”. François Commeinhes a quant à lui souligné que cette unité “toutesa place dans notre port car elle correspond parfaitement à l’orienta-tion [qu’il] souhaite donner à l’ensemble de la politique municipale, àsavoir la protection de l’environnement”. Le maire avait auparavant pusensibiliser le ministre à la présence à Sète d’usines génératrices de nui-sances pour la population, qu’il souhaiterait voir délocalisées loin ducentre-ville. L’après-midi s’est clôturé par la remise de la Légion d’hon-neur à Philippe Tillous-Borde, président de Diester industrie et Saipol.

Le ministre de l’agriculture et de la pêche à Sète

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• Hôtel de Ville20 bis rue Paul-Valéry04-67-46-21-21.Horaires : 8h-12h, 14h-17h45.www.ville-sete.fr• Mairie annexe Ile de ThauBd Pierre-Mendès-France04-67-51-11-31.Horaires : 8h-12h, 14h-17h30.• Mairie annexe CornicheRés. le Lagon bleu, rteCorniche 04-67-53-68-08.Horaires : 8h-12h, 14h-17h30.• Office de tourisme60, Grand-rue Mario-Roustan. 04-67-74-71-71.www.ot-sete.frHoraires : 9h-18h tjs.• Office Public H.L.M.14, rue des Lauriers-roses.

04-67-51-19-49.Horaires : 8h-12h, 13h-17h,sauf mardi et jeudi 13h-16h.

SERVICES MUNICIPAUX• Permanences des élus : sur rendez-vous. 04-67-46-23-69 ou 04-67-46-23-70.1er étage de l’hôtel de ville.• Permanence conditionféminine : 04-67-51-68-13.• Population (affaires civiles,cartes d’identité, passeports,sorties du territoire) : rez-de-chaussée de l’hôtel de ville.04-67-46-20-88.Horaires : 8h-12h, 13h30-17h30.• Urbanisme : hôtel de ville -1e étage - porte 125.04-67-46-21-60/21-45.Horaires : 8h30-12h. • Démocratie de proximité :Rez de chaussée de l’hôtel deville, rue Frédéric Mistral04-67-46-20-21• Animation : 20, bis ruePaul-Valéry. 04-67-46-20-68.Horaires : 8h30-12h, 14h-17h45, sauf vendredi 17h30.• Direction de la gestion et del’exploitation du domainepublic : 10, avenue Marx-Dormoy. 04-67-46-21-20.Horaires : 8h30-12h, 14h-17h30. Pour le marché auxpuces : mardi 8h30-17h.• Services techniques :815, quai des moulins 04-67-46-21-36.Horaires : 8h30-11h45,13h30-17h.• Cadastre : 815, quai desMoulins. 04-67-46-21-31.Horaires : 8h30-11h45.• Police municipale :Quai des Moulins04-67-46-23-88.Accueil : 8h30-12h, 14h- 18h.

• Régie des pompes funèbres81,boulevard Camille-Blanc04-67-51-87-10.Accueil : 8h30-12h, 14h-17h45 sauf samedi 8h30-12het dimanche 9h-11h.Accueil du public, visitessalon : 8h30-18h30 tjs.- Cimetière le PyBoulevard Camille-Blanc04-67-74-94-36.Horaires : 8h-12h, 14h-18h.- Cimetière marin, rueJean-Vilar. 04-67-74-25-62Horaires : 8h-12h, 14h-17h45.• Centre social Villefranche :1, rue Villefranche04-99-57-20-90.Horaires : 8h30-12h, 13h30-18h30, sauf mercredi 17h30.• Centre social Nicolas-GabinoBd Pierre-Mendès-France04-67-74-06-24. Horaires :9h-12h, 14h-19h sauf mardiet vendredi 22h.

ENFANCE ET JEUNESSE• Guichet unique (enfancejeunesse, affaires scolaires,hygiène) : inscriptions scolai-res, cantines, mise à jour car-net de santé.11, rue Alsace-Lorraine04-67-51-68-10. Horaires : 8h30-11h30, 14h-16h30.• Restauration collective : 32, rue du 81e Régimentd’Infanterie. 04-67-18-67-50.Horaires : 8h30-17h.• Maison de quartier de l’île deThau. Espace Méditerranée.04-67-51-54-56• CFA / CFP, Rue Mirabeau04-99-57-60-35.Horaires : 8h-12h, 14h-17h.

CULTURE• Service des affaires culturel-les, 35 bis, Grand’rue Mario-Roustan. 04-67-74-70-55Horaires : 8h30-12h, 14h-17h45 sauf vendredi 17h30.• Archives municipalesBd Danielle-Casanova04-67-74-29-55.Horaires : 8h45-12h et de13h45-17h45.• MédiathèquesMédiathèque F. Mitterrandbd Danielle Casanova04 67 46 05 06Adultes, audio :Lundi : 9h - 17h.Mardi, vendredi : 9h - 12h et14h30 - 18h30Mercredi, samedi : 9h-12h,14h - 17h30.

Jeunesse : Lundi : 12h - 17h.Mardi, vendredi : 14h30 -18h30. Mercredi, samedi : 9h- 12h et 14h - 17h30.Multimédia : lundi, mercredi :14h - 17h, mardi, vendredi :14h30 - 18h30Samedi 9h - 12h et 14h - 17hLa médiathèque est fermée aupublic le jeudi. Les exposi-tions sont ouvertes au publicle lundi et le samedi de 9h à17h ; le mardi, mecredi, ven-dredi : 9h - 12h et 14h - 17hdurant cette période.Médiathèque André Malrauxbd Pierre Mendès-France04 67 51 51 07Lundi, jeudi : 9h - 13h.Mardi, vendredi : 14h30 - 18h30.Mercredi, Samedi : 9h - 12h et14h - 17h30.Multimédia : lundi, jeudi : 9h -13h. Mardi, vendredi : 14h30 -18h30. Mercredi, samedi : 9h -12h et 14h - 17h30. • Conservatoire municipal21 bis, rue Jean-Moulin. Tél. : 04-67-46-20-97.Horaires : 8h30-19h saufsamedi 9h-12h, 14h-18h. • Théâtre Molière / Scènenationale : Avenue Victor-Hugo. Bureaux administra-tifs : 04-67-74-32-52.Horaires : 9h-12h, 14h-18h.Accueil public/ location (dansle hall du théâtre) :04-67-74-66-97.Horaires : du mardiau samedi 13h-18h.www.scenenationale-sete-bassindethau.com• Centre régional d’artcontemporain.26, quai Aspirant-Herber.04-67-74-94-37.Horaires : 12h30-19h, week-end 13h-18h. Entrée libre.• Ecole municipale desBeaux-Arts. Villa Saint-Clair17, rue Louis Ramon.04-67-74-37-07.Horaires : 9h-12h, 14h-18h.• Espace Brassens67 boulevard Camille-Blanc04-67-53-32-77.Horaires d’hiver : mardi àdimanche 10h-12h, 14h-18h.www.ville-sete.fr/brassens• Musée Paul-ValéryRue François-Desnoyer04-67-46-20-98.Horaires : 10h-12h, 14h-18h,sauf mardis et jours fériés.Tarif de 1,50 à 3euros.• MIAM 23, quai duMarécha l -de -La t t re -de -

Tassigny. 04-67-18-64-00.Tarif de 1,50 à 5 euros.www.miam.orgHoraires : 10h-12h, 14h- 18h,sauf lundis et jours fériés. • Billet unique 3 musées6 euros

SPORTS • Service des sports1er étage de l’hôtel de ville.04-67-46-20-67.• Centre balnéaire Raoul-

Fonquerne, Rue de la Poule-d’Eau. 04-67-53-94-54.• Complexe du LidoRue du Dauphiné04-67-53-74-59Horaires d’ouverture des pla-teaux sportifs : tjs 8h-19h.

CENTRE COMMUNAL D’ACTION SOCIALE

• Standard : 04-67-51-65-00.Horaires : 8h30-11h45,13h30-17h15, vendredi 17h.

