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Lors de sa séance du 27 février 2015, le Conseil d’administration de l’ADEUPa a validé le rapport d’activité 2014 et le programme de travail 2015. L’année 2014 a été, pour l’agence comme pour les collectivités qui en sont membres, une année de renouvellement des instances et d’élargissement par l’adhésion de Foncier de Bretagne. La poursuite de la réforme territoriale a généré de nombreuses réflexions auxquelles l’agence a contribué : création des métropoles, généralisation des PLU intercommunaux, nouvelles formes de partenariats territoriaux. Elle s’est fortement mobilisée pour la réussite du projet Brest Tech +. Elle a répondu à la demande, formulée à l’été 2014, d’une analyse des dynamiques territoriales en Finistère. Elle a publié avec l’INSEE une analyse remarquée sur l’attractivité et la compétitivité finistériennes. http://www.adeupa-brest.fr/nos-publications/rapport-dactivites-2014-adeupa-orientations-2015
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RAPPORT DACTIVITS 2014ORIENTATIONS 2015
APPROUV PAR LE CONSEIL DADMINISTRATION DU 25 FVRIER 2015
Imprim avec encres vgtales sur papier
certifi FSC garantissant la production du bois
dans le respect des procdures de la gestion
responsable des forts.
3ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
AVANT PROPOS
Lanne 2014 a t, pour lagence comme pour les collectivits qui en sont membres, une anne de changement. Les lections de mars ont contribu un important renouvellement des instances, assemble gnrale et conseil dadministration. Le tour de table des partenaires de lagence sest de plus largi avec larrive de Foncier de Bretagne, qui a adhr aux cinq agences durbanisme et de dveloppement bretonnes.
2014 a t galement une anne dvolutions lgislatives et rglementaires importantes. Ladoption de la loi ALUR (pour l'Accs au Logement et un Urbanisme Rnov) en mars 2014 conforte le rle des agences, rle inscrit dans le code de lurbanisme, et les positionne fortement pour llaboration des Plans Locaux dUrbanisme Intercommunaux (PLUI), qui seront un des enjeux des communauts de communes et dagglomration, dans les annes venir. La poursuite de la rforme territoriale a gnr de nombreuses rflexions, toutes les chelles, au cours de lanne quant au rle des diffrents chelons de collectivits et leur organisation.A ces mouvements, lAgence a contribu activement. Elle sest fortement mobilise pour la russite du projet Brest Tech +. Elle rpondu la demande, formule lt 2014, dune analyse des dynamiques territoriales en Finistre. Elle a publi avec lINSEE une analyse remarque sur lattractivit et la comptitivit finistriennes. Elle est intervenue lors du dbat public sur la ligne ferroviaire nouvelle Ouest Bretagne Pays de Loire. Elle anime, au sein des communauts qui la sollicitent, des runions dlus sur lventualit dun PLUI et sest engage dans la ralisation de nouvelles tudes foncires et laccompagnement des lus llaboration de projets de territoire. Le rapport dactivits 2014 traduit bien linvestissement de lADEUPa sur les diffrents champs qui lui sont confis. 2015 verra lagence poursuivre et amplifier ses travaux, dans de nouveaux locaux, avec une direction nouvelle et toujours avec lobjectif daccompagner les collectivits du Pays de Brest et de la Bretagne occidentale dans leurs projets communs.
Franois Cuillandre, Prsident de lADEUPa
4ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
01 LAGENCE Les membres de lAgence p.8 Le rle et les missions de lADEUPa p.9 Le budget p.9 Lquipe p.10 Le rseau des agences durbanisme p.11
02 DYNAMIQUES TERRITORIALES, PROSPECTIVES ET MTROPOLISATION
Le Ple mtropolitain Loire-Bretagne p.14 La coopration des agences de Bretagne p.15 Llaboration dun observatoire foncier rgional p.16 Lassociation de Foncier de Bretagne aux agences p.17 Dmarche prospective Finistre p.18 Le dossier de candidature Brest tech + p.19 Limpact conomique de la base de dfense p.20 Perspectives financires pour le Conseil gnral p.21 Lexcellence brestoise en sciences marines p.22 Le partenariat avec le Ple mer p.23 Latlas des dynamiques territoriales en Finistre p.24
03 PLANIFICATION ET AMNAGEMENT DURABLES
Le SCoT du Pays de Brest p.28 Pays de Brest et urbanisme commercial p.30 Le schma des dplacements du Pays de Brest p.31 Le suivi des PLH du Pays de Brest p.32 Diagnostic sant du Pays de Brest p.33 Le PLH 2015-2020 de la Communaut du Pays de Landerneau-Daoulas p.34 Un projet de territoire pour la Communaut des Abers p.35 Loffre en foncier conomique dans le Pays de Brest p.36
04 TUDES URBAINES ET ENVIRONNEMENTALES
La rade de Brest p.40 Une stratgie foncire en Pays de Lesneven Cte des Lgendes p.42 tude prospective sur la Penfeld p.43 Le renouvellement urbain de Brest mtropole p.44 Le commerce de proximit de Recouvrance p.45
SOMMAIRE
5ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
05 OBSERVATION PARTAGE Lobservatoire de lconomie p.48 Lobservatoire du tourisme p.49 Lobservatoire de lemploi et de la formation p.50 tudesur lemploi public p.51 Lobservatoire de limmobilier dentreprise p.52 Lobservatoire du cinma p.53 Lobservatoire socio-conomique du tramway p.54 Lobservation des dplacements p.55 Lobservatoire des collges p.56 Lobservatoire de lhabitat en Finistre p.57 Lobservatoire de lhabitat de Morlaix Communaut p.58 Lobservatoire de lhabitat du Pays de Brest p.59 Lenqute sur les loyers privs p.60 Lobservatoire des co-proprits p.61 Lobservation foncire en Finistre p.62 Lobservation foncire en Pays de Brest p.63 Lobservatoire social : les revenus des habitants p.64 Analyse des besoins sociaux Brest p.65 Observation du vieillissement : tableau de bord 2014 p.66 Observation du vieillissement : la mobilit des seniors p.67 Lobservatoire de lenseignement suprieur et de la recherche p.68
06 CONTRIBUER AU DBAT Les 40 ans de lagence p.72 Conseil de dveloppement de la mtropole et du Pays de Brest p.73 Les rendez-vous du SCoT, dition 2014 p.74 La participation de lADEUPa aux travaux de la FNAU p.75 Participation aux travaux et interventions p.76 Ressources statistiques et gographiques p.78 Le site web et la photothque p.79 Les ressources documentaires et la veille lADEUPa p.80
ORIENTATIONS 2015
Mtropolisation, prospective et dynamiques territoriales p.84 Planification et amnagement durables p.86 tudes urbaines et environnementales p.88 Observation partage p.89 Contribuer au dbat p.90
LAGENCE
Crdit photo: Thierry Joyeux - Brest mtropole
01
LES MEMBRES DE LAGENCE 8
LE RLE ET LES MISSIONS DE LADEUPa 9
LE BUDGET 9
LQUIPE 10
LE RSEAU DES AGENCES DURBANISME 11
8ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
LES MEMBRES DE LAGENCE
Fonde en 1974 par ltat et la Communaut urbaine de Brest, lADEUPa a progressivement largi son espace dintervention et son partenariat. Lagence est prside par Franois Cuillandre, Prsident de Brest mtropole et du Pays de Brest. Elle runit une vingtaine de membres. En 2014, Foncier de Bretagne a adhr lagence.
LES MEMBRES Brest mtropole
Ltat, reprsent par la Prfecture du Finistre et la DDTM (Direction Dpartementale des Territoires et de la Mer) du Finistre
Ltat, reprsent par la Prfecture Maritime
Le Ple mtropolitain du Pays de Brest
La Communaut de Communes du Pays dIroise
La Communaut de Communes du Pays de Lesneven Cte des Lgendes
La Communaut de Communes du Pays de Landerneau-Daoulas
La Communaut de Communes du Pays des Abers
La Communaut de Communes de la Presqule de Crozon
La Communaut de Communes de lAulne Maritime
Morlaix Communaut
Le Conseil gnral du Finistre
Le Conseil rgional de Bretagne
Foncier de Bretagne
La Maison de lEmploi et de la Formation professionnelle du Pays de Brest
La Chambre dAgriculture du Finistre
La Chambre de Commerce et dIndustrie de Brest
La Chambre de Mtiers et de lArtisanat du Finistre
LUniversit de Bretagne occidentale
Brest mtropole Habitat
LE CONSEIL DADMINISTRATION EN 2014 Franois CUILLANDRE,
Prsident de Brest mtropole
REPRSENTANT LTAT :
Jean-Luc VIDELAINE, Prfet du Finistre
Bernard GUERIN, Sous-prfet de Brest,
Bernard VIU, Directeur dpartemental des Territoires et de la Mer
Emmanuel DE OLIVEIRA, Vice-Amiral descadre, Prfet maritime
REPRSENTANT BREST MTROPOLE :
Thierry FAYRET, Vice-prsident,
Bernadette ABIVEN, Vice-prsidente,
Yohann NEDELEC, Vice-prsident,
Stphane ROUDAUT, Vice-prsident,
Tifenn QUIGUER, Vice-prsidente,
Raymond-Jean LAURET, Conseiller communautaire
Rmi HERVE, Conseiller communautaire
REPRSENTANT LE CONSEIL GNRAL :
Pierre MAILLE, Prsident du Conseil gnral du Finistre,
REPRSENTANT LE CONSEIL RGIONAL :
Thierry BURLOT, Vice-prsident,
REPRSENTANT LES COMMUNAUTS DE COMMUNES DU PAYS DE BREST :
Andr TALARMIN, Prsident de la Communaut de Communes du Pays dIroise,
Christian CALVEZ, Prsident de la Communaut de Communes du Pays des Abers,
Patrick LECLERC, Prsident de la Communaut de Communes du Pays de Landerneau-Daoulas,
Bernard TANGUY, Prsident de la Communaut de Communes de Lesneven et Cte des Lgendes,
Daniel MOYSAN, Prsident de la Communaut de Communes de la Presqule de Crozon,
Michel PLUCINSKI, Prsident de la Communaut de Communes de lAulne Maritime,
REPRSENTANT MORLAIX COMMUNAUT :
Yvon LE COUSSE, Vice-prsident,
Marc MADEC, Conseiller dlgu Prospective, SCoT, valuation
AUTRES REPRSENTANTS :
Frank BELLION, Prsident de la Chambre de Commerce et dIndustrie de Brest,
Andr SERGENT, Prsident de la Chambre dAgriculture du Finistre,
Pascal OLIVARD, Prsident de lUniversit de Bretagne occidentale.
INVITE :
Vronique PY, Directrice dpartementale des Finances publiques
9ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
LE RLE ET LES MISSIONS DE LADEUPa
LE BUDGET
LADEUPa, Agence dUrbanisme du Pays de Brest, est avant tout un outil daide la dcision des lus. Ses missions sont inscrites
dans ses statuts et rgulirement revisites par ses membres. En 2014, lagence a rinterrog ceux-ci sur leurs objectifs et
leurs priorits pour les trois annes venir. Le Programme partenarial cadre 2015-2017 traduit ces nouvelles ambitions.
