Systéme D_information Éxpo

8/17/2019 Systéme D_information Éxpo

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1.BIG DATA

Big data regroupe ainsi des outils et techniques pour traiter les données qui répondent au défi du

volume important, de leur variété en nature et en sources, d’un certain niveau de vitesse (on emploie

plutôt le terme vélocité) et la véracité (traduit de l’anglais veracity, qui est à prendre dans le sens de

vraisemblance).

es ! dimensions ou les !" du Big #ata $

% e "olume

% a "ariété

% a "élocité

e "olume $

e premier des !" Big #ata concerne les volumes de ces données $ ces volumes sont non seulement

considérables mais ils sont en perpétuelle croissance. &u'ourd’hui ces volumes s’epriment en

téraoctets (* puissance + octets, noté o). -t bientôt on utilisera plus couramment le pétaoctet (*

puissance octets, noté /o).

a "ariété $

e +0me des !" Big #ata se rapporte à leur variété $ ces données sont en effet de formats tr0s variés.

1uoi de commun entre une vidéo, un morceau de musique, un message sur 2itter, une photo en ligne,

un courrier papier, un post sur une page 3aceboo4 et un relevé de compteur électrique ou un relevé de

banque par eemple. es supports et les formats sont tous différents, mais ils portent tous une

information de valeur.

a "élocité $

e !0me des !" Big #ata est la vélocité des données $ elle correspond à la vitesse à laquelle doivent5tre collectées, analysées et eploitées ces données. #e plus en plus souvent, ces données sont à traiter

en temps réel.

#eu autres dimensions se sont a'outées par la suite à ces ! dimensions essentielles de ces données (on

parle aussi des 6 " du Big #ata 7) $

8 a "éracité

8 la "aleur

a "éracité $

a véracité ou validité des données correspond à la confiance que ces données inspirent au décideurs.

9i les utilisateurs de ces données doutent de leur qualité ou de leur pertinence, il devient difficile d’y

investir davantage. e nombre grandissant de fausses informations et de fau avis de consommateurs

publiés sur le 2eb est un bon eemple de données eternes peu fiables dont les entreprises doivent

pouvoir se prémunir.

a "aleur $

:ette dimension s’attache à un aspect étonnant de ces données. ;ne donnée prise isolément peut ne

pas avoir grand intér5t, mais prise dans un ensemble plus large, elle prend tout son sens. :’est le cas

par eemple d’un t2eet portant sur un événement d’actualité. e contenu du t2eet en lui%m5me peut

ne pas avoir grande importance, en revanche si le t2eet est repris et commenté des milliers de fois,

c’est le nombre de messages associés à ce t2eet qui devient une information de valeur (une opinion partagée par plusieurs, un su'et qui fait consensus ou polémique


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contrôle pas l’infrastructure :loud sous%'acente (réseau, serveurs, stoc4age) mais l’utilisateur

contrôle l’application déployée et sa configuration.

:. >nfrastructure as a 9ervice (>aa9) $

’utilisateur loue des moyens de calcul et de stoc4age, des capacités réseau et d’autres ressources

indispensables (partage de charge, pare%feu, cache). ’utilisateur a la possibilité de déployer n’importe

quel type de logiciel incluant les syst0mes d’eploitation.’utilisateur ne g0re pas ou ne contrôle pas l’infrastructure :loud sous%'acente mais il a le contrôle sur

les syst0mes d’eploitation, le stoc4age et les applications.

:es trois mod0les de service doivent 5tre déployés sur des >nfrastructures qui poss0dent les cinq

caractéristiques essentielles dé'à citées.

&vantages et inconvénients du :loud :omputing$

&vantages $

a mise à disposition immédiate et le déploiement d’applications ma'eures et d’environnements detravail, avec une mise à 'our des applications systématique, aussi, le client est eempté de la

maintenance.

e partage de données est relativement facile $ chaque utilisateur du :: peut rendre disponibles ses

données à d’autres utilisateurs. >l est possible de créer une plateforme virtuelle collaborative.

;n avantage qui ne concerne qu’un nombre asseD réduit d’entreprises, mais qui n’en n’est pas moins

l’un des plus importants du :loud :omputing $ un calcul tr0s puissant, ce qui permet la délocalisation

des traitements bénéficiant ainsi de toutes les ressources et performances mises à disposition.

e libre acc0s au client qui lui permet une conneion partout, évitant ainsi un "/E (réseau privé

virtuel) dans l’entreprise.

’acc0s est possible à partir d’un simple navigateur, il est possible d’5tre informé en continu del’évolution de la plateforme du ::.

es contrats reliant le fournisseur au client ne sont pas des engagements à long terme, ce qui offre une

liberté totale. es services sont facturés soit par abonnement mensuel, soit à la demande.

:oFt $ du fait que le m5me service est proposé à de nombreu utilisateurs, et que le service ne

nécessite aucune installation matérielle (à part une conneion internet et un ordinateur), son coFt en est

nettement amoindri.

e service est fiable puisque basé sur des infrastructures performantes tolérantes au pannes.

>nconvénients $

a confidentialité et la sécurité sont les principales inquiétudes du syst0me puisque l’hébergement se

fait dans un environnement eterne à l’entreprise. e vol etGou la mauvaise utilisation sont des risques

considérables.

a conneion internet est une obligation.

