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8000 Enfants Grace à vous, ce sont 1000 enfants, qui seront sauvÉs chaque jour de Hanouka

Hanouka5775

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Prospectus de Hanouka 5775 - Vaad Harabanim

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8000 EnfantsGrace à vous, ce sont 1000

enfants, qui seront sauvÉs chaque jour de Hanouka

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1000 enfants, 1000 lumières

8000 petites mains frappent à votre porte. Des petits Haïm, des petits Avraham, des petites Sarah qui ont l’âge de votre enfant mais qui vivent des situations très difficiles, pour des raisons complexes. Avez-vous pensé une seule fois aux questions que se posent ces enfants : pourquoi mes copains ont des maisons normales et pas moi ? Pourquoi chez moi, il fait toujours froid et sombre ? Pourquoi à la maison, ce sont toujours les mêmes discussions entre papa et maman ?

Lorsque ces enfants se rendent chez leurs amis, ils y croisent des mamans souriantes en train de préparer des beignets. Ils pensent alors à leur mère malade, clouée dans un lit d’hôpital. Ils sont différents, ils le savent et, s’ils sont plus petits, ils le sentent.

un projet grandioseLa vie de Papa est un casse-tête permanent : toute la journée, il cherche à rembourser ses dettes, et pour ce faire, il emprunte à quelqu’un pour rendre à quelqu’un d’autre. Maman pleure et tente de ne pas se lamenter mais parfois elle a des crises de colère. Les enfants ont souvent faim après la demi-tranche de pain qu’ils ont reçu en guise de repas. Quel âge ont-ils ? Dix ans ? Treize ans ? Ils ont la vie devant eux. Et pourtant, ils se sentent tellement différents des autres enfants de leur âge, tellement plus mûrs après les épreuves qu’ils traversent au quotidien. Ils savent déjà que la vie n’est pas un jeu et qu’il y a beaucoup de malheur dans ce monde. Les enfants du Vaad Harabanim pourraient faire des cours magistraux sur l’existence à des adultes aguerris. Ce Hanouka, l’Association de tsedaka va faire, chaque jour, sourire 1000 enfants différents afin qu’ils soient heureux, moins différents des autres. Ils pourront acheter leur médicament et manger à satiété. Ils

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pourront retrouver leur dignité et se sentir aimé. Chaque jour, pour chacun de ces 1000 enfants, c’est une nouvelle période qui commencera, une période moins difficile, sans les obstacles qui les entravent à chaque instant. Regardez votre Hanoukia : à l’intérieur de chaque flamme, vous y verrez mille

visages d’enfants adorables qui font fondre le cœur. Chaque bougie allumée accompagnée d’un don se multipliera par mille.

1000 enfants, 1000 lumières est un projet mondial. Il permet à tous de s’unir pour sauver les enfants du Vaad Harabanim. Ce sont les Grands Sages qui le dirigent. Rav Steinman, lorsqu’il allumera les bougies à l’entrée de chez lui, accompagnera son geste d’un don. Et c’est aussi ce que feront Rav Kaniewsky, Rav Wosner, Rav Abou’hatsera et Rav Chmouel Auerbach ainsi que tous les Grands de la génération.

La fête de Hanouka approche et le peuple entier s’engage afin de faire réussir ce projet grandiose. Quand nous nous tiendrons devant la Hanoukia, nous verrons les visages joyeux et fiers de la petite Judith et de la petite Deborah, du petit Avi et du petit Samuel. Ce sont 8000 visages d’enfants d’âges différents qui apparaîtront devant nous, enfants aux mille tourments qui ont beaucoup souffert.

Ensemble, avec le Vaad Harabanim, éclairons

1000 chaque jour

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c’est avec une bougie dans la main que le Vaad harabanim passera de fenêtre en fenêtre et visitera des maisons, des appartements, et réchauffera le cœur de milliers d’enfants pendant la fête de hanouka. chaque jour, ce seront 1000 enfants supplémentaires qui auront le sourire aux lèvres et, à la fin de la fête, le 8e jour, ce seront 8000 enfants qui célébreront hanouka avec le Vaad harabanim et avec vous, porteurs de la flamme de la tsedaka.

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leur fête et bénéficions ainsi de la bénédiction divine.

Grâce à 1000 enfants, 1000 lumières, chaque jour de Hanouka sera dédié à un enfant, lumière de notre peuple.

