EDI Echange de données informatisées

8/12/2019 EDI Echange de donnes informatises

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Module 307

Intgration de logiciels

E.D.I.

IntroductionEdifact

EDI/XML

Bibliographie

Webographie

Grard-Michel Cochard

[email protected]
mailto:[email protected]:[email protected]://c%7C/IEM/gmC307/GMC/EDI/EDI.pdf


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Echange de donnes informatis

Introduction

Gnralits

DI est un achronisme signifiant initialement Electronic Data Interchange". La traduction usuelle enranais est "Echange de Donnes Informatises" ou "Echange de Donnes Informatis" car c'est aussiien l'change que les donnes qui sont "lectroniques", c'est dire numriques.

on but est de transmettre "facilement" des documents de travail comme des bons de commandes, desactures, etc. EDI a trouv dans le e-commerce, une voie de dveloppement importante dans la mesure o laroductivit des entreprises concernes est augmente par cette mthode d'change. Bien entendu, EDIepose sur un certain nombre de "rgles" permettant de retrouver rapidement l'information souhaite sansntervention humaine. On trouvera quelques illustrations de l'usage d'EDI l'adresse suivantettp://www.sterlingcommerce.com/Apps/SuccessStories/ :

e fait EDI extrait l'information des applications courantes d'une entreprise et l'envoie aux partenairese cette entreprise de manire automatique. Ces rgle sont des standards de formats de message. Lestandards connus sont varis ; les plus anciens sont EDIFACT et ANSIX12. Ils ncessitent des logicielspcifiques coupls avec les logiciels d'applications et de gestion et les logiciels de communication.

es bnfices que l'on peut retirer de l'usage d'EDI sont nombreux :

change confortable de documents commerciaux rduction des cots de transaction rduction du flot d'information amlioration du service client rduction des cots de transport et amlioration des conditions de transport rduction des erreurs de transmission etc.

es informations qui peuvent tre changes par EDI sont trs nombreuses. Donnons quelques aperus :

Achats : ordres d'achats, acquittement des ordres d'achat, modification des ordres d'achat,devis,...

Fabrication : spcifications des produits, rsultats de tests, plannings de fabrication,... Comptabilit-Finance : Factures, comptes, bordereaux, ... Marketing : prix, catalogues, suivi des ventes,... Logistique : messages divers

es travaux de standardisation ont t mens par EdiFrance ce qui a abouti au standard EDIFACT.Toutefois la dferlante Internet a profondment remis en cause ce standard, XML devenant le langagedi la transmission de donnes. D'autres projets de standards et les produits correspondants sontpparus, d'o une certaine "crise" de l'EDI. Il semble maintenant qu'un rapprochement entre EDIFACT et
http://www.sterlingcommerce.com/Apps/SuccessStories/http://www.sterlingcommerce.com/Apps/SuccessStories/


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es dveloppements nouveaux soit invitable ce qui conduit ce qu'on appelle maintenant XML/EDI.

'est tout naturellement dans le cadre du B2B que ces changes automatiss se sont dvelopps.

our les dtails on pourra se rfrer l'excellent article de Claude Chiaramonti (Techniques de l'IngnieurH3598 http://www.techniques-ingenieur.fr) qui nous avons emprunt quelques exemples.

EDI et e-Business

n principe, l'EDI ne concerne que les changes lectroniques entre entreprises. On peut donc rattacherEDI ce qu"on appelle maintenant le B2B (Busines To Business) bien qu'apparu avant le concept de e-ommerce. On peut considrer EDI comme un back office de B2B, facilitant les changes rptitifs.

On prend souvent, pour illustrer cette situation, l'exemple d'un supermarch. Ds qu'une vente estffectue et valide au niveau d'une caisse de supermarch, celle-ci tablit un ticket de caisse, informeapplication de gestion de stocks d ela vente effectue. A priodes rgulires, cette application passeommande automatiquement auprs des fournisseurs concerns dans le but de ractualiser les stocks :

l'application de gestion des stocks recherche les caractristiques des produits renouveler. Elle enfabrique un fichier.

ce fichier sert de base la confection de messages normaliss envoys aux fournisseurs concerns. chez le fournisseur, une application ddie traduit ces messages en un fichier qui sera utilis pour

livrer au supermarch les produits renouveler.

ien entendu, ces procdures sont susceptibles d'amlioration. Par exemple, il serait souhaitable de

emplacer la confection de fichier par la mise jour de bases de donnes.

l faut insister sur le fait que l'automatisme recherch doit satisfaire aux conditions suivantes :

les donnes transmises doivent tre connues a priori et structures en vue d'une codification. Ilfaut galement prvoir... l'imprvu : des zones libres de texte correctif doivent tre prvues(donnes exceptionnelles ou supplmentaires par exemple).

