TECHNICIEN EFT 01 - IFPEC · 03/04/16 2 + Conclure une séance + Conclure en douceur n Phrases de conclusion = n « Même si je n’ai pas tout traité et qu’il m’en reste beaucoup

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FORMATION EFT Technicien (3 jours)

© 2014 IFPEC

+Cadre de la formation

n  Respect de la confidentialité entre participants, pas de divulgation de noms et de détails permettant d’identifier les personnes qui se porte volontaire

n  Cadre d’apprentissage : pas de questions bêtes, droit de faire des erreurs

n  Bienveillance des uns avec les autres, toutes les personnes ne sont pas au même niveau de connaissance

n  Respect du temps de parole et de question : pas de monopolisation de l’espace par une seule personne

n  Coupure des téléphones, sonneries et des alarmes, pas de traitement des emails, car perturbe l’énergie du groupe et de la formation

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+Conclure une séance

+Conclure en douceur

n  Phrases de conclusion = n  « Même si je n’ai pas tout traité et qu’il m’en reste beaucoup »

n  Même si j’ai encore du pain sur la planche »

n  « Même si il faut que je revienne le semaine prochaine »

n  « Même si je crois que je ne m’en sortirai jamais »

n  Gamme des neufs actions

n  Coffre fort

n  Lieu de sécurité

n  Crochet de Cook

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+La gamme des neufs actions

n  En stimulant de manière continue le point de gamme, effectuez les neuf actions suivantes : n  Fermez les yeux n  Ouvrez les yeux n  Regardez en bas à droite n  Regardez en bas à gauche n  Faites un tour complet avec vos yeux, lentement, dans le sens

des aiguilles d�une montre n  Faites un tour complet avec vos yeux, lentement, dans le sens

inverse des aiguilles d�une montre n  Fredonnez n  Comptez n  Fredonnez

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+Le coffre fort

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+Le lieu de sécurité

+Le nœud (crochet) de Cook

Cook’s Hookup (la prise de Cook ou le crochet de Cook) 1.  Croisez la cheville gauche sur la cheville droite 2.  Bras tendus devant vous avec le dos des mains qui se touchent 3.  Main droite sur la main gauche, placez les paumes ensembles 4.  Croisez les doigts 5.  Pliez les coudes et tournez les mains vers vous puis vers le haut afin qu’elles se posent confortablement sur votre poitrine 6.  Prenez une inspiration et placez le bout de votre langue contre le palais, derrière les dents de devant 7.  Lorsque vous expirez, relâchez la langue dans la bouche 8.  Respirez normalement et confortablement dans cette position (1 à 2 minutes). En option : 1.  Relaxez-vous et décroisez les mains et les pieds. Posez les à plat sur le sol. 2.  Touchez les bouts des doigts d’une main contre les autres à hauteur de la poitrine 3.  Inspirez langue au palais, expirer langue au repos 4.  Continuez 60 à 90 secondes NB : les effets peuvent être temporaires. A répéter 5 fois ou plus par jour

Corriger les défauts de polarité

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+Démonstration de la deuxième séance Exercice en trinôme

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+Cadre des démonstrations

n  Ni film, ni enregistrement : respect de la vie privée de la personne volontaire pour s’exposer devant le groupe

n  Pas de commentaires, de remarques, de suggestions ou de blagues

n  Prenez des notes pour la discussion ultérieure

n  Placez-vous au mieux pour profiter de la démonstration avant le début

n  Pas de déplacement durant la séance

n  Pensez à vous stimuler si la séance fait écho en vous et déclenche des émotions. N’attendez pas de pleurer…

