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Adsum, Garnison Valcartier, CP 1000, succ. Forces, Courcelette (QC) G0A 4Z0. No convention : 40012192

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nos troupes

LE JEUDI 15 JANVIER 2008

Sondage sur le journal Adsum

6 5 3 - 5 3 5 3

FRANCINE POULIN

Participante au Service de relogement des Forces canadiennes

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Le ministre de la Défense Peter Mackay est venu annoncer le 9 janvier à Valcartier l’octroid’un contrat pour la production de 1300 nouveaux camions baptisés MilCOTS.Article en p. 3

Le MilCOT remplacera le vieux 2 tonnes et demieLe MilCOT remplacera le vieux 2 tonnes et demie

Lesrésul

tats

en p.7

La bibliothèque de Shannonaccueille maintenant lesrésidants de Shannon p. 21

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Instructeur en conduite après la captureSESSION D’INFORMATIONUne session d’information sur les rôlesd’un instructeur en conduite après la capture aura lieu le 26 janvier de10 heures à midi à l’Académie, bâti-ment 534, salle 320.

Les instructeurs enseignent la conduiteaprès la capture qui comprend de la théorieet des exercices pratiques de résistance auxinterrogatoires pour les militaires à hautrisque de capture et d’exploitation. Les scé-narios sont conçus pour initier les stagiairesaux différentes méthodes d’exploitation utili-sées par les ravisseurs, y compris les tech-niques d’interrogatoire.

Pendant l’instruction pratique, les instruc-teurs peuvent se voir contraints de recourirde façon sécuritaire à des contacts physiqueslimites et à des mesures disciplinaires simuléespour amener les stagiaires à se concentrersur la résistance et pour simuler avec réa-

lisme le stress inhérent à la captivité.Généralement, les instructeurs ont des poussées d’activité intense, pendant lesquellesils travaillent de longues heures sans horairerégulier. Ils doivent pouvoir travailler seulset en petites équipes dans un espace restreint.Ils peuvent devoir travailler sur le terrain oudans des lieux statiques isolés où ils jouis-sent de peu de confort.

Si vous possédez les aptitudes suivantes,vous pourriez être un candidat pour devenirinstructeur : habilité de jouer des rôles, con-fiance en soi, consciencieux, déterminé, sensde l’humour, persistant, bonne capacité d’adap-tation, communicateur efficace, ouvert à denouvelles expériences, motivé et mature.

Pour plus d’information, communiquer avec le ser-gent Stephanie Cyr au 613 449-8617 ou via courrielau cyr.mds2@forces.gc.ca.

Le colonel Daniel Genestnommé à la tête du 5 GSSLe 5e Groupe de soutien de secteur (5 GSS) a son nouveaucommandant.

Le colonel Daniel Genest prendra la tête du 5 GSS, en remplace-ment de la colonel Karen Ritchie, décédée dans un accident de laroute le 13 octobre.

La parade de changement de commandement est prévue à laGarnison Saint-Jean le 30 janvier prochain. Entre temps, le lieu-tenant-colonel Richard Préfontaine continuera d’assumer ladirection par intérim du 5 GSS.Le colonel Daniel Genest.

1300 nouveauxvéhicules pour les FCPar Simon BaillargeonJournal Adsum

Noël a beau être passé depuis un bonbout, le ministre de la Défense PeterMackay a joué au Père Noël en faisantcadeau de 1300 nouveaux véhiculesaux troupes.

Le ministre Mackay a annoncé, le vendre-di 9 janvier, l’octroi d’un contrat de 274millions $ à la compagnie américaine NavistarDefence pour la production de 1300 nou-veaux camions baptisés MilCOTS.

La flotte de MilCOTS remplacera peu à peules camions deux tonnes et demie qui sontsillonnent les garnisons du pays depuis plusde 20 ans maintenant. Plus économe en car-burant et pouvant transporter jusqu’à troisfois plus de matériel que son prédécesseur,le nouveau MilCOT permettra, selon le mi-nistre Mackay, d’effectuer des opérations avecune plus grande efficacité. «Ils offriront plusde flexibilité et permettront d’accomplir letravail avec moins de véhicules», a-t-il assuré.

De ces 1300 nouveaux véhicules, 262 sontdestinés à l’usage du Secteur du Québec dela Force terrestre.

Les nouveaux camions devraient être livrésau début de l’été 2009 et la livraison com-plétée 18 mois après l’octroi du contrat.

Le ministre Mackay a aussi profité de cettesortie pour souligner qu’il s’agit d’une pre-mière étape dans le renouvellement de laflotte de véhicules des Forces canadienneset que d’autres annonces suivraient. Il s’estnotamment engagé à remplacer l’ensembledes camions logistiques utilisés par l’armée.

RETOMBÉESMême si les camions seront assemblés

en majeure partie à l’usine texane de la com-pagnie Navistar Defence, le ministre Mackaya assuré que le Canada profitera aussi desretombées économique de ce contrat. «Pourl’emploi, pour l’entretien, pour soutenir lespersonnes qui travaillent avec les camions,pour l’essence», a-t-il énuméré.

«Tous les ajustements et les équipementspour adapter le véhicule aux spécificationsmilitaires seront faits au Canada», a indiquéGilles Lemaire, gestionnaire de projets pourNavistar Defence.

Fiche technique des MilCOTS

• Masse en état de marche : 12 319 kg(27 151 lbs), moins la charge utile et le personnel)

• Capacité de charge utile : 8000 kg (17 632 lbs)

• Capacité de traction de charge : 10 000 kg (22 040 lbs)

• Espace : Sièges et rangement pour trois passagers

• Mobilité moyenne Trois passagers pourront prendre place à bord desnouveaux MilCOTS. - Photo : cpl Marc-André Gaudreault, section Imagerie, Garnison Valcartier

Plus économe en carburant et pouvant transporter jusqu’à trois fois plus de matériel que sonprédécesseur, le nouveau MilCOT permettra d’effectuer des opérations avec une plus grande efficacité.- Photo : cpl Marc-André Gaudreault, section Imagerie, Garnison Valcartier

Un cadeau de 20 tonnespour les ados

Par Dany St-LaurentCentre de la famille Valcartier

Le 16 décembre, l’ancien bâtimentdu club de tir au pigeon d’article aété déménagé tout près de la MaisonSésame du Centre de la famil leValcartier.

Le bâtiment abritera bientôt les locauxdu club jeunesse Le Repaire qui avait besoinde plus d’espace étant donné que sa clien-tèle ne cesse de grossir. Mais avant d’accueil-lir ses premiers ados, une fondation de bétonet une annexe devront être ajoutées à la con-struction.

C’est la firme de transport AlcidePlamondon qui a transporté le bâtiment de20 tonnes, celle-là même qui a soulevé lesous-marin Onondaga à Rimouski pour le mettre en rade en novembre 2008. Il aégalement fallu compter sur la contributionde Hydro Québec, Bell Canada, Vidéotron,Expertech et du service du Génie, pour réus-sir, en quelques heures seulement, à franchir

les obstacles qui se trouvaient sur le par-cours de 3 kilomètres, principalement desfils électriques.

C’est grâce à une étroite collaborationentre les Loisirs communautaires desProgrammes de soutien du personnel et leCentre de la famille Valcartier que ce pro-jet a été rendu possible.

TÉMOIGNAGE DE GENS DE CHEZ NOUSVous avez déjà vécu une épreuve?

Vous avez su tirer des leçons importantes de cette expérience? Le journal Adsum vous invite àpartager votre témoignage avec ses lecteurs. Aucune obligation. Possibilité d’anonymat si désiré.

Composez le 418 844-5000, poste 5672, ou écrivez à +adsum@forces.gc.ca

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9Un engin explosif artisanal tue un autresoldat canadienPar Simon BaillargeonJournal Adsum

L’année 2009 débute tristement, dela même façon que l’année 2008 s’estterminée pour les soldats canadiens,avec le décès d’un autre militaire tuépar un engin explosif improvisé.

Le 7 janvier, le cavalier Brian Good a perdula vie quand son véhicule blindé léger a heurtéune bombe artisanale, au nord de Kandahar,dans le district de Shah Wali Kowt. Le cvrGood était membre de l’unité The RoyalDragoons, basée à Petawawa. Il servait avecle groupement tactique du 3e Bataillon duRoyal Canadian Regiment.

Trois soldats ont également été blessés lorsde l’incident. Ils ont été évacués en hélicop-tère vers l’hôpital de l’aérodrome de Kandaharpour soigner leurs blessures. Les trois sol-dats seraient en bonne condition.

Le cavalier Brian Good.

Le 2 R22eR en deuil

L’adjudant Richard St-Jean.

à Haïti en 1997, en Bosnie en 2002 et enAfghanistan en 2006.

Promu au grade de sergent en 1999, il occu-pait le rang d’adjudant depuis 2003.

Fin d’année funeste pour les soldats canadiens en AfghanistanPar Simon BaillargeonJournal Adsum

L’année 2008 a pris fin sur une tristenote pour les militaires canadiensdéployés en Afghanistan alors que sixd’entre eux ont péri dans trois inci-dents distincts impliquant des enginsexplosifs improvisés.

Le 27 décembre, l’adjudant Gaétan Roberge,du 2e Bataillon du Régiment irlandais duCanada, ainsi que le sergent Gregory Kruse,du 2e Régiment du génie de combat, ont ététués quand une bombe artisanale a exploséprès d’eux pendant qu’ils effectuaient desopérations de sécurité à pied. Bien qu’il étaitbasé à Petawawa, l’adj Roberge était mem-bre du Royal 22e Régiment.

La veille, le soldat Michael Freeman du3e Bataillon du Royal Canadian Regimentbasé à Petawawa a aussi perdu la vie quand

le véhicule blindé dans lequel il prenait placea explosé après un contact avec une bombeartisanale. Trois autres militaires ont aussiété blessés dans l’incident.

Finalement, trois autres soldats ont aussiété tués le 13 décembre, quand un enginexplosif a soufflé leur véhicule blindé lorsd’une patrouille, près de la ville de Kandahar.Les victimes sont le caporal Thomas Hamilton,le soldat John Curwin et le soldat Justin Jones,tous membres du 2e Bataillon du RoyalCanadian Regiment basé à Gagetown. Unsoldat a aussi été blessé mais sa vie n’est pasen danger.

En tout ce sont neuf militaires qui ontété tués au cours du seul mois de décembre2008, neuf fois plus que durant la même péri-ode en 2007. Ces décès portent à 106 le nom-bre de soldats canadiens qui ont perdu la viedepuis le début de la mission en Afghanistanen 2002.

L’adjudant Gaétan Roberge.

Le soldat John Curwin.

Le soldat Justin Jones.

Le sergent Gregory Kruse.

Le caporal Thomas Hamilton.

Le soldat Michael Freeman.

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POUR SEPTEMBRE 2009

MATERNELLEMATERNELLE

mardi, 3 février 20097h30 à 17 hau secrétariat

INSCRIPTION

Le 2e Bataillon du Royal 22e Régiment est endeuil de l’adjudant Richard St-Jean, décédéquelques jours avant Noël des suites d’uncancer.

Le 2 R22eR a perdu tout un combattant enla personne de l’adjudant St-Jean. Pendantses 20 ans de service au sein des Forces cana-diennes, le militaire de 38 ans, originaire del’Ontario, a participé à cinq missions à l’étranger. Avec le Régiment aéroporté dePetawawa, l’adj St-Jean a réalisé sa premièremission en 1992, en Somalie. De retour avecle 2 R22eR, il a été déployé en Croatie en 1995,

NOUVELLESEXPRESSLes Forces canadiennes veulent de l’artillerie lourde

Les Forces canadiennes veulent se doterd’artillerie lourde à longue portée

Un avis du ministère des Travaux publicspublié le 23 décembre fait état de la demandeaux entreprises de la défense de montrerleur intérêt quant à l’éventuelle produc-tion de ces armes. Selon le quotidien La Voix de l’Est, l’armée veut obtenir jusqu’à17 lance-roquettes de longue portée pourajouter à son stock d’obusiers tractés.

Il n’a toutefois pas été précisé si l’arméecompte utiliser cette artillerie lourde enAfghanistan. L’armée américaine et l’ar-mée britannique emploient déjà pour leurpart des lance-roquettes en Afghanistan.

L’enquête sur Borden complétéeL’enquête entreprise il y a deux ans sur

les soldats recrues unilingues francopho-nes est complétée. Il faudra toutefois atten-dre encore un peu pour connaître les con-clusions d’Yves Côté, l’ex-ombudsman dela Défense. C’est à la suite d’une visite dela Garnison Borden, le plus important cen-tre d’entraînement des Forces canadiennesau pays, que l’ex-ombudsman Côté avaitconstaté que les services de base étaientmajoritairement dispensés en anglais auxrecrues francophones incapables de s’exprimer en anglais. Le rapport sera rendu

public 28 jours après la remise de celui-ci au bureau du ministre de la Défense,moment qui n’est toujours pas connu àl’heure actuelle.

