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Open source dans le secteur Public selon Talend
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Gestion de Données Open Source
dans le Secteur Public
White Paper
White Paper Talend Gestion de Données Open Source dans le Secteur Public
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Sommaire
Open source et secteur public ............................................. 3
L’enracinement de l’open source ......................................... 3
Les administrations européennes :
premiers soutiens historiques de l’open source ....................... 4
Au-delà de la réduction des coûts ........................................ 5
Ouverture et améliorations ........................................... 5
Respect des standards, interopérabilité ............................ 6
Facilité de déploiement et d’utilisation ............................ 6
Support : la force d’une communauté .............................. 6
Des services professionnels complémentaires ..................... 7
Fonctionnalités, performances :
la fiabilité des solutions d’entreprise ............................... 7
L’open source pour quoi faire ? ........................................... 8
Quelques exemples concrets ............................................... 8
Des offres arrivées à maturité ............................................ 11
Conclusion ..................................................................... 12
White Paper Talend Gestion de Données Open Source dans le Secteur Public
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Open source et secteur public
Au-delà des économies de coûts
Historiquement, les administrations ont été les premiers soutiens
de l’open source, notamment en Europe. Le caractère économique
de ces offres a constitué l’un des principaux facteurs d’adoption,
mais à mesure qu’elles ont mûri, elles ont offert d’autres bénéfices
qui leur ont permis de se positionner comme des alternatives
sérieuses aux technologies propriétaires. Retour sur cette
évolution.
L’enracinement de l’open source
Le 24 octobre 2009, la Maison Blanche a migré sa plate-forme web
vers un environnement open source, avec pour objectif affiché d'en
réduire les coûts d’exploitation et de maintenance, tout en
renforçant la sécurité. Cette annonce, spectaculaire puisqu’il s’agit
de la Présidence des Etats-Unis qui s’appuie sur l’un des systèmes
d’information les plus sécurisés et les plus confidentiels au monde,
confirme ainsi la banalisation du modèle open source. Elle fut suivie
quelques semaines plus tard, par un mémo non moins spectaculaire
du DoD intitulé « Clarifying Guidance Regarding Open Source
Software (OSS) » qui mettait « l’open source au même niveau que les
logiciels commerciaux » et conseillait vivement à l’ensemble de ses
agences « d’évaluer les logiciels open source sur les mêmes bases
que les logiciels propriétaires ». 24 ans après la création de la Free
Software Foundation par Richard Stallman, et alors que le modèle
open source commercial a pris son essor depuis plusieurs années
déjà, ces deux annonces ont confirmé la légitimité des offres open
source qui se positionnent aujourd’hui comme une sérieuse
alternative aux technologies propriétaires.
Après l’annonce de différentes mesures visant à mettre en place des
politiques d’achat favorisant le recours à l’open source dans les
administrations (Norvège, Pays-Bas, Allemagne, Belgique, Etats-Unis)
ou encore après l’adoption par le gouvernement Sud-Africain du
format Open Document Format, c’est aujourd’hui le Royaume-Uni
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qui se lance dans une véritable politique de transformation des
systèmes d’information publics. Ce programme vise à générer des
économies annuelles de 3,2 milliards de livres sterling sur les dix
prochaines années, via l’accroissement de l’utilisation de services en
ligne, la rationalisation des relations entre les citoyens et
l’administration, et la réduction de la fracture numérique.
Quelques années plus tôt, en 2005, le Bureau du Premier Ministre à
Londres avait lancé l’Open Source Academy, un site web répertoriant
l’ensemble des bonnes pratiques open source qui visait déjà à
encourager l’utilisation des logiciels open source par les autorités
locales, via un partage de connaissances et des conseils pratiques.
Parmi les principaux contributeurs figuraient notamment les
municipalités de Birmingham et de Bristol, le Cheshire County
Council et Shepway District Council. A l’avant-garde de ce nouvel
univers technologique, le London Borough of Camden développe des
logiciels open source depuis 2001 et le Powys County Council en
utilise comme l’Université d’Aberystwyth, depuis le milieu des
années 90.
Les administrations européennes :
premiers soutiens historiques de l’open source
Historiquement, les administrations ont été les premiers soutiens de
l’open source, particulièrement en Europe. Leur engagement en tant
qu’early adopters a aidé les éditeurs à améliorer leurs offres et
surtout à gagner en crédibilité, en prouvant que les solutions open
source pouvaient s’intégrer sans difficulté dans un environnement
professionnel, parfois très complexe, tout en offrant un rapport
qualité/prix imbattable.