il faut la prsence d'outils logiciels de traduction des messages et d'incorporation de leurs donnesdans les applications existantes (mapping).

la codification des messages doit faire l'objet d'un standard pour une comprhension mutuelle

'est videmment ces conditions que l'on pourra atteindre les "5 zros" : zro papier, zro dlai, zrotock, zro dfaut, zro litige.
http://www.techniques-ingenieur.fr/http://www.techniques-ingenieur.fr/


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'exemple du supermarch peut tre gnralis. On peut tendre EDI aux relations entre partenairesivers :

n imaginant sans problme les diffrents changes on peut dresser la liste des messages types ncorporer dans l'EDI et leur codification EDIFACT :


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Malgr ces aspects prometteurs, il faut constater que l'EDI ne s'est pas vraiment propag dans lesntreprises. En 1998, on pouvait noter qu'aux Etats Unis, si 98% des grandes entreprises pratiquaientEDI, seulement 2% des PME l'utilisaient.


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EDIFACT

Gnralits

DIFACT provient d'une analyse des processus mtiers et n'a donc pas pour origine une technologienformatique (contrairement XML). EDIFACT est un langage deux niveaux : un niveau syntaxique et univeau smantique (c'est encore une diffrence avec XML qui n'est qu'un langage syntaxique).

e niveau syntaxique dcrit un message structur : sparateurs, segments et messages (regroupements deonnes), scnarios (enchanements de messages).

e niveau smantique permet de caractriser les changes en leur donnant un sens correspondant auxransactions usuelles : commandes, factures, ... correspondant aux besoins des utilisateurs. Des rpertoiresnventorient toutes ces caractristiques. Ils sont appels TDID (Trade Data Interchange Directories) etont relatifs des secteurs d'activits prcis (des "communauts" d'utilisateurs ont bti peu peu cespertoires dans le cadre du Cefact (dpendant des Nations Unies) et plus prcisment du EWG (Edifact

Working Group)). Mis jour rgulirement, ces rpertoires se composent de 5 dictionnaires :

le dictionnaire des donnes lmentaires le dictionnaire des donnes composites le dictionnaire des listes de codes le dictionnaire des segments le dictionnaire des messages

Les dictionnaires

dictionnaire des donnes lmentaires

l prsente quatre types de donnes : qualifiants, littraux, donnes d'identification, donnes codes etdentifient des informations simples comme un code postal, un prix unitaire, une date, un code produit, ....

es donnes lmentaires sont reprsentes par un code 4 chiffres, un libell, une description et unormat. Chaque chiffre, sauf celui des dizaines, a une interprtation :


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insi un intervenant pourra tre dcrit par

3035 : qualification de l'intervenant : code donnant une signification prcise au rled'un intervenant

3036 : nom de l'intervenant : nom littral d'un intervenant d'une transaction 3039 : identification de l'intervenant : code identifiant un intervenant dans une

transaction (dfini par un utilisateur ou un organisme) 3045 : code prcisant le format du nom de l'intervenant : nom complet ou initiales ou

nom de jeune fille, ....

dictionnaire des donnes composites

l dfinit des ensembles de donnes lmentaires. Ainsi on pourra donner des dtails sur un intervenant :

C082 : dtail de l'identification d'un intervenant :

3039 : identification del'intervenant1131 : qualifiant d'une liste de codes3055 : organisme responsable d'uneliste de codes

e code de la donne composite est dfini sur une lettre et trois chiffres. La lettre indique le statut : Mmandatory : donne obligatoire), C (conditional : donne facultative).

dictionnaire des listes de codes

omme indiqu plus haut, lorsqu'une donne simple est code par un nombre impair, cela signifie qu'elle estfinie dans une liste de codes. Ces listes sont soit dfinies par l'UNCL (United Nations Code List) ou pares normes internationales : ISO 4217 (codes monnaies), ISO 3166 (codes pays), ISO 2955 ( units duystme international), etc.


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dictionnaire d'un segment

l dfinit des agrgats de donnes lmentaires ou composites. Par exemple, le segment Dimensionsomprendra la donne lmentaire "qualifiant de dimension" et la donne composite "dimensions" composee donnes lmentaires :

DIM : dimensions

6145 : qualifiant de dimensionC211 : dimensions 6411 : qualifiant de l'unit demesure 6168 : longueur 6140 : largeur 6008 : hauteur

dictionnaire des messages

haque message type est dcrit par sa structure (boilerplate) compose de segments ou de groupes deegments. Les messages constituent la base des changes. Un change possde la structure suivante :

vec :


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UNA : segment de serviceUNB : en-tte d'changeUNZ : fin d'changeUNG : en-tte de groupe fonctionnelUNE : fin de groupe fonctionnelUNH : en-tte de messageUNT : fin de message

