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TRIBUNE LIBRE. Bruxelles tout le monde descend !

La jonction Nord-Midi !. _ .On .on reparle. M. le sénateur Lie-

baert a rattaché le -grcfldl et la com-mission du SénatU'agite. Les hôteliers,les cafetiers, les commerçants qui voi-

s i n e n t avec la gare du Nord protes-tent; ils ravalent l'opération à ..une

;queslion locale, t J.^;«. ik"i= ; .v ' ;»-^ B r u x e l l e s , tout le monde descend!

Quelle bénédiction pour eux..., . mais'quel ennui et ; iqù ;cllc-perte de tempspour ceux qui doivent atteindre Pau- :

t r e c ô t é d u p a y s . L v v^ -;: • T r-:•.••';Puisqu'on cherche -à rapprocher les

peuples, eu leur procurant des moyensde communication faciles, pourquoin'applique-l-on pas cette formule aurapprochement de. nos provinces?

La jonction paraît, dès-Jors, comme.* étant d'intérêt national. ^

« A rcffet*âe-TcHer.;rOucst .à l'Est dela Belgique, le Parlement a sagement

jaffi en faisant.la^raverse^dC'Gand-St;'Pier1w5.J>IL!vienl,-de. supprimer définiti- ,vement l'entonnoir de Gand-Sud. ~̂ 5

1 Pour gagner quelques minutes surle trajet Ostende-Bi-uxelles, le Gouver-

; nemenl d'avant guerre avait conçu le'; projet de redressement de la ligne, au ,: sud de Bruges ; ' la guerre seule en aempêché la réalisation. :; , ."'Pour relier l'Ouest à l'Est de la Bel-

gique, et môme l'Ouest à l'Est de l'Eu-_rope, la jonction paraît une nécessite/11 y a un .quart, de siècle qu'on en par-le et" qu'on y travaille. > • /! - ••:••'.';* 'On a fait des expropriations, coûteu-ses, le cœur de Bruxelles a été trans-formé en un chantier; plus de la moi-

t i é des frais sont faits. Pourquoi s'ar-rêter en si bonne voie et vouloir pas-ser, pour une croûte de pain, les tra-vaux accomplis à la ville de Bruxelles!

> ~ç-Nous avons entendu taxer celte mal-': heureuse idée d'anlinalionalc, et il nous ;j:étonne-de.v6ir ceux qui se targuent de .nationalisme y applaudir. • ;•i La Chambre s'y est laissée prendre.L'intérêt national qui s'attache à cette tquestion ne peut échapper, pourtant,;aux députés deJ'Oucst de la Belgique; !si eux doivent descendre à; Bruxelles :pour vaquer à leurs absorbantes occu- \pàlions, il en est-beaucoup de leurs;mandants qui sont appelés de l'autre jcôté de la Belgique, et qui ne désirent!

\ pas du tout descendre. Nous nous em- j

par A. ELLEBOUDTECHEVIN.

pressons, toutefois, d'ajouter que laChairtbre ne fut 'pas unanime : unequarantaine de niemJbL'es n'assistaient-pas à la séance, au cours de laquellela: jonction-fut^abandonnée, et plu-sieurs autres se sont abstenus au vote.

"Et la côte! Pour'elle: la jonction estd'intérêt primordial, car l'Est de laBelgique et de rl'Europe lui enverraitdes contingents plus , nombreux siBruxelles loul le^nonde descend ne les

- o b l i g e a i t >pas à p e r d r e - u n t e m p s p r é -c i e u x . ••• ;.•. . .•-••"; •>.-• .. •: •• '';:•: -••-"Vi- ; :'; : - •

•^•On organisé à grands'frais un ser-vice de iPullmann entre iParis et nosplages belges; .pourquoi Ile Gouverne-ment ne (prouveJt-il ipas lui-même del'intérêt qu'il a aux communicationsfaciles et rapides dans son proprepays, en .prenant^nettement positionon faveur de la joTiofion ?

'Espérons que le Sénat suivra les•'directives de la commission, qui, sous..la «vigoureuse -.inupulsion de -MM- Lie-baert et Bruneel, a donné un coup debarre xevs cette heureuse solution. •:-.Successivement les cabinets de MM.Anseele ëtvLippens ont agile 'l'épou-vantail^des difficultés d'aérage ,detunnel, du ^danger des fouilles, etc.toutes objections que M. le ; ministreIlellepultc, en son temps, avait pré-vues et victorieusement rétorquées.,<>iÉt les dépenses! 11 faudrait encoreun demi milliard! Mlijs que coûtentactuellement les chemins de fer do-ceinture et la fameuse gare de l'Al-lée Verte? „ : ; •^'D'après les calculs des spécialistes,les dépenses supplémentaires se mon-teraient encore à 300 millions, dont ilfaut déduire 85 millions à récupérersur la vente des excédents do terrains.• On attend,1 paraît-il, l'avis idu Gou-

vernement. Ce dernier aurait intérêtà i se prononcer ;; avec - précision : etpromptitude : ; la côte, l'Ouest de laBelgique, lies communications" ^inter-nationales ont grand intérêt à voir laréalisation de la jonction, surtout à laveille de l'exposition de 1930. :;

;;Le rapprochement des peuples, parla jonction fera jubiler la S. D. N.; lerapprochement dé nos provinces parla jonction sera un élément de puispour raffermir l'unité nationale! .,;•

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l'Exposition : d'Automobiles s'annoncecomme un succès dépassant toute es-pérance. • •• •,:•••;-: • :-J-.