( a n n u a i r e )

A votre service… Les marchés

Lundi : alimentaire, fleurs et vestimentaire,place Marius-Bonneton, Île-de-Thau.

Mercredi : alimentaire, fleurs et vestimentaire,halles centrales, rue Gambetta, place Aristide-Briand et place Léon-Blum.

Jeudi : marché paysan, place Edouard-Herriot.

Vendredi : alimentaire, fleurs, vestimentaire,avenue Victor-Hugo.

Dimanche : puces, place de la République.Et tous les jours de 6h à 13h, les commerçants des hal-les centrales vous accueillent. Tous les métiers d’alimen-tation sont présents.

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• Au 8, rue Gabriel-Péri- R.M.I. : 04-67-51-65-12.- Accueil : 04-67-51-65-05.- Aide légale : 04-67-51-65-11.- Solidarité : 04-67-51-65-01.• Au 10, rue Gabriel-Péri- 3e âge, aides ménagères 04-67-51-65-07.- Petite enfance :04-67-51-84-60.• Café de la Paix, libre service de lasolidarité. 39, rue Henri-Barbusse.04-67-43-51-74.Horaires : mardi au vendredi 9h-11h30.• C.C.A.S. annexe04-67-51-28-79. Horaires : 8h-11h45, 13h30-17h15.• Point information jeunesse

1 rue Villefranche04-99-57-20-94.

ORGANISMES PUBLICS• Poste centrale1 bd Danielle-Casanova04-67-46-64-20.• Thau agglomération.Le Président, rte de Sète. BP 18 -34540 Balaruc-les-Bains04-67-74-05-09• Chambre de commerce et d’in-dustrie Sète-Frontignan-Mèze.Quai Philippe-Régy04-67-46-28-28. www.sete.cci.fr• TotemBoutique multiservices, 6 quai dela Résistance 04-67-74-18-77.

Du lundi au vendredi de 9h à12h15 et de 14h15 à 18h.• Maisons des jumelages“Le Majeur”. 441, quai du docteurScheydt. 04-67-74-64-90.• A.N.P.E.12 rue A.-Lumière 04-67-46-88-70.• A.S.S.E.D.I.C.Bd Camille-Blanc Tél. 39-49.www.assedic.fr• C.A.F.Rue R.-Rolland 04-67-22-99-30.• C.I.O.10, rue du Palais 04-67-18-34-18.www.ac-montpellier.fr/ciosete• Clinique Sainte-Thérèse6, quai du Mas-Coulet04-67-46-36-00.• Centre hospitalier

Boulevard Camille-Blanc04-67-46-57-57.• Commissariat50, quai de Bosc 04-67-46-80-22.• C.P.A.M.8, quai Vauban 04-67-46-61-46.• E.D.F / G.D.FImpasse Ardents 04-67-46-74-00.• GendarmerieBoulevard de Verdun04-67-53-51-10.• Impôts274, avenue du Maréchal-Juin. 04-67-46-38-00.• Mission locale du bassinde Thau.Rue Mirabeau 04-67-51-46-38.• Pompiers : composez le 18 • SAMU : composez le 15.

Déchetterie : papier, carton, texti-le, verre, métaux, bois électromé-nager, déchets verts, gravats, terre,piles, huiles végétales et minérales,acides, peintures, bombes aérosols.Service gratuit et illimité pour lesparticuliers. ZI Les Eaux blanches.Ouvert du lundi au samedi, de 9hà 12h30 et de 14h à 17h30 et ledimanche de 9h à 12h30. Pour

tout renseignement, contacter lepôle déchets de Thau aggloméra-tion : 04-67-46-23-32.Collecte des déchets verts avrilSamedi 5 : rue des Ecoles / impas-se de la Source, avenue de laSource / rue des Lauriers, place desAnciens d’Indochine, rue Antoine-Laurent De Lavoisier.Samedi 12 : Allée Pierre Barthas,

ch des Pierres Blanches / ch de laSauge, rue du Football, rue duMoulin à Vent. Samedi 19 : rue des Tadornes,place du Pont Levis, avenue duTennis/rue des Pyrénées, ch desCarrières / bd Joliot Curie. Samedi 26 : rue desCormorans/rue Marius Michel,rue Toussaint Roussy, rue des

Frégates / rue des Cormorans, ruedes Iris / rue Clair Matin.Samedi 3 mai : rue des Ecoles /impasse de la Source, avenue de laSource / rue des Lauriers, place desAnciens d’Indochine, rue Antoine-Laurent De Lavoisier.

3 avril 10 avril 17 avril 24 avril 1er mai

( g r o s o b j e t s )

Attention : la collecte des encombrants démarrant à 4h30 du matin,les administrés sont invités à sortir leurs gros objets la veille au soir.

En avril, les encombrants seront ramassés dansles quartiers suivants

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QU’ELLE SOIT USÉE, POTABLE OU DE PLUIE, L’EAU EST UN ÉLÉMENT ESSENTIEL DE L’AVENIR DE THAU. POUR PRÉSERVER LALAGUNE ET ASSURER LA PÉRENNITÉ DES ACTIVITÉS PÊCHE ET CONCHYLICULTURE, LA VILLE DE SÈTE S’EST ENGAGÉE DANSUNE DÉMARCHE NOVATRICE EN ÉLABORANT SON SCHÉMA DIRECTEUR DES EAUX PLUVIALES ET EN RÉALISANT DE NOMB-REUX EFFORTS EN FAVEUR DE LA PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT. CETTE INITIATIVE EST CITÉE EN EXEMPLE PAR LESYNDICAT MIXTE QUI, DANS LE CADRE DE SON PROGRAMME OMEGA THAU, TRAVAILLE À L’IDENTIFICATION DES SOUR-CES DE POLLUTION DE L’ÉTANG ET DES INVESTISSEMENTS PRIORITAIRES QUI PERMETTRONT D’Y REMÉDIER. TOUS LESEFFORTS SONT DÉSORMAIS CONJUGUÉS POUR AMÉLIORER LA PROTECTION DE CE PATRIMOINE NATUREL EXCEPTIONNEL.

L’eau, un sujet d’avenir( e n v i r o n n e m e n t )

D epuis deux ans, nous avons réalisé d’énormes progrès en termes de rejetdans le milieu”, se félicite François Commeinhes, maire de Sète. La

commune a en effet pris la problématique du traitement des eaux plu-viales à bras le corps. Depuis deux ans, elle s’impose et impose, pour

chaque programme de travaux entrepris sur son territoire, d’opérer laséparation des réseaux d’eaux pluviales et usées à chaque fois que celaest possible. Les eaux de pluie sont alors directement absorbées par lemilieu et la quantité d’eau acheminée à la station d’épuration diminued’autant. Autre mesure phare, l’installationd’un séparateur d’hydrocarbures pour touteconstruction d’immeuble collectif. Ces engins,équipés de débourbeurs et désableurs intégrés,permettent un premier traitement de l’eauavant son rejet dans le milieu naturel et limite ainsi le degré de pollu-tion. Toujours dans le même objectif, des paniers dégrilleurs ont été misen place sur les conduites qui se déversent dans le canal afin de retenircanettes, sacs plastiques et autres déchets. Enfin, pour lutter contrel’imperméabilisation des sols sur le mont Saint-Clair, qui ne dispose pasde réseau pluvial collectif, un cahier des charges a été élaboré qui pres-crit des solutions personnalisées pour chaque nouvelle construction.Par ces contraintes, la ville souhaite maîtriser le débit du ruissellementdes eaux de pluie par une absorption directe par le milieu, solution laplus écologique, et promouvoir la réutilisation des eaux de pluie pourl’arrosage.

Des résultats encourageants etdes solutions pour l’avenir

La campagne de mesures réalisée d’octobre à décembre 2007, surles rejets d’eaux pluviales à la mer et à l’étang dans la commune deSète a mis en avant les résultat suivants : mises à part les mesuresélevées de DCO (demande chimique en oxygène), dues, semble-t-il,à la mise en charge du réseau par des eaux salées ou saumâtres, lesrelevés effectués sont conformes aux mesures moyennes constatéesdans les réseaux pluviaux. L’analyse de ces mesures, avec la prédo-minance des MES (matières en suspension) et bactéries va permet-tre d’orienter le type de traitement des eaux pluviales au regard dela sensibilité du milieu, aussi bien pour la mer que pour l’étang.