1ère lumièreTous les espoirs ont été « déposés » dans la grande valise, toutes les dialyses difficiles vont peut-être cesser et Sim’ha retrouvera ses forces. Depuis plusieurs jours, la petite fille est hospitalisée pour une greffe du rein. Elle entre dans la salle d’opération le cœur serré. Elle pourra enfin dire adieu aux dialyses et devenir une petite fille normale.

Mais malheureusement, la greffe n’a pas réussi. Papa est devenu blême. Sim’ha a crié et maman a pleuré. Comment lui refaire vivre tout ce cycle de souffrances ? Comment perdre tout espoir du jour au lendemain ? La période d’attente est si longue...

Lorsque papa a su que l’on pouvait retenter l’opération, il s’est mis à pleurer : comment financer la nouvelle

intervention ? Sim’ha confie doucement à sa mère, avec le filet de voix qui lui reste, après être sortie de l’hôpital, épuisée : « Je vais mourir à cause de la dialyse… ». Maman la rassure : « L’opération va marcher, c’est promis. »

Les 1000 enfants qui vous attendent le premier jour de Hanouka sont 1000 enfants présents dans les services les plus sensibles des hôpitaux. Des enfants atteints de maladies graves qui ne demandent qu’à vivre.

Ce que nous pouvons tenter de faire pour eux, c’est les aider à reprendre espoir, en ce premier jour de Hanouka.

2e lumière Que se passe t-il dans la tête d’un enfant âgé de huit ans dont la taille ne dépasse pas celle d’un enfant de 4 ans ? Il regarde ses copains de bas en

haut. Ils arrivent déjà à la hauteur des étagères du milieu alors que même sur la pointe de pieds, Arié n’y arrive pas. « C’est un schtroumf ! » le taquinent ses camarades de classe. Arié et son frère Chmouel sont nés avec un grave problème d’hormone de croissance. Ils sont très petits, presque nains. Mais il existe un traitement spéciale qui peut compenser ce manque d’hormones. Or, son coût est très élevé.

De plus, mis à part les problèmes de santé des garçons, une nouvelle difficulté se profile : Mi’hal, la petite sœur, présente les signes d’une maladie psychologique. Elle doit consulter des psychiatres. Le soir, Arié entend son père parler à sa mère, avec un ton angoissé : « C’est cruel de les laisser comme ça ! », « C’est si dur ! » s’exclame alors la maman. « Mais que pouvons-nous faire ? On nous demande l’intégralité du paiement. Sans cela, nous ne pouvons commander l’injection. »

Le cœur d’Arié se serre lorsqu’il se lève doucement. Il s’approche du miroir et se regarde. « J’ai l’air d’un petit schtroumf », pense t-il. Et des larmes brouillent sa vue. Après avoir profondément inspiré, il demande à Chmouel : « Serons-nous toujours des schtroumfs ? » Son frère l’attrape par les épaules : « Ne répète jamais ce mot-là, jamais ! » et des larmes apparaissent dans ses yeux. « Comment as-tu pu sortir ce mot de ta bouche ? »

Maman entend les voix et s’approche. Elle écoute les sanglots. Et dans son cœur, elle ressent l’amertume la plus noire.

Les 1000 enfants du Vaad Harabanm du second jour ont des problèmes mentaux et physiques. Ils ont des parents qui ont les mains liées par les questions financières. Nous pouvons les sauver grâce à un don.

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3e lumière« Maman ! » Tsipi touche le bras de sa maman et celle-ci la repousse comme s’il s’agissait d’une mouche qui venait la titiller. « On a faim ! »

Maman a les yeux clos, et, depuis deux heures, elle est assise sur le canapé, presque inanimée. Les enfants cherchent quelque chose à manger. Tsipi entend ses petits voisins faire le chéma Israël. Mais maman est encore sur le canapé. Le lendemain, en se réveillant, Tsipi n’entend aucun bruit et constate que ses frères ont fini par tomber de fatigue et se sont endormis par terre. Maman est toujours assise sur le canapé et pleure. « Il est parti ! Il est parti ! Et les dettes ! Comment élever mes enfants et leur donner à manger ? »

Maman se réveille lentement en sanglotant. Tsipi veut dire quelque chose mais les pleurs étouffent sa voix. Papa ne veut pas d’eux et il est parti en leur laissant les dettes. Que vont-ils faire quand il n’y aura plus de pain à la maison ? Maman pleure souvent et parle tout le temps au téléphone pour dire des « secrets ». Les créanciers frappent à la porte. Mais elle reste allongée, avec de fortes migraines. Tsipi a peur que maman s’en aille aussi.