Le programme dactivit, adopt annuellement, prcise les dossiers et objectifs spcifiques de lanne
LES MISSIONS Observation et analyse
Anticipation et veille
Assistance llaboration de la planification stratgique et des projets de territoire
Assistance matrise douvrage
Contribution la conception des projets urbains majeurs
Diffusion de la connaissance et animation du dbat local
LES AXES DE TRAVAILLe programme partenarial cadre dfinit 5 axes de travail pour lAgence
Dynamiques territoriales, prospec-tive et mtropolisation
Planification et amnagement du-rables
tudes urbaines et environnemen-tales
Observation partage
Contribution au dbat
En 2014, LADEUPa a t cofinance par :
Brest mtropole
Ltat
Le Conseil gnral du Finistre
Les Communauts de Communes du Pays de Brest : CC du Pays de Landerneau-Daoulas, CC du Pays dIroise, CC du Pays des Abers, CC du Pays de Lesneven Cte des Lgendes, CC de la Presqule de Crozon, CC de lAulne maritime
Le Ple mtropolitain du Pays de Brest
Morlaix Communaut
Le Conseil rgional de Bretagne
Son budget sest lev environ 2 700 000 .
63 %
8 %
8 %
6 %
5 %
4 %3 %
3 %Brest mtropole
Autres
Contrats
Morlaix
tat
Ple mtropolitain Pays de Brest
Communauts de Communes
Conseil gnral
10
ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
LQUIPE Lquipe de lADEUPa comptait, le 31 dcembre 2014, 23 salaris permanents et 6 salaris en contrat dure dtermine.
LES DPARTSJean-Baptiste Baudin a bnfici dun contrat dure dtermine jusquau 11 avril 2014 en qualit dassistant dtudes pour la mise en uvre du SCoT et pour lobservation de lhabitat. Il a rejoint lagence durbanisme de Toulouse sur des fonctions de mme nature.
Nolwenn Boulala, architecte stagiaire en 2012, a renforc lquipe tudes urbaines de lAgence depuis le 8 juillet 2013, notamment sur les tudes foncires. Elle a quitt lAgence le 31 dcembre 2014 pour intgrer lquipe du CAUE du Finistre.
LES ARRIVESNadge Lourdeau a t recrute en contrat dure indtermine le 1er septembre 2014 pour exercer les fonctions dassistante dtudes du Ple Habitat et Socit.
Mathieu Boucher bnficie dun contrat dure dtermine depuis le 15 janvier 2014 en tant quassistant
technique auprs de lquipe ressources.
Kevin Charles sest engag depuis le 2 janvier 2013 dans la ralisation dune thse cofinance par lADEUPa, le TBI et Brest mtropole. Il bnficie ce titre dun contrat dassistant de recherche de 3 ans dont lagence assure le portage. Son lieu de travail est le laboratoire UMR_ M101 AMURE Amnagement des usages des ressources et des espaces marins et littoraux lUniversit Bretagne occidentale.
Guillaume Cherel est employ en qualit dassistant dtudes, en contrat dure dtermine, depuis le 1er septembre en soutien au ple Habitat et Socit pour la ralisation dun diagnostic sant du Pays de Brest.
Tristan Le Baron a rejoint lAgence en contrat dure dtermine depuis le 1er septembre 2014 en qualit dassistant dtudes sur les thmatiques de la planification et du foncier.
Benjamin Bouchard a t recrut le 17 novembre comme assistant dtudes, dure dtermine, en soutien ponctuel au ple conomie et Prospective notamment pour lactualisation de lAtlas des fonctions mtropolitaines.
LES STAGIAIRESJulie Bohic, du 4 novembre 2013 au 28 mars 2014 (L3 Sociologie).
Paul-Marie Merer, Jocelyn Pron et Mingh Hang Le du.
6 janvier au 7 fvrier (Master 1 AMEO Management et ingnierie du dveloppement des territoires en Europe).
Emelyne Schrepfer, du 3 fvrier au 4 juillet 2014 (Master 2 Dmogra-phie).
Caroline Martenot, du 3 fvrier au 31 juillet 2014 (Master 2 Amnage-ment Gographie).
Lucie Manat, du 24 avril au 26 septembre 2014 (Master 2 Systme dInformation Gographie Amnagement du Territoire).
11
ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
LE RSEAU DES AGENCES DURBANISME
LADEUPa est membre de la Fdration nationale des Agences dUrbanisme (FNAU) qui rassemble plus de 50
agences. La FNAU est la fois un rseau dlus, prsidents et administrateurs des agences durbanisme, et un rseau de
professionnels, fdrant les 1 600 salaris qui en constituent les quipes techniques. Elle reprsente pour ses membres un
lieu privilgi dchanges. Le fonctionnement de la Fdration repose sur la mobilisation des agences et leur contribution aux travaux communs. LADEUPa sinvestit et y participe activement.
CHANGES ET CULTURE PROFESSIONNELLEAvec lorganisation de clubs thmatiques et de groupes de travail, la Fnau propose de vritables outils de formation aux salaris des agences. En 2014, plusieurs salaris de lADEUPa, professionnels confirms, ont contribu lanimation des clubs Habitat, Urbanisme commercial, Planification et Documentation.
LE RLE NATIONAL DE LA FNAULa FNAU reprsente les intrts professionnels des agences durba-nisme auprs des services centrali-ss de ltat et des grandes fdra-tions dlus.
La FNAU publie des notes, des contributions ou des rapports dana-lyse, seule ou en partenariat. Elle a lanc en 2014 une nouvelle collec-tion POINTS FNAU, rassemblant des ouvrages sur lurbanisme, penss par les agences durbanisme pour inventer, entre pistes de rflexion et exemples concrets, la ville de demain. Sur les trois premiers nu-mros parus en librairie Le projet urbain : lexprience singulire des agences durbanisme prsente deux projets ports par lADEUPa.: le plan stratgique de territoire de la Com-munaut de Communes du Pays de Landerneau-Daoulas et le quartier durable du Rody Brest-Guipavas.
La FNAU dite galement Traits dagences, un trimestriel qui se fait lcho de lactualit des agences. Dans la publication de lhiver, consacre lhabitat, lADEUPa prsente son observatoire des coproprits et dans celui du printemps 2014 consacr au PLUI, elle signe un article intitul Le PLUI Facteur 4, une dmarche transversale.
LES RENCONTRESChaque anne la FNAU organise des rencontres nationales. En 2014, elles se sont tenues Paris et sintitulaient A la recherche du bien commun territorial
LADEUPa y a prpar et anim, en collaboration avec lagence de Saint-tienne, un atelier sur le thme: les pratiques collaboratives peuvent-elles changer les politiques publiques ?
LES INSTANCES DE LA FNAULa FNAU est prside par Jean Rottner Prsident de lagence de Mulhouse. Les deux reprsentants de lADEUPa, dsigns par le conseil dadministration en juillet 2014, sont Thierry Fayret et Tyfenn Quiguer.
Dossier n 32 - Les enjeux de lamnagement en outre-mer Dossier n 31 - Les agences durbanisme au cur du renouvellement urbain Dossier n 30 La crise, lindustrie et les territoires Collection Points FNAU Les mtamorphoses de lautoroute urbaine Collection Points FNAU Pour des espaces ordinaires de qualit Collection Points FNAU Le projet urbain: lexprience singulire des agences durbanisme
PUBLICATIONS
DYNAMIQUES TERRITORIALES, PROSPECTIVES
ET MTROPOLISATION
Crdit photo: Guillaume Team - Brest mtropole
02
LE PLE MTROPOLITAIN LOIRE-BRETAGNE 14
LA COOPRATION DES AGENCES DE BRETAGNE 15
LLABORATION DUN OBSERVATOIRE FONCIER RGIONAL 16
LASSOCIATION DE FONCIER DE BRETAGNE AUX AGENCES 17
DMARCHE PROSPECTIVE FINISTRE 18
LE DOSSIER DE CANDIDATURE BREST TECH + 19
LIMPACT CONOMIQUE DE LA BASE DE DFENSE 20
PERSPECTIVES FINANCIRES POUR LE CONSEIL GNRAL 21
LEXCELLENCE BRESTOISE EN SCIENCES MARINES 22
LE PARTENARIAT AVEC LE PLE MER 23
LATLAS DES DYNAMIQUES TERRITORIALES EN FINISTRE 24
14
ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
CONTACT
Franois RIVOAL
LE PLE MTROPOLITAIN
LOIRE-BRETAGNE
N des cooprations multilatrales entre les agglomrations dAngers, Brest, Nantes, Rennes et Saint-Nazaire, le Ple mtropolitain Loire-Bretagne (PMLB) affirme leur ambition de travailler conjointement au rayonnement du Grand Ouest. Les agences durbanisme des cinq agglomrations publient ensemble la collection Dynamiques mtropolitaines pour valoriser le Ple mtropolitain Loire-Bretagne en matire de comptitivit, de recherche et dinfrastructures.
LE DBAT PUBLIC POUR LA MONDIALISATION DES VOIES FERRES (LNOBPL)Dans le cadre du dbat public pour le projet de ligne ferroviaire nouvelle (ligne Nord-Ouest Bretagne Pays de Loire : LNOBPL), le PMLB a sollicit les agences pour laborer un dossier vers au dbat public.
lcart du centre de gravit de lEurope, le Grand Ouest doit optimiser son accessibilit et ses connexions en particulier aux liaisons ferroviaires rapides nationales et europennes.
Le Projet LNOBPL sinscrit dans un processus continu damlioration du rseau ferroviaire de louest, en lien avec le Plan ferroviaire breton, le grand plan de modernisation des rseaux, la LGV Bretagne Pays de Loire, ou encore la rnovation des gares. Ces nouvelles liaisons consti-tuent donc une tape pour dsen-claver lOuest et promouvoir son
accessibilit nationale et internatio-nale. Gain de temps de parcours, libration de sillons, augmentation des capacits sur les secteurs tra-fic dense, sont autant datouts pour y parvenir.
LACCESSIBILIT MARCHANDISES, LEVIER DE LA COMPTITIVITSi les agglomrations polarisent une partie de la population et des activits, lanalyse des flux montre que les dynamiques luvre sexercent au bnfice des territoires rgionaux bretons et ligriens dans leur ensemble.
Ltude montre bien le rle prdominant jou par Nantes et Rennes, capitales rgionales, dans le systme dchange au sein du PMLB, de mme quelle permet de mesurer le rayonnement important de la mtropole brestoise louest de la pninsule armoricaine.
Cahier dacteurs: Angers, Brest, Nantes, Rennes, Saint-Nazaire soutiennent
le scnario bleu du projet LNOBPL Dynamiques mtropolitaines
du Ple mtropolitain Loire Bretagne N 6: Laccessibilit marchandises, un
levier pour la comptitivit du territoire
PUBLICATIONS
RACCORDER LE GRAND OUEST AU RSEAU STRUCTURANT DES LIAISONS RAPIDE NATIONALES ET EUROPENNES
15
ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
LA COOPRATION DES AGENCES DE BRETAGNE
Les agences de dveloppement et durbanisme de Bretagne travaillent ensemble depuis 2010 dans le cadre
dune convention passe avec le Conseil rgional de Bretagne. En 2014, les agences se sont associes lINSEE
pour la ralisation de deux numros dOctant. Elles ont par ailleurs conduit une tude prospective adaptant
lchelle Bretagne les scnarios proposs par la DATAR.
