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O.P.A. Information C.G.T. Bulletin de liaison, de Documentation et d’Information Syndicale du Syndicat National des Ouvriers des Parcs et Ateliers de l’Équipement et de l’Environnement –
Téléphone : 01.48.18.82.85 Télécopie : 01.48.51.60.31 – E-mail : [email protected] Site Internet: www.snopacgt.com
Supplément au Courrier du Militant n° 1423 du 6 février 2013
Sommaire
Pages
EDITO : Tous concernés ! 2
31 JANVIER, JOURNEE NATIONALE DE GREVE et d’ACTIONS
Communiqué commun CGT- FSU- Solidaires
3
4
COTISATIONS SYNDICALES 2013
Syndicalisation et modalités de règlement des cotisations
Tableau excell de versements 2013
5
6
7
RECONQUETE des MISSIONS de SERVICE PUBLIC
Compte rendu de la réunion du GT du 4 février 2013
8
9-11
CEREMA
Compte rendu du comité de suivi du 28 janvier 2013 et relevé de
conclusions
12
13-18
L’EPA VNF
Compte rendu de la réunion OS/directeur général du 17 janvier
Voie d’eau n°2
19
20-21
22-25
PROFESSION : OUVRIER d’ETAT
Courrier à la ministre de la Fonction Publique sur les recrutements
Chiffrage des recrutements nécessaires par ministère
26
27-28
29-32
NOUVEL ORGANIGRAMME de la FEDERATION
Composition de la commission exécutive
33
34-35
DECHARGE d’ACTIVES de SERVICE
Prorogation des coupons 2012
36
N° 3
SNOPA
Bulletin hebdomadaire de liaison, de documentation et d’information syndicale de la Fédération Nationale CGT de l’Equipement et de l’Environnement Siège social : 263, rue de Paris – Case 543 – 93515 MONTREUIL CEDEX – Imprimé dans nos locaux – Téléphone : 01.55.82.88.77 – Télécopie : 01.48.51.62.50 –
E-mail : [email protected] - Directeur de publication : J.M. RECH – abonnement annuel : 5,34 €, plus numéros spéciaux : 8,23 € CPPAP : 0714 S 06937. ISS 1277-6459
URGENCE : PENSEZ à NOUS RETOURNER vos RECEPISSES de
DEPOT de STATUTS de SECTIONS LOCALES
2
Edito
Renault, PSA, Good Year, Virgin, Florange,
Fralib, Prestalis, Sanofi…le délitement du tissu
industriel français s’accélère de façon
particulièrement inquiétante.
Après avoir remonté la pente en 2010 et 2011,
l’industrie manufacturière a perdu près de 24 000
postes au cours de l’année 2012 et plus de
120 000 depuis janvier 2009.
L’augmentation du rythme des fermetures de sites
industriels est de 42 %.
Les salariés dénoncent et combattent la fermeture
de l’usine PSA d’Aulnay avec à la clé plus de
8000 suppressions d’emploi. C’est une aberration
comme ne cessent de le répéter ces salariés. C’est
dans cette usine qu’est fabriquée la voiture la plus
vendue de PSA, la C3 !
Chez Renault, nous assistons également à un
véritable chantage de la direction qui tente
d’imposer un accord aux syndicats basé sur la
suppression de 8260 emplois, l’allongement de la
durée du travail, le gel des salaires et la mobilité
forcée entre les différents sites.
Dans ces entreprises, les luttes contre « les patrons
voyous » s’organisent et s’amplifient pour sauver
notre industrie, pilier de notre économie.
Dans ce contexte, l’opinion publique ne doit pas
être en reste, c’est une question de survie pour les
tenants du système capitaliste. Chaque jour, la
plupart des médias avec l’aide d’économistes
« avertis », tentent de nous conditionner au fait
que nous ne serions pas assez compétitifs. Le
syndicat des patrons, le Medef, appuie bien sur là
où ça fait mal !
Le 11 janvier dernier, les négociations nationales
dites de « sécurisation de l’emploi » se sont
terminées par un accord d’une extrême gravité
pour les droits des salariés. Il va accentuer la
flexibilité et la précarité, au lieu de sécuriser
davantage l’emploi et les parcours professionnels.
La CGT et FO n’ont pas signé cet accord. Par
contre, la CFDT, la CGC et la CFTC volent une
nouvelle fois au secours du patronat et du
gouvernement.
Par cet accord minoritaire, le patronat veut
imposer un nouveau modèle économique et social,
où le gré à gré entre patron et salarié remplacerait
le code du travail. De plus, il tourne le dos aux
engagements pris par le gouvernement lors de la
conférence sociale de juillet 2012.
Un projet de loi issu de ces négociations doit être
présenté au parlement en mai. Les organisations
de la CGT ont décidé de construire une puissante
journée de mobilisation réunissant toutes les
professions début mars.
Tous concernés par ces attaques tous azimuts.
Dans les régions sinistrées, nous pouvons déjà le
vérifier. Là où disparait une usine, tout s’enchaine,
les services publics sont impactés, l’école, la
poste, la DDT, les impôts…tous ces services
deviennent obsolètes.
En ce qui concerne la fonction publique, toujours
le même mutisme du Gouvernement : rien sur le
gel du point d’indice, rien sur le jour de carence,
toujours la même politique de réduction des
effectifs…
Ce début d’année a été marquée par la journée
nationale d’actions et de grève du 31 janvier dans
l’ensemble de la Fonction Publique. Des milliers
d’agents se sont rassemblés pour la défense et le
développement de nos services publics. Cette
mobilisation en appelle d’autres, bien sur.
Sur la situation des OPA, les négociations sur les
décrets d’intégration et de retraite continuent,
ainsi que sur les recrutements. Elles sont difficiles
mais notre détermination est intacte. Tant pour
les OPA transférés que pour ceux des services de
l’Etat, 2013 verra certainement l’aboutissement
d’un certain nombre de dossiers (intégration,
retraite, recrutements, statut)
Dans une période où l’on tente de nous imposer
toujours plus de rigueur et d’austérité, ne soyons
pas résignés mais à l’offensive avec la CGT
Le bureau national
3
Communiqué commun suite à l’action du 31 janvier
COMMUNIQUE
Nombreux et mobilisés ce 31 janvier,
pour les agents de la Fonction publique
les réponses, c’est maintenant !
l’appel de la CGT, de la FSU et de SOLIDAIRES, c’est nombreux et
déterminés que les agents de la Fonction publique ont participé à la
journée d’actions de ce 31 janvier.
Sur les 130 rassemblements et manifestations recensés sur tout le territoire, c’est plus de
150.000 personnes qui sont descendues dans les rues dire leurs légitimes exigences et leur fort
mécontentement.
Que ce soit sur les salaires, l’emploi public, le jour de carence et la MAP, elles ont de
nouveau exprimé leur volonté qu’une autre politique soit mise en œuvre et que des mesures
urgentes soient prises.
La CGT, la FSU et SOLIDAIRES se félicitent du succès de cette initiative.
Il est impératif que la Ministre entende le message délivré et, à l’occasion du rendez-vous du
7 février, qu’elle apporte de véritables réponses aux questions posées.
Dans le cas contraire, nos organisations syndicales, dans l’unité la plus large possible,
prendront de nouveau leurs responsabilités et appelleront à poursuivre et à développer la
mobilisation.
Paris, le 31 janvier 2013
A
4
5
Modalités de règlement des cotisations syndicales actifs et retraités
Tableau excell de versement des cotisations 2013
6
COTISATIONS SYNDICALES 2013
Cher camarades,
Pour l’année 2013, les cotisations restent inchangées. Le secrétariat du 29 janvier 2013 a décidé de se
conformer aux directives confédérales concernant le montant des cotisations retraités. A savoir que la
cotisation retraité est égale à la moitié de celle des actifs. Cette décision sera effective au premier
janvier 2014.
Sur la page suivante vous trouverez le bordereau de règlements 2013. Ce bordereau est en
téléchargement sur le site du SNOPA sous la forme d’un fichier excell qui vous évite la fastidieuse
opération des calculs. Ces derniers étant automatiques sur le fichier téléchargé.
Vous n’avez qu’à renseigner le nombre de FNI et timbres actifs correspondants, le nombre de FNI
pour les retraités et veuves.
Nous rappelons que les taux sont ceux à remonter au SNOPA, les sections doivent définir localement
leur montant global de cotisation pour leur permettre de fonctionner (sur le site, un tableau excell
est disponible pour déterminer le montant du taux d’appel local).
Nous rappelons que les statuts de la CGT préconisent la cotisation à 1% du salaire net afin de
permettre un reversement à toutes les structures.
Nous vous rappelons que dans le cas de versement actifs et retraités-veuves, vous devez établir 2
chèques :
Pour les retraités-veuves, à l’ordre du SNROPA CGT
Pour les actifs, à l’ordre du SNOPA CGT.
Cette année 2013 devrait encore connaitre une activité importante pour les OPA, tant transférés que
restant dans les services de l’Etat.
En effet, la sortie des différents décrets d’intégration et retraite, ICE, la mise en place de l’EPA VNF,
du réseau scientifique et technique (CEREMA), les recrutements ainsi que la révision de notre décret
statutaire, nous donne des perspectives d’activité importante.
Comme chacun le sait, le fonctionnement national de notre syndicat repose sur les cotisations de ses
adhérents.
Dans un premier temps, nous vous proposons d’être à l’initiative sur la syndicalisation et
d’effectuer ensuite des règlements réguliers au SN (les FNI 2013 versés avant avril 2013,
l’intégralité des timbres 2013 remontés au SN avant avril 2014).
La trésorerie nationale vous transmettra courant février le matériel (timbres 2013) nécessaire à la
syndicalisation.
2013 verra sans doute l’aboutissement de dossiers importants concernant notre corps d’OPA. C’est la
CGT, notre syndicat national, vous tous qui permettrez de sortir grandis de ces dossiers en cours.