Anticiper l’aveniret préserver

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Unséparateurd’hydro-carbures(présents surles chaussées)a été installéà laCorniche.Equipé dedébourbeurset désab-leurs pourun premiertraitementde l’eauavant sonrejet dansle milieunaturel, ilpermet delimiter ledegré depollutionde l’eaude mer encontrebas.

“La démarche de la ville de Sète en matière d’étu-de et de gestion des eaux pluviales est très novatri-ce. Elle s’inscrit en parfaite complémentarité avecle programme OMEGA Thau, et répond auxobjectifs du contrat qualité. C’est d’ailleurs à cetitre qu’elle est financée en partie par l’Agence del’Eau”, se félicite Gilles Brocard, ingénieur terri-torial en charge du Schéma d’Aménagement etde Gestion des Eaux au Syndicat Mixte duBassin de Thau. Créé en janvier 2005 pourassurer la protection et la gestion de la lagunede Thau, le SMBT vient en effet de se doterd’un nouveau programme de recherche baptiséOMEGA Thau (Outil de managementEnvironnemental et de Gestion del’Avertissement). “OMEGA Thau va nous per-mettre de mieux comprendre les mécanismes detransfert du bassin versant vers la lagune, desavoir comment se diffusent les agents microbiolo-giques et leur impact sur les milieux. Une fois que

nous maîtriserons ces données, nous pourronsaider les collectivités à déterminer les investisse-ments prioritaires et à les optimiser pour unemeilleure qualité des eaux de la lagune. Il s’agitaussi de créer un système d’avertissement précocequi permettra, en fonction des prévisions météoro-logiques, d’avertir les professionnels des risquespour une gestion préventive de la qualité des pro-duits issus des cultures marines, mais aussi le suivide la qualité des eaux de baignade…”, détaille leresponsable.Pour obtenir ces résultats, OMEGA Thau sedécoupe en plusieurs phases. La première, qui adébuté en septembre 2007 et s’achèvera finaoût 2008, consiste en une série de mesures partemps de pluie afin d’identifier précisément lesapports de pollution bactériologique des exu-toires vers l’étang. 30 à 40 personnes et deuxbateaux d’Ifremer sont mobilisés par cette opé-ration. La deuxième s’étendra de 2008 à début

2009 et comprendra l’exploitation des donnéeset modélisations des flux. Enfin, à partir de2009 jusqu’à début 2010 : le SMBT procéderaà l’élaboration du programme d’actions et del’architecture de l’outil d’avertissement.1,3 million d’euros sont investis dans cette opé-ration (hors coût de développement de l’outild’avertissement). Celle-ci s’inscrit pleinementdans le contexte du 3e contrat de qualité de lalagune de Thau. Financé par les partenaires ducontrat de lagune, Agence de l’Eau, Région,Département et Europe, ce programme est lepremier à être mené à cette échelle en France.

Un investissement à la hauteur de l’enjeu : - Coût de la modélisation du réseau d’eau pota-ble : 83 086 euros.- Coût de l’élaboration du schéma directeurd’eaux pluviales : 163 732 euros dont subven-tion de l’Agence de l’Eau : 68 450 euros.

Une étude pour prévoir l’avenirPour aller encore plus loin, la ville a entrepris de réaliser son schéma direc-teur des eaux pluviales. Il permettra, outre la prévention des risques d’i-nondation, d’anticiper le développement du réseau pluvial en tenantcompte des évolutions urbanistiques de la ville à moyen (cinq ans) et longterme (vingt ans). C’est en ce sens que des analyses ont été effectuées, d’oc-tobre à décembre 2007, sur les rejets d’eaux pluviales à la mer et à l’étang(voir résultats ci-contre). Ces mesures faisaient partie d’une étude, com-prenant trois phases. La première consistait en un relevé topographique duréseau existant. La seconde, en une analyse quantitative (avec détermina-tion de tous les bassins versants) et qualitative des rejets dans le milieu. Latroisième ciblait, sur la base des deux précédentes, l’élaboration du sché-ma directeur. “Nous avons ciblé une population de 50 000 habitants et enavons déduit les équipements à réaliser pour adapter le réseau”, détaillePatrick Réamot, directeur des services techniques de la ville, qui ajoute :“Nous disposerons ainsi d’une vision plus globale qui nous permettra d’antici-per sur l’avenir.” Les résultats de cette étude vont conduire à l’élaborationd’un cahier des charges prescrivant des contraintes en fonction de la typo-logie des zones concernées, conformément à l’article 35 de la loi sur l’eau.“Elles seront plus importantes, par exemple, pour les zones industrielles que le

centre-ville”, détaille Patrick Réamot. Ces contraintes viseront toutes unmeilleur traitement des eaux de ruissellement.

Et l’eau potable dans tout ça ?Depuis janvier 2006, la ville travaille à l’élaboration de la modéli-sation informatique de son réseau d’eau potable. Cet outil informa-tique permet aujourd’hui de dimensionner les ouvrages à réaliser enanticipant sur les évolutions urbanistiques. Plusieurs campagnes demesure ont été effectuées afin de caler le modèle. Les investissementsfuturs pressentis sont aujourd’hui justifiés par le modèle et dimen-sionnés. Il s’agit entre autres de l’agrandissement du réservoir deSaint-Clair sur le haut service et la création d’un nouveau stockagesupplémentaire sur le secteur du bas service. “Nous n’avons pasattendu cette étude pour réaliser des améliorations sur le réseau. Lesinvestissements déjà accomplis par la ville permettront de limiter levolume des travaux à réaliser”, relève la responsable. Cette étude vanéanmoins permettre de planifier les investissements à réaliser.

Un cahier des chargesspécifique au mont Saint-Clair

Depuis 2006, la ville a mis en place un cahier des charges spécifiques pour toute nou-velle construction sur le mont Saint-Clair. Cette mesure vise à limiter l’imperméabilisa-tion des sols sur cette zone, qui ne dispose pas de réseau d’eau pluvial collectif. Des étu-des réalisées par le laboratoire d’hydrologie mathématique de Montpellier ont, sur la based’un orage de fréquence décennale d’une durée de 4 heures (90 mm), mis en évidence lanécessité d’un débit de rejet maximal autorisé d’1 litre par seconde, pour une parcelled’une surface de 1 000 m2. Afin d’obtenir ce résultat, la ville incite les propriétaires àprendre des mesures compensatoires en cas d’imperméabilisation des sols. Celles-ci préco-nisent des techniques de rétention, telles que l’utilisation de toitures en terrasse végétali-sée, ou de revêtement poreux comme les allées en gravier. “En fonction de la surfaceimperméabilisée et des mesures préventivesappliquées, nous imposons aux propriétai-res de réaliser des bassins ou citernes derétention, qui peuvent servir pour l’arro-sage ou simplement être vidés une fois l’o-rage terminé”, explique VéroniquePeyrotte, responsable du service réseau. Cecahier des charges est disponible au CentreTechnique Municipal situé quai desMoulins. Contact : 04-67-46-21-36.

( i n t e r c o m m u n a l i t é )

Crédits d’impôtset aides

• Les particuliers peuvent bénéficier d’uncrédit d’impôt à hauteur de 25% pourtoute dépense relative à l’acquisition d’é-quipements de récupération et de traite-ment des eaux pluviales. Ces dispositionss’appliquent aux dépenses payées entre le1er janvier 2007 et le 31 décembre 2009. Pour en savoir plus, deux adresses : www.sete.fr/-environnement-proprete-.htmlwww.sete.fr/Developpement-durable.html• Suite au récent accord entre l’Agence del’eau et Thau agglomération, les Saint-Clairiens ont droit à une aide pour la miseen conformité de leur fosse sceptique en2008. Tel. 04-67-74-05-09. En outre, cetaccord permet de réduire de 50% les fraisde contrôle de conformité des fosses scep-tiques si ce contrôle est effectué en 2008.Pour demander la visite du spécialiste,appeler le 08-10-363-363.