LES CHANGES ENTRE PRIVILGIS DES 56 AIRES URBAINES BRETONNESLINSEE et les agences bretonnes ont analys les relations entre les aires urbaines de Bretagne. Les flux de proximit tels les navettes domicile-travail ou transferts dtablissements dessinent une Bretagne quatre systmes dchanges privilgis qui se confondent quasiment avec les limites dpartementales. Ces flux se caractrisent la fois par leur forte intensit et leur caractre polycentrique.
Les flux de plus longue distance rvlent dautres primtres dchanges privilgis: dchelle in-terdpartementale pour les migra-
tions rsidentielles et de dimension rgionale ou transrgionale pour les flux conomiques. Ils se carac-trisent par un fonctionnement plus mono centrique en raison de la raret de certains quipements ou fonctions.
LES CHANGES DES 10 PRINCIPALES AIRES URBAINES BRETONNES AVEC LEXTRIEURPlus intenses en Bretagne quen moyenne sur le plan national, les relations entre aires urbaines seffectuent de faon privilgie au sein de la rgion mais aussi avec les aires urbaines des Pays de la Loire.
Les changes dmographiques et conomiques avec laire urbaine parisienne sont galement nombreux mais ne constituent pas une spcificit rgionale compte tenu du poids de la capitale.
Larmature urbaine bretonne fonctionne donc en lien troit avec les Pays de la Loire et la rgion parisienne. Un quart voire un tiers des changes seffectue avec les autres grandes aires urbaines franaises prises dans leur ensemble, mais sans connexion forte avec lune dentre elles.
BRETAGNE 2032Lobjectif de cette tude est de tirer parti dune relecture des scnarios livrs par la DATAR dans le cadre de la dmarche Territoire 2040, afin dalimenter la rflexion prospective bretonne.
Huit enjeux ont t identifis lchelle rgionale. Ceux-ci ont permis 3 scnarios : lquilibre, la fracture et le repli.
Octant n 62: Les 10 principales aires urbaines bretonnes: des changes privilgis avec les Pays de la Loire et importants avec Paris. - Avril 2014 Octant n 63: La gographie des changes privilgis des 56 aires urbaines bretonnes: une architecture dpartementale pour les flux de proximit, rgionale ou transrgionale pour les flux conomiques - Avril 2014 ADEUPa, Audlor, AUDIAR, CAD22 Octobre 2014: Territoires bretons en perspective et en prospective territoire 2040
PUBLICATIONS
CONTACT
Franois RIVOAL
FLUX DOMICILE TRAVAIL 2009 - FONCTIONS TRANSVERSALESCHANGES ENTRE LES AIRES URBAINES (FLUX
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ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
CONTACT
Sylvian ROUAULT
LLABORATION DUN
OBSERVATOIRE FONCIER
RGIONAL
La charte foncire rgionale signe dbut 2013 par les collectivits engages dans la gestion conome du foncier associe les agences durbanisme et de dveloppement comme acteurs de sa mise en uvre. Pour rpondre aux enjeux du projet daction stratgique de ltat en Bretagne (PASE), les services de ltat ont mis en place des indicateurs quils souhaiteraient enrichir et prenniser au niveau rgional. LADEUPa contribue activement aux diffrents groupes techniques lancs en 2014 (usages des sols, consommation foncire, marchs fonciers et foncier conomique).
USAGE DU FONCIERLe groupe technique Usage foncier sattache qualifier les diffrents usages et occupations du sol partir de donnes communes et de mthodes concertes permettant la ralisation des travaux danalyse diffrentes chelles.
Lobjectif premier est dadopter une nomenclature commune caractrisant loccupation du sol et son usage. Dans ce groupe, lADEUPa a prsent son projet de Mode dOccupation du Sol (MOS) lchelle du Pays de Brest, projet lanc fin 2014 et dont la ralisation est prvue au 1er semestre 2015.
CONSOMMATION DESPACECe groupe de travail doit tablir une mthodologie commune rpondant aux principes de la loi Grenelle 2 qui prcise lobligation dune analyse de la consommation despaces naturels, agricoles et forestiers au cours des dix annes prcdant lapprobation du schma . Un bilan des mthodes dveloppes et des sources utilises par les collectivits pour raliser cette analyse a t produit. LADEUPa contribue aux ateliers en apportant ses retours dexpriences sur diffrentes mthodes utilises par lagence (fichiers fonciers, images satellites, permis de construire).
FONCIER CONOMIQUELobjectif principal de ce groupe est la cration dune couche homogne des zones dactivit en Bretagne. Une mise en cohrence des donnes existantes des observatoires locaux a t produite en 2014 afin de lancer une collecte de ces donnes dans les territoires non couverts par un dispositif dobservation.
La fiabilisation et lexhaustivit des donnes devraient permettre terme de produire des analyses sur la base de cette information. Un largissement du champ de lobservation vocation conomique au diffus en dehors du primtre des Zones dActivit conomiques est envisag par thmatiques ou secteurs conomiques. LADEUPa en rseau avec les autres agences et les CCI participe activement ce groupe.
MARCHS FONCIERSLa comprhension des dynamiques des marchs fonciers ncessite une expertise partir de sources de donnes multiples, complexes et parfois incompatibles entre elles. Lun des objectifs du groupe Marchs fonciers est den amliorer et partager la connaissance afin de sapproprier les mcanismes agissant sur la formation des prix.
Lobjectif terme serait de mettre en place une observation foncire rgionale des marchs fonciers sappuyant sur des mthodes concertes, ainsi que sur les expertises locales tablies. LADEUPa contribue aux travaux de ce groupe anim par la DRAAF et lAUDIAR.
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ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
LASSOCIATION DE FONCIER DE BRETAGNE AUX AGENCES
Ltablissement public Foncier de Bretagne a souhait sassocier aux Agences dUrbanisme et de dveloppement
de Bretagne. Il ambitionne de raliser le cadrage des enjeux et des problmatiques foncires territoriales
pour chaque intercommunalit. Son objectif est de rengocier des conventions cadre 2016-2020, associes au programme
pluriannuel qui sera valid en 2015. Ce projet en trois phases a pour objectif dalimenter la concertation avec les acteurs
locaux et didentifier les orientations quils souhaitent donner aux nouvelles conventions cadre.
DES OBJECTIFS COMMUNSPlusieurs objectifs sont communs ltablissement public Foncier de Bretagne et aux agences durbanisme et de dveloppement bretonnes :
lamlioration de la connaissance partage des ralits foncires de la rgion Bretagne: consommation, prix, modalits dutilisation,
la gestion conome du foncier visant prserver certaines activits, dont lactivit agricole, ainsi que lenvironnement,
La gnralisation dune stratgie foncire porte par les collectivits et permettant la ralisation des projets damnagement et de dveloppement dans le respect des objectifs du dveloppement durable.
Cest pourquoi Foncier de Bretagne a propos aux agences un travail daccompagnement en trois phases.
PHASE 1: TAT DES LIEUX ET MTHODOLOGIELes agences ont dbut leur mission fin 2014 par ltude et lanalyse critique des conventions cadre existantes des EPCI. Lobjectif principal tait une connaissance du contenu, des spcificits et des finalits des conventions cadre en cours afin de proposer un nouveau modle.
Chaque agence a rencontr deux intercommunalits et men des entretiens portant la fois sur leur collaboration avec lEPF et sur les volutions souhaites de la convention pour ladapter leurs enjeux. Une synthse de ces entretiens a dores et dj permis de proposer Foncier de Bretagne une nouvelle architecture simplifie de conventions cadre.
PHASE 2: DIAGNOSTICS ET ENJEUX TERRITORIAUXLa refonte de plus 80 conventions cadres existantes va contraindre identifier des priorits. Les intercommunalits ont t ainsi distingues en quatre groupes selon le degr durgence de la rvision. Au premier trimestre 2015, les agences bretonnes rencontreront les deux premiers groupes soit 48 EPCI dont 7 pour lADEUPa en charge du Nord Finistre.
Lobjectif de cette phase sera de raliser un diagnostic puis de dfinir les enjeux territoriaux. Partant la fois dune srie dindicateurs et de lanalyse des documents de planification et de programmation, les agences formaliseront un diagnostic partag du territoire en faisant merger des enjeux. La validation du plan pluriannuel dinvestissement de lEPF interviendra pendant cette laboration.
PHASE 3: INTGRATION DES ORIENTATIONS DU PPICette dernire phase prvue au second trimestre 2015 devrait aboutir des engagements communs et partags des signataires des futures conventions-cadres. Les agences assureront alors un rle de mdiation entre les EPCI et Foncier de Bretagne afin de faciliter lchange et la ngociation autour des stratgies foncires des territoires.
Les agences durbanisme de Bretagne au service de la gestion conome du foncier (12 pages)
PUBLICATIONS
CONTACT
Sylvain ROUAULT
flux intra EPCI > 50
flux hors EPCI > 50
EPCI 2014
Taux d'actifs travaillant dans l'EPCI de rsidence
14% - 40%
41% - 55%
56% - 71%
72% - 93%
sources : INSEE, mobilit professionnelle, RP2011_MOBPRO_txtADEUPa id : 106_7_SR_20141017_Flux_pro_2011 Do
cum
ent d
e tr
avai
l
FLUX DOMICILE TRAVAIL 2011
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DMARCHE PROSPECTIVE
FINISTRE
La dmarche prospective initie par le Conseil gnral, associe la confrence des chambres conomiques ainsi que les agglomrations de Brest, Concarneau, Morlaix et Quimper. LADEUPa en assure lanimation depuis 2009. En 2013 et 2014, le thme de lexcellence dans la sant en Finistre a t retenu.
PLUS DE 17 500 EMPLOIS DANS LE SECTEUR DE LA SANT EN FINISTREAnalyser la sant non sous langle du service aux habitants et de lamnagement du territoire mais sous celui de lexcellence est novateur. Ce choix traduit la volont des partenaires de partager ensemble les enjeux du positionnement finistrien lchelle nationale dans des domaines diffrents et parfois mconnus.
En raison de la possibilit offerte certains professionnels de sant dexercer dans plusieurs structures, il est difficile destimer leur nombre dans le Finistre.
Environ 15 000 personnes travaillent dans les hpitaux et prs de 2 000 sont employes par les cliniques finistriennes. Les effectifs des pharmacies franchissent galement la barre des 1 000 emplois. Au total, lAgence rgionale de Sant estime environ 17 600, le nombre de praticiens auquel il convient dajouter les personnels administratifs et techniques.
LEXCELLENCE PAR LINNOVATIONEntre 2008 et 2012, 43 brevets ont t dposs par des acteurs finistriens dans le domaine de la sant.
