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Samedi 2 iî Sepleinhi-e IftI»#! X" 59.— !tO™' aniK ^e. mplol «Ifi JSi‘cr<!iairc il» inpdü rarroticlissumetii «ssiilrc «jii’ll pitissc en les Tonciions de clerc (rès-aviiDlngcMiKc. iM du Joiiciial ofi on nu'iils. ^SUISSE msm c' de Pajoi), nie de b iti, f)8. Il iiiHics, opprexxiom, ea~ cl de jmti'fné. V. 01 do 2 fr. s phdnnaciesi 4 DICA C'EIII-:\'S, b ifriti les giicril ot jiré. ladios. I IV. le pacniei «tiiiitnile tSo % ’Hlria jfiui's liouloiis. gnio de ros. Lo poi. I fr. 23 c. lo INHiolt, n , h Ibris. l..\XAVli', .li'qiictiiiHipr! gTsaisai A CADIUÜS I IHVISiBLES , s LES .'rPAIIIEllEffi, iTts par pièces rapprir- air Cl do l'eau à i'iiiiè* ni pour lu dôvoloppe- ipi iinaiii le.s iinnrndi'is. r.iiide siiiiplicilé, .su re- ücilé du priv, cl peiil nues croisées el aiii iioSiiv ftlHa menimier, II»' t’mrondixiieninU ih f.V. (i. ü . G.). OH l'on !>}: sk .M j Ls . iii/rs. Vir|nr),oin.ènle(l':iisa- -Joseph), ol hoyeti (Pa rie). îl (îiillloiiiei’ (I.iso-KIéo- imshmn;', rumine K;.sc- g FfiHfS faf PAn AK Æ A M e Invvoté, guéril les d'envoyer pour 5 fr. iis-lo-Samiicr (Jura), L.ilRJES par CMII.MI.N, «faiM tii> ! [Hiitr i-ocisc'i'vrr, jiisipi'a nvcc vigui-tir h rrur <lr« I M-rvaiit joiiriiclli-iiieiil. de la Halle, 33, '«it.ï. os« K. AV« J 3 3 (K) 7 h) 8 «d) l.'i II 30 0 40 30 0 72 8 81 ()(l II 2.3 0 30 00 10 (10 21 00 30 00 00 11 00 Â.3 11 3.3 0 00 pR tv DB f.’AnôirirBiiBirr • - ’i- ........... iS:::;..; S :: ÿBfX »K8 mBBRTfOMB ; AKKONiXR JIII)l(:iMR»:S. SOrrut* la l>gn<> a» nuscks im>>:ksck. in lU. «cjlti». ........ l.'Einp^ur» accoropagné. de^ s.. Eiic. le ipipistre. d 'E U t. d d e la in«MD.d<} l'EiiipeVeiiP. dM prince dé la,Moiik4|\va.. dit commapda.nl Ifayÿ npdu préfcl des tandesi rei^u saniedi do UUrrUK;à;Éab!i‘os. aOn.d'Qxaiiilher lie^ li?r9U3i qui s'exéciileni par (ton ordre dans lés l.andes. La visite do Sa Uigtelé daiisKon domaine n'a pas duré moins de cini| liourds. L’Empereur a voulu voir en détail ] in ftsmies tiomrellènioiit consiniiles, les défrichements, les I eusemeiicemeiils cl les cultures. I Sa Majesté s’csi montrée Irès-satisfiiilo do l'hahile dircc< I lion donnée.i-ees Iravau.x pur MM, Oroiizcl el Tisserant, I eldeSfl^Ums.ubteniis. I PanM ^paee d.'une annéo, scpl fermes oui été coiistniiles I MirleaMBilpedmpérial, 1,200 hectares do lundes oui été I CDsemén^. >ou pins, r.hénc.H cl chélaiguicrs, 200 h>udares I d^ridiiÀ cl 4t) mis eu culture. Eiinu, près de 100,000 I luèires do choïnius d'exploitation, de fossés d'assaiuisse> I menl el de dOBKèehcmoul ont été niivoris. i’. I L’Empereiin n lui-mémo indiqué lu nature des nmélIor<v liions qui devront êiro réalisées dans la cami>aguo pro- lc|iiiinr,el! consisteroul princtpalfuiienl dans la création Idis vastes prairic.s cl lu cuiislractioii do scpl nouvelles I fermes. Su Najcsié était de retour é Biarritz s\ scpl lieuil» du I soir. . Nous trouvons dnn.s YAkldnir le commmiqiw Muivanl : Paris, le 2 septembre. • S. A. I. le Prince Napoléon, chargé du miuislùro de It'Algéric cl des colonies, voiiluul faciliter aux C4dous l'em- I ploi de |a..main-d'«cuvre indigùuo, el éviter tout ce inii |ieul Iviitraver la mise en valeur de leurs terres, a décidé, sous Ils claie du 2ô août dêruicr, qu'à partir du 1" Janvier 1850, Iles A rat^ cultivant, A un filrc quolcompu!, soit comme lo- Iralaires, soit comme kliamtuâs, une terre coiicédi^ A un IEuropéen, nu achetée par lùi, seront cxcinptésdu paieineul Ide l'impôt de l'ocAour. I • Celle exemption d’impôt ne s'applique pas aux loca* llaii'es des Icrrus azeh, qui coutiuueroiil A payer le hokor cl IrorAoiir. » . On lit dans la partie non ofliciellc du lfoij<7eur universel : Divers Journaux ont annoncé, depuis qiiclquo.s Jours, que le gonvcrnemeut de l'Empereur songeait A inlro<luire de kraves modincatlous dans le régimo.cummercial de l'Algé- f ie. Ces prétendus pnijcts ol ht poléndque à laquelle ils ont linntié lieu ont excité dans les districts pianufar.turicrs une \ertaiite iuquMildA. Pqur la faire cesser.^ MiiULda dim Bii’il h’csI mifîcmcnt entré dans la pcosee <iu gouvo»ÿienïeiiT ue changer la.loi dp douanes qui régit l'Algérie et détenuiue vus rappurla.hVcc la France. jo u rn a l ^ r a it ïlo ^ é iiî ét||lnitsMon (mm^diite. Ce «fnll y a dé vrai, c’ral' due Top étudié UM.ministère du connuip^lra Qmdlûcatl(u|g dont cette législaiiou est suMcpliule^ ||ala nn ne in iu m pas dés qiiésirous dé dpitaucé du iuüir Mil lendemaio; elles oui besoin d'étra étudiées sérieuiienienl avaul d’élra portées dçvant.lpsnAsemblécs qui doivent Jétinilivenieut proiioncer- sul'lcur mérite. Seulement il faut rceoniiatlre due si. sous Pemnire dis' clrcoiistaiiiUis, un duci’él «a. suspendu rexéiuilioù ue la loi, leé dispoéilions du c(f décret peuvent être prorogées, et le ternie auquel elles expiituil t'éiiiis A une époque plus re culée. i.e gouvcrneuicnl né pedl târdér A faire conilnîtrc scs it>leulli)u.s, puisi|:ié rapplicFiIiou dit décrût qui suspend l'é- chcllu iiiouilu cr.sse avec le mois actuel. - b fV tiË S ’j | p > i€ m ï;s ^ Senlii, «M 4h:Jriitriui^^V<1^ *aii, n* 5j '~A lîbrAiret — A rcro}c-lM-Gonti«i-ic>yV B. Ltuit.sr), ancivit maire; — A ISiri,, ilaCompogn e Centmlr il'An- iiiiRMi, 2t, rnr de ta B ouiiM; - Al'ûSrol'Arrci- I^ndanre ci<t MM . |.«i,ou«Rr «KS-rr. N.-UmIi!»- 'i Vii:<oircs,23: — A la U>i>«ii ileOuiiri*;;,*, bnult. l'oiuoDiiiiièrv, I l ; — A MM- Ca*|iraiivii.K ci C.ic. . ilfrecieun de l'OlÂi-e crnfratr <Je nuiliiitrie H <ju IkimmprCfvl rue du F«i>t>oiir|(-Mnnimarirr, h" ^S; — . et rhci Im lilirilrei du drpiri. ' les ■.nStTU?!- Oa assure qiiu'l’Eiiipcréiir uo ruuiréra ipic le 2g:û Pari^ pour sc reitdre do lA au camp de.ChAlous. KS. uiicu. a ré.s.)îii ce pr.)- ' l's matières ui rmlétél iplèto d(5 l'.iris. du la uniques h; miiuvumenl lotiilu comme l'agiicnl- t‘l . irouvoul d.aus ses litiéi'.tiro, arlisti- lie. Il saiisfail loul eii- usoiti.s pins sérieux des Is «lo la sitnaiion ünaii- \L DICS Jülia.N.ÀUX, o r l ctfà KUM. le on des limbirs poste. iil,reM-puNlc «lu <?. V&ills?. - - Ixs ralilIrHalious de la convciilion des Priiicipaiité.s- hliiiessonl t«mjoui's atlendiies |Hmr lu llu de septembre. Poules ie.4 puls-sanccs signataires oui mis le plus louable JcmpresseMent A celle riliiicutiou. I.’éclungc se fera doue, Kilivanl toutes tes probabilités, dans les premiers Jours Il'uclobre, et par les simples chargés d'affaires dus sept nmissaurcs signataires. Ou s'est occupé depuis quelques temps, dans divers jour limiix do rarbi et des déparleuieuts, el surtout dans les IcorresiKmdaiieea des journaux étrangers, de la question du Iniiiinlieii ou de la suppres.sion de l'écbollé moblle.^lt'fiprês Iccux qui se préloudcnl b'cn informés, le Conseil d'Ëlal sc- |rait déjA saisi de rexâmeii d'un projet de décret dans le lens de rabolition, cl la soliillon serait lrès-procbaii|u. llfatil remarquer, ccpendaut, quuj'écliclle mobile ticnl A un régime douanier établi par une lui, et ne peut eu cou- véqueiioe ^ re changé déliuitiyuineul que par une loi. U Conseil d’Elul ne peut donc pas être saisi de lu ques- lois Etals de douane du mois d'itoût ' présentent dés ré- siilluts favorables. produit des droits pirreas A i’inipor.- lation n'a été, il est vrai, que du lf.241,000'franc.s, ce qui offre une diinimilion d'euviron GbO.tNNt fr. relativement n«l mois d'uoût du l'année dernière; mais on remarquera que la dinnnutioii provient entièrement des Hiicre.s étrangers,* ce qui n'a pas d'inmurlHiicc pour le trésor, puisque lett droils'qn'ilJoudioilotVCtil Mru répHlu^ A |a sortie de cr.s sucres, qui seul destinés A être -réexportés sous forme de raffinés. AlMlractioii faite des sucres étraugei's, k>s droits sur les maixilnudises diverses doiiuciit une aiigmeulatiou. et e'esl lA nu fait qui mérite iraiilanl plus d'étre signalé qu'il 5e pi éseule pour la preiiilère fois depuis le uommeucc- meut de l’aiinée. (î'c.sl doue là encore nu syin|ilômu du la reprise des afTaires. J. llrnAT, On iil dans le Moitilcur de l’Àriuèe : laiséclicn's.so qui a sévi depuis l'hiver dernier, avait nui considérablement aux récoltes des fourrages, et l'on pouvait craindre.une véritable disetto dus denrées uéccs- salixis A la imnrrlliiri; des chevaux et des bestiaux. De.s pluiesbicnfaisanicssont vînmesbenreusenleutcidmer ic.s in quiétudes; elles ont raiilnié la végétation dans les prairies cl. fait fortiller leseuiliires d’aulouine. qui peuvent tenir lieu de fourrages. Etillii. la réculle du l'avoiuu a été plus pruduolivc qu'ou ne l’avait espéré d'abord : le coMr.<: de celle dcui'ée subit une baisse prouoiicée sur tou.s les marchés. ■ lot commci'ce avec sou activité babituellc, contribue A rétablir »ii«i l’équilibra dm . lo prix « lil.^ «lauu Im •‘« « t i ln u u ./ l o * - * i * . • i . ..i -. vistouncmcui.s'(|u if tninsportc sur les points on le duticit s’est fait plus pal'Iieulièremcnl sentir. > Par suite de ce.s circi>ik>laucu<. J'adinlnistratiou «lu la guerre viciil d'obtenir, dans scs adjiidie.ilioiisdes résultats qui sont rehitivemeut favorables, surtout si l'on considère ipie les marchés limités uxccplionuelU*m.'nl A six mois, embrassent la période de cherté que l'on verra cesser A l’approche de lu lécolle de 1859. * Ou écrit de Loudixis, le 21 septembre ; L'nc lettre de Caillou porte que tous tes jimrs Anglais el Fruu^:ais sont massacrés de la manière la plus odieuse. Par décret «lu,20 septemb.ie, M. le bhron Crus, commis saire exIraoVtiiuàire et pléiiipoleuliaire de France eu Chine, est élevé A la dignité du sénateur. Par différeids décrets datés de Biarritz : M. Ducbesue du Ihdlecoiirl. premier sccrét«iire de l’am bassade extraordinaire du rEm|>ereur eu Chine, est promu aU grade d'ofllcicr de la la^fioiHl'Ilonuoiir. dll. !<i ttalràula de Mogési alia^é, cl M. Jules Marques, M lerp'i^i dfe' Ifeditti afobaÿade, sont uommés clievaiiei's ^eibpepeardti lliifetldaeonféi^ an général Moiirawiefle tWè de_ comte et lui a adressé une lettre très-gracieuse. Oklûi'perfndt d’attacher A son nom le souvenir de l'actpii- a ^ ii'd u leFriloIre du fleuve Amour. I.e général s'appellera «mw désormais ethnie Houruxvief-Amuui'ski. ' — On sait qu’en l*ritsse tout est noté comme un papier le, musique dans rgdniiuislralinn. Ücruiùrcmcnl, le prési- mit du tribiiual d'itiic petite ville de Poméranie n rendu suivant : allf^èdti qü'ii est venu A la connaissance m trlbiinai qlic eijiployés dudit tribunal ne saluent pris inq le réspecl vùniu messieurs les juges, il est ordonné, roaintciiir le buifordre à cet égard, que chacuii des lorsqu'il renbonlrcra tin des Juges dans là rue. ifrorfra '9 droite et fera une salulalioti en baissant sou lâJWaù'Jt)squ'aux eiiviroiis des genoux. i Pour er/rad W redflch'oM : E; RF.GMKR. .r*, liOKmiss 1.0 Moniteur universel n promulgué la loi qui subiqiluc la sneiéié du Crédit foncii*r A l'Etat pour les ptéts A faire jtis- qU'A cuur.itrrcnce de IIMiinillious.eu vertu de la loi de 1856 sur le diMinage. Le crédit foncier n'allendail que celle pro- nfUlgalion pour commciiccr ses opérations, et Von pensé qi'llt publiera sous peu de Joiii's les conditions auxquelles il ,'téédrdera de.s avances au.x propriélalj*u.s pour leuin» travaux de drainage. Parmi tes cxompIc.s cnrieiix de draiungc, ou nous en cite un qui ii'e.st pas des moins intércssanls; Com-ne la plupart des enlises du moyéu-Agc, l’égiise de Gifpjt-tcs-Hulio .se Ironvail enterrée soas le.s lerreà ,r.ipnor- té ^ depuis sa fopd.ilion, el il eu était résulté une humidité d^M plus tAcheuses. cl pour les personnes qui fréuuculeni et poiirVétal même de l'édiflce. tacite humidité por tail mstraccS; le long des mdfp, Jusqu'A la hauteur des fe- tiHres’ , cl il semblait d’autant plus difliciîe «le s’en d<‘b'ar- rasser que celte égliséd^t,comnle toiitér celles du Ircîziètfie siècle, peu aérée. M. le curé de Cii'es eut rheiircu.sc idée' «le faire draindr son église. L’eau fut déversée dau.s impclit môme letsps,il ik débarrasser eéfdcsccudu A sou ancien iiîJSftfxie'mi «JfrtlrAtTUTiiftnMûlrint' rendu l’édiiiuc impraticable sans le drainage, grâce au' drainage n'a présenté que des avantages. Le nouveau ou plutôt raqcieii .sol, bien au-dessous du cimulière qui l’envi ronne, est parti ailssi suc «d aniisi s'aiii qu'on peut le désirer.. Le.sgraudes lami» de vt'nltire qui avaient envahi (es mû railles, dc.sceudenl el disparais-cnl. L’église, sans «pi-’oti ait ouvert une fenêtre du plus, se trouve assainie el cummu ravivée. Lu drainage est doue une opération (|u'on peut recom mander. non-suiileutcut aux cultivalem's et aux propriétai res, mais encore aux cuiumunes pour la restauration ol l’as- saiuissemenl do leurs vieux édillr.e.s Ar.tnile DssMnoiNS. (Jjuirnid de l'Oise). BETZ.— Le IC de ce nioLs, Ht Ji).stice, Informée q'iï*oû’ venait db trouver^ le cadavre d’iin homme (femdq daim'le bols de Houirollês, sur Ip territoire de Beli. Mljfanspb'rid' en loütehâte ddrles lieux, uitn'de cdnslatéir'téi'sûiêHlë. Plusiëurs per8oiin<» recouiiurènt dau'ë cet ilomniè le nohihiû Alexandre OHtdbeil, raâh'éuvrier, def&ëunini*!'ViÜmJ Sftint-Genesl. Le cadavre élail suspendu S line brnm^étidV un luirdead: les dbtix gènoux Imicliaient A'terrio, a m si'j^ les deux mains. La nlorl devtut remonter A près d c ^ ln ^ * Jiuirs. En effet, le 3 septciiibre, Grimberl était sorti 9 -^t trc heures du inatiii, eheuiportaul une bouteille d’cAiW ' ' vie. Aux questions,dq sa femme, il s'étail ciinleulé'dqxé- pondre ; •< Cela né le regarde pas. Jo vais où je venx. ■ ü ue s'étail pas inoiilré plus cx|)licile.a l’égard d'un charüCr, Hcr nui lui nvail adressé ia narold; cii le 'reiiconlrâiit BE VUVAIS. — Un incendie a éclaté la mfit de vendredi A samedi, rue du Boul-du-Mur, à l’.uiiærge qui a pour en seigne : <iu Gmiculicr frrnenis. Ou altribue cet înceudio A l'étal d'ivressu se trouvaient un homme cl nue femme,, qui «Muictiaieul au troisième étage. dau.s une chàmb*’é garuie d'iioq paillas.se. Ils avaieul eu l'impriidun- cÿ^é garder allumée la cliandeîle. Grâtu: aux sucoui'sdes hWilanis du quartier, le feu était qomplèlemcul éteint une heure après: près du bois dé Mdnlrolles, ou il allait mettre (lu A slâ; jOtli'S. ;1}u pense que des chagrius de fdmille ont pii seulA déîér- mruer ce inalhcurcux A se suicider. C’élail unhommdd’i ^ conduil,e irréprochable el im ouvrier laliqrieiix. Il Pa'fao «plaire en'auls, qui hcurcuscfdchl BOhi’êlëY^. . ; ’ CHANTILLY. — la^s courses von! comrheiiccr dénlHih' dimauche. Ce premier jour cinq prix seront coitrus. sâvofi* : l’i ix dus haras, 4,000 fr. ; — I" critérium, ffiW fr- ; — prix «le sylva, 1,000 fr. : S* critérium, i ,000 fr. ; ' prix de l'Empereur, 10,000 fr. -h. T«»tal, 17,000 fr. '• — Ou lit ddfis le Sport ; • ; • « La procKaiiie réuniQn À Clidhlllly sera, il c.st A rrniqdré. moins , brillaitle que celle qui a cu*il<^ii A pai'èille époque ('.in dernier. Les ciigageuiciits dans le.s ut;|x du.deiix An.s sont moins nombreux qiié d’«>i’diiiaire (par qpitc d'une ré.ydiou «ionf nmis ne nous plaignons pas, «Jùrêslc);.el le Prix de l'Empereur, le grand atlrail de là JfiMrnee, n'éxc*^ qu'un intérêt médiocre, les chevàûx framiars engagés " tant guère dignesdc disputer le prix A leurs rivaux n u ^ s .' Piilocki et Paladin .sonl retirés dans ]e Pri:^'des IfA/aJi,' irdpériaux. L’écurie de .M. I.àgratige.sera pvobahleMbt' représentée par Vaina, au lieu de M"* de C'iaiilillÿ,'^, ! malgré l'anlngonisme de Last Boni, DucbCïM, «1 pe«il-él^ Serions, nous croyons au succès'de Valiïa. •> Nous n’avons pas une opinion très-favorable aitx elfe-' vaux de 2 ans qui ont diqà couru : c'ust-â-dire Atbos. Ila- rotd cl Yoiing Trust, et nous croyons que le beau pbmuia. (Corsaire) do M. do Bluriiy brillera plus tard dmik"uqc course plus importante plulôl que dans le pi’eiûlér'CAjâ- rium. Nous croyons q«ie l'élu de l’écurie de ■BI.’'SWcfilerV soit llurrah; sera le vainqueur en celte-occd^ii' ; et qu'OpuleiM dera^on eoncuiTeiil le plu.sformtdaMè. _. Eubinoou Negrine pourrait gagner le Ji ...... a-..- 1 . ..--..jjjp de'dUêfqiUîs'hoaiîinèa aemertiiK Cariinot Moulins, mais elle ne suurail battre Neva; o’pçudanl nous uo Koi'ions uuilcnicnt éloiïnés si celle-ci sucCoinbail devant Troëiie ou Wudding, la dernière nommée claul notre pré férée. - . . • » Noius n'avoir? aucune donnée positive sur les chevaux anglais engagés dans le prix de rphnperenr, sauf que Sann- est aiTivé'ct qu’«)u alteml Fisherman. ('.epciHlanl inuis ra- manpions «pic Warlouk est désavantagé par le poids et est on outre favori dans le llesarewitvb, que Bi«r«terer, u'élanl pas venu A Bade, nu passera pri»b:ibloiiiunt pas la..Mau«die: ' que Yorkskire Grev a été vaincu durnièreinout par la Fisherman et parO'M ïrick, ut que sir Golin étant dans la même éciiric>que Fisherman, ne puni avoir aucune chance de succès en antagonisme avec culni-ci. Les chevaux de M-'l.àtacho de Fay et dc M. Delam’àrrè ne parlirotil pas el récuric de M. de Lagrangu nu pourra lutter contre l’écurie de La Mnilaye. A en j«»ger par tes ré sultats obtenus A iladc. Malgré la bullo cour.su fitiirnie par Goclello A Bade alors que Goiivîtiux nu lui read.iit que 4 kil. t/2, noirs croyons tuiijouis A là sapcriurité du duriiiér nommé: ntais eu égard aiix poids, il nous seirïlijp qite Mls's Galb a les plus grandes cliaimes de succès que tous les che vaux de cette écuri ■ . ■ Il est assez évident toûleiuis qu’une jument «pii n'e.sl FSTTZIalaBTOXr. iigraimne; — 2',21-c. |l K l.r,.',.1,11. MliiDOtt MOIK GDiXDRIi:. # - Et Une fois comtesse, tu ne nous aurais plus rc- Igardée. — G'esl encore poitslblc. — Malheurcusemunt, il est officier dans les gardes- I françaises. I Cette opinion trouva'de l’éclio, ci j'appris IA que si lus iRardcs-fraiH^iscs étaient'bicn vus du |«euple, ils n’étaient Ipiot aiméa (io la honraeoisie. I J'étais drrivé A ia fin de la soirée, minuit approchait. Ici lur^Ué les dunzc Coups eurent sonné A la pendule de I chagrin vert qui ornait la chemiiié«h ia société se sépara, lut l«» babilaiits de lu maison rcntriFrcnt chacun chez eux. iHIte Justine ghgna son appartement sans vouloir, me quil- lier; elle avait décidé que jë coucherais dans su rJiambre IsAr un faiiiéuil. Elle me caressa, mo baisa, itic fil boiro I de l’eau sucrée cl m'installa dans un vieux fauteuil do ve- ■ Jours vcrl; puis comme il faisait froid cl que le few de la I cheminée allait s'éluignani, elle me couvrit ü'uu vieux I munlelel. Vous n'avez pas d'idée, monseigneur, du chagrin I où j'étais d'élro ainsi petit riiieu par les ai tillccs d'une I niagiciennc, ou plutôt du diable, lo diable seul avait pu I me trompér et sejouér de moi A ce point. J'étais do gar- I «le le leti«lcmidu; Mlle Suzaune.Tierceliu me reiidrait-eilc I in;i forme première ? an petit ehion noir eummanderail-il I imposte de gardes françaises T Mlle Justine Savardin no I imraissuil pus trè.i-amuurcusu, il est vrai ; «die f.iisait un I inariugo d'ambition; muilt jo n'avais rien vu jnsq«ie-lA qui I [lût blesser un futur hiari. J’avançai nu peu la tôle en de- I hors du manletet qui me recouvrait, et je vis Bille Justine I qui allait et vcnail dans sa chambre sans songer A se I coucher. Une demi-heure se passa ainsi; enfin la nourrice 1 (tarul. I — Il est dans l’escaiicè, dit^lle; sans entrer tout A fait I «iiuis la chambre; mais si lu m'en crois, Je .Je renverrai I c'cst imprudent. - Non, je veux le voir, dit Justine. I,a nourrice sortit un moment, cl revint nvcc un gros ^ garçon brun, U fs épaules carrées, les traits réguliers mais coniipuns, et qui paraissait d'as.sez mauvaise hnincur, re lui qui alteudait dansre.sralier. Justine-su jirécipita dans ses bras. — Nicaise ! mon bon Nirnisc ! dit-elle eu l’embrassant tciidi'cmenl. Biais Nicaise ne se payait pas de mois; il reprorha AJus tine de l'abandonner pour l'amour d'un grand seigneur, et parla comme un bouime qui a «les droits. Justine com mença par dire qu'elle était bien malhuiireusu, pnisi|ue sou Ni('.iiise n’appréciait pas le sacrifice qu’elle i'aisail pour lui. Elle n'aimait pas M. le comte de La Haye, cl comment aimer un homme pareil ? — Je parie que tu ne l'as pas vu, dit-elle A Nicaise, nu que tu ne l'as IMS bien vu. ilegarde le avec alleuliun de- inuiii, quand il viendra au logis; il a le nez dç travers, les genoux cagneux; il est un peit loaclie, et même un |tcu Ikis.su; d’^llcurs il ne m'aime pas. Mon père ne mo marie que (Kuir me faira romlesso, lui ue m'épouse-que pour mon argent. Il ne m'aiioo nas. je sais qu'il a une maîtresse qu’il ne doit pas quitter. Tu n’as rien. Nicaise, et mon |«è- re ue consentira jamais A nous marier; «‘-'est donc )H)iir toi qge j'épouse nu homme qiii ne me plaît pas, mais «|ùi ne s occupera jamais de sa fi'ninic et qui se laissera Iroiniicr comme un parisien. — Ah ! moiiKcignciir, s'ikria le comte du La Ilayé, quand il fut arrivé A rel endroit de son récil, «(ii'il y a des mo ments où l'on esl malheureux d'être-chiuu I Si j’avais eu mon épée pu c«) 1 é. j'aurais percé ces pcilbles. h('importc, loul petit idiieu que j'étais, je poussai ib's cris, je m'élan çai de mon fauleull et me niant sur Bl. Nicaise Ledru. le tils du pâtissier, je le mordis A la main, puis A la figure, j'emportai dans mes cleiils un morceau di' sa joue; enfin, jo me Jetai sur Mlle Jnstim*, je lui mis les bras eu sang et je la mordisati «on ; tout «r-i en criant, cn burlant, en aboyant de toiilca mes rnire.s. Bl”' Justine, elTrayéu. ri iail A Hio-lûle ; — Tuez celle maudite bêle, c'est iiii animat enragé. M. Nicaise, le visage en sang et la main meiirlrlu, me poursuivait sous le lit «'I sous les fauluniis pour m'assom mer. I.a nourrice, qui faisait le guet je nu sais où, rentra épouvantée. ' — Nourrice, lue ce maudit chien, tui dit Bille Justine. M. Savardin monta chez sa fille en robe de chambre, les voisins se mirent sur leurs portes en criant au voleur, au feu. el moi je itrofitai du désordre général pour m'es quiver el reprendre le chemin du faubourg Salnl-Antoiiie. Vue fois dans la vue déserte, je me levai sur me.s pattes mon corps s'ailongt'a, mes soies tombèrent et me laissèrent voir mon iinif««rme : an liuu de japper, jo pus «lire ; — p.ir la sambteu ! VoilA une soirée bien singulicn!: — je n'étais pins petit chien, j'étais comme toujours lu comte «le La Ilaye, officier aux gardcs-franuuises. Bien portier, en me donnant ma clef et mon rat de cave, mu fit reniar- «lucr'qnnju rentrais bien lard. Je grimpai chez moi pour me jeter aux pieds de Bille Suzanne Tierrclin qnu J'aimais comme un fou depuis que j'étais cimvaiucu de la pci tldie de ma fiancée; ma sorcière n’y était pak, je la chorchait partout, espérant du moins tnmvur la tonrterelic endor mie sur nu fauteuil ou dans le c«nn d'une bergère, l'oiseau s'étaU (envolé; Mlle Suzanne ne m'avait point tenu parole, cite ne m'Bvail point attendu. Je mu mis dans mon lit et iie pns pas dormir, il me semblait que j’avais fait un mau vais rêve, là! lendemain je n'eus rien de plus pressé «jite de courir chez monsieur Savardin, et je voulus voir Bille Jusiiqc :,on medMqn'ello était souffrante el ne pouvait recevoiV^ Je pris alors Bl. Savardin A part. — Moiisieur, lui dis-je', (1 esl venu hier au soir ici un petit chien... —' C«tmmcnl. s'écria-t-il, vous savez cola? Diuu f.jssc qu'il'.tie K«)it pas enragé ! —: Il n'est pas enragé, je VoUs on réponds ;-il a cepen dant mordu Mlle Justine' fort uruellumuiit. — Oui, monsieur lu comte, lu maudit animal a mis ia maison entière en rumeur. — fiO maison el le voisiuagi*. lui «lis-je scriensumcnt. Le petit chien n même mordu au visage el A la main Ni- caise; le fils du pûlis.sicr, qui était chez Votre liiIcA iniimil. Bl. Moaisu esl l'amanl do la fille d'un maix-hand de «Iraps el il n bien voulu se résigner A élro «Jans quuiipiés jours l'amant d'une comtesse. — Monsieur le comte, s'écria le marchand du «Iraps. vous cnlomnioz ma lilb'. — Je lien.s tons ciîs délaiis du petil «'bien ; — alii’Z voir Mile Âiisliim et M. Nicaise, m'o-l-il dit. et vous li'ouveiTZ l'uno le bras «léchiré ut lu cou lilessi'*. raiilrc i.i ligniv. en tamée cl la main m ordue.— Voyons, Bl. Savardin, ajoii; tai-je, et si ces deux personnes ne sàmt blessées ni l'une ni l'autre, le petit cincn aura menti. Bl. Savardin baissa les yeux et ju me hâtai de rompre c«: mariage. Je t:ourus chez'hercclin. 11 était dans sa b'oûli- «|ue oi’a'.upé à peser des dos«'s «ic qûiii'|uitià. — Vous avez une fille, monsieur? ldi dis-je — Suzanne? Oui. monsieur. Suzanne. — An pannier. ia p«irtu A droite. Et de la main il m'in«li«|uail nn p«!lit «\scalior i|iii s'oji- vrait anfim ddesn boutique el conduisait au pallier du premier étage. Je trouvai Bille Suzanne seule dans son salon et ourlant des monchoii-s [)our s«m iièrc comme au rait pu ie faire «mo jeune lillu qui n’aurait pas eu le pou voir de transporter des montagnes ot jle changer mon co lonel en un petit ciron impui'ceptibic. Elle accepta mo.s hommages et me permit de lui faii e ma cour, l’oiir éviter lus comméi'ages qu'auraient fait naître les assiduités d'un ofilcicr des gardes-françaises, il fut convenu que lu petit chien Blétbir gratterait tous les jours A la porlc cl qnu Siiznnue vienaruit elle même m’ouvrir; une fuis dans l’an- tichambrn, je reprenais ma forme vériLible. — Vous dites, monsieur ! s'écria M. Lenoir sl«ipéfail. — Je dR, mon.seigncnr, qnc j'eus le bonheur de faire partàg«'r mon amour A Suzanne: le plus beau jour de ma vie fut ic jour du mon mariage, lu plus malheureux ceint de la mort de ma feniiue. tjuant a mon lie.m-pèiT, c'est tin oni'S, un ours mal léché ri tnnut ; non? ne nous disons p.is quatre paroles dans tout un an...'i*ard«n. inon.si'igneiir si Je vous entretiens du ini'S alfaire.? «ti* famille...... M. l,cnoir ne savait quel parti prendre avec lin Immme pareil,, il songeait A le congédier doucemeni sans avoir l'air de s'être aperçu de l'int«.Mi.sité de sa folie, loisipSé, dé pité d'éti'c la dupe do cet bomine sain ou rnaisain d’c.s- pril, jl lui dil tout d1in coup : — Permidtcz, monsi^cm’. vi»its dites «pie av«-7.coi> sei'vé le pouvoir de devenir polit «hii'ii A volie gré, «’.’o.'it cria, u’csl-il pas vi-ai ? —• Oui, monseigiu'ur. — Celle métamorphose s'opère jiar nu acte Ju «.>1, a vo- , lonté, «m'unie si vous voulez s.«tisf..n i^ mi «b‘ vos capi iues' — Sa«5s aucun do««te, «iiuiisei;: .r

