Strategie Gestion Risques Mte 98

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    - fase IV, Expertise, slechts uitzonderlijk toegepast, indien de eerste fasen niet toelieten om

    treffende preventiemaatregelen te bepalen. Duurdere en meer gespecialiseerdeonderzoekstechnieken zijn dan vereist.

    Het document stemt tot nadenken betreffende de toebedeelde taak van de verschillende

    analysefasen, de vereiste bekwaamheden van en de complementariteit tussen de verschillende

    partijen.

    ABSTRACT

    After having defined the terms risk factors, hazards, damages, severity, exposure, risk,...., thedocument proposes a general strategy for the prevention of risks including four steps of increasing

    complexity:

    step 1: Screening, where the main risk factors are identified and immediate solutions taken if

    possible;

    step 2: Observation, where all the risk factors are comprehensively considered, the risks briefly

    estimated and simple methods of prevention decided;

    step 3: Analysis, performed if necessary, where the working conditions are studied in moredetails in order to identify less obvious prevention measures;

    step 4: Expertise, performed only in the few cases where the first steps have not made possible

    to take appropriate prevention measures . More specialised but costly investigation methods are

    utilized.

    The document makes suggestions concerning the tasks to be performed at each step, the capacities

    required from and the complementarity between the different people involved in the strategy.

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    1. faire en sorte que la terminologie soit claire et que tous les acteurs de la prvention aient la

    mme comprhension de termes tels que facteurs de risque, dommages, risques, prvention,protection, ...;

    2. faire en sorte que l'ensemble des problmes conditionnant la sant et la scurit soient

    considrs et non pas seulement les plus vidents ou ceux qui correspondent aux comptences

    disponibles;

    3. faire en sorte que la prvention des risques puisse tre effectivement mise en place, non

    seulement dans les grandes entreprises o les comptences sont plus aisment disponibles,

    mais aussi dans les petites et moyennes entreprises;4. structurer l'approche de la prvention de manire profiter des comptences disponibles et

    assurer la complmentarit entre les diffrents intervenants.

    Le document cherche dcrire dans les grandes lignes une "Stratgie gnrale de prvention des

    risques".

    Cette stratgie doit tre suffisamment expliciteque pour pouvoir dfinir:

    quisont les intervenants (internes, externes, experts, ....);

    ce qu'ils peuvent ou doiventmener comme actions d'analyse ou de prvention; les comptencesqu'ils doivent avoir;

    les complmentaritsavec les autres intervenants.

    Elle doit cependant tre suffisamment gnraleque pour rester une exigence d'objectif et permettre

    dadapter les moyens aux problmes rencontrs, la taille de l'entreprise et aux comptences

    disponibles en interne et en externe.

    L'objectif de la stratgie est bien la prvention des risques; ltude des risques n'est pas un but en

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    La stratgie propose est une stratgie diffrents niveaux de complexit croissante et requrant

    des comptences de plus en plus pousses. La dmarche s'arrte lorsque les informationsrecueillies sont suffisantes pour dfinir les mesures de prvention et de protection telles que le

    risque rsiduel soit acceptable.

    L'ergonomie a pour objectif l'adaptation de toutes les facettes des conditions de travail aux capacits

    physiques et mentales des travailleurs et, par l, amliorer le fonctionnement des entreprises. Elle

    est tout autant concerne par la prvention des accidents de travail que des maladies

    professionnelles et par toutes les atteintes possibles au dveloppement physiologique,psychologique et mental des travailleurs. Elle est ainsi l'essence mme de toute stratgie

    intgre de prvention de l'ensemble des risques au sens large, par opposition l'approche

    consistant mener sparment et au hasard des lgislations, destudes d'un risque particulier.

    Le document s'adresse aux chefs d 'entreprisesresponsables de la prvention et aux

    conseillers en prvention et protection,tant internes qu'externes, qui seront chargs

    de mettre en oeuvre cette prvention.

    II. DEFINITIONS ET CONCEPTS

    La procdure de prvention des risques utilise 10 concepts prcis dfinis ci-dessous en donnant

    des exemples dans les trois domaines des accidents, des maladies professionnelles et du bien

    tre.

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    Lappellation "facteur de risque" parat donc la plus logique.

