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LaRepubliquedesPyrennees.fr 16 février 2017 Le nouvel IRM déjà en service à la polyclinique de Navarre La mise en service du nouvel appareil d’imagerie par résonance magnétique dédié à l’ostéo-articulaire a, finalement, eu lieu ce lundi à la polyclinique de Navarre. Prévue « pas avant fin février », la mise en service du nouvel appareil d’imagerie par résonance magnétique, IRM dédiée à l’ostéo-articulaire a, finalement, eu lieu ce lundi à la polyclinique de Navarre, l’autorisation datant de quatre ans. « Tout était prêt » indique Marie-France Gaucher, directrice du site. Dédié « exclusivement aux membres et articulations pour déceler les problèmes ostéo-articulaires », cet appareil « permettra de dégager du temps pour la première IRM polyvalente, déjà en place. » Surtout, il réduira « le délai d’attente des patients dans la prise de rendez-vous » poursuit la directrice. L’utilisation de cet appareil est partagée entre la polyclinique de Navarre et les radiologues de la SCM Pau-Pyrénées (Pau et Aressy).

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LaRepubliquedesPyrennees.fr 16 février 2017

Le nouvel IRM déjà en service à la polyclinique de Navarre

La mise en service du nouvel appareil d’imagerie par résonance magnétique dédié à l’ostéo-articulaire a, finalement, eu lieu ce lundi à la polyclinique de Navarre. Prévue « pas avant fin février », la mise en service du nouvel appareil d’imagerie par résonance magnétique, IRM dédiée à l’ostéo-articulaire a, finalement, eu lieu ce lundi à la polyclinique de Navarre, l’autorisation datant de quatre ans. « Tout était prêt » indique Marie-France Gaucher, directrice du site. Dédié « exclusivement aux membres et articulations pour déceler les problèmes ostéo-articulaires », cet appareil « permettra de dégager du temps pour la première IRM polyvalente, déjà en place. » Surtout, il réduira « le délai d’attente des patients dans la prise de rendez-vous » poursuit la directrice. L’utilisation de cet appareil est partagée entre la polyclinique de Navarre et les radiologues de la SCM Pau-Pyrénées (Pau et Aressy).

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LeParisien.fr 16 février 2017

Radio, scanner, IRM... soyez patients !

Après la baisse de leurs tarifs de remboursement, les radiologues tirent la sonnette d'alarme. La décision prise par l'Assurance maladie va encore allonger les délais d'attente pour un scanner ou une IRM. Les radiologues libéraux avertissent : la décision du directeur de l'Union nationale des caisses d'assurance maladie (Uncam) de baisser les tarifs de remboursement des actes de radiologie « va accroître les délais d'attente pour un scanner ou une IRM et des cabinets de proximité vont fermer ». Faute d'un accord avec les syndicats sur l'évolution des dépenses de radiologie pour les trois ans à venir, Nicolas Revel, directeur de l'Uncam, a utilisé un nouveau texte qui lui permet d'imposer les nouveaux tarifs de remboursement. Sa décision, publiée dimanche au « Journal officiel », est applicable depuis lundi. « Le forfait technique pour un scanner passe de 99 € à 94 €, celui pour une IRM pratiquée à Paris de 186 € à 172 €. Même sort pour la consultation associée, qui baisse de 6 % », détaille Jean-Philippe Masson, président de la Fédération nationale des médecins radiologues (FNMR), qui regroupe 4 000 des 5 000 radiologues libéraux. Les dépenses ont augmenté plus que prévu Furieux, il vient d'adresser un ultimatum à Nicolas Revel lui demandant de retirer son texte au plus tard le 22 février. Faute de quoi ? « Ce sera la grève », prévient-il. Problème : une décision publiée au « JO » ne peut être retirée... « Cela fait huit ans que l'on baisse nos tarifs, qui sont devenus les plus bas d'Europe. Huit ans, martèle le président de la FNMR, pendant lesquels on a contraint les radiologues à 900 M€ d'économies. On n'en peut plus. Et