Autre rappel important : Toutes nos sections doivent avoir des statuts déposés en mairie. Une
fois les statuts déposés, les sections doivent faire parvenir l’attestation de dépôt de statut au SN
OPA CGT.
BORDEREAU DE REGLEMENT 2013 ACTIFS RET-VEUVE
Date:……./………../201…. Versement N°………..
Date dernier versement Acompte Solde
Dpt N°:………. Service: SO - SM -PH -VN -BA ou DIR -DIRMCLASSIF cotise SN nombre FNI Nb timbres Du SN FNI Du SN Timbre
OQ 10,10 0 0
OE 10,53 0 0
COMP 12,15 0 0
M COMP 12,57 0 0
SP A 12,57 0 0
SP B 12,95 0 0
C E A 12,39 0 0
C E B 13,14 0 0
C E C 13,97 0 0
RECEP 14,49 0 0
VIS TEC 14,49 0 0
R DE TX 14,49 0 0
R DE MAG 14,49 0 0
CONT A 15,93 0 0
C C A 15,93 0 0
C MAG A 15,93 0 0
TEC 1 14,10 0 0
Total OUVRIERS 0 0 0 0CONT B 17,04 0
C C B 17,04 0 0
C MAG B 17,04 0 0
C AT A 17,04 0 0
C EXP A 17,04 0 0
C AT B 18,34 0 0
C EXP B 18,34 0
C AT C 19,99 0 0
C EXP C 19,99 0 0
TEC 2 16,80 0 0
TEC 3 19,36 0 0
TEC P 21,63 0 0
Total UGICT 0 0 0 0
RETRAITE 77,00 0
VEUVE 32,00 0
ACTIFS Total FNI 0 0 Tot Timbre
Total du FNI 0,00
versement SNROPA CGT 0,00 € Total du Timbres 0,00
versement SNOPA CGT 0,00 € Du Vie Nouvelle pour info 0,00
Versement total section 0,00 €
un au SNOPA CGT pour les actifs, un au SNROPA CGT pour les retraités
Pour les retraités joindre la liste des adresses pour l'envoi Vie nouvelle et info retraité
Si vous effectuez un bordereau actif et retraité, bien etablir 2 chèques
8
8
Compte rendu de la réunion du groupe de travail CGT du 4 février
9
Compte rendu de la réunion du groupe de travail sur le
document reconquêtes de missions de service public
Lundi 4 février 2013
Présents : O.MOUGEOT, G.LEBRIQUER, J.GALLET, G.SILENE, C.BREUIL
Le groupe de travail fédéral en charge de travailler sur l’élaboration d’un document sur l’impact de
l’externalisation des missions exploitation-entretien—ingénierie-contrôles-mesures-études relatives aux
infrastructures s’est réuni le lundi 4 février 2013 à Montreuil.
La réunion a consisté à reprendre les contributions de camarades par rapport à l’architecture du document
que nous nous sommes fixée.
Vous trouverez une première mouture ci jointe avec les contributions de chacun que chaque camarade doit
compléter ou modifier en tenant compte des observations.
Il nous manque actuellement certaines contributions dans le domaine maritime ou dans le secteur du réseau
scientifique et technique.
Il est nécessaire de relancer les camarades afin qu’ils amènent leurs contributions en n’oubliant pas l’objectif
fixé :
- à partir du bilan des réorganisations (décentralisation- réorganisation de l’Etat- transferts etc.…) mesurer
l’impact sur les missions, sur les services et le service public , dénoncer les externalisations et les
gabegies financières et faire la démonstration de la nécessité du maintien des missions de service public
assurées par des agents sous statuts publics.
Une prochaine réunion est prévue
Lundi 4 février 2013 à 13h 30 au siège de la fédération à Montreuil
L’objectif est de finaliser la première partie afin de construire la synthèse du document en s’appuyant sur des
exemples concrets cités en annexe.
Rappel Architecture du document
Présentation du document (en rouge les contributions manquantes)
L’état des lieux avant les réformes Le ministère de l’Equipement avant les réformes. G.SILENE
L’organisation du ministère de l’équipement
L’administration centrale
Les services déconcentrés- les DDE
Le réseau routier
Les services maritimes
Les services navigations
Le réseau scientifique et technique
Les grandes réformes- un choix politique
10
Les lois de décentralisation – 1982 -1992 -2004
Le réseau routier C.BREUIL
Les ports maritimes 2007 G.LEBRIQUER
Le réseau fluvial G.LEBRIQUER
Le transfert des parcs : loi de 2009 C.BREUIL
La LOLF : Jean GALLET
La RGPP : O.MOUGEOT
La réduction des effectifs et des moyens, l’impact sur les services
La reforme de l’Etat : réorganisation des services du ministère G.SILENE
Création des DIR, des DIRM, des SMO, DREAL, DDT(M)
Réorganisation de l’administration centrale
Les choix politiques: G.LEBRIQUER
Les contraintes budgétaires - l’absence d’augmentation des crédits d’exploitation,
Les contrats de partenariat public- privé
Les concessions autoroutières
L’externalisation
Un état des lieux après les réformes La fin d’un ministère technique- un ministère de l’Ecologie
La fin de la mutualisation : Jean GALLET
Fin de l’ingénierie publique O.MOUGEOT
Un ministère d’opérateurs-les établissements publics C.BREUIL
VNF : O.MOUGEOT
CEREMA : un camarde de l’ USSER
L’organisation des ministères- les missions Le réseau routier
Bilan de la décentralisation C.BREUIL
Bilan de la généralisation des concessions autoroutières Jean GALLET
Constat de la réorganisation des services routiers : O.MOUGEOT
Absence de politique routière nationale pas de cohérence de réseau et de gestion
Absence de politique de sécurité routière
Impact sur la sécurité civile- gestion de crise
conséquences sur les SMO des DIR /abandon de l’ingénierie routière concurrentielle,
externalisation des comptages routiers et des contrôle mesures chaussées IQRN et IQOA/ labo
et CETE
Pas d’homogénéité d’organisation dans les DIR
L’externalisation des taches au secteur privé pour
L’entretien, l’exploitation
Les circuits de la Viabilité Hivernale,
La maintenance des matériels (l’absence de parc à matériel, fin des conventions avec les
conseils généraux)
La signalisation de chantier et du balisage opérationnel, les marchés de Signalisation
Horizontale et de glissières de sécurité…
Le secteur maritime et portuaire G.LEBRIQUER – collectif mer
Désengagement de l’entretien des parcs POLMAR terre-appel à l’intervention des collectivités
locales, R.VIRY
La signalisation maritime et portuaire D.ALLIGNE
L’entretien des Phares et balises-La décentralisation et externalisation des tâches de maintenance
(l’interdiction de recruter des OPA) …. D.ALLIGNE
la privatisation du contrôle de sécurité des navires de plus de 500 ums, R.LEMAITRE
11
Le secteur fluvial O.MOUGEOT Externalisation des travaux d’entretien
Externalisation de l’ingénierie de travaux
Externalisation de maîtrise d’œuvre et de conduite de projet
Recours aux PPP pour la reconstruction des barrages manuels….
Le réseau scientifique et technique P.GARCIA CERTU-SETRA-CETMEF-CETE Labos
Le futur CEREMA-champ concurrentiels-prestations pour les collectivités
ATESAT- ADS : fin d’une solidarité avec les collectivités territoriales N.BAILLE
Coût pour les communes du recours aux bureaux d’études/ perte de maîtrise publique
Conclusions : Synthèse du document C.BREUIL
Conséquences réduction des emplois publics, des pertes de missions
Cout des externalisations-comparatif publics privés
Perte de technicité, des compétences, de maîtrise publique
Efficacité du service public, le recours au privé en gestion de crise
Partenariats publics privés : coût global de l’investissement- comparatif par rapport au recours aux
marchés publics
L’impact des restructurations sur les agents :
Fragilisation des équipes
Précarisation
Souffrance au travail Mal être de l’encadrement
Abandon du statut de fonctionnaire encas de transfert des agents au secteur privé…
Le besoin d’un changement de politique :
Une véritable politique d’entretien et d’exploitation des infrastructures
Une cohérence nationale,
La restauration des organisations de travail et des moyens
Des cadrages nationaux
Une homogénéité sur l’ensemble du territoire
Des synergies entre les services et une coopération avec les collectivités,
Les missions infrastructures par des agents publics
Une ingénierie de référence,
des supports logistiques- la création de parcs à matériel
Annexes -fiches C.BREUIL
DIRMC : comparatif Aximum signalisation horizontale- réparation automobile
DIR est : reprise des PPP- signalisation horizontale
Faire remonter des barèmes parcs et comparer avec des exemples de prestations entreprises privées
À finir de compléter
12
Compte rendu du comité de suivi du 28 janvier 2013 et relevé de décisions
FEDERATION NATIONALE DE L’EQUIPEMENT
ET DE L’ENVIRONNEMENT_________________________________________________________________________
263 rue de Paris – case 543 – 93515 Montreuil Cedextél. : 01 55 82 88 75 – Fax : 01 48 51 62 50 –
E mail : [email protected] - Site : www.equipement.cgt.fr
Réunion du comité de suivi sur le CEREMA du 28 janvier 2013
Présents pour le ministère :•Mme Paquita Morellet-Steiner, Directrice adjointe de Cabinet de Mme Batho, ministre de l’écologie du développementdurable et de l’énergie (MEDDE)•M. Jacques Archimbaud, Directeur adjoint de Cabinet de Mme Duflot, ministre de l’égalité des territoires et dulogement (METL)•M. Laurent Tapadinhas, Directeur de la recherche et de l’innovation (DRI)•M. Franck Jung, DRI•M. Bernard Larrouturou, Préfigurateur du CEREMA•M. Thierry Vatin de la DRH.