ouii b f V t i Ë S ’ j | p > i € i À m ï ; sbmsenlis.com/data/pdf/js/1856-1859/bms_js_1858_09_25_MRC.pdfSam edi 2iî Sepleinhi-e IftI»#! X" 59.—!tO ' aniK^e. mplol «Ifi

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S a m e d i 2iî S e p l e i n h i - e I f t I » # ! X " 59.— !tO™' a n iK ^ e .mplol «Ifi JSi‘cr<!iairc il» inpdü rarroticlissumetii«ssiilrc «jii’ll pitissc en les Tonciions de clerc (rès-aviiDlngcMiKc. iM du Joiiciial ofi on nu'iils.

^SUISSEmsmc ' de Pajoi), nie de b iti, f)8 . IliiiHics, opprexxiom, ea~ cl de jm ti'fné .V. 01 do 2 fr.s phdnnaciesi

4 DICA C'EIII-:\'S, b i f r i t i les giicril ot jiré. ladios. I IV. le pacniei «tiiiitnile tSo %’Hlriajfiui's liouloiis. gnio de

ros. Lo p o i. I fr. 23 c. lo INHiolt, n , h Ibris. l..\XAVli', .li'qiictiiiHipr!

g T s a i s a i

A C A D IU Ü S I IHVISiBLES,s LES .'rPAIIIEllEffi,

iTts p a r pièces rapprir- air Cl do l'eau à i'iiiiè* ni pour lu dôvoloppe- ipi iinaiii le.s iinnrndi'is. r.iiide siiiiplicilé, .su re- ücilé du p r iv , c l peiil nues croisées e l aiii

iioSiiv ftlHa menimier, II»' t’mrondixiieninU ih

f.V. ( i . ü . G .). OH l'on

!>}: s k .M j Ls .iii/rs.

V ir|nr),oin.ènle(l':iisa-

-Joseph), ol hoyeti (Pa­rie).îl (îiillloiiiei’ (I.iso-KIéo-

im shm n;', rumine K;.sc-

g FfiHfS f a fP A n A K Æ

A M

e Invvoté, guéril les d 'envoyer pour 5 fr.

iis-lo-Sam iicr (Jura),

L .ilR J E Spar CMII.MI.N, «faiM tii>

! [Hiitr i-ocisc'i'vrr, jiisipi'a nvcc vigui-tir h rrur <lr« I M-rvaiit joiiriiclli-iiieiil.

de la H alle , 3 3 ,

'«it.ï. os« K. AV« J33 (K) 7 h) 8 «d)l.'i II 30 0 4030 0 72 8 81()(l II 2.3 0 3000 10 (10 21 0030 00 00 11 00Â.3 11 3.3 0 00

p R t v DB f.’A n ô i r i r B i iB i r r •

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ÿBfX »K8 mBBRTfOMB ;AKKONiXR JIII)l(:iMR»:S. SOrrut* la l>gn<>a» nuscks im>>:ksck. in lU.

« c j l t i » . ........

l . 'E in p ^ u r» accoropagné. de s.. Eiic. le ipipistre . d 'E U t . d d e la in«MD.d<} l'EiiipeVeiiP. dM prince d é la,Moiik4|\va.. dit commapda.nl Ifayÿ npd u préfcl d es ta n d e s i r e i^ u saniedi do UUrrUK;à;Éab!i‘os. aOn.d'Qxaiiilher lie li?r9U3i qui s'exéciileni p a r (ton o rd re dans lés l.andes.

La visite do Sa U igtelé daiisKon dom aine n 'a pas d u ré moins d e cin i| liourds. L’E m pereur a voulu voir en détail

] in ftsmies tiomrellènioiit consin iiles, les défrichem ents, les I eusemeiicemeiils c l les cu ltures.I Sa Majesté s ’csi m ontrée Irès-satisfiiilo do l'hahile dircc<I lion d o n n é e .i-e e s Iravau.x p u r MM, Oroiizcl e l T isseran t,I e ld e S fl^U m s.u b ten iis .I P an M ^ p ae e d.'une annéo, scp l ferm es o u i é té coiistniiles I M irleaM Bilpedm périal, 1,200 hectares do lundes ou i été I CDsemén^. >ou pins, r.hénc.H c l chélaiguicrs, 200 h>udares I d^ridiiÀ c l 4t) mis eu cu ltu re . Eiinu, près de 100,000 I luèires do choïnius d 'exploitation, de fossés d 'assaiuisse> I menl e l d e dOBKèehcmoul ont été niivoris. i ’.I L’Empereiin n lui-mémo indiqué lu n a tu re des nmélIor<v liions qui devront êiro réalisées d an s la cami>aguo pro- lc|iiiinr,el! consisteroul princtpalfuiienl dans la création Idis vastes prairic.s c l lu cuiislractioii do scp l nouvelles I fermes.

Su Najcsié éta it de re to u r é B iarritz s\ scpl lieu il» du I soir. . ■

Nous trouvons dnn.s YAkldnir le com m m iqiw Muivanl :• P aris, le 2 septem bre.

• S. A. I. le Prince Napoléon, chargé du miuislùro de It'Algéric cl des colonies, voiiluul faciliter aux C4dous l'em - I ploi de |a..main-d'«cuvre indigùuo, e l év iter tout ce inii |ieu l Iviitraver la mise en valeur de leurs te rres , a décidé, sous I l s claie du 2ô août d ê ru ic r, qu 'à p a r tir du 1" Janvier 1850, Iles A r a t^ cultivant, A un filrc quolcompu!, soit com m e lo- Iralaires, soit comme kliam tuâs, une te rre coiicédi^ A un IEuropéen, nu achetée p a r lùi, seront cxcinptésdu paieineul Id e l'impôt de l'ocAour.I • Celle exem ption d ’im pôt ne s'applique pas aux loca* llaii'es des Icrrus azeh , qu i coutiuueroiil A payer le hokor cl IrorAoiir. » .

On lit dans la partie non ofliciellc du lfoij<7eur universel : Divers Journaux ont annoncé, depuis qiiclquo.s Jou rs, que

le gonvcrnemeut de l'E m pereu r songeait A inlro<luire de kraves m odincatlous dans le régim o.cumm ercial d e l'Algé- f ie. Ces prétendus pnijcts ol ht poléndque à laquelle ils on t linntié lieu ont excité d an s les d istricts pianufar.turicrs une \e r ta iite iuquMildA. P q u r la fa ire c e s s e r .^ MiiULda d im Bii’il h’csI m ifîcmcnt en tré dans la pcosee <iu gouvo»ÿienïeiiT u e changer la.loi dp douanes qu i régit l'Algérie et d é tenu iue vus rappurla.hVcc la France.

j o u r n a l ^ r a i t

ï l o ^ é i i î ét||lnitsM on (m m ^diite . Ce «fnll y a d é v ra i, c ’ral' d u e Top étud ié UM .m inistère du c o n n u ip ^ l ra Qmdlûcatl(u|g dont cette législaiiou es t suMcpliule^ | |a l a nn ne i n i u m pas dés qiiésirous d é dpitaucé du iuüir Mil lendem aio; elles oui besoin d 'é tra étudiées sérieuiienienl avaul d ’é lra po rtées dçvant.lpsnAsemblécs qu i doivent Jétinilivenieut proiioncer- s u l 'l c u r m érite .

Seulem ent il faut rceoniiatlre due s i . sous Pem nire d is ' clrcoiistaiiiUis, un duci’é l «a. suspendu rexéiuilioù ue la loi, leé dispoéilions du c(f d éc re t peuvent ê tre prorogées, et le tern ie auquel elles expiituil t'éiiiis A une époque plus r e ­culée.

i.e gouvcrneuicnl né pedl tâ rd é r A faire conilnîtrc scs it>leulli)u.s, puisi|:ié rapplicFiIiou dit décrût qui suspend l'é- chcllu iiiouilu cr.sse avec le mois ac tuel. -

b f V t i Ë S ’ j | p > i € i À m ï ; s

^ Senlii, «M 4h:Jriitriui^^V<1*aii, n* 5j '~A lîbrAiret— A rcro}c-lM-Gonti«i-ic>yV B. Ltuit.sr), ancivit maire; — A ISiri,, ilaCompogn e Centmlr il'An- iiiiRMi, 2t, rnr de ta BouiiM; - Al'ûSrol'Arrci- ’I^ndanre ci<t MM. |.«i,ou«Rr «KS-rr. N.-UmIi!»- 'iVii:<oircs,23: — A la U>i>«ii ileOuiiri*;;,*, bnult. l'oiuoDiiiiièrv, I l ; — A MM- Ca*|iraiivii.K ci C.ic. . ilfrecieun de l'OlÂi-e crnfratr <Je nuiliiitrie H <ju IkimmprCfvl rue du F«i>t>oiir|(-Mnnimarirr, h" ^S; —. et rhci Im lilirilrei du drpiri. '

les■.nStTU?!-

Oa assure qiiu 'l’Eiiipcréiir uo ru u iré ra ipic le 2g:û Pari^ pour sc re itdre do lA au cam p de.ChAlous.