Plusieurs entreprises innovantes ont t identifies par Innovation et Dveloppement de la Sant en Bretagne, telles que IMASCAP, HEMARINA, MEDECOM, YS-LAB, FH Industrie, Polaris, Polymaris Biotechnolgy, CERVVAL, Manros Therapeutics,
La labellisation constitue galement un critre dexcellence. Il peut sagir des ples de comptitivit, des investissements davenir, des projets soutenus par la SATT
LEXCELLENCE PAR LVALUATIONLagence dvaluation de la recherche et de lenseignement suprieur analyse la performance des laboratoires et des formations. En Finistre quatre laboratoires sont classs A ou A+ dans le domaine de la sant.
LEXCELLENCE PAR LA COOPRATIONDans le Finistre, le processus de coopration interhospitalire se situe parfois au-del de ce que le lgislateur avait pu imaginer. Las-sociation dtablissements publics et privs ou dtablissements situs hors du territoire de sant en sont de bons exemples.
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Franois RIVOAL
DFENSE21 200
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TRANSPORT5 300
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FINANCES/ASSURANCES5 100
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IMAGES2 600
SANT12 400
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MER5 000
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FILIRE NUMRIQUE4 000
Dossier Brest Tech: Brest candidate au label Mtropole French Tech Brest Tech lconomie numrique ADEUPa octobre 2014
PUBLICATIONS
Le gouvernement franais a lanc linitiative French Tech en novembre 2013 et cr un label Mtropole French Tech ,
qui sera dcern aux agglomrations particulirement attractives. Ce label a pour ambition de favoriser la croissance
et le rayonnement des startups numriques, de leur faciliter laccs des fonds ddis et de les inclure
dans une dynamique collective vise internationale. Brest mtropole candidate ce projet a associ lADEUPa, lui
confiant notamment le travail dinventaire des acteurs de la filire numrique.
BREST MTROPOLE ENVIRON 9 000 EMPLOIS DANS LE NUMRIQUELes entreprises du numrique (dfini par lObservatoire national du numrique) reprsentent environ 4 000 emplois. Depuis les annes 1960 et limplantation de Tlcom Bretagne, dAlcatel, Cabasse la filire numrique sest dveloppe la pointe bretonne grce lmergence de luniversit et des grandes coles Cette monte en puissance a t possible grce des applications innovantes dans les domaines dexcellence de lconomie locale : la Dfense, la mer, la sant, les finances, limage et le transport. En intgrant lensemble des emplois numriques de ces secteurs dactivit, le nombre demploi total du numrique dpasse le seuil des 9 000.
Ce sont plus de 500 entreprises qui sont directement concernes par ces emplois.
UNE DYNAMIQUE DE CRATION DE START-UPLe nombre dentreprises lies directement au numrique tait de 61 en 2011, de 71 en 2012 et de 88 en 2013. Les premiers lments dont nous disposons pour 2014 laissent augurer de chiffres quasi quivalents. Ces chiffres en hausse traduisent une relle dynamique dans le domaine du numrique Brest.
DES ENTREPRENEURS EMBLMATIQUES ENGAGSDans le dossier de candidature Brest Tech , une liste dentrepre-neurs parmi les plus engags dans la dynamique entrepreneuriale a t constitue. Parmi eux figurent Ma-thias HERBERTS, fondateur de Citizen Data et un des spcialistes franais des Big Data, Jean CHAOUI, crateur de la socit Imascap et laurat du prix TR35 du Massachussets Institut of Technologies.
LE DOSSIER DE CANDIDATURE BREST TECH +
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LIMPACT CONOMIQUE
DE LA BASE DE DFENSE
Premier employeur de la zone demploi de Brest, le Ministre de la dfense est un acteur majeur du territoire, pour autant son poids conomique na jamais t mesur une chelle locale. Ce travail sinscrit dans le partenariat dj engag avec le Ministre de la Dfense dans le cadre de ltude sur lemploi public du Pays de Brest.
LES OBJECTIFS DE LTUDE ET SA GOUVERNANCE la demande de la Marine, le primtre retenu est celui de la base de dfense Brest-Lorient. Plusieurs types dimpacts ont t identifis. Limpact direct correspond aux personnels qui dpendent du Ministre de la Dfense. Les entreprises titulaires des marchs de dpenses et dinvestissements sont indirectement lies aux activits de la base de dfense. Enfin, les dpenses du personnel et les entreprises travaillant pour le secteur de la Dfense forment limpact induit.
Le suivi technique de ltude est
ralis par les Commandants des zones maritimes Atlantique (CECLANT) et lADEUPa. Le comit de pilotage runit ces deux entits ainsi que le commandant de la Base de Dfense et Brest mtropole.
TAPES ET PREMIERS RSULTATSPour collecter les dpenses du Ministre, une dizaine dacteurs ont t identifis. Des rencontres ont eu lieu pour expliciter la dmarche et amliorer la vision qualitative du fonctionnement de la base de Dfense: la Direction du service de soutien de la flotte, la Plate-forme Achats Finances Ouest, lAtelier
industriel de laronautique, lta-blissement du service dinfrastruc-ture de la dfense
La deuxime tape en cours, consiste remettre jour la donne sur les effectifs et la masse salariale. Il est galement envisag de se comparer dautres bases de dfense grce la collaboration de lobservatoire conomique de la dfense.
ce jour, en moyenne annuelle, 523,4 millions deuros de dpenses ont t recenss dont 67 % sont localiss dans la base de dfense Brest-Lorient. Lempreinte conomique locale est forte, dautant plus quil sagit dune valuation hors frais de personnel.
LA BASE DE DFENSE LORIENT / BREST
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PERSPECTIVES FINANCIRES POUR LE CONSEIL GNRAL
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Une part des recettes du Conseil gnral provient de la taxe dpartementale de publicit foncire
sur les droits de mutation. Cette taxe est un impt peru par les dpartements sur le prix des biens cds
et se caractrise par de fortes fluctuations. Cet ala constitue un facteur dincertitude budgtaire pour le Conseil gnral
du Finistre qui a sollicit lADEUPa pour raliser une estimation des recettes venir. Cette collaboration a valu au Conseil gnral un prix de linnovation financire en 2013.
UNE MODLISATION VOLUTIVEEn collaboration avec Ressources Consultants, un modle de prvision des recettes lies aux droits de mutation du Conseil gnral du Finistre a t labor. Ce modle est exclusivement construit sur la base de variables nationales (Produit Intrieur Brut (PIB), ventes de logements des investisseurs, crdits lhabitat et indicateur rsum de confiance des mnages).
Paralllement, lADEUPa a dvelopp une analyse des principales caractristiques des mutations dans le dpartement. Les principaux
rsultats sont notamment une segmentation en quatre marchs : appartements, maisons, foncier et conomique.
LADEUPa a ensuite ralis quatre modles rpondant aux segments de march pralablement identifis. Lagration de ces quatre modles permet destimer les recettes des DMTO venir.
UNE COLLABORATION AVEC LES PYRNES ATLANTIQUESLe Conseil gnral du Finistre a prsent la mthode de prvision
lors du congrs de lAssociation Finances-Gestion-valuation des Collectivits territoriales (AFIGESE). Le dpartement des Pyrnes Atlantique a, son tour, sollicit son agence durbanisme pour raliser un mme modle. Cest tout naturellement un change dinformations et de modles qui sest dvelopp entre les deux agences durbanisme. Ce transfert de comptences a conduit consolider les mthodes respectives.
Source : DGFIP Droits de mutation, traitement ADEUPaFond de carte : GEOFLA - IGN -Paris - 2012Rf. : 106_20130124_JB_Mutations20082011
Mutations en
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10000000010000000
RPARTITION DES MUTATIONS PAR EPCI (2008-2011)
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LEXCELLENCE BRESTOISE
EN SCIENCES MARINES
Une premire tude ralise en 2011 avait pour objectif de situer la recherche brestoise en sciences marines lchelle internationale. Cette premire approche a mis en vidence la difficult de lexercice. La thse Brest et les sciences marines sinscrit dans cette volont dobjectiver autant que possible la position brestoise lchelle internationale mais aussi de mieux comprendre les retombes de ce secteur dexcellence sur lconomie locale.
QUELLE EXCELLENCE LCHELLE MONDIALE ?Pour mesurer lexcellence de Brest en matire de sciences marines, plusieurs indicateurs ont t tests. Il est possible den distinguer deux types : les indicateurs de moyens (bateaux, nombre de chercheurs) et les indicateurs de rsultats. Une investigation pousse sur le premier type dindicateurs en montre les limites : comment savoir si les bateaux russes sont actifs ? Sils se livrent vraiment des activits de recherche ? Un chercheur chinois est-il un chercheur productif ou un technicien de laboratoire ? Obstacles du langage, des normes mais aussi souci de ne pas se dvoiler, rendent complexe cette valuation des moyens.
Le choix de favoriser le rsultat conduit privilgier les lments caractre acadmique, au premier rang desquels figurent les publications. La bibliomtrie, discipline part entire, permet la fois de mesurer lexcellence de la production scientifique et de procder des comparaisons. Cette approche na t possible que grce la collaboration active de la Bibliothque La Prouse
manation de lUniversit de Bretagne occidentale (UBO), de lInstitut franais de Recherche pour lExploitation de la MER (Ifremer) et de lInstitut de Recherche pour le Dveloppement (IRD).
LES IMPACTS CONOMIQUES DE LACTIVIT DE RECHERCHE MARINE DANS LA ZONE DEMPLOI DE BRESTDans un premier temps, une approche conomique a t retenue pour identifier les effets de la prsence dun nombre important dacteurs des sciences marines dans la zone demploi brestoise. Ce primtre permet de construire un tableau Entres Sorties et destimer un effet multiplicateur induit cette chelle.
Ces travaux seront complts en 2015 par une enqute auprs des entreprises de lconomie bleue. Limpact de la recherche sur loffre et les effets sur dventuels transferts de comptence seront les principales pistes explorer.
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LE PARTENARIAT AVEC LE PLE MER
Le Ple Mer Bretagne a t labellis en 2005 dans la catgorie ple vocation mondiale. En 2013, 184 projets collaboratifs
innovants avaient t ports pour un montant dinvestissement total de 625 M. Signe de sa monte en puissance, le Ple
change de nom et devient Ple Mer Bretagne Atlantique en 2014. Cette mme anne, lADEUPa, membre du Ple
depuis 2007, a cartographi lensemble des liens unissant les diffrents partenaires.
AUGMENTATIONDepuis sa cration en 2005, le Ple na cess de dvelopper le nombre des projets labelliss et de daccrotre son aire dinfluence. La part brestoise reste nanmoins prpondrante et ne se dment pas au cours des annes. Les autres porteurs de projets se situent majoritairement Paris, Nantes, Lorient et Rennes.
Sur un plan budgtaire, le position-nement brestois apparat encore plus fortement. Fin 2013, les trois autres agglomrations accueillant des partenaires financiers significa-tifs sont Lorient, Nantes et Paris.
DES COOPRATIONS LCHELLE NATIONALERapidement les partenariats du ple mer ont dpass les frontires de la rgion. Ds 2007, le lien avec la rgion parisienne mais aussi Provence - Alpes- Ctes dAzur et le Nord tmoignent dun rayonnement de niveau national. Progressivement les partenariats concernent de nombreuses rgions franaises et mme celles qui nont pas de faade maritime. Les relations avec ltranger sont galement assez nombreuses. Une carte des adhrents devrait complter lanalyse.