Remise à neuf des Dash-8 CT-142 Le ministre de la Défense nationale et

ministre de la Porte d’entrée de l’AtlantiquePeter MacKay a annoncé l’attribution d’uncontrat de 2,3 millions de dollars à l’entre-prise Provincial Aerospace ltée de Terre-Neuve-et-Labrador pour la remise à neufdes quatre aéronefs d’entraînement mili-taire de type Dash-8 CT-142. Le contratoctroyé comprend aussi l’inspection de mi-vie des appareils.

Accusations portées contre un militaire canadien

Le Service national des enquêtes desForces canadiennes (SNEFC) a décidé deporter des accusations contre le capitaineRobert Semrau concernant la mort d’unprésumé rebelle afghan, le 19 octobre. Lecapt Semrau a été accusé de meurtre audeuxième degré, en infraction à l’article130 de la Loi sur la défense nationale et del’article 235(1) du Code criminel. Membrede l’Équipe de liaison et de mentorat opéra-tionnel, l’officier des Forces canadiennesest accusé d’avoir tiré, avec l’intention detuer, sur un homme désarmé.

Vous connaissez quelqu’un qui a démarré son entreprise après être sorti des Forces?

APPELEZ LE JOURNAL ADSUM418 844-5000, poste 6656

ANCIENS MILITAIRES EN AFFAIRES!

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Fondé par le 12e Régiment blindé du Canada

Le journal Adsum est une publication non officiellepubliée un mercredi sur deux avec la permission duCommandant du 5e Groupe de soutien de secteur. Lesopinions et les points de vue exprimés dans ce journalne sont pas nécessairement ceux du MDN, des FC etde l’ASPFC/Personnel des FNP.

Le journal Adsum informe la communauté militaire de la garnison et de la grande région deQuébec depuis 1972. Notre publication constitue l’undes principaux outils de com munication interne del’Armée au Québec. C’est un moyen privilégié pour leSecteur du Québec de la Force terrestre (SQFT) decommuniquer avec son personnel et les familles. Lessuccès, les intérêts et les préoccupations de la grandeéquipe du SQFT, voilà la matière avec laquelle est bâtil’Adsum.

Tirage : 7250 copies

ÉditeurLcol Richard Préfontaine, cmdt(I) 5 GSSRédactrice en chefCaroline Charest, poste 5672charest.c@forces.gc.caJournalisteSimon Baillargeon, poste 6656baillargeon.sb@forces.gc.caConseillère en publicitéGinette Demers, 871-1274gdemers@videotron.caResponsable petites annonces et comptabilitéFrancine Boutin poste 5598boutin.fmc@forces.gc.caInfographistePhilippe Dionne-Raymond poste 6656production_journalvalcartier@videotron.caImprimerieLes Presses du Fleuve

Toute correspondance doit être adressée à la rédac-trice en chef. Les demandes de publication doiventêtre acheminées par courrier élec tronique à+adsum@forces.gc.ca. Soumettre les textes en for-mat Word et les photos en jpg. La rédactrice en chefse réserve le droit de rejeter ou de modifier toutmatériel rédactionnel ou publicitaire. Les auteurs destextes ne seront pas nécessairement avisés des mod-ifications apportées à leurs textes.

Les articles publiés dans ce journal sont la propriété de l’Adsum et ne pourront être publiés, util-isés ou reproduits sans l’autorisation de la rédactriceen chef ou de l’auteur.

Le journal Adsum est une entité des Programmes desoutien du personnel (PSP) et est financé en grandepartie par les fonds non publics. Les revenus généréspar les annonces publicitaires contribuent en majeurepartie au financement du journal. Nous vous remer-cions d’encourager nos annonceurs.

ABONNEMENT :GRATUIT pour les militaires et les employés civils du MDN.

Pour les autres : 20,00 $ par année (22 éditions), taxes en sus

ISSN 0705-0992

ADRESSE :Journal Adsum

Garnison Valcartier, bât. 200C.P. 1000, succ. ForcesCourcelette (Québec)

G0A 4Z0

TÉLÉPHONE :(418) 844-5000, POSTE 5598

TÉLÉCOPIEUR : (418) 844-6934

SITE WEB : www.journaladsum.comCOURRIEL : +adsum@forces.gc.ca

37e année, No 14, jeudi 15 janvier 2009

PROCHAINE PARUTION mercredi 28 janvier

DATE DE TOMBÉElundi 19 janvier

Le commandant du CI SQFTremet six mentions élogieusesLe 12 décembre, le lieutenant-colonel Richard Lavoie, commandant du Centre d’instruction du Secteur du Québec de la Force ter-restre, a profité d’une parade précédant le dîner de la troupe pour remettre la Mention du commandant du CI SQFT à six récipi-endaires. Il était accompagné du sergent-major du régiment, l’adjudant-chef Michel Durocher. - Photos : Jean Michel Fraser

Une Mention du commandant est décernée à l’adjudant-chef Robert Trépanier pour son dévoue-ment exemplaire et son haut professionnalisme entant qu’officier désigné lors du décès d’un membredu CI SQFT.

Une Mention du commandant est décernée à M. Christian Bouffard pour son haut professionna-lisme, son dévouement exemplaire et son savoir-faire étoffé. Les services de la section des Artsgraphiques sont demeurés sans faille et ont répon-du aux multiples demandes internes et externes auCI SQFT et ce, d’une manière exceptionnelle etavant-gardiste.

Une Mention du commandant est décernée au ser-gent Christian Rochefort. Il a agi en tant qu’instruc-teur et a également été grandement impliqué dansle développement des cours de qualification élé-mentaire de leadership, autant ceux donnés engarnison que ceux à distance.

Une Mention du commandant est décernée à MmeMarie-Ève Lessard pour s’être démarquée par sonardeur au travail ainsi que son acharnement àeffectuer ses tâches selon une norme élevée. Etpour son travail exceptionnel dans la traduction dela trousse de cours du Système de véhicule de sou-tien blindé lourd.

Une Mention du commandant est décernée à la sec-tion de la munition de la compagnie de commande-ment et services (caporal-chef Tremblay, caporalLajoie et cpl Charest) pour s’être démarquée par sagrande souplesse et son haut professionnalisme.

Une Mention du commandant est décernée au caporalYvon Moisan pour s’être démarqué par son haut profes-sionnalisme au sein de ses fonctions de menuisier. Il acontribué de façon exemplaire à l’amélioration desinfrastructures du CI SQFT en agissant comme maîtred’œuvre dans trois projets particulièrement importants.

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Que cette clause soit ou ne soit pas stip-ulée dans votre contrat de mariage, vousdevriez être vigilant et vérifier auprès devotre notaire si tout semble conforme àvos volontés.

En l’absence de la clause testamentaire eten l’absence d’un testament, c’est la loiqui décide de la distribution de vos biens.N’ayez crainte, faire vérifier ces docu-ments par son notaire n’a jamais faitmourir personne. Pour obtenir plus d’in-formations, contactez :

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/ Page 7Résultats du sondage sur le journal AdsumPar Caroline Charest Rédactrice en chef, journal adsum

Au mois d’octobre dernier, le journalAdsum invitait ses lecteurs à répon-dre à un sondage. À notre grand plaisir,275 personnes ont répondu à notresondage, et ce, malgré le fait que plusde 2000 mil i taires de la GarnisonValcartier étaient déployés àWainwright.

Fait à noter, 265 sondages ont été rem-plis et envoyés de façon électronique.Malheureusement, nous avons éprouvé de petits problèmes avec le lien courrielqui se trouvait sur notre formulaire desondage de notre site Web, l’adresse étantincomplète. Toutes nos excuses à ceux quin’ont pu envoyer leur sondage pour cetteraison. Nous serons plus vigilants laprochaine fois.

PROFIL DES RÉPONDANTSQui sont nos répondants? Ce sont en

majorité des hommes (70%) et des per-sonnes mariées ou vivant en union de fait(76%). Viennent ensuite les célibataireset les personnes divorcées ou séparéesavec 12% pour chacune des catégories.

Un grand nombre de nos répondantssont des membres de la Force régulière(62%) et font partie de l’Armée de terre(70%). Près d’un quart des répondantssont des employés civils du MDN (Fonctionpublique à 19% et Fonds non publics à 4%).Ils sont suivis par les membres de la Réserve,représentés dans une proportion de 11%.

Les groupes d’âge les mieux représentésparmi les répondants sont les 30-39 ans(35%) et les 40-49 ans (35%). Les 20-29ans et plus ainsi que les 50-59 ans formentle reste du contingent.

Près d’une personne sur deux ayant répon-du à notre sondage possède un diplômed’études secondaires (46%) et une surquatre, un diplôme collégial (26%).

Le revenu annuel brut familial de nosrépondants se situe pour la plus grandepart entre 40 000 $ et 59 999 $ (27%), toutprès du revenu familial median recensé en2005 au Québec qui était de 58 678 $ selonStatistiques Canada. Une autre proportionimportante de nos répondants, 24 %, dépendd’un revenu annuel familial se situant entre60 000 $ et 79 999 $. À noter qu’un répon-dant sur cinq (21%) dispose d’un revenufamilial annuel de plus de 100 000 $.

Une majorité des répondants a au moinsun enfant de moins de 18 ans qui demeureà la maison; 44% d’entre eux ont 1 ou 2 enfants et 7% en ont 3 ou 4. Reste qu’uneproportion notable de nos répondants,44%, n’ont aucun enfant de ce grouped’âge qui habite au foyer familial.

DES LECTEURS BRANCHÉSL’arrivée toute récente du site Web de

l’Adsum a certainement été une bonne nou-velle pour les 92% de répondants qui ontaccès à Internet à la maison. Une autreproportion très élevée, 80%, y a accès autravail.

Plus d’une personne sur deux maga-sine en ligne à l’occasion tandis que 30%ne s’adonne jamais à cette pratique. Lesservices bancaires en ligne jouissent d’unegrande popularité puisque 77% de nosrépondants les utilisent.

LES INTENTIONS D’ACHATFaut-il se surprendre d’apprendre que

42% de nos répondants comptent obtenirdes articles ou des services de rénovationau cours des 12 prochains mois? Et qu’uneproportion encore plus élevée (50%) comptefaire de même dans le domaine du voyage? Les autres projets d’achat de nosrépondants par ordre d’importance vontaux meubles et appareils ménagers (35%),aux équipements de camping, chasse etpêche (34%) et de sport (32%), aux ordi-nateurs (31%) et aux téléviseurs (25%), auxcours de formation (29%), aux automo-biles ou camionnettes (26%) ainsi qu’auxpièces ou réparations d’automobiles (26%).Enfin, un répondant sur quatre comptefaire l’acquisition de lunettes ou de lentilles.

LE BULLETIN DU JOURNAL ADSUMEn prenant connaissance des résultats

de ce sondage, nous constatons avec unegrande satisfaction que votre journal sem-ble très apprécié par la très grande majoritédes répondants. Ce qui ne veut pas dire quedes améliorations ne seront pas nécessaires.Certaines suggestions de nos lecteurs onten effet retenu notre attention et nous tra-vaillerons au cours des prochains mois à yrépondre dans la mesure de nos capacités.

D’abord, où nos répondants ont-ils l’habi-tude de consulter l’Adsum? Au travailpour une vaste majorité (76%), à domi-cile pour 16% d’entre eux et en ligne pour17% des gens. Ce dernier pourcentage est nuancé par les résultats à la question«Lisez-vous le journal de la base surInternet/Intranet?». En effet, 44% desrépondants ont répondu «À l’occasion»tandis que 32% ont affirmé qu’ils préféraientla version imprimée.

Plus d’une personne sur deux (56%)accorde entre 15 et 29 minutes à la lec-ture de l’Adsum, 27% moins de 15 mi-nutes, et 15% entre 30 et 44 minutes.

Les sujets les plus populaires dansl’Adsum sont les nouvelles de la défensenationale, les actualités opérationnelleslocales et internationales, les portraits degens et d’unités, les sports et loisirs ainsique les petites annonces.

Ils sont suivis par des sujets qui reçoiventune cote appréciable et qui sont : articlesd’opinion, style de vie, santé, page com-munautaire, publicité des détaillants, bandedessinée (ici, les répondants font peut-êtreréférence à Chwinn qui n’est malheureuse-ment plus publiée dans l’Adsum).

Fait curieux, trois rubriques qui n’ex-istent pas à l’heure actuelle ont été sélec-tionnées par une bonne proportion desrépondants : calendrier des activités, horos-cope et activités des mess…

Enfin, les notes les plus basses vont àdes sujets tels la police militaire, les finances,les affaires, les musées, les actualitésreligieuses, le CRFM, les aînés, les jeux, lessuggestions de livres, les chroniques his-toriques, les sections pour les jeunes, etc.Il y a une certaine cohérence dans ces résul-tats puisque la plupart de ces sujets ne sontpas très présents dans l’Adsum, à l’excep-tion de quelques-uns.

Maintenant, que pensent nos répondantsde la qualité de l’Adsum? Eh bien, noussommes fiers de dire que l’Adsum récoltede très bons scores sur tous les aspects. Letableau présenté en haut à droite de cettepage parle de lui-même.