K S.uiicu. a ré.s.)îii ce pr.)- ' l's m atières ui rm létél iplèto d(5 l'.iris . du la uniques h; miiuvumenl lotiilu com m e l'agiicnl- t‘l . irouvoul d.aus ses

litiéi'.tiro, a rlisti- lie. Il saiisfail loul eii- usoiti.s pins sérieux des Is «lo la sitnaiion ünaii-\L DICS Jülia.N.ÀUX,

o r l ctfà KUM.le on des lim birs poste.iil,reM-puNlc «lu <?. V&ills?.

- - Ixs ralilIrHalious de la convciilion des Priiicipaiité.s-h liiiessonl t«mjoui's atlendiies |Hmr lu llu de sep tem bre. P oules ie.4 puls-sanccs signataires o u i m is le plus louable JcmpresseMent A celle riliiicu tiou . I.’éc lu n g c se fera doue, Kilivanl toutes tes probabilités, d an s les prem ie rs Jours Il'uclob re, e t p a r les sim ples chargés d 'affaires dus sept nm issaurcs signataires.

Ou s'est occupé depuis quelques tem ps, dans d ivers jo u r limiix do ra rb i e t des déparleu ieu ts, el su rto u t dans les IcorresiKmdaiieea des jo u rn au x étrangers, de la question du Iniiiinlieii ou d e la suppres.sion de l'écbollé m oblle.^lt'fiprês Iccux qui se préloudcnl b 'cn inform és, le Conseil d 'Ë la l sc- | r a i t déjA saisi de rexâm eii d 'u n pro jet de déc ret dans le

lens de rabolition , c l la soliillon sera it lrès-procbaii|u .llfa til rem arquer, ccpendaut, quu j'éc lic lle m obile ticn l

A un régim e douanier é tab li p a r une lui, e t ne peut eu cou- véqueiioe r e changé déliuitiyuineul que p a r une loi.

U Conseil d ’Elul ne p eu t donc pas ê tre saisi de lu ques-

lois E tals de douane du mois d 'itoû t ' présentent d és ré- siilluts favorables. produit des d ro its pirreas A i’inipor.- lation n 'a é té , il es t v ra i, que du lf.241,000 'franc.s, ce qui offre une diinim ilion d 'euviron GbO.tNNt fr . relativem ent n«l m ois d 'uoû t du l'année d ern iè re ; m ais on re m arq u era que la dinnnutioii provient en tièrem ent des Hiicre.s étrangers,* ce qu i n 'a pas d'inmurlHiicc p o u r le tré so r , puisque lett droils 'qn 'ilJoudio ilo tV C til M ru ré p H lu ^ A |a sortie d e cr.s sucres, qu i seu l destinés A ê tre -réexportés sous form e de raffinés. AlMlractioii faite des sucres étraugei's, k>s d ro its s u r les m aixilnudises diverses doiiuciit une aiigm eulatiou. e t e 'e sl lA nu fait qu i m érite ira iila n l plus d 'é tre signalé qu'il 5e pi éseule pour la preiiilère fois depuis le uommeucc- meut d e l’aiinée. (î'c.sl doue là encore nu syin|ilômu du la reprise des afTaires. J. llrnAT,

On iil dans le Moitilcur de l’Àriuèe :• laiséclicn's.so qui a sévi depuis l'h iver d ern ie r, avait

nui considérablem ent aux récoltes des fourrages, et l'on pouvait c ra in d re .u n e véritable disetto dus denrées uéccs- salixis A la im nrrlliiri; des chevaux e t des bestiaux. De.s pluiesbicnfaisanicssont vînm esbenreusenleutcidm er ic.s in ­qu iétudes; elles ont raiilnié la végétation dans les p ra iries cl. fa it fortiller le seu iliire s d ’au louine. qui peuvent te n ir lieu de fourrages. Etillii. la réculle du l'avoiuu a é té plus pruduolivc qu 'ou ne l’avait espéré d 'ab o rd : le coMr.<: d e ce lle dcui'ée sub it une baisse prouoiicée s u r tou.s les m archés.

■ lot commci'ce avec sou activité babituellc, contribue A ré ta b lir » ii« i l’équilibra d m . lo p rix « l i l . ^«lauu Im •‘« « t i l n u u . / l o * - * i * . • i . ..i -.vistouncmcui.s'(|u if tn insportc s u r les points on le duticit s ’es t fait plus pal'Iieulièrem cnl sen tir . ■

> P a r su ite de ce.s circi>ik>laucu<. J 'ad in ln istratiou «lu la guerre viciil d 'o b ten ir, dans scs adjiidie.ilioiisdes résu lta ts qui sont rehitivem eut favorables, su rto u t si l'on considère ipie les m archés lim ités uxccplionuelU*m.'nl A six m ois, em brassent la période de cherté que l'on verra cesser A l’approche de lu léco lle d e 1859. *

Ou éc rit de Loudixis, le 21 sep tem bre ;L'nc le ttre de Caillou porte que tous tes jim rs Anglais el

Fruu^:ais sont m assacrés de la m anière la plus odieuse.

P a r décret «lu,20 septemb.ie, M. le bhron C rus, com m is­sa ire exIraoVtiiuàire e t pléiiipoleuliaire de France eu Chine, est élevé A la dignité du sénateur.

P a r différeids déc rets datés d e B iarritz :M. Ducbesue du Ihdlecoiirl. p rem ie r sccrét«iire de l’am ­

bassade ex trao rd inaire du rEm |>ereur eu Chine, es t prom u aU g rade d 'ofllcicr d e la la^fioiH l'Ilonuoiir.

d l l . !<i ttalràula de Mogési a l i a ^ é , cl M. Ju les Marques, M le r p 'i^ i dfe' Ifeditti a fo b aÿ ad e , sont uommés clievaiiei's

^ e ib p e p e a r d t i lliifetldaeonféi^ an général M oiiraw iefle tW è de_ comte et lui a adressé une lettre très-gracieuse. O k lû i'perfnd t d ’a ttacher A son nom le souvenir de l'actpii- a ^ i i 'd u leFriloIre du fleuve Amour. I.e général s'appellera «mw désorm ais ethnie Houruxvief-Amuui'ski.

' — On sait qu ’en l*ritsse tout est noté comme un papier le, m usique dans rgdniiu islralinn . Ücruiùrcmcnl, le prési- m it du trib iiua l d'itiic petite ville de Poméranie n rendu

suivant : allf^èdti qü 'ii est venu A la connaissance m trlbiinai qlic eijiployés d u d it tribunal ne saluent pris in q le réspecl vùniu m essieurs les juges, il est ordonné,

roaintciiir le b u ifo rd re à cet égard , que chacuii des lorsqu 'il renbonlrcra tin des Juges dans là rue.

ifrorfra '9 dro ite et fera une salulalioti en baissant sou lâJW aù'Jt)squ'aux eiiviroiis des genoux.

i ■ • Pour e r /r a d W redflch'oM : E; RF.GMKR.

.r* , l iO K m is s

1.0 Moniteur universel n prom ulgué la loi qui subiqiluc la sneiéié du C rédit foncii*r A l'E tat pour les p té ts A faire jtis- qU'A cuur.itrrcnce de IIM iinillious.eu vertu de la loi de 1856 su r le diMinage. Le créd it foncier n 'allendail que celle pro- nfUlgalion p o u r com m ciiccr ses opérations, e t Von pensé qi'llt publiera sous peu de Joiii's les conditions auxquelles il ,'téédrdera de.s avances au.x propriélalj*u.s pour leuin» travaux de drainage.

Parm i tes cxompIc.s cnrieiix de draiungc, ou nous en cite un qui ii'e.st pas des moins in tércssanls;

Com-ne la p lupart des enlises du moyéu-Agc, l’égiise de Gifpjt-tcs-Hulio .se Ironvail en terrée soas le.s lerreà ,r.ipnor- t é ^ depuis sa fopd.ilion, el il eu é ta it résulté une hum idité d M plus tAcheuses. c l pour les personnes qui fréuuculeni

e t poiirVétal m êm e de l'édiflce. tacite hum idité por­tail m straccS ; le long des mdfp, Jusqu'A la h au te u r des fe- tiH res’, cl il sem blait d ’au ta n t p lus difliciîe «le s’en d<‘b'ar- ra sser que celte égliséd^t,com nle toiitér celles du Ircîziètfie siècle, peu aérée . M. le curé d e Cii'es eu t rheiircu.sc idée' «le faire dra ind r son église. L’eau fut déversée dau.s im p clit

môme le tsp s ,il ik débarrasser eéfdcsccudu A sou ancien iiîJSftfxie'm i «JfrtlrAtTUTiiftnMûlrint' rendu l’édiiiuc im praticable sans le drainage, grâce au' dra inage n'a présenté que des avantages. Le nouveau ou plutôt raqcieii .sol, bien au-dessous du cim ulière qui l’envi­ronne, est parti ailssi suc «d aniisi s'aiii qu'on peut le d é s ire r .. Le.sgraudes lam i» de v t'n ltire qui avaient envahi (es mû railles, dc.sceudenl e l d ispara is-cn l. L’église, sans «pi-’oti ait ouvert une fenêtre du plus, se trouve assainie e l cummu ravivée.

Lu drainage est doue une opération (|u'on peut recom ­m ander. non-suiileutcut aux cultivalem 's et aux p roprié tai­res, m ais encore aux cuium unes pour la restauration ol l’as- saiuissem enl do leurs vieux édillr.e.s Ar.tnile DssMnoiNS.

(Jjuirnid de l'Oise).

B ETZ.— Le IC de ce nioLs, Ht Ji).stice, Inform ée q'iï*oû’ venait db trouver^ le cadavre d ’iin hom m e (femdq daim 'le bols de H ouirollês, s u r Ip terr ito ire d e B eli. M ljfanspb 'rid ' en lo ü te h â te d d r le s lieux, u itn 'd e cdnslatéir'téi'sûiêH lë. P lusiëurs per8oiin<» recouiiurènt dau'ë ce t ilomniè le nohihiû Alexandre O H tdbeil, raâh'éuvrier, def& ë u n in i* ! 'V iÜ m J Sftint-Genesl. Le cadavre é la il suspendu S line b rn m ^étid V un luirdead: les dbtix gènoux Imicliaient A'terrio, a m s i ' j ^ les deux m ains. La n lorl devtut rem onter A près d c ^ l n ^ * Jiuirs. En effet, le 3 septciiibre, G rim berl éta it so rti 9 - ^ t t rc heures du inatiii, eh e u ip o rtau l une bouteille d ’cAiW ' 'vie. Aux questions,dq sa femme, il s 'é ta il c iin leu lé 'd q x é - pondre ; •< Cela né le regarde pas. Jo vais où je venx. ■ ü ue s'é ta il pas inoiilré plus cx|)licile.a l’ég ard d 'u n charüCr, Hcr nui lui nvail adressé ia narold; cii le 'reiiconlrâiit

BE VUVAIS. — Un incendie a éclaté la mfit de vendredi A sam edi, rue du Boul-du-Mur, à l’.uiiærge qui a pour e n ­seigne : <iu Gmiculicr frrnenis. Ou a ltrib u e cet înceudio A l 'é tal d 'ivressu où se trouvaient un homme c l nue fem m e,, qui «Muictiaieul au troisièm e é ta g e . dau.s une chàmb*’é garu ie d 'iioq paillas.se. Ils avaieul eu l'impriidun- c ÿ ^ é ga rd er allum ée la cliandeîle. Grâtu: aux sucoui'sdes hW ilanis du q u artie r, le feu é ta it qomplèlemcul éteint une heure après:

près du bois dé Mdnlrolles, ou il a llait m ettre (lu A slâ;jOtli'S.

;1}u pense que des chagrius de fdmille on t pii seulA d éîé r- m ruer ce inalhcurcux A se suicider. C’é la il unho m m d d ’i ^ conduil,e irréprochable el im ouvrier laliqrieiix. Il Pa'fao «plaire en 'au ls, qui hcurcuscfdchl BOhi’êlëY ^. . ; ’

CHANTILLY. — la^s courses von! com rheiiccr dénlHih' dim auche. Ce p rem ier jo u r cinq prix seront coitrus. sâvofi* : l’i ix dus ha ras , 4,000 fr . ; — I " crité rium , f f i W fr- ; — prix «le sylva, 1,000 fr. : S* crité rium , i ,000 fr. ; ' prixde l'E m pereur, 10,000 fr. -h. T«»tal, 17,000 fr. '•

— Ou lit ddfis le Sport ; • ; • •« La procKaiiie réuniQn À Clidhlllly sera, il c.st A rrn iq d ré .

moins , brillaitle que celle qui a cu*il< ii A pai'èille époque ('.in d ern ie r. Les ciigageuiciits dans le.s ut;|x du.deiix An.s sont moins nom breux qiié d ’«>i’diiiaire (p a r qpitc d 'une ré.ydiou «ionf nmis ne nous plaignons pas, «Jùrêslc);.el le P rix de l'E m pereur, le g rand a tlra il de là JfiMrnee, n 'éxc*^ qu 'un intérêt médiocre, les chevàûx framiars engagés " tan t guère dignesdc d isputer le prix A leurs rivaux n u ^ s . '

• Piilocki et Paladin .sonl re tirés dans ]e Pri:^'des IfA/aJi,' irdpériaux. L’écurie de .M. I.àgratige.sera p v o b ah le M b t' représentée p a r Vaina, au lieu de M"* de C 'ia iilillÿ ,'^ , ! m algré l'anlngonisme de Last Boni, DucbCïM, « 1 pe«il-él^ Serions, nous croyons au succès'de Valiïa.

•> Nous n ’avons pas une opinion très-favorable aitx elfe-' vaux de 2 ans qui ont diqà couru : c'ust-â-dire Atbos. Ila - rotd c l Yoiing T ru st, e t nous croyons que le beau p b m u ia . (Corsaire) do M. do Bluriiy brillera plus ta rd dmik"uqc course plus im portante plulôl que dans le pi’eiûlér'CA jâ- rium . Nous croyons q«ie l'élu de l’écu rie de ■BI.’'SWcfilerV so it l lu r r a h ; sera le vainqueur en c e l te -o c c d ^ ii ' ; e t qu'OpuleiM dera^on eoncuiTeiil le plu.sform tdaM è. _.

E ubinoou N egrine p o u rra it gagner le Ji ...... —a-..- 1. ..--..jjjpde'dU êfqiU îs'hoaiîinèa aem ertiiK C ariin o t Moulins, m ais elle ne suurail ba ttre Neva; o ’pçudanl nous uo Koi'ions uuilcnicnt éloiïnés si celle-ci sucCoinbail devant Troëiie ou W udding, la dern iè re nommée claul no tre p ré ­férée. - . . •

» Noius n'avoir? aucune donnée positive s u r les chevaux anglais engagés dans le prix de rphnperenr, sau f que Sann- est aiT ivé'ct qu ’«)u altem l Fisherm an. ('.epciHlanl inuis ra- m anpions «pic Warlouk est désavantagé p a r le poids et est on ou tre favori dans le llesarew itvb, que Bi«r«terer, u 'é lan l pas venu A Bade, nu passera pri»b:ibloiiiunt pas la..Mau«die: ' q ue Yorkskire Grev a été vaincu durnièreinout par la F isherm an et parO 'M ïr ic k , ut que s ir Golin étant dans la m êm e éciiric>que Fisherm an, ne puni avoir aucune chance de succès en antagonism e avec culni-ci.

Les chevaux de M -'l.àtacho de Fay et dc M. Delam’àrrè n e parliro til pas e l récu ric de M. de Lagrangu nu pourra lu tte r contre l’écurie de La Mnilaye. A en j«»ger p ar tes r é ­su lta ts obtenus A iladc. Malgré la bullo cour.su fitiirnie par Goclello A Bade alors que Goiivîtiux nu lui read.iit que 4 kil. t/2 , noirs croyons tuiijouis A là sapcriu rité du duriiiér nom m é: ntais eu égard aiix poids, il nous seirïlijp qite Mls's G alb a les plus grandes cliaimes de succès que tous les che­vaux de cette écuri ■.

■ Il est assez évident toûleiuis qu’une jum ent «pii n'e.sl

FSTTZIalaBTOXr.

iigraim ne; — 2 ',21 -c . |l

K l . r , . ' , . 1,11.

MliiDOtt MOIK GDiXDRIi:.#

- Et Une fois com tesse, tu ne nous au ra is plus rc- Igardée.

— G'esl encore poitslblc.— M alheurcusemunt, il est officier dans les gardes-

I françaises.I Cette opinion trouva 'de l ’éclio, ci j 'ap p ris IA que si lus iRardcs-fraiH^iscs éta ien t'b icn vus du |«euple, ils n’é ta ien t Ipiot aiméa (io la honraeoisie.I J'étais drrivé A ia fin de la soirée, m inu it approchait. I c i lur^U é les dunzc Coups eurent sonné A la pendule de I chagrin vert qui orna it la chemiiié«h ia société se sépara, l u t l«» babilaiits de lu m aison rcntriFrcnt chacun chez eux. iH Ite Justine ghgna son appartem ent sans vouloir, m e quil- l i e r ; elle avait décidé que j ë coucherais dans su rJiam bre IsA r un faiiiéuil. Elle m e caressa, mo b aisa , itic fil boiro I de l’eau sucrée cl m 'insta lla dans un vieux fauteuil do ve- ■ Jours v c r l; puis comme il faisait froid cl que le few d e la I cheminée a llait s 'éluignani, elle me couvrit ü 'u u vieux I munlelel. Vous n'avez pas d 'idée , m onseigneur, du chagrin I où j'étais d 'é lro ainsi petit riiieu p a r les ai tillccs d 'une I niagiciennc, ou plutôt du d iab le, lo diable seul avait pu I me trom pér e t s e jo u é r d e moi A ce point. J 'é tais do gar- I «le le leti«lcmidu; Mlle Suzaune.Tierceliu me reiidrait-eilc I in;i forme prem ière ? an petit ehion noir eum m anderail-il I imposte de gardes françaises T Mlle Justine Savardin no I imraissuil pus trè.i-am uurcusu, il est vrai ; «die f.iisait un I inariugo d 'am bition ; muilt jo n'avais rien vu jnsq«ie-lA qui I [lût blesser un fu tu r h iari. J ’avançai nu peu la tôle en de- I hors du m anletet qui m e recouvra it, e t je vis Bille Justine I qui allait e t vcnail d an s sa cham bre sans songer A se I coucher. Une dem i-heure se passa ainsi; enfin la nourrice 1 (tarul.I — Il est dans l’escaiicè, d it^ lle ; sans e n tre r tou t A fait I «iiuis la cham bre; m ais si lu m 'en crois, Je . Je renverrai I c'cst im prudent.

- Non, je veux le voir, d it Justine.

I,a nourrice so rtit un m om ent, c l revint nvcc un gros garçon b ru n , Ufs épaules ca rrées , les tra its réguliers m ais coniipuns, et qui paraissait d'as.sez mauvaise hn incur, r e ­lui qui alteuda it d ansre .sra lie r. Justine-su jirécipita dans ses bras.

— Nicaise ! mon bon Nirnisc ! dit-elle eu l’em brassant tciidi'cm enl.

Biais Nicaise ne se payait pas de m ois; il re p ro rha A Jus­tine de l'abandonner pour l'am our d 'u n g rand se ig n eu r, e t parla comme un bouim e qui a «les dro its. Justine com­mença p a r d ire qu 'elle é ta it bien m alhuiireusu, pnisi|ue sou Ni('.iiise n’appréciait pas le sacrifice qu ’elle i'aisail pour lui. Elle n 'aim ait pas M. le comte de La Haye, cl com m ent a im er un homme pareil ?

— Je parie que tu ne l'as pas vu, dit-elle A Nicaise, nu q ue tu ne l'a s IMS bien vu. ilegarde le avec alleu liun de- inuiii, quand il v iendra au log is; il a le nez dç travers, les genoux cagneux; il est un peit loaclie, e t m êm e un |tcu Ikis.su; d ’ l lc u rs il ne m 'aim e pas. Mon père ne mo m arie que (Kuir me faira rom lesso, lui ue m 'épouse-que pour mon argent. Il ne m 'aiioo nas. je sais qu 'il a une m aîtresse qu ’il ne doit pas q u itte r. Tu n’as rien . Nicaise, et mon |«è- re ue consentira jam ais A nous m arie r; «‘-'est donc )H)iir toi qge j'épouse nu hom m e qiii ne m e plaît pas, m ais «|ùi ne s occupera jam ais de sa fi'ninic e t qu i se laissera Iroiniicr comme un parisien.