3.DATA WAREHOUSE :

’ob'et de l’entrepôt de données (data 2arehouse) est de définir et d’intégrer une architecture qui serve

de fondation au applications décisionnelles. es entrepôts de données ou # (#ata arehouse) sont

de plus en plus utilisés pour eploiter et analyser une grande quantité de données et faciliter ainsi les

processus de prises de décision. >ls servent au syst0mes informationnels d’une entreprise et ils

permettent de sauvegarder de faHon permanente et sans équivoque tout l’historique de l’entreprise. :ethistorique en termes de données est mis sous certaines formes dans une base de données (B#) dite


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entrepôt, afin de répondre au besoins d’affaire de la compagnie. :es syst0mes sont qualifiés par

l’eploitation des données d’une entreprise afin d’aider à la prise de décision. ’ob'ectif visé à travers

ce travail est d’aborder le th0me de l’entrepôt des données en eposant son fonctionnement et sa mise

en place, en déterminant ses ob'ectifs. Aais il s’agit aussi de tenter de cerner ses en'eu et présenter

une étude de cas permettent de mieu comprendre notre su'et.

6 e #ata 2arehouse (entrepôt de données) est une collection de données orientées su'et, intégrées,

non volatiles et historiées, organisées pour le support d’un processus d’aide à la décision 7 (>nmon,

IJ).

-n effet, le data 2arehouse regroupe toutes les données fonctionnelles d’une organisation afin de

délivrer un ensemble d’informations au différents services d’une entreprise. ’ob'ectif est d’etraire

des données pertinentes à partir de bases de données de production et de les organiser suivant un

mod0le adapté afin de faciliter des prises de décision.

K #onnées orientées su'et$

e data 2arehouse est organisé autour des su'ets ma'eurs de l?entreprise. es données sont donc

structurés par th0mes (e$ clients, produits, ventes, etc.). >l regroupe les informations des différentsmétiers.

K #onnées intégrées $

es données proviennent de plusieurs sources différentes. &vant d?5tre intégrées au sein du data

2arehouse elles doivent 5tre mise en forme et unifiées afin d?en assurer la cohérence. :ela nécessite

une forte normalisation, de bénéficier d?un référentiel unique et cohérent.

K #onnées historisées $

es données sont datées et persistent dans le temps .:haque nouvelle données est insérée. ;n

référentiel de temps doit 5tre mis en place afin de pouvoir identifier chaque donnée dans le temps.

K #onnées non volatiles $

;n data 2arehouse veut conserver la traHabilité des informations et des décisions prises. ;ne foisinsérées dans l’entrepôt, les données ne sont ni modifiées ni supprimées. -lles sont conservées pour

des analyses futures.

=b'ectifs du data 2arehouse

?important d?une entreprise réside dans les informations qu?elle poss0de. es informations se

présentent généralement sous deu formes $ les syst0mes opérationnels qui enregistrent les données et

le #ata arehouse. -n bref, les syst0mes opérationnels représentent l?emplacement de saisie des

données, et l?entrepôt de données l?emplacement de restitution.

es ob'ectifs fondamentau du #ata arehouse sont $

a) Lendre accessibles les informations de l?entreprise $ le contenu de l?entrepôt doit 5tre

compréhensible et l?utilisateur doit pouvoir y naviguer facilement et avec rapidité. :es eigences n?ont

ni fronti0res, ni limites. #es données compréhensibles sont pertinentes et clairement définies. /ar

données navigables, on n?entend que l?utilisateur identifie immédiatement à l?écran le but de ses

recherches et acc0de au résultat en un clic.

b) Lendre cohérente les informations d?une l?entreprise $ les informations provenant d?une branche de

l?entreprise peuvent 5tre mise en corrélation avec celles d?une autre branche. 9i deu unités de mesure

portent le m5me nom, elles doivent alors signifier la m5me chose. & l?inverse, deu unités ne signifiant

pas la m5me chose doivent 5tre définie différemment. ;ne information cohérente suppose une

information de grande qualité. :ela veut dire que l?information est prise en compte et qu?elle est

compl0te. e #ata arehouse 'oue un rôle de référentiel pour l’entreprise puisqu’ ’il permet de fédérer

des données souvent éparpillées dans différentes bases de données


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#onnées(#onnées brutes)

=utils de gestion de données

>nformation( #onnées mises en contete)

=utils de gestion de l?information

:onnaissance(>nformations assimiées etutisables pour une action)

=utils de gestion desconnaissances

c) :onstituer une source d?information souple et adaptable $ l?entrepôt de données est conHu dans la

perspective de notifications perpétuelle, l?arrivé de question nouvelles ne doit bouleverser ni les

données eistantes ni les technologies. a conception de #ata Aart distincts composant un entrepôt de

données doit 5tre répartie et incrémentielle.

d) Leprésenter un bastion sécurisé qui prot0ge la capitale information $ l?entrepôt de données ne

contrôle pas seulement l?acc0s au données, mais il offre à ses gestionnaires une bonne visibilité desutilisations.

e) :onstituer la base décisionnelle de l?entreprise $ l?entrepôt de données rec0le en son sein les

informations propres à faciliter la prise de décisions. -lle permet le développement d’applications

décisionnelles et de pilotage de l’entreprise et de ses processus.

4.KNOWLEDGE MANAGEMENT

a gestion des connaissances ( en anglais Mno2ledge Aanagement ) est l’ensemble des

initiatives, des méthodes et des techniques permettant de percevoir, d’identifier, d’analyser,

d’organiser, de mémoriser, et de partager des connaissances entre les membres des

organisations, en particulier les savoirs crées par l’entreprise elle%m5me (e $ mar4eting,

recherche et développement) ou acquis de l’etérieur ( e $ intelligence économique) en vue

d’atteindre l’ob'ectif fié.

es acteurs d’une organisation ne doivent pas se limiter à la consommation d’informations

brutes. &pres avoir vérifié les informations (sources, origines), ils doivent veiller au usages

de celles%ci, ce qui signifie interprétation, structuration, capitalisation, et partage des

connaissances.

#ans ce cadre, les syst0mes d’information constituent un élément central pour tout type de

stratégie de gestion des connaissances.