Lensemble de ces cartes a t prsent aux techniciens du Ple en juillet 2014. Elles devraient faire lobjet dune prsentation lors dune prochaine assemble gnrale.
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Franois RIVOAL
PROJETS LABLISS DE 2005 2013 PAR PORTEUR
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LVOLUTION INSTITUTIONNELLELe deuxime volet de la rforme territoriale, ce jour en discussion, prconise un changement dchelle des intercommunalits, pour at-teindre au moins 20 000 habitants. Quatorze dentre elles seraient concernes en Finistre si ce seuil est confirm.
QUELLE MAILLE TERRITORIALE ?Au-del de la question du respect dun seuil minimum, ne concernant que les plus petites des intercommunalits, linterrogation pose par le Conseil gnral porte sur la pertinence des dcoupages intercommunaux actuels au regard de lorganisation urbaine, du mode de vie des habitants et des objectifs de dveloppement local.
Au cur de lanalyse du fonctionnement territorial se trouve la question de lidentification des polarits et de leur hirarchie. Il sagit dune question minemment sensible car elle vise dterminer des ples attracteurs (agglomrations) et des espaces polariss autour de ces ples. Or la notion dattraction ou de rayonnement va diffrer la fois selon le choix de la variable retenue et selon lchelle gographique danalyse. partir des diffrentes mthodes et rfrences statistiques, onze polarits de taille diffrente sont identifies.
LATLAS DES DYNAMIQUES
TERRITORIALES EN FINISTRE
Le Conseil gnral du Finistre a exprim le souhait, au vu du contexte dvolution institutionnelle forte, de disposer dlments dapprciation permettant de mieux comprendre les logiques de lorganisation territoriale dans le dpartement. Cette sollicitation, prsente en conseil dadministration de lADEUPa en juillet 2014, a recueilli lassentiment des membres prsents.
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COTES-D'ARMOR
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Sources : Insee, RP 2007, 2012Limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2015BD CARTO - IGN - 2013 - Licence N 2013-DINO-1-77-0033Rf.: 106_7_JB_20150116_vo_population20072012
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VOLUTION DE LA POPULATION ENTRE 2007- 2012
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Benjamin GREBOT
LAtlas des Dynamiques Territoriales en Finsitre dcembre 2014
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MORBIHAN
COTES-D'ARMOR
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Source : Acadmie de RennesGoBretagne / BD CARTO - IGN - 2013 - Licence N 2013-DINO-1-77-0033Rf.: 106_7_JB_20141118_Lyces
Eectif des flux de lycens(Filire gnral et profesionnelle)
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Positionnement des lyces
LINTERCOMMUNALIT, POURQUOI FAIRE ?Mais lorganisation intercommunale est aussi question de choix. quoi voue-t-on la maille intercommunale ? Est-elle ddie la gestion des fonctions de proximit aux habitants ? O prend-elle en compte des espaces de vie plus larges, privilgiant alors la notion dintrt conomique partag intgrant les distances de plus en plus grandes entre travail et domicile?
Le Finistre a longtemps fait figure de prcurseur, la Communaut urbaine de Brest, trs intgre sest structure ds 1974 et le dpartement compte trois communauts dagglomration autour des trois autres communes les plus peuples: Quimper, Morlaix et Concarneau.
Cependant cette antriorit dans lorganisation intercommunale a fig celle-ci dans des limites fixes une poque o les dplacements et la dispersion urbaine taient beaucoup moins importants quaujourdhui. Au regard de villes de taille similaire, la petitesse des intercommunalits de Brest et de Quimper est frappante,
La rvolution intercommunale est-elle possible? Quels ajustements paraissent les plus ncessaires ? Ces questions en dbat seront prsentes auprs de la Commission permanente du Conseil gnral et de la Commission dpartementale de Coopration Intercommunale en dbut danne 2015.
MOBILIT LYCENNE
PLANIFICATION ET AMNAGEMENT
DURABLES
Crdit photo: Timoth Douy
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LE SCoT DU PAYS DE BREST 28
PAYS DE BREST ET URBANISME COMMERCIAL 30
LE SCHMA DES DPLACEMENTS DU PAYS DE BREST 31
LE SUIVI DES PLH DU PAYS DE BREST 32
DIAGNOSTIC SANT DU PAYS DE BREST 33
LE PLH 2015-2020 DE LA COMMUNAUT DU PAYS DE LANDERNEAU-DAOULAS 34
UN PROJET DE TERRITOIRE POUR LA COMMUNAUT DES ABERS 35
LOFFRE EN FONCIER CONOMIQUE DANS LE PAYS DE BREST 36
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LE SCoT DU PAYS DE BREST
Le Schma de Cohrence territoriale (SCoT) a t labor entre 2004 et 2010 par les sept intercommunalits du Pays de Brest, rassemblant 89 communes et runies au sein dun syndicat mixte devenu Ple mtropolitain en 2012. Le SCoT est excutoire depuis novembre 2011. LADEUPa est charge dune mission daccompagnement la mise en uvre qui recouvre animation, analyses, production de documents pdagogiques et organisation de rencontres autour du SCoT. Le groupe de pilotage du SCoT, renouvel en juin suite aux lections municipales, oriente lensemble de ces actions.
LE GROUPE DE PILOTAGECompos dlus des sept inter-communalits ainsi que du directeur du Ple mtropolitain, il se runit mensuellement. Il oriente les travaux de mise en uvre du SCoT, valide les documents et prpare les avis du Ple mtropolitain sur les nouveaux projets de PLU. Il sest runi sept fois en 2014, avec une interruption entre mars et juillet durant la priode lectorale et dinstallation des nouveaux lus.
LES RENDEZ-VOUS DU SCoT DITIONS 2014Cf. partie Contribuer au dbat , page 74.
LES ATELIERS DU SCoTLADEUPa a organis pour la premire fois en 2013 des Ateliers du SCoT destins permettre aux praticiens de lamnagement dchanger sur lapplication au quotidien du SCoT du Pays de Brest et sur dventuels points de difficult.
En 2014, un atelier a t organis Brest avec la venue dun chercheur sudois, Erik Zachariassen, qui a prsent une mthode danalyse des rseaux cologiques.
LINFORMATION POUR LES NOUVEAUX LUSAu cours du deuxime semestre 2014, lADEUPa a prsent le SCoT lors de runions spcifiques dans trois intercommunalits du Pays de Brest : LesnevenCtes des Lgendes, Aulne Maritime et Presqule de Crozon.
LA PRPARATION DES AVIS DU PLE MTROPOLITAINLADEUPa ralise une analyse technique des documents durbanisme soumis lavis du Ple mtropolitain qui intervient en tant que personne publique associe. Lagence rdige une note de support au dbat entre lus du groupe de pilotage et qui sert de base la rdaction de lavis.
En 2014, lagence a ainsi analys trois projets de PLU communaux (la priode lectorale explique pour partie au moins le faible nombre de documents finaliss par les quipes municipales).
En parallle, poursuivant un cycle engag ds 2011, lADEUPa a rpondu aux sollicitations des communes souhaitant raliser une analyse de la compatibilit de leur document durbanisme avec le SCoT diffrents moments de leur rflexion ou de leur procdure.
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LLABORATION DES GUIDES DU SCoTLes Guides du SCoT ont pour ambition de servir dappui aux communes dans leur dmarche de mise en compatibilit au regard des questions principales quelles font remonter leurs intercommunalits et au Ple mtropolitain. Les guides font lobjet dune laboration conjointe associant les techniciens des communes et du Ple mtropolitain et les partenaires concerns par la thmatique.
En 2014, anne de renouvellement partiel des conseils municipaux, il a t choisi de publier une plaquette de prsentation du SCoT pour en faciliter lappropriation : Le SCoT en bref
Ce document de 24 pages synthtise les principales orientations du SCoT du Pays de Brest. On y trouve galement une dfinition du SCoT, lhistorique de son laboration et des nombreux changes qui ont conduit son approbation en septembre 2011 ainsi que les actions entreprises pour sa mise en uvre.
LA RALISATION DES CAHIERS DU SCoTLes Cahiers du SCoT sont des documents courts et thmatiques. Ils expliquent certaines des propositions du SCoT et identifient les modalits possibles de leur transcription dans les PLU et cartes communales.
En cette anne 2014 de renouvellement des conseils municipaux et de prparation de la rvision du SCoT, aucun cahier na t publi.
Nanmoins, suite lorganisation des Rendez-vous du SCoT, sont galement publis les Hors-srie des Cahiers du SCoT. Cette anne, la troisime dition de ces Rendez-vous a ainsi conduit la ralisation du Cahier du SCoT Hors-srie n 3 (cf. p 74).
LA PRPARATION DE LA RVISION DU SCoTLa fin de lanne 2014 a t mise profit pour lancer les travaux prparatoires la rvision du SCoT prescrite par dlibration du comit syndical du Ple mtropolitain le 17 dcembre.
Guide n 3: Schma directeur de gestion des eaux pluviales Plaquette de prsentation du SCoT du Pays de Brest: Le SCoT en bref Cahier du SCoT hors-srie n 3: Synthse des Rendez-vous du SCoT (Janv. 2015)
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VNEMENTS 20143e Rendez-vous du SCoT Plouvien 7 octobre 2014
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Nadine LE HIR
PAYS DE BREST ET URBANISME COMMERCIAL
Lactivit commerciale est une composante majeure de lamnagement du territoire puisquelle contribue structurer les bassins de vie, conditionner les flux de dplacements, marquer les paysages et les entres de ville Au fil des projets, lagence apprcie la compatibilit des demandes dautorisation commerciale au regard des dispositions dfinies dans le SCoT du Pays de Brest.
25 800 M AUTORISS EN 2014Sept projets ont fait lobjet dune demande en Commission dpartementale dAmnagement commercial (CDAC) en 2014. Six dentre eux ont obtenu le feu vert de la CDAC pour une surface de vente totale de plus de 25 800 m.
La plupart des projets reprsentent des extensions de magasins exis-tants (ex : Bricorama Ploudalm-zeau, Castorama Brest). Il faut nanmoins noter larrive de deux nouvelles enseignes dans le Pays de Brest : Leroy Merlin pour les activi-ts de bricolage dans la zone com-merciale du Froutven Guipavas et lenseigne de jardinerie Villa Verde dans la zone du Pont de Bois Saint-Renan.
Tous les projets prsents rpondent aux dispositions commerciales dfinies dans le SCoT du Pays de Brest. Ils sont situs dans des espaces identifis comme ayant vocation accueillir des activits commerciales.
UNE ANALYSE DES PROJETS SUR DES CRITRES DAMNAGEMENTDepuis la loi de Modernisation de lconomie (LME) de 2009, lanalyse des projets commerciaux ne se fait plus sur des critres conomiques. Sont dsormais observs les effets du projet sur lanimation urbaine et les flux de transport, la qualit environnementale et linsertion dans les rseaux de transports collectifs.