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elsOMEGAThau : à la pointe du management environnemental

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F oyer-restaurant-club” : trois mots écrits surla plaque à l’entrée du foyer Paul-Valéry,

dans le cœur historique de Sète. Tout le lieu estdécrit dans ces trois mots : un lieu d’accueil,ouvert dès 9h le matin et jusqu’à 16h30, unrestaurant, où près de 70 convives se pressentchaque jour pour partager un moment d’é-change pendant le repas (85 personnes les mar-dis midi, juste avant le loto hebdomadaire), etaussi un club qui propose des activités variées :goûters, atelier “doigts agiles”, belote, sorties,gymnastique, crêpes, rencontres inter-généra-tions avec le centre social Villefranche, grilla-des en été… Mais le foyer Paul-Valéry, c’estaussi bien plus que cela : un lieu de vie chaleu-reux, une ruche où l’on vient avec plaisir. Aucentre, la cuisine. Les cinq personnes qui y tra-vaillent réceptionnent les repas, les disposentdans les assiettes et les distribuent à la trentai-ne d’habitués qui préfèrent venir les chercher,pour les déguster ensuite à domicile. Elles pré-parent aussi la salle de restaurant et confec-tionnent des desserts. Pendant ce temps lesallers et venues sont incessants. Un fils vientdonner des nouvelles de sa mère entrée en mai-son de retraite, tandis qu’une habituée s’en-quiert auprès de la directrice de ses tickets-repas. Une ancienne collègue qui a travaillé au

foyer pendant près 20 ans vient dire bonjour,une habituée aide à mettre à table,alors que certains lisent tranquille-ment le journal du jour en atten-dant que le service commence.“Ici, on adore le personnel !”explique Marie Granelle, une habituée. Ce

jour-là, le menu affiche gigot d’agneau etDenise Battista, une autre habi-tuée, n’arrête pas de discuter. Celane l’inquiète pas, car elle sait qu’el-le peut compter sur le personnel.“Elles savent que je suis là, elles me

garderont mon repas chaud.”

Un lieu amical pour se retrouver( c c a s )

( a v r i l )Agenda des foyers et résidencesC.C.A.S :Le CCAS va mettre en place de nouveaux coursd’informatique pour les seniors.Renseignements au 04-67-51-84-76.

Foyer Paul-ValéryTous les lundis : scrabble

Tous les mardis : lotoTous les mercredis : gymnastique douceTous les jeudis : atelier doigts agilesJeudis 3 et 24 : concours de belote

Foyer des voûtesTous les lundis : petits sous

Tous les jeudis : lotoMardis 8 et 22 : concours de belote

Foyer Le ThonnaireLundis 7 et 21 : loto

EN HAUT DE LA RUE PAUL-VALÉRY, DEUX PORTES BLEUES : LE FOYER PAUL-VALÉRY, UN “RESTAURANT” CONVIVIAL QUIDONNE LIEU À DES RENDEZ-VOUS QUOTIDIENS

”

René Galy“Je viens manger au foyer Paul-Valéry depuis un an. Je retrouve mon ami Jean Crépinet sa femme. Cela fait 20 que nous nous connaissons, il aime la musique comme moi.Je joue du saxo ou dela clarinette, et Jeande la trompette. Aprèsavoir été ensembleprésident et vice-pré-sident de l’Harmoniemunicipale de Sète,nous nous retrouvonsici trois à quatre foispar semaine. Nousparlons de musiqueou des amis.D’ailleurs, j’ai l’in-tention de remonterun groupe de musique pour animer des bals pour les seniors. Un orchestre de bonnevolonté avec des supers musiciens que je connais. J’ai des enfants et des petits-enfants,mais chacun a ses occupations et depuis que je suis veuf, je me languis.Je n’aime pas rester seul à midi. Venir au foyer me change les idées.”

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”

Denise Battista“Après avoir travaillé dans plusieurs aéroports internationaux et démé-nagé à 17 reprises, je suis arrivée à Sète il y 4 ans pour me rapprocher de

ma mère. Je viensmanger tous les midisici, sauf quand j’ai unempêchement. Je suisravie de venir : il y aune ambiance extra.Le personnel est agré-able, la directrice esttrès bien, c’est propre,les repas sont variés,servis chauds. Onnous fête nos anniver-saires. A Noël, il y aune boîte de choco-lats. J’ai été très bienaccueillie et je me suis

fait des amis. Nous sommes une bonne table, on rit beaucoup. Avec cetteambiance extraordinaire, je n’ai plus envie de rester chez moi.Ici, j’ai trouvé le Pérou.”

“

Un lieu de vie chaleu-reux, une ruche où

l’on vient avec plaisir.

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activitéssont proposéesaux habituésdu foyer tout

au long del’année.

Côté expo…

du 2 au 7 avrilHistrions présente MohamedMesselka : peintures, projection, etprésentation du CD 4 titres dugroupe (voix, guitare, boîte à ryth-me) produit par l’association.Vernissage le vendredi 4 avril à18h. Pour l’occasion, Shéhérazadejouera les 4 titres de son CD. Encontinuité avec le livret Textes etdessins que la ville de Sète a active-ment soutenu, MohammedMesselka prête à Shéhérazade savoix et ses textes. Salle Peschot - rue du 11 novemb-re 1918 - Entrée libre de 10h à 19h

le 6 avrilL’association CREA7 propose,comme tous les 1ers dimanches dumois, une journée ateliers portesouvertes. A partir de 10h et jusqu’à18h, les artistes reçoivent le publicau sein de leurs ateliers. Renseignements sur le siteww.crea7.org.

jusqu’au 8 avrilLa galerie Dock Sud expose lepeintre Maurice SarthouDock Sud - quai Aspirant-Herber- Entrée libre

du 9 avril

au 17 maiMaroc Récits & RegardsDeux plasticiens marocains,Benyaich et Yédidi, présententleurs œuvres numériques et leursphotographies. Ces artistes,accueillis en partenariat avec laCaravane des Arts Singuliers deVilleneuve-lès-Maguelone appor-tent le témoignage d’une vraie sin-gularité à travers deux générations.Vernissage le 9 avril à 18h en pré-sence des artistes et de musiciensmarocains.Médiathèque François-Mitterrand- Entrée libre

du 9 avril

au 31 maiLa galerie Dock Sud expose desœuvres de Gilles Dupuy, JeanRouzaud, Stéphane Gantelet,Martin Bez, Patrick Chappert-Gaujal.Dock Sud - quai Aspirant-Herber- Entrée libre

les 10 au 11 avrilExposition des œuvres des élèvesde l’établissement scolaire Saint-JosephSalle Peschot- rue du 11 novemb-re 1918 - Entrée libre

du 16 au 30 avrilExposition des œuvres d’AurélieSarrazin.Salle Peschot- rue du 11 novemb-re 1918 - Entrée libre

du 21 au 23 avrilMaroc Récits & RegardsLes artistes plasticiens Benyaich etYédidi réaliseront une fresque ausein de la médiathèque André-Malraux, avec des enfants de l’Ilede Thau et l’amicale complicité dupeintre André Cervera.Médiathèque André-Malraux -Entrée libre

jusqu’au 30 avrilLe peintre Karen Thomas et laphotographe Delphine Durieuexposent à la Galerie Faurie.Galerie Yves-Faurie - rueLazare-Carnot - Entrée libre

jusqu’au 11 maiExposition Colette Richarme,inpirations sétoises. (Lire Sète.frn°53) Musée Paul Valéry - De 1,50 à 4euros ; 6 euros le ticket uniquepour la visite des 3 musées sétois :

