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JOURNEES
ALIMENTATION SANTE
STÉPHANIE TIPREZ
Chef de projet Normalisation
Département Agroalimentaire, Santé
et Action Sociale
AFNOR Normalisation
LA NORMALISATION
UN CADREDE PROGRÈSPOUR TOUS
Stéphanie TIPREZ
01 41 62 84 76
LA ROCHELLE, 21 JUIN 2018
Page 2
SOMMAIRE
Le Groupe AFNOR
La normalisation, les normes
C’est quoi, à quoi ça sert, comment ça marche ?
Deux exemples concrets dans le contexte de la nutrition
spécialisée
Page 3
LE GROUPE AFNOR
Page 4
LE GROUPE AFNOR
Groupe international de services organisé autour
de 4 grands domaines de compétences :
Normalisation
Évaluation et certification
Particularité : Les missions de normalisation et de diffusion de normes sont
reconnues d’intérêt général (Décret 697/2009)
Édition
Formation&
conseil
Page 5
LE GROUPE AFNOR
Chiffres clés
✓ Effectif : 1254 dont 230 à
l’international
✓ 12 délégations régionales
✓ 39 implantations dans le monde
✓ Relations commerciales avec
100 pays
✓ 74000 clients
✓ 19000 acteurs impliqués en
normalisation
✓ 1950 auditeurs et formateurs
Page 6
250collaborateurs
20 000clients
Association loi 1901, non gouvernementale,
reconnue d’utilité publique.
Décret n°2009-697 du 16 juin 2009
Deux missions principales :
Conseiller et appuyer les stratégies de
normalisation de nos clients partenaires au
niveau national, européen et international
Animer la normalisation nationale et
représenter la France
2ème
organisme
de normalisation
européen
3ème ex aequodans le monde,
aux côtés de l’Allemagne,
des États-Unis et du Japon
AFNOR NORMALISATION
SOURCE DE CONFIANCE DEPUIS 1926
Page 7
LA NORMALISATION, LES NORMES C’EST QUOI ?
Page 8
LES NORMES IMPACTENT NOTRE VIE AU QUOTIDIEN
Interopérabilité
NF EN 16104
Système métrique
ISO 1000
Management
de la qualité
Série ISO
9000
Services
touristiques
Agences de
voyage
NF EN 13809
Bouchons
NF B
57
-10
1
Feuille format A4
Casques et écouteurs
associés avec un
baladeur
NF EN 50332-1
Cartes de transactions
financières
NF ISO 9992-1
Page 9
La norme volontaire fournit des lignes directrices, des prescriptions techniques
ou qualitatives pour des produits, des services ou des pratiques.
Elle agit ainsi comme un cadre de référence pour tous les secteurs professionnels.
Information &
communication
numérique
Ingénierie industrielle,
biens d’équipement et
matériaux
Electro-
technologiesPétrole
Gaz Biens de
consommation,
sports et loisirs
Management &
services
Environnement
et
responsabilité
sociétale
Grand cycle de
l’eau
Agro-
alimentaire
Transport et
logistique
Santé et
sécurité au
travail
Santé et action
sociale
Construction et
urbanisme
Utilisation
rationnelle de
l’énergie
UN CADRE DE RÉFÉRENCE
Page 10
UN OUTIL CO-PRODUIT COLLECTIVEMENT
D’APPLICATION VOLONTAIRE
LA NORME EST VOLONTAIRE
Vous pouvez ou non y participer
et vous y référer
Ce sont les acteurs du marché qui :
▪ proposent sa création
▪ l’élaborent par consensus, au sein
d’un collectif de travail dédié
▪ la valident
▪ et l’appliquent
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LA NORME VOLONTAIRE
AU SERVICE DE L’INTÉRÊT GÉNÉRAL
Pour les entreprises, la norme volontaire est synonyme de performance, de
compétitivité, de qualité, d’innovation et de sécurité.
Pour les collaborateurs d’une entreprise, elle améliore les conditions de travail
et de sécurité.
Pour les acteurs publics, elle aide à la mise en œuvre des politiques publiques
et à traiter les enjeux sociétaux
Pour les collectivités, elle facilite et simplifie leurs consultations et leurs achats.
Pour les consommateurs, elle améliore la confiance à accorder aux produits et
services achetés.
La normalisation identifie de manière consensuelle les bonnes
pratiques et les associe durablement à la vie de l’entreprise.
Le responsable de l’une des divisions Ingénierie d’EDF‘‘
‘‘
Page 12
LA NORME VOLONTAIRE
EN CHIFFRES
34 375normes volontaires existent.Elles concernent tous les secteurs de l’économie mondiale.
2 000normes sont publiées chaque année et presque autant sont supprimées.
90%des normes sont d’origine européenne ou internationale.
65%des normes publiées chaque année sont des révisions.
35%sont des nouveaux sujets.1%
des normes sont obligatoires.
Page 13
LA NORMALISATION, LES NORMES A QUOI ÇA SERT ?
Page 14
Page 15
LA NORMALISATION : À QUOI ÇA SERT ?