Les 1000 enfants du 3e jour souhaitent aider leurs parents en tentant de compenser les graves lacunes du foyer. Ce jour-là, nous chercherons à éloigner les sombres nuages qui obscurcissent leur vie.

4e lumièreNaomi a quinze ans. Elle attrape d’une main le combiné du téléphone et de l’autre dépose une serviette sur le front d’Ephraïm. Aussitôt, la serviette devient rouge. Ephraïm s’est ouvert la tête car il vient de faire une mauvaise chute. À l’autre bout de la ville, Papa est au service oncologique d’un hôpital. Il ne peut s’occuper d’Ephraïm. Son fils Dan réagit mal au traitement de chimiothérapie et ils attendent ensemble le médecin pour savoir quel sera le protocole.

Papa explique gentiment à Naomi : « Appelle maman ! » Mais la jeune fille réplique : « Mais elle est à l’étranger avec Chouki ! » Son père le sait bien, mais il est impuissant. Chouki est effectivement avec sa mère dans un hôpital

à l’étranger en attendant une greffe. Naomi a appelé sa maman qui lui répond de prendre un taxi pour aller aux urgences. « Mais

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814 Opérations urgentes oudélicates

5 123 Aides pour les veuves etles orphelins

4 724 Aidesmédicales

1 263 Soinsdentaires

Paniers alimentaires

24 963

Subventions pour des soutiensscolaire

2 803

Boursesd’entraide

7 490

Grâceà vous !L’année dernière, grâce à vous, des milliers de familles ont assisté à de véritables miracles et ont bénéficié de :

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je n’ai pas d’argent ! » s’exclame Naomi. Maman lui indique alors d’emprunter de l’argent aux voisins. Avec la main sur le front de son frère, elle frappe chez les voisins et ce sont des petits enfants qui lui ouvrent la porte. Leur mère se repose.

Les cris d’Ephraïm font trembler les murs et Naomi ne sait plus quoi faire. Elle a trois petits enfants sous sa responsabilité car papa est à l’hôpital et maman est à l’étranger. Elle se sent comme une petite fille démunie. Elle n’a plus les forces de s’occuper de ses frères et sœurs et de se soucier de tout. Mais plus difficile encore est la hantise de devoir compter chaque centime.

Ces 1000 enfants-là ont une responsabilité énorme et vivent à l’ombre de la mort. Ce sont 1000 enfants qui portent un lourd fardeau sur les épaules, fardeau que nous pouvons alléger.

5e lumière« Calme-toi » demande tendrement Ra’hel, la grand-mère qui tient dans ses bras un petit bébé. Ses yeux sont rouges et ses larmes ne s’arrêtent pas de couler. Les hommes réunis là appréciaient beaucoup son fils. Les femmes connaissaient bien sa belle-fille. Elle

les suit dans le cimetière avec Aaron, leur fils désormais orphelin de père et de mère.

Il riait aux éclats lorsqu’elle le chatouillait jusqu’au moment où le téléphone sonna. Elle entendit dans le combiné le crissement de pneus de la voiture qui écrasa son fils et sa belle-fille. Elle entendit des cris hystériques puis le

silence. D’un jour à l’autre, elle qui n’était plus toute jeune, elle dut accueillir un petit enfant chez elle. Elle n’a malheureusement pas un centime en poche. Le lait est fini et elle n’a plus de couche. Elle ne savait pas que s’occuper d’un nourrisson coûtait tellement cher. Son mari est allé de nouveau emprunter de l’argent. Il est âgé et ne travaille plus. Ce n’est pas avec leur mince retraite qu’ils peuvent élever ce petit orphelin. Rah’el prend le bébé dans ses bras, ce bébé qui ne sait pas ce qui lui arrive ni ce qui lui manque.

Les 1000 enfants du 5e jour sont orphelins. Ils n’ont plus l’amour de leur parent. Ce jour-là, nous les adopterons.

