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Le point épidémiologique du 22 septembre 2016 | Surveillance sanitaire en Bourgogne-Franche-Comté | Page 1 | A la Une | Surveillance du syndrome hémolytique et urémique (SHU) post - diarrhéique en 2015 Les Escherichia coli producteurs de Shiga- toxines (STEC), sont responsables de manifestations cliniques variées : diarrhée simple ou sanglante, colite hémorragique, pouvant se compliquer d’un syndrome hémolytique et urémique (SHU). Le SHU touche particulièrement les jeunes enfants et représente la principale cause d’insuffisance rénale aigue chez l’enfant de moins de 3 ans. La surveillance des SHU, mise en place en 1996 et coordonnée par Santé publique France, repose sur un réseau stable de services de néphrologie pédiatrique de 32 hôpitaux répartis sur tout le territoire métropolitain. D’autres services notifient ponctuellement les cas de SHU hospitalisés dans leur service. Un cas est défini comme un enfant de moins de 15 ans, pour lequel un diagnostic clinique de SHU a été posé avec les critères biologiques suivants : survenue brutale d’une anémie hémolytique micro- angiopathique (hémoglobine < 10g/100ml ou schizocytose ≥ 2 %) associée à une insuffisance rénale aigüe (créatininémie >60 μmol/l si âge < 2 ans ou >70 μmol/l si âge ≥ 2 ans) et une thrombocytopénie. En 2015, 111 cas de SHU autochtones ont été notifiés portant l’incidence annuelle à 0,94 cas/10 5 enfants de moins de 15 ans (depuis 1996 l’incidence annuelle varie entre 0,6 et 1,3 cas/10 5 ). Les incidences les plus élevées sont observées pour l’Auvergne (2,7/10 5 ), la Franche-Comté (2,3/10 5 ), la Bretagne, la Corse (2,0/10 5 ), et la Basse-Normandie (1,9/10 5 ). Le pic saisonnier estival habituel a été observé avec un maximum de cas entre août et octobre. Les enfants de moins de 3 ans sont les plus touchés avec une incidence de 3,1/10 5 (vs <1,0/10 5 pour les autres tranches d’âge). La grande majorité (86 %) des enfants touchés de moins de 15 ans avait présenté une diarrhée, sanglante dans 48 % des cas. Un décès a été notifié suite à un SHU. Sur le plan microbiologique, si tous examens confondus (sérologie, PCR et isolement de souche), le sérogroupe 0157 reste le plus fréquent (24 %), l’émergence du sérogroupe 080 se confirme en étant celui qui a été plus fréquemment mis en évidence dans les souches de STEC isolées dans les selles. Aucune épidémie de SHU pédiatrique n’a été confirmée en 2015 et les 27 investigations épidémiologiques n’ont pas permis de retrouver une source commune de contamination. Pour en savoir plus : La synthèse complète est disponible : http://invs.santepubliquefrance.fr/Dossiers-thematiques/Maladies- infectieuses/Risques-infectieux-d-origine-alimentaire/Syndrome- hemolytique-et-uremique/Donnees-epidemiologiques-du-SHU-chez-l- enfant-age-de-moins-de-15-ans-en-France Figure : incidence annuelle régionale du SHU par 100 000 enfants de moins de 15 ans, France 2015. SURVEILLANCE en BOURGOGNE- FRANCHE- COMTE Point n°2016/38 du 22 septembre 2016 Période analysée : POINTS CLÉS La Franche-Comté particulièrement concernée par les syndromes hémolytiques et urémiques chez l’enfant (A la une page 1) La vaccination contre la grippe et la mise à l’écart des personnes malades encore insuffisantes pour limiter les épidémies d’infections respiratoires aiguës et les gastro-entérites dans les établissements pour personnes âgées (supplément IRA/GEA page 3)

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Le point épidémiologique du 22 septembre 2016 | Surveillance sanitaire en Bourgogne-Franche-Comté | Page 1

| A la Une |

Surveillance du syndrome hémolytique et urémique (SHU) post-diarrhéique

en 2015

Les Escherichia coli producteurs de Shiga-toxines (STEC), sont responsables de manifestations cliniques variées : diarrhée simple ou sanglante, colite hémorragique, pouvant se compliquer d’un syndrome hémolytique et urémique (SHU). Le SHU touche particulièrement les jeunes enfants et représente la principale cause d’insuffisance rénale aigue chez l’enfant de moins de 3 ans.