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: porter là un grand succès, personnel,divisera les Galeries Royales, à partirdu Chalet royal en zones qui porterontles noms de : • • > 'Rotonde Albert Ir. Galerie Elisabeth.Rotonde Léopold. Galerie Astrid. •Rotonde Charles. Galerie Marie-José.Rotonde Joséphine-Charlollc.

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Liste des prix attribués au concours par la Maison VAN SANTEN-BETTENS. 46, rue de Flandre, à Ostende.

Comme nous l'avons déjà annoncé, la Cloche d'Or cl le Carillon organise-ront dans le courant du mois de juillet, un concours de plages doté de prixmerveilleux. Nous donnons ci-dessous, la liste des prix et dans un tout pro-chain numéro, nous publierons les détails et conditions du concours ;

FILLES. — Catégorie A.I. Une montre;'bracelet de dame, or 18 carats,

•mouvement suisse, avec bulletin de garan-tie de 5 ans. (400 fr.). (2. Une montre-bracelet extensible en plaquéor, fabrication suisse, avec bulletin de ga-

• ;rantie de'3 ans. (230 fr.).3. Montre-bracelet argent, mouvement suis-

se, garanti 2 ans. r(175 fr.). •.4. Aumônière en métal blanc. (150 fr.).5. Collier de perles incassables, fabrication

; , japonaise. (125 fr.). -C. 7. 8. - idem.9. Un coffret à bijoux. (100 fr).

10. Un nécessaire manucure en argent. (100).II. Un collier de perles incassables. (90 fr.).12. Un nécessaire de couture en argent.(90 fr.)13. Un bracelet plaque d'IdenliW en plaqué

• • o r . •(•75Jr.).11. i d v15. Un fermoir de sacoche en métal blanc.

. ("5 fr.). •10. id.17. Un bracelet plaque d'identité. (C5 fr.).18. Une timbale,en métal argenté. (GO fr.).19. Nécessaire de bureau en métal argenté,

2 pièces. (00 fr.).20. Une bonbonnière en métal blanc. (50 fr.).21. 22. id.23. Un collier de perles. (50 fr.).2 4 . •••••• i d .25. Un bracelet plaqué or. (10 fr.).2G. 27. 28. 29. 30. • id.31. Un coquetier métal argenté. (35 fr.).X > . - • • • • . M . • - . - . • • • - ; . , • • . - . -

33. Un rond de serviette met. argenté. (35 fr.)3i.: , id.35. U n dé en argent massif. (35 fr.).3C. 37. - id.38. Un dé en argent massif. (25 fr.)."39. 40. 41. id. -42. Flacon à parfums en cristal, fermeture]

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La fermeture des magasins le]dimanche

La F. N. des Associations commercialesdes détaillants négociants de Belgique noustransmet la requête que voici, qu'elle a adres-1sée à tous les députes : ;". <c En 1923, la Fédération Nationale des As-1sociations Commerciales des Détaillants etNégociants de Belgique s'adressa avec con-1fiance aux élus de la nation, lors des projetsde loi sur les prix usuraires, en. leur deman- |dant avec instance de les rejeter.

Elle fut écoutée. •Aujourd'hui, elle a recours à eux, à propos

d'un projet de loi qui, ici encore, aurait pourconséquence d'aigrir le caractère paisible descommerçants belges, en droit de dire que laliberté n'est plus qu'un vain mot. .. Elle s'adresse donc avec la même confiancequ'en 1923 aux élus des partis d'ordre, élusaussi de la classe moyenne commerçante, etles prie de voter contre le projet Clynrnans etconsorts relatif à la Fermeture Obligatoiredes Magasins le dimanche après l'heure demidi et en semaine de neuf heures du soir.àcinq heures du matin.; S'il est des commerçants qui veulent profi-

ter du dimanche pour se reposer et se dis-traire, ils n'ont pas besoin de loi pour cela!

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vement suisse, 15 rubis, bulletin de ga-rantie de 5 ans. (400 fr.).

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11. Un étui h cigarettes en met. blanc. (90 fr.)12. Une montre de poche avec chaîne. (90 fr.)13. Un nécessaire de bureau en métal blanc,

4 pièces. (75 fr.). .14. Une timbale en métal argenté. (75 fr.).