3) Les objec!"s #e $% &es!o' #es co''%!ss%'ces

O(!!se* $e (%*%&e #es co''%!ss%'ces e "%+o*!se* $es ,c-%'&es e'*e $es #!"",*e's

%ce*s/


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Data'art : sous ensemble lo"i$ue dun data2are3ouse. -l est "énéralementexploité en entreprise pour restitués des in'ormations ciblés sur un métier

spéci&$ue

ETL # il sa"it dune tec3nolo"ie in'ormati$ue permettant de1ectuer des

sync3ronisations massives din'ormations dune base de données vers une autre.

C&(e OLA) # représentation abstraite din'ormations multidimensionnelles.Les données sont ran"ées selon un principe de dimensions correspondant

étroitement aux axes de rec3erc3e des utilisateurs

.4+ ORGANISATION DE BI EN SEIN DE L*ENTRE)RISE #

• Dans un contexte centralisé : il existe une straté"ie -, pour tout le "roupe.

Dans ce contexte lactivité - vise % consolider les données prévenantes

directement des di1érentes entités du "roupe. Les entités ne disposentpas de doutils -, elles dépendent complètement de - "roupe

• Dans un contexte décentralisé : dans ce contexte, il existe deux -.

5n - de "roupe, piloté par le "roupe : pilota"e des processus transversaux.

5n - pour les entités opérationnelles, $ui sert les besoins de ces entités.

.6+ ARC+ITECTURE BI #

5ne arc3itecture de - est un ensemble de concepts, outils, mét3odes, et

tec3nolo"ies (lo"icielles et matérielles) $ui, une 'ois mises en relation,permettent de créer de la connaissance et répondre aux besoins straté"i$ues de

l7entreprise. 5ne arc3itecture de - peut 8tre comparée % la structure d7une

maison, c7est l7ensemble des poutres, murs, tuyauterie, etc... -l est important de

comprendre ce concept d7arc3itecture et de savoir le di1érencier des autres

termes tels $uenvironnement, système, lo"iciel, etc.

,- ONCTIONNEMENT O)RATIONNEL #La c3a9ne décisionnelle comprend di1érentes p3ases :

La /%a!e *a0i'e"tatio" : 0ette p3ase va 'aire intervenir des processusETL $ui se c3ar"eront de récupérer toutes les données nécessaires depuisles di1érentes sources de stoc#a"e.

La /%a!e e 'oé0i!atio" : 0ette p3ase est le moment o les donnéessont stoc#ées sous une 'orme adaptée pour les analyses $ue noussou3aitons e1ectuer. Elle contient notamment le data2are3ouse c3ar"é decentraliser les données. Elle 'ait aussi intervenir les notions de cubes et dedatamarts nécessaire pour coller au plus près des attentes métiers.

La /%a!e e re!tit&tio" : 0est dans cette p3ase $ue les di1érents outilsde restitution vont intervenir. ;ous trouverons des outils de reportin", des


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portails daccès % des tableaux de bord, des outils de navi"ation dans descubes, ou des outils de statisti$ues.

La /%a!e *a"a0!e : 0est dans cette p3ase $ue les utilisateurs &nauxinterviennent et analysent les in'ormations $ui leurs sont 'ournies. Ellepeut aussi 'aire intervenir des spécialistes en analyse pour utiliser desoutils de statisti$ue et ressortir des prévisions ou des estimations 'utures(dataminin").

2- LES )ROCESSUS ETLLes processus ETL (Extraction, Trans'ormation et 03ar"ement) sont en c3ar"e de

récupérer les données depuis lensemble des sources opérationnelles existantes

et de les c3ar"er vers le système décisionnel :

Extraction de données des bases de données opérationnelles (E/,


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/uis, avec lapparition de lFLT/ (Fn+Line Transaction /rocessin"), un type

dopération in'ormati$ue o lordinateur répond immédiatement % la re$u8te, les

bases de données relationnelles ont été rapidement reconnues comme un outil

maGeur de stoc#a"e, de classement et de restitution des données.

Dans les années ??A, et % lissu de la tec3nolo"ie des data 2are3ouse, yeu lémer"ence du data minin", il était au départ destiné % aider % la découverte

din'ormations cac3ées (ou passées inaperHues) dans les bases de données.

utre avanta"e par rapport % lFL/, ce $ui di1érencie les deux outils est

surtout la capacité du data minin" % incorporer des tec3ni$ues de compré3ension

intelli"ente des données. 0ontrairement % lFL/ $ui doit 8tre "uidé étape par

étape et $ui est entièrement contrôlé par lutilisateur.

,- Data-Mi"i"g # 0e! rai!o"! & é3e0o//e'e"t

Le développement du data minin" est due % plusieurs raisons initialement :

Lexplosion de données : les outils automati$ues pour la collecte des données

ont 'ait $ue les bases de données ont au"menté en taille, ce $ui a permis %lentreprise de disposer dune $uantité énorme de données mais $ui nétaitpas exploité dune manière optimale.

Développement du data2ere3ouse : vec le développement IData

Jare3ouseI et des solutions de stoc#a"e, la $uantité des in'ormationsdétenues par les entreprises devient de plus en plus importante.

eaucoup d7in'ormations pourtant particulièrement intéressantes peuvent nepas appara9tre % première vue.

Développement des tec3nolo"ies de lin'ormation : les entreprises se

permettent de plus en plus de stoc#er toutes les in'ormations "rBce au 'aiblecoKt de stoc#a"e de données, et aux saisies automati$ues des transactions

mélioration de la productivité Laccroissement de la concurrence,

lindividualisation des consommateurs et la brièveté du cycle de vie desproduits obli"ent les entreprises % non simplement réa"ir au marc3é mais %lanticiper.

/rise des décisions straté"i$ues ecaces : esoin accru davoir une vision"lobale et synt3éti$ue pour prendre des décisions straté"i$ues ecaces entemps réel aussi il 'aut exploiter le vécu (données 3istori$ues) pour prédire le'utur et anticiper le marc3é.