La surveillance des SHU, mise en place en 1996 et coordonnée par Santé publique France, repose sur un réseau stable de services de néphrologie pédiatrique de 32 hôpitaux répartis sur tout le territoire métropolitain. D’autres services notifient ponctuellement les cas de SHU hospitalisés dans leur service. Un cas est défini comme un enfant de moins de 15 ans, pour lequel un diagnostic clinique de SHU a été posé avec les critères biologiques suivants : survenue brutale d’une anémie hémolytique micro-angiopathique (hémoglobine < 10g/100ml ou schizocytose ≥ 2 %) associée à une insuffisance rénale aigüe (créatininémie >60 μmol/l si âge < 2 ans ou >70 μmol/l si âge ≥ 2 ans) et une thrombocytopénie.

En 2015, 111 cas de SHU autochtones ont été notifiés portant l’incidence annuelle à 0,94 cas/10

5

enfants de moins de 15 ans (depuis 1996 l’incidence annuelle varie entre 0,6 et 1,3 cas/10

5).

Les incidences les plus élevées sont observées pour l’Auvergne (2,7/10

5), la Franche-Comté

(2,3/105), la Bretagne, la Corse (2,0/10

5), et la

Basse-Normandie (1,9/105).

Le pic saisonnier estival habituel a été observé avec un maximum de cas entre août et octobre. Les enfants de moins de 3 ans sont les plus touchés avec une incidence de 3,1/10

5 (vs <1,0/10

5

pour les autres tranches d’âge).

La grande majorité (86 %) des enfants touchés de moins de 15 ans avait présenté une diarrhée, sanglante dans 48 % des cas. Un décès a été notifié suite à un SHU.

Sur le plan microbiologique, si tous examens confondus (sérologie, PCR et isolement de souche), le sérogroupe 0157 reste le plus fréquent (24 %), l’émergence du sérogroupe 080 se confirme en étant celui qui a été plus fréquemment mis en évidence dans les souches de STEC isolées dans les selles.

Aucune épidémie de SHU pédiatrique n’a été confirmée en 2015 et les 27 investigations épidémiologiques n’ont pas permis de retrouver une source commune de contamination. Pour en savoir plus : La synthèse complète est disponible : http://invs.santepubliquefrance.fr/Dossiers-thematiques/Maladies-infectieuses/Risques-infectieux-d-origine-alimentaire/Syndrome-hemolytique-et-uremique/Donnees-epidemiologiques-du-SHU-chez-l-enfant-age-de-moins-de-15-ans-en-France

Figure : incidence annuelle régionale du SHU par 100 000 enfants de moins de 15 ans, France 2015.

SURVEILLANCEen BOURGOGNE-FRANCHE-COMTE

Point n°2016/38 du 22 septembre 2016 Période analysée :

POINTS CLÉS

La Franche-Comté particulièrement concernée

par les syndromes hémolytiques et urémiques

chez l’enfant (A la une page 1)

La vaccination contre la grippe et la mise à l’écart des personnes malades encore insuffisantes

pour limiter les épidémies d’infections respiratoires aiguës et les gastro-entérites dans

les établissements pour personnes âgées (supplément IRA/GEA page 3)

Page 2: SURVEILLANCE - santepubliquefrance.fr

Le point épidémiologique du 22 septembre 2016 | Surveillance sanitaire en Bourgogne-Franche-Comté | Page 2