La loi ALUR vote en 2014 vient largir ces critres de dcision en intgrant notamment la consommation conome de lespace et la contribution du projet en matire sociale. Cette mme loi renforce la prise en compte de la compatibilit du projet avec le Document dOrientation et dObjectifs du SCoT.
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LE SCHMA DES DPLACEMENTS DU PAYS DE BREST
Dans le Pays de Brest lobjectif partag par lensemble des partenaires publics intervenants sur la question
des transports et dplacements est de dvelopper une vision commune de loffre globale de mobilit.
Lexpression de cette volont est inscrite dans le SCoT approuv en novembre 2011.
DES PRINCIPES INSCRITS DANS LE SCoTLe schma des dplacements dfinit les principes de lorganisation des transports de personnes dans le primtre du SCoT. Il vise assurer un quilibre durable entre les besoins en matire de mobilit et de facilit daccs, dune part, et la protection de lenvironnement et de la sant dautre part. Il a comme objectif un usage coordonn de tous les modes de dplacements par une affectation approprie de la voirie, ainsi que la promotion des modes les moins polluants et les moins consommateurs dnergie. Il devra prciser les mesures damnagement et dexploitation mettre en uvre afin de renforcer la cohsion sociale et urbaine ainsi que la programmation des ralisations.
Il est accompagn dune tude des modalits de son financement.
UNE DMARCHE ENGAGE EN 2012 linitiative du Ple mtropolitain la dmarche est lance depuis lanne 2012. Lagence a t sollicite pour animer le processus de rflexion. Sur le plan de la mthode le travail se dcompose en trois temps : le diagnostic orient, un exercice prospectif de scnarisation et un programme dactions.
Lanne 2014, a t consacre au second volet portant sur la scnarisation. Ici, lobjectif est denvisager pour la mobilit, trois scnarii de partage modal et den valuer les consquences aux plans conomique et environnemental.
Dans leur construction on ouvre sans restriction le champ des possibles permettant dinstaurer le dbat entre les parties prenantes.
Paralllement un travail de recherche comparatif au plan national (benchmark) a t conduit sur le fonctionnement et lintrt des centrales mobilits . Les rsultats sont publis dans le dernier numro de lobservatoire des dplacements du Pays de Brest (N 2, octobre 2014).
Le transport du futur, cest faire en sorte que la population utilise mieux loffre existante
TROIS SCNARII RETENUS Le geek-partage, apparat comme
le plus intgrateur et le plus favorable lintermodalit par lutilisation accrue dapplications numriques (offres publiques et prives).
Le mtro-radial donne la priorit aux transports en commun, de ce fait il ncessite le plus dinvestissements puisquil inclut de nouvelles infrastructures.
Lauto-nuance est celui dune modification sur la manire de percevoir les dplacements (lusage prvaut sur la possession).
Lanne 2014 na pas permis de mobiliser les lus en groupe de travail. La mise en uvre de la rvision du SCoT prvue en 2015 donnera un nouveau cadre cette nouvelle vision commune de la mobilit.
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Philippe MAZAS
Landerneau
Crozon
Daoulas
Lannilis Lesneven
Plabennec
Saint-Renan
Plouguerneau
Ploudalmzeau
Brestmtropoleocane
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Parking relais
Gare routire
Gare ferroviaire
Gare maritime
Aires de covoiturage communautaires sur la CCPI
Aires de covoiturage dpartementales
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En projet (valid en CP)
Aires de covoiturage partenariales
En service
En projet (valid en CP)
Ligne ferroviaire
Rseau Penn-ar-Bed - Armature
Ligne de tram
Rseau routier
P.E.M.
Source : Conseil Gnral du Finistre - Juin 2014 /Intercommunalits du Pays de BrestFond de carte : IGN - 2013 - BD CARTO
INTERMODALIT EXPORT
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Nadge LOURDEAU
LE SUIVI DES PLH DU PAYS DE BREST
LADEUPa a ralis quatre des PLH en cours dans le Pays de Brest et en a finalis un cinquime en 2014. Grce son observation de lhabitat, elle assure un suivi de leur mise en uvre et lorganisation dun dbat annuel dans les Communauts de Communes. Pour Brest mtropole, elle participe la Confrence Intercommunale de lHabitat ainsi quau dispositif de suivi de la mise en uvre du PLH. En 2014, lagence a achev les valuations mi-parcours de quatre PLH et procd, la demande des EPCI, lajustement de leurs programmes dactions.
DES BILANS POSITIFS DANS LENSEMBLEConformment aux dispositions de larticle L302-3 du Code de la Construction et de lHabitation, lagence a ralis fin 2013 dbut 2014 les bilans mi-parcours de quatre PLH, trois ans aprs leur adoption. Ces valuations ont permis dapporter un clairage sur la ralisation des programmes dactions et de mesurer ladquation des objectifs la situation rencontre.
Globalement, le rsultat est plutt positif. En effet, si tous les objectifs, notamment quantitatifs, nont pas forcment encore t atteints, la grande majorit des actions a t engage, de nouveaux outils - prvus dans les PLH ou non - se sont mis en place (Programme dIntrt gnral commun trois EPCI par ex.), dautres ont t prenniss (programme communautaire daction foncire) et des partenariats se sont crs ou renforcs (ADIL, SAFER, EPF).
DES AJUSTEMENTS SOUHAITSAu regard des rsultats de ces bilans et de lvolution rcente des dispositions lgislatives et rglementaires lies la politique du logement (approbation du SCoT, cration du programme national Habiter Mieux, disparition du Pass Foncier, etc.), les communauts de communes ont souhait ajuster les programmes dactions de leur PLH respectif pour les trois annes restantes (2014 2016).Ces volutions ne remettant pas en question lquilibre gnral des documents, les ajustements ont pu se faire par simple voie modificative.Chaque EPCI a valid son valuation et ses ajustements par dlibration en Conseil communautaire en dbut danne 2014.
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ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
DIAGNOSTIC SANT DU PAYS DE BREST
Dans le cadre dun ventuel Contrat local de Sant (CLS) entre lAgence rgionale de Sant de Bretagne (ARS)
et le Ple mtropolitain, lADEUPa ralise un diagnostic sant du Pays brestois. Finance par lARS, cette tude
doit permettre dclairer la situation en matire doffre et de consommation de soins ainsi que sur la mortalit
et la morbidit. Prvue pour une dure de quatre mois, cette phase de diagnostic se terminera la fin du mois
de janvier 2015.
LE PARTENARIAT AUTOUR DU DIAGNOSTICPour mener bien le diagnostic sant du Pays de Brest, lADEUPa travaille en partenariat avec diffrents organismes dtenteurs de donnes relatives la sant. Ainsi, des conventions ont t signes entre lagence durbanisme et lARS (pour loffre de soins), la CPAM (pour la consommation de soins) et lObservatoire rgional de la sant (pour la mortalit et la morbidit). Laccs ce large panel de donnes apporte les informations ncessaires quant la sant des habitants du Pays brestois ainsi que sur loffre de soins (tablissements et professionnels de sant) dont ils disposent.
LE CONTENU DE LTUDEUne premire partie contexte est consacre ltude de la population du Pays brestois. Pour ce faire, une typologie socio-spatiale (regroupe-ment en classe des communes par-tageant les mmes caractristiques socio-dmographiques) du Pays de Brest a t construite. En agrgeant plusieurs critres, elle offre une vi-sion synthtique des caractristiques de population de chaque commune. Ltude de loffre de soins, notam-ment des professionnels de sant (mdecins gnralistes et spcia-listes, dentistes, infirmiers, kinsith-rapeutes, sages-femmes) et de la consommation de soins (nombre de consultations par personne, tudes
des personnes la CMUC), viendra complter cette premire partie. En-fin, la mortalit et la morbidit dans le Pays de Brest seront aussi analy-ses partir des donnes de lORSB.
Ltude des donnes sant issues de tous les producteurs/dtenteurs de donnes constituera ainsi le cur du diagnostic.
CONTACT
Guillaume CHEREL
Diagnostic sant du Pays de Brest ( venir)
PUBLICATIONS
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Total des bnficiaires
Bnficiaires hors CMUC
Bnficiaires de la CMUC
Nombre de consultations et visites chez l'omnipraticien par
bnficiaire
PART DES FEMMES AYANT FAIT UN DPISTAGE DU CANCER DU SEIN ( 2012 - 2013 )
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ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
CONTACT
Pascale CHODZKO
LE PLH 2015-2020 DE LA COMMUNAUT
DU PAYS DE LANDERNEAU-
DAOULAS
La Communaut de Communes du Pays de Landerneau-Daoulas a engag en juin 2012 llaboration dun nouveau PLH pour la priode 2015-2020. La phase de diagnostic sest acheve lt 2013 et sest prolonge par la production des orientations votes lunanimit en dcembre 2013. Le programme daction a t finalis au cours de lanne 2014 pour aboutir une approbation de lensemble du programme le 11 dcembre 2014.
DES ORIENTATIONS AMBITIEUSESLes lments de diagnostic comme les nombreuses rencontres avec les diffrents acteurs ont permis de proposer de grandes orientations.
Le futur Programme local de lHabitat devra ainsi :
conforter lattractivit rsidentielle de la Communaut de Communes du Pays de Landerneau-Daoulas,
poursuivre lamlioration du parc priv existant, assurer les conditions du bien-tre dans le logement,
adapter loffre sociale aux besoins et amliorer le parc existant,
dvelopper une stratgie foncire au service des objectifs du Pro-gramme local de lHabitat,
amliorer la rponse aux publics spcifiques,
renforcer la gouvernance du Programme local de lHabitat.
UNE DCLINAISON EN VINGT ACTIONSLe Programme local de lHabitat 2015-2020 est loccasion pour la Communaut de poursuivre certaines actions luvre dans le prcdent programme et qui ont dj montr toute leur efficacit.
Dautres actions sont plus novatrices et permettront daccrotre encore lefficacit de la politique de lhabitat mene sur ce territoire attractif.
Parmi les principales nouveauts, lon peut citer diffrents types dactions.
Certaines visent produire du logement cot abordable, notamment en ayant une politique volontariste en matire foncire, mais galement en favorisant le Prt Social Location-accession ou les prts taux zro.
Dautres favorisent lacquisition de biens en prenant en compte ltat
du bti et le programme de travaux ncessaires.
Les lus aprs avoir permis le dveloppement du parc locatif social, ont souhait orienter leur soutien en faveur de la rhabilitation du parc existant, notamment en favorisant son amlioration thermique.
Enfin, la gouvernance du Programme local de lHabitat et la mise en place de nombreuses instances de rflexion et de concertation font lobjet de toute lattention des lus.
UN ENGAGEMENT FINANCIER IMPORTANTLengagement financier de la Collectivit en faveur de sa politique de lhabitat reste consquent, tmoin de lambition affiche.