Ainsi, 400 000 postes de travail ont déjà été migré vers Open Office
dans les administrations françaises. D’autres acteurs du secteur
public ont également initié leur mutation vers des technologies libres
aux Etats-Unis (Ville de Largo en Floride, University of Nebraska,
Colorado Department of Human Services, Ville de Chicago…), en
France (Gendarmerie Nationale, Ministère des Finances, Assemblée
Nationale) comme dans le monde (Villes de Munich et d’Amsterdam,
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Police Nationale Suédoise, bibliothèques de Roumanie, écoles en
Macédoine ou en Russie, Venezuela…). Si, selon l’étude MERIT de
l'Université de Maastricht, c'est principalement l'Europe qui contribue
et innove en matière d'open source (70% des développeurs open
source sont basés en Europe), c’est aux USA que le taux d’adoption
est le plus élevé dans les entreprises et administrations.
Cependant, selon une enquête de Markess International réalisée en
2009, les administrations et organismes publics ont consacré en
France près de 13% de leur budget informatique total aux
technologies open source en 2008, contre 10% en 2007 et 7% en 2006.
La tendance est sensiblement la même au Royaume-Uni et en
Allemagne, où les efforts de maîtrise budgétaire favorisent la mise
en œuvre de ce type de solutions, tout comme l’aide à l’innovation
et les mesures citées plus haut. L’Union Européenne n’est pas en
reste, avec la publication en 2008 de recommandations très claires
en faveur de l’open source.
Au-delà de la réduction des coûts
De 50 à 80% plus économiques (en incluant les coûts d’acquisition, de
déploiement et de support) que les solutions propriétaires
équivalentes, les logiciels open source ne cessent d’évoluer pour
répondre aux besoins du marché. Même si la réduction des coûts
informatiques est l’un des principaux facteurs d’adoption de l’open
source, d’autres arguments pèsent également dans la balance. A quoi
servirait une technologie économique, si elle n’offrait pas
parallèlement des garanties en termes de fiabilité, de service,
d’interopérabilité ou de performances ?
Ouverture et améliorations
L’accès libre au code des logiciels open source permet aux
administrations de personnaliser leurs applications en fonction de
leurs spécificités, plutôt que de devoir s’adapter à des processus
prédéfinis, comme c’est trop souvent le cas avec des solutions
propriétaires. Cette personnalisation peut donner lieu à un
enrichissement du logiciel et peut ainsi être « reversée » à
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l’ensemble de la communauté d’utilisateurs. Compte tenu de la très
grande diversité des systèmes d’informations, une partie importante
de ces ajouts porte sur les connecteurs permettant l’interopérabilité
des applications au sein du système d’information. La disponibilité
d’un plus grand nombre d’extensions augmente en retour
l’attractivité du produit.
Respect des standards, interopérabilité
L’une des principales barrières à l’e-administration réside dans
l’interopérabilité des applications. Les solutions propriétaires, qui
dans le passé étaient rarement basées sur des standards, n’ont
simplement pas été créées dans une optique de dialogue, d’échange
et de collaboration. En conséquence, les entreprises ont dû
consacrer énormément de temps et d’argent pour réussir à les faire
fonctionner ensemble.
Le respect des standards, principe adopté par tous les éditeurs open
source, aide à résoudre ce problème d’interopérabilité : l’objectif
des éditeurs n’est pas de créer un public captif, via des spécificités
propriétaires, mais de répondre de manière optimale à un besoin et
donc d’ouvrir leurs solutions afin de faciliter leur intégration dans les
systèmes d’information.
Facilité de déploiement et d’utilisation
Considérés à l’origine comme des outils de développeurs pour
développeurs, les outils open source sont désormais conviviaux et
faciles à prendre en main. Basés généralement sur un environnement
graphique intuitif, leur apprentissage n’implique pas de suivre une
formation approfondie. Cette rapidité de prise en main favorise non
seulement l’adoption des utilisateurs, mais réduit également les
coûts de possession. Parallèlement, en offrant leurs solutions via des
téléchargements directs, les éditeurs open source réduisent les
délais d’achat et de déploiement.
Support : la force d’une communauté
Qui dit open source, dit communauté. Les utilisateurs de logiciels
open source tirent parti de la force du réseau communautaire de
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l’éditeur, tant en matière de support que d’évolution des produits.
Un site web offre généralement de nombreuses ressources qui
facilitent la mise en œuvre et la maintenance des solutions : forums,
wiki, tutorials, blog, bugtracker, etc. De plus, comme nous l’avons
vu plus haut, la société encourage les contributions de ses
utilisateurs, qui développent des connecteurs ou des fonctionnalités,
ou modifient le code source, pour reverser leurs contributions à la
communauté.