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+Démonstration de la deuxième séance

n  Suite de la séance avec le premier patient n  Démonstration du lieu de sécurité

n  Reprise du coffre fort et démarrage deuxième séance

n  Fin de séance : coffre si besoin / lieu de sécurité

n  Commentaires sur la séance

n  Questions réponses

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+Exercice en trinômes

n  Problème général – Mesure du SUD du problème

n  Installation d’un lieu de sécurité

n  Définition de la cible n°1

n  Si nécessaire Float-back et cible 2

n  Travail sur cible la plus ancienne ou la plus forte

n  Puis, nouvelle évaluation de la cible 1 et du SUD du problème général

n  Coffre fort et lieu de sécurité

n  30 minutes + 10 mn de Feed-Back

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+Étape 5

+Le protocole de base de l�EFT

n  ÉTAPE 1 : Identifier la cible / le problème / l’objectif

n  ÉTAPE 2 : Construire la phrase de préparation en 2 parties et les phrases de rappel

n  ÉTAPE 3 : Stimulation des points d’acupuncture n  1ère : La préparation

n  2ème : séquence de stimulations digitales avec phrases de rappels

n  ÉTAPE 4 : Évaluation des progrès, ajustement de la phrase et rondes suivantes

n  ÉTAPE 5 : Corrections énergétiques éventuelles et traitement des inversions psychologiques

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+Réflexe idéomoteur du deltoïde

n  Pour évaluer, équilibrer ou activer le système des méridiens nous avons besoin d’avoir des informations sur son état.

n  Nous ne pouvons pas tous détecter cet état au travers de nos sens.

n  Un moyen simple pour accéder à cette information, le plus utilisé est le réflexe idéomoteur du deltoïde.

+Réflexes idéomoteurs et TM

n  Ce que nous pensons et ressentons constitue seulement une petite partie de notre conscience et de notre sagesse.

n  L’inconscient est accessible via notre corps. Les réflexes idéomoteurs peuvent donner des informations fiables en provenance de notre inconscient.

n  Les réflexes idéomoteurs proviennent d’un ressentit corporel, que l’on observe dans l’intuition, l’hypnose, radiesthésie, l’utilisation du pendule et le test musculaire, issu de la kinésiologie.

n  Chaque praticien en psychologie énergétique et en EFT doit être capable d’utiliser au moins un des réflexes idéomoteurs.

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+Utilité du réflexe idéomoteur

n  Le RID est construit lors d’une collaboration volontaire entre un testeur et un sujet qui décident ensemble de donner un sens à quelque chose qui échappe à leur conscience.

n  Vous pouvez considérer le RID comme un outil permettant de collecter de l’information directement depuis l’inconscient.

n  Le RID nous donne une autre perspective au sujet de notre réalité subtile et de notre notre sagesse intérieure.

n  La fiabilité du RID dépend de la compétence technique du testeur et aussi du fait que les deux parties (testeur et sujet) observent les résultats du test sans idées et avis préconçus afin de ne pas biaiser le résultat.

+État d’esprit de base

n  TOUJOURS DEMANDER LA PERMISSION À VOTRE CLIENT AVANT DE COMMENCER LE RID ET S’ASSURER QU’IL / ELLE NE SOUFFRE D’AUCUN PROBLEME PHYSIQUE OU DOULEUR

n  Centrage sur le client : le testeur et le sujet conviennent de l’intention commune d’obtenir des informations situées dans l’inconscient ou le système énergétique du client

n  Compassion / éthique : Les deux parties s’accordent à pratiquer ces tests dans le meilleur intérêt du client

n  Impartialité : Les deux parties s’accordent à relâcher leur préjugés qui pourraient influencer les résultats (quelque soit le sens). Aucune supposition ne sera effectuées sur ce qui est vrai ou faux.

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+Comment présenter le RID

n  Expliquer que nous disposons tous d’un mécanisme de feedback interne qui nous permet d’accéder à des informations utiles à propos de ce notre cerveau expérimente lorsque nous pensons à une question ou à un problème

n  Nos muscles « verrouillent » en présence d’informations qui sont bonnes pour nous, vraies ou agréables et « déverrouillent » lorsqu’elles mauvaises, fausses ou que les pensées sont stressantes ou que nous sommes en présence de facteurs environnementaux stressants.

n  Avez-vous déjà dit à quelqu’un : « es-tu assis ? J’ai une mauvaise nouvelle à t’annoncer ? »

n  Démonstration.