    Ces facteurs de risque peuvent tre relatifs lascurit:le travail en hauteur, un sol ingal, lutilisation dun couteau, llectricit, ... ;

    lasant physiologique: le bruit, les solvants, le port de charges, ....;

    le bien-tre, le confort et le dveloppement personnel: le travail post, l'autonomie, les

    relations, le stress ....

    2. Le second concept est celui deffet, dedommage, qui peut rsulter de ces facteurs de risque.

    Dans les trois catgories de facteurs de risque dfinies ci-dessus, il peut sagir de

    fractures, entorses, coupures, lectrocutions ....; surdits, intoxications, douleurs lombaires ...;

    troubles de concentration, fatigue, manque de libert, manque d'informations,...

    3. Le troisime concept est la gravitde ces dommages ou effets pour le maintien de l'intgrit

    physiologique et psychologique des personnes concernes. Cette gravit peut tre dfinie sur

    base:

    de lincapacit de travail temporaire (I.T.T.) ou permanente (I.T.P.), voire de la menace

    pour la vie dans le cas des facteurs de risque de scurit; des effets sur la sant, rversibles ou non, pour les facteurs de risque susceptibles

    davoir des effets physiologiques;

    de l'interfrence avec le bien-tre, la satisfaction, la motivation du travailleur, pour les

    facteurs de risque sociaux et organisationnels.

    On peut caractriser la gravit au moyen d'une chelle qualitative telle que:

    pas de gravit

    f ibl it l bl ITT i t f

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    vouloir nier limportance de ces - et de nos - travaux, force est de constater que ces mthodes

    [14, 16] sont extrmement - et probablement utopiquement compliques et ont trs peu dechance dtre rellement utilises sur le terrain. De telles valuations quantitatives sont donc

    souvent difficile, longues, coteuses et peu ncessaires, du moins a priori.

    Par ailleurs, pour la plupart des facteurs de risque, de tels concepts nexistent pas, de sorte

    quune chelle qualitative telle que la suivante doit tre utilise:

    Exposition Frquence ou Dure (% du temps)

    rare 1 fois par an < 0,1%

    inhabituelle 1 fois par mois 0,1 - 1% occasionnelle 1 fois par semaine 1 5%

    frquente 1 fois par jour 5 10%

    trs frquente 1 fois par heure 10 50%

    continue > 50%

    Dautres chelles qualitatives ou semi-quantitatives peuvent tre nouveau trouves dans la

    littrature [1, 8, 11, 19].5. Le cinquime concept est la probabilitde survenue du dommage pendantlexposition, mais

    sans tenir compte de la dure ou de la frquence de cette exposition. Cette tape est souvent

    intgre la suivante: lvaluation du risque proprement dit, compte tenu de la dure ou de la

    frquence dexposition. Sa considration, de manire spare, est assez subtile et ne simpose

    pas lors de lapproche sommaire de dpistage o les solutions immdiates de prvention sont

    recherches. Elle savre plus indispensable lors dapprofondissements ultrieurs.

    C tt b bilit t f ti d diti d t il ll fi bilit d hi

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    Ces facteurs individuels sont donc des facteurs aggravants et lappellation "cofacteurs" de

    risquedit bien de quoi il sagit.Lamotte et Van Emelen [12] donnent aux termes "facteurs de risque" une signification plus large

    puisquil sagit de "chaque lment soit collectif, soit individuel, associ au danger et dterminant

    le risque", englobant ds lors sous cette appellation, galement, la "probabilit (de lvnement)

    de se produire avec ou sans dommage personnel", ainsi que la dure, lintensit ou la

    frquence dexposition.

    6. Le sixime concept est celui du risqueproprement dit, c..d., de la probabilit de survenue dun

    effet dune certaine gravit, en tenant compte de lexpositionau facteur de risqueet de laprobabilitde cet effet pendantcette exposition.