Ple urbain structurant
Ple urbain dquilibre
Communes priurbaines
Communes dominante rurale
Communes dominante littorale
HANVEC
DIRINON
IRVILLAC
PLOUDIRY
LE TRHOULOPERHET
PLOUDERN
LA MARTYRE
St-URBAIN
St-ELOY
LANDERNEAU
PENCRAN
St-THONAN
St-DIVY
TRFLVENEZ
LOGONNA-DAOULAS L'HOPITAL-
CAMFROUT
DAOULAS
LA ROCHE-MAURICE
TRMAOUZAN
LA FOREST-LANDERNEAU
LANNEUFFRETPROGRAMME LOCAL DE LHABITAT 2015 - 2020
COMMUNAUT DE COMMUNES DU PAYS DE LANDERNEAU-DAOULAS
diagnostic ORIENTATIONS ACTIONS
PLH arrt par le conseil de Communautdu 11 dcembre 2014
COMMUNAUT DE COMMUNES DU PAYS DE LANDERNEAU-DAOULAS
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ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
SAINT-RENAN88 M
LANDERNEAU180 M
PLOUDALMEZEAU67 M
LESNEVEN - LE FOLGOET127 M
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LANNILIS33 M
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PLOUARZEL
PLOURIN
PLOUGUIN
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GUISSENY
PLOUIDER
BRELES
GUILERS
TREFLEZ
BOURG-BLANC
KERLOUAN
PLOUMOGUER
LANRIVOARE
LANDUNVEZ
KERNILIS
LANDEDA
SAINT-MEEN
COAT-MEAL
SAINT-PABU
LE FOLGOET
LE DRENNEC
PORSPODER
KERNOUES
GOULVEN
GUIPRONVEL
PLOUNEOUR-TREZ
LANILDUT
LANARVILY
SAINT-FREGANT
TREOUERGAT
TREGLONOU
PLOUZANE
TREGARANTEC
KERSAINT-PLABENNEC
LAMPAUL-PLOUDALMEZEAU
LANHOUARNEAU
BRIGNOGAN-PLAGES
LOC-BREVALAIRE
PLOUNEVEZ-LOCHRIST
LAMPAUL-PLOUARZEL
LOCMARIA-PLOUZANE
Volumes d'aaires
100
10
Lannilis / Plouguerneau
Ploudalmzeau
Plabennec / Lesneven - Le Folgt
Saint-Renan
Lesneven / Le Folgoet
0 2 Km
UN PROJET DE TERRITOIRE POUR LA COMMUNAUT DES ABERS
La Communaut de Communes du Pays des Abers (CCPA) souhaite engager le nouveau mandat en mobilisant et soudant
son quipe communautaire, fortement renouvele, autour dun projet partag. LAgence a engag en
septembre 2014 un travail dassistance llaboration, utilisant ses multiples donnes et ses comptences en matire
danimation de la rflexion des lus.
UN DIAGNOSTIC SOCIO-CONOMIQUELobjectif de la phase de diagnostic est une prise de connaissance partage, particulirement utile dans un contexte o les lections rcentes ont amen un fort renouvellement des quipes.
La premire tape, celle du diagnostic socio-conomique a permis de brosser un portrait dynamique de la CCPA, dans ses principales caractristiques dmographiques, sociales, conomiques, puis de le mettre en dbat.
Pour ce faire, lagence a mobilis les donnes de ses observatoires dans leurs diffrentes thmatiques, garantissant ainsi une mise jour rcente des informations.
UN DIAGNOSTIC SPATIALUne seconde approche a t utilise: analyser le fonctionnement du territoire, les rapports des communes entre elles et avec lextrieur, le rle des diffrents espaces structurants de la CCPA : espaces urbaniss, zones dactivit conomique, espace agricole et littoral
La comprhension du fonctionnement du systme territorial (au moins dans ses grandes lignes) permet danalyser certaines dynamiques et dapprcier les possibles volutions futures.
De plus, lanalyse globale dun territoire ncessite galement une vision largie du champ spatial. Il est important de prendre en compte les interactions avec les communauts voisines, dautant plus dans un espace
comme le Pays de Brest o les liens sont nombreux et une part des enjeux, commune.
RESTITUTION ET DBATLagence a prsent ces lments de diagnostic aux lus du bureau communautaire, puis en les synthtisant lensemble des lus communautaires et communaux de la CCPA, invits en dbattre en novembre 2014.
Lanne 2015 sera consacre llaboration des orientations.
CONTACT
ric LEMERRE
AIRES DE CHALANDISE
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ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
LOFFRE EN FONCIER
CONOMIQUE DANS LE PAYS
DE BREST
Prvoir une rponse adapte pour linstallation et le dveloppement des activits conomiques tout en veillant assurer une gestion conome de lespace, telle est lune des ambitions des lus du Pays de Brest. la demande du Ple mtropolitain du Pays de Brest, le foncier vocation conomique a fait lobjet dune double approche associant lADEUPa et la CCI de Brest. Lobjectif est danalyser loffre propose aux entreprises, aujourdhui ainsi que dans les prochaines annes, et didentifier les attentes des professionnels.
163 ESPACES CONOMIQUES ET 3 760 HECTARES163 espaces conomiques ont t recenss en 2014 dans le Pays de Brest. Ils accueillent 77 000 emplois, soit 48 % des actifs. Plus de la moiti du foncier occup est sous matrise douvrage communautaire. Cependant, la gestion communale est encore prgnante dans certaines intercommunalits.
En moyenne annuelle, 21 ha de terrains quips sont commercialiss aux entreprises, en intgrant la voirie, les espaces verts, etc. cela correspond une consommation foncire de 28 ha.
UNE OFFRE FUTURE ATTRACTIVELes surfaces amnages, disponibles immdiatement pour laccueil des activits conomiques, sont locali-ses dans une trentaine de zones dactivits. Il sagit en gnral de lots de petite taille qui peuvent rpondre aux besoins dentreprises artisanales et de services. Dans les annes venir, les rserves potentiellement mises disposition des profes-sionnels seront importantes. Elles sont majoritairement situes dans des espaces attractifs, qui bnfi-cient dune trs bonne accessibilit (proximit des routes nationales et de laroport) et dune desserte en trs haut dbit.
SCHMA CYCLE FONCIER CONOMIQUE
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ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
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Franois RIVOAL
Le foncier conomique dans le Pays de Brest Quelle offre pour les entreprises, aujourdhui et demain?
PUBLICATIONS
ESTIMATION DES RSERVES FONCIRES SUIVANT LE NIVEAU DATTRACTIVIT DES ESPACES CONOMIQUES
UNE MISE DISPOSITION COMPLEXETous les matres douvrage rencontrs ont soulign la complexit et le temps ncessaire pour amnager des zones dactivits (une dizaine dannes dans plusieurs exemples). Afin de garantir une offre en continu aux entreprises, il apparat indispensable de disposer en permanence de deux annes de stock de terrains viabiliss.
La prservation de lquilibre centre-ville / priphrie constitue un
autre dfi relever. Il faudra veiller limiter le dpart des commerces et services vers les zones dactivits. Leffet est doublement ngatif puisquil induit de la consommation despace en priphrie et de la vacance dans les centres.
Enfin, la gestion conome de lespace est un impratif qui peut passer par des oprations en renouvellement urbain et par des efforts de densification (formes urbaines plus compactes, surlvation, divisions parcellaires).
TUDES URBAINES ET ENVIRONNEMENTALES
Crdit photo : Frdric Le Mouillour - Brest mtropole
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LA RADE DE BREST 40
UNE STRATGIE FONCIRE EN PAYS DE LESNEVEN CTE DES LGENDES 42
TUDE PROSPECTIVE SUR LA PENFElD 43
LE RENOUVELLEMENT URBAIN DE BREST MTROPOLE 44
LE COMMERCE DE PROXIMIT DE RECOUVRANCE 45
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ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
LA RADE DE BREST
Espace composite, qui ne se donne pas au premier regard, la rade est une vritable mer intrieure qui ne joue pourtant quun faible rle pour lattractivit du Pays de Brest. lorigine du lancement de ce travail dtudes, un avis du Conseil de Dveloppement du Pays de Brest qui interroge: comment constituer une unit de lieu et lui donner du sens? Quelle lambition? Quelle reconnaissance au profit des collectivits qui la bordent?
UNE DMARCHE COLLABORATIVEUne premire srie dentretiens individuels a t ralise auprs de personnes qualifies appartenant des structures institutionnelles impliques dans la gestion de la rade. La question centrale tait : aujourdhui, quest-ce que reprsente la rade, son rle, sa place et son image?
LES PERSONNES AYANT PARTICIP AUX ENTRETIENS :
UBO: Franoise PERON
PNRA: Jean Jacques BARREAU et Agathe LARZILLERES
OCANOPOLIS: ric HUSSENOT
NEF: Franois ARBELOT
CPIE: Thierry ABALEA
Parc marin dIroise: Thierry CANTERI
Brest mtropole: Philippe MASQUELIER
Conseil de Dveloppement du Pays de Brest: Chantal GUILLERM
BrestAim: Franois CORRE
ENSEMBLE, CAP SUR LA RADE partir du matriau ainsi collect, une rflexion collective sest droule pendant deux jours rassemblant les personnes ayant
particip aux entretiens. Pour lanimation de ce temps fort, lagence sest associe les comptences de consultantes spcialises, Anne-Pierre CARBONNIER et Ltitia CARLIER. Les participants ont ralis une carte mentale . Cet outil de crativit participative hautement structur, permet dorganiser intuitivement les informations et de les partager. Elle donne une vue synthtique dun sujet complexe, tel que celui de la rade de Brest.
Lobjectif est de rendre visible (mots et images), les enjeux davenir autour de la rade : quelle vision commune? Comment valoriser les atouts du site ? Comment mieux faire ensemble?
27 ET 28OCTOBRE 2014
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FORMATRICES - FACILITATRICES
MISSIONS
PARTICIPANTS
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RADE DE BREST
ENSEMBLE CAP SUR LA RADE DE BREST
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ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
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Philippe MAZAS
UN FRAGILE QUILIBRELa principale richesse de la rade de Brest provient de sa relative prservation environnementale et de sa varit paysagre. Ainsi, la matrise de lurbanisation sur les versants littoraux est un enjeu. Le classement despaces sensibles en ZNIEF et NATURA 2000 sont considrer comme une reconnaissance et un atout. Les indicateurs de suivi montrent une relle amlioration de la qualit des eaux. Mais, la situation reste fragile : la rade est ce que lon y dverse .
ON VIT AU BORD DE LEAU, MAIS PAS AVEC LEAU La population est peu imprgne de culture maritime. Il faut permettre la population riveraine de la rade et plus particulirement aux jeunes, daccder une meilleure connaissance du milieu maritime. La valorisation de son patrimoine littoral et maritime bti est un acte stratgique, visant faire reconnatre les spcificits de lidentit du site.
ON NE PASSE PAS PAR LA RADE, ON Y VIENT Pour attirer les plaisanciers dans la rade, la promotion se dcline par un slogan irrsistible : deux marinas
pour votre escale dans lune des plus belles rades du monde.
linitiative de Nautisme en Finistre (NEF) la semaine du petit cabotage adresse aux plaisanciers reprend le principe de litinrance nautique. Le succs rencontr suppose une amlioration de loffre de services dans les ports descales.