Des services professionnels complémentaires
Les éditeurs open source ont longtemps véhiculé l’image de petites
entreprises certes très innovantes, mais n’offrant pas
l’accompagnement professionnel que toute entreprise, quel que soit
son secteur, est en droit d’exiger. Pourtant, de nombreux business
models open source sont axés sur la fourniture de services
professionnels (conseil, mise en œuvre, formation) pour
contrebalancer l’absence de droits (payants) d’utilisation. Délivrés
soit par des experts internes, soit par des partenaires certifiés, ces
services sont conçus pour faciliter la montée en puissance des
équipes projet et accroître leur productivité. Ils comportent, à
l’instar des services de support des plus grands éditeurs, des
engagements sur les niveaux de service (SLA), des temps de réponse
garantis, etc.
Fonctionnalités, performances :
la fiabilité des solutions d’entreprise
Les solutions open source sont désormais reconnues comme de
véritables outils d’entreprise, offrant un niveau de fonctionnalités
équivalent, voire supérieur, à celui des offres propriétaires.
L’éditeur s’appuie généralement sur ses propres équipes de R&D et
ses solutions sont également enrichies via des contributions de sa
communauté. Il tient compte en permanence de l’avis et des besoins
de sa communauté et de ses clients pour les faire évoluer.
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L’open source pour quoi faire ?
Une organisation sur deux dans le monde utilise un serveur Web
Apache ou s’appuie sur la désormais célèbre plate-forme LAMP
(Linux, Apache, MySQL, Perl/PHP). Et de nombreuses entreprises du
secteur public utilisent déjà des logiciels open source dans leur
infrastructure : sécurité (pare-feu, IPS-IDS, sniffer, proxy, antivirus,
antispam etc.), systèmes d’exploitation (postes de travail, réseau,
stations de calcul…), bases de données et navigateurs web.
Mais, les logiciels open source n’investissent pas uniquement les
couches basses des systèmes d’information des institutions
publiques. Ils sont également déployés dans les couches hautes
(applications métiers). On citera par exemple Openbravo ou
Compiere (ERP), Alfresco (ECM), SugarCRM (relation client),
Jaspersoft (décisionnel).
En résumé, cinq segments open source sont particulièrement prisés
dans le monde professionnel : les applications d'entreprise
(bureautique, gestion, CRM, gestion de contenu, Business
Intelligence…) ; les outils de développement (applications,
collaboration, gestion de projets) ; les serveurs web et applicatifs
(middleware, Enterprise Server Bus, intégration, portails) ; les bases
de données et les systèmes d'exploitation.
Quelques exemples concrets
De nombreuses administrations dans le monde s’appuient sur les
solutions de Talend pour industrialiser leurs projets d’intégration de
données. Voici quelques exemples (pour plus d'informations, visiter
la section Références du site Web de Talend).
• L'IRSN trace les risques liés à la radioactivité grâce à la
consolidation de données géospatiales :
Le Service d'Etude et de Surveillance de la Radioactivité dans
l'Environnement (SESURE) de l'IRSN a pour mission l'alerte, la
surveillance et l'observation de la radioactivité dans l'environnement
ainsi que la production de bilans radiologiques (en France
métropolitaine et en Polynésie).
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L'IRSN met actuellement à la disposition du public quatre sites web
publiant des mesures de radioactivité et tirant non seulement parti
des bases de données de mesures de l'IRSN, mais également
d'informations issues de différents laboratoires et organismes. L’IRSN
s’est appuyé sur les solutions de Talend et de Camptocamp pour
amalgamer toutes ces données dans un portail unique, en fédérant
ces quatre sites web via une approche cartographique.
« Au-delà des aspects économiques du projet, le principal bénéfice
tangible réside dans la valorisation de nos données : leur
hétérogénéité représentait jusqu'alors un frein à leur diffusion. En
standardisant le schéma de données et en adoptant une sémantique
commune, nous offrons un mode de restitution ergonomique
permettant aux utilisateurs de gagner du temps, tout en bénéficiant
de la souplesse des technologies web, notamment pour la mise à
jour » précise Jean-Noël Mangin, Chef du Groupe Informatique et
Scientifique de l'IRSN.
• La ville de Brantford gère son infrastructure municipale avec
Talend Open Studio :
Située dans la région pittoresque de la « Grand River », la ville de
Brantford est une cité dynamique qui jouit d’une situation
géographique stratégique, au sud de l’Ontario, non loin de Toronto,
Hamilton, London, des chutes du Niagara, et de Buffalo.
Historiquement, les processus d’intégration de données utilisés par la
ville de Brantford étaient développés en Java et exécutés par le
scheduler Windows. Cependant, la maintenance de ces processus
était complexe et coûteuse.