LES ATTENTES DE NOS LECTEURSNotre sondage invitait nos lecteurs à

choisir parmi une liste de sujets ceux surlesquels ils aimeraient lire davantage d’ar-ticles. Les voici par ordre décroissant depopularité.

À mentionner, près de 10% des répon-dants ont exprimé le désir de lire davan-tage d’articles sur des sujets tels l’Afghanistan,les missions, la Réserve navale, les nou-veaux équipements, la chasse et la pêche,les civils. D’autres ont suggéré des rubriquestels bande dessinée et petits jeux, jeux vidéoset horoscope.

À la question «De quelle autre façon pourrait-on améliorer le journal de la base?», voici un échantillon des réponsesreçues :

• Parution hebdomaire• Le distribuer en exercice comme à Wainwright• Inclure articles régionaux• En consacrant plus d’articles sur les unités

de réserve• Parler plus du rôle de chaque unité sur

la base et en mission• Horaire de l’aréna• Donner plus d’espace aux articles,

pousser plus les différents sujets• Plus de photos couleurs• Expériences personnelles concernant

des sujets d’intérêt général• En ayant plus de gens sur le terrain.• En offrant l’édition dans les localités avoisinantes.

• En invitant les lecteurs à faire parvenir leurs photos

• Il serait bon d’avoir un suivi sur les travaux d’infrastructure en cours et les futurs travauxprojetés

• Inclure de l’information sur le monde informatique

• En se concentrant sur les nouvelles locales, afin qu’on puisse s’identifier davantage à notre journal.

• Créer un nouveau soldat Chwinn• Plus d’information sur les unités.• Peut-être plus d’interview du personnel• Avoir une section exclusive au PSP• Informations sur le rôle des différentes unités.

Partage sur les expériences de mission• Inclure des articles de l’aviation et la marine• Trucs pour les budgets• Plus de portraits de gens et d’unités• Ajouter mots croisés et horoscope• En parlant aussi des familles et aussi

de Sainte-Foy

En terminant, merci à tous ceux et cellesqui ont pris quelques minutes pour répon-dre à nos questions. Pour consulter la ver-sion complète des résultats du sondage,rendez-vous sur notre site Web àwww.journaladsum.com

Question : Veuillez évaluer le journal de la base en accordant une note de 1 (très mauvais) à 5 (excellent) pour chacun des énoncés ci-dessous :

1Très mauvais

%

5Excellent

%

2%

4%

3%

a) Pertinence du contenub) Divertissant/intéressantc) Source pratique de renseignementsd) Exactitude des actualitése) Rapidité de diffusionf) Articles consécutifsg) Couverture de l’actualité du MDN et information sur les missions

h) Couverture de l’actualité de la communauté militaire localei) Couverture du personnel de la communauté militaire locale

j) Conception générale

k) Rédaction/grammaire

l) Variété des publicités des détaillants

m) Disponibilité à la boîte de dépôt

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Actualités de la baseNouvelles sur le déploiementSujets de la Défence nationaleCalendrier des événementsProfils d’unitésRenseignements sur les occupations militairesPortraits de personnesSportsEmploiRenseignements sur le divertissementMaisons/logementsÉducationVoyagesSujets environnementauxCrimeActualités de naviresReligionSujets pour les aînés

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Dîner de la troupe pour le 5 RGCPar le lieutenant Jérémie Angrignon-DompierreOfficier du renseignement, 5e Régiment du génie de combat

Afin de remercier la troupe du travail accom-pli durant la dernière année en ce tempsoù le rythme opérationnel est très élevé, latradition veut qu’un repas de Noël soit servipar les superviseurs du grade de sergentet plus à la troupe de l’unité dans uneambiance festive. Pour perpétuer cette tra-dition, le 5e Régiment du génie de combat(5 RGC) a tenu son dîner de la troupe annuelà la cuisine des soldats et caporaux, bâti-ment 505 sur la Garnison Valcartier. Près de 420 personnes ont participé à l’événement.

Un merveilleux festin de dinde a été servi,préparé par notre cuisinier par excellence,le sergent Daniel Thérrien. La coupe sym-bolique de la dinde a été faite par le lieutenant-colonel Jenny Carignan, signifi-ant le début des festivités. Tous les serveurs

ont bien été formés avant le dîner dans le but d’offrir le meilleur service possible.

Pour faire honneur à la tradition, le 5 RGC a eu le plaisir d’accueillir des ancienssapeurs à la retraite et certains vétérans.Comme le veut la coutume au régiment, lerepas s’est terminé avec le tirage de prixqui ont encore attiré l’attention de tous lesmembres de l’unité, en particulier un prixd’une valeur de 150 $ qui a été remportépar le caporal Alexandre Blackburn.

L’échange de tuniques entre le lcolCarrignan et le plus jeune sapeur de l’unité, le sap Théberge, a eu lieu au débutde la cérémonie. L’adjudant-chef MichelCantin a aussi échangé sa tunique avec leplus vieux caporal-chef de l’unité, le capo-ral-chef Pierre Calvé.

Le dîner de la troupe a également été uneexcellente occasion pour les officiers derappeler aux sous-officiers leur défaite aubasketball le 10 décembre, ce qui leur per-

Le commandant du 5e Régiment du génie de com-bat, le lieutenant-colonel Jenny Carignan procède àl’échange de tuniques avec le plus jeune sapeur del’unité, le sapeur Théberge.

Le plus vieux caporal-chef de l’unité, le caporal-chef Pierre Calvé a pu revêtir la tunique de l’adju-dant-chef Michel Cantin. - Photos : Cplc RAL Pedneault

mettra de les taquiner pendant une bonneannée. Ce n’est que partie remise!

C’est donc dans une atmosphère déten-due et joviale que les membres de l’unitéont terminé l’année 2008 et ont entaméleur congé de Noël.

COMMENTAIRE

La guerre comme campagnestratégique de communicationPar le lieutenant G. Gabriel SerbuOfficier des opérations d’information, Groupement tactique 2e Bataillon Royal 22e Régiment

En décembre 1988, Mikhaïl Gorbatchev,secrétaire général du Parti communiste del’Union Soviétique, annonça le remplace-ment de la doctrine Brejnev par la doctrineSinatra. Celle-ci offrait aux pays membresdu Pacte de Varsovie une liberté sans précé-dent dans la conduite de leurs affaires internes.Une des conséquences directes de la doc-trine Sinatra fut la disparition éventuelle duPacte de Varsovie. L’OTAN n’avait désormaisplus d’adversaire. De plus, le financementdes guerres par proxy était devenu super-flu. Cette nouvelle réalité dans les relationsinternationales mena à une diminution dra-matique des budgets militaires de certainspays du tiers-monde. Elle correspondit aussiavec l’affaiblissement de l’autorité de l’État.Ainsi, les gouvernements de certaines entitéspolitiques du tiers-monde, dont les fron-tières avaient été tracées par des empirescoloniaux, sont devenus la cible des forcesmilitaires ayant des allégeances sous-nationales (tribales) ou transnationales(religieuses). Prévenir la dissolution dansle génocide, le chaos et l’anarchie des cesÉtats défaillants («failed states») a néces-sité et nécessitera l’intervention militaire del’ONU et de l’OTAN.

Malheureusement, le type de conflit auquelon est exposé n’a rien à voir avec les guer-res traditionnelles. Couramment appelé «petiteguerre» ou guérilla, ce type de conflit ne peutpas être gagné par des confrontations directesou par des opérations purement cinétiques.

Une des réalités des guérillas est le faitque nos adversaires ne peuvent pas combat-

tre sans le soutien actif ou passif de la popu-lation civile. Ainsi, gagner les «cœurs etles âmes» des locaux est essentiel à la vic-toire. En Afghanistan, les lignes de commu-nication des insurgés existent grâce à l’ap-pui de la population (souvent contrainted’offrir du soutien et soumise à la violence,aux menaces et aux intimidations des mili-ces anti-coalition), surtout dans le milieurural, là où les représentants du gouverne-ment central afghan sont moins présents etoù la reconstruction est moins tangible.

NOUVEAU TYPE DE SOLDATCette nouvelle forme de guerre néces-

site un nouveau type de soldat aussi. Sensibleaux attentes des locaux, réellement préoc-cupé par leur bien-être, bon médiateur, excel-lent diplomate, à l’aise avec la culture locale,

le militaire opérant avec succès dans un milieu tellement difficile appartient àune classe différente de celle des guerriers«traditionnels».

On parle souvent de conflits dans des envi-ronnements distincts : jungle, montagne,désert, etc. En Afghanistan, cet environ-nement est culturel, ce qui veut dire que nosdifficultés ne sont pas uniquement causéespar des facteurs physiques. Dans un telmilieu, tout devient important, surtout notrefaçon d’agir, de communiquer (verbalementet non-verbalement), ainsi que notre niveaud’ouverture aux attentes des Afghans.

Il faut comprendre que la population localecompare notre comportement au modèledu soldat occidental présenté par la propa-gande talibane. La meilleure campagned’opérations d’information réside donc dansune interaction positive avec les Afghans,une interaction qui vient à la rencontre deleurs besoins (surtout ceux de sécurité). Enconséquence, la compréhension du conceptde PPP (présence, posture, profil) à tous lesniveaux de la hiérarchie militaire est indis-pensable et coïncide avec les succès sur leterrain.

DE NOUVELLES FORMES D’EFFICACITÉ MILITAIRE

Il est impératif de comprendre que dedétruire un ennemi invisible est beaucoupplus difficile que de séduire une populationvisible, marquée par des décennies de vio-lence. La compassion informelle, un désirauthentique d’aider les Afghans à reconst-ruire leur pays et à vivre en sécurité sont lesnouvelles formes d’efficacité militaire. Deplus, de nouveaux verbes de mission s’ajoutent aux traditionnels «détruire», «nettoyer», «occuper», etc. ; on parle main-tenant de «influencer», «persuader»,«décourager», «informer».

Un des problèmes auxquels sont confron-tées les armées occidentales aujourd’hui estcelui de la transition : comment fait-on pouradapter une armée traditionnelle – forméepour des conflits de grande intensité – auxguérillas contemporaines? L’un des prin-cipaux problèmes réside, le plus souvent,dans la culture militaire occidentale con-temporaine. Réorienter une culture mili-taire classique vers des valeurs et des habi-tudes sociales (compassion, sensibilitéculturelle, reconstruction) qu’on associegénéralement avec celles des ONG n’est paschose facile.

Tout soldat, et particulièrement le soldatdes armes de combat, est un homme ou unefemme d’action : on agit en utilisant desmoyens cinétiques afin d’accomplir la mis-sion. Cette approche n’est pas une fin en soien Afghanistan, là où le combat se passe sou-vent au plan symbolique dans le domainevaste et complexe de la communication etde la gestion d’image. Notre priorité est de séduire la population locale afin de dét-ruire un ennemi difficilement repérable etnon le contraire.

En conclusion, je suggère que nos plansstratégiques ou opérationnels devraientressembler plus à une campagne de com-munication qu’à une esquisse militaire cou-tumière, intégrant surtout des éléments non-cinétiques qui vont grandement faciliterla réalisation des effets désirés sur le terrain.

La compassion informelle, un désir authentique d’aider les Afghans à reconstruire leur pays et à vivre ensécurité sont les nouvelles formes d’efficacité militaire selon le lieutenant Serbu. Sur la photo, en sep-tembre 2007, le capitaine Guy Noury de l’Équipe provinciale de reconstruction parle à des Afghans desconditions de vie dans le village de Zharey. - Photo : Archives Adsum (Cpl Simon Duchesne, photographe EPR, Afg Roto 4)

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Le 3e Bataillon Royal 22e Régiment auxfunérailles du brigadier-général Armand RossPar le lieutenant Michael Hunt Pon 1, cie A, 3e Bataillon Royal 22e Régiment

Le vendredi 7 novembre, la compa-gnie A du 3 e Batai l lon Royal 22e Régiment (3 R22eR) a participéaux funérailles du brigadier-généralArmand Ross, près du centre-ville de Montréal.

Plusieurs personnes étaient présentes àl’église Saint-Viateur d’Outremont, dontplusieurs collègues tels que le général à laretraite Maurice Baril, colonel honorairedu Royal 22e Régiment. La compagnie Adu 3 R22eR a fourni les porteurs pour l’urnedu général, une garde funéraire à l’entréede l’église et une autre garde armée qui atiré une salve de trois coups pour marquerla clôture de la cérémonie.

Après la cérémonie, une rencontre pourla famille et les amis a eu lieu à l’extérieurde l’église, où les proches des défuntsont reçu les condoléances et où plusieursinvités ont raconté des témoignages surla vie du bgén Ross.

La cérémonie a attiré l’attention de nom-breux passants et résidants du voisinage.Les gens stationnaient leurs voitures etobservaient la cérémonie du trottoir, tou-jours curieux de voir les Forces canadi-

ennes parader ainsi. Cette manifestationdu public a démontré l’appui des citoyensenvers les Forces canadiennes et a renduhommage au bgén Ross. La foule a été unpeu surprise par la première salve tiréepar la garde, mais a semblé néanmoinsapprécier la cérémonie militaire.