Bourgogne Franche-Comté

21 25 39 58 70 71 89 90 2016* 2015* 2014 2013

M A M A M A M A M A M A M A M A

IIM 0 5 1 5 0 1 0 1 0 1 0 4 0 0 0 0 17 17 16 12

Hépatite A 1 2 2 8 0 0 0 0 0 1 0 5 0 1 1 2 19 24 27 35

Légionellose 1 3 1 17 0 5 0 2 0 2 0 15 0 3 0 9 56 105 108 94

Rougeole 0 0 1 1 0 3 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 4 9 6 4

TIAC1

0 1 1 7 0 3 0 2 0 4 0 4 0 1 0 0 22 35 40 32

Commentaires :

Il n’y a pas d'augmentation particulière dans l'activité des services d’urgences et des associations SOS Médecins pour la semaine dernière. Complétude :

Les indicateurs des centres hospitaliers de Chatillon-sur-Seine et Montbard n’ont pas pu être pris en compte dans la figure 1.

ᅵ Surveillance non spécifique (SurSaUD®) ᅵ

Les indicateurs de la SURveillance SAnitaire des Urgences et des Décès (SurSaUD®) présentés ci-dessous sont :

- le nombre de passages aux urgences toutes causes par jour, (tous âges et chez les 75 ans et plus) des services d'urgences de Bourgogne-Franche-Comté adhérant à

SurSaUD®

- le nombre d'actes journaliers des associations SOS Médecins, (tous âges) (Dijon, Sens, Besançon) - le nombre de décès des états civils informatisés de Bourgogne-Franche-Comté

Figure 1

Nombre de passages aux urgences par jour en Bourgogne, tous âges et chez les 75 ans et plus (Source : OSCOUR®)

Figure 2

Figure 3 Figure 4

Nombre de décès journaliers issus des états civils de Bourgogne-

Franche-Comté (Source : INSEE)

Nombre de passages aux urgences par jour en Franche-Comté, tous âges et chez les 75 ans et plus (Source : OSCOUR®)

Nombre d'actes journaliers SOS Médecins de Bourgogne-Franche -Comté (Source : SOS Médecins)

La baisse artificielle du nombre de décès dans les derniers jours est liée à

l’existence d’un délai de déclaration

| Surveillance de 5 maladies infectieuses à déclaration obligatoire (MDO)|

La Cire dispose en temps réel des données de 5 MDO déclarées dans la région : infection invasive à méningocoque (IIM), hépatite A, rougeole, légionellose et toxi-infection alimentaire collective (TIAC). Les résultats sont présentés en fonction de la date d’éruption pour la rougeole (si manquante, elle est remplacée par celle du prélèvement ou de l’hospitalisation et, en dernier recours, par la date de notification), de la date d’hospitalisation pour l’IIM, de la date de début des signes pour l’hépatite A et la légionellose et de la date du premier cas pour les TIAC (si manquante, elle est remplacée par la date du repas ou du dernier cas, voire en dernier recours par la date de la déclaration des TIAC).

Tableau 1

Nombre de MDO déclarées par département en 2016 (mois en cours M et cumulé année A) et dans la région Bourgogne-Franche-Comté 2013 -2016,

données au 22/09/2016

1 Les données incluent uniquement les DO et non celles déclarées à la Direction générale de l'alimentation (DGAL). *données provisoires - Source : ANSP

Page 3: SURVEILLANCE - santepubliquefrance.fr

Le point épidémiologique du 22 septembre 2016 | Surveillance sanitaire en Bourgogne-Franche-Comté | Page 3

Surveillance des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastro-entérites aiguës (GEA) en Etablissement d’hébergement pour personnes âgées (Ehpa) – Bourgogne-Franche-Comté : bilan de la saison 2015-2016

Supplément au Point épidémiologique n° 2016/38 du 22 septembre 2016

La surveillance des épisodes épidémiques en Ehpa est

pilotée depuis 2006 pour les infections respiratoires aiguës

(IRA) et 2010 pour les gastro-entérites aiguës (GEA) par

Santé publique France. En région, elle s’appuie sur l’agence

régionale de santé (ARS) qui reçoit les signalements et

contribue à la gestion de ces épisodes avec la participation

de l’Antenne régionale de lutte contre les infections

nosocomiales (ARLIN) et les équipes opérationnelles

d’hygiène.