+Mécanismes de base

n  Mécanisme verbal : n  Employez des phrases simples

n  Soyez spécifique et binaire : « j’ai envie de me débarrasser de ce problème » / « je n’ai pas envie de me débarrasser de ce problème » ou « j’ai besoin de ce problème ».

n  Mécanisme physique : n  Sélection du muscle et permission : vérifiez l’existence de

douleurs. Au besoin utiliser l’autre bras. Le muscle le plus courant est le deltoïde.

n  Position : debout, face au bras de votre sujet. Le client regarde en face de lui, toujours au même endroit. Ne le regardez volontairement pas dans les yeux.

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n  Mécanisme physique : n  Pression : appliquez une

pression légère (de 150 à 400 grammes) et tenez durant 2 secondes si le muscle verrouille, puis relâchez.


n  Mécanisme physique : n  Maintenir le contact avec le poignet du client lorsque vous testez

une série de phrases, au lieu de le relâcher après chaque affirmation.

n  Maintenir le contact sans aucune pression afin de ne pas fatiguer le bras de la personne.

n  Le cas échéant, laissez la se reposer et passer à l’autre bras.

n  Ne regardez pas la personne que vous testez dans les yeux

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+Instructions de base

n  Expliquez à votre sujet que pour obtenir une information fiable il est normal que par moment le muscle déverrouille. « Si vous sentez que votre muscle lâche, laissez le se déverrouiller ».

n  Vérifiez que lorsque que vous faites un test de base « sans rien dire », le muscle verrouille. Placez vos doigts sur le bras tendu du client, au-dessus de l'os du poignet lors de l'utilisation du deltoïde

+Instructions de base

n  Timing : n  Dites une affirmation à la place de votre sujet et demandez-lui de

répéter

n  Après que celui-ci ai répété la phrase, attendre 1 seconde, dites lui « tenez » et commencez à exercer doucement une pression juste au dessus du poignet durant 2 secondes. Il n’est pas utile d’y aller fort : 400 gr est largement suffisant, certains kinésiologues utilisent des pressions inférieures à 100 g (maximum 1 à 1,5 kilo !)

n  Remarque : Notez si le muscle verrouille ou non. Si vous avez un doute à propos du résultat, demandez à votre sujet ce qu’il ou elle ressent. Puis refaites le test.

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+Procédure de base

n  Première phrase positive n  En position : Le sujet énonce l’information que vous voulez tester

musculairement (« Le test musculaire est fiable avec moi »)

n  Attente : laisser le système résonner avec la phrase (1 seconde)

n  Dites vite : « tenez »

n  Testez : augmentez progressivement la pression en 1 seconde, puis tenez 2 secondes et relâchez si le muscle tient. Si le muscle lâche, vous n’aurez même pas à tenir les 2 secondes.

n  Deuxième phrase négative n  Répétez les mêmes étapes avec la phrase opposée (« Le test

musculaire n’est pas fiable avec moi »)

+Mise en pratique du RID

n  Vaisseau conception n  Descente (ouverture) / Montée (fermeture)

n  Fiabilité du test : n  Avec moi le TM est fiable ici et maintenant / avec moi le TM n’est

pas fiable ici et maintenant

n  Oui / non n  Dites « oui » / Dites « non »

n  Prénom n  Je m’appelle (vrai prénom) / Je m’appelle (faux prénom)

Exercice en binômes, puis changement de binôme

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+Problèmes de débutants

n  Problèmes liés à l’opérateur : manque de confiance, mauvaise calibration, mauvaise mise en œuvre des mécanismes de bases, mauvais respect du timing

n  Problèmes liés au sujet : volonté délibérée de faire rater le test, mauvaise alliance ou sentiment de sécurité pas encore établit.

n  Interférences énergétiques du système : Le testeur et/ou le sujet ne sont pas équilibrés énergétiquement (désorganisation neurologique, problème de polarité, déshydratation)

n  Résultats biaisés : l’opérateur ou le sujet a des biais conscient ou inconscients ou un attachement à des réponses spécifiques

+Préparation du champ énergétique

n 2.1 : Cadre conceptuel

n  2.2 : Évaluation et correction des problèmes de non polarisation, de déséquilibre de polarité et de désorganisation neurologique

n  Avant d’employer un protocole de traitement en PE, tel que l’EFT, il est nécessaire de s’assurer que les schémas énergétiques de base ainsi que les polarités à l’intérieur et autour du corps humain sont optimaux.