— Ah ! moiiKcignciir, s 'ik ria le comte du La Ilayé, quand il fut arrivé A re l endro it de son récil, «(ii'il y a des mo­m ents où l'on esl m alheureux d 'ê tre -ch iuu I Si j ’avais eu mon épée pu c«)1é. j 'au ra is percé ces pcilbles. h('importc, loul petit idiieu que j'é ta is , je poussai ib's c r is , je m 'élan­çai de mon fauleull e t me n ia n t s u r Bl. Nicaise Ledru. le tils du pâtissier, je le mordis A la m ain , puis A la figure, j 'em porta i dans m es cleiils un m orceau di' sa jo u e ; enfin, jo m e Jetai su r Mlle Jnstim*, je lui m is les bras eu sang et je la m ord isati « on ; tout « r - i en cr ian t, cn bu rlan t, en aboyant de toiilca mes rnire.s. Bl”' Justine , elTrayéu. ri iail A Hio-lûle ;

— Tuez celle m audite bêle, c 'est iiii anim at enragé.M. Nicaise, le visage en sang et la m ain m eiirlrlu , me

poursuivait sous le lit «'I sous les fauluniis p o u r m 'assom ­m er. I.a nourrice, qui faisait le guet je nu sais où , ren tra épouvantée.

' — Nourrice, lue ce maudit chien, tui d it Bille Justine.

M. Savardin monta chez sa fille en robe de chambre, les voisins se m irent s u r leurs portes en crian t au voleur, au feu . el moi je itrofitai du désordre général pour m 'es­quiver el reprendre le chemin du faubourg Salnl-Antoiiie. Vue fois dans la vue déserte , je me levai su r me.s pattes m on corps s'ailongt'a, m es soies tom bèrent et me laissèrent vo ir mon iinif««rme : an liuu de japper, jo pus «lire ; — p .ir la sam bteu ! VoilA une soirée bien singulicn!: — je n 'éta is pins petit chien, j 'é ta is comme toujours lu comte «le La Ilaye, officier aux gardcs-franuuises. Bien portier, en me donnant ma clef et mon ra t de cave, mu fit reniar- «lucr'qnnju ren tra is bien la rd . Je grim pai chez moi pour me je te r aux pieds de Bille Suzanne T ierrclin qnu J'aimais comme un fou depuis que j'é ta is cimvaiucu de la pci tldie de m a fiancée; ma sorcière n ’y était pak, je la chorchait partou t, espérant du moins tnm vur la tonrterelic endor­mie s u r nu fauteuil ou dans le c«nn d 'une bergère, l'oiseau s'étaU (envolé; Mlle Suzanne ne m 'avait point tenu parole, cite ne m'Bvail point attendu . Je mu mis dans mon lit et iie pns pas d o rm ir, il me sem blait que j ’avais fait un mau­vais rêve, là! lendemain je n 'eus rien d e plus pressé «jite de courir chez m onsieur Savardin, et je voulus voir Bille Jusiiqc :,on m edM qn 'ello é ta it souffrante el ne pouvait recevoiV^ Je pris alors Bl. Savardin A part.

— Moiisieur, lui dis-je', (1 esl venu h ier au soir ici un petit chien...

—' C«tmmcnl. s'écria-t-il, vous savez cola? Diuu f.jssc qu'il'.tie K«)it pas enragé !

—: Il n 'est pas enragé, je VoUs on réponds ;-il a cepen­dant m ordu Mlle Justine' fort uruellumuiit.

— Oui, m onsieur lu com te, lu m audit anim al a mis ia maison en tière en rum eur.

— fiO maison el le voisiuagi*. lui «lis-je scriensumcnt. Le petit chien n même m ordu au visage el A la main Ni- caise; le fils du pûlis.sicr, qui était chez Votre liiIcA iniimil. Bl. Moaisu esl l'am anl do la fille d 'un maix-hand de «Iraps e l il n bien voulu se résigner A élro «Jans quuiipiés jours l'am ant d 'une comtesse.

— Monsieur le comte, s'écria le m archand du «Iraps. vous cnlomnioz ma lilb'.

— Je lien.s tons ciîs délaiis du petil «'bien ; — alii’Z voir Mile Âiisliim et M. Nicaise, m 'o-l-il d it. et vous li'ouveiTZ l'uno le bras «léchiré ut lu cou lilessi'*. ra iilrc i.i ligniv. en­

tam ée c l la m ain m o rd u e .— Voyons, Bl. Savardin, ajoii; tai-je, et si ces deux personnes ne sàmt blessées ni l'une ni l 'au tre , le petit cincn au ra m enti.

Bl. Savardin baissa les yeux et ju me hâtai de rom pre c«: m ariage. Je t:ourus ch e z 'h e rcc lin . 11 était dans sa b'oûli- «|ue oi’a'.upé à peser des dos«'s «ic qûiii'|uitià.

— Vous avez une fille, m onsieur? ldi dis-je— Suzanne?

Oui. m onsieur. Suzanne.— An p an n ie r. ia p«irtu A droite.Et de la m ain il m'in«li«|uail nn p«!lit «\scalior i|iii s ' o j i -

vrait a n f im d d e s n boutique el conduisait au pallier du prem ier étage. Je trouvai Bille Suzanne seule dans son salon et ourlan t des monchoii-s [)our s«m iièrc comme a u ­rait pu ie faire «mo jeune lillu qui n’aurait pas eu le p ou­voir de transporte r des montagnes ot jle changer mon co­lonel en un petit ciron impui'ceptibic. Elle accepta mo.s hommages et me permit de lui faii e ma cour, l’oiir éviter lus comméi'ages qu 'auraien t fait naître les assiduités d 'u n ofilcicr des gardes-françaises, il fut convenu que lu petit chien Blétbir g ra tte rait tous les jo u rs A la porlc cl qnu Siiznnue vienaruit elle m ême m ’o u v rir; une fuis dans l’an- ticham brn, je reprenais m a forme vériLible.

— Vous d ites, m onsieur ! s 'écria M. Lenoir sl«ipéfail.— Je dR , mon.seigncnr, qnc j'eu s le bonheur de faire

partàg«'r mon am our A Suzanne: le plus beau jo u r de ma vie fut ic jo u r du mon m ariage, lu plus m alheureux ceint de la m ort de ma feniiue. tju an t a mon lie.m-pèiT, c 'est tin oni'S, un o u rs m al léché r i tnnut ; non? ne nous disons p.is quatre paroles dans tout un an ...'i*ard«n. inon.si'igneiir si Je vous en tre tiens du ini'S alfaire.? «ti* famille......

M. l,cnoir ne savait quel p arti p rendre avec lin Immme pareil,, il songeait A le congédier doucemeni sans avoir l 'a ir de s 'ê tre aperçu de l'int«.Mi.sité de sa folie, loisipSé, dé­pité d 'éti'c la dupe do cet bom ine sain ou rnaisain d ’c.s- p ril, jl lui d il tou t d1in coup :

— Perm idtcz, monsi^cm’. vi»its dites «pie av«-7.coi> sei'vé le pouvoir de devenir polit « hii'ii A volie gré, «’.’o.'it c r ia , u ’csl-il pas vi-ai ?

—• O ui, m onseigiu'ur.— Celle m étam orphose s'opère jiar nu acte Ju «.>1, a vo-

, lonté, «m'unie si vous voulez s.«tisf..n i mi «b‘ vos capi iues '— Sa«5s aucun do««te, «iiuiisei;: .r

Page 2: ouii b f V t i Ë S ’ j | p > i € i À m ï ; sbmsenlis.com/data/pdf/js/1856-1859/bms_js_1858_09_25_MRC.pdfSam edi 2iî Sepleinhi-e IftI»#! X" 59.—!tO ' aniK^e. mplol «Ifi

I

pas thï prcniit'i' oi»lro mOiiH' oii l 'r a u r t 'n r priit rivaliser avec les iiieilleiirs ehevîiiix tUii^iais.^ tuie pareille (iiiréreiice de poids (7 kil. du iiioliis), ü | nous peusoiis dès lois i|tiu la eoiirsu csl un iiuiU'h uuü'u l'ishcru iaii et Sniititurei'; aussi, eu nous réglaul su r ce «|ui s’csl passé la semaine doruière

lloncasier, nous indi(|Ucrous SminUrcr coiuinu devaiil probabluinciil gagner le prix de rtb iip ereu r.

« Aucun des chevaux engagés dans la l'ouïe de deux ans. n 'a couru jusqu 'ici : i.iouba el le tU ianneur auraien t peut-ê tre des chaures de succès' >

t'OM l'IÈCNE. — M ercredi lô du couratil. dans l'après- m idi, un employé du i'a lais, notntué Killard. *|ui iielloyail A l’exiérietu* des lenôlres du rez-de-chaussée, csl lotnbé acdden tellcm cn l daits une lusse (uxifoiide de deux m étrés, e t. dans s« chute, il a été gravem enl cmilusionne au côté, t'.el employé a iinuiédiateuient reçu Ions les soins que ré ­clam ait sou é ta t, e t on l'a eusnile lrans|>oi-lé dans sou lo­gem en t. n ie des Lom bards. Un espère que dans une vingtaine de jo u rs il sera coinplèleincul rétabli el qu'il pourra p a r conséquent rep rendre son service.

— Vendredi 17 , vois sept henros du m a lin , un chur-cciicr de ctiez M. Féll* Ancei, a été victime d 'u n bien U erribk apcidenl, su r la roule de dessous, en conduisant uucvoH ui'e résidus provenant d e l à brasserie. Il était ipon lé 'su r son tom bereau cl s’y était endorm i. Les chevaux. I j v i ^ 'à cu i 'm è iu e s, se d irigèren t vers le talus de la roule. L’ H in ag o tout en tier roula .deux fois su r lul-méine. I.c düinxHiei' fut éloüiréoii écrasé sans avoir lait cu tendre une senie p lain te, au d ire du cantonnier qui sc trouvait su r la i ’4mtc. I.a moi ! a été inslanlattée.

. Çe rnalheureux .dont le nom est Sanveirr.csl m ariéel père dç;^r»>5 enlanls.

, ifcïLOCOritT. — Le nommé th é o d o re llacinc, m auou- vrier à Uilocourl, avait In funeste hab itude de lioire. Le 0 septem bre, il ren tra chez lu i, vers cinq heu ies. à nioiiié iyro, el lémoigu.t le désir de se m ettre au lil; m ais aupa­ravant il voulut preiiilre la goutte tpi’on avait coutum e d.i h i i - ^ v i r tous les soirs avant de se coucher. Il ne tarda p o s’A s 'endorm ir «lu sommeil le plus paisible. Lu lemlein:Hn mjiliil. son petit lils en tra dans sa uliamlire (tour le réveiller e t lui (torler sa tab a tiè re : Il ne «iomiail plus aucun signe de vie. médecin, a|>neié jtonr couslalirr le fait, atti'ihm- la iQort de ce t homme a l'abus «les sp irilneux. (tacine était Âgé de r>C ans.

MOUIKNV.IL. — Le 21) c.ourffui, Uts époUx Kelh'vilbt, «le- m eiiranl à Morieaval, se levèrent à «piatre lieiircs «lu m atin pttiir a ller Iravailior dans les chain|is. t'Iiacun d 'eux all.i de son côté. A sept heu res el deniitt, la lémine Reileville ren tra e l app rit que son m ari était dans nu é ta l vompitd d'ivresse et qu'il dorm ait p ro fon lém en i dun.s l'écurie «lu sieu r (irignon^ Ljlc voulut aller le che ichcr, m ais le lils Orignon lui Ut com prendre «pi'il valait bien mieux le laisser repivser queilipie tem ps e l attem lre pour l’eiuinciter. (]ue li‘: fumées du vin fussent un peu di.ssipécs. tlile suivit ce cou se l^ m ais à m idi, ne voyant jias revenir liellovillo, elle se re n d u A l'écuric avec le tys (hignoii u>t le trouva élL;nilu .sur lu paille dans un é ta t tr«>s-alarmanl; son visage était devenu violet. Elle s 'em pressa «le lu faire tran sp o rte r A sa mAison, m ais il expira avant d 'y a rriv er. Le d o c 'e n r ih-of- frà j,'ap p e lu s u r le cham |i, déclara <(<ie tous les soins étaient inutiles. BiJllevillc avait siicc«unl)é A une congestion cérv bra ie , déterm inée p a r l'ivresse. Il é ta it Agé de 42 ans.

PRÊCY. — Le ! i cou ran t, le sieu r l'Inis (François;, f;i bri«:anl de cordons de siùe à Pi'ta'V, s'est pendu à un fi'énc, A l'u 'u^ d 'une lanière de cu ir. Finis l'dait sorti du chez lui A im it heures cl n'avait |>as reiniru A m idi. La famille impiiote «leson ubscnco, l'avait inulilemeiil cherché «(ans le village el dans les champs voisins; ce n’est i|ue vers six heure.xdii so ir qu 'on le trouva m ort au lieu dit MonccHRx. beniiis qiiel<|UfeS ji)Urr;. on avait i'euiac'jdi! un cliaiigcntejll «ians son c.iractero; il é ta it deve.i i l'ulu 'c.

— M. A.-E. C erfberr, homme de lettres, inspecteur gé néral d<is prisons de l'E iupire, c. levalier «le l.i L«Vgioii- d 'IIonneur, ancien .pré ltn de S lé 'ie-et-Loirc, vient de suc­com ber A la suite d 'u .ie longue et doul oireuse m.da<lie. le 13 lie ce mois. Il eniiiiirte les regrets de tous «:etix qui l'ont connn. '

SL.SLIS. — Le bruits'iM l l’ép .indu i|u 'u iie do ces allaipi. s de nuit el à m iin a n n é e , <|;ii ont récem m ent el)'i'a\é rarrondissem eul. venait «le se renouveler contre nu valet de cour du M. Devoiige, ferm ier de la commmie de Sain tiiics. Ce b ru it est sans l'ondemeni. Lue instruction juili i 'iaire a dém ontré ijue le fuit ipii s'«-sl («assi- dans la nuit du 1-i au l.ô septemlu'e «lernier, a été organisé, «lans t«> but liiiiipie «le /u/r.e p'^or au valet «le cour, |>.ii' «ieux charre tie rs «le la ferm e, <(iii ont feint d ’a r rè le r la voilure dans laifiielle é la it monté leur l'um .irade, el «le lui poi 1er des cou|is de bâiun.

Les ailleurs d«‘ ciM'.iit seront («oiirsuivis eoiiforméiuciil aux lois. {Ciniiiitiiniiiiir}.

€‘9 è* v r î‘t î» » i» k f 'n v i t v S ie n tîH ,

l'UKsinKX«;r: lu; M. ItorcuKuc/.

AiuUiuicc ilu 15 SoiiU'iiihre 1858.

Derthehny Alexandre, Agé de 22 ans, né A Frigii|courl (Marne), se d it ou v rier chai'itenlier, rien ne Iç [u'uuva rc- ji'eudant, ca r il nu aa u ra il ind iquer aucun im druil où il uiirait travaillé sériuuscnienl d o 'son é ta t, ce uU’il y a de dus c la ir c'ueil que dt'JA 4 fois il a subi des condamiiallmis 115 inoisde prison pour votele.scrnquerie c l «{u’nnjourd 'niii

il com parait encoro pour vagabondage cl llioiitorie, c’est tin larcssenx. un coureu r, ü faut bien que les cliaritables ca- larctlei's lu nourrissen t su r la rou le. Il avait rêvé qu 'il de­

vait ê tre ancien m ilitaire e t qu 'il avait été blessé A la-prise «lu .MalakolV, m ais il s 'est éveillé dtipuis e t a reèonnu la divagation de sou esp rit, certes le re loue n 'est pas uiji.J!Ul- lu>ur jiour nos brave.s de Crimée, c a r un pareil frere d 'a rm es ne (leul pas èlr«« d 'une grande utilité A la IH) * lérilé . Lu tribunal ctuul.tmufi Ücrthelmy eu 0 m o b de [U'ison.

- Jean-ita|)tiste Dnbtiqiiois, Agé de 46 ans, c a rrie r. (M- m euraul A Seiilis, couinicn«*.e A percer, sensiblcm eul dans !a ca rriè re du braconnage, déjA il a été u«>rrigé pour celte /aiblessé, el cette fois un T'a su rp ris non («as, tram an t te Itlid, ni tondant des collets, m ais colport inl eu teivps prohibé le g ib ier qu 'il avait p ris sans doute. nnbiKpiois ne sc présente («as ù l'.nidlence. il prévoit qu 'il a A essuyer du graves^ repi;o- ciies (tour s'iMre pa rju ré , ».<r il avait pi'omis p a r inille sqy- inenls qu 'il ne chassera it plus irrégulièrem ent. Le soiit, lions le savons «les serm ents de bacchante, < l ce|>eiid4ltt b iib n q n id sa dans les m ains un b o u c lâ t «pii le fait v ^ re honorablem ent ainsi «picsirfam illc. Le tribunal condamne liubinpioi-s en «piinze jou rs de prison, 50 francs d 'am ende,A la cunliscation «lu g ib ier et aux dépens.

- Lonis-t^lihiienl F o rlie r, âgé de 23 ans, scieu r i|e louç, dem eurant a llomieiiil, a «iiassé en leiniKi («rohibé, mais il a une ex«mse li és-boiuie, s'il eu t avaul «)tndié suru|iniensc- .nenl les arrêtés, c a r il a la permission d 'n n iiropriétaire «le dé tru ire les anim aux muifalsaus s u r scs te rres e t daus ses bois, l 'u i lie ra tiré , dit-il, s u r des pigeons ra m ie rs , ni^ls il a eu le m alheur de f.iire enlever une coin|iagi:ic d e |^ r - drix «jui est passée su r la léte du garde «pii se trouviiit prè» «le là, et qui n 'a pas vu «le ramiui's. Furtier, n 'est ni pi%> pi'iétaire , ni (lossesseiir, ni déleiil«mr, ni ferm ier, son fuit de «'liasse «;sl dtmc irrégulier, cela s « passait le 8 aot'il et coiiS(’'< |u em m en l d a n s un te m p s où la cilassu «\sl prohibée, il se peut que le prévenu ait été pleinement «le bonne foi, m ais c c s t encore tiite consiiléralion «iisunisaiile. La loi eut. (irécise. les actes doivent ê tre précis el (losilifs. Le li(;ibu- iial (Uiiidaimie F o rlie r eu 50 fr. «i'amende, à la coiillscàlicn du fusil.ct aux dépens.

— Joseph (.êgrand. Agé do 21 ans. Jean-llap tisle Lcidiirc, Agé de 20 ans, et Aljilionse Deltaiurl. Agé de 31 ans , sont tro is belge.s, «|ui, à Lrépy, exercent la |)r<d'«‘.ssion «le bri- ■jnetiei's. Le 21 août, avant donc l'ouverture de la chas.se, ces hom m es se sont ingéré dp m anger qtielipies perdreaux; le fusil l'.iit (lu b iiiit, le.s «'«illels dem auilenl un ap|>renlissa- ge prélim inaire, lis («anneaux ntl'reiit «le.> dangers, cl nos hommes se sont mis à poursuivre les perdreaux de la p la i­ne an pas gym-iasii pie. L i récolte ne dev.iit (>as ê tre m a u ­vaise .si on ne lc.s eu t troublés dans leu r ««(léraliou. On sait «(ii'avoc «le l'agilité on f.itigne aisém ent du.s comiiagnics'pn- tièr«\s de (lerdrix, nos chas.senrs n 'ont pas eu lu tem ps «le (u'oiiU'.r beaucoup. Anjour«i'liui les (irévimus n'ont (lus yenlu faire voir au triiiunal s'ils sont taillt's pour la course c l ils se sont abstenus de jiara tlreÀ l'audience. Le tr ib u n a l k‘S «'ondanme en chacun 5t) fr. d 'am ende et solidairem ent aux frais.

—> A uguslo-ncuis Rerlraiid , Agé «le 32 ans, c h irre l ic r , denitm rùiit A Feignonx, est piévonu d 'avo ir i««>rté A nu de scs Cemar.a<l«w dint coups fort graves el de lui avoir'Talt d is blessiirt's. D erlrand, (loui; toute excuse se contente de d ire j 'a i liattn , («arce «|ue J'ai été insulté. La défense toute laconique qu 'elle e.st, no sanr.iit ê tre goûtée, elle dénoie de la gi'tKsiéri'lé brn iale . t'.'est-il vrai une «(iieridle «le cabaret, m iis (tarée «|ii'«in s '.irn ige A tort le iiro it «l«* s 'en iv re r nu ea- b.aret, s'cn snil-il de lA «{U'oii a il celui «le b riser bras et jainbe.ssans mot'ifs A ceux ((nisont |ir<‘senls «q son vent (tour ■m mot i(ni (t.isserait même inapon;n dans l'é tat norm al de «'«dni «pu se fâche, il est «iépiiirable «(ue la m ajeure [)irlie«le.' violence.s incriiniiiéits aient été exerci'rus au mi- iiiui «les cou(ii's el des brocs. Des baccliaiites «lançaient et rlian taicn t'm a is ne s'en lietnaicn t pas. Le ti’ibnnal cou- danm e Dcrtraiid en un mois «le (uison et :inx frais.