Présents pour la CGT : Nicolas BAILLE, Fédération CGT Equipement-Environnement, Philippe GARCIA et Olivier DUPRÉ pour les CETE,Ariane MONACO pour le SETRA, Patrice HALLET pour le CERTU et Jean-Charles BEAUDOIN pour le CETMEF.FO ; CFDT ; UNSA ; FSU.
En préalable, plusieurs documents avaient été transmis aux organisations syndicales :•un relevé de décision de la réunion du 16 janvier,•une nouvelle version du projet de loi,•une étude d’impact du projet de loi, qui sera annexée au projet de loi et donc remise aux parlementaires,•une nouvelle version du projet de décret relatif à la loi,•une fiche comparative entre un fonctionnement avec un président directeur général ou avec un directeur général distinctdu président du conseil d’administration.
Lors de cette réunion, Fabrice Aubert, maître des requêtes du Conseil d’État a présenté les conditions d’intervention dufutur établissement public envers les collectivités. Un débat a suivi. Les conclusions sont présentées en fin de compte-rendu.
De plus, le résultat de la consultation sur le nom de l’établissement ont été fournis. Le nom arrivé en tête et donc retenuest CEREMA : centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement.
Le projet de loi :
La CGT demande à nouveau si l’établissement public créé sera « dérogatoire à l’emploi de fonctionnaires sur emploipermanent ». Le caractère dérogatoire d’un établissement peut notamment avoir pour conséquence d’ouvrir la porte à desrecrutements en CDI pour des missions permanentes, au lieu du personnel statutaire. La CGT est favorable à un EPA nondérogatoire. Pas de réponse une nouvelle fois, mais nous espérons que celle-ci viendra lors de la prochaine et dernièreréunion…
Les syndicats réclament un état des lieux des effectifs et de leur évolution pour l’ensemble des services amenés à intégrerle CEREMA. L’administration propose d’étudier ce point lors de la prochaine réunion.
La CGT demande que la vacance soit réduite au minimum à la création du CEREMA. En effet, c’est le ministère dubudget qui procède au transfert de la masse salariale au moment de la création de l’établissement public. Or, il n’y a pasde masse salariale pour les postes vacants. Ces derniers ne seront donc pas pris en compte à la création du CEREMA etperdus. Pour la CGT, l’intégralité des postes doit être conservé, y compris les postes vacants. Elle rappelle par exempleque le recrutement d’experts techniques (ETST) peut être effectué facilement par chaque directeur de service vial’organisation d’un concours déconcentré. Cette possibilité doit être mise en œuvre dès maintenant.
La CGT pose à nouveau la question du statut des personnels de l’organisme (titulaires, OPA et non titulaires).L’administration reconnaît qu’il faudra inclure un paragraphe sur ce point, précisant que les titulaires sont en PNA, lesOPA, PNT CETE et PNT SETRA affectés.
Enfin la CGT salue l'ajout par la DGITM dans les missions de l'établissement de l'assistance à la gestion desinfrastructures de transport et du patrimoine bâti.
13
Plusieurs éléments doivent être tranchés lors de la dernière réunion : •Président Directeur Général ou Président du conseil d’administration et Directeur Général distincts ;•place des usagers et associations au conseil d’administration ;•représentation éventuelle du personnel au conseil stratégique.
L’étude d’impact :
Ce document tranche la question du rattachement des CRICR, qui seraient rattachés aux DIR.
La CGT exige l’ajout dans le document, comme prévu dans le protocole d'accord, du maintien des effectifs et moyenspour les deux premières années de fonctionnement de l’établissement public. L’administration répond favorablement àcette demande.
La CGT demande que le document précise que les PNT CETE et SETRA soient affectés.
Enfin, elle demande à ce que les agents du CEREMA soient bien gérés par leurs CAP et CAD nationales (à l’exceptiondes OPA).
La CGT exige que le protocole soit joint à cette étude, afin d'éclairer la représentation nationale sur le positionnement desagents.
Points divers :
Madame Sylvie Moreau de l'INRA a été recrutée au poste de Secrétaire Générale de la préfiguration. Sont en cours lesrecrutements :•des directeurs du CETE Normandie Centre et du CERTU ;•de DPPP (directeur des partenariats, des programmes et de la production) et DSTREI (directeur scientifique ettechnique et des relations européennes et internationales).
Suite du calendrier :
La prochaine réunion du comité de suivi aura lieu le 11 février. Le projet de loi sera ensuite examiné pour avis dans lescomité techniques locaux et au comité technique ministériel.
Les modes d’intervention de l’établissement public
Intervention pour le compte de l’État
L’ intervention de l’établissement public pour l’état ne peut être « in-house » (c’est-à-dire hors marché concurrentiel) qu’àdeux conditions cumulatives : •l’État doit exercer sur le CEREMA un contrôle identique à celui qu’il exerce sur ses propres services, •le CEREMA doit réaliser l’essentiel de son activité pour le compte de l’État.
Ces deux conditions sont imposées par les règles communautaires en matière de droit de la concurrence.
La première ne pose pas de problème, puisque l'État exercera aura la tutelle du CEREMA. Pour la seconde, le Conseild’État précise que « l’essentiel » ne signifie pas « la majorité ». Des seuils sont en discussion à l’échelle européenne etnul ne sait si une activité de 5 , 10, 20 ou 40% du CEREMA pour d’autres commanditaires que l’État impliquerait ou nonun non respect du second critère. De plus, il pourrait être tenu compte non uniquement de ce qui est fait parl’établissement (sur une année par exemple) mais aussi des capacités potentielles. Tout cela plaiderait pour une limitationdans les textes de l’intervention du CEREMA pour d’autres commanditaires que l’État.
Intervention pour le compte des collectivités
Quatre possibilités d’interventions sont évoquées :•Le régime « in common house » qui signifierait que le CEREMA travaillerait in-house à la fois envers l’État et lescollectivités. Les deux conditions évoquées ci-dessus s’appliquent toujours. Néanmoins, le contrôle n’a pas à être exercéindividuellement, il peut être exercé conjointement. De plus, l’essentiel de l’activité doit être réalisé pour l’un ou l’autredes commanditaires. Problème : le très grand nombre des collectivités rend impossible un contrôle par chacune d’elle duCEREMA. Le frein pour un fonctionnement de ce type est donc l’émiettement des collectivités et le caractère insuffisantde leurs représentations (les associations de collectivités ne sont pas de nature à permettre un respect de la premièrecondition).
•Le marché concurrentiel : l’intervention demeure possible en respectant le second critère du in-house (le CEREMAintervient essentiellement pour l'Etat) et l’obligation de faire état des justes coûts des interventions.
14
•Les prestations gratuites : le CEREMA pourrait fournir des prestations gratuites aux collectivités, tel que soutenu parles organisations syndicales et les deux cabinets ministériels. Deux conditions limitent néanmoins fortement cettepossibilité : il faudrait pouvoir justifier que le recours au marché n’est pas possible ou que l'Etat exerce via le CEREMAune mission d'intérêt général.
•Les conventions de partenariat (ou contrats d’association) : ce ne sont pas a priori des prestations mais des actions quivisent à mutualiser des ressources pour exercer des compétences.
Enfin, précisons qu’il est important de distinguer les prestations faites pour le compte d’une entité (c’est-à-dire que cetteentité est le commanditaire direct) de celles réalisées au bénéfice d’une entité (dans ce cas le bénéficiaire n’est pasnécessairement le commanditaire). Ainsi, lorsque l’administration centrale passe une commande pour une capitalisationdiffusée ensuite auprès des collectivités, ces dernières sont bénéficiaires mais non commanditaires. Il en est de mêmelorsqu’un service déconcentré commande une étude au CETE pour alimenter des politiques publiques menées par lescollectivités. C’est pourquoi la CGT estime indispensable un renforcement des commanditaires État du CEREMA afind'améliorer leurs capacités non seulement à passer des commandes mais également à les porter auprès des collectivités.
Le schéma ci-dessous précise les recettes du futur organisme et les bénéficiaire/commanditaires correspondant, dansl’hypothèse où le régime « in common house » ne pourrait être mis en place.
Subvention pour charge de service public
Recettes du futurétablissement
Recettes propres
De l'ordre de 88 ou 90%« au début » dixit le
préfigurateur
De l'ordre de 10 à 12%
L'intégralité des prestations se fait pour lecompte de l'État, même si certaines prestationspeuvent être au bénéfice des collectivitésterritoriales.
Il s'agit de recettes correspondant à des commandes de l'État nerentrant pas dans le cadre de la subvention. Elles seraient réaliséesen in-house (ou prestations intégrées si on se réfère à la formulationdu projet de loi proposé, article 78ter)
Les collectivités territoriales
L'État
Autres acteurs
L'État
Les collectivités territoriales
Interventions sur le marché concurrentiel (réponse de l'organisme àdes appels d'offres proposés par les collectivités)
Conventions de partenariat : la convention précise la nature de laprestation et les moyens humains et financiers engagés par les co-contractants pour la réaliser.
À ce schéma s'ajoutent les prestations gratuites qui seraient faite directement pour le compte des collectivités. Elles ne donnent pas lieu à recettes mais doivent être prises en compte dans la part de l'activité du CEREMA qui sera faite pour d'autres commanditaires que l'État (et qui si elle était trop élevée mettrait en péril le fonctionnement in-house pour celui-ci).
15
Pour conclure, la CGT estime que les règles communautaires de l’Europe libérale ne sont pas des contraintes intangiblesmais renvoient à la volonté politique du gouvernement. La CGT estime légitime l’intervention du CEREMA directementpour les collectivités hors champs concurrentiel. La politique doit primer sur le droit et non l’inverse.
Si le régime « in common house » n’est pas mis en place, la CGT remarque que l’intervention de l’établissement publicpour le compte (ou au bénéfice) des collectivités prendrait les mêmes formes qu’aujourd’hui :
•commandes de l’État pour des prestations au bénéfice des collectivités (par le biais des directions centrales ou desservices déconcentrés) ;
•commandes des collectivités dans le cadre d’appel d’offres ;
•commande des collectivités dans le cadre de conventions de partenariat ;
•prestations gratuites (mais a priori extrêmement limitées).