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+Notre champ électromagnétique

Vue d’artiste (doc ACEP)

+Le corps électrique

n  Les nerfs du corps humain sont polarisés énergétiquement et uniformément; ils sont positifs à l'extrémité d'input (ou dendrite) et négatifs à la fibre d'output (ou axone).

n  Cela permet aux impulsions électriques de se déplacer dans un seul sens et confère ainsi une cohérence électromagnétique globale à notre système nerveux.

n  C'est le pionnier médical Louis Pasteur qui a découvert, au dix-neuvième siècle, que c'est la polarisation des champs électriques du corps qui différencie la matière vivante de la matière morte, même si leur composition chimique respective est la même.

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+Polarité de l’axe central du corps

n  Les polarités font partie d’un champ central et organisé.

n  D’après les travaux de Robert Becker MD, chirurgien orthopédique. Schéma extrait du livre « the body electric : électromagnétism and the fondation of life, 1987.


n  Les champs électriques sont également impliqués de près dans la stimulation des moyens par lesquels les cellules se spécialisent fonctionnellement.

n  Pendant près de trente ans, le médecin Robert O. Becker a étudié le mécanisme par lequel elles le font et il l'a résumé dans son ouvrage paru en 1985, «Le Corps électrique», coécrit avec Gary Selden.

n  Pour une partie de sa recherche, il a innové en utilisant les champs électromagnétiques pour stimuler la régénération des cellules. Pour ce faire, il a d'abord étudié la régénération des membres chez la salamandre et chez d'autres amphibiens tels que les grenouilles, qui possèdent une puissante aptitude à se régénérer naturellement.

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n  Les organismes biologiques sont constitués de cellules dont certaines (appelées cellules souches) sont dites « indifférenciées », alors qu'elles peuvent muter ou « se différencier » en cellules spécialisées, comme celles du foie ou des muscles.

n  Becker a découvert que, chez les amphibiens, les champs électriques agissant sur le site d'une blessure déclenchent une dé-différenciation des cellules chez les cellules sanguines adjacentes et leur redifférenciation subséquente afin de permettre la régénération d'un membre manquant.

n  Le courant électrique paraît en interaction avec la membrane cellulaire, ce qui soutient la vision de Lipton selon laquelle elle possède une fonction intelligente. Tandis que la réparation se poursuit, le champ électrique, dont la force est initialement décuplée après la blessure, décroît et retourne à son niveau normal lorsque le processus de guérison est terminé.

+Le corps électromagnétique

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n  La capacité de régénération semble décliner naturellement avec l'augmentation de la complexité évolutionnaire. Cela semble associé au fait qu'il y a proportionnellement une plus grande concentration de tissu nerveux dans le cerveau, ce qui réduit, sous le niveau critique nécessaire pour stimuler la régénération, la quantité de fibre nerveuse disponible dans les autres parties du corps.

n  Cependant, dans la physiologie des mammifères, une capacité résiduelle de régénération semble persister.


n  Becker a découvert que c'est l'activité électrique spécifique de l'épiderme (la couche extérieure de la membrane de la peau) qui amorce la régénération. Il s'est rendu compte qu'après une blessure les fibres nerveuses qui repoussent font des connexions uniques avec la couche épidermique, créant ce qu'on appelle des jonctions neuro-épidermiques GNÉ).

n  Un peu comme une fiche installée dans la douille d'une prise de courant électrique, elles accomplissent le circuit électrique exact pour transporter l'information nécessaire au déclenchement de la dédifférenciation des cellules environnantes et de leur subséquente redifférenciation en tissu sain.