MIAM, musée Paul -Valéry etEspace Brassens - Tel. 04-67-46-20-98

jusqu’au 31 maiAvant scène, exposition des pein-tures d’Alain Zarouati. Entre tra-gédie et comédie, ombre et lumiè-re, figuratif et abstraction, humouret désespoir… L’exposition est ouverte le mercre-di de 14h à 18h, le vendredi de17h à 23h et le samedi de 14h à23h. Entrée libre.Théâtre de Poche - 29 GrandeRue Haute - Tel. 06-27-22-07-31

jusqu’au 11 mai2e étape de l’exposition En deuxtemps, deux mouvementsRez-de-chaussée : Des constructionséclectiques. Ce second temps pour-suit la mise en perspective de l’artet du design à travers d’autres œuv-res et d’autres artistes et designers.1er étage : poursuite de l’explora-tion de l’œuvre d’Anne Deleporteà travers d’autres créations : wallpainting, dessins trouvés et vidéos. Centre Régional d’ArtContemporain Languedoc-Roussillon - 26 quai AspirantHerber - Ouvert tous les jours de12h30 à 19h sauf le mardi -Week end de 14h à 19h - Tel. 04-67-74-94-37 - http//crac.lr.free.fr

jusqu’au 18 maiProlongement de l’exposition l’Artmodeste sous les bombes. En parallè-le, exposition des 3 caravanes del’art modeste, des technologies etde la spiritualité, et de la maquetted’Isek Bodys Kingelez.Musée International des ArtsModestes - De 1,50 à 5 euros - 6euros le ticket unique pour lavisite des 3 musées sétois : MIAM,musée Paul-Valéry et EspaceBrassens - Tel. 04-67-18-64-00

Côtéthéâtre…

le 9 avrilLe loup et les sept chevreaux d’aprèsles Frères Grimm, adapté par IlkaSchönbein. Le loup et les sept chevreaux fait par-tie d’un cycle intitulé Mamansfatales, de la marionnettiste alle-mande Ilka Schönbein.L’univers d’Ilka Schönbein balanceentre l’expressionnisme d’EgonSchiele et l’imaginaire de TimBurton, entre onirisme noir et fée-

rie, entre monde funeste et mondeenchanteur. Ilka Schönbein et sacomplice de scène Kerstin Wiese,issue du Waidspeicher Theater,l’un des plus illustres théâtres demarionnettes allemands, propo-sent une adaptation décalée et fas-cinante de ce conte. Un spectaclepoétique où le rire côtoie les lar-mes.19h, La Passerelle - Tarif de 7 à13 euros. www.theatredesete.com

les 10 et 11 avrilLes Diablogues, de RollandDubillard. Avec François Morel etJacques Gamblin, mise en scèned’Anne Bourgeois (lire l’encadré).20h30, Théâtre Molière -www.theatredesete.com - Tarif de7 à 24 euros

les 25 et 26 avrilTrafic jaune pour fil rouge par lacompagnie les Xomils. Interprétépar Jonathan Gensburger etMagali Maria Pierre et Valérie déboulent surscène pour présenter à quelquesamis des extraits de leur dernierspectacle. Menée tambour battant,cette sorte de répétition généraleest un spectacle original sur lespectacle et sur le travail des comé-diens. 21h - Théâtre de Poche - 10 et 12euros - Tel. 04-67-74-02-83

Côtéspectacle…

le 4 avrilOne man show d’AnthonyKavanagh, organisé par le Lion’sclub de Sète au profit du Canot desauvetage en mer et de l’association

A l’affiche en avril( a g e n d a )

Pour les horaires et coordonnées, voir pages “pratique”

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Rêve de gosse.20h45 - Théâtre Molière - Tarifde 15 à 30 euros. Location àl’Office de tourisme.

les 4 et 5 avrilImpros, 1er rendez-vous d’improvi-sation par la compagnie duCapitaine. Ce rendez-vous, désor-mais régulier à Montpellier, batson plein à chaque représentation.Il s’exporte pour la première foisau Théâtre de Poche. Ici pas decompétition, une totale liberté d’i-maginer, de créer, de fou rire enfou rire. Il suffit au spectateur denoter une idée sur un papier, dedonner un thème, une phrase, unmot, une réplique… A eux dejouer !21h - Théâtre de Poche - 10 et 12euros - Tel. 04 67 74 02 83

les 5, 9 et 12 avrilUn p’tit coin de paradis. Théâtre etmarionnettes à partir de 3 ans.

Cette petite pièce interprétée par lacompagnie Théâtre des 4 saisons(Bernard et Rebecca Conbradet)traite du respect de la nature et deses habitants. Comédiens etmarionnettes s’y donnent laréplique dans un décor foisonnant.Au début, un endroit bien tran-quille, une mare dans laquellecohabitent poissons, grenouille etgentil crocodile. Autour d’eux, unhibou, un oiseau, un lapin et deslutins. Le bonheur règne sur ce“p’tit coin de paradis” jusqu’à l’ar-

rivée en grand tapage d’un horriblevoisin… 16h - Théâtre de Poche - 6 euros- Tel. 04-67-74-02-83

les 11, 12, 18et 19 avril

Lou Volt, one woman show musicalinterprété par la chanteuse duGrand Orchestre du Spendid.Moulée dans une robe fourreaucramoisie au tulle froufroutant, latête couronnée d’un éventail piquéde fleurs, Lou Volt, la “jazz-gag-woman” du groupe Le Spendidraconte la vie d’une femme dansun mélange déroutant de chansonsréalistes et de sketches. Une histoi-re qui pourrait être celle de cha-cun. 21h - Théâtre de Poche - 14 euros- Réservation indispensable au04-67-74-02-83

les 16, 17, 18et 19 avril

Momo prend l’air du temps, par lacompagnie Miette et Compagnie,interprété par Véronique Boulard.A partir de 4 ans.Du théâtre et des marionnettes auservice d’un conte philosophiquequi réveille le temps et lui rend savaleur. Momo est une petite fillequi prend le temps de vivre. Elleprend l’air du temps. Les gens duquartier vivent là, heureux, jus-qu’au jour où viennent les voleursde temps… 16h - Théâtre de Poche - 6 euros- Tel. 04-67-74-02-83

les 23, 24, 25et 26 avril

Petites boîtes pour un poème quiguérit les poissons par la compagnie

Les Galopins, d’après l’album dejeunesse de Jean-Pierre Siméon,interprété par Christine Loisonqui trouve avec ses boîtes à outils,à pain, à couture, dont elle fait sur-gir les marionnettes, un concepttrès original.Pour sauver Léon, son poissonrouge malade, Arthur doit lui direun poème. Mais qu’est-ce qu’unpoème ? Chacun à sa réponse ! Il ya pourtant urgence… Un joli spec-tacle poétique pour les petits à par-tir de 3 ans. 16h - Théâtre de Poche - 6 euros- Tel. 04-67-74-02-83

Côtédanse…

le 1eravril

Santo y Seña, avec Eva Yerbabuenaet son ballet Flamenco Eva Yerbabuena est aujourd’huil’une des plus grandes interprètes

de flamenco. Il y a bientôt quatreans, le théâtre Molière l’accueillaitavec son Ballet Flamenco pourdeux pièces : 5 femmes et Flamencode la cava.Santo y Seña, créé en mars dernierest une commande du ThéâtreMaestranza de Séville. A la tête deonze danseurs, chanteurs et musi-ciens, la grande Eva Yerbabuenanous offre un spectacle flam-boyant, brûlant d’authenticité etde sensualité où souffle le jondoflamenco. Un état de grâce endirect sur scène.20h30, Théâtre Molière-www.theatredesete.com- De 7 à24 euros

Côtémusique…

le 1eravril

Audition des classes de violon etalto - Professeur François Corsi.18h conservatoire municipal -Salle Ravel. Entrée libre.

le 5 avril• 14h30 audition de la classe d’or-chestre d’harmonie sous le direc-tion d’Isabelle Canard • 16h30 audition ensemble à cor-des cycle 1 sous la direction deFrançois CorsiConservatoire municipal - SalleRavel Entrée libre.