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on nous impose encore 80 M€ de baisse qui vont impacter nos investissements, poursuit-il. On va devoir garder nos matériels anciens, le rythme des fermetures de cabinets — déjà 100 depuis 2009 € va s'accélérer et les délais d'attente déjà longs s'éloigneront un peu plus de l'objectif de vingt et un jours maximum fixé par le plan Cancer 3. » « Nous récusons l'idée que cette décision pourrait conduire à des fermetures de cabinets de radiologie », rétorque Nicolas Revel. Il est vrai que, s'ils investissent beaucoup, ces spécialistes figurent encore dans le top 10 des médecins les mieux rémunérés. « Il s'agit de mesures raisonnables, d'un niveau inférieur aux baisses pratiquées les années précédentes, ajoute Nicolas Revel. Elles tiennent compte de la croissance plus forte que prévue des dépenses liées à ces examens. » Croissance de 4 % en 2015 et de 2,8 % en 2016 pour une enveloppe annuelle de 4 Mds€. Mais il est vrai aussi que, depuis deux ans, les pouvoirs publics ont rouvert grand le robinet des autorisations d'achat de scanners et d'appareils d'IRM pour rattraper le retard de la France, générant de fait plus d'actes. Loin de reculer, Nicolas Revel prévient même : « Il faudra, je pense, poursuivre les efforts de régulation l'an prochain, en privilégiant autant les actions sur la pertinence des examens que de nouvelles baisses de prix. » Après la baisse de leurs tarifs de remboursement, les radiologues tirent la sonnette d'alarme. La décision prise par l'Assurance maladie va encore allonger les délais d'attente pour un scanner ou une IRM. L es radiologues libéraux avertissent : la décision du directeur de l'Union nationale des caisses d'assurance maladie (Uncam) de baisser les tarifs de remboursement des actes de radiologie « va accroître les délais d'attente pour un scanner ou une IRM et des cabinets de proximité vont fermer ». Faute d'un accord avec les syndicats sur l'évolution des dépenses de radiologie pour les trois ans à venir, Nicolas Revel, directeur de l'Uncam, a utilisé un nouveau texte qui lui permet d'imposer les nouveaux tarifs de remboursement. Sa décision, publiée dimanche au « Journal officiel », est applicable depuis lundi. « Le forfait technique pour un scanner passe de 99 € à 94 €, celui pour une IRM pratiquée à Paris de 186 € à 172 €. Même sort pour la consultation associée, qui baisse de 6 % », détaille Jean-Philippe Masson, président de la Fédération nationale des médecins radiologues (FNMR), qui regroupe 4 000 des 5 000 radiologues libéraux. Les dépenses ont augmenté plus que prévu Furieux, il vient d'adresser un ultimatum à Nicolas Revel lui demandant de retirer son texte au plus tard le 22 février. Faute de quoi ? « Ce sera la grève », prévient-il. Problème : une décision publiée au « JO » ne peut être retirée... « Cela fait huit ans que l'on baisse nos tarifs, qui sont devenus les plus bas d'Europe. Huit ans, martèle le président de la FNMR, pendant lesquels on a contraint les radiologues à 900 M€ d'économies. On n'en peut plus. Et on nous impose encore 80 M€ de baisse qui vont impacter nos investissements, poursuit-il. On va devoir garder nos matériels anciens, le rythme des fermetures de cabinets — déjà 100 depuis 2009 € va s'accélérer et les délais d'attente déjà longs s'éloigneront un peu plus de l'objectif de vingt et un jours maximum fixé par le plan Cancer 3. » « Nous récusons l'idée que cette décision pourrait conduire à des fermetures de cabinets de radiologie », rétorque Nicolas Revel. Il est vrai que, s'ils investissent beaucoup, ces spécialistes figurent encore dans le top 10 des médecins les mieux rémunérés. « Il s'agit de mesures raisonnables, d'un niveau inférieur aux baisses pratiquées les années précédentes, ajoute Nicolas Revel. Elles tiennent compte de la croissance plus forte que prévue des dépenses liées à ces examens. »