ORGANISER LA COORDINATIONLa superposition des strates institu-tionnelles et des comptences qui sont en charge du milieu maritime ne favorise pas la coopration et linitiative. Outre ce contexte, il est encourageant de constater quau-jourdhui des actions concertes sont lances par NEF, OCANOPO-LIS, le PNRA et les centres nautiques associant les collectivits publiques. Aussi, il est propos de crer une instance informelle danimation La confrence permanente de la rade pour faciliter un travail collaboratif des diffrents acteurs.
CE QUIL FAUT RETENIR
Il ressort la fois de la srie dentretiens ralise auprs des acteurs institutionnels et du sminaire Ensemble, cap sur la rade que les besoins portent sur lanimation, la coordination et la promotion de lentit rade de Brest. Il est galement propos une amlioration de la qualit de loffre dans divers domaines dactions qui concourent lattractivit de la rade et du Pays de Brest.
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FORMATRICES - FACILITATRICES
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Philippe LANNUZEL
UNE STRATGIE FONCIRE
EN PAYS DE LESNEVEN CTE DES LGENDES
La Communaut de Communes du Pays de Lesneven Cte des Lgendes souhaite disposer dun rfrentiel foncier centr sur la problmatique du renouvellement urbain, afin de dfinir une stratgie densemble de matrise du foncier et de lutte contre ltalement urbain. La question foncire est en effet et de plus en plus au centre des dbats sur les politiques damnagement: politique de lhabitat bien sr mais aussi politique conomique grce au dynamisme des zones dactivits et au maintien des commerces et des services dans les centres.
LE RLE DU RFRENTIEL FONCIERLe renouvellement urbain rpond des enjeux multiples et transversaux pour le territoire communautaire. Il participe au maintien de lattractivit rsidentielle et conomique notamment par la redynamisation des centres et bourgs ou la requalification des zones dactivits conomiques. Dans ce sens, le rfrentiel foncier permet didentifier et dvaluer les sites potentiels de renouvellement urbain afin de cibler des priorits en termes daction.
UN TRAVAIL COLLABORATIFDans un souci de pragmatisme, il sappuie sur une co-construction entre lAgence et les lus dont la connaissance fine du territoire est irremplaable. LAgence sest de plus adjointe de la comptence dun expert foncier, Fonco, pour tablir une base de rflexion sur la stratgie foncire.
UN REL POTENTIEL DE RENOUVELLEMENT URBAIN lchelle communautaire, le potentiel brut repr permettrait de raliser une part significative des besoins de logements en renouvellement urbain. lchelle de chaque commune, les rsultats sont variables et dpendent du contexte local, selon les caractristiques propres du secteur rural ou littoral, des dynamiques artisanales ou agricoles. Le plus souvent, la part que peut prendre le renouvellement urbain dans la production de logements reste suprieure celle fixe par le SCoT.
Afin de mobiliser ce potentiel, il sera cependant ncessaire de dfinir des orientations stratgiques ainsi que les outils adapts.
INTGRER LA DIMENSION CONOMIQUELa spcificit du rfrentiel foncier de la Communaut de Communes du Pays de Lesneven Cte des Lgendes est quelle porte galement sur le foncier vocation conomique. Le rfrentiel utilise les rsultats de ltude ralise par lAgence sur le foncier conomique du Pays de Brest qui avait indiqu un manque de disponibilits court terme. Mais il na pas rvl de marge de manuvre consquente qui permettrait de combler ce manque. Il a cependant mis en vidence des pistes de rflexion notamment sur la vacance des locaux commerciaux et dactivits ainsi que sur laccueil des activits tertiaires ou artisanales.
DES TESTS GRANDEUR NATUREPour mieux comprendre les enjeux du renouvellement urbain et les mcaniques de laction foncire, des tests ont t raliss sur des sites emblmatiques. Lors dune sance de travail avec les lus, diffrentes situations seront analyses comme la rhabilitation dun bti de grande taille Guisseny, une opration de redynamisation dun centre-bourg Brignogan-Plages ou encore la reconqute dune coproprit commerciale en dclin Lesneven.
Rfrentiel foncier du Pays de Lesneven et de la Cte des Lgendes,
premiers rsultats dcembre 2014
PUBLICATIONS
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ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
CONTACT
Philippe LANNUZEL
Schma de rfrence Nord Penfeld, diaporama, groupe de travail, 25 novembre 2014, diffusion restreinte. Schma de rfrence Nord Penfeld, document de synthse, aot 2014, diffusion restreinte
PUBLICATIONS
TUDE PROSPECTIVE SUR LA PENFELD
Le PLU facteur 4 de Brest mtropole a inscrit la Penfeld comme un espace majeur du cur mtropolitain.
Le site accueille plusieurs acteurs cls comme la Marine, lUniversit, le CHRU. Le travail amorc en 2013 sest poursuivi
cette anne. Il a abouti sur une proposition de processus ouvert, apte intgrer les opportunits tout en visant
une cohrence long terme.
UN PROCESSUS EN TROIS TAPESLe schma de rfrence Nord-Penfeld est une dmarche prospective sur le devenir du site. La transformation de celui-ci se fera sur une priode de plusieurs dcennies. Il importe donc de dfinir ds aujourdhui une feuille de route fixant des objectifs et la manire dy parvenir. Il est propos de raisonner en termes de processus tout en gardant lesprit le but recherch: contribuer au changement dchelle du centre-ville de la mtropole.
La premire phase consiste amliorer laccessibilit et la lisibilit du parc des rives de Penfeld depuis
les connecteurs par les vallons, les balcons et promenades.
Dans la seconde phase, le parc change de statut et devient un parc mtropolitain habit. Lapport de nouvelles activits, la mise en valeur du patrimoine, limplantation des folies gnrent de la valeur foncire. Des logements sont raliss en balcon et au bord de la Penfeld.
La dernire phase permet larticulation entre le centre-ville et le parc mtropolitain par lamnagement du secteur du Salou qui devient un quartier mixte central. Le centre-ville largi prend alors toute sa dimension. Par ce
processus, la Penfeld retrouve sa position centrale comme dorsale de la trame verte et bleue, parc urbain mtropolitain, espace vivre et habiter.
Certains lments de la phase 2 pourraient se raliser en phase 1 si lopportunit se prsente.
SCHMA DE RFRENCE NORD PENFELD
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ADEUPa RAPPORT DACTIVIT 2014
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Philippe LANNUZEL
LE RENOUVELLEMENT
URBAIN DE BREST MTROPOLE
Le PLU facteur 4 de Brest mtropole met laccent sur le renouvellement urbain (RU) en fixant un objectif de production de 50 % des nouveaux logements, 40 % des bureaux et 10 % des locaux dactivits en renouvellement urbain. Cest dans ce contexte que Brest mtropole a demand lADEUPa de mener une rflexion densemble sur le renouvellement urbain afin didentifier et de qualifier des secteurs potentiels de RU puis de tester une approche oprationnelle sur des cas types.
UNE APPROCHE GLOBALELes enjeux dattractivit de la ville, le contexte global des finances publiques ainsi que lambition de renouvellement urbain affich dans le PLUi, conduisent une dmarche de projet global, co-construit et transverse.
Le travail effectu sert de support au projet global de renouvellement urbain (y compris le Nouveau programme national de renouvellement urbain (NPNRU)) mais aussi la politique du futur contrat de ville ainsi que dune approche plus intgre de la politique de proximit.
VERS DES INTERVENTIONS GRADUESLa rflexion sappuie sur les docu-ments du PLU facteur 4, sur un travail de terrain de lADEUPa, sur la pro-duction de plusieurs groupes de tra-vail de Brest mtropole (directions lamnagement urbain, dynamiques
urbaines, habitat, dveloppement conomique, mission Dveloppe-ment social urbain (DSU), proximit, responsables des mairies de quartier de Brest et agents de proximit), sur lanalyse statistique et gographique mene par lADEUPa.
Des cartes thmatiques ont t produites la fois statistiques et sensibles, objectives et subjectives.
Une carte sur limage de la ville a t labore, avec comme postulat quune ville lisible est une ville attractive et agrable vivre. Cette carte synthtique montre une densit variable dlments positifs ou ngatifs dfinissant des secteurs dintrt majeurs pour la dmarche.
La confrontation avec dautres cartes sur lattractivit de la ville, les analyses en composantes multiples (ACP), le dveloppement social et la proximit a permis daboutir une carte de synthse.
De celle-ci ressort une graduation de lintervention de la collectivit sur diffrents secteurs de lagglomra-tion, de la plus volontariste, pouvant se traduire par une rorganisation de lassise foncire, la simple stimulation de linitiative prive partir dactions de communication destination des particuliers et des professionnels de limmobilier.
Ces cartes ainsi que ltude sur les coproprits et les secteurs mu-tables (leviers potentiels pour le renouvellement urbain) serviront de support la dfinition des lieux prio-ritaires du renouvellement urbain en termes dimage, dattractivit de la ville et de rponse aux besoins du PLUi.
Le choix se fera dabord sur les lieux o leffet de levier sera maximal, sachant que lon recherche la fois la modification de limage de la ville, la rponse aux besoins quantitatifs du PLU facteur 4 et lamlioration de la vie sociale et urbaine.
PERCEPTION DE LIMAGE DE LA MTROPOLE
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Nadine LE HIR
LE COMMERCE DE PROXIMIT DE RECOUVRANCE
Au cur dun projet de renouvellement urbain majeur, Recouvrance a fait lobjet dune analyse sur le fonctionnement
commercial du quartier et sur les volutions observes au cours des quinze dernires annes. Ce travail a t le fruit dune rflexion partage entre Brest mtropole, lADEUPa et les chambres consulaires. partir du diagnostic finalis
en 2014, des pistes dactions ont t dfinies pour conforter les activits commerciales du quartier.
UN CONTEXTE CONOMIQUE DIFFICILELa zone de chalandise de Recouvrance couvre une population de 11 000 habitants. Constitue essentiellement de petits mnages, la clientle dispose de revenus modestes, en de de la moyenne de lagglomration brestoise. La part des 25-39 ans est importante et peut sexpliquer par la prsence dun parc locatif important et accessible pour linstallation de jeunes mnages. Outre les consommateurs de proximit, les commerces accueillent historiquement une clientle de passage, en lien avec la proximit de la base navale et les dplacements des salaris qui habitent louest de lagglomration. Le recul des effectifs de la Marine nationale et de DCNS (de lordre de 10 000 salaris en moins depuis les annes 90) a t prjudiciable pour certaines activits commerciales.
UN ESPACE URBAIN SQUENCLe quartier de Recouvrance est au cur de la mtropole ; il bnficie dune identit forte, lie son histoire et son patrimoine. Des services spcifiques y sont implants comme le Mac Orlan ou la piscine. Pour autant, la topographie, le parcellaire troit et un parc immobilier vtuste sont autant de caractristiques urbaines peu propices au dveloppement de lactivit commerciale.
Trois places rythment lespace urbain : celle des Halles, le Prat Ldan et la Place de la Recouvrance. Les enqutes ralises par la CCI de Brest et la CMA, auprs des commerants, ont permis didentifier leur perception du fonctionnement du quartier et de recueillir leurs attentes. La situation conomique des professionnels
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