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<i. Celles qui auraient déjà inlroduit unedemande et qui ont reçu pour celle-ci un nu-méro, ne doivent pas la renouveler. • •••• .:.•• .

5. Toutes les-demandes étant exiimJnées at-tentivement et dans, l'ordre de leur intro-duction, aucune-.jjgûpmmaridation . n'est né-cessaire. ~£:->-;:-':: '•'j'v-Y'ï- •'••••',•;; :.': :"':.'•.:- ''.-'Y

p G. Les personnes qui écrivent au Ministèrede l'Industrie, du Travail et"de la PrévoyanceSociale, au sujet d'une prime qu'elles • ontsollicitée, sont instamment priées de fairemention, dans toutes leurs correspondances,du numéro d'inscription qui leur a été attri-

b u é . Dans leur intérêt, elles doivent aussi si-gner lisiblement et indiquer exactement leurdomicile, rue^et numéro. :••- :;.•m"i.'La prime ne peut être liquidée qu'aprèsque toutes les formalités qui seront exigéesen la matière auront été accomplies et aprèsque les bénéficiaires auront fourni la preuvede l'achèvement'complet de leur construe-l i o n . - V ' :•,;••.•'•* s ? : + • ' • ' • • . . , . • , - . • ••• . . ' ' . , - - .

S. II est recommandé aux personnes quidoivent emprunter de l'argent, pour la con-struction dé leur habitation, de s'adresser depréférence aux sociétés de crédit agréées parla caisse Générale d'Epargne et. de Retraite,la prime pouvant Cire refusée à.celles quiauraient : eu recours tV l'intervention " d'unautre organisme, dont les conditions de. prèl

| seraient reconnues onéreuses. •* •• •.<';•.Pour lous renseignements complémentai-

res on peut s'adresser au bureau du Comité1 des Habitations ouvrières, le mercredi, jeudi

et vendredi de 10 h. à midi et dé i& à 10 h.,rue Euphr./Beernaert, 12G. : ,

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"donne très correclemenl • lés airs deThaïs et d'Elisabeth, allongés de me-nus morceaux qui entrent par uneoreille et qui sortent parl'aulre.

Le lendemain jolie voix mais dictioninintelligible et style déplorable, etpuis, avec si peu d'acquit pourquoivouloir chanter les airs de Cayaleriaet les lettres de Werther, morceauxpour vétérans de la scène. M. Iriarte,du Casino de Nice, lancé avec impé-tuosité les notes éclatantes du Lamentode Paillasse et les éclats mysticô reli-gieux de l'air de Jean d'IIérodiade quel'orchestre souligne avec une ardeurun peu immodérée, t e lamento de laTosca, au piano, perd de sa couleurmais gagne en précision. Au demeu-rant excellente impression faite par ceténor au tempérament vif cl jovial.-Succès très vif pour M. Gentil VanThuyne qui se révèle de plus en plus,vrai as du mécanisme et jeune princedu sentiment. M. Louis Van Thuynelui aussi a su faire valoir sa bonne mu-sicalité, courageuse cl probe, dans desœuvres, tel le Poème de Dupuis, héris-sées de difficultés et de rendement trèsdiscutable.

Notons avec grand plaisir que cha-que soir l'assistance se fait plus nombreuse cl plus intéressée. L'innovationde l'artiste à chaque concert est doreprouvée des plus heureuses. -

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:L'affaire Vandewalle-CoopTOan a eu sonépilogue jeudi soir, vers 0.30 h., devant laCour d'Assises de Bruges. '• •*• ' \;'•'• •.•.-•• ,:,.-•:.• A 4.15 h., le jury était invité h répondre aux13 questions suivantes : : ; r i >

•Les 5 premières questions concernent Coop-man, les 8 autres Vandewalle. •••••• u, 1) Est-ce .que Coopman est coupable d'à- ;

voir, avec des intentions'mauvaises et yo-Jlontairement, fait couler le bateau 0.207 au-trement que par le feu ou la mine.••• 2.) Est-il établi que Coopman est coupabled'avoir intentionnellement à Ostende ou ail-leurs, fait couler le bateau O.20C, autrementque par la mine ou le feu. -

G) Est-il établi que Coopman est coupabled'avoir intentionnellement à Ostende ou ail-leurs fait couler le bateau 0.205 autrementque par le feu ou la mine. • !• • . •

•i) Concernant la question n. 3, est-il établique le méfait a été accompli la nuit. .

5) Est-il établi que Coopman a fait coulerle 0.205 par le feu ou la mine.i, C) Est-il établi que" Vandewalie a agi encomplice, quand le O.207 a été coulé. •

7) Est-Il établi que Vandewalle est coupa-ble d'avoir été complice quand le O.2Û6 a étéc o u l é . . : . : -' • - • • • ' • • " • • • • • ' • • : ' ' • :• : ' . - . , - . : .•- - •;

8) Est-11 établi que Vandewalle est respon-sable de la perte du O.206; -

9) Est-il établi que Vandewalle est respon-sable de la perte du O.200 comme complice.