6e lumièreLorsque papa arrive au lycée, Benjamin veut s’enfuir. Ses copains regardent la chaise roulante de son père et les regards furtifs semblent dire : « C’est lui ton père ? C’est pour ça que tu fais des problèmes ! » Le

père dirige sa chaise vers le bureau du directeur et avec l’aide de deux garçons, y parvient en haut de l’escalier. « Je comprends que ce n’est pas simple ! » s’exclame le directeur. Le père baisse les yeux et s’explique : « C’est comme si j’avais perdu deux enfants ! Ils trainent dans la rue, désœuvrés. Monsieur le directeur, le pire c’est de voir son enfant quitter le droit chemin et moi, cela m’est arrivé deux fois ! Benjamin se maintient grâce à votre établissement et reste ici malgré l’insistance de ses frères. Je vous en supplie, gardez mon fils dans votre internat sinon il ne tiendra pas le coup ! »

Le directeur plisse le front et répond : « Nous pouvons faire un effort et attendre mais vous devez absolument régler la scolarité ! » Le père regarde son fils. « Tu resteras un garçon sérieux ? » lui demande t-il. Puis s’adressant au directeur : « C’est tellement difficile pour lui : la pauvreté, la maladie, ses frères. Il n’a qu’un espoir : l’école. »

Le 6e jour, ce sont 1000 âmes dont l’avenir spirituel et matériel dépend de vous. Votre don est important, nous pouvons les sauver.

7e lumièreIsraël glisse dans la poche de son pantalon l’invitation qu’il a reçue et la plie en mille, croyant ainsi régler ses problèmes. Lui aussi doit fêter sa bar mitsva dans un mois. Sa bar mitsva ? Un soupir s’échappe de ses lèvres. Lorsqu’il rentre chez lui, il ne voit pas sa mère sur le pas de la porte et la heurte sans faire exprès. Elle tient un morceau de coton sur sa bouche tout en parlant dans son téléphone portable. « Tu te rends compte, 2 000 euros pour des soins dentaires ! Comment allons-nous faire ? » Maman prend depuis longtemps des calmants en grande quantité pour calmer les douleurs. Mais Israël a peur qu’il lui arrive quelque chose. « Descends s’il te plait ! Le transport scolaire de Myriam est arrivé », lui demande-t-elle. Mais il n’a plus les forces. Il récupère sa petite sœur et monte la chaise roulante jusqu’à la maison. Papa est assis les yeux fermés, gonflés par les médicaments et énervé. « Vous avez acheté mes médicaments ? »

Israël a peur pour

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sa bar mitsva. Ils ne lui ont fait essayer aucun costume, ni n’ont contacté aucune salle. Ses amis, eux, n’ont pas un père malade et une sœur handicapée. Il sait que le principal, c’est la santé, et qu’il puisse mettre les tefiline. Mais son cœur se serre malgré tout en constatant que rien ne se prépare pour sa bar mitsva.

Les 1000 enfants du 7e jour ne sont que des enfants mais traversent des épreuves d’adultes. Ils sont en classe avec d’autres enfants, les vôtres, mais personne ne leur sourit le matin. Votre geste leur rendra le sourire.

8e lumière« Arrête ! » crie maman en soutenant Tova. Sa tête tourne et ses yeux sont révulsés. Il faut arrêter à tout prix la nouvelle crise de folie de la jeune fille. Tova crie, hystérique et les enfants courent fermer les fenêtres. La maison ressemble à un asile psychiatrique depuis que papa est décédé. Les voisins entendent les cris et ont de la peine pour les petits orphelins mais sont impuissants. Le petit Moché dit à Maman : « Il faudrait envoyer Tova avec Méïr ! » Et maman de penser : « Hachem s’il te plait, aide-moi ! Tova n’a pas besoin d’un hôpital psychiatrique mais juste de bons médicaments. » Puis Tova retombe sur une chaise et pleure, secouée de sanglots. « Tu verras, ça va aller ma fille chérie, tu vas t’en sortir ! Hachem, père des orphelins, aies de la miséricorde pour Tes enfants ! Méïr est déjà hospitalisé. D.ieu, aies pitié pour ses petits frères, et qu’ils restent sains d’esprit ! ».