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+Pourquoi traiter les interférences énergique du système ?

n  La préparation du système énergétique est obtenue en rééquilibrant les polarités naturelles du corps et en enlevant toutes les perturbations énergétiques envahissantes.

n  Les perturbations énergétiques peuvent se traduire par la non polarisation, le déséquilibrage des polarités et la désorganisation neurologique.

n  Dans cette formation, nous dénommons l’ensemble de ces différents concepts « interférences énergétiques du système » ou IES, qui ont besoins d’être éliminées afin de préparer le sujet à bénéficier de son traitement.

+Polarité et santé

n  En 1949, le gynécologue Louis Langman, a mesuré la polarité de femmes ayant des tumeurs abdominales. Les résultats des laboratoires montrèrent si les tumeurs étaient malignes ou non. On note une très nette corrélation entre l’inversion de polarité (entre le col et la surface extérieure du bas-ventre) et les tumeurs malignes (96%).

Groupe malin

Groupe normal

Polarité positive

N=5 N=74

Polarité négative

N=118 N=4

Pourcentage de polarité négative

96% 5%

Langmann L & Burr H (1949). A technique to aid in the detection of malignacy in the female genital tract. American Journal of Obstretics and gynecology. 57,274

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+Caractéristiques des interférences énergique du système

n  Difficultés neurologiques :

n  Difficultés à faire des choix :

n  États Dissociatifs :

n  Démarche contrainte ou bras oscillant du même côté de la jambe tout en marchant, problèmes de manque de coordination ou de maladresse (peut être associé à des antécédents de traumatisme crânien ou d'autres problèmes neurologiques)

n  Confusion chronique ou éparpillement, déficit de l’attention ou dyslexie.

n  Le sujet exprime se sentir dissocié, pas vraiment dans son corps, ou semble l’être

+Caractéristiques des interférences énergique du système (suite)

n  Echec chronique des traitements :

n  Inversions psycho-énergétiques à répétition:

n  Sensibilités multiples :

n  Résultats inconsistants

n  Rien de marche, rien ne dure

n  Confusion chronique ou éparpillement, déficit de l’attention ou dyslexie.

n  Allergies ou symptômes similaires aux allergies

n  RID, même bien employé donne des résultats incohérents

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+Préparation du champ énergétique

n  2.1 : Cadre conceptuel

n 2.2 : Évaluation et correction des problèmes de non polarisation, de déséquilibre de polarité et de désorganisation neurologique

+La polarité détermine la croissance

n  L’expérience réalisée en 1952 par Marsh et Beams démontre l'effet puissant de la polarité électromagnétique sur toutes les cellules vivantes. La diapositive suivante montre que lorsqu'un vers plat appelé planaire est coupé à transversalement, il maintient son inclinaison électrique et se régénère normalement exactement comme au départ.

n  L'importance de la polarité électromagnétique qui a été vu plus haut dans les travaux de Becker sur la régénération a été clairement démontrée dans cette expérience : lorsque le gradient électromagnétique est absent, le planaire pousse avec deux têtes et quand il est inversé par la commutation des pôles d'une batterie (courant continu), le direction de la croissance céphalo caudal s’inverse.

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+La polarité détermine la croissance

+Démonstration : évaluer les problèmes de polarité

1. Main au dessus la tête pour tester l’inversion de polarité n  Paume vers le bas sur le dessus de la tête : muscle verrouillé n  Paume vers le haut sur le dessus de la tête : muscle déverrouillé n  Corriger immédiatement si la réponse est différente avec le Cook’s Hook Up

(correction 2)

2. Test claviculaire pour la désorganisation neurologique (correction 2) n  Le muscle du sujet doit verrouiller dans les 4 positions suivantes :

1.  En touchant le point R27 droit avec la pulpe des doigts 2.  En touchant le point R27 gauche avec la pulpe des doigts 3.  En touchant le point R27 droit avec les jointures des doigts 4.  En touchant le point R27 gauche avec les jointures des doigts

3. Test de l’hydratation n  En position le bras à l’horizontale, faites un test à blanc pour sentir que le muscle

verrouille. n  Puis demandez au sujet de tirer une mèche de cheveux. Le muscle doit verrouiller.