Les établissements d'hébergement pour personnes âgées

(Ehpa) sont susceptibles d'être touchés tout au long de l’année

par ces épidémies. Ces deux types de pathologies peuvent

avoir un impact délétère important dans ces collectivités, aussi

bien sur la santé des résidents et du personnel que sur la

désorganisation du travail (arrêts de travail du personnel,

rappel du personnel), voire entrainer un retentissement

économique pour la structure.

Définition de cas groupés d’Infections Respiratoires Aiguës (IRA) et de Gastro-entérites aiguës (GEA)

Foyer d’infections respiratoires aiguës - IRA (HCSP, juillet 2012) Survenue d’au moins 5 cas d'IRA (en dehors des pneumopathies de déglutition) dans un délai de 4 jours parmi les résidents.

Foyer de gastro-entérites aiguës - GEA Survenue d’au moins 5 cas de GEA dans un délai de 4 jours parmi les personnes résidentes.

Les objectifs de cette surveillance sont de suivre la dynamique des épidémies en Ehpa et les facteurs de risque associés

afin d’adapter les mesures de contrôle et réduire l’impact des foyers sur la morbi-mortalité des résidents.

Les données des signalements sont saisies sur une application nationale. Les résultats de la surveillance des IRA et des

GEA est publiée chaque mercredi au niveau national. La fusion des deux régions étant effective depuis le 1er janvier 2016, cette

synthèse ne différencie plus la Bourgogne et la Franche-Comté.

Les résultats sont présentés sur la période du 1er

septembre 2015 au 30 juin 2016 pour la région Bourgogne-Franche-Comté

(extraction le 18/08/2016). Pendant cette période : 84 épisodes ont été signalés (dont 64 clôturés) : 19 IRA et 65 GEA

Remerciements

Nous adressons nos remerciements à tous ceux qui ont participé au recueil des données (les équipes des établissements, des ARS et des

ARLINs (Antenne régionale de lutte contre les infections nosocomiales), le Centre National de Référence (CNR) des virus entériques de

Dijon et les membres du groupe de travail régional InVS sur la surveillance des IRA et GEA en Ehpad).

Répartition des épisodes de cas groupés d’IRA par semaine de

survenue du premier cas (2015-2016), Bourgogne-Franche-Comté

| Figure 6 |

Répartition des épisodes de cas groupés de GEA par semaine de

survenue du premier cas (2015-2016), Bourgogne-Franche-Comté

| Figure 5 |

Page 4: SURVEILLANCE - santepubliquefrance.fr

Le point épidémiologique du 22 septembre 2016 | Surveillance sanitaire en Bourgogne-Franche-Comté | Page 4

| Tableau 2 |

Caractéristiques principales des épisodes clôturés d'IRA et de GEA en Ehpa entre le 1er

septembre 2015 et le 30 juin 2016, Bourgogne-

Franche-Comté

Conclusion Les cas groupés d’IRA et de GEA signalés cette saison sont moins nombreux que l’an dernier (14 vs 74 IRA en 2014-2015 et 50 vs 75 GEA en 2014-2015). Le taux d’attaque moyen par épisode des résidents était de même ordre de grandeur pour les GEA et en diminution pour les IRA. La couverture vaccinale grippe des résidents est en légère diminution comparée aux saisons précédentes (71 % vs 80 % ou plus) et celle du personnel bien qu’en nette hausse cette saison reste encore insuffisante (45 % cette saison vs <15% en 2014-2015).