Maman a les yeux cernés. Elle a du mal à se sortir de sa propre maladie et elle doit s’occuper de ses enfants. Le lendemain, c’est le jour anniversaire du décès de son mari. 10 ans déjà…

Les 1000 enfants du dernier jour ont des problèmes financiers et médicaux. Combien d’enfants sombrent à cause des difficultés pécuniaires et du manque de soins ? Un don peut éviter un naufrage complet en allégeant financièrement une famille. En ce dernier jour de Hanouka, nous accueillerons 1000 enfants et permettrons d’éviter le prochain drame.

1000 enfants, 1000 lumières.

il ne se passera pas un jour de hanouka sans que nous aidions un enfant. chaque enfant a son histoire et grâce à notre don, même minime, nous lui apporterons l’espoir qui le fera reViVre. 1000 enfants par jour, 1000 lumières qui brillent dans la nuit, 8000 miracles de hanouka, grâce à Vous.

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Les Grands Rabbanim de notre génération, comme chaque année, allumeront les bougies de Hanouka pour les donateurs du Vaad Harabanim. Eclairés par une lumière intérieure, celle de la Thora et du ‘hessed, ils transmettront la flamme de la solidarité. Chaque

l'allumage des grands de la génération

Notre maitre le Gaon Rav D. Abou'hatseira

Chl

ita

Notre maitre le Gaon Rav A. L. Steinman Chlita

Notre maitre le Gaon Rav H. Kaniewsky Chlita

Notre maitre le Gaon Rav Y. Adess Chlita

Notre maitre le Gaon Rav C. Auerbach Chlita

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l'allumage des grands de la générationâme est primordiale, d’une valeur inestimable. En participant à l’œuvre du Vaad Harabanim, les Sages et décisionnaires apportent davantage qu’un soutien matériel : ils nous rappellent que nous sommes frères et que chacun d’entre nous éclaire le monde d’une façon irremplaçable.

Notre maitre le Gaon Rav R. Elbaz Chlita

Notre maitre le Gaon Rav G. Edelstein Chlita

Notre maitre le Gaon Rav l'Admour de Rahmastrivka

Chlit

a

Notre maitre le Gaon Rav Y. Adess Chlita

Notre maitre le Gaon Rav N. Karelits Chlit

a

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Hanouka est la fête des lumières car elle célèbre le miracle de la fiole d’huile de 24 heures ayant brûlé huit jours. Derrière ce miracle se profile celui de la victoire militaire, qui permit à nos ancêtres de réinstaurer le service dans le Temple, souillé par les Grecs qui pourchassaient les Juifs afin de les helléniser de force. Cette lutte pour préserver nos valeurs et notre foi fut couronnée de succès grâce à l’engagement des Maccabées, ces Cohanim qui ne maniaient ni la lance ni l’arbalète. Numériquement beaucoup plus faibles, militairement incomparablement moins entrainés, Matityahou et ses fils combattent sans relâche afin de préserver l’enseignement de Moïse et d’Aharon. Descendants du Grand Prêtre qui ne recherchait que la paix, ils mettent leur vie en danger pour la gloire divine. La question qui se pose pourtant à tous : comment une poignée d’hommes a-t-elle pu mettre en déroute une armée organisée et puissante ?

L’arme redoutableLa victoire ne sera pas obtenue grâce à des tactiques stratégiques ni grâce à la force du poignet. C’est grâce à la prière que les Cohanim se sont imposés, et cette prière est restée une force vive pour tous leurs descendants. Arme redoutable capable de renverser les décrets, la prière se conjugue à tous les modes, à

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Les Cohanim, la force de l’espoirQui pourrait croire qu’un bataillon constitué de Sages n’ayant aucune expérience des armes l’emporterait sur l’une des plus puissantes armées du monde ? Qui pourrait croire que les ennemis du peuple juif devraient reculer devant la détermination de Cohanim imprégnés de la seule force de la emouna ? Hanouka nous apporte les réponses, et nous redonne l’espoir.

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toutes l e s

époques : elle est intemporelle et immatérielle, et

possède une puissance invisible. Parfois enthousiaste et ardente, parfois suppliante et poignante, elle bouleverse les mondes supérieures. Elle ne capitule jamais, résonne et raisonne : l’homme qui prie a des arguments implacables, une dialectique à toute épreuve. Cet art propre à notre peuple trouve son point d’orgue chez les Cohanim qui réinventent l’espoir. Ils ne baissent pas les bras et nous donnent, en les levant vers le ciel, la plus belle leçon d’espérance.