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+Correction 1 : le Haka énergétique

n  Cette routine de base doit être appliquée si le test musculaire du deltoïde : n  ne montre pas de différence entre l’une ou l’autre phrase

n  Si le muscle est toujours faible

n  Si vous avez un doute sur le résultat

n  Dans ce cas, vous (le testeur) et votre client (le testé) faites tout ou partie de la procédure décrite à la vue suivante.

n  Après chaque étape, vous pouvez à nouveau tester pour éviter d’avoir à tout faire.

n  Les interventions sont listées dans l’ordre recommandé.

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Traitement de base des IES :

+Correction 1 : le Haka énergétique

n  Intention : Demandez à votre client de réaffirmer intérieurement son intention de s’aider lui même.

n  Respiration : Demandez au client de prendre 5 ou 6 respirations confortables et profondes.

n  Hydratation : Faites boire un verre d’eau à votre client (ou faites le test de la déshydratation en tirant doucement sur une mèche de cheveux).

n  Interférences électromagnétiques : enlever de vos poches tous les équipements électroniques ou éloignez-vous de tout ce qui peut interférer avec vos champs électromagnétiques.

n  La procédure de la « frappe du thymus » de John Diamond : Demandez à votre patient : « pensez à quelqu’un que vous aimez, souriez, frappez fermement la zone du thymus avec vos doigts et dites à voix haute « ha-ha-ha, ha-ha-ha ». Répétez deux fois de plus.

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Traitement de base des IES :

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+Correction 2 : Cook Hookup

Cook’s Hookup (la prise de Cook ou le crochet de Cook) 1.  Croisez la cheville gauche sur la cheville droite 2.  Bras tendus devant vous avec le dos des mains qui se touchent 3.  Main droite sur la main gauche, placez les paumes ensembles 4.  Croisez les doigts 5.  Pliez les coudes et tournez les mains vers vous puis vers le haut afin qu’elles se posent confortablement sur votre poitrine 6.  Prenez une inspiration et placez le bout de votre langue contre le palais, derrière les dents de devant 7.  Lorsque vous expirez, relâchez la langue dans la bouche 8.  Respirez normalement et confortablement dans cette position (1 à 2 minutes). En option : 1.  Relaxez-vous et décroisez les mains et les pieds. Posez les à plat sur le sol. 2.  Touchez les bouts des doigts d’une main contre les autres à hauteur de la poitrine 3.  Inspirez langue au palais, expirer langue au repos 4.  Continuez 60 à 90 secondes NB : les effets peuvent être temporaires. A répéter 5 fois ou plus par jour

Corriger les défauts de polarité

+ Correction 3 : la respiration claviculaire

Respiration claviculaire n  Placez 2 doigts (main droite) sur le point R27 à droite n  Stimulez le point TR3 (point de gamme) sur le dos de la main, au moins 5 fois à chacune des étapes qui suivent, en respirant de la manière suivante :

n  Respirez normalement n  Inspirez complètement et tenez votre respiration n  Expirez à moitié et tenez votre respiration n  Expirez totalement et tenez votre respiration n  Inspirez à moitié et tenez votre respiration n  Respirez normalement

n  Répétez cette séquence avec les deux doigts de la main droite sur le point R27 gauche n  Cachez votre pouce dans votre point droit et répétez cette séquence en touchant le point R27 droit (puis gauche) avec les jointures des doigts.

n  Ensuite répétez l’ensemble de ces 4 séquences avec la main gauche. n  Testez à nouveau pour vérifier que les 4 positions bloquent maintenant.