La seule avancée du CEREMA sur cette question de l’ouverture aux collectivités territoriales (qui ne nous paraît ninégligeable, ni suffisante) serait donc la participation de ces dernières au conseil d’administration de l’établissementpublic. Le nouveau statut ne permet en rien un travail direct pour les collectivités hors champs concurrentiel ouconventions, qui sont déjà des modes de travail possibles aujourd’hui. Les prestations au bénéfice des collectivitésdemeurent possibles via les commandes de l’État. La CGT rappelle sa revendication d’ouverture de l’établissement publicaux collectivités hors champs concurrentiel.
De plus, le schéma ci-dessus montre que la part de l’activité de l’établissement pour le compte des collectivités estnécessairement au début inférieure à 10 %. Or, les services amenés à travailler pour le CEREMA travaillent déjà pour unepart équivalente, voire supérieure de leur activité pour le compte des collectivités. Nous attendons donc toujours del’administration qu’elle précise comment la part de l’activité pour le compte des collectivités peut augmenter par rapportà la situation actuelle, sans mettre en cause le fonctionnement in-house pour l’État.
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Comité de suivi du protocole relatif au CEREMARelevé de décision de la réunion du 16 janvier
Points liminaires
M. Archimbaud, directeur adjoint du cabinet METL, évoque l'importance qu'attache le METL à la réforme et rappelle l’implication du METL dans le cadre de la signature du protocole et plus généralement dans le suivi de la réforme.
Un point est demandé sur les effectifs 2013 des services du périmètre CEREMA. Il est confirmé que la baisse des effectifs des services amenés à rejoindre le Cerema sera globalement inférieure à la moyenne des baisses des deux ministères METL et MEDDE.
Bernard Larrouturou précise que les recrutements qui viennent d'être ouverts visent à commencer à constituer l'équipe chargée de la paye des personnels de l’établissement à partir de janvier 2014.
La focalisation des premières réunions du comité de suivi sur le projet de loi n'a laissé que peu de place aux autres sujets. Un rattrapage d'information est nécessaire concernant les chantiers en cours et à venir. Les prochains comités de suivi devront traiter ces points et veiller à assurer un partage de l'information sur le plan de travail de la préfiguration et les chantiers structurants.
Relevé de décision du 08 janvier
Le relevé de décision est validé en tenant compte des ajouts suivants :- une mention de la demande de la CFDT d'inclure des représentants du personnel au comité stratégique lors du débat sur les dispositions législatives ;- une mention de l'engagement de l'Administration de fournir une note décrivant les avantages et inconvénients DG/PDG .
Restitution de la réunion des cabinets METL et MEDDE avec les représentants des collectivités territoriales
La liste des participants à cette réunion est remise aux membres du comité de suivi.Les dispositions législatives ainsi que le décret seront transmis aux représentants des associations.Les propositions des collectivités territoriales sur la question de la présidence du comité stratégique et les conditions de sa nomination sont attendues.Des rencontres officielles avec les présidents des associations seront organisées pour la fin du mois de janvier.
Expertise juridique sur la question du « in house » La problématique du « in house » fera l'objet d'un exposé d'un maître des requêtes du conseil d’État le 28 janvier.Il est convenu d'une série de questions à poser sur la problématique du « in house » et plus largement sur les modalités d'accès aux prestations du Cerema.Un éclairage spécifique sur les prestations non payantes du Cerema et sur la coexistence entre prestations payantes et non payantes est également demandé.
Procédure de choix du nom
La proposition de calendrier présentée par Bernard Larrouturou est validée. La consultation des personnels des 11 services sera close le 25 janvier. Une information sur les votes sera réalisée lors
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du comité de suivi du 28 janvier (nombre de votants, etc.). Des demandes d'ajustement de noms sont convenus avec la mention « étude » à côté « d' expertise ».
Examen du projet de dispositions législatives.
Il est demandé d'examiner si la capacité du PDG à transiger (i.e. établir de protocoles transactionnels) relève du niveau des dispositions législatives ou du décret.Ce travail de distinction entre les dispositions législatives et le décret est également demandé pour les questions RH (recrutement, affectation d'agents au Cerema).
1. Exposé sommaire L'ordre protocolaire des ministères sera réintroduit.
2. Article 78 bis nouveau
Alinéa 2 (« l’établissement constitue.. » ): la liste des domaines sera complétée par l'ajout du domaine « habitat ».
Une clarification des niveaux « domaines, vocations, missions et activités» sera proposée.
Les activités « essais » et « recherche » sont ajoutées.
Au 3°) Ajout « Apporter à l’État et aux acteurs territoriaux ». En fin de phrase est ajouté « notamment » avant « approche pluridisciplinaire ».
La problématique de la gestion du patrimoine doit être ajoutée aux missions.
3. Article 78 quater nouveau
La présidence, proposée, du conseil stratégique par un élu ne fait pas l’unanimité du comité.Il est proposé de mettre cette expression entre crochets.
Il est convenu de mettre en cohérence « représentants élus » et « élus représentant les collectivités » dans le projet de loi et le décret.
La question est posée de l'ajout d'un collège représentant les associations.
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Compte rendu de la réunion DG VNF et OS du 17 janvier
Journal fédéral la voie d’eau n°2
FEDERATION NATIONALE DE L’EQUIPEMENT
ET DE L’ENVIRONNEMENT
263 rue de Paris – case 543 – 93515 Montreuil Cedex
tél. : 01 48 18 82 81 – Fax : 01 48 51 62 50 –
E mail : [email protected] - Site : www.equipement.cgt.fr
Montreuil le 22/01/13
COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CONCERTATION AVEC LE DIRECTEUR
GENERAL DE VNF ET LES OS DU 17 Janvier 2013
Présents :
VNF :M.Papinutti, F.Agogue, X.Boulanger, D.Ménager, B.Terrnova, T.Druesnes
CGT : M.Fleury, G.Callay, C.Hégot, E.Collin, O.Mougeot
CFDT, FO, UNSA
Préambule : Le Directeur Général indique que :
l'envoi des convocations et des documents portés à l'ordre du jour sera fait plus en amont afin de ne
pas pénaliser les OS,
il y a de réelles difficultés dans l'envoi en général et qu'il est envisager de transmettre les courriers et
information par voie postale plutôt qu'en courrier interne. Il est anormal qu'une fiche de paie arrive
sous 2 mois. A cela s'ajoute le risque que les documents soient égarés.
La CGT fait état :
des difficultés à la DT Centre Bourgogne pour les demandes de remboursement des frais de
déplacement,
du fait que les fiches de paie ne soient pas sous enveloppes en DT Centre Bourgogne concernant la
Saône et Loire.
Concernant la gestion des recrutements, une note est en cours de rédaction fixant le principe de publication
des postes vacants après avis du Conseil d'administration et du CTU. Le Directeur Général a les mêmes
prérogatives en matière de recrutement et de mobilité pour VNF que celles des DREAL au niveau des zones
de gouvernance.
La CGT demande également qu'une information soit faite auprès des mainteneurs CDD de droit public. Nous
rappelons l'engagement pris par le DG de proposer un CDI à ces personnels pour les sortir de la précarité.
Le DG nous informe que la rédaction du CDI est en cours et qu'il leur sera proposé fin janvier ce nouveau
contrat.
a) Remarques sur le précédent compte rendu :
La CGT revient sur le mandat d’administrateur qui serait exclusif de tout autre mandat. Nous réaffirmons
notre opposition à cette disposition et argumentons-le fait qu’aujourd’hui l’établissement public VNF a vu
son statut juridique modifié (EPIC en EPA). De ce fait, notamment, la règle du non cumul n’a plus lieu
d’exister.
Le DG répond qu’un désaccord existe entre VNF et le Ministère sur ce point, arbitrage ministériel
confirmant l’analyse de la CGT. Le DG renvoie au Ministère la validation et la publication de la liste des
administrateurs de VNF.
Concernant la médecine de prévention, le service juridique de VNF étudie les modalités de transfert des
dossiers médicaux des agents.
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L'utilisation des véhicules de service pour les organisateurs des HMI est une avancée, les OS demandent que
cette disposition soit étendue à tous les participants.
b) Décision du Directeur Général
Un groupe informel de concertation est créé auprès du Directeur général pour 3 mois au maximum dans
l'attente du résultat des élections. Le groupe est constitué des 6 représentants désignés par chaque OS. Ce
groupe peut comprendre des experts extérieurs à VNF.
c) Moyens des organisations syndicales
La CGT rappelle que les droits syndicaux sont issus des statuts, décrets et circulaires Fonction Publique.
Il s’agit bien de prendre comme référence ces textes pour ensuite améliorer les droits syndicaux au sein de
VNF.
Il y a certes des droits différents entre les agents publics et les salariés privés, cependant tous doivent
disposer de moyens identiques. Un travail est nécessaire et doit être discuté entre les OS et VNF.
La direction de VNF propose la mise en place d’un groupe de travail et devra rendre ses conclusions dans les
3 prochains mois.
d) Mise en place des instances transitoires et pérennes
Suite à la parution des décrets et arrêtés fixant la répartition des sièges entre les OS pour les instances
représentatives au sein de VNF, un courrier a été envoyé à chaque fédération pour désigner les représentants.
Pour les réunions statutaires, la CGT reste attachée aux réunions plénières garantes de confidentialité et de
libre expression des participants. Nous n'acceptons pas la généralisation des visioconférences ayant pour seul
but la recherche d’économie.
Face à l'insistance du Directeur général pour privilégier les visioconférences, il est admis de tester cette
possibilité pour les réunions d'un groupe de travail.