10) Est-il établi que-Vandewalle est res-ponsable de la perte du 0.205 par explosion

comme complice. *' , . • .••...'" i- 11) Est-if établi que Vandewalle a partici-pé pour faire couler le 0.205 par explosion.

•12) Est-il établi que Vandewalle 'a partici-pé pour faire couler le 0.205 par la mine oup a r l e f e u . - ' - l v ' - : - - v ; ' • • . ' • • • • • • - . • , - - • • y - X f ' - ' - ^ : • ' • ; • '

13) Est-il établi que Vandewalle est res-ponsable-de la perte-du • 0.205 .comme com-plice par le feu et par la mine. ';••• •• :-• .>-

A .4:35 h., le jury revient avec la réponse.Le notaire De Busscher, président, -annoncé .que sur 1, 2, 3, C, 8 et 10, ' il est'répondu oui,tandis que sur la 4me, il a été voté non etque les autres questions sont restées/sansr é p o n s e . • • " • • > ' • ' ^ • . • - '-• ',-'•'• -?~v • ; ' ^ - - . r - P ' ^ ^ : i V ' î ' : ' : . ' •

' A 6 h.j après que les avocats de la défenseeussent fait appel aux .circonstances atté-nuantes en faveur des inculpés, le" jury serelire une seconde fois avec la Cour pourdé1-l i b é r e r . . • . . ; • • . • / : - x- .;••: " - ••.'•••• • . . , . • : • •_.,.- - v . i ' v " - • - • "

Coopman Henri-Edmond est condamné àtro'ls ans de prison et Vandewalle Auguste-Pierre à cinq ans de la-m€mc pe ine . . - :' T o u s les frais du procès sont mis à chargedes condamnés. Après le* verdict les con-damnés -sont réintroduits dans la salle^et leverdict leur;est notifié. Le président 'deman- ;de i» Coopman s'il n'a plus rien à dire.-.II ré- •pond : «Je suis Innocent». Vandevvallé ré- .pond. de\la môme manière. ~: ,i." :..-.• •.-•̂ VT?.. II. reste maintenant à la Compagnie d'assu-rances à "envisager les moyensde récupérer .<les sommes indûment touchées-par les i n -culpés. -'-,•.'.••...•> •.;:-i;::-.--_---i.̂ •.-,.1.~ . • .v. •''- •"'-.'.

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A 21 h., au Kursaal, Dolores de SIl /VElW;rte l'Opéra-.Comique. . • . •' ."' • • :LUNDI U..JUIN.

A 21 h., au Kursaal, Max MOUTIA, de l'O-péra de 'Nice. • . ; : ..•> •MARDI 12 JUIN.

A 2 1 h . , . a u K u r s a a l , P a u l B O N A F E , d e l ' O -

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MERCREDI 13 JUIN. •A.21 h., au Kursaal, Louise DHAMARYS, de

l'Opéra Comique. >JEUDI 1* JUIK-. :

A 21 h., au Kursaal, Paul BONAFB, de .l'O-péra. - .. • : "•• -VENDREDI 15 JUIN.

A 21 h., au Kursaal, Dlnah SINETY, duthéiUre de Ja Madeleine. • • "*SAMEDI 16 JUIN. • .

A 21 h., au Kursaal, Louise DHAMARYS, del'Opéra-Comique.DIMANCHE 17. JUIN.

A 21 h. , 'an Kiirsaal, Grand Festival de mu-sique wallonne, avec le concours de MmeWIATTE-NYSTEN, cantatrice, et de .M. TRU-CIIBTTI, de l'Opéra de Nice.

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adressé a Leurs Majestés le Roi et la>Reine, mardi dernier, à l'occasion de;leur départpour le Congo, par La Co-loniale du Littoral, le président de no-tre cercle colonial a reçu le radio que

^ v ô i c i : •••'- .«Monsieur le Président de La Co-

loniale du Littoral, Oslende, — Lesbons vœux qua vous leur avez expri-més au moment de leur embarquementpour la colonie, ont beaucoup touchéle Roi et la Reine, Leurs Majestés vousen remercient ainsi que tous les mem-bres de La Coloniale du Littoral.

(s) Chef Cabinet Roi. »Le sens unique.

La Ville a fait installer à l'angle desrue de Flandre cl rue Longue d'unepart; de la place d'Armes et de la rue"Bnyl, d'autre part, des poteaux indica-teurs, éclairés le soir, signalant que lesens unique est établi en ces endroits.

i-C'EST LE DON D'UNJiLFEE•Que cette bonne denrée,

Que son auteur nomma-;.•••••' , La Chicorée Pacha.