La lumière de huit joursLes Cohanim laissent une lignée de descendants, Sages qui combattent de toutes leurs forces spirituelles. Aujourd’hui encore, ceux qui portent le nom de Cohen sont dotés

de la même puissance de persuasion, capable de faire vibrer les cieux. La lumière de Hanouka brille huit jours et c’est le dernier qu’elle est la plus intense. C’est ce jour-là que les Cohanim de notre époque, dignes héritiers d’Aharon HaCohen, se rendent à l’appel du Vaad Harabanim au Kottel hamaaravi afin de prier pour tous les donateurs. Comme leurs ancêtres, ils ne sont munis que d’un sidour et de mots purs et désintéressés. Comme leurs ancêtres, ils partent en campagne pour le peuple juif, pour une autre bataille qu’il faut mener de front : celle contre la misère. Rav David Cohen, Roch Yechiva de ‘Hevron, Rav Lévy Rabinovith HaCohen, Rav Simha Kook, Rav Haim Kofchits, ainsi que d’autres descendants des Maccabées, seront présents devant le Kodech Hakodachim le 8e et dernier jour de la fête. Imprégnés de la lumière du miracle, portés par la voix de leurs illustres pères, ils se battront dans les cieux pour tous ceux qui souffrent et espèrent. En nous associant à eux, nos prières atteindront le trône de gloire pour que nous soyons délivrés de nos propres misères.

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Léger comme l’aigle et fort comme le lion

Pour la cinquième année consécutive, le Vaad Harabanim propose « Sur les ailes de l’aigle », un tirage au sort qui permettra à un délégué de la communauté française de rencontrer les Grands décisionnaires de notre génération. Un séjour privilégié à l’approche de ‘Hanouka, avec un pèlerinage sur les hauts lieux du judaïsme.

‘Hanouka est synonyme de victoire, de lumière, de miracles, et aussi de… rencontre. C’est à cette époque en effet que se déroule le tirage au sort du Vaad Harabanim qui donne l’occasion à un

membre de la communauté française de faire une rencontre unique, dans le Saint des Saints, auprès des Grands Sages du peuple juif. Ce délégué se rendra en Erets auprès des Guedolé Israël, posera ses questions et recevra leurs bénédictions. Nos dirigeants spirituels n’ont de cesse d’exprimer leur reconnaissance, au nom de tout le peuple juif, à ceux qui ne comptent pas leurs efforts pour venir en aide à leurs frères dans le besoin.

En effet, la situation précaire de nombreuses familles ne laisse personne indifférent. À travers le monde, aux États-Unis, en Angleterre, en Suisse ou en France, la mobilisation est générale afin de sauver des milliers de personnes de la misère. Ce prodigieux élan du cœur, cette solidarité à nulle autre pareille, sont remarquables et forcent l’admiration.

Les Sages sont conscients de l’aide apportée par la communauté et souhaitent la remercier haut

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Notre Maitre le Gaon Rav Azriel Aurebach Chlita, président du Vaad Harabanim, lors du tirage au sort

Cette année, le tirage au sort

« Sur les ailes de l’aigle » aura

lieu cette année le mardi

29 Teveth 5775

(20/01/15)

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et fort. C’est pourquoi cette année encore, les Guedolim attendent de rencontrer un délégué de la communauté et c’est pour cela que le Vaad Harabanim organise un tirage au sort. Les Sages pourront recevoir l’heureux gagnant afin de lui donner leurs bénédictions et leurs encouragements. Muni d’un simple passeport, celui de la kedoucha, il pourra les approcher, présenter ses requêtes et repartir avec leurs messages adressés à toute la communauté. Message de solidarité alors que le peuple juif traverse une période particulièrement difficile. Message d’amour du prochain, alors que des menaces effrayantes planent sur l’ensemble de notre communauté. Sans parler des difficultés matérielles qui sont aujourd’hui très préoccupantes.