    Ce risque peut tre valu quantitativement si les gravit, exposition et probabilit ont elles-mmes

    t quantifies. Cela peut tre intressant pour comparer diffrents risques et dfinir les

    priorits, ou pour comparer le risque avant et aprs diverses modifications possibles. La

    mthode Kinney [11] permet d'ailleurs d'aller plus dans cette voie en comparant les mrites de

    diffrentes solutions techniques de cots diffrents. Nous voudrions cependant insister sur le fait

    que lintrt principal de la procdure telle quanalyse jusqu prsent nest pas la quantificationdu risque en elle-mme, mais la rflexion sur les dommages et effets potentiels, lobservation de

    lexposition, ltude de linfluence des cofacteurs. Ces tapes, souvent considres comme

    intermdiaires, sont les plus essentielles dans la dmarche de prvention et la quantification du

    risque pourrait tre larbre qui fait oublier de bien connatre la fort.

    La plupart du temps, lvaluation quantitative du risque est superflue et une valuation qualitative telle

    que propose par Hawkins et coll. [8] suffit: cest dessein que, ci-dessus, nous avons omis

    h ll tit ti

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    risque trs lev ou inefficacement matris.

    8. Laprvention. Les moyensde prvention sont les mesures techniques ou organisationnellescollectives susceptibles d'liminer le facteur de risque, de rduire la gravit du dommage, de

    diminuer l'exposition ou la probabilitdu dommage, c..d. en fait, dagir sur certains ou tous les

    lments dfinis ci-dessus, de manire rduire le "risque". Les exemples paraissent vidents

    pour illustrer que la recherche de solutions dpend plus des lments de l'tude du risque que

    de la valeur finale du risque.

    9. Laprotection: dfaut de mesures de prvention supprimant le risque, il est, dans certains cas,

    ncessaire de recourir des moyens de protection individuels. Il s'agit des moyens deprotection ports par le travailleur dans le but de rduire la probabilit du dommage: souliers de

    scurit, coquilles antibruit, masques, lunettes pour le travail sur cran, ...

    10. La surveillance mdicale: par surveillance mdicale, nous entendons ici les examens de sant

    spcialiss tels que tests fonctionnels respiratoires, examens audiomtriques, ... raliss de

    manire sassurer quun travailleur expos un risque et donc pour lequel il y a une certaine

    probabilit de dveloppement dun dommage, na pas subi ce dommage.

    Cette surveillance mdicale nest pas, comme chacun le sait, le seul rle du mdecin du travail, et,dans la dmarche dcrite ci-dessous, il sera le partenaire indispensable dautres prventeurs,

    pour la dfinition, en particulier mais non exclusivement, des dommages potentiels, de leur

    gravit, et lapprciation du caractre acceptable ou non du risque.

    La surveillance mdicale telle que dfinie, c..d. la ralisation dexamens spcialiss en rapport

    avec un dommage spcifique, ne peut tre dtermine, comme cest le cas dans certaines

    lgislations, partir seulement de lexistence dun facteur de risque mais bien en fonction du

    i C t i ti t dj h t d C t l d

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    quelques cas particulirement complexes uniquement, la participation dexperts devient

    indispensable.De nombreuses techniques sont disponibles. LANPAT [2] en a list dix, allant de ltude de la

    littrature la mthode HAZOP ou la mthode MORT, en passant par ltude de poste de travail.

    Ces mthodes nont videmment pas le mme poids, ni le mme champ dapplication; elles ne sont

    pas utilisables par les mmes personnes et dans toutes les entreprises. Nous tant plac demble

    dans le contexte des PME, nous pensons que les seuls outils utilisables sont les listes de contrle,

    les audits simples, les tudes de postes et de tches, tandis que les mthodes HAZOP, AMDEC,

    WHAT-IF et autres SWIFT seront rservs aux spcialistes et aux circonstances particulirementgraves.

    La stratgie propose obit au schma de la figure 1.

    Figure 1: Schma gnral de la stratgie de prvention des risques

    ETUDE DES RISQUES

    1. facteurs de risque

    2. dommages

    3. gravit

    4. exposition

    5. probabilit

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    Figure 1

    Schma gnral de la stratgie de prvention des risques en milieu de travail

    Elle comprend quatre tapes successives: Dpistage, Observation, Analyse et Expertise.

    1. Etape I de Dpistage

    Il sagit ici seulement didentifier les "problmes" principaux et de remdier aux erreurs flagrantes

    telles que trous dans le sol, rcipients contenant un solvant et laisss labandon, cran tourn vers

    une fentre, ... . A ce stade, il serait vain de requrir un usage rigoureux des termes. On parlera de

    "problmes" dans lacception gnrale du langage courant.