Remercîments. r '' Le président et les membres de l'Har-

monie Royale des Mutilés et Invalidesde la. guerre, "de Bruxelles, remercientcordialement la-population ostendaisepour l'accueil chaleureux qu'elle a bienvoulu leur réserver ainsi que les per-sonnes qui leur ont aimablement of-fert des fleurs, etc.

Outre MM. -;Bidat, Marions, "MmeSchoors, les camarades de la P. N. I. etde la F. N. C , ils remercient M. Eu-gène Bascourt, invalide, habitant Liègeet de passage à Ostendc, qui mit gra-cieusement une voiture à la disposi-tion des invalides trop 'fatigués au.cours du cortège. • :.

PONDANT RENAUX>Le meilleur chocolat à croquer.

ArA.'-s.:o.::^:-';:i '';''" .'• ;' '.'"Nous ayons reçu la lettre suivante :Le Comité et les Membres de l'Asso-

ciation Sportive Ostendaise ont été trèssensibles aux diverses manifestationsde solidarité et de sympathie expriméespar les journaux de la ville, sans dis-tinction d'opinion politique.

Dans ces manifestations de sympa-thie PA.S.O. voit un hommage au ca-ractère de son club, qui est resté loyalen toutes circonstances et qui espèretrouver sous peu l'occasion de se réha-biliter complètement;

'Elle remercie la presse'Oslendaise,qui est l'expression de toute la popula-tion, et mettra tout en œuvre pour prou-ver qu'elle a été cl' reste digne de l'es-time publique.

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Collecte.A l'occasion du baptême de Julien,

fils de M. et Mme Louis Santa-Cruz,Hôtel Lion Noir, place d'Armes, MmeBonnet a fait au cours du banquet debaptême une collecte parmi les con-vives qui a rapporté la somme de 212 fr.

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Nos bons vœux.M. Blonde, conseiller communal, a

subi une opération chirurgialc, et esten bonne voie de rétablissemenl.

D'autre part M., Edgard De Swanfvient d'être conduit dans une cliniquebruxelloise pour y être opéré.

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A' la suite des instances de M. le gou-verneur de la province, pour la res-tauration de l'église de Mariakerke, laVille vient d'arrêter deux projets : le1er, prévoyant les travaux de réfectionà effectuer au bâtiment et évalués à70.000 fr.; le 2mc, la restauration etla construction d'une seconde nef es-timée à 200.000 frs. En exécutant l'un deces projets, il ne faudrait pas construi-re de nouvelle église à Mariakerke.Parlez pour le muet !pour les chevaux, pour les mules, lespetits ânes surchargés, battus et malnourris.Des bains au Palace. •

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Une bonne zwanze. ~. La vieille zwanze bruxelloise ne perdjamais ses droits. Kilo s'exerce même

•a Ostcndc à l'occasion, et mOme an dé-': triment des journalistes, ainsi que le

prouve l'histoire que nous allons ra-conter. •

-*'- Or donc, le rédacteur du Nord Mari-time de Dunkerquê, qui publie danscon journal un article à Oslende que

: nous avons d'ailleurs commenlé mer-? iredi dernier, s'était installé le jour du• Vindictivo Daij dans un établissement; du centre dont le propriétaire est unbrave bruxellois. Le journalisle remar-qua (à tort ou à raison) que le proprié-taire pratiquait deux prix, un pour les

• Kelges, l'autre pour les étrangers. Cu-rieux de savoir comment le patron fai--sait son compte pour ne pu* s'y trom-per, il en demanda l'explication à laserveuse. La serveuse était de Bru-

; xelles. Elle raconta un énorme bobardau journaliste qui le prit pour de lamonnaie courante et en fit état dansson journal. -..•>

Nous avons ainsi pu lire '.ans leNord Maritime :

€ Comment les serveuses s'y reconnaissenl-" elles pour pratiquer les deux prix à Ostemle?

C'est bien ' simple ! En Belgique, l'alliance §e,.porte à l'annulaire droit. Les étrangers (fran-~. cals, anglais, italiens, etc.) ont l'anneau ma-,-; trlmonlal à la main gauche. Dès lors, un sim-

ple coup d'œll sur les mains permet d'Mcn-,; tifier les sujets belges et de leur faire -Mn^-

ficiep d'une ristourne. » •C'est drôle, en effet. ! Mais les ser-

veuses seront l'es premières à rire du'bon tour joué par l'une d'elles à un in-• formateur trop téméraire et qui n'a

écrit que des choses déplaisantes surOslende ! r y '•'•'.;.•'•

C m i n r l e Voyez en 6me page la prothèse.O l I U r U S auriculaire « L'AURIVIBHIL ». ...

