L’enquête a débutée sur l’attentat de Tunis qui visait la Présidente Tunisienne Hiba Essifi. En effet, après des menaces répétées sur sa personne, le RIS, Royal Intelligence Service avait été mobilisé pour assurer sa sécurité par le Premier Ministre Harry Spencor. Le RIS connaîtrait donc avec cet attentat son premier échec, lui qui a été à l’origine des plus grandes déstabilisations chez les ennemis du Royaume-Uni ou encore celui-là même qui avait exfiltré le Chancelier Palestinien Fahed Arafat en 1996. Mais dans une question qui lui été adressée par un député nationaliste à la House cette après-midi, le Premier Ministre a réaffirmé les liens qu’unissaient les peuples Britanniques et Tunisiens tout en précisant que « les soupçons d’aujourd’hui ne freineraient pas l’amitié de demain ». Il a ainsi annoncé que 20 agents supplémentaires seraient mobilisés pour assurer la sécurité du Palais Présidentiel de Tunis et que des militaires Britanniques seront déployés en Tunisie pour assurer la stabilité du pays.

Les agents du RIS avec leur branche locale partagée avec les services Ouzbeks à Brazaville ont découvert des documents laissés par le groupe « Broko Ramah » après la capture d’un de leurs chefs locaux, Sadah Rahina.

Voici la lettre (la lettre est tâchée de sang à cause de l’exécution d’un terroriste)

Une lettre donc qui confirme tous les soupçons. Ceux-ci se dirigent donc sans équivoque sur le groupe Broko Ramah dirigé par la Zambie.Le Royaume – Uni a diligenté une enquête en Zambie, en Tunisie ainsi qu’au Pakistan.