UNE CARRIÈRE BIEN REMPLIELe bgén Ross s’enrôle en 1940 dans l’ar-

mée canadienne et sert outre-mer avec leRégiment de la Chaudière. En janvier 1942,il revient au Canada et sert avec les Fusiliersdu Saint-Laurent. Par la suite, en mars1944, il retourne outre-mer et sert avec leRégiment de Hull. En 1950, il est muté auRoyal 22e Régiment en tant que comman-dant de compagnie. Promu au grade delieutenant-colonel en septembre 1954, ilprend le commandement du 3 R22eRjusqu’en 1957. En juin 1963, il est promucolonel et devient commandant du Collègemilitaire royal de Saint-Jean. En 1967, ilest promu brigadier-général et occupe leposte de chef d’état-major Adm au quar-tier général de la Force mobile à Saint-Hubert. Après avoir été commandant de

la région militaire de Québec et comman-dant de la base de Montréal, il prend saretraite des FC le 27 novembre 1972. Parla suite, il occupe le poste de chef d’admi-nistration de l’école Polytechnique de

La garde du 3e Bataillon Royal 22e Régiment tire une salve de trois coups.

Montréal jusqu’en 1980. Le bgén Ross estaussi détenteur de la Croix d’officier dumérite avec épée de l’Ordre Souverain etmilitaire de Malte.

AVANCÉE TECHNOLOGIQUE À LA CELLULE DE GÉOMATIQUE DU SQFT

Une station de référence GPS permanente voit le jour à ValcartierUne station de référence GPS perma-nente sera instal lée sous peu àValcartier, une première sur les gar-nisons québécoises.

Le système GPS RTK 1200 qui va êtreinstallé à la bâtisse 72, au service du GénieValcartier, qui est à la fois une station deréférence et une station mobile, est trèsavantageux étant donné qu’il prend encharge tous les signaux GNSS (GlobalNavigation Satellite System).

C’est-à-dire qu’il prend en charge la pour-suite des satellites GPS (Global PositionningSystem) et GLONASS au lieu de prendreseulement les satellites GPS comme c’était le cas avant. «C’est un système quiest beaucoup plus performant et beau-coup plus précis qui répondra à nos besoinset à celui de nos clients», explique l’ana-lyste en géomatique Alexis Usabuwera.

En terme d’application concrète, cettenouveauté permettra aux arpenteurs etingénieurs de collecter les données dansles champs de tir, secteurs d’entraînementet administratifs et de pouvoir le faire avecune précision au millimètre près.

Une station de référence GPS est unpoint géodésique établi sur un site dégagéde tout obstacle, généralement un toit d’édifice, sur lequel une antenne capte con-tinuellement les signaux provenant dessatellites GPS et GLONASS. Ces signauxsont décodés par un récepteur, à bi-fréquencepuis enregistrés à un intervalle de cinq sec-ondes par un micro-ordinateur, et ce, 24 heures par jour.

NORMES SÉVÈRESDe plus, ce système a été construit selon

les spécifications militaires les plus sévères.

Il supporte les températures extrêmes, lespires conditions climatiques et les envi-ronnements de chantier les plus rudes.

Selon M. Usabuwera, ce système de cap-tage en temps réel vient au bon momentétant donné que la cellule géomatique duSQFT, basée à Valcartier, est actuellementen campagne de validation des donnéesdéjà existantes et le captage de nouvellesdonnées sur le terrain pour avoir des données de qualité à jour, qui répondentmieux aux besoins des utilisateurs.

Donc, le but principal de cette celluleest d’avoir une bonne base de données,exhaustive, et avec cette BD, elle sera àmesure de livrer à ses intervenants les pro-duits de qualité et effectivement à jour.

Un autre avantage pour la cellule géo-matique, c’est que ce système, étant enmême temps une station de référence et

une station mobile, va être utilisé non seule-ment à Valcartier mais aussi aux autresbases militaires comme Farnham, Saint-Bruno et Saint-Élie d’Orford.

Larry Moses, technologue en géomatique et AlexisUsabuwera, analyste en géomatique, exhibent lenouvel équipement qui permettra d’obtenir denouvelles données plus précises sur les terrains dela Garnison Valcartier. -Photo : Simon Baillargeon

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Le CI SQFT organiseune journée sportivePar le sous-lieutenant Salah-Eddine BouabidOfficier d’administration, Centre d’instruction du SQFT

Sous la directive de son commandant, lelieutenant-colonel Richard Lavoie, le Centred’instruction du Secteur du Québec de laForce terrestre a organisé une journéesportive le 11 décembre.

La journée a débuté avec deux rencon-tres de hockey-balle qui se sont dérouléesau CSEM 3. Dans la première rencontre,l’équipe I (soldats et caporaux) a pris ledessus sur l’équipe II (soldats et caporaux)pour finir la partie avec un résultat de 8-4. Dans la deuxième partie, l’équipe dessous-officiers, sous la direction de l’adju-dant-maître Stéphane Vallée, a battu l’équipedes officiers, dirigée par le capitaine PatriceCantin, par un score de 7-1.

La partie de hockey sur glace s’est dérouléeen après-midi sur la patinoire de l’aréna

Clément-Boulanger. Elle a été disputéeen trois périodes inoubliables entre l’équipebleue (soldats et caporaux) et l’équipeblanche (officiers et sous-officiers).

Le coup d’envoi a été donné par le lcolLavoie accompagné de l’adjudant-chefMichel Durocher. Les deux équipes rivalesont haussé la température au sein de l’aré-na grâce à leur détermination. La partiea été à la hauteur des attentes des specta-teurs qui sont venus nombreux pour yassister. La partie s’est terminée en faveurdes soldats et caporaux par un résultat de5-3.

Cette journée a été bénéfique pour tousles membres du CI SQFT. L’organisationétait bien réussie et les objectifs fixés parle commandant ont été atteints.

Un grand merci au personnel de l’aré-na Clément-Boulanger pour les servicesPSP.

Jean-Michel Fraser des arts graphiques à son troisième but. - Photo : C. Bouffard, CI SQFT

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15 janvier200

9 / Adsum

/ Page 11Mention élogieuse décernée ausergent Boisvert du CI SQFTPar le capitaine Christian DesrosiersReprésentant Affaires publiques de l’unité

Le sergent André Boisvert a reçu dubrigadier-général Guy Laroche laMention élogieuse du commandant duSecteur du Québec de la Force terrestre(SQFT) et de la Force opérationnelleinterarmées (FOI) Est, à l’occasiond’une parade de collation des diplômesqui s’est tenue au Centre d’instruction(CI) du SQFT le 3 décembre.

Le sgt Boisvert a agi en tant que maîtred’œuvre du fonctionnement et des opéra-tions de sa compagnie durant le Trimestreestival d’instruction individuelle 2008 du

CI SQFT. Dans un contexte difficile où letemps et les ressources se font rares, il s’estdémarqué par son dévouement et soninvestissement personnel et profession-nel dans l’élaboration des plans d’entraîne-ment et l’acquisition de matériel destinéà l’entraînement. Le sgt Boisvert a large-ment dépassé toutes les exigences de sessupérieurs et les résultats de son travailont fait en sorte d’améliorer considérable-ment la qualité de l’entraînement. Sondévouement, son professionnalisme ainsique son acharnement au travail méritentd’être reconnus de tous au sein du SQFT-FOI (E).

Le brigadier-général Guy Laroche remet la Mention élogieuse au sergent André Boisvert, accompagné del’adjudant-chef Gilles Arcand.

Dépôt des drapeaux consacrés du 1er Bataillondu Royal 22e RégimentPar le lieutenant Sébastien HeppellCie Commandement, 1er Bataillon Royal 22e Régiment

Le 11 novembre, les anciens drapeauxconsacrés du 1er Bataillon Royal 22e

Régiment (1 R22eR) ont été mis endépôt au Mémorial de la Citadelle deQuébec avec dignité et révérence, etce, avec la précision militaire et l’ap-parat d’usage. Comme le veut la tra-dition, les drapeaux resteront sus-pendus et intouchés jusqu’à ce qu’ilssoient complètement détériorés.

C’est le 4 juillet 1982 que commençaitl’histoire de ces drapeaux consacrés, surles plaines d’Abraham quand EdwardSchreyer, gouverneur général du Canada,remit au 1 R22eR son drapeau régimentaireet son drapeau royal.

Les drapeaux consacrés sont la posses-sion la plus précieuse d’une unité. Ils sym-bolisent de façon très visible la fierté qu’éprou-vent les troupes à servir dans une unité dontla raison d’être est la valeur, les réalisationsdu régiment, le tout figurant sur les déco-rations du drapeau régimentaire évoquantles victoires remportées.

Sous ces drapeaux, le 1 R22eR a servi auKoweït et en ex-Yougoslavie, où les mem-bres du bataillon ont reçu une Mention élo-gieuse d’unité pour leur professionnalismeet leurs exploits extraordinaires, libérantl’aéroport de Sarajevo assiégé en 1992. Lesmembres se sont déployés également enBosnie, à Haïti et bien sûr en Afghanistan.N’oublions pas les opérations domestiquestelles que l’opération SALON (Oka), la crisedu verglas et le Sommet des Amériques.

Il existe une mystique du drapeau quirappelle constamment à chaque officier,

sous-officier et soldat à quel point il dépendde ses camarades d’armes, de sorte qu’il luiest extrêmement difficile au combat de fail-lir à son devoir et, le plus souvent, le porteà accomplir des exploits héroïques qu’iln’aurait jamais cru accomplir.

Pour tous ceux qui ont combattu pourleur pays et qui ont risqué ou donné leurvie sous ces drapeaux consacrés, que leurssacrifices soient à tout jamais gravés dansla mémoire des Canadiens.

«Ils ne vieilliront pas comme nous, quileur avons survécu. Ils ne connaîtront jamaisl’outrage ni le poids des années. Quandviendra l’heure du crépuscule et celle del’aurore nous nous souviendrons d’eux.»

Je me souviens.

Les drapeaux consacrés reposeront au Mémorial dela Citadelle de Québec. - Photo : cpl Mario Plamondon, 2 R22eR

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Montagnes exigeantesPar le lieutenant François BoudreauCommandant pon 6, cie B, 1er Bataillon Royal 22e Régiment

Du 24 au 28 novembre a eu lieu au 1er Bataillon du Royal 22e Régimentl’exercice MONTAGNES EXIGEANTES.Rappel, navigation de nuit, pont decorde, raid, embuscade, tout était aurendez-vous pour faire de cet exerci-ce un événement mémorable. Évidem-ment, la météo de novembre et lesmontagnes de Valcartier sont venuesagrémenter l’expérience.

L’école de bataille des semaines précé-dentes avait bien préparé les participants.Plusieurs membres en étaient alors à leurpremière expérience en patrouille de longuedistance. Les nouveaux lieutenants ont eu

la chance de se familiariser avec le terrainet les soldats ont révisé leur techniquede campagne. La taille réduite des pelo-tons en a obligé plusieurs à assumer desrôles bien au-dessus de leur grade. Cessemaines de préparation ont laissé quelquesséquelles et beaucoup de leçons apprisesà tous les niveaux.

La mission de chaque peloton consis-tait à donner l’assaut sur une position enne-mie afin de capturer un commandant local.Des stagiaires du cours de reconnaissanceaccompagnaient les pelotons durant lamajorité des déplacements en plus de main-tenir l’observation sur l’objectif. De plus,des instructeurs d’opération en montagneétaient présents sur le parcours pour per-mettre de descendre le mont Greccio enrappel.

L’insertion de nuit a permis au pelotonde se mettre en place. Le terrain difficileet les conditions climatiques ont sensible-ment ralenti le déplacement des troupes.De plus, les soldats ont dû descendre unefalaise en rappel et franchir une rivièresur un pont de corde. Il a fallu une douzained’heures de marche à chaque patrouillepour se rendre à l’objectif.

Heureusement, les stagiaires du coursde reconnaissance étaient déjà sur placeet avaient repéré les meilleures positionsde base de feu et d’assaut. Les pelotonsont pu se mettre en place rapidement etlancer des attaques simultanées sur lespositions ennemies.

Ils ont ensuite dû se mettre en route versleur point d’extraction. Le retour a été par-

La compagnie B se tient aux aguets afin de ne pas se faire prendre dans une embuscade.

ticulièrement pénible, car tous étaientépuisés et des renforts ennemis patrouil-laient le secteur en plus de tendre desembuscades. Finalement, après presque24 heures de marche et de combat, les pelo-tons ont été récupérés et sont retournés àleur base d’opération.

Cet exercice a fait ressortir la flexibilitédes fantassins du bataillon ainsi que laqualité des stagiaires et instructeurs ducours de reconnaissance. Il a aussi démon-tré l’importance de voyager léger et de bienchoisir l’équipement approprié à la mis-sion. Tous vont se rappeler de cet exerci-ce pendant longtemps. C’est après uneépreuve de ce genre qu’on comprendpourquoi la devise du régiment est «Je mesouviens».