Les t o m b e s des h é r o s d u > « V i n d i c -a t i v e » . . : ••;'y •••- .'•..:.•''. • :-;':- •.Plusieurs personnes qui ont visité

les tombes des héros au Vindiclivc aucimetière de la rue des Deniers, nousont exprimé leur étonnement du peu

"de soins dont ces tombes sont l'objet."Les anglais surtout, qui entretiennentavec un soin jaloux les tombes de leurshéros, l'ont remarqué et ont fait d'a-

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tende ». La loge occupait une maison"de la rue du Quai, > qui Tut longtempshabitée par M. de Doncquors. Plus tardelle s'installa rue Longue. Elle ne filplus parler d'elle dans les premièresannées qui suivirent la révolulîon de1830. Tous les maçons d'Oslcndc mou-

' rirent dans le giron de l'Eglise et au-cun d'eux ne se distingua par des opi-nions exaltées. Le prince Frédéric desPays-Bas, vint assister en 1827, à unedes réunions hebdomadaires'de la loged'Ostende. ' ' ;

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Félix sur l'arc-en-ciel. " "L'opinion publique; film de Charlie

Chaplin;* mise en scène, de CharlieChaplin; mais'Charlie'ne paraît pas.On sent dans la composition de cefilm, le cerveau de l'homme de génie;mille petites choses de la vie y sont mi.-ses en*-vàleur; les détails' sont, soignésavec amour" ;; aucune faute dans' la"composition des gens et "des lieux; dela vérité prise sur le vif et d'une ba-nalité journalière; mais cette bana-lité-- est • exhaussée, magnifiée -;VparCharlic Chaplin qui a su la voir, -r

'Le scénario; une constatation; mê-me pas une lcpon moralisatrice; unesimple constatation. Ce film n'est baséque sur l'intransigeance ; des parentsde deux jeunes gêné qui s'aiment; ilscraignent le qu'on dira-l-on; vie cou-rante. Au lieu dii bonheur cette intran-sigeance ne leur procure gue misère,débauche, 'douleur : et 'suicide. " Toutel'action s'enchaîne sans coup de théâ-tre; de simples coïncidences commeil en arrive à tout le monde; les faitspassent et nous les vivons. : .

Les acteurs étaient remarquables;les deux pores inintelligents; la mèrebonne mais simple; Marie sentimen-tale et incomprise; le jeune hommefaible et obéissant; le riche célibatairecynique et.jouisseur. M'enjou a incar-né ce rôle avec une finesse inégalable;des sourires ironiques; des gestes élé-gants et cet accoutrement vieille Eu-rope, qui doit ébahir les Américains.De 1res belles pliolos simple.s et' poi-gnantes ; le village du début ; la gare ;les intérieurs riches et pauvres; les lu-mières des wagons invisibles < quiéclairent par intermittence la jeunefille, le pont la nuit et beaucoup d'au-tres encore.

Belle réalisation. Belle iii.!arpréf.i-lion. % '

iCharlie Chaplin a fait preuve d'unecertaine audace en. mettant en scènece film plein d'amertume. Véritableréquisitoire. D'ailleurs il me semblequ'à ses débuts il à provoqué pas malde bruit et de critique; il y a de quoi;on n'aime généralement pas recon-naître ses travers môme dans l'oibscu-,'itc. • . - . -. • p61ix LABTSSE.

Chronique de la beauté féminine

Un- des apanages de la femme est sanscontredit le buste. ".. ' \

Seulement depuis quelques temps se posela question :,En faut-jl?. N'en faut-H p a s ?;> La mode — cette crtfelle déesse; et peut-être une de nos plus grandes' ennemies lors-qu'elle s'en'prend à notre corps après'-s'être

j emparée de nos vêtements r - la mode, donc,a décidé de sa- voix souveraine : « II n'enfaut pas... pour ' le moment! •> :•.- 4] \ . r- A l'intention de nos 'lectrices j 'ai cueilli

dans un quotidien bruxellois l'avis d'un maî-tre-journaliste, Maurice de Waleffe, ce belgequi a conquis droit de cité, à Paris dont ilest un des critiques les plus avertis et aussides plus écoutés... surtout des femmes.*

~HLA QUERELLE DES # '- ' ^ > DEUX DECOLLETES. ï

•Un groupe d'artistes "exposants au Salonsde Paris, a écrit aux grands couturiers pari-siens, pour plaider la cause du décolleté.•;« Nous "déplorons, écrivenWls, que le dé-

-cblletage : de la poitrine," qui forme une suitesi .naturelle et. si seyante à la présentationdu visage et du cou,, soit remplacé aujour-d'hui par la déhudation du dos, surface plate,banate, sans personnalité, sans intérêt. » -