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Croissance de 4 % en 2015 et de 2,8 % en 2016 pour une enveloppe annuelle de 4 Mds€. Mais il est vrai aussi que, depuis deux ans, les pouvoirs publics ont rouvert grand le robinet des autorisations d'achat de scanners et d'appareils d'IRM pour rattraper le retard de la France, générant de fait plus d'actes. Loin de reculer, Nicolas Revel prévient même : « Il faudra, je pense, poursuivre les efforts de régulation l'an prochain, en privilégiant autant les actions sur la pertinence des examens que de nouvelles baisses de prix. » Daniel Rosenweg

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LaFinancePourTous.com 16 février 2017

Accès au crédit : le droit à l’oubli pour les anciens malades du cancer Le « droit à l’oubli » doit faciliter l’accès au crédit. Au moment de souscrire une assurance emprunteur, une personne ayant été atteinte d’une maladie grave n’a pas à déclarer son ancienne pathologie, passé un certain délai. La loi du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé a instauré le « droit à l’oubli » pour les anciens malades du cancer et d’autres pathologies lourdes. Ce dispositif doit permettre à d’anciens malades de souscrire un contrat d’assurance emprunteur dans les mêmes conditions que les personnes n’ayant pas contracté ces maladies, c’est-à-dire sans surprime ni exclusion de garanties. Les bénéficiaires du droit à l’oubli Les personnes ayant souffert d’un cancer, ou d’autres pathologies lourdes, sont dispensées de le déclarer à l’assureur à l’issue d’un délai de 10 ans après la fin du protocole thérapeutique. Ce délai est réduit à 5 ans pour les personnes ayant souffert d’un cancer avant l’âge de 18 ans. Et, selon les termes de la loi, « aucune information médicale relative aux pathologies cancéreuses ne peut être recueillie par les organismes assureurs » au-delà de ces délais. La convention AERAS Le droit à l’oubli s’intègre dans le cadre de la convention AERAS (s’Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé). Cette convention a pour objet de faciliter l'accès à l'assurance et à l'emprunt des personnes présentant un risque aggravé en raison de leur état de santé ou d’un handicap. Toute personne concernée bénéficie automatiquement de cette convention. Une grille de référence des pathologies Des délais plus courts (entre 1 et 10 ans) de droit à l’oubli peuvent être prévus pour certaines pathologies, notamment chroniques. Une grille de référence établit, par type de pathologie, les délais au-delà desquels les anciens malades pourront souscrire un contrat d’assurance emprunteur à un tarif d’assurance normal, sans surprime ni exclusion de l’affection. Cette grille doit être régulièrement actualisée en fonction des progrès de la médecine. Les dispositifs d’information et de contrôle du droit à l’oubli Deux textes d’application de la loi de 2016 (décret du 13 février 2017 et décret du 7 février 2017) formalisent les modalités d’information des candidats emprunteurs et le dispositif de contrôle du respect de ce droit à l’oubli. Lorsque l’emprunteur présente un risque aggravé du fait de son état de santé, relevant de la convention AERAS, l’assureur doit lui remettre un document d’information sur le droit à l’oubli et la grille de référence. Son contenu doit encore être précisé d’ici les prochains mois.

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L’ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution) est chargée du contrôle du respect de l’interdiction de recueillir des informations médicales relatives aux pathologies cancéreuses dans les délais prévus par la convention AERAS (le « droit à l’oubli »).

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CCFA.fr 15 février 2017

Siemens prévoit d’investir 200 millions de dollars au Mexique L’équipementier allemand Siemens prévoit d’investir 200 millions de dollars au Mexique, sur une période de 10 ans. Le groupe entend également créer environ un millier de nouveaux emplois dans le pays. Siemens, qui est actif depuis 1894 au Mexique, dans les domaines de l’automobile, de l’énergie, de la santé et de l’électroménager, n’a pas précisé dans quel(s) secteur(s) d’activité il investirait cette somme. Siemens dispose de 9 usines dans le pays, ainsi que de deux centres logistiques et trois centres de recherche. Il emploie un total de quelque 6 200 salariés dans le pays.

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