- Ji‘an-Lti(Uine Masson. Agé de 40 ans, inanouvrier, de­m eurant A Sentis, ci»m|taraîl anjoiird 'Im i devant le tribu - n.d sons la prévention «le vol de nnméi'air«;. Il (larail «pic cet liomui'' proiilant de ses i|uel<{U«s ivlation.s avec une fem- nm <)e Veineuil, jugea convenab!e«u> son absence «le lui en ­lever une s«iiimie de iûa fr. Ma.sson savait [larl'aitcnieni ou é ta it logé cet argent, car- peu de Jours avant il avait ca i- (irniilé A sa maitre.ssc, (ainsi qu 'il a|i|>éie cette femme) nnc' Kommu^Ie 5 l'r. Les jo u rs suivans, Uassun, se m il on uww el ne degris:\.(dus au grand éluimenici;! de bm s les liabi- (arits du (uns. La femme en (|ncslion, éveil!«'!e*|iar Ic tra in

i\uc m enait Masson, nlln (tnnr v isllcr scs t^cus ol les Irouva aiiHcnls, ne «lontant pas «{lie le com père fut l 'au teu r du lar­cin, elle porta plainte, m ais Masson Informé A temps rem lil pr«‘.t> de son hôlesse, un nu sait ce qu 'il conta, m ais il lit tan t qu 'il gagna qn'ello (Il de sa propre m ain el un double, nim rcc.oiuiaissunee qu 'il signa e t qu i conslalall qu 'il avait i% n A tUre de p rê t des m ains du lu volée une som m e «le l l ô fr . La ruse n’é la il pas mal Im aginée, mais ce tte fuinm ose récria p a r la suite et ilTut avisé que Mussoii éta it un Ihi coquin. \m tribunal a pomiaiiiné Maséou q u i n 'e s t pas A su prem ière preuve en 8 mois du prison e t aux dé(>eiis.

— Claude S irniain, Agé d«f 36 ims, m arin ier A M areuil, s'étîiut aiirrcii qu 'u n usinier fahricaiit du pays, avait cou­vert ses lourbe.s avec «les bnche.s iieiivcs, c ru t A propos de ne pas laisser p o u rr ir ainsi 301) mètre.s «le tulle, el les cm- jiorta un beau jo u r , sans anti'c formo. Longtemps c.o. vol re s ta caché, in.iis «(nelqiie tuiu|)s a p r ts , Lccliisier de Blu- l'CuiL 'crut s 'upcrcinoir que S irm aiu avait dans son bateau , une quantité insolite de toile, il en (trêvinl la gcndarn lerle qu i m onta A b o rd e t troq,vu la loilo, lu pesa, e4 reeoaiM t. 2 0 k il., c 'é tait assez joli, m ais B irmain p ré lem lil aiissitt')! qu 'il avait trouvé ces toil s près d 'u ti m agasin e t dans h boite. T rouver2() kil. de toiles ditc.s bnchesl 11 y a des gens q u i ont vraim ent une ch.ince toute particu lière, cependant le tribunal u com lam ué Sirm aiu en 40 jiuli's de prison e t aux frais.

— François llobert, A'gé de 40 ans, né A llermoiiVllle, co'porteiH* sans domicile, n 'a encore (subi qilè 8 c.oudam- nations et il a été placé doux fuis sons la snrveittanèe de la poüce, au jou rd 'hu i il a rom pu siui ban , ca r l 'h iver appro­che et il faut se g a ran tir de ses rigmmrs pour ne pas faire p ire en circUiaiil an hazard , «'.otniue le font liint de gens qui se disent m alheureux el ne le sont qild pai'ceqirils ne veulent pus travaille r. Le tribunal cundanm e Itoburl en 0 m ois de (irison.

— Francois-Julcs r.o iidert, Agé de 31 ans, oiiVricr cliau- dixninier, A l*unt-Sainte-MaxuiHU‘, é ta it ivro le 23 août, cela iu« sur(>rendra personne (dus «prit nes 'eu étonne luMiiéiiie. Ü r, il tenait Un balon avec lequel il bjirrail le passage en onipècliant la circulation dans les rnc.<i de Font(ioint. Le

' g ard e cliam |)étre c ru t alors devoir faire A C oudert des ob ­servations, <|iie ctdui ci repoussa avecn ig rcn r, do telle m a­n ière que le gard e Unit p a r le m eu a cer^ c la geudarincrie . Bah ! s 'écria LiiUilerl, toi et l is gt'iidarincs vous êtes tuiisj . , . , f. .. cl je. vous umm tous. Voilù «hi In » (Misitif, m aisC oudert veut s 'expliquer sans nier ce)«undjnt : J 'avais, dit- il, une baguette A la m ain, et je disais A un hoiiimo «pii passait de m arq u er le («as-, pourquoi le garde cham pêtre y a-t-il miflé sa m usique? Fourquui? c'était p«nir faire repo ' su r Coudert A l'om bre de scs lau rie rs pendant 2A jou rs.

— Loiiis-Bcnis Lograntl, Agé de 43 ans. clu irrelio r, A GilloCourt n «'gaiement injurié le ganb* cham pêtre quivou- la it renvoyer «unnhcr lors «le la hirm elurc des cabare ts, il l’a tciiilé (le fainisHit «d de IA«rbe. Le tribunal m algré Fab-

. scm ’o du prévenu le condam ne un 10 franc.s d'antOiide et aux dépens.

— l%tienuc-Franç(fU Liivéï-sin, Agé de 47 nus, aiiberglslo, dem nim m l A Murt‘uil-sur-O urc(i, a égalem ent in jurié le g a rd e cliampètrtN «jui le jo u r de la félu voulait lui fait'efui^ m er ses portes qu'il se croyait antorisé A laisser ouverte touti^ la nuit. Lavei'sin aToiic qu 'il n d it au garde, qu 'il lui ré ­servait un chien de sa rlifeinie, èl c 'est du reste ce dont se pla in t ('gaiement le garde q«ii ne veut ni du chien ni d e la chieiino. Le trib u n al condam ne Laversiii en 25 frarn» d 'am ende «d au x frais, ca r les cabare tiers doixent donner t'exeiujile de la soumission aux ordres e t aux règle- ment.-H

Flerre-Jeau-B apllstc Bliiillaixi, Agé d e 4 t ans, lié A FÔiilangiirs, im|M liu>'uc «]ii loillu douce , sans d«)iniciUt ,i passé di'jù (dus du tiers de sa vie daus les [irisons et ce- peiidaiil il n 'csl pas corrigé du (léché de Viigaboiider, il né se l'aligne (las de m anquer A la surveillance A la(|uclle il est soum is. Se.s auléccdeiiis sont lellemeiil dê(>lorables qu 'il c s l «liflicile de penser «|ue re l hom m e ait le m oindre désir de s'am«!udei', il est prévenu de riq ilu re de b an , il fait com ­me tous l«'s gens «b; sa na tu re , il roiiijil sou ban quand l i a faim «[uaiid il csl f.iligué des pérignualions ou qiiaiid la belle saison est A son d ern ie r sou |iir. Li tribunal con­dam ne Maillard eu 6 mois de prison et aux dépens.

— Cliurles-Eloi-Bcnjamin ('.ronzel. Agé de 41 ans, uiar- chand de vins en gros, dem eurant A t'.harnbly: a été lu 25 aonl chasser su r le te rro ir du «b'parlemeut de Soine-ul-Oise; il rev«mail paisiblem ent chez Ini rapporlan l dans son cpr- n ter les perdreaux «(u'il av.iil abatlu s, lorsqu 'un gendarm e alb'-chê par la («voliibéraiice d u d it carn icr e t p eu t é ire p a r qncl«|ues plum es qui pass.tienlA Iraveis les mailles du tlic t, accosla notre chasseur an moment «uni n iellait la m ain A sa jini te pour re n tre r chez lu i.' M. t^rouzct «lui «Mail loin de (tenser qu 'un chasseur du t m anger loin de chez Inî le gilûcr

ven ir chercher sa famille («onreii faire la eonsommatiiui au «Ichoi's. L rouzet avoim qu 'il igim rait tot.iloineul col arrê té , m ais c«>minc nul n 'est rcusé ignorer la lui. |,q tribunal le condam ne en 5t) francs d 'am ende et aux frabi el déclare cuuflsi|ué le g ib ier saisi p a r la gcudarm erie.

— Jacqucs-Louis-Thomas Roger, Agé d e 74 ans, Ucnieti« ra iit A V erberie, ii’a jam ais subi aucune cundamnatioii môme p o u r chus.se, e t voilA que le 11 aoû t ü lu i a pris fan. taisie (le se baisser p eu r dé tendre un ra)llct, m ais un <iulle| qu 'il avait tendu 3 jo u rs avant et que le g ard e champètnj surveillait. L’idée «;st singulière A un paren Age, ca r Rogcf ii<a plus l'ag ib lé, la s«iuplusse indispeii ables ponrév itc r lé contact dt'.H gârde.s, e t il 1e sait, c a r il avoue que c'<st uau idée qui lu i n passé com m e cela. I.C trib u n al condamne Roger on 50 francs d 'am ende A la conDscation du collet cl alix frais.

P ierre-V ictor Larsouiilcr. Agé de 56 ans, demeurani A Veruciiil. se trouve absolum ent d an s le inênie cas que le précédent, il ii’apparu it pas «pi'il a it jam ais chassé, s«» an-

^téiMhluuts sont purs, e l il avoue q u 'en faucliaiil.il a tyouvê iilt (ioltet que m a foi, il a eu la fatale idée d e le tendre, oj qu i prouve pourtan t qu 'il savait .com m ent on s'y prend p«mr ojtérer, on ne peut («as se d issim uler que ce sont 11 de m isérables chas.seur8, m ais lu loi ne fait pas de disliii«> lions, les chas.sours, les braconniers, les a p p ren tis , les con­som més, sont tous dairs lu m ême calégorie, o.’est l'aelo et le fiiit que l'«>n juge e t ii«m le plus ou l«i m oins de capacité d 'ap litudo e t d 'usage. i.e tribunal condam ne Larsonniei' «>n 30 fritncs d 'am ende, A la conflacàtion des collets et aux frais.

— Fierre-Françols HiScot, Agé de 21 ans , né A Paris, «Je. nieu ra ilt A t'.n^jiyi u’tist («as un voleur d 'iiu e natu re bien dangereuse ; Misent est une espèce d 'Id io l form e crétin, qui a plutôt l 'a ir autom ate que toute a u tre chose, il a vélé 6fr. A un ch a rre tie r e t il fau t vra im ent que les preuves aient ap |)aru bien évidciilds p o u r (|u*un a il pu pense r q a 'il Otait l 'au teu r d e ce lte souslruclioii. Misédt devan t le' iHbtinal, (larait «t'ab«ird ue «lavoir jtarier, il d em e u re e t n e parait rien eu teudrc de tout cu qiio d it Bt. le président. Euflii il« décide, eu réponse A toutes les questions qu i lui uilt été ifosées i>ar o rd re Cl sont reslées sans réponsse, A ouvrir la iioiiche, pour d ire ; ben ! je l'ai p ris pas q u e , pas que, qne j'uii avais b«i.soiu. Une telle allég.iti«m ne prouve pas que dans 106 aiLs, ou voudra cro ire que Btiscut a it voeu dans le siècle du progrès. Le tribunal «;o:i«lamue cejiiDillieurem cu 5 j» n rs de prison.

F A I T S D I V E R S .

M. de R reionlks, député de l'.\isnc ail ('.«>rps-lA)gislalif, Vient de tim urir, A l'Agc de 62 ans.

— th i uiceu«!i«i considérable, allum é p a r une main cri- m inelht, s 'est déclaré «lans la o.«)inmune «le Rony, càntondii LAIelrt, le iO du cC m ois, e t a consum é douze bàtiiuenlii riVec. Ie.s récoltes. La |)ertc t«dale dépasse 46,000 fr . la» îii- cemlit^ssmit M.M. Graiii, cu ltivateur, qu i éprouve unep«Tic de plus de 40,01)0 fr ., Iieureusem eut garan tre p a r l'asuu- raiice.; Lefrauc, cu ltivateur; Kragerot, tisseu r, e t i,efubvre, Cabai'cticr; «le c«» tro is dern iursi le s ieu r Léfebvre seul avait Une assurance du GOU fti

— Lé MAconmiis c.sl cil pléine veudaiigu; depuis long- tdm(ts lu ra isin n 'a été ciiuilll par ilii teiuiis au.s.si pntpicevi dans d'iiiKsi parfaites conditions de m atu rité . On croit gè- iHiralemeiit «iU«j les cuvées sei'üiit p arto u t excelleules, cl que la qualité d u vin sera rem .inpiajile.

Qu'iiiit à la quaiilité; ell«i dép.issc ini d ’uu q u a r t, lA d'i tiers les espérances «les vigii«u-ous. .iiita iit «pi'il e.st iio-ssi- Ub: «l'en ju g e r dès A présent, elle sera stryiériciiie à ' ' :iiiiiéo inoyeiiiio- - - > ' ^

i,é tO septcnilire, le c.tdavi'e d 'u ii individu dont on n'n pu consliiier eiicoi'u riileiitité , n éié re tiré d e l’Oise, sur lu te rrito ire d'Aiivei's, au lieu d it l'tle du Vaux. (Ictle mort iio |)«‘ul ê tre que lu résu lta t d ’un suicide, c a r i>;ie l'eiiuiie a vu cet liomme se j«!ter A l'eau.

— Le Jriiiriiai tic rA h n d a rCfd, A propos «le Ig comèlc, une curieuse Ic llre , dnté«- de Kaint-Glémenl (canloii d'.tu- buiiloii); nous lu reproduisons tcxtuelleineiil :

« De Sailli C lément, le 13 sep tem bre 1858.* Monsieur le réd acicu r du Journal de l'Aixiu'.

• .le vous écrit que, revêtue de ma pla(|iic. révenaiit «lii ma lournée habiluui com m e garde rhcn ipêlrc d e la cnm- mime de üngny la;m bercy — dem eurant A Saint-Clémetil, Aisne, — vers tes neuf lioures du so ir, le jo u r si derwus «le la dni, iiidiqiiet, «Maiit a«u;omp:igiier du s ie u r Diirosuy. a(iarileu r ju ré A Coingi, avons vu et d au lra s vers les néaf heui-s du so ir, une com ete, cur(is de lum ineux qui parait d ans lu ciel avec une traiiiée d e lu m ie r? peut étro ite, «lii trois m ètres envii'ons de longueiii's; «adicéluilu A quciiu, que nous avons vu et plusieiir au tre «piu nous.

■ Monsieur le ré ih i 'te u r je cro irait m anquet a m en de- voire «le ue pas vous inforuié^ que ce tte utuile qui) na pas

— iVlors, d it M. Lciioir, je suis (lorsuadé ipi'iiii ancmii serviteur du roi ne rid'usera (>as «le lui êlro ulih; «Lms une ailbire délicalo. Voici di'iix rouleaux de «:in(|uanle louis chaque «|Ue Sa- Blajeslé vous («rie d'acce;)lcr, si vuils la servez avec zèle.

Bl. Lenoir |dara.su i' sa labic deux rouleaux de pièces d 'o r prnpremeiiT c«vchctê.s.

— Voici ce que r.'esl. r«‘(«ril-il. M. C.handerlos do laClos un homme dangereux.. . a . rue du Roi-de-Sicile,(les rendez-vous, ou (ilubM des coiiféreucos qui iui|uièlcnt M. «le Calonne, m inistre «les liiiauces. J 'a i A C(Tur de ra s ­su re r Bl. le m inistre , ou de lui «lire «[iicl est lu danger <(ui le mcna«%. Ne (uuirriez-vous pas voti.s rendre m aître «le cu secret .'iii moyen du slralagèm c qui vous n servi pour vous in trodu ire aiitrefoisl cjiez Mlle Justine Savardin?

— Rien de si facile, m oiiseigueur.— Allez, m onsieur, ces reiit louis sont A vous.

. Le comte parut fort joyeux de sc («rocurcr ainsi sans beaucoup de p«'iue le double de son revenn. Il vivait avec peine de sa m odique pension, cl sou beau-père Tioiveliii, quoique (iropriétaire de la maison «(u'ils ucou[iaieiit l'un et l’a u tre , é ta it assez mal dans s. s alTuircs.

liC cabinet du lieutenant général de police élail l.rè.s- vaslc cl en tre la porte d'cnlr«;e c l la rhem inéc nu avait

P lacé un grand paravent qui garanlissail m onsidgneur de air ex térieu r q u am lla juirlc s 'ouvra il, ce «pii le p ré ser­

vait également des veufs coulis. M. I«; «;omle de ta linyu pas.sa derrière cc paravent et im m édiaicm ent ajirès on cntéiidil un polit jappcm cnl ;

— llouap ... houap ....— Cc mauvais plaisant avait un petit chien dans sa

poche, pensa BL Lenoir qui vil frélille r ù sc.s jiieds une p ti ite nêtc noire qui rem uait la queue c l secouait les oreille».

I..e lieutenant de police couru t d e rriè re le («aravcnl,, cl il n’y trouva pas la m oindre trarx) du gcntilhoniinc. Com­m e la porte n 'avait pas été ouverie, c'éinit «Widcmnicnl UTédor, le chien noir, qui représenta it le chevalier d e Saint-Louia, l'ex-lieulenaul des gardes françaisas... Médor sau ta il, M édor jap p a it et dcm andajl A sa m anière qu 'on lui ouvrît la porte. Bl. Lenoir en trebâilla la porte ut le chien noir (larlil com m e un trait.

— Je donnerais dix mille livres, se d isait M. L en o ir ,

(iivnr qn«> M. du V«dlaire fût ici A r.«Mé de m oi, pour qu 'il eu t vu i-u («elil ch ien ... ou feu d 'A lendm il, «m feu Diderot, nu .M. Londoi'cel, qui ne croit A ricn...«)ii ..non , non, je n 'ai rien vu, je ne crois A rien , j 'a i fait un rêve e t voilA luu t.

Il se proiim nail dans son cabinet, il se lAlait, il se litMit les orcil «s, il sc tira it le nez. (>«mr v««ir s 'il é ta it biéii éveillé. Il a «Ié«daré |>his la rd avoir lotijours ignoré la tem ps qu 'il («assa A sc dem ander s 'il jouksid i «le tonies scs fac«dli';s, ou si Dieu avait obscurci sa raison cl brouillé se ce;'vclh^. — Peut «>lre une heure, (teiil-êlre («lus —• un do- uu'stique ouvrit la porte et aimon«;u ; BL le comte «le La Ilaye.

Le comte en tra ; («Aie, boiteux et une main cnsan- (g lan lée. •

— .Monseignoir, dit-il, j 'a i exécute vos o rd res ; hélas ! quand-il y a tren te ans, je inc présentai chez Bille Snvar- «nii, j 'é ta is un petit chien jeune, les lèvres rosc.s, l'halcinc pu re , les dcnls blanches, les soies )ui.sanlcH e t noilc.s« Au- jour«l'hui je suis liii vieux chien, lus dcids noires el déchaus- sécs , l'haleinu dou teuse, les soies inculles. Les femmes n 'aiinnnt «juc la jciinc.ssc.

— Eh bien ! après, d it M. l,enuir. d 'u iM ir o/Taré. » j.— Je me suis uilr«Kluil daus l'appartem ent d e Bl. (le i-n

Clos, rep rit le com lc, il é ta it absen t, m ais j 'a i trouvé chezlui u n c jc u n i' paysanne robiisle, le ty(«c de la vigueur unie A la beauté ; Ùno femme superbe, dès qu'cî' a poussé un cri

— Toinon, vile, v ite .... Ion b.dai, les pinccU«;s.... arrivu d o n c.... nous alinn.s imus am user A tu e r un vieux chien.

La servante cs l survenue, c'e.st u n r .einme jeune el laide. J 'a i cru que j'a lla is succomber sous Icnr.-! coii()s. La mai- Ire.ssc ni'a m arché s u r la ()all«,>, la servante iii'n ditnné nu coup de jiied dans les reins. Ilourcuscm ont la jiorto s'est ouverte e t j 'a i pu échajijier A ces uiégêrus, non sans que le bout de m a queue n'ait été froissé en tre le.s deux battan ts. Une fois dans la rue , je suis en tré dans une allée ou j'u i re p ris une forme ualurelle . Vous le voyvz m onseigneur, m a m ain est blessée et ma hanche csl m eurtrie . Ju crains d e bo iter longtemps

Bl. Lenoir m il les deux rouleaux de louis dans la main du com te, il lut exprim a le reg ret du le voir soiitl'rant et le c u i^ éd ia cu lui «iisunl qu 'il au ra it le («luisir de lu i .‘voir.