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DerekNé le 6 juillet

Fils de Ève Allard et Jean-François Lebrun

DerekNé le 2 janvier

Fils de Marie-Claude Daigle et Pierre-Luc Fontaine

EliottNé le 11 août

Fils de Julie Pagé et David Wagner

ÉlisabethNée le 4 novembre

Fille de Jacqueline Gravel et Martin Baribeau

ÉloiNé le 9 avril

Fils de Véronique McIntyre et Ghislain Giguère

KiraNée le 19 février

Fille de Jennifer St-Onge et Pascal Allard

LaurieNée 18 septembre

Fille de Natacha Côté et Robert jr Gagné

LéaNée le 14 septembre

Fille de Brigitte Harvey et Frédérique Beauregard

LéonardNé le 22 avril

Fils de Karine Rodrigue et Christian Vachon

LéonieNée le 15 février

Fille de Christine Legault et Alain Legault

Marc-OlivierNé le 3 décembre

Fils de Caroline Fréchette et Tony Letendre

MaudeNée le 2 avril

Fille de Martine L’Heureux et Frédérique Germain

MaverickNé le 17 janvier

Fils d’Annie Claude D’Anjou et Stéphane Therrien

MaverickNé le 8 mars

Fils de Mélanie Vien et Patrick Tardif

May-GaneNée le 25 mars

Fille de Marie-Soleil Bolduc et Mickael Gagnon

SamNé le 6 octobre

Fils de Marie Carrier et Marc Gagnon

SamuelNé le 14 mars

Fils de Sonia Croteau et Stéphan Girard

SamuelNé le 20 septembre

Fils de Nathalie Lebrun et Éric Chabot

ThéoNé le 15 juillet

Fils de Marie-Michèle Côté et Jean-Guy Gosselin

ThomasNé le 12 novembre

Fils de Catherine Dépôt et Daniel Hudon

AlexiNé le 9 septembre

Fils de Marie-France Brassard et Ryan Lyddiatt

Alycia-RoseNée le 29 juin

Fille de Julie Goulet et Benoît L’Allier

AnaeveNée le 27 septembre

Fille de Katherine Auger et Stéphane Lussier

Benoît-OlivierNé le 10 octobre

Fils de Shirley Mcneil et Stéphane Pellerin

CamilleNée 26 juin

Fille de Audrey Lamontagne et Stéphane Gilbert

Les de

l’aBÉBÉS

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ÉmileNé le 24 mai

Fils de Vickie Archambault et Jonathan Plante

FlorenceNée le 17 mai

Fille de Isabelle Tremblay et Patrick Gallant

GloriaNée le 16 juillet

Fille de Christine Bernier et Danny Brière

JulianneNée le 18 mars

Fille de Catherine Godreau et Jimmy Gaudette

KateNée le 18 avril

Fille de Jessie Gagnon et Michel Audit

LiamNé le 7 février

Fils de Jennifer Walsh et Daniel Baulne

LilianneNée 16 mars

Fille de Manon Roy et Jérôme Bourget

LudovickNé le 17 mars

Fils de Marie-Lou Girard et Frédérique Verreault

MaïkaNée 8 décembre

Fille de Lindsay Tremblay et Kevin Rioux

MalcolmNé le 31 janvier

Fils de Nadine Gingras et Simon Robichaud

NathanNé le 17 août

Fils de Nathalie Robitaille et François Aziz-Beaulieu

Nathan et NoahNés le 7 septembre

Fils de Véronique Simard et Joel Lamontagne

NikaNée le 16 août

Fille de Anne-Sophie Chagnonet Blagojce Apostolov

NoahNé le 15 février

Fils de Joëlle Bard et Jean-Pascal Doucet

RebeccaNée le 9 mai

Fille de Nancy Mallette et David Grellier

TristanNé le 29 août

Fils de Geneviève Coursol et Jean-Sébastien Lafleur

Tristan-ElijahNé le 3 octobre

Fils de Zen Duguay et Richard Lefevre

Victoria GraceNée 11 septembre

Fille de Marie-Julie Côté et Dennis Noël

VincentNé le 21 janvier

Fils de Nancy Lortie et Raphaël Guay

WilliamNé le 28 juillet

Fils de Nathalie Plourde et Daniel O’Malley

Félicitations aux gagnants de notre tirage, les parents d’Alexi né le 9 septembre 2008 :

Mme Marie-France Brassard et M. Ryan Lyddiatt

Ils remportent un ensemble cadeau de couches d’une valeur de 120$, une carte-cadeau d’une valeurde 50 $ à la boutique Souris Mini et un carte-cadeau

d’une valeur de 50 $ chez Univers Toutou.

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Fils de Véronique Lemieux et David Rioux

ChloéNée le 3 février

Fille de Nadine Bernier et Sébastien Plante

DelyannNée 4 mars

Fille de Lucy Boisvert et Patrice Cardin

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CHRONIQUE LECTURE

L’ultime guide de l’artisanat rassemble plus de 150projets originaux et 27 techniques essentielles àexplorer afin de créer les projets les plus imagina-tifs qu’ils soient. La confection de bougies, la pein-ture sur verre, le scrapbooking, la pyrogravure nesont que quelques exemples des nombreux pro-jets expliqués et illustrés au fil des pages. Un véri-table coffre au trésor pour les amants de bricolageet d’artisanat.

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10 janvier.

Le gagnant de notre dernier

tirageGeneviève Bernier est

l’heureuse gagnante deslivres présentés dans notrechronique du 19 novembre2008 : «L’histoire parfumée

d’Henriette la belette» et «Le secret de Petit Poilu».

Félicitations!

Grande collecte du Noël des enfantsPar le capitaine Kevin BellefontaineCapitaine de bataille (i), escadron A, 12e Régiment blindé du Canada

La première grande tempête de neige de l’année n’a pas été suffisante pourempêcher les nombreux bénévoles d’aiderles familles qui sont dans le besoin.

Depuis 17 ans, le 12e Régiment blindédu Canada (12 RBC) fournit de l’aide auNoël des enfants de la Société Saint-Vincentde Paul de Québec. C’est une tradition régi-

mentaire d’appuyer cette cause qui noustient à cœur.

En cette journée du 11 décembre, le régi-ment a fourni 17 véhicules et plus de 80 personnes répartis entre le centre detri et les 15 points de collecte. L’activité acommencé tôt le matin à partir de 4 heureset demie pour se terminer à 19 heures.Malgré les nombreuses heures de travailpassées à trier et à distribuer les dons, lesentiment d’avoir aidé les plus démunis afait de cette journée la plus enrichissante

de l’année. Au total, c’est plus de 500 béné-voles qui ont travaillé aux différents pointsde collecte ainsi qu’au centre de tri situéau Centre de foire d’Expo Cité.

C’est la section du transport de l’escadronde Commandement et services du 12 RBCqui a organisé l’activité. Composée prin-cipalement du lieutenant Keaven Lozier,de l’adjudant Bruno Lamoureux et du ser-gent Éric Soulard, la section été en mesurede faire un excellent travail. Selon Nathalie

Le caporaux Vincent Turcotte et Sylvain Poissant ont participé au tri des jouets en les plaçant sur lestables de distribution. Photo : Cpl J.R.S. Raymond

Couture, organisatrice du Noël des enfants,«sans le support du 12 RBC, on ne seraitpas capable de trouver une méthode effi-cace pour transporter tous ces dons dansun délai aussi court vers les paroisses». Le12 RBC fournit un soutien essentiel aubon déroulement de cet événement et saprésence est bien appréciée de la part detous les bénévoles et la communauté.On se donne rendez-vous en 2009 pourune prochaine édition.

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15 janvier200

9 / Adsum

/ Page 17Les services informatiquesfournis par le QGET Par le caporal Patrice VilleneuveTechnicien SICT, Quartier général et Escadron des transmissions

Oui, il est bel et bien révolu le temps oùtout se faisait sur papier. Les cartes depapier sont maintenant presque inexis-tantes dans les complexes. Comme partoutailleurs, l’informatique prend une placetoujours grandissante et ce travail reposesur les épaules de qui? Vous avez deviné…La section informatique du Quartier généralet Escadron des transmissions (QGET)!Elle est composée d’une quinzaine de per-sonnes se répartissant dans deux détache-ments, DWAN/TLAN et TacNet, et d’unquartier-maître qui gère tout le matérielinformatique qui entre et qui sort, ce quin’est pas toujours évident, croyez-moi. Enexercice, ils travaillent en collaborationavec les sections des Lignes et des techni-ciens SICT pour offrir un service complet

et fonctionnel. Sans réseau physique, letravail de la section Informatique seraitcomplètement inutile.

En garnison, le détachementDWAN/TLAN s’occupe, en collaborationavec Ottawa et le GTI, de fournir le ser-vice technique aux usagers du RÉD (Réseauétendu de la Défense). Quand ils se déploientavec le TLAN, leur travail consiste à fourniraux usagers les mêmes services réseauxqu’en garnison. Ils font la gestion descomptes usagers et répondent aux deman-des de soutien et de dépannage des usagers.À travers le TLAN, les usagers ont accès àleurs courriels, aux dossiers et aux fichierspartagés, ainsi qu’au RÉD. Le TLAN peutfournir l’accès au réseau à 250 usagerssimultanément.

Le travail de l’équipe TacNet, consiste àfournir le réseau tactique secret SIC2TAC(Système d’information de commande etcontrôle tactique). Actuellement à la ver-sion 1.7, ce réseau peut servir facilementjusqu’à 300 usagers avec ses six serveurs.En constante évolution, ce réseau présentetoujours de nouveaux défis pour l’équipe.Nous passerons d’ailleurs prochainementà la version 2.1, ce qui nécessitera un réap-prentissage complet du système. Le réseauSIC2TAC offre des services tels que le suivien temps réel des unités sur le terrain (SAS-ATS), la planification des opérations (ATS),un service de messagerie (Exchange) etplusieurs autres. Son personnel s’oc-cupe de la gestion des serveurs et descomptes d’usagers, du service à la clien-tèle et du dépannage informatique. Leurstâches sont ardues puisque pour chaquelogiciel utilisé par les utilisateurs, plusieurslogiciels de maintenance viennent s’yrajouter permettant ainsi d’offrir un ser-vice continu et de qualité.

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09Deux artilleurs de la Réservereçoivent unebourse de 1000 $L’Association des Arti l leurs de laMauricie a remis le 17 décembre aremis une bourse de 1000 $ au bom-bardier Marie Pier Casabon et au bom-bardier David Bourré.

Le bdr Marie Pier Casabon est membredu 62e Régiment d’artillerie de Shawinigan(62 RAC) depuis le 17 janvier 2006. Elleétudie au Collège Laflèche de Trois-Rivièresen techniques de l’éducation à l’enfance.Le bdr David Bourré est également mem-bre du 62 RAC depuis le 6 mai 2002. Ilétudie à l’Université de Trois-Rivières, pourl’obtention d’un baccalauréat en sécu-rité publique. Les deux ont démontré unintérêt et une réussite professionnels autantdans leur vie militaire qu’étudiante.

L’Association des artilleurs de la Mauricieest le regroupement des anciens membresdu 62 RAC de Shawinigan. En plus de tra-vailler à perpétuer les traditions et l’his-torique du régiment, elle distribue desbourses d’étude aux jeunes réservistesvenus s’y former.

Depuis sa fondation en 2000, l’Associationa remis six bourses de 500 $ et une boursede 1000 $ et a permis à ses réservistes des’assurer une certaine situation financière.

Le lieutenant-colonel (ret) Yvon Bégin, présidentdu comité des bourses, le bombardier Bourré,récipiendaire de la bourse de 1000 $, le capitaineDaniel Déry, membre du comité des bourses, et lelieutenant-colonel Alain Boisvert, président del’Association des artilleurs de la Mauricie.

La bombardier Marie Pier Casabon, récipiendairede la bourse de 1000 $, et le lieutenant-colonelAlain Boisvert, président de l’Association desartilleurs de la Mauricie.

Un pionnier del’Adsum s’éteintPar Caroline CharestRédactrice en chef, journal Adsum

C’est avec beaucoup de tristesse que j’aiappris, pendant le congé des Fêtes, le décèsde M. Yvon Nick Thibeault à l’âge de 81 ans.M. Thibeault a été retrouvé sans vie le 25décembre à son domicile de Shannon.

Enrôlé dans les Forces canadiennes en1960, c’est en novembre 1972 que l’adjudantThibeault se joint à l’équipe de l’Adsum aumoment où le journal, après avoir été fondépar le 12e Régiment blindé du Canada aumois de mai précédent, devient le journalde la base de Valcartier. Après sa retraite desForces canadiennes, M. Thibeault reste aujournal comme employé civil au poste derédacteur adjoint jusqu’en novembre 1991.