« Nous avons choisi Talend Open Studio pour plusieurs raisons, » dit
Muzammil Rajpurkar, Administrateur des Bases de Données. « Le
grand nombre de connecteurs fournis par la solution nous a permis
de nous connecter à toutes les sources et cibles. C’est également
une solution vraiment solide qui assure la fiabilité des processus de
synchronisation et garantit la cohérence de nos systèmes en
permanence, sans perte de données. Enfin, le modèle open source a
limité l’investissement de départ, un facteur important pour une
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organisation fiscalement responsable, financée par l’argent des
contribuables. »
• UNHCR améliore ses prises de décision grâce à l’intégration et la
cartographie :
Le Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR) a été
créé le 14 décembre 1950 par l’Assemblée Générale des Nations
Unies. Il a pour mandat de coordonner l’action internationale pour la
protection des réfugiés (mais aussi des apatrides, des demandeurs
d’asile et des déplacés internes) tant au niveau légal (droit de non
refoulement, droit essentiels...) qu’au niveau physique (bien-être
des personnes).
Une initiative pilote d’intégration de données récemment mise en
œuvre par le bureau du HCR en Mauritanie, a permis au pool
d’expertise régionale de se familiariser avec la solution d’intégration
de données open source Talend Open Studio. La solution permet
aujourd’hui d’agréger un important volume de données provenant de
feuilles Excel, correspondant chacune à un site particulier et appelé
à être remis à jour régulièrement. La génération de tableaux de bord
que l’on peut relier par suite à un module cartographique pour
faciliter la visualisation, est grandement facilité par Talend. Face à
la réussite de ce premier projet d’autres ont été mis en
œuvre : automatisation de l’agrégation de feuilles Excel pour
produire des tableaux de bord et Web SIG pour consolider les
représentations géo-spatiales des camps de réfugiés.
« L’Open Source lève les freins à l’initiative et à l’innovation.
Malgré un budget initial réduit, nous avons pu rapidement faire la
preuve de nos concepts et une initiative locale a pu ainsi rapidement
être déclinée au niveau mondial » commente Edouard Legoupil,
Expert SIG du HCR. « Une grande quantité de donnée est recueille
lors des opérations humanitaires. Hélas, du fait des différents
formats utilisés et d’un système d’intégration de données encore
relativement artisanal, nos possibilités d’exploitation ont souvent
été limitées. Aujourd’hui, avec Talend, ces perspectives peuvent
être revues entièrement. Cet outil est vraiment idéal pour aller plus
loin dans l’exploitation de nos données. »
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Des offres arrivées à maturité
La présence affirmée des logiciels open source dans les entreprises
et administrations illustre l’arrivée à maturité des offres : il y a
encore quelques années, les acteurs du monde libre offraient leurs
solutions à des utilisateurs convaincus. Aujourd’hui les entreprises
utilisatrices choisissent des solutions open source éprouvées qui leur
apportent un véritable avantage concurrentiel – de nombreux retours
d’expérience mettent en relief d’importants avantages, qui se
révèlent décisifs au moment du choix final.
Les principales faiblesses traditionnellement associées aux solutions
open source ont tendance à se dissiper : l’intégration dans des
environnements critiques, la rareté relative des compétences
spécialisées et la pérennité de l’éditeur représentaient dans le passé
des facteurs de risque. Mais les évolutions des solutions et le support
technique bénéficient aujourd’hui de structures bien établies,
articulées autour de l’éditeur et de ses partenaires, mais également
de sociétés de service spécialisées dont la croissance illustre
parfaitement la réussite.
En outre, l’intérêt des investisseurs (capitaux-risqueurs, business
angels) a confirmé un peu plus l’arrivée à maturité des solutions
open source d’entreprise et la validité de leur modèle de
développement : en 2009, les fonds de capital risque ont investit plus
de 375 millions de dollars dans 50 entreprises open source. Le
premier trimestre 2010 marque, après une légère baisse en 2009, le
redémarrage des investissements des capitaux-risqueurs, en
confirmant la hausse enregistrée au dernier trimestre 2009 (+6%) par
une hausse de 37,9% par rapport au trimestre précédent, pour un
total de 89,1 M$ pour une quinzaine de financements officialisés
(source : The 451 Group). Le problème de la pérennité fait désormais
partie du passé, comme les autres faiblesses présumées.
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Conclusion
En 2005, BusinessWeek annonçait « l’émergence d’un véritable
écosystème dont l’ambition est de créer les éditeurs logiciels
capables de rivaliser demain avec les Microsoft, Oracle, IBM et
SAP ». Aujourd’hui, en 2010, on ne parle plus d’émergence mais
d’ancrage dans les systèmes d’information : 87% des administrations
utilisent au moins un logiciel open source.
L’écosystème open source accompagne chaque jour des
administrations des cinq continents dans la rationalisation de leurs
systèmes d’information et l’amélioration de leur communication avec
les citoyens. Et on ne compte plus les retours d’expérience qui
mettent en relief les principaux bénéfices offerts par les
technologies open source décrits plus haut.
Pour plus d’informations sur les solutions open source de Talend : http://www.talend.com Contacter Talend dans votre région : http://www.talend.com/contact
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