L’année dernière, c’est monsieur S. A. qui a gagné le tirage au sort de ‘Hanouka et qui s’est envolé vers la terre sainte. Monsieur A. a gagné les deux billets d’avion et a passé un séjour très élevé spirituellement. Venir à la rencontre des Grands de la Thora, écouter la voix de Jacob de la bouche même de ces personnalités emblématiques, a été une expérience inoubliable. Car la seule préoccupation de ces géants spirituels est d’étudier de guider et de protéger le peuple juif. Les Guedolé Hador sont d’une simplicité extrême. Leur étude, leurs responsabilités et les charges de la communauté demandent un investissement permanent. Pourtant, ils prennent le temps d’écouter attentivement ceux qui viennent leur poser des questions. Ils s’intéressent au moindre détail afin de donner la réponse juste selon l’optique de la Thora. Ces éminents Rabbanim vivent chaque instant pour la Thora et en sont totalement imprégnés. Nos dirigeants spirituels ont œuvré et étudié sans un instant de distraction durant de longues années, se séparant de tout

matérialisme, afin de se consacrer aux autres et à l’étude. Lorsqu’ils parlent, c’est la voix de la Thora que l’on entend. Quel discernement, mais aussi quel amour du prochain, quelle douceur de père pour chacun de ses enfants ! Chacun rêve de s’approcher de ces Guedolim, de les rencontrer ne serait-ce qu’une seule fois, afin de recevoir leur bénédiction. Ils sont aujourd’hui l’incarnation de la présence divine.

Ce sont ces rencontres extraordinaires qu’a pu faire M. A., le gagnant de l’édition 2013. Durant une journée chargée en émotion, il s’est d’abord rendu chez Rav Elbaz qui l’a reçu les bras ouverts et a été extrêmement chaleureux. Il lui a donné de magnifiques bénédictions pour lui et sa famille et lui a offert un livre de prières. Puis Rav Chmouel Auerbach, lui a donné sa bénédiction du fond de son cœur. Quant à Rav Steinman, il lui a donné sa bénédiction et lui a posé des questions sur son fils et son école, montrant des marques d’intérêt intense.

Une expérience merveilleuse

Le voyage que le Vaad Harabanim organise chaque année, dans le cadre du tirage au sort « Sur les ailes de l’aigle » permet également au gagnant de découvrir les hauts lieux du judaïsme. Au Kotel, sur la tombe de Ra’hel Iménou et de Chmouel Hanavi, puis à Tibériade sur celle de Rabbi Méïr Baal Hanes, à Tsfat sur la tombe du Arizal puis à Méiron, sur celle de Rabbi Chimon Bar Yo’haï. Ces sites exceptionnels sont une source d’inspiration intarissable. Le cœur s’épanche dans ces lieux saints où reposent nos illustres ancêtres. Se recueillir sur leur tombe est

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une opportunité sans prix. Que de larmes versées,

que de demandes exaucées et d’espoir renouvelé !

Prier auprès des géants spirituels de notre peuple

est une expérience unique que tout Juif rêve

d’accomplir. C’est ce que le Vaad Harabanim

propose au délégué de la communauté

française. Le mérite de la tsedaka et de la

prière s’associera à celui de la bénédiction

des Grands Sages. Rapide comme l’aigle

et fort comme le lion, vous serez là pour

adresser à Hachem vos requêtes, celles

de vos proches et de toute la communauté.

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Prénom en hébreu ___________________________

Prénom de la mère ___________________________

Bonne santé Parnassa Enfants Mariage Réussite avec

les enfants Succès Autre _______________________________

Prénom en hébreu ___________________________

Prénom de la mère ___________________________

Bonne santé Parnassa Enfants Mariage Réussite avec les enfants Succès

Autre _______________________________

Pour que les Grands de laGénération prient pour vous

lors de l'allumage des bougies de 'Hanouka

0-800-106-135En France

0-800-555-889En Suisse

0-800-761-13En Belgique

1877-722-2646Au Canada

pour transmettre vos dons au Vaad haRabanim :5 possibilités

- Envoyez votre don à l'un des Rabanim de votre région (demandez la liste au numéro 0-800-106-135).

Appelez ce numéro pour un don par carte de crédit : 0-800-106-135en Israël: 00. 972.2.501.91.00

- Envoyez votre don dans l'enveloppe jointe.

www.vaadharabanim.org

- Envoyez votre chèque à : Vaad haRabanim- En France : 10, Rue Pavée 75004 Paris FRANCE- En Suisse : Rue Louis-Curval 12. Geneve 1206. SUISSE- En Belgique : Consciencest St. 23 2018 Antwerpren BELGIUM- Au Canada : 5831 Esplanade. Montreal QUEBEC CANADA h2t3a2

un reçu sera enVoyé pour tout don * Veuillez libeller Vos chèques à l'ordre de Vaad harabanim