Qualité et sécurité
Ex. spécifications de produitsTransfert de technologiesEx. Nanotechnologies
InteropérabilitéEx. structure et format d'échange de données
Mise en conformitéavec la réglementation
Ex. normes harmonisées
Outils de mesureEx. méthodes d’analyse
Donne confianceaux consommateurset aux prescripteurs
La normalisation au cœur de
l’activité des organisations
Langage communEx. vocabulaire, terminologie
Développe les marchésEx. viandes 3 mm
Sécurise les choix stratégiques des entreprises et organisations
Réduit les risques et les impacts environnementauxEx. ISO 14001
Outils méthodologiquesEx. systèmes de management
Page 16
LA NORMALISATION, LES NORMES COMMENT ÇA MARCHE?
Page 17
LA NORMALISATION EN FRANCE, EN EUROPE ET DANS LE MONDE
Normes internationales : Reprise volontaire par les 161 pays de l’ISO
Normes européennes : Reprise obligatoire dans les 34 pays du CENAnnulation des normes nationales sur le même sujet
ISO
Niveau
européen
Niveau
national
Niveau
international
CEN
Organismes nationaux de normalisation
AFNOR, AENOR, DIN, UNI….
Accord entre
le CEN et
l’ISO pour
éviter
duplication
des travaux
Page 18
LE CENMembres du CEN
(34 au 1er janvier 2017)
Islande
Norvège
Suisse
Malte
Biélorussie
Ukraine
Moldavie
République
Tchèque Slovaquie
HongrieLiechtenstein
Géorgie
Arménie
Suède
Finlande
Danemark
Royaume-
Uni
Irlande
Allemagne
Autriche
Pays-Bas
France
Luxembourg
EspagnePortugal
Italie
Grèce
Belgique
Estonie
Lettonie
Lituanie
Pologne
Roumanie
Croatie
Bulgarie
Turquie
Slovénie
Chypre
Albanie
Serbie
Macédoine
Bosnie &Herzégovine
Monténégro
Parties prenantesIndustries, gouvernements,
consommateurs…
21 887
normes
476
comités
techniques
Basé à Bruxelles
Page 19
20 000
normes
Pays membres161 organismes de normalisation
Parties prenantesIndustries,
gouvernements, consommateurs…
Secrétariat CentralBasé à Genève
L’ISO
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LA NORMALISATION PAS À PAS
Proposition Etude Elaboration
collective
Promotion de la
Position française
EnquêtePrise en compte
Des commentaireValidation et
publication
Révision
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LA NORMALISATION PAS À PAS
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LA NORMALISATION PAS À PAS
Page 23
LA NORMALISATION PAS À PAS
Page 24
LA NORMALISATION PAS À PAS
Page 25
LA NORMALISATION PAS À PAS
Page 26
DEUX EXEMPLES CONCRETS DANS LE CONTEXTE DE LA NUTRITION SPECIALISEE
Page 27
NUTRITION SPECIALISEE : DEUX EXEMPLES CONCRETS
NF V94-001:2012, Prévention du
dopage dans le sport - Compléments
alimentaires et autres denrées
alimentaires destinés aux sportifs -
Bonnes pratiques de développement
et de fabrication visant l'absence de
substances dopantes
NF V90-001:2017, Aliments infantiles (0 -
3 ans) - Symbole graphique pour
l'identification d'aliments destinés aux
enfants de 0 à 3 ans et exigences
d'informations associées
Page 28
NUTRITION SPECIALISEE : DEUX EXEMPLES CONCRETS
Comité d’Orientation
Stratégique
Agroalimentaire
Page 29
AFNOR/D94S
NUTRITION SPECIALISEE : DEUX EXEMPLES CONCRETS
AFNOR/V90B(1,5 à 2 mois)
Page 30
NUTRITION SPECIALISEE : DEUX EXEMPLES CONCRETS
Réunion de
dépouillement
AFNOR/
D94SAFNOR/
V90B
2022
Page 31
NORME ALIMENTATION INFANTILE
❖ Décrire les modalités d'application d'un symbole graphique à apposer sur
les aliments, préparés ou destinés à la préparation d'un repas pour enfants
de 0 à 3 ans dans le cadre d’une alimentation équilibrée favorable à leur
santé.
❖ Ce symbole s’applique sur les produits spécifiquement adaptés à
l’alimentation du nourrisson et des enfants en bas âge. Il ne s’applique pas
aux compléments alimentaires.
❖ Les acteurs utilisant ce signe s’engagent à informer le consommateur, les
professionnels de la petite enfance sur l’alimentation adaptée à l’enfant et à
apporter les conseils pratiques liés à la bonne utilisation ou préparation des
produits concernés.
Page 32
NORME COMPLEMENTS ALIMENTAIRES POUR SPORTIFS
❖ Décrire les exigences relatives au développement et à la fabrication des
compléments alimentaires et autres denrées alimentaires destinés aux
sportifs exempts de substances interdites par la Convention Internationale
de l'UNESCO contre le dopage dans le sport.
❖ Spécifier un cadre de bonnes pratiques dont l’objectif est de s’assurer de
l'absence de substances interdites dans le sport dans le produit fini mis sur
le marché.
CEN/TC 453
Dietary supplements and
sports food free of doping
substances
Page 33
EN SAVOIR PLUS….
https://normalisation.afnor.org/
https://www.afnor.org/
http://www.francenormalisation.fr/
Page 34
MERCI !11 rue Francis de Pressensé
93 571 La Plaine Saint-Denis Cedex
Tél. 01 41 62 80 00
Fax. 01 49 17 90 00