Dans cette opti$ue, lutilisation de loutil data minin" o1re plusieurs

avanta"es aux entreprises, et surtout 'aire 'ace % la multiplication de bases de

données très importantes, souvent inutilisables par man$ue de temps ou de

moyens.


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2- CE U*EST LE DATA MINING

Le Data Mining est en 'ait un terme "énéri$ue en"lobant toute une 'amille

d7outils 'acilitant l7exploration et l7analyse des données contenues au sein d7une

base décisionnelle de type Data Jare3ouse ou Data!art.

Les tec3ni$ues mises en action lors de l7utilisation de cet instrument

d7analyse et de prospection sont particulièrement ecaces pour extraire des

in'ormations intéressantes (non triviales, implicites, préalablement inconnues et

potentiellement utiles) % partir de "randes bases de données.

Loutil de prospection Data !inin" est % m8me de trouver des structures

ori"inales et des corrélations in'ormelles entre les données.

-l permet de mieux comprendre les liens entre des p3énomènes en apparence

distincts et d7anticiper des tendances encore peu discernables.

4- COMMENT ON L5UTILISE 6

contrario des mét3odes classi$ues d7analyses statisti$ues, 0et

instrument d7analyse est particulièrement adapté au traitement de "rands

volumes de données. vec l7au"mentation de la capacité de stoc#a"e des

supports in'ormati$ues, un maximum de rensei"nements sera capté, ordonnés et

ran"és au sein du Data Jare3ouse.

utres appellations: E0D (Extraction de 0onnaissances % partir de

Données)MNDD (Nno2led"e Discovery 'rom Databases), 'ouille de données,exploration des données

7- T 8)ES DES DATA MINING #

A-C0a!!i9:atio" !e0o" 0e! t/e! e (a!e! eo""ée! e;/0oitée!#

% elationnelle% Transactionnelle

% Frienté+obGet

% FbGect+relationnelle

% ctive

%


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% Oétéro"ènes

% JJJ

B-C0a!!i9:atio" !e0o" 0e! :o""ai!!a":e!re:%er:%ée! #

% ssociation

% 0lassi&cation

% 0lusterin"

% Tendance

% nalyse de déviation.

!ultiples 'onctions aux di1érents niveaux

C-C0a!!i9:atio" /ar o'ai"e *a//0i:atio" #Le Data minin" a auGourd3ui une "rande importance économi$ue du 'ait

$uil permet doptimiser la "estion des ressources (3umaines et matérielles). -l

est utilisé par exemple :

% Fr"anisme de crédit : "estion et analyse des ris$ue par exemple pourdécider daccorder ou non un crédit en 'onction du pro&l du demandeurde crédit, de sa demande, et des expériences passées de pr8ts

% Fptimisation du nombre de places dans les avions, 3ôtels, ... P surréservation

% Fr"anisation des rayonna"es dans les supermarc3és en re"roupant lesproduits $ui sont "énéralement ac3etés ensemble (pour $ue les clientsnoublient pas b8tement dac3eter un produit parce $uil est situé %lautre bout du ma"asin). /ar exemple, on extraira une rè"le du "enre :les clients $ui ac3ètent le produit Q en &n de semaine, pendant lété,ac3ètent "énéralement é"alement le produit R

% !édecine et p3armacie : S Dia"nostic : découvrir daprès les symptômesdu patient sa maladie pour c3oisir le médicament le plus approprié pour"uérir une maladie donné

% 0ommerce électroni$ue, recommandation de produits

% nalyser les prati$ues et straté"ies commerciales et leurs impacts surles ventes


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% !oteur de rec3erc3e sur internet : Jeb minin": par exemple : Les lo"sdes accès Jeb sont analysés pour découvrir les pré'érences desutilisateurs pour adapter linter'ace % lutilisateurMservice.

% Extraction din'ormation depuis des textes : souvent dési"née sousl7an"licisme text minin". 07est un ensemble de traitementsin'ormati$ues consistant % extraire des connaissances selon un critèrede nouveauté ou de similarité, dans des textes produits par des 3umainspour des 3umains. Dans la prati$ue, cela revient % mettreen al"orit3mes un modèle simpli&é des t3éories lin"uisti$ues dans dessystèmes in'ormati$ues d7apprentissa"e et de statisti$ues

% Evolution dans le temps de données : 'ouille de sé$uences.

% Détection de 'raudes : 5tiliser les données 3istori$ues pour construiredes modèles de comportements 'rauduleux puis utiliser les tec3ni$uesde dataminin" pour retrouver des instances similaires

Exemple de la ban$ue : ous 8tes ous 8tes % létran"er et $uel$uun a volé

votre carte de crédit ou votre mobile.

la compa"nie bancaire va utiliser les données 3istori$ues pour construire

un modèle de comportement 'rauduleux et utiliser le data minin" pouridenti&er des instances similaires.

D-C0a!!i9:atio" !e0o" 0e! te:%"i


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informations échangées, ainsi tout en améliorant la sécurisation des transactions elles permettent de

réduire considérablement les coFts de traitement. :eci devient maintenant indispensable selon la

politique de 6 gestion en 'uste à temps 7 qui augmente le nombre de transactions à traiter dans un

temps de plus en plus court.

-n bref, l’-#> est un échange direct standardisé, d?ordinateur à ordinateur, de documents d?affaires

(ordres d?achats, mandats, paiements, analyses de stoc4, etc.) entre un émetteur, des fournisseurs et desclients ou partenaires.

raitement d’informations sans -#>

raitement d’informations avec -#>

+. =b'ectifs de l’-#>

’idée de base derri0re la conception de l’-#> était l’optique 6 Déro papier 7, qui implique une

réduction notable des coFts (impression, courriers, fa, mise sous pli permet de maimiser l’efficience, de

minimiser l’erreur, et donc permet de garantir une meilleure fiabilisation des données.