Suite aux documents envoyés par VNF faisant une proposition concernant les instances pour la période
pérenne, la CGT fait les contre propositions suivantes :
Formation plénière CTU : 10 titulaires 10 suppléants (9 droits publics et 1 droit privé)
Formation de droit public 10 titulaires 10 suppléants
Formation de droit privé. 8 titulaires et 8 suppléants (identique au CE actuel)
CHSCT 9 titulaires 9 suppléants (conformément à la réglementation.)
Cette proposition prend en compte l’actuel équilibre entre les personnels sous statut public (92%) et salariés
de droit privé (8%).
La CGT fait remarquer que sur les documents présentés n'apparaissent ni les Commissions Administratives
Paritaires ni la Commission Locale de Formation.
e) Élections
Les élections sont prévues 9 avril 2013 en concordance avec les élections au ministère. Chaque OS recevra le fichier des agents en poste à VNF dans le cadre de la préparation des élections. Des
BALU seront créent pour chaque fédération afin de diffuser l’information syndicale aux personnels et
salariés de VNF.
La CGT rappelle le caractère d’urgence de communiquer la proposition de circulaire élection pour VNF afin
de tenir les différents délais et d’échanger sur son contenu.
Le DG décide de créer un groupe de travail qui se réunira une 1ère fois courant janvier afin de préparer la
rédaction de la circulaire élection.
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N ° 2Février 2012
Édito :
Ca y est, c’est fait !! La bascule à l’EPA VNF des 4435 salariés de droit public et les 389 de droit privé est effective depuis le 1er janvier 2013. Nous avons beaucoup de dossiers à traiter et à gagner au cours de l’année 2013. Nous devons tous ensemble créer et amplifier un rapport de force pour faire aboutir les revendications de l’ensemble des personnels.
En matière de pouvoir d’achat, il y a urgence à augmenter les salaires, l’ensemble des salariés sont dans une situation alarmante. Nous créons de la richesse, il faut la partager !
En matière d’emplois, nous ne pouvons accep-ter les 121 postes supprimés en 2012. Ces suppressions de postes vont avoir des consé-quences néfastes dans les organisations et les conditions de travail. Il nous faut là également se battre afin d’impulser la reconquête des emplois et des missions.
Concernant la réforme statutaire et catégo-rielle de la catégorie C exploitation, des négo-ciations vont s’ouvrir dès le 1er trimestre 2013. Force et unité seront nécessaire pour gagner une réforme statutaire et catégorielle à la hauteur des attentes des personnels.
Pour la CGT, le dossier de la fusion des corps de la catégorie B n'est pas clos avec la parution des décrets S.A.C.D.D. et T.S.D.D. Il est impératif de tracer un futur pour ces corps, de donner de la lisibilité et des garanties sur les missions.
Enfin, 2013 sera une année électorale impor-tante :le 9 avril : CAP nationales TSDD et SACDD, ainsi que les CAP locales exploitation AE/CEE de la DT Centre Bourgogne et de la DT Nord Est,septembre / octobre : CA et CTU.
Pas de temps à perdre, renforçons la CGT pour gagner sur nos revendications !!!Unis et rassemblés, mobilisons nous pour gagner!!!
Eric COLLIN Secrétaire National du SNPTRI - CGT
ELECTIONS CAP le 9 avril 2013Les personnels sont appelés à élire leurs représentants aux CAP dessinateurs et adjoints administratifs rattaché auprès du DG de VNF. Également les directions territoriales Centre Bourgogne et Nord Est renouvellent leur CAP concernant les personnels d'exploitation (AE – AES – CEE – CEEP).
Enfin le ministère organise les élections aux CAP SACDD (secrétaires administrati-f-ve-s et de contrôle) et TSDD (technicien-ne-s supérieur-e-s) suite aux fusions des corps.
Pour toutes ces élections CAP, la CGT met à votre disposition des candidats qui défen-dront les revendications de tous les personnels face à l'administration et à la direction de VNF.
L'actualitéMis en place des instances provisoires au sein de VNFJusqu'aux élections prévues courant septembre / octobre 2013 pour le CA, le CTU et le CHSCT, il est prévu une période transitoire prenant les résultats des élections CTM de 2011 pour répartir les sièges aux différentes organisations syndicales.Vos représentants CGT sont :
Conseil d'Administration (3 sièges CGT sur 7 au total):FLEURY Michel (DT Seine), COLLIN Eric (DT Centre Bourgogne), COOLS Xavier (DT Nord Pas de Calais)
Comité Technique Unique (4 sièges CGT sur 10 au total): Titulaires : CALLAY Gilles (DT Nord Pas de Calais), FLEURY Michel (DT Seine), HEGOT Christophe (DT Seine), FIOCCO Catherine (DT Nord Pas de Calais)Suppléants : BARTHAS Didier (DT Toulouse), MOUGEOT Olivier (DT Nord EST), CLAVEAUX Didier, (DT Toulouse), ESQUENET Monique (DT Nord Pas de Calais)
CHSCT (4 sièges CGT sur 10 au total): Titulaires : CALLAY Gilles (DT Nord Pas de Calais) , DETOURNAY Bertrand, (DT Rhone Saone) GRAVE Didier (DT Nord Pas de Calais), COTTIN Jean Luc (DT Centre Bourgogne)Suppléants : FLEURY Michel (DT Seine), GENIX Christian (DT Centre Bourgogne), DAURE Jacques (DT Rhône Sâone), COMMUNAL Philippe (DT Nord EST)
Accord sur la sécurisation de l'emploiLe 11 janvier 2013, les négociations nationales (MEDEF/OS) dites de « sécurisation de l’emploi» se sont terminées par un accord d’une extrême gravité pour les droits des salariés de droit privé. Le MEDEF précarise le droit des salariés : chantage sur les salaires et le temps de travail, faible taxation des CDD compensée généreusement par l'exonération des cotisations sociales patronales... Tout bénef pour le MEDEF.
La CGT et FO ont annoncé qu'elles ne le signeront pas.Par contre la CFDT, la CGC et la CFTC, syndicats minoritaires, ont décidé de le parapher.Un projet de loi doit être présenté au Conseil des ministres début mars, pour ensuite être voté au parlement en mai.
La CGT appelle les salariés à se mobiliser, à engager la bataille, pour le respect de la démocratie sociale (CGT et FO majoritaire) et contre la transposition de l'accord dans la loi. 22
SACDDNous sommes opposés à toute forme d'individualisa-tion des carrières et des rémunérations.Nous demandons l'abrogation de la PFR et de l'entre-tien professionnelle et l'ouverture d'un chantier sur un autre mode d'évaluation des fonctionnaires.
Nous exigeons l'ouverture d'une négociation qui porte sur le mode de rémunérations (salaires et primes) et la revalorisation du régime indemnitaire.
Pour les SACDD, nous demandons :
l'ouverture d'un chantier sur le rôle et la place des SACDD dans nos ministères, l'ouverture de discussions sur le pyramidage du corps de façon à reconnaître les deux niveaux de fonctions avec la mise en place de ratios promus / promouvables qui ouvrent un déroulement de carrière pour permettre à tous les agents de parvenir au sommet du dernier grade, et enfin nous voulons des plans de requalification et de transformation d'emplois de en B et de B en A.
TSDD
Le corps des TSDD (11 597 agents) est issu de la fusion imposée des techniciens supérieurs de l’équipement (8375), des contrôleurs de travaux publics de l’Etat (2995) et une partie des contrôleurs des affaires maritimes (227).
Les TSDD constituent la charnière technique du MEDDE et du METL avec pour fondement une forte technicité. Avec les transformations constantes de nos ministères, les transferts imposés, l’évolution des services ministé-riels et interministériels, le regroupement de techniciens supérieurs issus de différents ministères (Agriculture, Industrie, Finances, Environnement, IGN,…), le corps des TSDD est en constante évolution.
Cette évolution devait permettre aux agents d’élargir leur parcours professionnel sur des missions techniques diversifiées, au sein des différents services.
Pour autant, la rémunération et la gestion individuelle des TSDD comportent actuellement de grandes différen-ces, sources d’inégalités conflictuelles et légitimes.
Agenda
21/02/2013Réunion OS -VNF
9/04/2013Elections CAP TSDD et SACDD
9/04/2013Elections CAP Adjoints et dessinateurs
9/04/2013Elections CAP Personnels d'exploitationAE-AES-CEE-CEEP DT centre Bourgo-gne et DT Nord Est
Ingénieurs et Cadres de statut privé ou public : La CGT avec l'UGICT (Union Générale des Ingénieurs Cadres et Techniciens CGT) donne la parole aux cadres, du public comme du privé, dispose d'une expertise, et défend avec eux leurs revendications. L'encadrement de VNF doit pouvoir jouer son rôle contributif, proposer, discuter et être entendu.
il est nécessaire de discuter des moyens, de pouvoir contester les objectifs proposés sans nuire à sa carrière, de pouvoir discuter de son travail plutôt que du savoir-être, tout celà sur la base d'une discussion collective dans l'équipe.
La CGT revendique :• la reconnaissance de la qualification et donc des diplômes : sur la base d'un SMIC à 1700 euros brut, un début de carrière à 3400� euros brut pour un bac+5 et le doublement de la rémunération sur une carrière , des revendications salariales pour contrer l'écrase-ment de la grille des salaires,• un déroulement de carrière pour tous.
Retour sur l'Assemblée générale du 15 janvier à Béthune :
la CGT a réunit plus de 150 personnes pour échanger sur la mise en place de l'EPA VNF et exprimé ses premiè-res exigences revendicati-ves auprès de la Direction à travers une motion remise le jour même à la DRH.
Les techniciens supérieurs acquiè-rent des compétences dans de nombreux domaines tout au long de leur parcours professionnel. Cette notion de compétences, au libre choix de l’agent, est remise en cause par l’administration. Il ne s’agit plus de reconnaître les qualifications et les compétences acquises par l’expérience, mais de prendre en compte son efficacité, pour un travail précis, à un moment donné, au choix unique des services, dans le cadre d’orientations stratégiques définies par la Direction des Ressources Humaines. C’est la notion de « métier » portée par la Fonction Publique et la DRH du MEDDE/METL notamment au travers du répertoire interministériel des métiers et par la volonté de l’administration d’imposer une charte de gestion au seul profit des différents employeurs.