T rois mois plus ta rd cc n 'éta it plus Bl. C handerlos de la ; Cbis e t ses am ourettes, ru e du Roi-dc-Sicilc, qu i iu«|uié- ta icu lM . Lenoir, mais des ouvriers pcrruquiei*s qui sc rassem blaient le dim anche dans une guinguette des l*«>r- cherons; on buvait, oii inangcall, on dansait, on faisait l'a- iiioiir, inuLs la principale alTuirc, é ta it la gucrr« \ qui s 'o r­gan isait contre les maltie.s pcrrm iiiici's, coull'e lus ju ra n ­des e t les m aîtrises. L 'orage grom iail déjà, on toituliait A 89.

— Bille A nnetle, dit M. Lenoir A la jeune femm e debout «levant lui dans son cabinet, c’est dem ain d im an ch e : no tre agent Veyral doit aller aux Forcherons........

— Gui’, moiist'igncur, en aveugle, lui qui y voit si bien» c l avec une «'iai’incllc." 11 doilfaii-c un rap |iort su r ce qn'Il s'y passera.

—- Oui, immscigneiir.. —». Savez vous ce que je crois, Aniieltc, c 'e st que Vcyrat csl un drû jc, payé p a r nous d ’ab o rd , ciw uilc p a r les g a r­çons perruqu iers, scs am is pour la (diipart. il^m nnge à deux rAteliers, cl il n 'est peut-être pas le seul.

— G'est pojOîible, m onseigneur.— Que faire ?— Je me «h^giiiserai en décro ttu iir e t .. . .— Non pas, nnn pas, qucl«iuc (Mbilo que voUs soyez,

Veyral est aussi Du i|ue vous; il vous dé |)islerait et tout se ra it p e rd u ... Attendez donc, A nnetle, un aveugle a bcsoin^ d 'u n chien. ... ne coniiaissoz-vous pas un (>ctit chien noir?

— R hl Médor mon gem h u.—r C’est cela nnhuc.— Voui y croyez donc, rnoiHeigiieiir?— Non pas ; m ais vous, vou.s élcs sû re du fa it?— IMii, m onseigneur.— Il a cent louis A gagner («oiir BL le com te, il aim e

beaucou|i A gagner cent louis. Aiûeucz-moi Médor dem ain m alin .

— Oui, m onseigneur.Le lendemain Bille AnnoKo enlru il chez le lieiilêuanl de

police, V(‘;liio en cuisinière, son tab lier dé toile écrue re le­vé su r sa poitrine et les yctt;( p lcim d e lunncs.

— Ils l'ont tué m onseigneur, iis l'ont tué, je viens d e le trouver m ort coniru une borne dans lu faubourg . Je suis pei'suad«''e que c'est cu m isérable Veyvat, il sava it que Médor élail venu il y a Irols mois A la police e t il a trouvé pruden t de s'en déLiirc.

Lu parlan t,ainsi. Bille Aiiiieltu luo iitra it lu chien moil. (((l'elle tenait par lus p ieds e t «jui u 'ava il l'ieii, h é las! ni d 'u n genlilhom m e, ni «l'un chevalier de Siiinl-Loiiis.

— Allez au iaiiboui'g Saint-Auluiiie, d i t BL iO‘noir. A un de ses agents et ameiipz-nioi BL le com lc do In Haye,, ainsi que l'aiiolliicairc T ierceliii. %

L'a |)oihicairc TicrccMii fut trouvé m ort dans son lil- (juan t nu conile de La Haye, personne nu l'a jam ais pliu revu, non plus que le chien noir.

— Bi«m am i, disait Bl. I.enoir nu viuil am i qui a écrit celle h istoire, je né sais pas si j 'a i cru au petit chien iinir pendant une lieurc ut dem ie. C'est possible, cela prouve­ra it que les plus lins ont leu rs m om ents de crédulité niaise, m ais on y réfléchissant d e sang R'oid, je suis per­suadé au jourd 'hu i que c ’était*IA une fourberie,A laiiiicllu j 'a i échappé. H csl v ra i que le fourbe y n gagné cent; louis.

—< Bhi» Mlle Annetle?— Une dti|>e... ncnl-ê tre une complice.Le lieutenant général do |>olicc nvait u ru A la nicrvcil-

luusc h isto ire db M édor mon gendre, e( il en rougissait coinme une jeune femm e qiii se'8ur]>rend A cro ire aux mi­racles dus ni(/fe tH'une nuUt.

lin lieu tenant général de police p b iit'a v o ir en mi nio- mcul dS'faiblessi', lout com m ctin au tre houinic, chez lu |«eu|ile c 'e st plus long. Il y a encore beaucoup de gens dans le fbiibonrg Saint-Antohie qiti croient A .Héiior m on ffondre. e t je prie ceux qui veulent bien me lire d e m e m ettre nu nondirc d e ces gens-IA.

BUnic Avcabu.riN.

T H E A T H K . •i.a U'oii|«e d 'a r lls les dram atiques sous la 'd ire c tio n «le

M. Duméry, d irec teu r privilégié, donnera lundi 27 scpleni* b re ; une prem ière ru|«résentatiou do x> n o a o o n T s do

M ABT iN , d rau lu nouveau eu tro is ac tes, du théâtre do la Gnilé, p a r BIM. Cormoit cl G rangé. — BL Duméry i-eniplirp le rôle do Blarllm

On comme;«ccra p a r i >a ç o b o b bk w szb&c , vnudcvilk en un ncio, du théA tr»du Pùlnis-Roynl. p a r Bl. Glnirville.

Page 3: ouii b f V t i Ë S ’ j | p > i € i À m ï ; sbmsenlis.com/data/pdf/js/1856-1859/bms_js_1858_09_25_MRC.pdfSam edi 2iî Sepleinhi-e IftI»#! X" 59.—!tO ' aniK^e. mplol «Ifi

ro lii consommaUmi M'uil lol.ilomoiii cet i ignorer la lui. u imoiidu cl aux rra»i lu gcmlarmeriu.

{â d e 74 ans, Ucnietii iciiiic cumiamnaiiüii août il lu i a pris fan. r4)llct. m ais un culle| i lu gard e champîinj ^aieil âge. ca r llogcr l ablcs puuràv ilc r lé il avoue que c’csi uuu ! tribunal condaïunc lOscatiou du collet et

e 56 ans , demeurani is le inôiite cas que le alliais chassé, scs an*I rauchaiil..ll a trouvé idée d e le tendre, cv

iiiiiient on s'y prend n iile r que ce sont li le Tait pas de distiiiv es ap p rc iilis , les cou* égorie. d’est racle et lu m oins de capacité

ondatnne Larsonnlei' ion des collets et ai»

II ans , né à Paris, de* ir d ’iiue natu re bien Idiot form e crétin, qui « cliosc, il a vélé tiir. que les preuves uknl I pu penser q u i! était d devan t le'iHbunal, lem eiire e t n e parait I président. Euflii ||«é lions q u i lui ou i été répoiisso, & ouvrir la >ns q u e . pas que, que n ne prouve nas que Miscot a it vécu dans

lam ne ce im llieu rem

ac aU ('.orps>i.égislalif,

mé p a r une main cri* me de llony, canton dé nmô douze bàtiiucnlii asse 46,000 fr . I.cs lu* q u i éprouve une perte l garaiiire p a r l'assu* 1, tisseu r, e t l^efcbvre : s ieu r Lérebvre seul

ildaiige: depuis luii;, tem ps aussi propioevt u iatiirité . On croit gè* lartout excutlciiles, cl de.mi d 'u n q u a r t, là d’im liila n l qu 'il est piKsm* era strtiéricuie à

tu individu d a n to a ir .1 re tiré d e t’Oisu, sur le lu Vaux. (Ictle mort no e, c a r i::iu léiiunu a vu

propos de Ig cnmôlc, •Clément (canton d'Au* lelleineni :13 sep tem bre 1858. lu JoHi'iial do l'Msiw.:ia plaque, révenaiil du rbcm pélrc d e la cnm* iira i i là Saihtdllémütil. i f , le jo u r si dessus de ter du s ie u r Diirosov. 1 d au lra s vers les nénf le lum ineux qui parait n ier? peut étro ite , de : <adlc étoile à qiiciiu, que nous.il m anquol a m en de- e lle eluile qull na pas

m ira it le chien riioil. l’avait rien , h é las! ni r do Siiinl-Lonis. lie, d i t Al. iA>noir. à nu m iiüc do la Haye, ainsi

vé m ort dans son lit. inc ne l'a jam ais pln

vieil am i qui a écritTU an petit chien .....possible, cela prouve* mom ents de crédulité

ang fi'uid, je suis per* line fourberie ,à laqiicllu M) y n gagné cent; louis

npiicc. ivait c m à la nicrveii- Ire , e( il en rougissait qircml à cro ire aux mi*

p b iit'a v o ir eu uti mo an tre hom m e, rhcz le 2 b ea n n iu p d e gens dans ml à Slddor mon ffandre. lire do inc m ollre au

Mxnic Avcabu.

, K . ‘

IC9 SOUS la' d irection aiinera lundi 27 scpleiu- do u s o a o o n T s dv ni tro is ac tes, du théâtre 1 G rangé. — M. Üuméry

I B £ » 8 n i , c , vaiidcvillé oyal. p a r M. Glalrvilte.

encore paru a nn.s yicux q an jo iird iin i, qui en Iroiive Vers le satril coucher, avant son cm iclier, d u n e honr.

Je suis m onsieur lu réd acteu r vo ire dévmiel serv iteur.• Nauokt "

AVIS. — li'in.stilution P«‘lit, un di% plus anciens e t des niiis bradx éiablissom enls de l 'a r is , fomié en 1816 par

l'ü lit, d irigée aclnollcm ent p a r M. Alfred Petit, sc f^ m in e n d e aux fam illes p ar scs nom breux siiccès au iveée Giisrlcnihgnc e t nu connoiirs général. Cours spéciaux M ur le com m erce c l pour l'in d u str ie , 7 , rue de Joiiy, près^ ru e d c lt jiv o li .

c n i i i o i v v Q u é D U m o i s * .

P-cn qiic l(-s jo iiro a iit aicnl «l(')i'l faîl coniuitlrc U-s <lçi;rcl« qui cil parlio Ici a llriliu lio n i dit iiiiiiUlére de l’Atiréric vl

j f f coioüie*, les Annales de la Cotamsation ne sinirilknil sv d is- pcuser d’en donner n tie rap ide niiulyse.

Ku *rrl« d e ces décrets.Le G ouveriiriir g énérât, ai lonlcfui.-t l’on ju g e à propot ilc cnii-

trrver ces baiilcs roiictions, scr* dOiéit;tvai|l iioiiiuic su r la p ru - iwsiliôii dti p riiice 'N apoléôii; it ne rc lôveia rinc de lui cl o r r o r - [espdndra qu’avec lu t (w ur Inus les ddlnila des services q u i ciiii- rcrneul spéviawinviil l’A lgérie; i-I qui ii’uiil pas ü |i éaraviére p.i~ reineiilet cxclusivem eiil m ilîla ire .

Les officiers du G énie e l tes agenis de l’Iulcudaiice-coiitinneut à préUT leu r cuiicours au iitinislèrc d e l’Algérie pour li-s lruv.iux H p o u r rorduiiuanuem eiit des dépenses en lerriiuirvs niîliluires. U pcrvuiiiel des b ureaux arabes el les iiilcrpréles suiil mis à sd du|iosidon. ,

Toutes les dé|>éebes sans cxccplion rnn rernnn i la politique et l'ailminislraliuii ; toutes celles ijui, bien qu’ayant A caraclèru niililairr,iiitércssent cependant la s ilu n tiuuderA lgcrie , soiiiadres* éi-s au prince Mapoléon, saitf euiriuiuiiicalion, s 'il y a Ireii. au

inmislére de la guerre , p a r le m iilislére d e l’Algérie et des Culu- aics, des dépéebes qui ponrr.iicnl inléressi-r le p rem ier: il Un esl lie même pour celles qu i coueeriiüiit les affaires souiitlscs aux Mnieils do guet re, dans lesquelles figurent des Etiro|Mk-ns ou des ladigéoes, e l, dans re cas, les propositions de rcdnetion de |luinu ou de grSco sont dans les a tlribn lious cvvlnsivcsAlii iniitis'ére de l'Algérie e t des Colonies.

Kclaliveinent à l 'a r in c u . les p ro jets ayant pour bnl di 0|>ér.'itioiis luiiilaires sont d ’alm rd soum is au niinialére du l'A’gériu ut des co to u te s , qui apjirécie leiir oppo rlu n ilê , et sc concerte au besoin avec le départem ent de la Guerre au sujet de la force cl d« la roinposilinu des ikirps VspéJitiounaires. _ * ^

C’cat cgalem eni au iniiiiA lèrede l’Algérie, «jiii les fait parvenii uvresuu avis au n iinislèrc d e la G u e ire , q ue doivent Cire soiiini- KS 1rs propositions d ’avanerinent p ou r services extrdordinaire.s Irschuses sv passent de la niéme tnaiiièrc pour les proposition: de routalion et de m ouvcmeut cniicui lian t, soit les Itoupes, soit le peisonnvl des oflicicrs de tons grades;

De plus, les services dbs finanees, de la justice, dc‘ l’in s tm e- lion publique et des eu lles, qui avaient é lq iliatraiis du m inistère lie la G uerre sn | 85B, son t ratlacliés un m inistère du l'A lgérie el drs Guloiiivs.

Eu ce qu i eoueerne la justice : la légidiltiou judieidÜ-e et l’nh- gaaisatiuu des triln inanx de l'A lgérie ne peuvent ê tre init- dificL's que par des décrets rendus su r le double rapport du priuve NapcHéon e t du m in istre de lu Justice . La même lègtc est suivie pour la nom ination e l la révoealion des hingislrals.

Ei> ce qui regarde rin strnc iion publique et les (:u lies, rmnme s-ii ce qui roocernu la justice : l:> législation générale ainsi q-ie l’orgituisatiuii réglemeiil.-iirc île l’eiiseiguem ent ne |a-ovent ê tre modifiées q ue par des décrets rUndus sur le

double rapport du prîtire et -du tninistrc de l’iu lru d 'u n publi­que et desciilles.

L’uvê(|uo d'Alger et le recteur de l’acmlémic seront nommés parties décrets sur la proposition collective du piincvvt du ministre de l’iiistriiction publique. Lu même mode de pl-o- eèder sera euivi pour lu révocation du recteur du l’aca­démie. '

Quant ù la linmlnatiou, n la misa eu dispouibilité ou à la lévovation des inspecteurs d’académie, du proviseur, du censeur et des professeurs du Lycée d’Alger, 'elles seront pnuioucées par le irrince, après l’uvis du ministre du riuslrnotion publique et des Gdlivs.

Enfin, l'aiivienne direction dus arfuiret de l’Algérie est narta- géo eu deux services qui sont ctiargés : l’ui) du pefsomiel mili> taire et des intéiêls militaires cl niaiitinies, l’àutrc du toutes les affaires civiles et indigènes.

Kn même temps qu’apparaissalent Ces décrets, et en attcodaut les luesures plus iuipoiiaiitvs qui sont à l’élude, liùis nouveaux centres de population étaient créés Atlr la proposition du prince Napoléon t

I" Celui do Hir Âahaloti, ddns Id pbiiilo des Aribs, à tg kilomètres d ’Anmale, sur la route de cette ville ù Alger ; il com- preodra n i feux et recvvnl du letriinire de 2 ,^0 lu-ctarcs ()7 ares aS eenliaros; Celui A'A i t Beda dans la plaine ü« la Al’lfta; il sera ctimposé de 4<> 1'’"^ vomprundra |,0 0 o bcGlares; 3“ celui du Berrt^ààty à zif kilomètres nord de Dtuscaia, sur la loiiiu «pii relie l'elle ville à Moslngnuvm ; il renterniera id8 fedx et reiluvra nu territoire de looo hectares 4o arcs.

G'(»t ainsi que la eolouisutioit. ciiroiiéniuu s’entparc tliaque jour davantage du sol algérien. Vieuuuut lu i-aiitounemcut des Indigènes, la cousiitntion «le la propriété liidiviiluellu dans la tribu, la veille due tcrfcs ri-ii liles disponibles, l’entière eurité dus intérêts, «it l'on verr.i quels progrès pciil ré.ilisur l’Algérie.

Nous appruiiomt. cil oillie, «jue la Compagnie des cùloiiics Fianco-Suisxes «lu Sétif, après avoir olili-u-i pour i-llu-méme des litres déliiiilifs «le propriété, n'a pas négligé p«iur cela tes intérêts du ses coluu.->, ut a sollicité, un luur favuur, rapplicution «lu la même bicuv«-i1lanli «iiesuru, eu qui vient du lui êtiv accordé; celte iiouvelledéeisiun siinvcgat'du ICs intérétsdo ig3 colons, auxquels lu Compagnie cédé des luis.

L’industrie, de sou côté, poursuit scs liicnfuisuntes et pucifi- i qm» conquê'cs.

Uutis la provi«ice de Goiisliintinc i 1a ligne éluclriipic, de Bstna 4 lliskra, a élu niivcrlu lu 2<) juillet dernier cl mise iminédiatu- iite«it à la disposiûpu «lu piddic, t.nitli» «|u’uii autru point du la même provlms voyait s’exécuter n«ic expérience d'un tiès-vif iiiléiêt. ,

La pêcliu du corail n laissé, jusqu’.i ce jour, bi-aucoup a désirer un raison de l’imperfection des pr«H*édés en usage. Un industriel «lu Paria, M. G ibirl, iuvunteur et fabricant d’on app.i- rcil de plougc«ir, adopté p a r la «narine «le l’Eial, s’est livré sur culte (léchu, 4 l’aide «le scs appareils, .A divers essais qiii, dît-on, ont «auiiplétemciil réussi. Non-seuleuienl la |>êclic du corail du- vivndiail.pbis libonilanlu cl plus sure; non-seuluincnt elle pcr- «neltrait «l'cnUvc'r, 4 des profondeurs de 4o 4 5o mètres des écbuiilillons Iwaticoup plus beaux q«pj ceux ordîrtairciiie«il rce«jl- tvs. mais encore elle aurait l’inappréciable avantage de fdire suc­céder un véritable aménagement du corail, an système d’extrac­tion pratiqué jusqu’à ptéseut système vicieux et barbare, qui pro­duit peu et cause d’iiic.ilcul.'iflles ravagts 11 y a là le principe d’itne précieuse révolution pour une industrie qui ajonleràit bicD- Idl aux f«iK'Cs maritimes de la France l,8oo à 2 ooo inütulots élevés dans lu dur.npprentissngc d’une péclie exigeont une giande prali<|iie de la mur.

Dans Id province «rdrnii, W exploilalions mi«iicr«s trndcnt de plus en plus à se déiUlopper. A « C égard, un coiicessiounuire, M. Dervieiix, vient de donner un l'xcmple «pù mérite d’être si­gnalé et pins encore d’êtiu suivi 11 a fait aj'pel aux bras par lu

Voie des juiirnuiix, rn.iy.int soin d'itiiliipii r b* nombre de tra­vailleurs dont il aurait besoin, le prix de la juuinéo pour les boinincs, les femmes et les enfaiiis, Icj gpcciulilés d’onvtiers d’art qui pourraient trouver à s’utiliser le plus aisénienl, ci lu prix des subsinnccs idiinenluires du première «léccssilé : du pain, du vin et de tu vhindc du boneliurie. De pareilles indications sont essen­tielles pour les éniigranls, et nous ne saurions trop eug.iger les colons 4 entrer dans ccltu voie.

llsippclous enfin à ces derniers, avant do terminer, l’exposition g«tnér.ile des produits du l’ugriculturc qui «luit avoir lieu ù Ornn Uu 22 un 3o septembre procliain, et l’exposltioii horticole d’au - lom«ie 4 laquelle lu Suciété impériale «l’horliculliire les convie, à Paris, du 3o septembre an 3 oetubru, dans lu Palais de l'Indus- Irie, aux (Uumps-Elysées.

Leur inléiêt leur cuinmaiidc d ’étrc exacts à ces deux rcn- d«»-vous.

Paris, 3o aoAi i 858 . H ip p o ltte P e u t . -(ifilrait dus Annales Je la Colonisation algérienne, livraison

d'ÀodL}

Les persoiinc.s qtil dtil voyugé en Siiis.(tc c l nolaininciit daiiA.lcs t;.iiilt>i)s tic Vuitd e t tle Geitèvu, cntiii.iissettl In -jt|slc célébt'iti^ des Pastilles calmniitcs e l |tc-.;lùi'.'ilcs d ilcs

Curiijtngécs d'aboi'il poiii^ cnhiier les irrlln llo tistlii la n iix des pi’éd lra lcu i's pi'ulcslaiils, le iire llc l fut rccoiiiiti si sàlu- tiiirc , qu’elles dcvlni'cnt en Sttia.su d'ittt usnge tittivcracl po u r les personnes vonéos à l’éloquence de In chaire.

