PORTFOLIOLOÏC TATINCLAUX

PORTFOLIO 2014-2015TATINCLAUX Loïc, architecte D.E

SOMMAIRE

Présentation ........................................................................................................................ 6

Projets

HÔTEL Piazzale Cimitero Monumentale, Milan ..................................................... 10

MONUMENT & DOMESTIQUE 7 via Carlo Goldoni, Milan .................................. 20

APPARTEMENT EXPERIMENTAL Highline, New-York ............................................ 30

MUSIC CENTER Brooklyn - Redhook ..................................................................... 40

HABITAT GROUPÉ FUBLAINE, Seine et Marne ..................................................... 48 Croquis

Architecture & Paysages ......................................................................................... 56

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LOÏC TATINCLAUX Architecte D.E.

79 rue du Docteur Vaillant 93160 Noisy-le-GrandÀ proximité de Noisy-Champs, RER A (30 minutes de Paris) 06 46 42 56 71loic.tatinclaux@outlook.fr site internet : www.loictatinclaux.com

Octobre 2011 - Mai 2012 Stage long, 8 mois ODILE SEYLER & JACQUES LUCAN, architectes, 75002 Paris Rue de La Folie-Méricourt, 2011, Paris 11e (75) 13 logements sociaux et 1 équipement

• adaptation du plan de la crèche du rez-de-chaussée • préparation d’un dossier de synthèse - réunion en mairie du 11e arr

Rue des Laitières/Rue Massue, 2010, Vincennes (94) 28 logements sociaux et 1 local d’activité

• plans de vente - cartouche, cotation, calcul de la surface habitable • modification des plans EXE

Rue de Nantes, concours, 2012, Paris 19e (75) 20 logements sociaux

• photographies de points de vue d’insertion pour la planche de rendu • réalisation de la maquette de concours, échelle 1/500e

Juillet - Septembre 2010 Stage première pratique, 2 mois MARC FARCY, architecture, 75017 Paris

Février 2009Stage ouvrier, 1 moisCRETE LAURENT, entreprise de ravalement et de peinture, 75012 Paris

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Septembre 2013 - Juillet 2014 Obtention du DEA - ENSAVT Marne-la-Vallée, Cycle 2 - Master 2 PFE encadré par Jacques Lucan, assisté par Thibaut Barrault Septembre 2012 - Juillet 2013 E a ne la all e cle aste fili e o ie et o et Professeurs Eric Lapierre, Odile Seyler, Jacques Lucan Septembre 2008 - Juillet 2011 Obtention de la Licence - ENSAVT Marne-la-Vallée, Cycle 1 Professeurs Isabelle Biro, Luc Baboulet, David Lafon

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Langues Anglais - courant Espagnol - scolaire

Logiciels AutoCAD VectorWorks Sketchup Rhino (rendu Toucan)

Photoshop Indesign Illustrator

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Voir la liste des réalisations : www.loictatinclaux.com www.seylerlucan.com

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S Mobilité Titulaire du permis B

Centres d’intérêt Dessin de bande dessinée, peinture, écriture de nouvelles et de poésies Musique électronique, contemporaine Voyages - Canada, Etats-Unis, Angleterre, Sri Lanka, Vietnam, Portugal, AlgérieIN

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HÔTEL Piazzale Cimitero Monumentale, Milan2 tours d’Hôtel / 1 tour de bureau + commerces

Projet de fin d’étude, 5e année

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Trois tours et leur périmètre bâti

La zone du Cimitero Monumentale, située à prox-imité de la Stazione di Milano Porta Garibaldi, ainsi que de Porta Nova, un nouveau quartier de bureaux, présente un tissu morcelé par les infrastructures. Voies express et réseaux ferrés, génèrent des vides urbains conséquents donnant à ce morceau de ville des airs de suburbia. Dans un tel contexte, com-ment envisager de nouvelles centralitées créées de toute pièce à partir d’un programme ?

Le vide des infrastructures ceinture des superblocks, c’est-à-dire des «îles dans la ville» où la nature des bâtiments tend à être celle d’entités autonomes - hôtels de bord de route, grandes usines cernées par des murs, de futurs centres-commerciaux. Ce contexte chaotique en quête d’identité, se présente comme un laboratoire adéquat pour poser la ques-tion de la limite et de sa matérialisation en archi-tecture, ainsi que d’évaluer la pertinence de cer-taines formes urbaines - galerie, piazza intégrées à la masse du bâtiment.

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MONUMENT & DOMESTIQUE 7 via Carlo Goldoni, Milanplan d’ensemble + typologie

Avec Chuan Guo, Daniele Pasquetto

MONUMENT & DOMESTIQUE 7 via Carlo Goldoni, Milanplan d’ensemble + typologie

Avec Chuan Guo, Daniele Pasquetto

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Une tour cadrée par deux barres

L'immeuble en L, joue le rôle de limite pour notre ilôt, il possède un grand linéaire et se retourne au niveau de la place. 3 typologies différentes y sont développées : Une typologie traversante, double orientation avec vue sur le jardin et vue sur la rueUne typologie éclairée sur 3 côtés, située aux ex-trémités du L, dont le plan est une variante de la typologie traversanteUne typologie d'angle, ouverte sur 2 faces qui se retourne au niveau de la place publiquePour la tour, on trouve deux typologies : Une typologie d’angle pour 2 appartements com-portant une pièce salon/cuisine largement ouverte sur le coeur d’ilôt

ne t polo ie o ient e no d i p ofite d lin ai e de la terrasse pour déployer l’ensemble de ses pièces de vie.Chaque appartement possède au moins deux ori-entations di entes et n ficie d n alcon filant reliant partie jour et partie nuit, d’une largeur généreuse qui en fait un véritable espace extérieur habité.Les chambres s'ouvrent sur ce balcon extérieur par des baies vitrées toute hauteur qui laissent entrer profondément la lumière.Les persiennes coulissantes permettent de se pro-téger et de contrôler la lumière en été, et assurent l'intimité des chambres.