La CGT porte une autre revendication basée sur un parcours profession-nel choisi par l’agent avec pour but que tout agent puisse atteindre le troisième grade du corps de TSDD rémunéré sur une grille revalorisée par rapport au SMIC. La CGT appelle à un travail revendicatif y compris avec les nouveaux agents dans les écoles du MEDDE/METL.
Critères de promotion et charte de gestion, la CGT s'oppose aux propositions actuelles faites par le Ministère concernant les SACDD - TSDD.
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CHSCTLa CGT revendique : • des CHS-CT des directions territoriales avec tous les moyens nécessaires à leur bon fonctionnement : equipement informatique, véhicule à disposition et décharge d'activité à temps plein pour le secrétaire du CHS-CT représentant les OS, • la mise à jour des Document Unique d'Evaluation des Risques, • la visite médicale obligatoire pour l'ensemble des salariés droit public et droit privé.La présence de médecins de prévention est essentielle dans les DT. lls contribuent à l'amélioration des conditions de travail.
Administratif et techniques : services support et études développements
Maintenance: les métiers Les ouvriers des parcs et ateliers (OPA) assurent les missions de maintenance du réseau fluvial principalement. Les OPA ont pleinement participé à l’amélioration du service public rendu aux usagers par la modernisation des ouvrages notamment. Demain, la nécessité d’avoir et de recruter des OPA est encore plus nécessaire si nous voulons atteindre les objectifs ambitieux de la voie d’eau.Pour cela, la CGT exige : Le recrutement d’OPA dès le 1er janvier 2013 au sein de VNF, La revalorisation de la grille salariale qui aujourd’hui condamne l’OPA qualifié au SMIC pendant 10 années, La prime de métier à 6500€, Un plan de formation adapté aux besoins des OPA pour répondre à des systèmes toujours plus innovant.
La nécessité d’avoir des OPA au sein de VNF n’est plus à démontrer.
Maintenant place aux recrutements.
Organisation de travail (Exploitation)L’ensemble des catégories B et C sont dans une grande souffrance. Suppression des effectifs, point d’indice gelé, trans-fert de personnels avec mobilité, etc… La CGT conteste ce budget d’austérité présenté comme solution à la crise écono-mique et financière. Il faut sortir de la logique de réduction des dépenses publiques.
La CGT rappelle ses revendications : Création d’un corps à 2 niveaux AE – CEE avec un traite-ment brut minimum à 1700€ au 1er échelon du corps. Dans le cadre d’un déroulement de carrière linéaire évolutive, le recrutement pour le 1er niveau du corps doit s’opérer à l’échelle 4 pour terminer au dernier échelon de l’échelle 6, avec un passage automatique à CEE sans en assumer les fonctions, et un passage automatique en catégorie B, pour les CEE promus par concours. Le maintien du service actif, en y intégrant une bonifi-cation de 25% des années passées dans le service actif. Le minis-tre Borloo l’a reconnu et écrit, nous demandons réparation sur ce dossier. Une PTETE à 5000€ de l’AE au TSCDD. La revalorisation de l’astreinte sur la base de 300 € / semaine, La suppression des ISH et l’instauration d’une indem-nité « travail atypique » sur la base : Travail posté 2x8 = 23.54 € / jour Travail posté 3x8 = 50.02 € / jour Travail de nuit = 102.98 € / nuit Travail Samedi = 27.10 € Travail Dimanche = 113.82 € L’ensemble des primes doivent être intégré dans le calcul des retraites.
Lors de la journée nationale d'action du 27 septembre 2012, environ 1 000 agents des corps de catégories C administratives et techn-ques du MEDDE sont venus exprimer les revendications suivantes:- la revalorisation de la grille indiciaire,-l'augmentation du nombre de postes de promotions ( avancements de grades) dès 2012,- la mise en place d'un examen profession-nel pour l'accès à la catégorie B dès 2013,- le dé-contingentement du 8ème échelon (pour les adjoints administratifs, les syndics des gens de mer et les dessinateurs)
Mesures immédiates :
• L'importance de la catégorie C est rappelée comme l'une des priorités au sein de la fonction publique.• Abandon de la Prime de Fonction et de Résultats (PFR) pour la catégorie C,• Les Ministres prennent acte du refus des OS
de voir continuer à recruter à l’échelle 3. • ratios d'avancements sur les années 2012, 2013, 2014 :1 – pour les adjoints administratifs, aujourd’hui baisse des ratios respective-ment 31%,27% et 23% pour AAP1 et 23%, 21% et 19% pour AAP2 (pour 2012, cela s'est traduit par moins 53 postes à AAP2 et moins 282 postes à AAP1) alors que nous deman-dions à minima la reconduction des taux pratiqués lors du précédent plan triennal, soit 35 % à AAP1, 25% à AAP2 et 25% à AA1.2 - pour les dessinateurs, taux �gés depuis 2004 à 30% pour DCG2 et 25% pour DCG1 alors que nous demandons 40% pour DCG2 et 50 % pour DCG1. Le Conseil Général de l'Environnement et du Développement Durable doit établir une photocopie complète du corps de catégories C adminis-trative et technique. Les conclusions doivent être rendues pour �n 2012 a�n de les intégrer dans le cadre des promotions 2013. Dans l’attente, un moratoire sur lesCAP de promotions 2013 a été mis en place.
Le travail des CAP régionales ainsi que des concertations locales a été remis à plat. Les CAP locales de promotions 2013 qui s'étaient tenues, ont été invalidées et les CAP nationales de promotions sont repous-sées au 1er semestre 2013.La CGT refuse l'accès contingenté au 8ème échelon pour les AAP1 et DGC1 et revendique un véritable accès à la catégo-rie B.
Actuellement, les promotions sont octroyées au compte-goutte (pour la 3ème année consécutive, la clause de sauvegarde s'est appliquée pour les Adjoints administr-tifs avec 60 postes de promotion par liste d'aptitude pour un corps d'environ 11 000 agents, soit 0,55%).
Pour les dessinateurs, des transformations massives d’emplois, au moins à hauteur de 1500 postes, permettant la reconnaissance des compétences exercées et des quali�ca-tions !
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Convention collective VNF et ses avenantsClassifications et rémunérations : la CGT veut faire le point avec vous.La convention collective d’octobre 2000 a été signée par quatre organisations syndica-les CGT, FO, CFDT et CFE-CGC. Celle-ci a été suivie d’avenants signés jusqu’en 2008 par les mêmes organisations, de 2009 à 2010 par trois organisations exceptée la CGT et à partir d’octobre 2010 par la seule CFDT.
Concernant les classifications et rémunérations, des modifications progressives sont intervenues, notamment au niveau des titres 3 et 4 négociés le 18 octobre 2010. Cet avenant annule et remplace totalement les titres 3 et 4 et précise en particulier la composition de la rémunération mensuelle brute qui correspond à 1\12ème de la rémunération annuelle brute de base. Ce qui semble un positionnement différent des salariés, vis-à-vis du 13 et 14ème mois compris dans le salaire mensuel. En effet, si le salaire mensuel de base s’en trouve artificiellement augmenté car la rémunération total est rapportée sur 12 mois, il n’en reste pas moins vrai que les références des salaires minimums par classe avec le passage à une classification en 4 catégories et 10 niveaux avec des minimas s’en trouvent fondamentalement modifiées à la baisse.
La CGT pense qu’il convient de faire le point sur ces changements de classifica-tions et ses évolutions pour bien appréhender tous les aspects de ces modifica-tions progressives des rémunérations.
La CGT vous invite à participer à la prochaine réunion d'information sau siège à Béthune (courant mars 2013) à l’occasion de l’inauguration de ses nouveaux locaux syndicaux.
Protocole d’accord du 1er juillet 2011 : pas de révolution suite au transfert de l’EPIC vers l’EPA.
La transformation de l’EPIC en EPA n’entraîne pas de mise en cause de l’ensemble de la convention collective, avenants, usages et accords d’entreprise applicables au sein de VNF. Chaque salarié de VNF conserve à titre individuel tous les éléments de son contrat de travail ainsi que le bénéfice de la convention collective et de l’ensemble du statut collectif. Il n’y aura pas d’avenant au contrat de travail, les dispositions du code du travail continuent à s’appliquer.Cependant, il est stipulé « au cas ou la réforme entrainerait une baisse éventuelle ou une perte d’avantages salariaux et sociaux, celle-ci sera intégralement couverte pas des mécanismes de compensation qui seront négociés avec les organisations syndicales représentatives. »
La CGT veillera au respect de ses garanties fondamentales collectives et sociales. La CGT vous invite à nous rejoindre en prenant contact avec nos militants locaux et nationaux.
Vous ne voulez pas en rester là ! Ensemble, dans le syndicat, nous serons plus fort.Bulletin de contact et de syndicalisation
NOM : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Prénom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Adresse : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Code postal : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ville : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Téléphone : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Courriel : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Age : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Profession : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Service (nom et adresse) : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bulletin à renvoyer à la FNEE - CGT, case 543, 263 rue de Paris - 93516 Montreuil Cedex, téléphone : 01 55 82 88 75, fax : 01 48 51 51 80, courriel : [email protected] Vous pouvez aussi adhérer en ligne sur www.equipement.cgt.fr
La tendance préoccupante à l'allongement des temps et à l'alourdissement des charges de travail, particulièrement dans les catégories d'encadre-ment au sens large, nous a conduit à décider de mener une campagne sur ce thème, avec le support d'une pétition et d'une consultation. Ce sont plus de sept cents d'entre vous , cadres, ingénieurs, techniciens, contrôleurs (avant la fusion) , B administratifs qui avez répondu à cette dernière.