/ar ailleurs, l’automatisation des processus a permit de réduire considérablement l’intervention

humaine à ce niveau, une avancée qui a assuré une productivité plus importante.

-nfin, l’-#> reste un outil essentiel vers un meilleur suivi des échanges (commande, bon de livraison,

facturenter change a pour rôle de satisfaire au mieu l’organisation de l’entreprise et permet l’échange des données de mani0re plus pratique et sécurisée tout en préservant les données.

Bine entendu, c’est donc évidemment la raison pour laquelle on peut la caractériser d’indispensable

pour ce qui est de la bonne marche de nombreuses organisation dans de différents secteurs

’-#> est utilisé dans de nombreu cas $

O ’-#> s’av0re 5tre indispensable sur le niveau universitaire surtout pour ce qui est de l’envoie des

différents documents au étudiants (-mplois, relevé de notes,..),

O/our ce qui est des fabricants, l’échange des données informatisées 'oue son rôle au niveau de la

transmission des dessins techniques complees,

Oes particuliers et les consommateurs utilisent de m5me un syst0me -#> ors de l’utilisation de la

carte de crédit ou encore lors de leur transactions avec leurs banques.

O les gouvernements commencent à y faire appel pour les déclarations d?impôt qui sont transmises par

voie électronique.

’-#> concerne de nombreu secteurs d’activité $

>l est tout de m5me nécessaire de dire que l’-#> est fortement répandu et fait partie désormais de

nombreu domaines citons $

es échanges commerciau $ entre les clients et les distributeurs.

9ecteur des transports $ le suivi du transport ainsi que la logistique.

a sous%traitance $ &fin que l’entreprise puisse échanger les données avec son sous%traitant

la banque et la finance $ entre les banques, entre les banques et la banque centrale,

a santé $ produits pharmaceutiques


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#’autres domaines $ l?automobile, la distribution des aliments, la banque et la finance, le bNtiment, la

'ustice, la grande distribution, le secteur social, le tourisme..

>>>. es bénéfices et les freins liés à l’utilisation

Bénéfices

’-#> a pour mission d’échanger de multiples données structurées à partir d’un ordinateur vers un

autre via des messages précédemment préétablis et normalisés, cela ce fait à travers un mode de

communication électronique, entre partenaires indépendants.

’-#> est considéré comme étant un avantage concurrentiel pour l’entreprise, c’est un atout permettant

une meilleure organisation. :e dernier facilite le travail vu qu’il remplace toute opération manuelle

(commandes, factures, avis d’epéditions, etc..). :ela dit, grNce à l’-#>, l’entreprise peut échanger demultiples informations structurées sans pour autant que l’ob'et soit des documents sous une forme

papier. :e type d’informations est ainsi nommé 6 message 7, ce type d’échange rend la tache moins

compliqué et forcément plus pratique.

-emple $ une facture électronique échangée en -#> entre directement dans l?outil de gestion, elle est

donc 6 intégrée 7, alors qu’une facture papier fera l?ob'et d?une saisie dans le syst0me de gestion.

’-#> a de nombreu avantages $

O &ccélération du cycle de la transaction commerciale et des r0glements

O Léduction des coFts administratifsO 3idélisation du partenaire commercial

O Léduction de la distance entre distributeur et client

O ’-#> permet à l’entreprise d’élargir le choi et l’offre de ses produits

O Aeilleure correspondance entre flu physiques et flu d?informations

O /restations logistique et transport

O &méliorer la gestion des stoc4s et la gestion de trésorerie

O :ommodité de l’acc0s à l’information

O &méliorer la structuration des archives

O 3iabilité et véracité des statistiques

O Aeilleur gestion temporel et spatial

#’autres avantages /rovenant de l’utilisation de la norme -#>3&:G=E; $

O >nterfaHage unique avec tous les correspondants (partenaires commerciau, banques,

transporteurs, . .)

O >nterfaHage automatique avec les applications de l?entreprise.

O 9aisie unique pour tout le cycle de la transaction

O >ndépendance vis%à%vis des réseau de télécommunications

O 3acilité de communication avec les partenaires m5me à l?étranger (Aise en Puvre plus rapide

grNce au standard international)

3reins liés à l’utilisation

-n premier lieu, d’importantes connaissances techniques et informatiques sont eigées pour l’installation d’un logiciel -#>. -nsuite, vient intervenir l’inconvénient relatif au dépenses


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nécessaires à la formation du personnel aptes à la manipulation d’un tel logiciel. e syst0me -#>

nécessité une supervision à plein temps. #’autres parts, cette méthode est utilisée davantage lorsqu’il

s’agit d’une opération avec un nombre de commandes élevés

e coFt reste asseD élevé pour les /A- $ es /A- n’ont pas forcément un trafic de données

informatisées suffisant pour 'ustifier des dépenses en -#>. :ependant, avec >nternet, on peut espérer

une simplification de l’-#>. outefois, si >nternet constitue une interface informatique intéressante pour les donneurs d’ordres, les petites entreprises seront en fait souvent amenées à réaliser la saisie des

données informatiques manuellement, directement sur le site du client. &insi, seules les grosses

structures éviteront des temps de saisie superflus.

;.WOR


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>l renforce le volume de sécurité et de confidentialité car le =LM3= supervise et contrôle les

droits et fonctions de chacun.

;n outil de rationalisation, notamment à travers la redéfinition des processus de gestion de

l?entreprise afin de supprimer les redondances, standardiser les méthodes de travail, s?adapter

rapidement au évolutions.

:e qui permet au manager de mieu contrôler la bonne marche, la performance et déterminer les

points de blocage.

!% es apports du 2or4flo2

es apports du 2or4flo2 sont tr0s nombreu. es plus importants sont les suivants $

Sain de place $ grNce à la diminution des archives papier.