On cil re tire les pltis giMiids elfels diiiis les engoituinenls des (ir«intdies, lursfjnc le niiilin :tti réveil, la poitrine tisl rem plie de niuc«>sité.s «pii sc détachent iliflicilerncnl et snf* foqttutit lu m alade; elles convictitteiil aussi dans les Imix âcches ul opiniâlt*e.s qui sc pronuncuHt surlo til dès que lu m alade est couché, ul rcUtrdunl indéiinitnunl sou Kunimcil.

l'n ttr évilcr les tiuiiibrunsus contrufaijons, chaqitu [lastille porte h m arque ; l*.\JüT (D éim d).

tiS VrétiiS «ie l'Otsé r ecev ra deM dé|iiU c a u x eo iid ifton ii Miiivanlri», à d a te r d u

l'** J u ille t 11” Défuils ai'ec rclrait à Voloiilc'.

Lufl snninies ainsi ih'ipnsécs porlent in lérc l ù i li’inléréL part d«i cimtitièinc jo u r après le dèpi'd, el cesse

cinq jo u rs avatll le rcinuoiirsonictit.Tout reniUoitrscniel doit ê tre deniatidé huit jo u rs avant

d ’é trc clVcutné.2 ' Dépôts avec rclrail à ôimiue fixe,

i i f i p iltlr les dépôts de tro is mots.' Dos in térê ts .parténi du ciiiquiênto jo u r après le dépôt,

■ ^cessent le jo u rM u renibonrscm unl. ÿ"/.. pour les dépôts de six mois.3 1/2 J-' p o u r lés dépôls d ’un aii;P our tes dépôts de six ttiois et d ’un un, les in lérè ls r.oti*

rc n l du jo u r du dépôt ju.squ'au jo u r du voiul|uiir.semenl.CUl'DUiN.

Les P ilM ie H re iT > iiK iM rti»e« i d e %’n l l e l , approuvées p a r l’Académie iinpéi'iale de Médecine de P aris, le 8 mai 1838, sont reconnues comme le m édicam ent le plus s itr et le plus en vogue jioiir g u é r ir les pâles cnideurs, lc.s perles blaiiches, Ql poilr lortifier les t'empcrainenls faibles c l liim- ^ d iq u c s . P our ne pas être exposé à acheter de in contre* fdçon, il fa u ls ’as.surcr que, les llacons poi'tcnt bien le eu* cliçl e t la signature de Vaücl, Ictir inventeur. On les trouve chez tous les ph.irmacicns dépositaires dos Pdrios d'dllier anti-nerveuses du D' Ghrlun.

I.c C ;t io r o I a « P « r r o M csl aujourd'hui le m cilléur en qualité e t le ineiltunr m arché en prix . C'esl le dt^juiinor

paroixcolleneo. Ses cltocolalines ul sés dragées parisiennes ^onl la plus exquise, la plus délicate friusmifiu. L 'est le bonbon obligé pour dt.'sserts, m ariages e t su rlo n l p our baptêm es. — Parts, 44, rue Vivieiine.

Le dern ie r num éro du Monde Ulusirà, du 18 septem bre 1858, contient les gravures el les nvticles suivants :

T exte . C ourrier des bains de m er, p a r Ju les J.ccomIc. —• Chronique de la province c l dé l'étranger, par Fulgenco G irard. — Bladagascar, p a r Léo de Bernard. — l.es hôtes anticipés du ja rd in d 'atx lin ialation , par L.*A. Boui^uin.— C ourrier du Palais, p a r Pulil-Jean. — T héâlres, p a r Ch. Monsclet. — Chronique musicale, p a r Albert de Lasallu.— .Nouvelles c l faits d ivers. — Feuilleton \ Ahndc, liar Paul Féval.

Gn.tvunRs. Ranavalo M anjaka, rtinie de Madagasijar. — Vue de M adagascar. — K abar d ’ofllciets l'i'uticais e t de chefs m algaches. — Pont de Guioz su r lu Ithônê. — Bal à Blois. — O uverture de la chasse. — B iarritz. — Buuire arabe. — Fête de Saint*Cloud. — lïô les anticipés du jard in d 'acclim atation. — Rébus.

On s’abonne à P aris, à lu Librairie .Notivclle, lu . boule­vard des Italiens.

I«c Moiule iHtiatré «le v é i t t l n u n i i n i ê r o n . H e s n l e r , i u i p r t u i e i i r - l i l i r a l r e n K e u IlH , c h a r ; ^ ^ è s a l e u i e u l d e r e c e v o i r I r a n b a ï u i e n i e i U i * ,

Le 81 ” num éro des Annales de la Colonisàlton A lyêriett- n e , vient de p a ra ître ; ce num éro renferm e les articles su ivanls ;

B n p p u r t a n r le» p r o d a t l s d e I*A lgérie h l 'e x p M illé n w il- v e rse llc d e IH 3 H, |iar Ed Uoiivv, co>iinii>»iiru dùli-gtiù «lu miiii&téru de la giiurre pour l'cspoiUun linivi-r^uilc (su ite ).

(fUuduH Hur le» n lla v io n s d e» f lcnvc» d n o » le ItoMsIn d e la M é d ile r ra a é e , (tar U, Clinrlca Tcxiur, mumbrc de l'Inalilut.

l io c lé lé c e n t r a le d e c o io n la n tlo n . — Srancu du 10 juillul I8SS.— Ilimpurls : P rés, J o in s el bé ta il en A lg é r ie . — I)mi'U«iioii : Qkcj-

</oua/iieré. — Séance du 2C jui'Iel ISr>S. — Elcctton du uoiueitïiipériuur de la Société s fJ s le d es A/euièrei élus.

C liro n lq a e d u m o is , par M. Ilippnl)-ie Péiit.B u l le t lu g é n é ra l d e C o lo n ls a t lo a ..% frlr|ue. — .t lg é r le . — Actej oiSuiuls rvlalifs à la colonisation__

Rci-mnpciises dcci-i-nées à l'Algcrie. — Souirtés do srcoiirs muliteU en Algérie. — l)ii clianvru, du sa ciiltnre et doses prothiils. — Culture du lia en Algérie. — Culture du r ii see — Cunsiruodnni rurales. — Note sur l'Iiuilc de leulisquc. — iiiieelM Jcstruutcurs du ta ln e . moyensde prévenir leurs ravages.— Uuslruulioti des clucais Liens sprclaut|>our la récollo du tabac. — Prooincc J 'A l g e r . — Biiliutin mélcorolu-. gii|uu. — ICxtrail d 'un rapport de At. te l’rérel d'.tigcr sur la culture .lu t.ilMU. — P ro A n re J e C onsian tine — Eaux ihermntus d'Hamiiiain .MesLhnutiiic. — P rov ince J 'O r a ti. — Ouliulin météorologique. — Cul­ture cl iiiduslriu viiiicolus — Minus du tiar-Roiibau.

I.es .BnnalcM d e l a Ç o lo n lu s llo n a lg é r le a n c par.iissunl le 1" du i-liaquG iiiois. Le premier niiinéro a p:«ru eii janvier IK.Î2.

PRIX DE r.VDO.N.XKMENT : F ra n c e e l IM lg é r le . Un an. t 4 Ir., sis mois, n fr. . . .

ÜXH’.tltO >i.\K ;nPnrl»,3, a ra us Psoveiics. — D i»n»le» iJê p a v ié • ■ncBt». cites tous lus libraires r i tous les directeurs de messageries, ou miriis encore'eu envoyant un mandat à vue ou Un bon sur In |>os(u.

Le .foiinial amusaiil (Journal pour Ilire) est toujeiips le plus en vogue dns jonniiiiix com iques : c’est un charm ant jou rnal «le famille, c l pour les élablisscinenls publies c’es t une feuille très-.ivanl»gcusc, ca r piinr 17 fr. p a r an on n deux journaux ; \o Journal nmitsanl et le Mitsée français- Aiufinis. journal de grandes iUir.slralions séi’ienscs.

L e Propriclaire-Cdrani, ItFG M Elt

‘T K O V B S E A liXET

liA V K T 'I 'K B

l î i t p c d i l î o i i ! ' r . i i i c d e p o r l j t i s q i i ’ . i ( l e . s l i n a t i o n . -

l î - S l li t 'n c lk « n k i r e « F r n i i f n i 8

TÎT

D li l i 'IA 'D i: .

R u e d o B a c , 5 3 . e l R u e d e l ’i l i i iv e r . s î l é , H .'î, P’. i u h o u r g - S a i i i l - t i e r m a i n , à P . i r i s .

I M o i'tt.> iiùM iics .II ' c-1 . ' la h l is s e m o n l n o u s p i i c i i l «le ra i) |(e l i-r 6 n o s Ic c lo iir s ( |i i 'i ls o n t c lo ü (n i s e rv ic e sp é c ia l p o u r la p ro v in c e . I ls e n v o ie i . l (n o s les é c l ia n l i l l . in s » V . . . . c o ,.| w .n le c v p c .l il io n a n -d i.s so s i \ c " * s / r a H e a e » l é 9/r» 'A êé^ iê té n m r #••!##•• #e# f i t U s p r ix i n n i q u 'd l'i i c liillV fs ctm in i.s, s o n t lt\s m e m e s p o u r P a n s e t la P io v in c e . — U t t e m a iso n n a d é s u c c ii is a le n i t i r i c -l i r é s c n la m s i ln n s im c o n c v i l le i lc f i a n c e , e l le r c ie l tc . lo u e lo i i l c s o l i . l a r i l é a v e c ce s in ili is l i ie ls a in l in la n ls q u i fo n li le s i lé l ia l la q e s .In n s .l iv e rs e s c o i i l r é e s so u » le u n i s i |;n a le à la . ié l ia n lie e l o u in é p r j s p i i li l ie s . - L u c a la lo ( [n e . l é lo i l lé .le s in a re l ia iu lis c s q u i s e i r o i iv e i i l . la i is sc s n ia j ja . in s r s l a d r e s s e a u x p e r s o n n e s q u i le d e m s i

n o m ilu P F . J I T - S y l I X T - T I l O . M j t S - , e l le les

S i i n o | i e«‘S . I t i d i c i a i r r s .t \u T . l ' ’ .

Elude de M 'J ules ÏIIEM IIY, avoué à Senlis, iTiü du Gltôlcl, II" 21.

V eix t’e e t AUJEIM CATTOX'SUR PU R I.iC A TIO K S V O i.O N T A Ilif.S .

riil MITE HE COXVEIIMOX l)£ SAISIE IIIIÜIIILIÈIIR. i 'a r le m in istère de M' CiiAinTEU, notaire

à S c iih s. com m is ù cet e lfe t, i(n t'élude et eu préunce de M* P a y e x , m ittirc

à Poni-Sniute-JU axenee,

D’UNE JW S O NniiicMs. tom. û iiiîi n nfiruDucei

Riliiée II l>oxT-S,\iNTR-MAXKNr.Fa.arron«li>*se-nicnt dé Sciilis, dép.Trtemcnt de l’O ise, fan- lioni^ lin N ord, su r la g ran d e roule de h i - r isk Lille, poriaiil le n” 2 7 .

L’AdjihlI&Tlioh aura lien le Uim m ir/u' viiigt- quatré OcKdire 4858s h eu re d e midi.

(■ni exéctiiidn d ’un jugem en t rcmlu su r la reqnôlc cdllecijvc. des parties c i-ap fcs tinnt- m ées, par le T ribuna l civil de prem ière instance d e Sclilis (Oise), le quatorze seplcm - hrc 185^. cilrcg lsi/é e t m oiitioniié som inai- reoMiii an hu reail ries hypothèques rie Kcnlis, conform ém ent aux dispositions d e l’aéticlc 748 du cotle de procédure civ ile .

Il se ra , au x re q u ê te , p onrsuhe e i diligence de !ll. l^ u ls - lio s p ic e l ’id iii. négocian t-pro­priétaire, dom unrant k Pont-Saiiitc-wMaxenéc,

C réancier sa is issan t.Ayant pour avoué ' constitué , M*_ Jules

Tliem ry. cse rça o t près le T ribuna l civil rie Senlis, dem eurant en ladite ville , ru e du Gliôtcl, n * 2 1 ,

Kn présence «le M. L onls-P anl Utibiquet fils, m archand de fe rs , dem curniit k l*onl- Sainte-H axciicc,

P.irtie s a is ie , -Avant pour, avoué constitué M* F rém y,

exerçant p rè s 'le d it T iihnnal civil de Sen tis, di>înourant en ce tte ville, ru e N éuve-dc-Pari?, n» 15 ,

l ’rocédé k la vente su r publications volon-

lairi's. p a r su ite de conversion de saisie iin ; m obilière, i.il pins o ffran t, d.*rnier e iich é r^ - seiir e t k l’cxlinction dus feux, des im nieiihles dont la désigiialioii suit :

D a S I C H T A T I O l T .Une Maison, située k l ’ont-.Saiiite-Maxt'itce,

arrom lissem eiit du StMilis, départem ent «le l’Oise, faubourg du Ntu'tl. su r la gr.imle route de Paris k L ille,’portan t le n " 27 .

('.ette m aison cousislc en :jmv.it. Un |;i*incip:il corps «le logis k usage,

«ritabitation et de m agasin «le fer, liîtii eu jiie ires «le ta ille , contposé ainsi qu ’il su it ; au rei-éé~chaussie, une boutique avec porte ouvrant k deux ventaiix su r la roule im peiiale «le P aris k l,ille , escklidr eii bois aveC ram pe en lc r p o u r a rriver an prem ier étage« Il existe pour ce lte boutique iiite Si'condc cn tiée donuiiut sous la grande po rte dont sera ci- nprès parlé . Üiie pièce avec chem inée, ayant en trée par la bou tique , k usage d«i salle k m anger, avec alcôve; une petite cuisine k la suite de ce tte pièce, i lu premier étage, d e n t pièces su r le deValit, éclairées par tro is fenê­tres su r la rou le de P a ris k L ille , et deux ■autres 'p ièces d e rriè re ; on parvient k ces cham bres p ar l’escalier en bois donnant dans la boutique ci-dessus désignée e t p ar un escalier eu p icrrds donna.nt su r le passage pour arriv e r k ta cour« G renier au-dessus, cave dessous ayant en tré e sous la grande porte.

' PdsMgc pavé p o u r voiture «lOnnaulaccès aux 'bà tim en ts c i-a p rè s ; cour k la suite. Ce passage est formé su r la route de P aris k Lille uar une uo rte charre tière en bois k deukLille par une po rte charre tière en bois k deuk ventaux. .

Magasin e t four k p la ire , manège aVec m ealc on {lierrc pour broyer le p lâtre , tenan t au corps do l ^ i s sus-désig iié; —- au- dessus de ces magasins e l (pur, deux pièces éclairées su r Te passage pour arriver k la cour.

4'"*'“ , A la su ite du four ii p lâ tre , un m a­gasin k fer et «piincaillerie coniposé «le deux pièces; g ren ie r au -dessus «lutin mngnsin.

Kcuric k ht su ite dudit m agasin, g re­nier au-dcssns.

goifti» Un fournil k la su ite de l’écurie avec

fourneau k lessive, petit appentis.7meu«,'Une grange au foitil «le la cour.T ous les«lits bâtim ents, constru its on pierres

«le taille, m oëliuns el bois, sont couverts eu l.uiles.

8 '° '" ', Petit juixliu pAanté «t’arbrc.s fniiiiers et c«*ps de vigne, tlerrlère la grang»?, «lei iiière «h'-siguée.

hnlépenilam uieut «les «leux enti’iies sur la j l'oille tle Paris k lé l le , il «ni existe une p u ’ | derrièi'c su r le rhiîmiii du Gliainp «le M.ir.s.

Le.s m aison , bâ tim ents, cour, jard in el «lépi'mlanro» ci-«less«is tli’sigués. d ’une, con­tenance «Penvinui sep t ares vingt-cinq cen­tiares, son t occu|>és par le sieu r Uobiipict, partie saisie.

Le tout ticnl d ’im c«>té k ma«lamc veuve Lodotix. d ’ah tre cô té k m atlamc veuve L c- fftvre. acqnéivur HobK|iiet p è re , d ’un bout p ar devant k la rou te de P aris k Lille.

A D J U D I C A T I O N

i c i s a A p a i z : .L’adjudication des im meubles sus-désigués

aura lieu le Dimanche vingt-quatre Octobre tS 5 8 . luure de m id i, par le m inistère de M* G hartier, no taire k Sen lis, coinotis k cet effet, en l’étuile e t eil présence de M* Payeu; no taire k Pont-Saintc-M axence, su r la mise k prix fixée par le 'ju g e m e n t sus-énoncé du iiuatorzo septem bre 1 8 3 8 , k q u atre mille francs, c i ............................................... 4,001) fr.

S ’adresser pddr avoir des rcnsciijumciits :

4" A M* Jui.KS TIIKMHV, aeoué poursuivant ta t'ente: ,

2" J M* KHKMY, «troué présent tl la tientèj ,7“ A M* G IlA IlT IE n . nWaiVê d .S’cnbi!, rfJ-

posilttire des titres de propriété ef du caAier des chfirges ; , ,

4” l i t d M' PAYEN, nofrti'rc d P ô n l- i'a ih lc -M iuence.

I';iii et rétligé par moi, avoué poursuivant soussigné.

Si'id is, le vingt-cinq sep lcm bre 18.38.S igné.; JUI.KS TIIEMUV.

E uivgislré k Senlis, le ^ i.se p lo m b re 18')8,

rcç\i un franc dix centim es, décime com pris.S igné : CiiiÈGOtnK.

P o u r inseï lion :Signe : Ju les T iiemuv.

; A«i t . a .ICl.iili» de M'.Iiir.i:s TIIEMIIY, avoué à Si-nlis.

rii<‘ «lu Ghàtel . n 21.

V E ÎV T Elin t'éludé p a r te ininisièrede M' ltt:l.,vf.oi f . .

no/qiVc «i .\i'uillij-i'U - 'l'hetle.

AVEC CIRCOHSTilCES ET DÉPEIDiHCES,Sii«ce k NEi)iLi.v-i:N-TiiEi.i.K (Oise),

lien «lit le P ieu ,Dépendant de ta succession bénéficiaire de feu

M . M arié.K n iiiA m cul

Adjudicntion le Dimanche dix-sept Octobre 485S, heure, de midi.

S'adres.ser pour les reascigneineHls :4" A M* Jui.Ef. TIIEM IIY , tironé, dem eu­

rant d Sentis, rue du Cluitel, n° 21 , poMi'sui- vfinf hi iTidc;

2" li t d M* D El.ACGliR, notaire à \eu itlg ~ cn-Tlietle, déposittiirc des titres et du cahier des charges.

S'adi'esser pour avoir des renseignements : A M* FHEMY, oio««", ponr.vMiwou la

vente;2’' l ù d M’ RIVIEIÀE, nolaii'c d Crcil.

ilépositaire tles pièces ei du cahier des charges

A l i t . ,'i.

. SOBS-PHtfECTDBE DE SE8U S.

A V I S .Le Sous-Préfet «le Senlis donite avis k t«ins

intéiv.ssés ip ic, conform ém ent k la loi du ô mai 1811, les pièce.s relative.^ au projet tl’«ui- vertiire du ch«'inin de ninycnnc cornmnnica- lion n” 77 de Thiiry k ta Lerté-M ilou, pni'iie com prise en tre le village de la Villoneuvc- sous-T liurv et le cheitlin de Mareuii k Aii- tlicuil, su r le territoire de la.Villenoiivc-sous- Tlniry, dem eureront déposées au secrélariui (le la m airie de cette dernière com m une du 2 0 septem bre courant au 5 octobre prochain inclus, et «jue pcridant ce délai chacun est appelé k en prendre connaissance c l k faire les observations, réclam ations ou oppositions qu 'il jugera k prop -s.

Fait en Sous-Préfecture k Senlis, le 2 i sep­tem bre 1838.

Le S o u s-P ré fe t,E n. MÜU.NIER.

A k t . 3 .Etude de M' FREMY, avotté à Senlis.

V E iV T E

CRÉANCESDéponilanl d e la succession bénéficiaire de

M. Jean-Laurent F rançois, eu son vivant proprié taire et m archand Ikriuicr k N ogcnl- lüs-V ierges, oii il est décéilé le vingt m arsi8:;r>.

EN IIN SEUL LOT, lin l'étude, et par le tm'm’s ié rr «h* M* R iviLuk

no/uiVe d Crcil, commis à cet e ffe t . I.’Atljiiiliralion aura lieu le />/«mnc/ir trois

Oclnbye IS 'iS , heure de midi.

A i i i i o i i c c s D i v e r s e s .Etude de M* ROUSSEA U, notaire k Mcllo.

T E B llE S ET H A M IS .A Rousscloy-SaiiU-Claudc e t Uury, «canton

de Mouy,A V E N D R E P A R A D JU D IC A T IO N , Le D im anche 26 S eptem bre 1838, k midi,

/1 .Va«nt-CVuu(/i! en la acmeure du sieur P k ti t ,

' a iM isWA Circs-les-M cIlo et Maysei,

A V E N D R E P A R A D JU D IG A iIO N , Le Dimanche 5 Octobre 4858^ à inirft.