Un message relatif une commande (message ORDERS) sera, par exemple, reprsent par la successionuivante de segments (le dbut du message est seulement montr ici) :

ette structure est gnralement complte par un diagramme de branchement indiquant comment lesegments s'enchanent ou se rptent. Un exemple est donn ci-dessous avec un message "facture"INVOIC) :


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our chaque segment, on a deux codes : M 1, C 5, par exemple. M signifie que le segment est obligatoiremandatory) et C facultatif (conditional). Le nombre correspond au nombre maximum de rptitions duegment (1 : 1 fois, 35 : 35 fois,... ). Le niveau 0 est rserv aux segments initiaux n'apparaissant qu'uneeule fois.

e diagramme se lit de haut en bas et de gauche droite. On a donc UNH M 1, BGM M 1, DTM M 35, PAI C, ALI C 10, IMD C 1, FTX C 10, Gr.1 C 10, RFF M 1, DTM C 5, Gr.2 C 20, NAD M 1, LOC C 25, FII C 5, Gr.39999, RFF M 1, DTM C 5, ....

Les rgles d'utilisation d'EDIFACT

es rgles de syntaxe d'Edifact sont dfinie dans le document TRADE/WP.4/R.530/Rev.1 du 21/12/1988.

es versions successives ont suivi. Ainsi en 199, 6 jeux de caractres utilisable sont t dfinis : UNOA,UNOB, UNOC, UNOD, UNOE, UNOF. Des caractres spcifiques sont utiliss comme sparateurs. Ainsians UNOA :

: fin de segment: sparateur entre lments de donnes:sparateur entre donnes lmentaires dans une donne composite

es techniques (au demeurant lmentaires) de compression sont utilises pour rduire la taille desmessages comme la suppression des caractres non significatifs : suppression des 0 devant des nombres,

uppression des blancs de remplissage dans des chanes de caractres. On peut aussi supprimer les donnesacultatives pour lesquelles les valeurs ne sont pas fournies.

xemple : segment AAA comprenant les donnes DE1 (lmentaire), DE2 (lmentaire), DC1 (composite),C2 (composite), DE3 (lmentaire), soit AAA+DE1+DE2+DC1+DC2+DE3'. Supposons que les donnes


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omposites soient constitues de la manire suivante :

C1 : ED1C1, ED2C1, ED3C1, ED4C1C2 : ED1C2, ED2C2, ED3C2, ED4C2

e segment s'crira donc AAA+DE1+DE2+ED1C1:ED1C2:ED1C3:ED1C4+ED1C2:ED2C2:ED3C2:ED4C2+DE3'

i la donne lmentaire DE2 est facultative et non valorise, si les donnes ED3C1 et ED4C1 sontacultatives et non valorises, le segment peut alors s'crireAA+DE1++ED1C1:ED2C1:ED3C1:ED4C1+ED1C2:ED2C2+DE3'

Les amliorations d'EDIFACT

ignalons que la mise jour du standard est trs lourds (comme pour tous les standards) car elle ncessitees runions internationales des partenaires (qui doivent videmment tre d'accord sur les propositions).

Malgr ces handicaps, le standard EDIFACT a t largement amlior dans les directions suivantes :

interactivit pour certains besoins (tourisme, sant) multimdia pour prendre en compte ces donnes nouvelles scurit : emploi de messages spciaux ouverture : EDI orient objet

a version 4 de la norme ISO 9735 intgre ces avances :

Mais, entre temps, XML s'est propag dans le monde Internet.....


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XML et EDI

Gnralits

a monte en charge d'Internet grce au Web partir de 1995 et les technologies associes ont fait natre le commerceectronique (e-business). Le langage XML, qui est l'une des technologies Internet, est devenu quant lui le langage universele description structurelle de document. Il tait donc normal que XML soit utilis pour l'change de donnes informatises.

ML possde de nombreux avantages, notamment :

il permet le transport de donnes de types divers y compris multimdias

il permet un affichage personnalis par utilisation de feuille de style et de filtres XSL il permet le dialogue entre systmes de gestion de bases de donnes diffrents

usieurs solutions ont t proposes par les acteurs du e-business :

les solutions des diteurs informatiques : exemple biztalk de Microsoft les solutions de consortiums de standardisation : exemple ebXML de UN/CEFACT et OASIS les solutions des secteurs professionnels : exemple RosettaNet pour les industries lectroniques.

Un survol de ebXML

otons tout d'abord que ebXML permet de dcrire un processus commercial ou processus mtier (Business Process) sous laorme d'un fichier XML appel Business Scenario bti avec un schma : Business Process Specification Schema. Il peut treussi dcrit avec UML.

e schma ci-dessous explicite une transaction entre deux partenaires commerciaux A et B ayant changer des documentsommerciaux).