J’ai peu connu M. Thibeault, car celui-ciavait déjà quitté le journal au moment où jesuis arrivée en poste. Mais je l’ai connu assezpour savoir qu’il n’a jamais perdu son ent-housiasme pour le journal Adsum qu’il con-

sultait toujours avecintérêt. Homme hum-ble et réservé, il venaitfaire son petit tour aujournal une ou deuxfois par année, nerestant toujours quequelques minutes, depeur de déranger. Il pre-nait toujours soin denous prodiguer sesencouragements, à

mon équipe et moi, pourle travail que nous réalisions et j’appréciaisbeaucoup les bons mots de celui qui con-naissait si bien le journal. Ses visites s’étaientespacées au cours des dernières années enraison de problèmes de santé.

Les funérailles de M. Thibeault ont étécélébrées le 6 janvier à la chapelle Sainte-Jeanne d’Arc. Il était l’époux de feu MmeCécile Thibault. Le couple n’avait pas d’enfant.

Yvon Nick Thibeault

PAROLE D’AUMÔNIER

Bonne année de vos padrés!Par le padré (maj) Pierre BergeronAumônier principal 5 GBMC

Eh oui! L’année2009 est déjà amor-cée! En ce début del’année, plusieurspersonnes en pro-fitent poursouhaiter auxmembres de leursfamilles, amis,voisins et collèguesde travail«une bonne etheureuse année!».

Mais d’où vientcette tradition? Selon Wikipédia : «LeNouvel An est une fête d’origine païennequi vit le jour vers 46 avant notre ère sousl’impulsion de Jules César qui décida quele 1er janvier serait le Jour de l’an ; lesRomains fêtaient le Nouvel An selon le ca-lendrier julien». Par contre, ce n’est quedepuis le 1er janvier 1622, que dans tousles pays catholiques, sur décision du Saint-

Siège, l’année calendaire commence le 1er janvier et que la tradition de se faire dessouhaits débute.

L’année 2009, comme toutes les autres,apportera son lot de défis à relever. Je lais-serai la chaîne de commandement vousparler des défis organisationnels; pour mapart, j’aimerais vous faire des souhaits depaix autant dans vos cœurs que dans vosfamilles.

La paix ne s’improvise pas, elle se reçoiten accueillant Celui que nous avons célébréavant de plonger dans cette nouvelle année.

La communauté militaire est une familleparticulière parce qu’elle sait que sa vita-lité dépend de l’esprit d’entraide et degénérosité qui nous caractérise si bien. Jesuis toujours émerveillé devant le courageet la sollicitude démontrés par nos famillesmilitaires. C’est la démonstration de cesqualités qui font que nous pouvons espé-rer en une année meilleure même si lescirconstances ne sont pas à leur meilleur.

Profitons de tous les moments à notredisposition pour tisser des liens serrés avecnos proches, nos voisins et tous ceux quiviendront se greffer à notre commu-nauté/famille. Faisons également un effortpour nous familiariser avec les différentsservices offerts par la garnison. En pas-sant, les deux communautés chrétiennes,catholique et protestante, sont là pour vousaccompagner dans votre crois-sance/démarche spirituelle en répon-dant à vos questions ou besoins parti-culiers. N’hésitez pas à faire appel à nosservices.

Au nom de l’équipe des aumôniers deValcartier, nous vous souhaitons d’expéri-menter en 2009, la paix du cœur et la santéspirituelle.

Bonne année!Ein gutes neues Jahr / prost NeujahrHappy New YearFeliz año nuevoFelice anno nuovo, buon anno

Bon vin, bon goûtPar le lieutenant Jessy BrownCommandant pon 1, 1er Bataillon, Royal 22e Régiment

Le 20 novembre s’est tenu le dîner régi-mentaire mixte du 1er Bataillon, Royal 22e

Régiment (1 R22eR), au Mess des sergentset adjudants de Valcartier. Le dîner régi-mentaire est un dîner protocolaire ayantpour but de se réunir en famille, c’est-à-dire entre membres du bataillon.

Bien qu’il soit régi par des règles strictes,il doit avoir lieu dans une atmosphèredétendue. Un dîner régimentaire mixtesignifie que les sous-officiers supérieurssont de connivence avec les officiers dubataillon. La chaîne de commandementn’est plus de rigueur pour la soirée, maisle respect s’impose tout de même. Cettepratique aide à accroître la cohésion del’équipe, et permet les discussions entre

les membres qui, autrement, n’auraientpas cette chance.

L’événement a permis notamment auxjeunes officiers fraîchement arrivés de ren-contrer le personnel du bataillon à l’ex-térieur du cadre du travail. En effet, letempo du 1 R22eR en a gardé plus d’unoccupés. De plus, la compagnie C du 1 R22eR a été déployée à Wainwright dansle cadre de l’exercice MAPLE GUARDIAN,car elle constitue l’équipe de PRT pourla roto 1-09. L’occasion était donc excel-lente pour échanger avec les membres dela compagnie C, avant leur départ en marspour l’Afghanistan.

Le dîner a bien entendu été précédé parun cocktail, où tous ont pu s’échanger dessalutations. Le repas fut apprécié, et lesallocutions ont suivi. Parmi les invités, setrouvaient le brigadier-général Guy Laroche,le colonel Daniel Ménard, le lieutenant-colonel Gagné, l’adjudant-chef (ret)Dessureault, l’adjudant-chef Arcand, l’ad-judant-chef Marchand, et l’adjudant-chefLaverdière.

Après les nombreux toasts, tous se sontréunis au bar pour terminer la soirée auxpetites heures du matin. Des taxis ont étéappelés, et c’est ce qui a clôturé le dînerrégimentaire mixte du 1 R22eR.

Il est à noter que le dîner régimentairedu R22eR se distingue du dîner régimen-taire typiquement britannique par sesajustements gastronomiques, qui reflè-tent les coutumes françaises – tels que l’or-dre des repas, le champagne à la fin durepas, le folklore canadien-français et «lasoupe aux pois».

Le commandant du 1er Bataillon et les invités d’honneur. De gauche à droite : adjudant-chef Arcand, adju-dant-chef Laverdière (sergent-major du 1 R22eR), lieutenant-colonel Gagné (commandant du 1 R22eR),brigadier-général Laroche, adjudant-chef (ret) Dessureault, adjudant-chef Marchand et colonel Ménard- Photo : cpl D.R. Fyfe

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Votre organisation est-elle sur notreliste de distri bution? Pouvez-vous

vous procurer facilement une copie de l’Adsum dans votre milieu de

travail? Le nombre de copies livréesest-il suffisant? Sont-elles correcte-

ment adressées? Pouvons-nous fairequelque chose pour améliorer notre

service de distribution?

15 janvier200

9 / Adsum

/ Page 19PRÉVENTIONS DES INCENDIES

Chauffage au gaz? Pelletezpour votre sécuritéPar David CroteauService de prévention des incendies, Garnison Valcartier

Le temps froid est arrivé et la neige quil’accompagne commence à s’installer. C’estdonc une autre saison de pelletage d’en-trée qui s’annonce. En cette saison froideoù le chauffage est un luxe très apprécié,Gaz Métro nous rappelle qu’il est trèsimportant de garder les installations degaz dégagées et accessibles, car l’accumu-lation de neige peut endommager les instal-lations de gaz.

QUELQUES MESURES PRÉVENTIVES DOIVENT ÊTRE ADOPTÉE LORS DU DÉNEIGEMENT.

1 : Identifiez l’emplacement du branche-ment de gaz naturel (y compris le régula-teur et le compteur), des bouches d’entréed’air et d’évacuation.2 : Ne poussez jamais la neige sur unbranchement de gaz naturel et évitez touteaccumulation autour de celui-ci, ou devantles bouches d’aération et d’évacuation.3 : Conservez une distance sécuritaireentre vos équipements (pelle, souffleuseou autre) et le branchement.4 : Protégez temporairement le branche-ment de gaz naturel si vous devez utiliserun équipement mécanique à proximité.Pour ce faire, vous pouvez par exempleplacer un morceau de contreplaqué ou unmatériau rigide autour du branchement.5 : Pour dégager la neige du branchement,utilisez un balai ou une brosse et non unepelle métallique. 6 : Si vous constatez une accumulationde glace sur un branchement, provenant

par exemple de la fonte de la neige de latoiture, avertissez le propriétaire et recom-mandez-lui de contacter Gaz Métro pourle déglacer de façon sécuritaire.

Si un incident se produit et que voussentez une odeur de gaz naturel :1 : Éteignez immédiatement le moteur devotre équipement et toute autre sourcepossible d’ignition. 2 : Éloignez-vous rapidement du lieu del’accrochage ou de la fuite. 3 : Appelez le 911 pour signaler l’accident.

Si une situation vous semble comporterdes risques, ou pour obtenir plus de ren-seignements sur les mesures préventivesreliées au gaz naturel, communiquez avecGazMétro au 514 598-3222 ou au 1 800361-4568. Au besoin, un technicien de GazMétro se rendra sur les lieux pour évaluerla situation et prendre les mesures de sécu-rité nécessaires.

Compteur de gaz.

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09BRAVO ZULU

Caporal-chef Mathieu OtisPromotion1 R22eR

Sergent Tony LévesquePromotion 2 R22eR

Caporal-chef Étienne GuérinPromotion2 R22eR

Caporal-chef OuelletPromotion1 R22eR

Caporal-chef Jessy LapradePromotion2 R22eR

Caporal-chef Serge LévesquePromotion12 RBC

Caporal-chef Rémi TalbotPromotion2 R22eR

Sergent Johnny VeilleuxPromotion

5 Bn S du C

Caporal-chef Michel PaulhusPromotion12 RBC

Caporal-chef Marc HamelinPromotion1 R22eR

Sergent Luc GagnonPromotion2 R22eR

Caporal-chef Jonathan ThériaultPromotion2 R22eR

Caporal-chef Alexandre DapratoPromotion2 R22eR

Caporal-chef Frédéric D’amours-Burlone

Promotion12 RBC

Caporal-chef Dany Laplante-Gendron

Promotion12 RBC

Caporal-chef Isabelle PicardPromotion

5 Bn S du C

Caporal-chef Patrick TessierPromotion1 R22eR

Caporal-chef Christian DugasPromotion12 RBC

Caporal-chef Carl GirardPromotion2 R22eR

Caporal-chef Sébastien PlourdePromotion12 RBC

Caporal-chef Steeve St-PierrePromotion12 RBC

Benoît HarveyCertificat de reconnaissance

5 Amb C

Caporal-chef Pascal TurcottePromotion2 R22eR

Caporal Virginie PicardPromotion55 Amb C

Caporal Patrick PilonDécoration des FC

2 R22eR

Matelot de 2e classe Maryse CôtéPromotion

5 Bn S du C

Caporal-chef Roger LambertPremière agrafe

à la décoration des FCSher H

Caporal-chef Yanick BergerPromotion2 R22eR

Caporal-chef Steve BlanchettePromotion2 R22eR

Caporal-chef Sébastien DubéPromotion2 R22eR

Caporal-chef David LeblancPromotion2 R22eR

Sergent Caroline GendronPromotion

5 Bn S du C

Sergent Steeves JalbertPromotion12 RBC

Adjudant-maître Gérald Cayouette

Promotion2 R22eR

Adjudant Martin HigginsPromotion2 R22eR

Sergent Simon BachmannPromotion12 RBC

Maître de 2e classe Louise Berrigan

Promotion2 R22eR

Lieutenant Pierre PépinPromotion

5 Bn S du C

Lieutenant Riaz IngarPromotion5 Amb C

Lieutenant Guillaume FortinPromotion12 RBC

Bravo Zulu est un terme empruntéà la marine qui signifie «bien fait»ou tout simplement «bravo». Pour soumettre la photo du récipiendaire d’unepromotion, d’une décoration ou d’une distinction,ou encore de quelqu’un prenant sa retraite, veuilleznous demander le formulaire de rédaction pourBravo Zulu par courriel à +adsum@forces.gc.caou composer le 418 844-5000, poste 6656.

15 janvier200

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/ Page 21

Jouer au SUDOKU, c’est simple. Une seule règle : chaque ligne, colonneet carré de 3 x 3 doit contenir tous les chiffres de 1 à 9.

VOTRE SUDOKU

Solution ci-contre.

SOLUTION SUDOKU

COLLECTE DE SANGLe lundi 19 janvier, Héma-Québec con-

vie la population dès 12 h 45 à une collectede sang au centre Anne-Hébert, situé au22 rue Louis-Jolliet, à Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier. Les organisateurscomptent sur vous. L’objectif est de 80 don-neurs.

SACREMENT DE L’EUCHARISTIEL’inscription pour la démarche de pré-

paration à la première des communionsse fera le 28 janvier, à 19 h, à la chapelleSainte-Jeanne d’Arc lors d’une rencontrepour les parents exclusivement. Pour pou-voir vivre ce sacrement, votre enfant doitavoir un minimum de 7 ans. Des frais d’in-scription de 10 $ sont demandés.

CHAPELLE ST-ALBANChaque dimanche à 9 h, il y a culte

liturgique (deux fois en anglais et deuxfois en français, chaque mois). Ensuite, ily a culte évangélique francophone à 10 h45. Il y a un temps de fraternité entre ledeux services. Il y a une étude biblique àmidi les mardis en anglais, et les mer-credis, en français. Il y a un déjeuner men-suel des hommes et des activités pour desfemmes. Info : padré Harold Ristau, 418844-5000, poste 6716.