Sain de temps et de réactivité $ recherche instantanée des documents.

Sain de qualité $ pas de doublons, les documents sont à 'our ...

Sain de mobilité $ on acc0de au documents depuis n?importe quel poste.

Sain de sécurité et de confidentialité $ droits d?acc0s des utilisateurs définis en fonction du type de

document.

&utomation $ a répétition continue de ces procédés, bien qu?ils soient simples (penseD par eemple

à la saisie de données) peut prendre un temps incroyable. -n outre, une telle répétition est impossible

lorsque vous vous retrouveD à employer des talents créatifs et variés dans votre équipe. &vec un outil

de gestion de 2or4flo2 professionnel, ces processus peuvent 5tre automatisés et complétés enquelques secondes seulement.

:ollaboration $ a collaboration avec des parties eternes peut entraver ou retarder le processus de

production et la mise sur le marché de vos pro'ets sous forme de fichiers qui doivent constamment 5tre

remplacés et approuvés par les différents actionnaires. &vec un outil de or4flo2 Aanagement,

cependant, ces étapes peuvent 5tre intégrées dans un processus standard, effectuées simultanément, et

gérées dans un outil centralisé.

:ommunication $ &fin de s?assurer que toutes les instructions et commentaires soient vus et revus,

des notes et annotations peuvent 5tre nécessaires. ;n bon logiciel de or4flo2 Aanagement vous

fournira ces outils, et vous pouveD 5tre sFr que tous les participants seront à 'our sur tous les

développements.

#istribution $ -nvoyer de grands fichiers numériques à des coll0gues est à la fois long et stressant,

peu importe la méthode. a plupart des boTtes de réception de courriel refusent de recevoir des pi0ces

'ointes de + Ao ou plus, ce qui est un montant forfaitaire si vous envoyeD des images de fichiers

numériques bruts (une nécessité quotidienne pour tous les gestionnaires de marque ou mar4eteurs). ;n

outil de gestion de 2or4flo2 vous permet de partager des fichiers volumineu directement avec les

autres, sans avoir recours à des méthodes pénibles et précaires, comme l?e%mail ou le 3/.

#uplication $ >l est commun de retravailler un fichier à plusieurs reprises afin d?économiser sur les ressourcesU en réalité, cela m0ne au chaos pour savoir quelle est la derni0re version. -n


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conséquence, les anciennes versions se font utiliser, et les nouvelles versions se perdent dans la masse.

’efficacité de la gestion des 2or4flo2s est garantie % grNce à une gestion de version intelligente,

personne ne travaille avec une version obsol0te.

"ue d’ensemble $ orsqu?on travaille sur différents pro'ets à la fois, il peut 5tre difficile de

garder une trace de ce qui se passe et oV cela se passe. &vec un outil de gestion de 2or4flo2,l?information est pertinente et est clairement affichée sur le tableau de bord, si toutes les tNches et les

statuts du pro'et sont clairement visibles

Lationalisation$ suppression des redondances, standardisation des méthodes de travail,

adaptation rapide au évolutions

9écurisation $ réduire les risques d’erreurs humaines, améliorer la traHabilité et la transparence de

l’information

>nformation en temps réel $ visibilité immédiate des tNches effectuées, en cours, à faire ou enretard, anticipation des blocages et dysfonctionnement

>.SUPPL? CHAIN MANAGEMENT

&. #éfinition ogistique

e terme de logistique appartient au monde militaire et désigne ainsi la gestion au mieu du

ravitaillement, du logement et du transport des troupes. /ar la suite le terme à été étendu au monde de

l?entreprise pour désigner la gestion des flu mati0res et matériel, en entrée comme en sortie, des

stoc4s et du transport des produits.

B. #éfinition 9upply :hain

9upply chain est le terme anglo%saon utilisé pour désigner la chaTne d?approvisionnement. :e

terme correspond peu ou prou à celui de logistique vu ci%dessus .#ans la pratique, lorsque l?on choisit

d?utiliser le terme de supply%chain en lieu et place du vocable traditionnel en 3rance de logistique, c?est

bien souvent dans l?esprit du 9upply :hain Aanagement, une notion bien plus complee.

:. #éfinition 9upply :hain Aanagement

e 9upply :hain Aanagement ne désigne pas uniquement une famille de produits logiciels

d?entreprise destinés à faciliter la gestion de ladite chaTne, connus sous le sigle 9:A , il eiste quatre

conceptions différentes du 9upply :hain Aanagement .

/our les 6 raditionnalist 7, le 9:A est une fonction ou un sous%ensemble de la logistique,

plus particuli0rement en lien avec les partenaires de l’entreprise (fournisseurs et clients).

/our les 6 Le%labeling 7, le 9:A n’est rien d’autre que la logistique. >l y a simplement un

changement de nom dans une démarche tr0s mar4eting de la fonction. :ertains s’inscrivent également

dans ce groupe mais en considérant, qu’actuellement, les pratiques 9upply :hain des entreprises ne

sont rien d’autres que de la logistique. :’est, dans ce cas, une adhésion plus par défaut que par

conviction.

/our les 6 >ntersectionnist 7, le 9:A fait le lien entre les fonctions achats, logistique,

mar4eting< et apparaTt, dans les entreprises, sous la forme d’une équipe qui conseille plus qu’elle

n’agit directement sur les flu (vision tr0s fonctionnelle).


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/our les 6 ;nionist 7 , la logistique est une fonction du 9:A au m5me titre que les achats, la

gestion industrielle ou le mar4eting. >l doit eister un département 9upply :hain qui g0re aussi bien

sur le plan opérationnel que stratégique le pilotage des flu de l’entreprise.

a plupart des réfleions les ;niversitaires et :hercheurs adhérent totalement à la perspective 6;nionist 7 qui consid0re donc la logistique comme un sous%ensemble de la 9upply :hain. :e

rattachement théorique nous conduit donc à adopter la définition suivante $

e 9:A comprend la prévision et le management de toutes les activités relevant de la recherche de

fournisseurs, de l?approvisionnement, de la transformation et toutes les activités du management

logistique.