Il fallait deux artistes rares, auteurs et interprètes d’un monde personnel, pour separer des habits (littéraires) d’un auteur emblématique des années 60. AnneBourgeois, metteuse en scène, a réussi un coup de maître en réunissant JacquesGamblin et François Morel.Exercice littéraire autant que duo de clowns fragiles, les Diablogues mettent enjeu la dimension dérisoire de deux personnages, Un et Deux, qui conjuguent l’in-nocence des personnages de Beckett, le goût du verbe classique et l’amour de lacomédie. Entre tendresse et pudeur, ils apparaissent dans un absolu dénuement,vulnérables et têtus, et de ce fait, profondément humains.Deux personnages servis par deux grands acteurs, Jacques Gamblin et FrançoisMorel, qui jouent leur petite musique intime.

Les Diablogues

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les 2 et 30 avrilLe DVD du mercrediPour les tout-petits ou les plusgrands. Entrée libre, sur inscrip-tion.15h - Médiathèque Malraux-Tel. 04-67-51-51-07

les 22, 23, 24et 25 avril

Marmaille par l’école des beaux-arts.L’école municipale des beaux-artspropose un stage de 20 heurespour les enfants de 6 à 12 ans.Sylvette Ardoino invite l’artisteChristine Boileau à venir apprend-re aux enfants à tresser, nouerd’immenses filets, pour emballer etcapturer le poulpe qui s’ébat dansla fontaine de la place de la Mairie.La marmaille et ses mailles enva-hissent la ville !Renseignements et inscriptions àl’école des beaux-arts -Tel. 04-67-74-37- 07- Tarif :sétois 50 euros, extérieurs 55euros.

Côtécinéma…

Maroc Récits & RegardsCycle cinéma du Maroc présentéen partenariat avec CinéMovida etles Films des deux rives.

le 17 avrilRencontre avec le réalisateurMohammed Ahmed Bensouda etprojection de Le silence violé, Lajarre, R’DA, La vitrine.Ces courts métrages ont obtenu untrès bon accueil dans des festivalsinternationaux : Etalon d’Argentau Fespaco, Prix Unesco...A 21h - Médiathèque François-Mitterrand. Tél. 04-67-46-05-06

les 25 et 28 avrilLes cœurs brûlés, film de Ahmed ElMaanouni - 2007 - Grand Prix duFestival du film de Tanger.18h - Médiathèque François-Mitterrand Tel. 04-67-46-05-06

le 6 avril• Le Barbier de Séville de Rossinipar l’Opéra de Chambre deVarsovie.Après la très remarquée MadameButterfly de Puccini, présentée lasaison dernière par l’OpéraNational de Poznan, la scènenationale accueille l’Opéra deChambre de Varsovie qui présenteLe Barbier de Séville, célèbre opéracomique en deux actes de Rossini,présenté en version originale ita-lienne. L’Opéra de Chambre deVarsovie se caractérise par sonextraordinaire diversité de stylesmusicaux et lyriques. Depuis prèsde 15 ans, il a pour mission d’en-registrer et d’éditer la musiqueclassique polonaise.Considéré comme le chef-d’œuvrede Beaumarchais, Le Barbier deSéville, créé en 1773, constitue unepièce maîtresse de la littératurefrançaise et incarne l’opéra bouffepar excellence : du comte Almavivaà son ancien valet Figaro qui cher-che à conquérir le cœur de Rosinepromise au docteur Bartholo,Gioacchino Rossini fait un opérapopulaire, sincèrement comique etspectaculaire, servi par une distri-bution prestigieuse : l’ensembledes solistes de l’Opéra de Chambreet le Sinfonietta de Varsovie dirigépar Ruben Silva.15h - Théâtre Molière-www.theatredesete.com- De 7 à24 euros

• 10h30 audition ensemble à cor-des cyles 2 et 3 sous la direction deCécile Di Marino.• 11h audition classe d’orchestresymphonique sous la direction deBernard Delpy.Conservatoire municipal - salleRavel. Entrée libre.

le 11 avrilAudition de la classe de trompette- Professeur Philippe Pigassou18h conservatoire municipal -salle Ravel. Entrée libre.

le 13 avrilSul Ponticello concert d’un ensem-ble de musiciens languedociensqui, au contact de la population deSète originaire de l’Italie, a décou-vert les richesses du patrimoine de

la Campanie. Son originalité : leparti pris de jouer ces mélodiessans les chanter et d’insuffler auxinstruments de musique toute l’ex-pression du chant napolitain.17h30 - Chapelle des Pénitents -Entrée libre

le 29 avrilCabaret jazz : Jean-MarieMaddeddu invite… un septetcomposé de virtuoses du jazz derenommée nationale et internatio-nale : Patrick Ingueneau au saxo-phone, Philippe Deschepper à laguitare, Louis Sclavis à la clarinet-te, Denis Fournier à la batterie,Yves Robert au trombone,Guillaume Seguron à la contrebas-se, réunis autour du maître decérémonie, Jean-MarieMaddeddu. En 1ère partie Jean-Pierre Llabador et Pascal Corriu.Dispositif cabaret. Restaurationlégère sur place à partir de 19h30.20h30 - La Passerelle -www.theatredesete.com - Tarif de7 à 19 euros

Côtérencontres…

le 1eravril

Adolescence : des clefs pour compren-dre. Une rencontre ouverte à tousles parents autour de la crise d’ado-lescence et des conduites à risquesde certains jeunes, l’alcool et ladrogue notamment. Avec RobertBres, psychiatre responsable del’Unité de soins pour adolescents àl’hôpital de la Colombière, Jean-Marie Ferrari, Directeur d’Arc enCiel, centre de soins spécialiséspour toxicomanes, Christine Roca,Médecin de l’Education Nationalepour le bassin de Sète.Une initiative des équipes demédecins, infirmières, assistantessociales des établissements scolairesde Sète et du bassin de Thau.18h-Médiathèque François-Mitterrand- Tel. 04-67-46-05-06

les 12, 16, 1923 et 26 avril

Calligraphie sans frontière, ateliertout public animé par laCompagnie Mot pour Mot - nom-bre de places limité De 15h à 17h- MédiathèqueMalraux- Renseignements etinscriptions au 04-67-51-51-07

Dans le cadre des Rencontres méditerranéennes, organisées par le Conseil géné-ral du 27 mars au 13 avril, le port de Gênes fera escale à Sète, samedi 5 avril.Second port de Méditerranée après Marseille, Gênes évoque l’histoire du com-merce, celle des républiques italiennes et celle des migrations. Toute une série d’a-nimations et de spectacles aura lieu sur le Môle de 16h à 24h. Au programme :- De 16h à 24h Le café méditerranéen, rencontres, dégustations, musiques dansun café où l’on s’attable au détour d’un quai,Les métiers des ports en Méditerranée, expo photo réalisée par Ecume.Sète, port singulier-pluriel, expo de Gilles Favier, en collaboration avec les habi-tants de l’île de Thau et l’association CetàVoir,Espace des ports de la Méditerranée, atelier d’écriture et découverte des jeux ita-liens avec la ludothèque du centre social Villefranche, Concerthau, le Civam dubassin de Thau et les Amis des marins,16h, 17h et 18h Les poissons pierre, théâtre de rue16h30 et 17h30 L’affaire Sardine, théâtre par la compagnie Avec-ou-SankaVisite du chalutier Stephan Cardone, jusqu’à 18hDéfilé des voiles latines, 16h La Squadra de Gênes, concert20h30 La Banda di Piazza Carimento, orchestre multiethnique22h30 Baignade interdite, spectacle de danse de la Compagnie No, en coproduc-tion avec Auteurs d’Espaces.