ST-ALBAN CHAPELEvery Sunday at 9 a.m., there is a litur-

gical worship service (two times in Englishand two times in French every month). At10:45 a.m. a French evangelical servicefollows. A time of coffee fellowship is heldbetween the two. You are invited to anEnglish Bible study at noon, every Tuesdayin English and one in French onWednesdays. We have a monthly men’sbreakfast and activities for the ladies. Info:padré Harold Ristau, 418 844-5000, exten-sion 6716.

19 JANVIER

28 JANVIER

Chaque dimanche

Each sunday

Bloc-note

LE CHŒUR DE MA RIVIÈRE À LA RECHERCHEDE CHORISTES

La chorale Le Chœur de ma Rivièreest présentement à la recherche de cho-ristes. Il s’agit d’un groupe vocal à qua-tre voix dont le répertoire est composé dechants populaires et de chants classiques.Aucune formation musicale n’est exigée.Les répétitions ont lieu le mercredi, à 19 h 30, à l’église de Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier. Infos : Raymond St-Pierre 418 875-4200 ou Line Guay418 875-2659.

HORAIRE DES CUISINES AU CENTRE PLEINAIR CASTOR

Durant la saison hivernale, les cuisinesdu Centre plein air Castor seront ouvertesle jeudi et le vendredi de 7 h à 13 h.Possibilité de réserver la salle à mangerou une salle de réunion pour les groupesde 30 et plus en tout en temps. Infos :418 844-3272, poste 224.

RAQUETTE ET SKI DE FOND GRATUIT POUR LES MILITAIRES

Saviez-vous que le Centre plein air Castoroffre gratuitement l’accès aux sentiers etla location des équipements de ski de fondet de raquettes à tous les militaires avecla présentation de la carte desForces canadiennes? Horaire d’utilisationdes sentiers : ski de fond, du lundi au ven-

Divers dredi de 7 h à 16 h. Raquette, du lundiau vendredi de 7 h à 16 h et le samedi etdimanche de 8 h à 16 h. Infos : 418 844-3272, poste 221.

FORMATION EN RELATION HUMAINELe Centre de formation L’AIDANT pro-

pose différentes formations en relationshumaines données par le psychothérapeuteGilles Gosselin. Les formations disponiblessont : comment écouter et comprendrel’autre, subir ou choisir l’influence de mesémotions, négociation d’un changementde comportement et aidants naturels. Lescours sont donnés au Patro Roc-Amadour,2301, 1ère avenue. Infos : Céline 627-5058.

Prochaine parution du Bloc-Note :28 janvier

Soumettez vos suggestions d’activités au plustard le 19 janvier par la poste (voir notreadresse dans l’encadré en page 6), par

télécopieur au 844-6934 ou par courriel à :+adsum@forces.gc.ca.

UNE IDÉEd’article pour le journal Adsum ?Nous sommes à l’écoute !

Communiquez avec notre journaliste au 418 844-5000, poste 6656, ou envoyez un courriel à +adsum@forces.gc.ca

Les résidants de la rueCannon auront accès à la bibliothèque de ShannonPar Simon BaillargeonJournal Adsum

Après six mois de discussion et de négo-ciation, les résidants de la rue Cannonont finalement eu gain de cause et pour-ront désormais utiliser les services dela bibliothèque de Shannon.

Une entente écrite entre Clive Kiley,maire de Shannon, Brent Montgomery,maire de Saint-Gabriel-de-Valcartier, et lecomité des résidants a été signée en octo-bre dernier pour clore le dossier.

Un pépin de zonage empêchait aupa-ravant ces résidants de pouvoir profiterdes services de la bibliothèque, pourtantsituée à quelques coins de rue de chez eux. Ceux-ci devaient plutôt rouler plusieurs kilomètres pour se rendre à Saint-Gabriel-de-Valcartier et ainsi profiter des services d’une bibliothèque.

«Plusieurs résidants sont venus nousvoir pour savoir s’il y avait quelque choseà faire avec ça, mentionne Mario Paquet,président du Comité des résidants. Sur larue Cannon, il y a quand même 90 maisonset environ 250 personnes qui y vivent».

PERTE DE MEMBRESSi le litige semblait pourtant simple à

régler, des questions d’ordre financier com-pliquaient le dossier. «Les deux munici-palités reçoivent des subventions pouropérer la bibliothèque. Mais si elles per-dent un certain pourcentage de leurs mem-bres, elles n’ont plus eu le même statutet deviennent plus difficiles à opérer»,explique M. Paquet.

Donc, en plus d’avoir accès à la biblio-thèque de Shannon, les habitants de la rueCannon pourront conserver leur droit d’ac-cès à Saint-Gabriel-de-Valcartier.

La décision ravit M. Paquet, qui soutientque cette permission facilitera la vie desrésidants.

La bibliothèque de Shannon est désormais accessi-ble pour les résidants de la rue Cannon. - Photo :Simon Baillargeon, journal Adsum

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Arrêtez de fumer et gagnez gros!

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Votre résolution du nouvel an est de ces-ser de fumer et de demeurer non fumeur?Le «Défi le 1er mars d’arrête» est de retourpour vous motiver et, qui sait, vous faireremporter un des nombreux prix!

Vous êtes non fumeur depuis septem-bre 2008? Le défi s’adresse également àvous.

Vous pouvez vous inscrire entre le 21janvier et le 28 février en remplissant leformulaire ou à l’adresse suivantewww.forces.gc.ca/health-sante/iquit-jar-rete/. Vous y trouverez également les règle-ments du concours.

De plus, l’équipe de la Promotion de lasanté est disponible tous les mardis à 10 heures pour vous aider à arrêter defumer via notre programme «Écrasez-la».Venez nous rencontrer au local 182 duCentre des sports!

Alliez contrôle de poids et plaisir!Contrôlez votre poids en suivant le pro-gramme «Poids-santé» et préparez-vousà changer vos habitudes alimentaires ainsiqu’à vous remettre en forme!Objectifs

• Apprendre sur la nutrition • Apprendre sur les pratiques d’activités physiques bénéfiques

Bénéfices recherchés• Perdre du poids (si nécessaire)• Maintenir un poids santé à long terme • Améliorer votre santé

• Mieux vous sentir dans votre peau.Séance d’information : le mercredi 21 janvier à 11 h au Centre des sports (bât. 516), salle 182.

Apportez votre lunch et assistez au pro-gramme «Poids-santé» qui aura lieu lesmercredis de 11 h à 13 h à partir du 4 février.

Apprivoisez votre stressLe programme «Le stress, ça se combat»vous propose d’apprendre à mieux gérervotre stress.Objectifs

• Permettre une prise de conscience de vos habitudes • Développer des outils pour maîtriseret minimiser le stress dans votre vie.

Bénéfices recherchés• Améliorer votre performance au travail• Augmenter votre niveau d’énergie• Améliorer la qualité de vos relationset bien d’autres avantages.

Séance d’information : le mardi 20 jan-vier de 13 h 30 à 14 h 30 au Centre com-munautaire (bât. 93), local 204.

La Promotion de la santé vous offreun programme de six ren-contres d’une demi-journée.Début le mardi 27 jan-vier, 13 h 30 à 16 h.

Restez calme,restez cool!Avec le programme «Gérerles moments de colère»,découvrez ou inventezd’autres manières de réa-gir aux frustrations quoti-diennes, que ce soit sur laroute, avec votre famille,vos collègues de travail ou même avec les objetsqui ne veulent pas fonc-tionner.

Objectifs• Développer vos habiletés interpersonnelles • Identifier les situations précises qui engendrent de la colère • Acquérir de nouveaux outils pour gérerles différentes formes de frustrations etde conflits rencontrés au cours de votrecarrière.• Mettre en application des stratégiesd’adaptation fructueuses face à ces situations.

Bénéfices recherchés• Explorer votre relation avec la colère • Comprendre et faire face à vosdéclencheurs• Éviter de vous mettre dans tous vosétats.

Séance d’information : le mardi 20 jan-vier à 8 h 30 au Centre communautaire(bât. 93), local 204

Le programme «Gérer les moments decolère» comporte six rencontres d’unedurée de 3,5 heures par semaine. Débutle mardi 27 janvier de 8 h 30 à 12 h.

Pour information ou inscription, téléphonez au844-5000, poste 4677 ou écrivez àPromoSante.Valc@Forces.gc.ca.

Hé Buddy!Ça va?

Pas pire mon chum! Saufque je suis pressé, j’vais àun cours de Promo Santé.

Résolutions du NouvelAn : visons le plaisir etnon le martyre!Avec l’arrivée de la nouvelle année, il peutêtre tentant de prendre la résolution deperdre du poids. Mais pour véritablementse «refaire une santé», il serait préférabled’améliorer ses habitudes de vie de façondurable, plutôt que de suivre un régimeparticulier.

Parfois, les résolutions prises à l’aubed’une nouvelle année s’estompent rapide-ment. À la mi-janvier, l’esprit du temps desFêtes et notre résolution peuvent être unlointain souvenir. Les objectifs que nousnous sommes fixés sont peut-être tropélevés, trop difficiles à poursuivre. Pourles atteindre, il est utile de faire de bonschoix, des choix faciles à réaliser.

Nous savons que notre façon de vivre,l’endroit où nous vivons, notre travail,notre éducation, notre situation finan-cière, l’environnement et d’autres facteursinfluencent notre santé. Si nous prenonsà cœur ne serait-ce que certains d’entreeux afin d’y apporter des changements significatifs, nous pouvons vraiment amé-liorer nos chances d’avoir une annéeheureuse et une meilleure santé.

RÉSOLUTIONS PRATIQUES ET RÉALISABLESL’équipe de la Promotion de la santé vous

propose certaines résolutions pratiqueset réalisables qui vous aideront à fairede 2009 une année davantage axée sur lasanté. Faire de l’activité physique.

Cela ne signifie pas tenter de faire par-tie de l’équipe de ski nationale ou penserà renouveler complètement sa garde-robe!Pour la plupart d’entre nous, cela consistesimplement à en faire un peu plus et penserà des façons d’être physiquement actif.Chaque jour, faites 10 ou 15 minutes deplus d’activité. Faites des étirements ouune petite promenade avec le chien.Stationnez votre auto à quelques pâtés demaisons de votre lieu de travail ou, mieuxencore, rendez-vous au travail à vélo.

Il est aussi primordial de choisir uneactivité que vous aimez : marcher, faire dela bicyclette, observer les oiseaux, jouerdehors avec les enfants, etc. Pour vousmotiver, inscrivez cette activité à votreagenda aussi souvent que possible et faites-en une priorité. Finalement, demandezà quelqu’un de votre entourage de vous

accompagner ou inscrivez-vous à une acti-vité de groupe.Manger mieux, mais pas plus.

Ce n’est pas une résolution facile à garder,comme la plupart d’entre nous le saventpendant les Fêtes. Mais l’obésité est un desproblèmes de santé publique les plus graveset le plus en progression au Canada. Mêmede petits changements peuvent faire unegrande différence. Le simple fait de ne pasconsommer une bouteille de boissongazeuse par jour peut vous faire perdre dedeux à cinq kilos par année. Pensez à depetites choses, et vous obtiendrez de grandsrésultats.

Et gardez en tête que la solution mira-cle n’existe pas. La seule façon de perdredu poids sans hypothéquer sa santé estd’adopter de saines habitudes alimentaires,sans nécessairement couper dans les por-tions d’aliments, mais plutôt en optantpour de meilleurs choix. Il faut aussi modi-

fier certains comportements alimentairesmenant à la culpabilité, faire de l’exerci-ce pour éviter la baisse du métabolisme etapprendre à développer une image de soipositive, différente de celle qui nous estproposée dans les médias, irréaliste et sou-vent impossible à atteindre. Prendre du temps pour soi

Conjuguez travail et temps de repos.Pour rester performant, notre esprit (etnotre corps!) a besoin de se mettre au vertet de récupérer des forces. Les momentsde détente sont donc un autre agent préven-tif du stress. Pendant le surmenage, l’al-ternance de périodes de travail intense etde pauses est encore plus essentielle : loinde nous faire perdre du temps, les pausesconstituent de véritables «sources de jou-vence» pour qui sait en profiter pleine-ment.

Il faut considérer les moments de pausecomme des médications dont il ne fautcertes pas abuser (n’inversez pas les pro-portions travail/repos!), mais qui s’im-posent d’elles-mêmes pour le bon fonc-tionnement de votre organisme.

Si faire une pause consiste à s’arrêter detravailler et ressasser ses problèmes danssa tête, cela ne sert pas à grand chose! Sil’on veut se soustraire un peu aux soucis,il faut donner aux pauses un contenuplaisant. Un mot d’ordre : vous faire plaisir!Bain relaxant, massage, petite promenade,musique préférée (limitez les chansonstristes qui pourraient entamer votre moral)…à chacun son truc! Écrasez sa cigarette pour une dernière fois.