#e faHon essentielle, il inclut la coordination et la coopération avec les partenaires de la chaTne qui

peuvent 5tre les fournisseurs, les intermédiaires, les prestataires de services et les clients. /ar essence,

le 9:A int0gre le management de l?offre et la demande dans et entre les entreprises.

:omme il faut différencier entre le 9:A et le Aanagement ogistique qui est qu’une composante

du management de la 9upply :hain qui prévoit, met en place et maTtrise de faHon efficiente et efficace

les flu aller et retour de marchandises, leur entreposage et des services grNce à des informations

associées, de mani0re à satisfaire les eigences du client.

>l s?agit là alors de planification et d?eécution logistique. Eous sommes au'ourd?hui convaincus

que parmi nos adhérents, différentes cultures d?entreprises et positionnements de la 9upply :hain

eistent mais aussi évoluent.

+) es facteurs d’efficience et d’efficacité du 9upply :hain Aanagement

e supply chain management qui se résume la gestion des flu physiques et d’information du

client du client au fournisseur du fournisseur, afin d’offrir une réponse la plus satisfaisante possible

au besoins des clients. es raisons d’émergence, d’efficience et d’efficacité de la gestion de la chaTne

logistique se subdivisent à des facteurs internes e d’autres qui sont eternes.

a) es facteurs internes d’efficience et d’efficacité du 9:A$

a. a baisse des coFts de transaction avec l’amélioration des infrastructures de transport donnant

l’acc0s à des Dones économiques 6 à pri bas 7 (pays de l’-st, :hine, l’émergence des nouvelles

technologies de communication,

b. e recentrage sur de l’activité sur un maillon de la chaTne de la valeur oV elle permet de

développer une compétence distinctive et un avantage concurrentiel,

c. a diminution des coFts de gestion de stoc4s par la diminution dans toute la chaTne logistique,

d. a création de valeur partenariale avec un réseau performant de fournisseurs et de sous%

traitants,

b) es facteurs eternes d’efficience et d’efficacité du 9:A$

a. ’amélioration de la qualité globale des produits qui s’est accrue en utilisant des méthodes de

la qualité totale etc..


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b. a coopération 6 éthique 7 entre les acteurs, la morale des affaires, l’éthique est indispensable

au bon fonctionnement de la supply chain et de l’entreprise en réseau. ’entreprise étendue ne peut

eister qu’à partir d’un certain niveau de confiance indispensable.

c. e rôle fondamental des syst0mes d’information et des technologies de l’information et de la

communication (>:), les réseau et la communication, le développement de standards decommunication, d’une nouvelle forme d’infrastructure (eb, -#>,, et d’aller vers une relation B to : voire : to :. :’est une nouvelle

vague d’innovation technologique qui vient apr0s celle de la puissance de calcul et de la micro%

informatique des années W*.

!) a structure du 9:A$

a structure du 9:A comprend la combinaison de trois éléments inter%reliés $

K a structure relationnelle de la supply chain (supply chain net2or4 structure) qui permetd?identifier les membres (fournisseurs, clients, prestataires), les différents niveau (rangs) et la

stratégie de gestion et d?intégration U

K es processus managériau de la supply chain (supply chain business processes) constitués par

des milliers d?activités et qui requi0rent une intégration. /ar eemple $ la gestion de la relation

client0le, la gestion de la production<

K es composantes de management de la supply chain (supply chain management components)

qui regroupent les composantes physiques et techniques, qui g0rent et suivent les flu de produits et

d?informations associés et les composantes managériales et comportementales, qui portent sur les

facteurs intangibles tels que le pouvoir ou le leadership.

J) es outils du 9:A$

>l s’agit d’un processus oV chaque étape est gérée par ses propres outils.

a. a premi0re étape étant la planification peut 5tre gérée par AL/, X>, #L/.

AL/ $ (Aaterial Lequirements /lanning) est une méthode de gestion et de planification de production

en flu poussé basé sur les nomenclatures de produits et les prévisions des ventes.

e principe du AL/ consiste à déterminer de mani0re automatisée, pour chaque produit fini, à partir

du besoin brut, le besoin net en tenant compte des ordres prévisionnels et des ordres lancés ou fermes.

X> $ e 'uste à temps est une méthode d’approvisionnement qui consiste à se faire livrer les mati0res

ou produits au moment eact du besoin pour une utilisation directe. 9on but principal repose

essentiellement sur la volonté de $

o Léduire les coFts logistiques d’approvisionnement, de production et de distribution,

o -viter toute forme de gaspillage,

o Léduire les stoc4s de mati0res et les stoc4s de produits finis ,

o Léduire les stoc4s de production.

#L/ $ (/lanification des ressources de distribution) Aéthode de calcul des quantités à approvisionner

par référence de mani0re à éviter les ruptures tout en limitant les niveau de stoc4s. :ette méthode

permet de dimensionner les ressources logistiques et financi0res nécessaires. b. a deui0me étape état la fabrication repose aussi sur certains outils$


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M&EB&E $ :ette méthode, déployée à la fin des années I* dans les usines oyota, est mise en

place entre deu postes de travail et limite la production du post amont au besoins eacts du poste

aval. :ette méthode est surtout adaptée au entreprises ayant une production répétitive et relativement

réguli0re.

=/ $ a méthode =/ est une démarche de progr0s permanente. :ette méthode est applicable à tous

les processus de production caractérisés par des goulets d’étranglement (tNches critiques pour

lesquelles un retard nYest pas rattrapable $ un retard sur cette tNche retarde d’autant la fin d’un pro'et).