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e ebXML Registry contient des modles pour les transactions commerciales sous la forme de fichier XML descriptifs. Laocit A qui souhaite tablir des changes commerciaux avec la socit B commence par regarder dans le Registry les

odles et construit ensuite sa propre application commerciale qu'elle implante localement (ebXML fournit pour cela lesutils ncessaires et des composants "prts l'emploi"), puis soumet au Registry son Business Profile qui dcrit les capacitst les contraintes de la socit A et son Business Scenario. Aprs vrification de conformit, un accus de rception estransmis la socit A.

a socit B, suppose avoir dj implant une application ebXML (sinon elle fait comme la socit A), va dcouvrir dans leegistry le Business Profile et le Business Scenario de la socit A. La socit B envoie la socit A une intention deengager avec elle dans un Business Scenario. Les deux socits se mettent d'accord sur les rgles rgissant les

ransactions (y compris les rgles de scurit). Si la socit A est d'accord, les transactions peuvent s'engager.

N/CEFACT propose une mthodologie de modlisation des transactions commerciales appele UMM (UN/CEFACT Modelingethodology) qui comporte deux vues :

Business Operational View : aspects mtiers des transactions auquel il correspond des standards BOV Functional Service View : aspects techniques des transactions auquel il correspond aussi des standards FSV

es deux types de standards BOV et FSV sont relis.

e BOV concerne la smantique des donnes mtiers dans les transactions et les donnes d'change associes ainsi quearchitecture des transactions mtiers : conventions oprationnelles, agrments, obligations mutuelles et contraintes.


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e FSV concerne les capacits fonctionnelles (implmentation, dcouverte, scnarios d'excution), les interfaces (Businesservice Interfaces, pour les utilisateurs et le transfert de donnes), les protocoles et les services relatifs aux messages

Messaging Services).

es phases fonctionnelles d'une transaction ebXML, dcrites succinctement plus haut, sont dtailles comme suit :

Phase d'implmentation

s'agit de construire une infrastructure ebXML. Le partenaire commercial doit d'abord acqurir des copies despcifications ebXML partir du Registry et donc tlcharger les Core Library et Business Library.

Phase de dcouverte et de rcupration

n partenaire commercial qui a implment une Business Service Interface de ebXML peut procder la phase decouverte et de rcupration partir d'un autre partenaire commercial et partir du Registry


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Phase d'excution

es partenaires commerciaux changent par des messages synchroniss et structurs par utilisation du Messaging Servicee ebXML.

'infrastructure de ebXML

e CPP

our changer, les partenaires commerciaux doivent publier a priori des informations sur le processus mtier et sur leursossibilits pour l'change considr. Ceci est fait par le Collaboration Protocol Profile (CPP) qui est un document permettante dcrire le processus mtier et les ncessits de la Business Service Interface de manire standard (pour tre compris deous). Il contient (liste non exhaustive) :

les coordonnes de contact la classification industrielle les rles du partenaire (vendeur, acheteur, ...)

les processus mtiers supports les besoins de l'interface les besoins des messages les informations de scurit

e CPA

n Collaboration Protocol Agreement (CPA) peut tre considr comme l'intersection de deux CPP ; il est mutuellementeconnu par les deux transactionnaires. Il dcrit

le Messaging Service les besoins des processus mtiers

a modlisation de l'information et des processus mtiers

e Metamodle correspondant constitue la base de la construction de spcifications sous forme d'un schma qui peut tre enML ou en DTD.


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omparaison avec d'autres technologies du e-Business


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Echange de donnes informatises

Bibliographie

R. Marchand, H. Agnoux et C. Chiaramonti, Applications EDI sur l'Internet, Eyrolles C. Charmot, L'change de donnes informatis (EDI), Que-sais-je ? Paquel, XML et le dveloppement des EDI, Hermes M.A. Emmelheinz, EDI, L'change de donnes informatises, Dunod


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Echange de donnes informatises

Webographie

ttp://www.techniques-ingenieur.fr(voir les articles H3598 de Claude Chiaramonti, AG5320 d'Aliceguemon, H7348 de Claude Chiaramonti)

ttp://xmlfr.org/index/object.title/edi/

ttp://www.geocities.com/WallStreet/Floor/start.htm?200517
http://www.techniques-ingenieur.fr/http://xmlfr.org/index/object.title/edi/http://www.geocities.com/WallStreet/Floor/start.htm?200517http://www.geocities.com/WallStreet/Floor/start.htm?200517http://xmlfr.org/index/object.title/edi/http://www.techniques-ingenieur.fr/

Documents

EDI Echange de données informatisées