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Plan de l’étage courant au 500è

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Typologie angle au 100è

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Typologie traversante au 100è

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Typologie diagonale (tour) au 100è

APPARTEMENT EXPERIMENTAL Highline, New-Yorkplan d’ensemble + typologie

Projet individuel, 4e année

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Experiencing architecture

« Les choses sont de telle façon dans cette maison qu’y vivre est amusant. C’est amusant d’ouvrir une porte, amusant de la fermer, amusant de passer d’une pièce à l’autre. Ce qui est merveilleux, c’est que cela reste aussi amusant au bout de deux ans que le premier jour. Et pas seulement amusant mais récon-fortant, tonique. L’usage de l’escalier est par-dessus tout extraordinaire : je vous assure que je le monte et descend chaque jour au moins vingt fois et plus qu’il ne serait nécessaire et rien que pour le plaisir. Le plaisir de cet escalier est absolument inépuisa-ble.Tout cela ne se révèle pas au premier contact, c’est un peu secret. Au premier abord on ne voit rien de particulier dans ces locaux, ils paraissent plutôt sommaires ; à l’usage, à la longue on s’émerveille. C’est la première fois que je fais rencontre de l’ar-chitecture ; cette maison m’a révélé ce que c’était, et tout à la fois les problèmes enchevêtrés qu’elle résout – qu’elle résout rarement je crois : rarement en tout cas sûrement comme ils sont ici résolus, a ec ce sa oi si s a ec cette a to it cette e fi-cacité. Je comprends maintenant combien ce doit être passionnant de combiner des maisons comme celles-ci. Je comprends que les architectures de ces pièces, les arrangements et proportions des murs, des portes, des cloisons, sont un langage qui parle constamment aux oreilles de l’usager de la maison ; j’entends depuis deux ans ces locaux parler votre langage, et je l’aime de plus en plus et j’ai voulu vous le dire. » Le 2 août 1946, lettre de Jean Dubuffet à Auguste Perret.

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MUSIC CENTER Brooklyn - Redhookgrande salle 200 places + petite salle Avec Thibaud Szadel, Alexandre Leze

MUSIC CENTER Brooklyn - Redhookgrande salle 200 places + petite salle Avec Thibaud Szadel, Alexandre Leze

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Étui banal pour objet sophistiqué

Contrairement aux villes européennes, New York ne possède pas réellement de places ou d’espaces majeurs. Ces derniers sont littéralement ingérés par les difices espace p lic est d iolent d it à son minimum syndical. Il recèle un potentiel de sensations résultant de l’expression brutale, simple et directe de la réalité.Le volume du bâtiment sature le sol sur lequel il est posé. Son plan procède d’une non-articulation des espaces. Le rapport entre les pièces est brut, la contiguïté d’une pièce à une autre pièce. Le programme est ainsi envisagé comme une somme d indi id alit s sp cifi es d impo tance i a-lente agglomérées dans un tout. a ande salle a to ise de m ltiples confi -urations, en association possible avec une pièce supplémentaire. Les plis de mahogany rouge ainsi que les portes en accordéon, de trois échelles dif-férentes, génèrent un motif tout en gérant l’acous-tique de la salle. Des rideaux de feutre, suspendus au gré des besoins le long des coursives, permettent d’adapter l’espace à la musique acoustique ou am-plifi e es espaces de p tition pe ent s o i directement sur la salle. Les gradins, modulables et montés sur roulettes, sont facilement manipulables par deux ou trois personnes.

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COUPE

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PLAN RDC

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CONFIGURATIONS

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HABITAT GROUPÉ FUBLAINE, Seine et Marneensification d illa e

Projet individuel, 2e année

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Habitat groupé

Le projet tente d’établir un dialogue avec la prairie et la frange d’arbres située en fond de parcelle. Il s’inspire d’une typologie déjà présente dans le vil-lage : la courée commune. Les logements groupés s’insèrent le long d’une pente douce, leur gabarit permet de libérer les vues sur la vallée.

Le projet est un jeu de poupée russe, 3 carrés s’im-briquent : -le carré de la cour commune-le carré de la maison-le carré neutre des pièces de vie

e plan est ne t e ce i pe met c ac n de d fini la manière dont il veut coexister spatialement et so-cialement avec le groupe. Les maisons ne cherchent pas à déterminer à l’avance le rapport de l’individu à la collectivité. C’est l’usage-les commodités les habitudes qui détermineront la vocation de chaque espace.

L’unité architecturale comme ciment social : Toute la subtilité du projet est de savoir doser ce qui doit être privé et ce qui doit être partagé. L’expres-sion de la pierre et de la muralité permet de créer cette intégrité à la fois matérielle et psychologique qui lie l’individu à la collectivité

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CROQUISArchitecture & Paysages

CROQUISArchitecture & Paysages

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