Rencontresméditerranéennes escale à Sète

Age

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cultu

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Tennis ballon : Lors du championnat de France en simple, la victoire et le titre reviennent à Julien Isoird sur le score de 2 sets à 1 face à un autreSétois, Nicolas Compan. Un doublé sétois qui annonce une belle saison pour le FC Sète Tennis ballon. Nage avec palmes : Lors de la 4e manche duchampionnat départemental, les nageurs de la “Palme Sétoise” ont réalisé de belles performances et sont montés sur de nombreux podiums avecSébastien Brillard, Anthony Matarin, Clémentine Genoux-Pracheix, Mickaël Guignard, Marie-Noëlle Puy, Jacqueline Ariol, Kameroun Chetoui,Hubert Lorinquer et Jean-Marie Briard. Natation : Lors de la 2e compétition du circuit départemental, les nageurs des Dauphins ont remporté pasmoins de 23 médailles toutes catégories confondues et 6 nageurs ont obtenu le titre de Champion de l’Hérault. Water polo : Dans le championnatminimes zone Sud, les jeunes poloïstes des Dauphins sont en tête après les matchs aller. Lutte : Pas moins de 14 podiums pour les jeunes lutteurs (pous-sins et benjamins) de Philippe Pardon de la Salle Vincent Ferrari lors de la première Coupe du Soleil à Balaruc les Bains. Handisport : Au 3e tourinterrégional handisport de Tennis de Table, les 2 pongistes de l’ASPTT Sète, Jean-Marie Virenque et Stéphane Guille, respectivement second et troi-sième, se sont qualifiés pour le championnat de France tétra IMC qui se déroulera début mai à Gruissan.

FootMardi 1 : FC Sète -Louhans (stade L.-Michel 20h, National)Vendredi 4 : FC Sète- Nîmes (stade L.-Michel 20h, National)Dimanche 13 :PCAC - MontpellierPetit Bar (Bayrou,15h, DH)Dimanche 13 : FCSète II - Gardanne(Louis-Michel, 15h,CFA2)Samedi 19 : FC Sète- Villemonble (stadeLouis-Michel 20h,National)Dimanche 20 :PCAC - Narbonne(Bayrou, 15h, DH)Dimanche 27 : FCSète II - Le Pontet(Louis-Michel, 15h,CFA2)VolleySamedi 5 : Arago -Tourcoing (Barrou,20h, Pro A)Samedi 12 : SVB -Brive (Ferrari, 20h30,N3)Dimanche 13 : AragoII - Mende (Barrou,16h, N3)Dimanche 27 : Arago

II - Balluy (Barrou,16h, N3)Dimanche 27 :SVBC - Le Cres(Ferrari, 15h, N3)Water poloSamedi 5 : Dauphins- Marseille (piscineFonquerne, 20h, Elite)Samedi 19 :Dauphins - Aix lesBains (piscine Fonquerne,20h, Elite)AvironDimanche 6 :Championnat del’Hérault (organisa-teur : aviron sétois)CyclismeDimanche 6 : GrandPrix des Quilles duGuidon sportif sétoisKaratéDu 16 au 20 avril :Stage au gymnase dulido avec les sœursBuilNage avec palmesDimanche 27 : 39e

Traversée de Sète avecla Palme sétoiseAviron de MerDimanche 27 :Epreuve de longuedistance avec l’ACBT(départ base MiailleMuñoz).

Agenda avril

MayJouvenezet SarahMassaro,

une premièresélection dans

le groupeFrance bien

méritée.

C omme dans beaucoup d’autres sports, êtrereprésenté dans le haut niveau en tennis de

table demande aux clubs des efforts importants.Les besoins financiers sont de plus en plus éle-vés pour répondre aux demandes de certainsjoueurs qui pratiquent leur discipline à pleintemps. Après le départ de très bons joueurs l’an-née dernière, le club sétois a donc choisi de seconsacrer à la formation des jeunes, avec uneécole de tennis de table qui compte environ unetrentaine de membres. Mais cela ne l’empêchepas d’aligner 4 équipes en compétition, une en

Régional 1 et 3 autres en Départemental. Deplus, chaque année le club organise un grandtournoi scolaires qui attire de très nombreuxjoueurs. Avec une centaine de licenciés, le clubsétois regarde vers l’avenir. Les efforts consé-quents mis en place pour donner la possibilitéaux jeunes de découvrir ce sport et de pouvoirjouer dans des compétitions de leur niveau,vont certainement porter leurs fruits dans unproche avenir, comme le précise l’entraîneur,Damien Morant : “Cette année notre équipe enRégional 1 se maintient, alors que l’équipe 2 a

déjà réussi à monter en pré régional et a de gran-des chances de jouer en Régional 3 la saison pro-chaine. Nous avons aussi monté une cinquièmeéquipe.” Certains joueurs, bien classés dans lahiérarchie du tennis de table, sont restés au clubet sont de véritables moteurs pour les jeunes quidébutent… un excellent état d’esprit dont leclub peut être fier.

APRÈS AVOIR JOUÉ AU NIVEAU NATIONAL 2, LE CLUB SÉTOIS EST AUJOURD’HUIEN RÉGIONAL, UN CHOIX VOLONTAIRE POUR DÉVELOPPER ET FORMER LES JEU-NES PONGISTES SÉTOIS.

Le Sète Tennis de Table toujours aussi compétitif( t e n n i s d e t a b l e )

Pour bien commencer l’année 2008, le club desDockers vient d’apprendre la qualification pourle groupe France minimes de May Jouvenez etSarah Massaro. Si cette dernière vient juste derejoindre le club sétois cette année pour nageren duo avec May Jouvenez, celle-ci est membredu club des Dockers depuis 6 ans et a déjàdécroché 2 titres de championne de France ensolo benjamine. Les deux jeunes filles, âgées de14 ans, vont donc participer à des stages encompagnie des 16 autres nageuses qualifiées.Mais après les championnats de France mini-mes du mois de mai, seules 12 d’entre ellespourront participer à l’unique compétition

internationale minimes par équipes nationales.Un véritable challenge pour les deux nageusessétoises qui devraient en toute logique s’impo-ser parmi les meilleures. En attendant, ellesreprésenteront le club des Dockers en duo toutecette saison, en espérant bien sûr participer avecl’équipe de France minimes à ce grand rendez-vous international pour se mesurer aux meilleu-res nageuses de la synchro. Il faut noter que lesdeux Sétoises ne sont que deuxième annéeminime (3 ans minimes en synchro), et quec’est déjà une excellente performance d’êtreappelées pour cette première sélection.

Deux nageuses des Dockerschez les France minimes

( n a t s y n c h r o )

Spor

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Elec

tion

s

“LE MAIRE DE LA VILLE EST LE MIEUX PLACÉ POUR DÉFENDRE LES DOSSIERS SÉTOIS AU SEIN DE L’ASSEMBLÉE DÉPARTEMEN-TALE”, RÉPÈTE SOUVENT FRANÇOIS COMMEINHES. PARTANT DU PRINCIPE QUE LES FONCTIONS DE MAIRE ET DE CONSEILLERGÉNÉRAL SONT TOTALEMENT COMPLÉMENTAIRES, LE MAIRE DE SÈTE A ÉTÉ ÉLU, LE 16 MARS DERNIER, CONSEILLER GÉNÉ-RAL DU PREMIER CANTON DE SÈTE. GRÂCE À CE NOUVEAU MANDAT, IL VA POUVOIR DONNER ENCORE PLUS D’AMPLEUR ÀSON ACTION POUR LA VILLE, NOTAMMENT AU TRAVERS DES NOUVEAUX CRÉDITS QUI LUI SERONT AFFECTÉS.

( c a n t o n a l e s )

Le maire prend ses fonctionsde conseiller général

J eudi 20 mars, lemaire et conseiller

général FrançoisCommeinhes a assistéà la première séance dela nouvelle assembléedépartementale, éluelors du scrutin des 9 et16 mars derniers. Lasession s’est dérouléedans le salon d’hon-neur de l’hôtel duDépartement, en pré-sence d’HélèneMandroux, maire deMontpellier. Aprèsl’ouverture de la séan-ce par le doyen, l’as-semblée a désigné sonprésident, AndréVezinhet, puis procé-dé à la désignation deses représentants dans les différentes commis-sions et organismes publics. En tant que conseiller général, FrançoisCommeinhes disposera de plusieurs types decrédits. “Ces fonds vont me permettre de soutenirdifférents projets et associations sétois dont lechamp d’action s’inscrit dans le cadre des compé-tences départementales. Le Département agit surde nombreux aspects de la vie quotidienne desadministrés, et notamment les plus fragiles d’entreeux (aînés, petite enfance, personnes en situationde précarité...). En tant que conseiller général,j’aurai à cœur de m’engager pour que les chosesavancent sur chacun de ces aspects.”