    Cette identification doit tre ralise de manire interne lentreprise, par un prventeur, voirelemployeur lui-mme dans les PME, avec la collaboration des travailleurs. Pour ce faire, il leur faut

    un outil simple et rapide tel quune liste de contrle tablie pour leur secteur industriel. De

    nombreuses listes ont t dresses soit par des services mdicaux interentreprises, soit par des

    prventeurs de scurit. Il serait utile de les centraliser, de les uniformiser avant de les redistribuer

    de faon large. Le mieux est lennemi du bien et, face limmobilisme et aux contraintes de temps,

    il est probablement prfrable de simplifier fortement ces listes de manire cibler lessentiel.

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    Cette tape II dObservationrequiert une connaissance intime de la situation de travail sous ses

    diffrents aspects, ses variantes, les fonctionnements normaux et anormaux. Cette Observationdoittre globale, c..d., couvrir tous les facteurs de risque, indpendamment de la formation de la

    personne conduisant l'tude. Il est donc souhaitable qu'elle soit ralise partir de listes de

    contrle plus compltes et plus dtailles que celles utilises lors de ltape I de Dpistage, listes

    qui passent en revue tous les facteurs de risque susceptibles dtre rencontrs, donnent des ordres

    de grandeur du degr dexposition et indiquent les mthodes de prvention les plus courantes. A

    nouveau, des listes de contrle adaptes aux diffrents secteurs seraient dvelopper cette fin.

    Il est non seulement souhaitable mais indispensable que cette tape II dObservationsoit ralise

    par des responsables de prvention internes l'entreprise. Ceux-ci doivent disposer au minimum

    d'une sensibilisation aux facteurs de risque non seulement de scurit mais aussi de sant et de

    bien-tre au travail et l'approche ergonomique, c..d. globale et participative de ces problmes.

    La profondeur de cette tape II dObservationsera variable en fonction du facteur de risque abord

    et en fonction de l'entreprise et de la comptence du prventeur. Dans une petiteentreprise de

    moins de 20 personnes, lemployeur lui-mme devrait pouvoir identifier les facteurs de risqueprincipaux au moyen de la liste de contrle courte de Dpistage, mais un intervenant externe sera

    gnralement ncessaire pour ltape II dObservation, avec valuations qualitatives de lexposition

    et des risques et recherche des mesures simples de prvention et de protection susceptibles de

    limiter, voire dliminer ces risques. Dans une moyenneentreprise, une part plus importante du

    travail sera assure dans l'entreprise elle-mme et un service externe ninterviendra que pour les

    tudes plus dtailles et plus spcifiques et/ou pour des avis plus spcialiss sur les moyens de

    ti t d t ti E fi d l d t i f ti i t t l ti

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    inacceptables, lurgence dune tude complmentaire en fonction de la svrit de ces risques

    rsiduels et les objectifs poursuivre.4. Etape IV dExpertise

    La collaboration de personnes trs spcialises est cette fois ncessaire. Elles connaissent mal la

    situation de travail et vont apporter aux prventeurs internes et externes leur comptence

    mthodologique et technique. Des mesurages trs particuliers seront peut-tre raliss:

    rverbration, rayonnement lectromagntique, charge mentale lors dun contrle de processus

    complexe. De telles tudes doivent rester occasionnelles et circonstancies. Elles doivent treralises selon un cahier des charges prcis tabli par les prventeurs internes aux entreprises.

    Elles ne sont pas gnralement globales et participatives mais orientes vers un facteur de risque

    trs particulier. Il s'avre donc ncessaire de remettre les donnes, rsultats, recommandations,

    dans le contexte de la situation de travail, ce qui ne peut tre ralis qu'avec la collaboration des

    prventeurs internes et des partenaires.

    IV. PRINCIPES REGISSANT CETTE DEMARCHETrois principes semblent essentiels la base de la stratgie gnrale de prvention des risques: la

    globalit, la participation et la complmentarit.

    1. L'approche est globale: le bien-tre, le comportement, la satisfaction, la sant du travailleur ne

    dpendent pas d'un facteur de risque isol, mais de l'ensemble de ces facteurs et de leurs

    interactions. Il ne s'agit donc pas de mener des tudes spares risque par risque, mais de mener

    l' d d l' bl d i l l ill

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    A un certain stade, fonction de la svrit du risque et de limminence ou non des mesures deprvention, la nature de la surveillance mdicale ventuelle est dtermine.