En fumant vous n’êtes pas seulementdevenu «accro», c’est-à-dire dépendantd’un point de vue physique, mais égale-ment aux plans psychologique et com-portemental : vous avez développé des

façons de penser et plein d’habitudes qui vous ont lié de plus en plus à la ciga-rette. Ces liens sont si forts qu’on parle deréflexes de fumeurs. De telles façons depenser, habitudes, réflexes, ne se modi-fient pas juste en avalant une pilule ou enprenant une résolution du nouvel an.

Si vous voulez réussir à vous libérer dela cigarette, il faut que vous vous dépro-grammiez. Pour réussir cela, il faut s’ob-server avec lucidité afin d’identifier lescauses liées à l’usage du tabac (stress,ennui, aspect social) et mettre en pratiquedes stratégies et des trucs pour cesser defumer qui correspondent à votre person-nalité et qui vous permettront de passer àtravers les situations à risques pour vous.

Si vous commencez à vous éloigner devotre résolution, n’attendez pas à l’anprochain pour essayer de nouveau. Mêmesi vous dérogez pendant une semaine ouplus, ça ne veut pas dire que vous échouerezà tout coup. Il n’y a rien de mal à tenterd’adopter un changement sain de com-portement, puis de laisser tomber pendantun certain temps. Ce comportement estnormal. La seule façon dont vous échouerezsera si vous abandonnez pour de bon etça ne vous arrivera pas si vous revenez àvos bonnes habitudes le plus rapidementpossible.

Ces résolutions vous aideront à voustenir loin des hôpitaux et à prolonger votrevie.

L’équipe de Promotion de la santé enprofite pour vous souhaiter une belle année2009 où la santé physique et psychologiquesera au rendez-vous! Références : Association pour la santé publique duQuébec, www.aspq.org. Consulté le 19décembre 2008.

Bonne et Heureuse Annéeà tous nos militaires de la base deValcartier ainsi qu’a leur famille

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15 janvier200

9 / Adsum

/ Page 23CHRONIQUE DE LA 1RE UNITÉ DENTAIRE

Les dangers cachésde votre santé buccodentairePar le capitaine Patrick Miklos Dentiste, Détachement de la 1re Unité dentaire à Valcartier

Une partie de l’examen dentaire de routinea pour but de vérifier l’état de votre boucheafin d’y déceler tout signe de maladies degencive, de cancer de la bouche ou autreproblème buccodentaire qui pourrait êtreun symptôme ou la cause de graves prob-lèmes de santé. Des études ont en effet établiun lien entre la santé buccodentaire etd’autres problèmes liés à l’état de santégénéral, comme le diabète, les cardiopathieset les accidents vasculaires cérébraux.

Votre dentiste est la personne qui con-naît le mieux votre bouche et qui possèdeles compétences nécessaires pour déter-miner et répondre à tous vos besoins enmatière de santé buccodentaire. Entre vosvisites chez le dentiste, vous pouvez sur-veiller votre bouche pour déceler les dan-gers cachés afin d’en faire part à votre den-tiste.

Les maladies de gencive, égalementdésignées maladies parodontales, sont l’undes problèmes de santé buccodentaire lesplus répandus chez les adultes. Ces mala-dies, souvent sans douleur, évoluent lente-ment, et les signes ne deviennent parfoisapparents que lorsque la maladie a atteintun stade avancé où vous risquez de perdrevos dents. Il existe deux principaux typesde maladie de gencive : la gingivite et laparodontite.

LA GINGIVITELe terme gingivite est utilisé pour décrire

une inflammation des gencives, qui peutou non s’accompagner de douleur. Si voussouffrez de gingivite, vos gencives peuventêtre un peu rouges et saigner lorsque vousvous brossez les dents, mais il se peut quevous ne remarquiez aucun signe. La bonnenouvelle, c’est qu’il est possible de prévenirla gingivite ou d’en inverser l’effet si la mala-die est déjà présente.

LA PARODONTITELa parodontite est une des principales

causes de la perte de dents chez les adultes.Il s’agit d’une infection des gencives quitouche les os qui tiennent vos dents enplace. S’il n’y a pas suffisamment de tissugingival et d’os pour retenir les dents enplace, celles-ci peuvent devenir branlanteset tomber. Durant les premiers stades, laparodontite est très difficile à détecter et le problème peut passer inaperçu jusqu’à votre visite chez le dentiste. La parodontite est souvent indolore et elleévolue lentement.

Cependant, tout comme la gingivite, unebonne hygiène buccodentaire et des visitesrégulières chez le dentiste peuvent presquetoujours permettre de prévenir la parodon-tite. Une fois installée, la parodontite peutêtre traitée et son action peut même être

inversée si la maladie est détectée à un stadeprécoce.

LE CANCER DE LA BOUCHELe cancer de la bouche peut se manifester

n’importe où dans la bouche, y compris surles lèvres et dans la gorge. Divers facteurspeuvent augmenter le risque de cancer dela bouche, notamment la consommationde tabac sous toutes ses formes (tabac àfumer, à mâcher et à priser). La consom-mation excessive d’alcool est un autre fac-teur qui peut accroître le risque de can-cer de la bouche. Afin de réduire le risque,il faut cesser la prise de toute forme de tabacet réduire, voire cesser, la consommationd’alcool.

Pour assurer le suc-cès du traitement, ilest essentiel que le can-cer de la bouche soitdépisté durant ses pre-miers stades. Bien quecette forme de cancerpuisse se manifestersur les lèvres ou n’im-porte où ailleurs dansla bouche, les troissièges les plus répan-

dus sont les côtés et le dessous de la langueet le plancher de la bouche.

Outre les maladies de gencive et le can-cer de la bouche, la bouche sèche, la bouchedouloureuse et le syndrome de brûlurede la bouche sont d’autres problèmes quevous devez signaler à votre dentiste.

LES SIGNES À SURVEILLERSignes et symptômes pouvant indiquer la présence de gingivite : • gencives gonflées• traces de sang sur votre brosse à dents• changement de la couleur de vos gencives

Signes et symptômes pouvant indiquer la présence de parodontite : • changement de couleur des gencives • coloration rougeâtre des gencives à la base

des dents• saignement des gencives durant le brossage

des dents ou le passage de la soie dentaire• récession gingivale (retrait des gencives sur

les dents)• mauvais haleine persistante• gencives brillantes, gonflées ou douloureuses• dents sensibles sans raison• dent qui devient branlante• accroissement de l’espacement entre les dents

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09Fête de Noël pourles bénévoles

Les bénévoles du comité d’accueil.

Par Chantal ThompsonOrganisatrice communautaire et responsable desbénévoles, Centre de la famille Valcartier

Le vendredi 5 décembre, le Centre de lafamille Valcartier (CFV) remerciait sesbénévoles pour leur grande implication.En effet, ceux-ci ont donné près de 1500heures de bénévolat entre les mois de sep-tembre et de décembre 2008. Après un bonsouper, les bénévoles ont assisté à un spec-tacle préparé pour eux par le personneldu CFV. Ils ont bien ri et ont été émus.Le Père Noël et une drôle de fée des glacesont remis à chacun et à chacune un beaucadeau. Par la suite, les bénévoles ont pudanser et bien s’amuser. Ce fut une soiréedont ils se souviendront longtemps. Un

grand merci à tous nos commanditairespour les merveilleux cadeaux et auxemployés qui ont fait le succès de cettemerveilleuse soirée!

Pyjama et chocolat chaud

Les enfants sont fascinés par le conte de l’appren-ti-lutin Bredouille.

Par Chantal ThompsonOrganisatrice communautaire et responsable desbénévoles, Centre de la famille Valcartier

Le mercredi 17 décembre, le Centre dela famille Valcartier invitait les familles àvenir prendre un bon chocolat chaud enpyjama. Près de 60 personnes se sontdéplacées. Les enfants se sont d’aborddéguisés en lutin et ont pris un chocolatchaud en famille. Par la suite, Bredouillel’apprenti-lutin a expliqué avec humourcomment devenir un bon lutin du PèreNoël. Les enfants étaient fascinés et ontpu danser avec le lutin. Les parents et lesenfants ont été ravis et se sont grandementamusés. Un grand merci aux bénévolesqui ont fait de cette activité un succès.

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/ Page 25SPORTS

Les Chevaliers Atome A2finalistes au tournoi de Lac-EtcheminAu cours de la fin de semaine du 28 au 30novembre, les Chevaliers A2 (Atome)ont eu la chance de participer au 34e TournoiAtome provincial de Lac-Etchemin. Nousavions confiance d’accomplir une bonneperformance au cours de la fin de semaine,mais les résultats ont surpassé nos attentes.

L’équipe a remporté de très belles vic-toires au compte de 4-2 contre Montmagny-L’Islet (Samuel Simard-Tremblay, étoiledu match), de 6-1 contre Saint-Jérome(Alexandre Bédard-Sauciers, étoile dumatch) et de 4-2 contre l’équipe hôte, Lac-Etchemin (Antoine Arvisais, étoile dumatch).

En demi-finale, une grosse victoire aucompte de 3-2 contre St-Prosper a étéarrachée en prolongation grâce au but denotre étoile du match, Alice Fillion. Cette victoire a prolongé notre fin desemaine jusqu’à la finale du tournoi. En finale, nous avons rencontré une bonne équipe (Sénateurs #1 Bellechasse).Malheureusement, le nombre de matches joué au cours de la fin de semaineont rattrapé les jambes de nos gars et filleset nous nous sommes finalement inclinés

Les Chevaliers A2 se sont rendus jusqu’en finale au 34e Tournoi Atome provincial qui se tenait à Lac-Etchemin à la fin de novembre.

au compte de 4-1 (Maxime Gaudreau, étoiledu match).

Ce fut toute une fin de semaine pour nosjeunes joueurs et leurs parents. Nos joueursont raison d’être très fiers d’eux. Maintenantque nous avons goûté à une finale, nousavons déjà hâte au prochain tournoi pouraller chercher ce qui nous manque.

Félicitations à nos jeunes pour tousles efforts qu’ils ont fournis et merci auxparents de si bien appuyer leur équipe.

LIGUE DE FOOTBALL DE QUÉBEC

Place aux BullsPar Simon BaillargeonJournal Adsum

Les militaires adeptes de football quicraignaient de voir leur équipe dis-paraître peuvent respirer. La fusionentre les Bulldogs de Valcartier et leMinotaure de Québec permettra auxdeux équipes de poursuivre leurs acti-vités en vue de la prochaine saison.

L’équipe de Valcartier qui évolue dansla Ligue de Football de Québec (LFQ)depuis 2006 a vu son avenir menacé la sai-son dernière en raison d’un manque dejoueurs. Contrairement aux autres équipes,les Bulldogs, dont l’équipe est composéede plusieurs militaires, doivent compo-ser avec le rythme opérationnel et la mis-sion en Afghanistan. Résultat, il manquaitde joueurs pour avoir un alignement com-plet. «Avant les missions, on avait assezde gars pour avoir une équipe complète.Mais cette année on a terminé la saisonen avant-dernière position avec seulementseize joueurs», lance le caporal-chef PhilippeGagné, gouverneur de l’équipe.

Ce dernier s’est alors tourné vers leMinotaure, équipe avec laquelle il a com-mencé à jouer. «Je connais bien ChristianBeaulieu (NDLR : aujourd’hui, M. Beaulieuest vice-président de la LFQ) qui était legouverneur de l’équipe. On s’est assis ensem-ble et on a parlé de fusion, souligne-t-il.Je crois qu’il était bien content de voir desmilitaires se joindre à l’équipe.

NOUVELLES RÈGLESLa fusion tombe à

point pour les défuntsBulldogs, puisque denouveaux règlementsqui entreront envigueur dès cetteannée auraient pucompliquer leschoses. La LFQ appli-quera désormais les

règlements du niveau collégial AAA, ce quisignifie l’ajout de plusieurs aspects du jeu.«Il va y avoir des dégagements, des bottésd’envoi, les joueurs pourront bloquer sousla ceinture, etc. Cela signifie plus de blessureset un alignement de joueurs plus complet»,explique le cplc Gagné.

La combinaison des équipes de Valcartieret de Québec permettra donc d’éviter dejouer avec des effectifs réduits, une situ-ation qui ravit le cplc Gagné «Je suis biencontent, car le Minotaure compte beau-coup de gros joueurs et ça comblera lemanque qu’il y avait avec les Bulldogs. Desgars de 350 livres, il n’y en a pas beaucoupdans l’armée. J’aurai plus de gars présentslors du début du camp d’entraînement»,mentionne-t-il.

De plus, deux autres équipes joindrontles rangs de la LFQ pour la prochaine sai-son : Thetford Mines et la Beauce. En ten-ant compte de la fusion des deux clubs, cesont huit équipes qui entreprendront lasaison au début de l’été.

Le camp d’entraînement des Bullsdébutera le 14 février au Pavillon des Bovins,sur les terrains d’ExpoCité. La saison,quant à elle, prendra son envol vers lafin du mois de mai ou au début de juin.

Le nouveau logo desBulldogs de Québec.

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