Ce groupe de jeunes artistes me paraît bienhardi. Sait-il .qu'il s'attaque ici à toute uneesthétique, que dis-je? à toute une morale,la môrale-qui nous a donné la jupe plate etle cheveu court, collé au crâne, la femme-homme, le troisième sexe, celui qui ne veutplus faire les enfants", qui ne veut plus fairela cuisine, ni le ménage, ni la couture, maisprétend exercer des métiers masculins etnous imiter en tout. : '••' i: "•':- On a soutenu- qu'il n'y avait entre le corpsd'Adam et d,'Eye qu'une bien petite différen-ce. Un humoriste s'est même écrié : « Hur-rah pour la petite différence! » Mais cettepetite différence, tout l'effort de l'art à tra-vers les siècles n'a jamais été que pour l'a-grandir! : ;. - ••;••'•" / '

Le principe de la parure et de la toilettede la femme est donc qu'elle doit être aussiféminine que possible. Dès lors, la querelleentre le décolleté du dos. et le décolleté dela poitrine n'est-elle < pas;tranchée? ;

Les couturiers vont répondre que ce qu'onimagine est" plus suggestif que ce qu'on voit.Ainsi, en cachant la poitrine, ils lui donne-raient une valeur plus mystérieuse et plustroublante! Mais, avec ce beau raisonnement,on se demande pourquoi ils ne remontent pasla robe jusque sur la figure?

Ce serait encore plus suggestif! Et la fem-me la plus troublante serait la religieuse, quine montre que le bout de son nez!

Non. Ces messieurs feraient mieux de l'a-vouer. Ils décollettent le dos parce qu'ilsn'aiment plus Ja poitrine. Voilà tout! C'estun charme qui a passé de mode. Pourquoi?

En réalité, ce fut une victoire de l'Angle-terre sur la France. L'Anglais et l'Anglaisesont beaux, mais ils ont le corps générale-ment osseux et maigre. Cela ne suppose nide très belles jambes chez l'homme ni detrès belles'gorges chez'la femme. .Voilà pour-quoi les tailleurs de Londres nous ont impo-sé, à nous autres hommes qui portions cu-lottes depuis des siècles, de porter des pan-talons.

Et voilà pourquoi certaines grandes ladicstrès distinguées, qui avaient de la branche,mais peu de feuilles et souffraient cruelle-ment de ce qu'elles devaient montrer le soir,ont demandé à nos couturiers de retournerla façade de la maison, de mettre les fenê-tres par derrière. Par derrière, le paysageétait plus solide! Nos couturiers ont obéi, Ettoutes les femmes de la terre ont suivi. Çachangeait. C'était amusant.

Oui. Mais la nature, qui, elle, ne changepas si vite, s'est trouvée fort mal à l'aise.Il y avait du monde aux fenêtres, par de-vant. Et ce monde-là protestait violemmenten France, s'il ne protestait pas en Angle-terre. On lui a répondu en le murant davan-tage. Ces seins, qu'on ne voulait plus voir,et qui s'obstinaient, on les a matés en lesaplatissant. Vous savez les supplices chinoisqui leur sont appliqués.

Les mannequins, de belles jeunes filles de20 ans, aux seins en fleur, s'enroulaient dansdes bandes bien serrées, jusqu'à ce qu'ellesn'eussent plus sur l'estomac que deux mem-branes pendant comme des sacs de cuir fri-pé. Et quand les deux globes orgueilleux ré-sistaient, on a appelé le chirurgien. 11 enle-vait cela comme une tumeur!

J'aimais encore mieux le corset. Au moins,quand le corset déformait la femme, il la dé-formait dans le sens logique de la féminité,pour la rendre plus femme et plus désirable,en gonflant ses charmes. Le .serre-gorge d!au-jourd'huî la déforme dans le sens négatif,avortlf et stérilisateur. - -̂

Heureusement, cette ablation du sein nes'est pas encore fixée comme un caractèreanatomique héréditaire, et les jeunes généra-tions féminines réagissent déjà! Les robes dujour .'sont gonflées de jeunes espoirs. " :•':> Ce sont lés robes du soir qui résistent, quine veulent pas se retourner, qui s'obstinentà nous découvrir dès dos plats sans intérêt,des plaines désertiques au lieu de ces vallonsde la Terre Promise, au lieu de ces deuxcoltines ayant une rosé à leur sommet, devantlesquelles ^ nos pères-ont appris à rêver, àprier et à aimer! -•* ; ̂ "" ; TV• Par bonheur, les. belles Américaines, race

jeune et sculpturale, ont de la poitrine, et su-• p e i b e ! •' • • ' '" ••'• • ? • • -*'/--"\. •; • . • • y . : ' • ••••'; ':

Et voilà pourquoi je ne suis pas très in-quiet. La mode de la poitrine reviendra. Je ledis aux jeunes artistes. Ils reverront les char-mants paysages après lesquels ils soupirent.»

Rien de ce qui nous touche ne laisse cebel esprit indifférent. • . _' : •••• :

II était intéressant de connaître son opi-nion sur un des sujets les plus délicats, sujetsur lequel je. reviendrai dans mes prochaineschroniques. ' i -v ,:-- { •:,.