    Il est ncessaire que le prventeur "gnraliste" conduisant l'approche aux niveaux infrieurs,

    reconnaisse ses limites de comptence et s'adjoigne des prventeurs de plus en plus spcialiss,

    si cela est ncessaire pour la recherche de solutions. Les prventeurs ne se remplacent pas, ils se

    compltent. Il n'y a donc pas de "prise en charge" des problmes par des intervenants extrieurs

    partir d'un certain niveau et - a fortiori - dans leur entiret. Il n'y a pas non plus transfert et "abandon"

    des problmes par l'entreprise vers des prventeurs extrieurs.

    V. IMBRICATION DE LERGONOMIE

    Lapproche ergonomique consiste considrer d'emble l'ensemble des facteurs de risque

    physiques, physiologiques, psychologiques ou sociaux lis au travail. L'ergonomie n'est donc pas

    l'apanage de telle ou telle discipline (mdecins, psychologues, ingnieurs, ...), mais fait

    fondamentalement appel toutes les comptences, et en particulier, celles des travailleurs et deleur encadrement. L'ergonomie ne consiste pas s'intresser aux aspects anthropomtriques ou

    physiologiques ou psychologiques, mais considrer l'ensemble de ces composantes, de manire

    les adapter au mieux aux caractristiques et aux capacits des travailleurs en gnral ou de

    chaque travailleur en particulier.

    Cette adaptation doit tre bnfique aux travailleurs, par une rduction des risques, de la pnibilit

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    Les missions et les comptences requises aux tapes successives de la gestion des risques

    devraient pouvoir tre mieux dfinies, de mme que le moment o et la faon dont lesprventeurs externes et les experts doivent assister les prventeurs internes dans cette gestion.

    VII. REFERENCE

    1. ANPAT, Evaluation du risque. Lgislation en pratique n 7. ANPAT, 1995.

    2. ANPAT, Prvention des risques. Fiche dAction 4, 1997.

    3. BS 8800, Guide to occupational health and safety management systems. BSI,1996.4. COMMISSION EUROPEENNE, Mmento pour lvaluation des risques professionnels. Commission

    europenne, 1996.

    5. CEE, Directive du Conseil concernant la mise en oeuvre de mesures visant promouvoir

    l'amlioration de la scurit et de la sant des travailleurs au travail. 89/391/CEE du 12 juin 1989.

    6. EN 482,Workplace atmospheres - General requirements for the performance of procedures for the

    measurement of chemical agents. European Standard, July 1994.

    7. EUROPEAN CENTRE FOR ECOTOXICOLOGY AND TOXICOLOGY OF CHEMICALS.Assessmentfactors in human health risk assessment. TECHNICAL REPORT NO 68. ECETOC, 1995.

    8. HAWKINS N.C., NORWOOD S.K., ROCK J.C., A strategy for occupational exposure assessment.

    American Industrial Hygiene Association,Akron, Ohio, 1991.

    9. JAMMAL A., ALLARD R., LOSLIER G., Dictionnaire dpidmiologie. Maloine s.a., Paris, 1988.

    10. KAUPPINEN T.P.,Assessment of exposure in occupational epidemiology. Scand. J. Work Environ.

    Health, 20, special issue, 19-29, 1994.

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    Etape I

    DEPISTAGE

    Etape II

    OBSERVATION

    Etape III

    ANALYSE

    Etape IV

    EXPERTISE

    Quand ? Comment ?

    Cot ?

    Par qui ?

    Comptence

    travail

    ergonomie

    Tous les casObservations

    simples

    Faible

    10 minutes

    Personnes delentreprise

    levemoyenne

    Si problmeObservations

    quali tatives

    Faible

    2 heures

    Personnes delentreprise

    levemoyenne

    Cas difficilesObservations

    quanti tatives

    Moyen

    2 jours

    Personnes delentreprise

    + Prventeurs

    moyenneleve

    Cas complexesMesurages

    spcialiss

    Elev

    2 semaines

    Personnes delentreprise

    + Prventeurs+ Expertsfaiblespcialise