En l’étude de Mcllo,S'adres.scr pour tous renseignements audit

M' UoL’SSE.vv. notaire, dépositaire des titres,. ' i |

à

Page 4: ouii b f V t i Ë S ’ j | p > i € i À m ï ; sbmsenlis.com/data/pdf/js/1856-1859/bms_js_1858_09_25_MRC.pdfSam edi 2iî Sepleinhi-e IftI»#! X" 59.—!tO ' aniK^e. mplol «Ifi

p ' f îI '

/

fh iiijfi de v.'ndre |»liui«ura Mwiaaiia à Aldto et d Cires, h m mm J«lie MntoM

p d uiif ibeurü et dem ie de Paris:

* n e r t« r r a WÊ A re» W C’eM liarm

] D I S t l s m i E X 3 9 9 i t l iSis tciToir» (le nonor(‘|iaii<i cl Poni-Sain lo-

Maxeiico,A y E N ï ï i îK P A U A a ï u n i c A 'n o N ,

l'M (a initirie de P oul-S tih ite-M iurnn ',Ix* Dimaiiclit! Oi'iolirc IK.'i8, îi uno ln'uiv,, l ‘tr le niiiiislcrelie M ' (!iunTiK.a; imUiiiv û Sni/i.x.

O n c n lro i i) oi» jm iiH sn iu c !«• i t i in i t 'in b rn iH.W .Il y :( liiiil,tisdrnl(^ iniiir atNiiii'-i'ir.

S'iulrcssir niiilil M' CHAiiTifiii, nohiii e

S l l r c f n i 'r M 9 3 A ic i i -13

l»l<: TËKÜES is ic rro ir de Saiiii-L i'ii,

A V E N D U K PA U A IM IJD IC A T tO N . /i/i la matson d'école de S n in l-I.eu ,

l.e Dimnnclie 10 Oi-itdii'ü 18.'iS. !i iiik> Iu'inv.P iielem iiii.dèirdc M' Oiiautik», m liûreii Seniix.

S’ad resser aiid ll M' Oiiartiicii.

8 8 5 .% rr« 8 3 ( V n tiH r r i i

1)E MAHMS, TlilllE, mMi'F O S M E R ,

Sis su r le lerriio ire de Sain l-I.éo iian l <'l :)|)|iarUMiaiM à cc ilc mindiiMie.

A I.O IIK U P A R A D JU D IC A T IO N ,l-'a 39 l.otü. |in n r nnnt'cN oom iiiviirnut

l«‘ I l u o tn tth re INStt.l'ae le m inislêeede M' <'iiAitTiKU, noitiii eà Sentis,

l .r D imanche 17 O clohre 1S‘»K, à m idi. K n la maisuii de Sinni-Lêoiu ird .

S ’a«lrc-ssor li la m airie de S.iitil-l.ôojiai ii, «-t aiid il M' CnAiiTiE::’.. notaire.

CltidedeM 'DK MAY ,in d n treàPtnit-Ste-Ma\eiiee

14 PIÈCES DE TERRE ET FRËSitnêe.s anx territo ires de Sariam «d

Saiiit-.M arliti-I.oii^nean.A l'K ^'U K B-:

P u r aJJu d lra ilo n «ulm ilu irr./ 'i l l'eliitlr e l jntrlr niiiiisicrc dr M' jit; .VI *». tfiitiirc

<i P n > il-S iiii> lc -M il.r i " i r ,l.e Dimaiiclitt ô Oclohre IS^iK. à midi.

Sùrel«' pour acquérir. F ai'ililts |*imr payer. •S'VMhy.v.vi'j-dnd(7 M* i>t M,\v, unhiiie.

Mémo élude.

2S PIÈCES DE milE& PRÉSilnécs leriito ires do Sarron cl des .Ayeiiv,

A u ) u i : uP ar adjiidirati«in volontaire,

/ Il l'iliii/r i'/fiiii le iiiliiiilëre de iVp ne .VI »i, noiinr à Poiii-Saiiil' -Mii ti i-i r,

-Le Diipaijolic 5 Oetolire IK.'IH. ii lujdi.P n i ir I-I ilie r r u jo in a siin i e le i i niiM in iire iS 5 h .

■ .Même é tu de.

MAISON‘. ' 9 1 0 1 3 P l à o o s s a T B R B S ]

S ituées au lerr ilu tr de Verneiid,A V E M I K E

rAn Awi nir.ATio.'i volomaibe,Le Dirnanehe 17 Oclohr.5 IS.'>IL à midi.

l ’iir le »iinislêi c de VI' lit M \V, unluire <i l'oiil- Siiiiile-M'ijeiiee,

Ln la Mairie de Vernenll.O . i.i.nir;< Uailei .iv.inl '.'i..ljii.li<-.ii:..n.

<)«•> nirM-shnirisiiiit.»l-'arililés pour le paienieiil

iS"iidi e.«.<t'c iimlil .H i>r. M.vv, iiofinVi

i..:i

.Même é tu de.

A V E N D R E P A R A D J U D I C A T I O NLe Dimanche t7 Oelobec /6’oA’, heure de m idi.

Un la salle de la m airie de i' Ieni tues. Pni'le »ifH».vfércde M' »b Mav, nohiir,i ii Puni,

3 PIÈCES DE TERRE ET PRÉSiinéos lerriloire <lo Saini-CIn isioplie. com-

luiine de Ficnrines.Il y Il- >ûuu' Ju.nr

Facilités potir payci'..S‘((d»v?s.îcr oudil M' dk Mav, mdiiire.

Fliide de M' MAITUK-ÜPIV.VI.LO.N. notaire à Clianilily (Oisel.

PiDAl CORPS DE FERUE3 9 i i ) 3 i i r s sü iv a s& â t'ts

A Bernes (Seiiic-et-Oisf'.A V E N D R U

Puradjudlrallon «olonfnlrr.En r«/Mde cl par le miiiislère de M* Maitak-

ÜEVALLo.\, m hiirc à Chiim!d;i,Le Dimanclic 2 4 Octobre ISoX. à une henrc.

F arililés pour payei'..S”<Hlrc.f.vprf/HibY M' MAiTnK-IiV.iAii.ox,

\■Mènic é lude.

3801 OBBSES,2 5 7 P E V P L iE llS ,

É t i R g / S M R R Æ T § • X R V B R S ,Situés «ur les terres du dom aine de Üoran

(Oise).

S î t f i àl 'A R A D J t’n ir .A T IO N V O I O M A I I I K ,

r<ie/eMiiHisfèrcdc M' Maitri:-Dkvai.i.(i?(, iiofairc à Chambly,

l e D im anche 51 Octobre 1858, heure de midi. E n la salle de la M airie de Borau.

Cm arteTM |M>ia«PMi en « p a n 8 e pun ie * |p e e * p l # l# y é 9 e e i i i m e f c e l » r i p a c n l c e .

Ils sont tous te long des chemins.Borân est situ é 4ur le rhom iu de fer du Nord,

Il y a line station avec gare |m nr le.s m archan­dises, et est en outre iraversé p ar l'O ise.

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S'adresser fuidil M'MAiîRR-DRVALLON.tio/dn'c.

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s 'il est fait des (dires sunisanlcs. S'adre.sser (iiidil M' Lk.hoi.sr, iiottdre.

Lliide de VP T.VSSAIIT, nolaire à tirépy.

A V EiN U U EPAR ADJrUlr.ATIO.X VOLOXTAIRB,

f.ii i'i tilde el.parle niinitirredc iVP Tas.s,\ht, nnmirc n E irpr,

Le Dimanche lO O clobre 18.78. ù midi,

2 6 r i î C E S D E T E B R ESur Crépv. Feigncux et Séry,

Contenant enseinbk 9 /lectures S 8 A resÜ I/C .,

UNE MAI80NSituée-ii Crépv, rue Saiiit-!,aKarc, ir" 14,

ËT TROIS iU lS O i CiliMIGËËSSises k MermonI,

A v e c C o u r» J o r d i n e< T e r r a i n .O randes facilités pour payer.

S'ndrcxfcr à Vl'- T ;i> '! i r t , HOtnirr à C upj .

Klude de M' 'l \ ) l)UNEUB, nolaire A Verberie.

A V E N D R EP a r atlJadlM llMRVdcolMlrc.

Le D im anche 5 O ctobre 18.'>8, a midi.Par le ministère de ît|» I'im'RNI'.uii nntaire t'i Prthene

cl en ton étude,

i t i iE c m e u t w o s G E W sDE TERRE LABOURABLE

s »E n 3 pièces

Sises an lerro ir du Bois d’Ajeux, près Verberie.En Xlnwr «ta r***' .

Jouissance de su ite . Facili[(^s pour le |iaienu’nl. S'adresser audit M' ToniXKr.R, nolaire.

F tude de M' VBAMAXT. no taire û llarun.

lIXE BAISOX. A v e c C o ia r r t '.C Io s a u > d c v n n t .

S ituée Ù Ducv. com ii|iinc de F rcsnoy-lc rl.ua l.

H A R C H R D E T E B R E4’eiilrnM Ul 4 l iretorco 13 nrCN 9H ccul.»

.A’n treize pièces S ises su r le terro ir de Ducv. \

ET l i r a . Ï I M S 97 «.liEltOISSis au inCmie terro ir,

A V E N D U EPAR AbJtijUC.ATlO.X VOLOiNTAlUR, •

P ii Mai«H«- ou r n Deiiiil,Par le iniiiisière de Itp Vramast, notaire û lîaron

En la deiiieure du sieur T an tô t, marchand épicier à Ducy,

Le Dimanche 3 Octobre 1858. à m idi. Brandos faeilUés pour le ]iaieinent.

(bi tra ite ia avant l'adjudication s'il est fait di's oirrcssiitVisanles;

S ’adresser audit 5P Vbasia.nt, notaire.

Même é lu d e .

QUATRE PIÈGES DE TERREDe la cimtenaneé de l i ares t)9 centiares.

S ises au tc iro ir de Villciicuve-sous-V crberie, A V E N ^JU E A U X E N C H E R E S ,\ V illeneuve, en la inaî.son d'école.

ParlciiiiHisièredeM''fwR:iKVü,iiolaireà l ’erbcric En présence de M* Vranant, ù Itaron,Le tbiiiaiic.be 17 O ctobre 18.78, a 2 heures.

Facilités pour lepaiem onl. •louissaiice le II novem bre 1850.

S'adresser aii.rdits .M'* V ran ast el TounxKrn.

Klude de M* riR .\B .\, no taire à Ary.

lO H K C T A H E !»

DE BOI8 T A IIJ J SSitués terro irs do Neuhdielle.'i el Boiivres,

300 ARBRES M IIIIITEEssence de Chênes et autrc.s,

A V E N D U EP a r iiJJnM ^(l«>n ««klonlulrc.

Le D im anche.') Oclohre fK.'>8, à midi.En / mule et par le niiiiiilcre de M'' («ii.ti x, notaire

ei / ti r,F'aciiin'n puiir payer.

S'adresser audit M' tiRAtfx. liotaire.

Elude de M* LAMBERT, huissit r à P on l- S.ainle-M axence.

^ 3 S t l 3 S ü D 3 9 3 i i 3 3I7>iir cause de changyMucut de domicile,

A l-^m rubiixillc.E n la demeure de .M, B occiif;, curé.

Les l.uiiili 2 7 , Mardi 28 Septem bre 18.'>8, à iniid très-p réc is, cl jo u rs snivanls.

Par le fiiiiiisièrc de M' I.amiikht, huissier « Pont.

Cette vente consistera en ; m eubles de tou­tes sortes, literie, t.'ible.aiix, glaces, porcelai­nes, gr.inds el petits Fiileaii.x, chem inée p rus­sienne, poéle-cuisinière, garn itures de foyers, belle b itte rio do cuÎH ue, bois li b rû ler, vins lins et ord inaires, éa ti-de-v ie e t liiiucurs, et (juantilé d ’a u tré s objets,

Am î'oiuptBnl.

K tiidedeM 'llE.MKT.liuiSsici'-priseuràt^liantilly

TEITE AUX EICHÎBES PDBUQDES.A v r c « n u t r a s a r n n l i r i i »

15 CHEVAUXCABRIOLET. HARNAIS & ËQDIPAGES.l/ip/n 'fnm nl ti ta Soc.'éli de M” B a u d e t el C** ,

de .S'aint~3/aj'imin,F ar s iii'c d ’achèvement de travaux du la

ligne de litx'il à Saint-D enis,.% (OIm4>), itlncp <lr I'EbIAhp»

Le Dimanche 5 O ctobre '1858 . ù midi.Par le iniiiistèrC dudit M' IIk.mkt.

D »il0 1 H A T I0 \.1“ — 10 chevaiix de prem ière force, entiers

et hongres, p ro p resk to u s Icsscrv icesetde l’âge de 4 k 8 ans,-

2 “ — 5 irès-helles jum ents du m ême âge, dont une de cabriolet.

5* — Un cabriolet avec ses harnais.A" — 8 tom bereaux, la plupart neufs.ÎF — Une tharre lle .G* — 2 gros haqneis et un petit.7° — Une brouette .8» — Nombreux harnais et-équipages.

Le tout en très-bon état.Fiicililéspu 'jr le paiem ent.

Pr»la «rdlMalHiti.N ota. Ou ;w »rm visiter les Cherutu el objets

à vendre à partir du dimanche ‘20 septembre, dans les écuries de M.M. Oaubbt et (^, û Saint- Miurimin.

MAIRIE DE lA in m .Le m aire <Ie NanteiiiL officier d e la l,égion-

d ’Iioiineur. fait savoir qiio le DimuneAe 10 Octobre prochain, k une. heure d e relevée, il sera procédé par-devant lui en la M lle p ro­visoire de la m airie , aux adjudications au rabais et par voie de soiiiiiissidns cachetées, des travaux de toute natu re k cxéculcr pour : consirnclion du bâtim ent,pour loger les pom­pes. réparations au presbytère c l k la muisoii d ’école, nivellement du la place «lu Cliatcllier.

Les adjudioaiions auront lieu partiellem ent. Le devis s’élève k la som m e do 5 ,7 0 0 f. 24 c.

Les devis, plans et ciüders de chnnjcs des ad- judicalions de ces /r(icrtH.r sont déiiosés n u scc ré^ larial de la tnairie où chacun peut eu juviulre connaissance.

Le m ême jo u r, il sera procédé k l’ad judi- caiion de travaux k exécuter aux bâtim ents du Bureau de B ienfaisance, don t le devis s’élève k 2 ,5 8 5 fr. 7U c.

A C É D E R D E S U IT Em ü i i a i b sL 1 H 6 E B I B E T H U E

M im é • 8KX1LIM..S’adresser nu Bureau du Journal.

Elude de M' St-RENfe. n o la ire â Sonlis.

O n d i ' i n . i n d t ;

V IT FHIXT31P A L (3 L 3 I 19 .

0.\ DËUA^IIË A ACIlËTËIi9 I r r n - b o n n c h ir 'iM rAavrAnli* (dit bassetl,

Doiir le lapin, âgés de 2 ans au 'p liis . S ’adreiuer à M. PcitltlEn. cultivateur à Ducy.

Une personne, «pii désire faire p lan ter en bois, cl d'ici au pr«;micr m ars prochain, deux liect.ires «le ti'rrain ou environ k l’éia t actuel de IVicIn?, voudhiil trouver pour c«‘tl«‘ opéra­tion une personne qui se chargeroit de tonte l'opération qui s ’y ratlacho.

S'adresser, pour s'entendre et traiter, «î M'. L .xvoisim i, cultivateur d H oucille, près Crépy (Oise).

i IlOHyFtrès-capable pour un emploi d e .Secrétaire de Mairie dans une com m im e «le l'arrondisse inenl de Senjis. —- Il es t nécessaire qu ’il puisse en

même tem ps rem plir les fonctions de elorc laïque. — La place est irès-avaulugeiiKc.

S’ad resser au bureau du Journal où os donnera des runseigncm cnls.

f t C T M t ÿ S l I l S S EB O i n a î im o i n . i

Dharmacie C icilr (sâcc ' do Pajdt), rue doisC liaussée-d’A ntin , 5 8 , k ^ r i s .

P our la v o ix , les r/ iu iiB . oppressions. f«. t im res. m a u x de gorge c l de poitrine.

Boites d é f fr , el d e 2 fr.D a m toutes les pharmtKies.

C R O I S É E S A c a r r e s ET FEItIfiBEg HtnsniÆl,

s u n i ï â ü i m I.US l i s t m i m m

T ous les jo in ts couverts p ar pièces rappor. lées, garanliSHenl de l’a ir cl de l’eau k nrnê. rieu r saïis inconvénient pour le dévelopne. m eïildes h a tlau is .e lsu p p rim an t les bourrelets.

Cè systèm e, d ’ulte grande simpllcilé, sc ro- com m am lc p ar la m odiiilé du p rix , et peut s’appliipier aux ançi.ÿiines croisées e t aux portes. .

.S’adreiaer chez I* e w iè i« « AHs, meiiuMier, seul concessionnaire pour l'arrondissement dî S'enlis, de Janict, breveté f.S, t i . 0 . G .) ,o ù l’ot, pourra voir fonctionner.

8ee*n»«rie le«M>*iper*kle psur «a Vertu.l ü A d .T O i M Q U Ë

PARACHUTE DES GHETEDlB t) € 'IIA I« .« I1 V , C’hiaulMle.

Ci-lle corhjMMiliuii in failltldii |M>ur«rrclrrprnmfH l>:nii-iit la cliiKe dva clieT ru t i e llu vu cdi|iS(.-Iiv la ,U ^ l a m io n , ne tto ie pa tJa ile iH M t le c iiife ke i'e tii, drlrinl les m atières fftu isseuses e t fie ftie ides btanchdtres ; ses p n p r ir t r s rc yê n d ra tr it fs J i i fo n fs n l la reprotluclioa d e iiino'eaux rlie.VHT, I r i Taii v |ui,i> ir v« le i rvud ,o h . |d«r»ci lir it l.in K . H vm pêche le ItlaM liim eiil; c a a ta .

— IVi» du Etaco», .1 f r .Eid>rii/uc a lloueii, tu t .tf t’IIdpilnl. 4u. — DSp Si

aii« iciuir, Ie« villw de Erauce j — a ltvaii*at«, clirtM. l.aHijfei, nie Saiiit-Sauvo<«r{ — -;t à Senli*,ritci M. PMUIurrS.eoiff'eiiix-parJ'umeiir, Flavudel.-i

I I f I C l c l tous les nb-1 1 1 \ jé ts trouvés su r la voie publiipio, i l I l » J i doivent ê tre rem is au Commissaire de Police, qui rem ettra 1e tout aux personnes «pli on t perdu.

i: r A t CIVIL i>i: s e .m j s .N am anee.

Malperl (Eugène).

Mariages.

Iltunrhel tLonis-Josopli-Aiiguslin), et Prévost (Jit.'iupbine-Isniérie].

I*.igmint (V icior-Fcrdlnand-Ileiin}, e t Cow- piègnelRosalie).

Murchnis (Josepli-Xnloine-Videnlin), c l Gros- bols (Ma.rie-I.oiilsi^-Fétieie)

n cllv ille r (K harU v), cl G érard (Alaiic-Fr.ue «yiise).

Ilécè*.

Rillei (A ngèlu-lnna-üeorgetle), I mois.

POUDRE DE BOGE pour p rép are r soi-m ùm e la LintanadepurtjtUtce gazeuse, k .70 gramm«*s «le

populaire

Coinay, k S ain t-Just-en-C hausséc.

PHILOPODE« ..Ile cmiiimsition noiiyolli., «h eiild c par Ki.m I I a t t i i i e u . cliiiiiisic ürcvclù cucril les

Cors m x jim ls n i uni: ininnlc. snns dnulcur ni sans dangnr. Il sn lli' .l’cnvover uonr 3 fr lin limliron-poarn on nn inainhil à M. Ei.ik .M .,Trieu. cliim isin à l.o ns-lc-S aon!er (Jura)' pour recevoir le Fbitupodc franco pqr le r*‘lo n r du courrier.

M K R € 'g /R M A g .Ê H g .

V il.l.lùs.

•Senlis. r.nmpit‘!guc. Bejuv,iis. (.lerrniinl. ’

Crépy, le i IIK)^ Niivou.Font.

D A IFS .

21 S eptcm bie.18 S e|itcn ihrc. ..c 18 S eptem bre. I l5 18 Septem bre , : 15

•4 S eptem bre. i2 l 18 S eptem bre. ( l7 17 S i'p iem bre. |1 0

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Mnri- l'indus • roiiii'ô » llsern itdéplorable i " consciencieux la p r . . . » solides rnmènerad-flu celtc.npininn du jury blanc floitl le poinçon est

O R F É V l t E R I E C H R I S Ï O F L ECOLVEUTS ALFÉMOE GHIUSTOKLR ue de B en d r, 38 , « Parti*. i:OKVEll’rS At.FEMDE

Voici 15 années «pie iintro indusiinict«l tilai»

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U „ ..Il V comiiK'ul étoigiicra-t-un la «ainfusimi des taimucs s u r nné IpVi^ lè i V r é , ; n i l t 'T tT \O F 'm ^O ; a!*‘= "■«-'41 Fds io u llî nér l / c ’ ” o i r ? <lêttin.irit l.i (tllA.NDI-. MnOAttd.L 0 tlÜ.N.NLlU? Nous nvojis joint a notre fabrication les plateaux en métal

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