Les résultats sont consultables sur le site www.equipement.cgt.fr. Ceux-ci, sans avoir une valeur statistique à proprement parler, sont toute-fois d'autant plus significatifs qu'ils proviennent de réponses de collègues d'une grande diversité de corps, de services, d'âge et de genre mais aussi d'organisations de travail, même si le cycle hebdo-madaire en horaire variable est de loin majoritaire .
Forts des résultats de cette consultation et de la pétition ayant recueilli plus de 1100 signatures à ce jour, nous venons, en première étape, de solliciter une audience auprès du Directeur du Cabinet de la Ministre, Mme Batho. Le caractère critique de la situation actuelle tout comme la jurisprudence récente qui rappelle les obligations de l'employeur, public ou privé, en matière de contrôle des temps et charges de travail, nécessitent des réponses fortes.
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Lettre CGT à Mme la ministre de la FP sur les recrutements d’ouvriers d’Etat
Montreuil, le 28 janvier 2013
Objet : Recrutement et situation des Ouvriers d’État Madame la Ministre Par courrier en date du 18 décembre 2012, l’Union Générale des Fédérations de Fonctionnaires CGT et les organisations CGT représentatives des Ouvriers d’Etat vous ont alerté sur les politiques mises en place par les gouvernements successifs qui ont largement contribué à supprimer les missions régaliennes et de service public exercées par les ouvriers d’État.
Lors d’une audience avec le conseiller social de votre cabinet le 14 janvier 2013, nous avons pu expliquer dans le détail par ministère et par service les conséquences désastreuses de l’abandon des missions et leur externalisation vers le secteur privé.
Votre conseiller social, monsieur Lacoste a clairement affirmé que la politique du gouvernement n’était pas de sortir de la sphère publique les missions techniques régaliennes ou publiques en les externalisant. Tout comme le gouvernement n’était pas dans la logique de remplacer des emplois de fonctionnaires ou d’ouvriers par des contractuels.
Cependant, la Modernisation de l’Action Publique aura à définir par qui les missions techniques de l’État seront effectuées.
Il nous a confirmé que le principe des agents publics sur ces missions techniques était retenu mais il fallait avoir une réflexion sur le statut.
Madame la ministre, nous considérons que ces missions techniques de service public et à caractère régalien, doivent être assurées par des ouvriers d’État et que leurs règles statuaires sont adaptées. C’est dans ce sens que nous sommes venus vous demander une véritable reconnaissance dans la fonction publique de l’État.
Nous partageons la volonté du gouvernement de mettre fin à l’externalisation, cependant en l’absence de recrutements, ce phénomène s’amplifie, mettant en péril bien des services et contribuant à la perte des compétences techniques au sein de la fonction publique de l’État.
Madame la Ministre, continuer à externaliser, attendre le résultat de la réflexion sur une position statutaire et continuer à recruter des emplois précaires pour répondre aux missions techniques exercées par les ouvriers d’État n’est pas concevable. Nous vous demandons de recruter de toute urgence des Ouvriers d’État, ce serait un geste politique fort que nos organisations CGT et les salariés attendent avec impatience.
Madame Marylise LEBRANCHU Ministre de la réforme de l’État, de la décentralisation et de la fonction publique
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Nous joignons en annexe à ce courrier, un inventaire par ministère et par service des missions sur lesquelles il est urgent de recruter des ouvriers d’État.
Sachez madame la Ministre que les ouvriers d’État sont mobilisés pour défendre leurs missions, leurs emplois mais aussi leurs salaires, leur pouvoir d’achat et leur régime de retraite.
Dans l’attente de réponses à nos revendications, soyez assurée madame la Ministre de notre haute considération
Pour la FNTE CGT Yannick Malenfant
Pour le SNOPA CGT Charles Breuil
Pour la CGT Police Thierry Nogues
Pour la CGT Ouvriers/Maîtrise IGN
Olivier Delbeke
Pour l’USAC CGT Christophe Pringot
Pour l’UGFF CGT Jean-Marc Canon
Pour la CGT Monnaies et médailles
Frédéric Méry
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Montreuil, le 28 janvier 2013
Objet : Annexe recrutement et situation des Ouvriers d’État
Ministère de la défense 9e BSAM de Draguignan : cet établissement se retrouve en pénurie de mécaniciens pour assurer les missions de l’aviation légère de l’armée de terre. Elle opère actuellement des recrutements en contractuels 84-16. Les premiers contrats devraient être signés pour le 1er février 2013. Il y a donc urgence pour le gouvernement d’autoriser ses recrutements en ouvriers de l’État.
La CGT revendique l’intégration dans le corps des ouvriers de l’État de tous les contractuels 84-16 recrutés dans les emplois techniques.
Le nombre de missions et le nombre important d’établissements ne permet pas de détailler les besoins urgent en recrutement.
Ce sont en moyenne 2000 départs en retraite ou en indemnité de départ volontaire constatés ces dernières années à la défense. Ne pas reprendre le recrutement provoquera dans les cinq prochaines années la réduction de la moitié des effectifs mettant ainsi en péril les missions. La CGT revendique que tout départ à la retraite d’un ouvrier de l’État soit remplacé poste par poste par un ouvrier de l’État.
Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie
Ouvri ers des parcs et ateliers Dans les services routiers des Directions Interdépartementales des Routes, les OPA ont été mutés par défaut et de manière très disparate suite au transfert des parcs aux départements. Il ya urgence d’organiser une politique d’entretien et de maintenance des matériels assurée par des agents publics ce qui impliquerait 200 à 300 emplois supplémentaires de techniciens, de mécaniciens, d’emplois spécialisés dans les travaux publics, de magasiniers…
Dans les services maritimes, il y a actuellement 16 postes vacants mais afin de répondre aux besoins, il faudrait embaucher une cinquantaine d’OPA sur des emplois d’électriciens pour le balisage, de chaudronniers, soudeurs, tourneurs-fraiseurs, etc.
Dans les services navigations, depuis 2003 on peut estimer entre 150 et 200 emplois dont les missions ont été supprimées (externalisées). Il s’agit d’emplois d’électriciens, d’hydrauliciens, d’automaticiens, d’informaticiens, de mécaniciens, de soudeurs, etc.
Madame Marylise LEBRANCHU Min istre de la réforme de l’État, de la décentralisation et de la fonction publique
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Dans les CETE Labo, au CETMEF, dans le cadre de la création du futur établissement public CEREMA, nécessité de recruter une trentaine de techniciens spécialisés dans les domaines de l’électronique, des mesures physiques, de la mécanique, de l’informatique, de la géologie, de la mécanique des sols, etc.
Globalement au ministère de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie, les besoins à minima pour combler les postes vacants sont de l’ordre de 120 et de l’ordre de 500 à 600 pour répondre aux besoins de services publics et ne pas abandonner les missions.
Ouvriers des Parcs et ateliers Ministère Écologie
Postes vacants sur
réseau mobilité ministère
Besoins supplémentaires pour
assurer le fonctionnement des
services Besoins globaux
services routiers DIR 44 250 294 Services maritimes DIRM 16 40 56 services navigation 39 150 189 CETE Labo - CETMEF 7 20 27 DREAL-DEAL-DDT- 11 11 Centre National Ponts de Secours 2 2 Totaux 119 460 579
Direction générale de l'Aviation civile (DGAC) Météo France
Depuis de nombreuses années et ce même avant la mise en place de la RGPP, les recrutements autorisés à la DGAC et à Météo France couvrent en moyenne entre un tiers et un quart des départs en retraites réellement constatés.
Dans un premier temps les réorganisations et l'engagement des personnels ont permis de préserver les activités ouvrières dans un certain nombre de secteur y compris sur les missions opérationnelles nécessitant diverses habilitations spécifiques ou autorisations d'exercice.
Avec l'arrêt total des recrutements en 2012 nous sommes arrivés à la limite du possible et plusieurs établissements ou services ne peuvent plus faire face aux missions prioritaires sans dégrader très fortement les conditions de travail des ouvriers. Repos et congés sont devenus difficiles à gérer et la moindre maladie met en péril l'activité.
Pour ce qui est des missions de maintenances de nos installations, les externalisations à des sociétés privées sont de plus en plus nombreuses entrainant des surcoûts, des pertes de réactivités sur les anomalies nécessitant une intervention immédiate et de connaissance de nos matériels, réseaux et systèmes.
Dans ce contexte le nombre de postes ouvriers laissé vacant a explosé et les services annulent ou reportent de plus en plus de maintenances préventives pour ce concentrer sur les curatives quand ils le peuvent. Cela annonce à court terme une dégradation inexorable et accélérée des bâtiments et matériels techniques.
Pour toutes ces raisons nous vous demandons d'autoriser dans l'urgence un recrutement de 50 ouvriers d'État et de prévoir à moyen terme 80 embauches supplémentaires.
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Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) Depuis plus de 75 ans, des ouvriers d’État assurent des activités techniques au sein de l'IGN en lien avec les missions relatives à la description géographique du territoire national. Les spécialités exercées portent aussi bien sur les techniques d'imprimerie, d'entretien aéronautique, de collecte et de traitement d'informations géographiques, d'informatique, de support divers (logistique, commercial, administratif).
Depuis plus de 15 ans, une volonté politique néfaste a systématiquement expulsé les ouvriers des activités de support au profit de l'externalisation ou sous couvert de la recherche explicite d'un moins disant social.
Avec l'arrêt du recrutement sur concours dans le cycle de formation des DRPI (Dessinateurs Restituteurs Photo-Interprètes) à l'ENSG depuis 2010, c'est la fermeture de la dernière voie de recrutement restée permise en ces temps de RGPP.
En 2012, il y a eu 6 embauches effectuées dans le corps ouvrier de l'IGN, aucune pour 2013 et au moins une sera assurée pour 2014. Durant les cinq dernières années, l'essentiel de la baisse des effectifs de l'IGN sous le diktat de la règle du "1 sur 2" a été réalisé sur le dos du corps ouvrier avec des contingents annuels de plus de 30 départs en retraite d'ouvriers non remplacés.