:ette méthode répond à trois ob'ectifs $

maimiser les ventes,

réduire les stoc4sU

réduire les coFts.

:L/ $ /rogramme d’approvisionnement continu (:ontinuous replenishment program % :L/) $

/rogramme qui déclenche la fabrication et le mouvement d’un produit dans la chaTne logistiqued’approvisionnement d0s qu’un produit identique est acheté par le consommateur final.

c. a roisi0me étape étant le stoc4age.

d. a quatri0me étape et la derni0re est le transport.

Eiveau stratégique $ concerne les décisions de planification à long terme qui impliquent une prise de

risque élevée de la part de l’entreprise $

%ocalisations, missions et relations des usines et entrepôts $

%/ositionnement des nouvelles usines et fermetures de sites,

%niveau de capacité des usines et entrepôts,

% acquisitions de biens technologiques et d Yéquipements% conception d’usines et d’entrepôts,


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%décision d0s la répartitions entre 6 faire et faire faire 7

% réseau de transports et prestataires de transport,

Eiveau tactique $ s’intéresse au décisions à moyen terme qui devront 5tre mises en application pour

développer la stratégie décidée par l’entreprise. -lles tiennent compte des délais liés au cycle completde production (englobant le délai d’approvisionnement de fabrication et de mise sur le marché).

O &ffectation des capacités de production au familles de produits par usine, par périodes

temporelles de taille moyenne $ trimestrielle,

O au d’utilisation des capacités planifiées par site et au niveau du réseau,

O Besoins en ressources (niveau nominal et d’heures supplémentaires),

O &llocations des sources d’approvisionnement au sites,

O Sestion des transferts intersites,

O Aodes de transferts et choi des transporteurs.

es &/9 $ (&dvanced /lanning 9ystems ) qui sont des progiciels de planification et d’optimisation qui

se basent sur une prévision consolidée des ventes.

Eiveau opérationnel $ les décisions prises à ce niveau auront une portée limitée dans l’espace et dans

le temps (court terme). -lles se situent au niveau d’un site voire d’un atelier $ suivi et contrôle de la

production, des commandes<

=rdonnancement quotidien et hebdomadaire et gestion des priorités,

Sestion des stoc4s à court terme,

Sestion et ordonnancement des commandes clients,

=rdonnancement et gestion des entrepôts,

=rdonnancement des tournées de véhicules.

es -L/ $ sont des progiciels de gestion intégrée. >ls sont découpés en modules correspondants à des

ensembles cohérents de fonctionnalités $ module de gestion de la production, de l’approvisionnement

et des stoc4s G module comptable, achats et force de vente G module de comptabilité générale, de

comptabilité analytique...

es 9:- $ (9upply :hain -ecution ) qui correspond à des progiciels d’optimisation de la logistique

de distribution.

es A9- $ (Aanufacturing -ecution 9ystems ) qui sont des solutions pour le contrôle et

l’optimisation de l’eécution et de la production.

@.LA SOA :

?architecture orientée services est une forme d?architecture de médiation qui est un mod0le

d?interaction applicative qui met en Puvre des services (composants logiciels)

K avec une forte cohérence interne (par l?utilisation d?un format d?échange pivot, le plus souvent

CA) U

K #es couplages eternes 6 lNches 7(par l’utilisation d’une couche d’interface interopérable, le plus

souvent un service 2eb).


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’architecture orientée services répond au problématiques informatiques des entreprises en termes

de $

K 3leibilité

KLéutilisabilité

K >nteropérabilité

KLéduction du couplage entre les applications

&u niveau organisationnel

&u niveau echnique

O3leibilité technologique

O:ontrer la compleité

O3leibilité économique

O/ossibilité d’a'out de nouveau services

Oa réutilisabilité des ressources

Oa simplification des probl0mes de maintenances

Léduction des couts

:outs de propriété

es ressources réutilisables

SSI

La sécurité des systèmes d’information (SSI) :

-l sa"it de lensemble des moyens tec3ni$ues, or"anisationnels, Guridi$ues et3umains nécessaires et mis en place pour conserver, rétablir, et "arantir la

sécurité du système d7in'ormation. ssurer la sécurité du système

d7in'ormation est une activité du mana"ement du système d7in'ormation.

Que protéger ?Le système d’information comprend :Le ou les serveurs réseau et des postes de travail informatique (fixes et nomades) ;

Les applications (systèmes d’exploitation, suites bureautiques, logiciels métiers ) ;

Les infrastructures de communication et de télécommunication (réseaux locaux,

liaisons inter!sites, réseau télép"onique, accès #nternet, liaison radio )$Les informations sensibles détenues par l’entreprise


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LES PRINCIPES ET LES SERVICES E L! SEC"RITE ESS#STE$ES ’IN%&R$!TI&N

%! is'oniiité (!*aiaiity) : La disponibilité est le fait degarantir que la donnée est accessible

&! Inté+rité (Inte+rity) : L’intégrité garantit que l’information nesubit aucune modification de son fond ou sa forme lors de satransmission, de son traitement ou de son stoc'age

! Confidentiaité (Confidentiaity) : La confidentialité estle fait que l’information soit lue et consultée uniquement par ceuxqui en ont le droit et l’accès$

! Non ré'udiation : La non répudiation permet d’assurerdeux ou plusieurs membres d’un éc"ange ou d’unecommunication que l’un comme l’autre ont bien envoyé et re*ul’information dans son intégralité$

,- Tra.aiité : La tra*abilité d’une information représente le faitde savoir d’o+ elle vient, par o+ elle est passée et o+ elle a terminé sa route, et que ceséléments considérés sont tracés et que ces traces sont conservées et exploitables$

/- L’identification0!ut1entification : La sécurité del’information et de son accès doit également passer par l’identification de ceux qui yaccèdent et également leur aut"entification

Documents

Systéme D_information Éxpo