Un peu de bibliographie : Bilan national (anciennes régions) de la surveillance des GEA entre 2010-20151

Un article du Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH)1 publié en juillet présente un bilan de la surveillance des GEA

entre 2010 et 2015. Cinq points principaux sont à retenir : (1) Le taux de signalement est élevé dans 4 régions dont la Franche-Comté (Pays de la Loire, Alsace et Bretagne). (2) Le délai de signalement a diminué [5 jours en 2010-2011 à 4 jours en 2014-2015] suggérant une meilleure réactivité

des Ehpa, comme observé pour les IRA entre 2003 et 2011. (3) De même l’application systématique des mesures de contrôle s’est améliorée au fil des ans, avec un taux

d’attaque significativement moins élevé lorsqu’elles étaient appliquées en moins de 3 jours. Une étude hollandaise citée dans le BEH avait fait ce constat et précisait que la mise à l’écart du personnel malade était la mesure la plus efficace. Le recueil des mesures de contrôle mises en place dans le système de surveillance nationale ne permet pas de conforter ce résultat. Néanmoins la mise à l’écart du personnel malade restait insuffisante en France. La difficulté de gestion et de remplacement du personnel soignant en est probablement la principale cause.

(4) Les recherches étiologiques ont diminué [57 % en 2010-2011 à 43 % en 2014-2015]. Ces recherches restent fortement recommandées car elles permettent d’identifier et caractériser les nouveaux virus circulants.

1 Septfons A, Barataud D, Chiron É, Léon L, Barret AS, Tillaut H, et al. Surveillance des gastro-entérites aiguës en collectivités pour personnes âgées. Bilan national de cinq saisons de surveillance hivernale (novembre 2010-mai 2015). Bull Epidémiol Hebd. 2016;(18-19):334-43. http://invs.santepubliquefrance.fr/beh/2016/18-19/2016_18-19_2.html

IRA GEA

Nombre de foyers signalés et clôturés 14 50

Département Côte-d'Or (21) 5 10

Doubs (25) 2 7

Jura (39) 0 3

Nièvre (58) 1 4

Haute-Saône (70) 2 5

Saône-et-Loire (71) 3 18

Yonne (89) 0 2

Territoire-de-Belfort (90) 1 1

Résidents Couverture vaccinale grippe (%) 71 _

Nombre total de malades 285 1 334

Nombre moyen par épisode (min-max) 20,4 (7-32) 26,7 (6-101)

Taux d'attaque moyen (%) 25,6 33,4

Nombre d'hospitalisations en unité de soins 21 10

Nombre de décès 8 4

Létalité moyenne (%) 2,5 0,2

Membres du personnel Couverture vaccinale grippe (%) 45 _

Nombre total de malades 20 341

Taux d'attaque moyen (%) 4,5 16,1

Recherche étiologique Nombre de foyers avec recherche (%) 9 (64 %) 17 (34 %)

Grippe confirmée - Norovirus confirmé 2 6

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Le point épidémiologique du 22 septembre 2016 | Surveillance sanitaire en Bourgogne-Franche-Comté | Page 5

| Remerciements des partenaires locaux |

Nous remercions nos partenaires de la surveillance locale :

Réseau SurSaUD®, ARS sièges et délégations territoriales, Samu Centre 15, Laboratoire de virologie de Dijon,

Services de réanimation de Bourgogne-Franche-Comté et l’ensemble des professionnels de santé qui participent à la surveillance.

Département Alerte et Crise

Point Focal Régional (PFR) des alertes sanitaires ____

Tél : 03 80 41 99 99 Fax : 03 80 41 99 50

Courriel : [email protected]

Centre

Hospitalier de

Champagnole

Des informations nationales et internationales sont accessibles sur les sites du Ministère chargé de la Santé et des Sports : http://social-sante.gouv.fr/ de l'Organisation mondiale de la Santé : http://www.who.int/fr

Equipe de la Cire Bourgogne Franche-Comté

Coordonnateur

Claude Tillier

Epidémiologistes

François Clinard Olivier Retel Jeanine Stoll

Elodie Terrien Sabrina Tessier

Statisticiennes

Kristell Aury-Hainry Héloïse Savolle Aviane Auguste

Assistante Mariline Ciccardini

Stagiaires Lucy Di Marco Baptiste Groff

Directeur de la publication

François Bourdillon, Santé publique France

Rédacteurs

L'équipe de la Cire

Diffusion

Cire Bourgogne-Franche-Comté 2, place des Savoirs

BP 1535 21035 Dijon Cedex Tél. : 03 80 41 99 41 Fax : 03 80 41 99 53

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