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Faisant suite au Grand Prix de Belgiquej des 24 heures, du R. 'A. C. B., nous verrons

se disputer sur ce même circuit de Francor-cli.imps, le dimanche 15 juillet, le Grand Prixde Belgique des Motos de la F. M. B.

On sait l'intérêt qui s'attache chaque an-

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née à cette journée, toujours féconde, entjpé-ripéties émouvantes?*^Bj\ lut tes opiniâtres.Car,; la moto p l u ^ u e ? ! $ u t o encore, a gardéson carctère spôrtiî et cela, en raison,mêmede la nature de l'engin qui fait corps en quel-que sorte avec le.pilote. On s'accorde géné-ralement à trouver une réelle beauté dansl'ensemble que forment le coureur motocy-cliste avec sa machine. Et, de fait, il y a làquelque chose "de viril, d'harmonieux etd'athlétique, bien fait pour séduire tous lespassionnés de sport. . : ' ' ' ' ;

Le Grand Prix de Belgique nous réserveracette année encore, à cet égard, de belles etsaines émotions car les pilotes anglais, alle-mands et belges les plus réputés se trouve-ront à la ligne de départ. " .-

Ajotons que le règlement prévoit cette an-née quatre catégories de motos : les .175 ce,les 250, les 350 et les 500, qui auront respec-tivement à couvrir : 268 k. 200, 327 k. 800,387 k. 400 et 417 k. 200, soit 18, 22, 26 et 28tours du circuit de 14 kilom. 200. -~• 11 y aura du sport le dimanche 15 juillet

sur le track de Francorchamps. : : ; •

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FOOTBALL.Le tour final pour.la descente en Division I,

v ; encore l'affaire Tilmont.Le Comité Sportif de l'Union Belge s'est

réuni lundi soir pour procéder au tirage ausort des rencontres du tour, final pour dési-gner le club qui descendra de- division d'hon-neur en division 1 avec le S. C. Anderlech-t o i s . , •. - > ' ^ ' ' 1 - ! . : ' " 1 ' i : ! ! r ' ' ^ ' - - : i ' " ; i i ' .'^',^ > • • : •

L'ordre des rencontres a été fixé par jour-nées, mais aucune date arrêtée car le~R. C.Malines et le-F. C. Bruges vont faire oppo-sition contre la décision du Comité exécutifdans l'affaire Tilmont arguant qu'iKy ajerreurde fait e t d e droit. : &.: « " .

Quoi qu'il en soit, le Comité sportif a éta-bli comme suit l'ordre des rencontres' ï •••.>::. "

Première journée : R. C. BruxelIes-^-DaringC. B. au terrain du R. C; Malinois. ^ ' ^ •

R. C. Malines—F. C. Brugeois au terraindu Daririg Ç. B. ' - - r ç . v ^ i»v %. Deuxième journée. — Daring C.. B.-—R. C.Malines, au terrain du F. C. Brugeois;'"'• F. C. Brugeois—R. C. Bruxelles, au terraindu Daring C. B. •*-.,. v v r - • • i 2-vKi«v, -. Troisième jouriTée. — F. C. Brugeois-^-Da-

ring C. B.; au terrain du R. C. Bruxelles. ">"• R. C. Malines—R. C. Bruxelles,; au terraindu.f. C. Brugeois. : •-'^^".''•.^^•:":^

NeurasthénieLa neurasthénie — •,

"dont tout l e ï monde• aujourd'hui est plusiou moins menacé —

-'n'estg; autre^s?chose"qu'une profonde dé-pression nerveuse ré-sultant de fatigue ex-cessive,'de surmena- :

ge intellectuel ou physique, ^d'anémie pu decommotions morales trop violentes; Le neu-rasthénique éprouve parfois cette .sensationangoissante d'avoir la tête prise dans un cas- ;que qui, peu à peu, se resserre. Ge symptô-me est un des plus caractéristiques Se la m a - 'ladie à son point culminant. II-est urgent de•combattre le mal dès ses premières manifes-Jrations. Aussi, quand vous vous sentez las,"énervé, abattu, quand vos nuits sont agitées,que vos fonctions digestives s'accomplissent ;mal, que,vos facultés se-troublent;' ayez re-cours,aux Pilules Pink qui reconstitueront vo-tre organisme affaibli et déprimé en rendan t /à votre sang sa richesse * a"moindrie, à- vosnerfs leur résistance défaillante et à vos fonc-tions organiques toute leur activité. > " ;

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27. Roger Vercruysse, 7 jours, r.du Nord,37.'-. 29. Gustave Cornillie, <K) ans, 6p. de Anas-tasle Scharre, -r. des Brlquetiers, 67.— Hélè-ne Depauw, 75 ans, veuve de Richard Sley-ter, et Pierre Degi-uyter, r. St. François, 22.

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