Depuis l'incorporation de l'Inventaire Forestier National dans l'établissement, des exigences techniques nouvelles, de haut niveau, dans les spécialités forestières sont venues se rajouter à ce cadre historique. Le scandale de la situation précaire faite aux personnels contractuels a mis en relief l'incapacité de la tutelle Agriculture à créer un cadre statutaire stable permettant d'embaucher et de garantir une carrière correcte à des agents qualifiés.
Aujourd'hui, pour ces agents de ces spécialités (photo-interprètes, collecteurs de terrain) la CGT Ouvrier-Maîtrise de l'IGN revendique une embauche ou une titularisation sous statut ouvrier. On soulignera au passage la facilité de mise en œuvre comparativement à la lourdeur des recrutements dans une filière fonctionnaire.
Aujourd'hui, pour l'ensemble des activités de l'IGN, la CGT revendique :
- la reprise des recrutements via l'ENSG (École Nationale des Sciences Géographiques) avec un cycle DRPI en phase avec les exigences techniques actuelles ;
- la reprise des recrutements dans toutes les spécialités où le recourt à des professionnels qualifiés est nécessaire (imprimerie, aéronautique, information géographique et forestière, informatique, etc.)
Le nombre nécessaire d'embauches pour assurer le renouvellement des générations du corps ouvrier, comme pour la réalisation des missions s'établit à une vingtaine par an minimum.
Ministère de l’intérieur 800 ouvriers d’État sont actuellement quantifiés au sein des ateliers de SGAP et leurs annexes, les CRS qui emploient des ouvriers d’État cuisiniers, la sécurité civile pour exemple : Nîmes et Asnières, les ESOL de Mery sur Oise, de Jarnac, de la Valentine, la base d’avions de la sécurité civile de Marignane, l’héliport de Paris.
Nous affirmons le besoin urgent de recruter des personnels ouvriers de l’État pour permettre le maintien de toutes les missions régaliennes qui leur incombent ! Leur vocation allant de l’entretien des véhicules terrestres en passant par l’aviation, l’armement, l’habillement la manutention le stockage de munition ainsi que la logistique France Métropole DOMTOM, la restauration et pour finir l’imprimerie nationale du ministère de l’Intérieur.
Un exemple : L’ECLPN de Limoges, Établissement Central de la Logistique de la Police Nationale, qui comprend l’Atelier central Automobile : cet établissement neuf, inauguré en 2012 a eu la faveur du ministère de l’intérieur par une dotation immobilière et un investissement en outillage ultra moderne pour l’aménagement de 400 véhicules par an pour la police, gendarmerie et les douanes.
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Pour pallier la pénurie de personnel, il est effectué ponctuellement des recrutements de vacataires sous contrat de 6 mois ou des CDD de 3 ans de contrats. La polyvalence y est permanente.
Autre exemple : une machine de découpe de meuble et plancher d’une valeur d’environ 500 000 € qui ne fonctionne pas ! Motif le manque de personnel ! Conséquence les meubles et plancher sont sous-traités dans le privé. La priorité étant donnée au montage des véhicules en chaîne, les menuisiers sont affectés à d’autres tâches, montage des faisceaux électriques dans les véhicules car nous n’avons pas suffisamment d’électriciens.
En électricité, achat d’une machine pour effectuer les faisceaux électriques mais pour 2013 les travaux seront sous-traités pour cause de pénurie d’électriciens dénoncé précédemment.
Ce sont plus de 800 postes d’ouvriers de l’État qui se sont éteints au ministère de l’intérieur en dix années. Le gel d’emploi induit la perte d’un savoir-faire et est une entrave au bon fonctionnement des services de police, gendarmerie et douane qui sont devenus des clients et non plus des utilisateurs ou usagés des prestataires ateliers de réparations automobile SGAP, ESOL, A.C.A. etc.
Nous demandons prestement l’arrêt du moratoire du gel d’emploi des ouvriers d’État, l’intégration de tous les personnels techniques contractuels et vacataires dans le corps ouvriers d’État ainsi qu’une embauche conséquente pour pallier le déficit de personnel.
Ministère des finances
Monnaie de Paris
Dans le cadre de la sortie d'un budget annexe, la CGT a défendu les statuts - ouvriers d’État et fonctionnaires - des personnels. Elle constate que le changement juridique en EPIC a également été l'occasion dans le cadre des contrats de plan avec l'État d'interdire les recrutements sous statut ouvrier.
Aujourd'hui le recours à l'intérim sur le site de Pessac équivaut à 9 ETP en 2012. Elle demande un examen et des discussions pour des emplois en CDI.
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Organigramme de la Fédération
Secrétariat fédéral
Les membres du Secrétariat fédéral sont chargés de la correspondance, des convocations et, en général, de toutes les formalités administratives
découlant de la vie de la Fédération. Ils sont habilités à prendre des initiatives et des décisions dans le cadre des orientations tracées par le
Congrès et sous réserve d’en rendre compte à la plus proche réunion de la Commission exécutive.
Secrétaire à la
Politique financière
Eric BERNARD
Secrétaire à la
Vie syndicale
Didier PACOT
Secrétaire national
Charles BREUIL
Secrétaire national
Willy GARING
Secrétaire Général adjoint
Jean-Marie RECH
Secrétaire Général adjoint
Maurice BARLA
Secrétaire Général
Nicolas BAILLE
Secrétaire national
Didier HOREAU
Secrétaire national
Francis COMBROUZE
Secrétaire à la
Politique revendicative
Isabelle PERON
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Commission exécutive fédérale
La Commission exécutive assure la direction générale de la Fédération dans le cadre des
décisions des congrès fédéraux.
Nom Prénom Syndicat/ORGA
ALLIGNE DIDIER SNAPB
BAILLE NICOLAS USSER
BARLA MAURICE SNOPA
BERNARD ERIC SNPTRI
BEAUDOIN JEAN-CHARLES OFICT - OPA
BREUIL CHARLES SNOPA
BRO DANIEL SNOPA
BROCHARD GILLES SNPTAS
CANDE YVAN SNPTAS
CARPENTIER NATHALIE OFICT
CERISAY PATRICIA AC
COMBROUZE FRANCIS UFE
DETOURNAY BERTRAND SNPTRI
DIAZ JEAN-YVES SNPTRI
FABRE PATRICK SNOPA - Démissionnaire
FIOROT NIVANO SNOPA
GARCIA PHILIPPE USSER
GARING WILLY SNPTRI
GATIEN MICHEL SNPTAS
HEGOT CHRISTOPHE SNOPA
HOREAU DIDIER SNPTAS
HUMMEL BRUNO SNPTAS
JAUBERTIE PATRICK IGN
LASSAUZAY DIDIER SNPTAS
LE BRIQUER GERARD SNPTAS
LOPES JEAN-CLAUDE SNOPA
LOUET FRANCOIS-BERNARD SNOPA
MANDARD ANDRE USSER
MARTEL GUY SNPTRI
MARTIN JEAN SNPTRI
MAYER NICOLAS SNPAM
MERCIER JEAN-BENOIT SNPTRI
MICOINE JEAN-MARC SNPTRI
MOINS PAUL ONEMA/UFE
PACOT DIDIER SNPTRI
PERON ISABELLE AC
QUEMENER MICHEL SNPAM
RECH JEAN-MARIE SNPTRI
ROSE JEAN-PIERRE SNPTRI
SANCERE PASCAL SNPTRI
SEIGNEUR ELISABETH USSER
SILENE GAETAN SNPTRI
THOMAS PIERRE OFICT
THOMAS MARIE-HELENE SNPTRI
TRACKOEN JEAN-MARC USSER
TRIPODI THIERRY SNPTRI
VAN MARLE MARIE-CHRISTINE AC
VANDERRIELE KACI SNPTAS
VARENNES JAMES SNOPA
WOJNICA STEPHANE SNPTRI
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Bureau fédéral
Le Bureau fédéral assure l’application de l’orientation du congrès et des décisions de la
Commission exécutive. Toute demande d’adhésion à la Fédération doit être adressée au Bureau
de la Fédération à qui incombe la décision d’admission ou de rejet sous réserve d’appel devant le
congrès.
Nom Prénom Syndicat/ORGA
BAILLE NICOLAS USSER – Secrétaire Général
BARLA MAURICE SNOPA – SG adjoint
BERNARD ERIC SNPTRI – Trésorier
BREUIL CHARLES SNOPA
BROCHARD GILLES SNPTAS
CANDE YVAN SNPTAS
CERISAY PATRICIA AC
COMBROUZE FRANCIS UFE – responsable environnement
FIOROT NIVANO SNOPA
GARCIA PHILIPPE USSER
GARING WILLY SNPTRI
HEGOT CHRISTOPHE SNOPA
HOREAU DIDIER SNPTAS
LE BRIQUER GERARD SNPTAS – responsable transports
MAYER NICOLAS SNPAM
PACOT DIDIER SNPTRI – vie syndicale
PERON ISABELLE AC – politique revendicative
RECH JEAN-MARIE SNPTRI – SG adjoint
SANCERE PASCAL SNPTRI
SILENE GAETAN SNPTRI – collectif DOM
THOMAS PIERRE OFICT
TRIPODI THIERRY SNPTRI
VARENNES JAMES SNOPA
WOJNICA STEPHANE SNPTRI
Commission financière et de contrôle
La Commission Financière et de Contrôle aide à l’animation et au suivi de la politique financière.
Elle désigne un rapporteur qui fait un compte rendu au congrès des vérifications opérées au
moins deux fois par an.
Nom Prénom Syndicat/ORGA
COLLIN ERIC SNPTRI
HENRY CLAUDE SNPTAS
LEROY PATRICIA AC
NANCEY BRUNO SNOPA
PASQUIET STEPHANE USSER
PERROT-MORIN MARYVONNE AC
RASSAT MICKAEL SNPTRI
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