Les quatre grands domaines de compétencedu Département :- L’action sociale et sanitaire (prestations d’aidesociale, responsabilité de la protection sanitairede la famille et de l’enfance).- L’aménagement de l’espace et l’équipement(voirie départementale, transports non urbainset scolaires hors périmètre urbain, ports mariti-mes de commerce et de pêche, aide à l’équipe-ment rural, espaces naturels sensibles boisés ou

non).- L’éducation, la culture et le patrimoine (collè-ges, bibliothèques centrales deprêt, archives et musées départe-mentaux, schéma départementalde développement des enseigne-ments artistiques dans les domai-nes de la musique, de la danse et del’art dramatique en concertationavec les communes concernées,conservation du patrimoine ruralnon protégé).- Les actions économiques (miseen œuvre de régimes d’aides avecl’accord de la région).

Comment fonctionne l’assemblée départe-mentale ? L’assemblée départementale se répartit en deuxtypes de commissions : une commission per-manente composée d’une quinzaine deconseillers généraux, de questeurs et de secrétai-res généraux et autres membres, désignés parelle. Celle-ci siège et prend des décisions entredeux séances publiques de l’assemblée départe-

mentale et sur délégation de cette dernière. Etdes commissions organiques, chacune dotée

d’un vice-président représentant del’exécutif, qui signe au nom duprésident les rapports de la com-mission qui seront présentés auvote de l’assemblée. LeDépartement de l’Hérault encompte 7 : - une commission aménagementdurable du territoire- une commission finances dépar-tementales et marchés publics- une commission de l’éducationpour tous et de l’administration

générale- une commission de la solidarité départemen-tale, handicap et dépendance- une commission du développement écono-mique- une commission de l’aménagement rural etdes services publics- une commission de l’environnement Agenda21.

FrançoisCommeinhesa été désigné

membrede deux

commissionsorganiques :

aménage-ment du

territoire etdéveloppe-

mentéconomique /

insertion.

“Ces fonds vont mepermettre de soutenirdifférents projets etassociations sétois

dont le champd’action s’inscrit

dans le cadredes compétences

départementales.”

Elections cantonales 1er et 2e tour

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esse Sète dans l’œil des médias

Abdel Kechiche invité du20h de France 2

Quotidien. 2450000téléspectateurs.Invité sur le plateaudu 20 heures deFrance 2 samedi 23

février, le cinéaste aux huit Césars (quatre pourson dernier film entièrement tourné à Sète “LaGraine et le mulet” et quatre autres pour sonprécédent film “L’Esquive”), Abdel Kechiche arappelé ce qui l’avait séduit dans Sète : “Il y aune très belle énergie dans cette ville. Les gens nesont pas désabusés”. Après avoir visionné lescommentaires de plusieurs sétois, qui ont parti-cipé à son film : Nadia Taouil, Leila di Issernio,Jeanne Corporon et Kader Bouallaga, tous sousle coup de l’émotion des récompenses fraîche-ment décernées au réalisateur, il s’est enthou-siasmé : “Leur bonheur, c’est ce qui permet detrouver un sens à tout ce que l’on fait”.

France 3 revient surla visite de Michel barnier

Quotidien.369457 exemplairesDans son éditionrégionale, France 3 estrevenue sur la visite à

Sète du ministre de l’agriculture et de la pêche,Michel Barnier. Celui-ci en a profité pour ren-contrer les marins pêcheurs, “venus nombreuxpour exprimer leur angoisse”. Le ministre a décla-ré qu’il comprenait leur impatience tout en rap-pelant que le versement des aides d’urgence étaiten cours et a promis de revenir. Il s’est ensuiterendu à l’usine Saipol pour inaugurer l’unité deproduction de diester (lire aussi p. 21).

Course au large féliciteSébastien Col

Bimestriel.45000 exemplairesLe skipper sétoisSébastien Col estmonté sur la troisième

marche du podium de la course internationalede Match racing qui s’est déroulée à Marseillejusqu’au 16 mars. Le magazine spécialisé dans lavoile Course au large salue sa performance etrappelle que Sébastien Col avait été en 2006 “lepremier Français à remporter le MarseilleInternational Match Race”.

Le Marin saluela bonne pêche sétoise

Hebdomadaire.10200 exemplaires.Dans son numérohors série consacré au

bilan de l’année 2007, l’hebdomadaire de l’éco-nomie maritime analyse les résultats du port depêche sétois. Ainsi, Le Marin a constaté “beau-coup plus d’apports, mais des prix au kilo en repli[…] Alors que les débarquements ont augmenté, lenombre de chalutiers a baissé”. Et le journal deconclure que “les armements ont donc pu retro-uver un peu de trésorerie ou compenser l’augmen-tation du carburant”.

Arte séduit par le MIAMHebdomadaire.300000 téléspectateursA l’occasion de la sor-tie du livre d’Hervé Di

Rosa sur l’art modeste, l’émission culturelled’Arte, Metropolis, a interviewé le peintre sétoisdans l’enceinte du MIAM, revenant sur la défi-nition de l’art modeste et la création du musée.Un lieu dont les expositions ont pour vocationde “rétablir le lien entre objets issus de la culturepopulaire et la création contemporaine, permettre àdes béotiens de découvrir des artistes pointus, ne pasopposer mais superposer”, a souligné la chaîne.

Femme actuellezoome sur le lidoHebdomadaire.1200000 exemplaires.A l’occasion des élections municipales, le maga-zine Femme actuelle a sélectionné des “commu-nes où les bonnes idées sont devenues réalité”.Parmi celles-ci figure Sète, à qui le journal achoisi de donner la plus grande importance, etson projet de réhabilitation du lido, rendunécessaire pour “protéger le littoral grignoté parla montée du niveau de la mer”. Et le magazinede souligner qu’il s’agit là d’une “première enFrance et en Europe !”

Le Monde honore KechicheQuotidien.403892 exemplaires.“Les Césars se démar-quent du box-office en

récompensant “La Graine et le Mulet”, c’est sousce titre que le journal Le Monde décrit dans sonédition des 24 et 25 février le succès triomphalremporté à la cérémonie des Césars par “LaGraine et le mulet”, film entièrement tourné àSète par le réalisateur Abdel Kechiche. Meilleurfilm, meilleur réalisateur, meilleur espoir fémi-nin et meilleur scénario original… L’histoire serépète précise le quotidien du soir qui rappelleque le second long métrage du cinéaste,l’Esquive, avait reçu les mêmes récompenses.Dans son édition du 24 février, le journalLibération consacre également le “triomphe de“La Graine et le mulet” par ce titre : “Césars,Kechiche haut la main”.

Distribution sète.frLe journal municipal est distribué dans les boîtes aux lettres mais la distribution n’étant pas effectuée par la Poste, il est possible que certaines per-sonnes ne le reçoivent pas (si la porte comporte un code, s’il est apposé “pas de publicité” sur la boîte aux lettres etc.) Néanmoins, le journal est misà disposition dès la fin de la distribution à la mairie, dans les mairies annexes, au service communication, au C.C.A.S., dans les médiathèques, authéâtre Molière, à l’office de tourisme, au P.I.J., à l’espace Georges-Brassens, au musée Valéry, au Miam, à l’office de tourisme, à l’hôpital, à laboutique Totem (bus), au centre social Nicolas-Gabino, à la Chambre de commerce, à la Communauté d’agglomération etc.

Bilan des municipalesdans Midi Libre

Quotidien.262360 exemplairesDans le portrait qu’il aconsacré au maire aulendemain de sa

réélection, dans son cahier spécial élections,Midi Libre juge “qu’avec son parler direct, safaçon de sillonner les rues de la plus italienne devilles languedociennes juché sur une Vespa, son aird’éternel carabin derrière ses lunettes rondes,François Commeinhes a contribué à décrisper lavie politique sétoise”.