Corriger la désorganisation neurologique

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+Correction 4 :« recablage » énergétique n  Procédure de base pour corriger ce que l’on appelle le

« décablage » énergétique (autre forme de la désorganisation neurologique). Cela arrive lorsqu’une partie du cerveau se met en « veille » ou zappe d’une chose à une autre. Les symptômes peuvent ressembler à de la dyslexie, incapacité à se souvenir de certains souvenirs, rester coller dans le passé, etc.

n  Correction : Placez votre majeur gauche sur votre nombril et tirer doucement vers le haut et en même temps :

n  Stimulez (tapotez ou frotter) les 2 points R27 avec la main droite une dizaine de fois

n  Frottez les points sous le nez et sous la bouche, 5 à 10 fois n  Frottez avec le point droit fermé le coccyx (début du vaisseau

gouverneur)

n  Changez de main et recommencez la même procédure

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+Démonstration : évaluation de l’intégration hémisphérique

n  Étape 1 : Effectuez un test musculaire lorsque le sujet regarde un X sur une feuille de papier située à environ 60 à 90 cm de ses yeux. n  Le muscle doit verrouiller (être fort)

n  Étape 2 : Effectuez un test musculaire lorsque le sujet regarde deux lignes parallèles II sur une feuille de papier située à environ 60 à 90 cm de ses yeux. n  Le muscle doit déverrouiller (être faible)

n  Si le résultat est différent, effectuez la correction 5 : crawl croisé

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51

X 52

l l

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+Correction 5 : cross crawl ou crawl croisé

n  Première partie, comptez : n  Commencez par marcher sur place. Lorsque le genoux gauche

est en l’air, touchez le avec votre main droite, puis reposer le pieds et le bras après ce contact et…

n  Enchainez avec le genoux droit et lorsqu’il est levé, touchez le avec votre main gauche et ainsi de suite

n  Enchainez ces mouvement une trentaine de fois en comptant à voix haute.

n  Deuxième partie, fredonnez : n  Continuez cet exercice en fredonnant environ 30 secondes

+Correction 5 : cross crawl ou crawl croisé

n  Troisième partie, les 8 paresseux ou les cercles : n  Continuez en même temps de fredonner et de pratiquer le crawl

croisé et dessinez lentement avec vos yeux des « 8 » couchés (signe de l’infini) ou plusieurs grands cercles dans le sens horaire puis dans le sens anti-horaire. Si vous accompagnez un sujet, demandez-lui de suivre le trajet de doigts alors que vous dessinez ces différentes figures devant ses yeux.

n  En option : n  Continuez en même temps de pratiquer le crawl croisé et ces

mouvements visuels tout en alternant 30 secondes en fredonnant et 30 secondes en comptant à voix haute.

n  Testez à nouveau : n  Refaites à nouveau les test X et II pour vérifier que la réponse est

correcte. Pour être sûr de la correction, refaites les tests de base.

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Quand un test indique un problème, faites la correction et testez à nouveau

Corrections suggérées (d’autres corrections sont également possibles)

Test de la polarité : main au dessus la tête Paume vers le bas : muscle verrouillé Paume vers le haut : muscle déverrouillé Obs : si la réponse est différente faire les corrections suivantes l’une après l’autre en testant après chacune d’elle.

1.  Haka énergétique (correction n°1) 2.  Crochet de Cook (correction de la sur-énergie,

correction n°2) 3.  Autre possibilité : massage du point neuro-

lymphatique sur la gauche (ou les deux côtés en même temps) en disant : « je m’aime et je m’accepte complètement avec tous mes problèmes et mes limitations ».

Test claviculaire pour l’organisation / désorganisation neurologique Le muscle du sujet doit verrouiller dans les 4 positions suivantes : • Contact R27 droit avec la pulpe des doigts • Contact R27 gche avec la pulpe des doigts • Contact R27 droit avec les jointures des doigts • Contact R27 gche avec les jointures des doigts

1.  Crochet de Cook (correction de la sur-énergie, correction n°2)

2.  Haka énergétique (correction n°1) 3.  Respiration claviculaire (correction n°3) 4.  Recablage énergétique (correction n°4)

Test de l’intégration hémisphérique • Test en regardant un X (verrouillé) • Test en regardant des lignes II (déverrouillé)

Crawl croisé (correction n°5) En option : • Fredonner et compter alternativement 30 s. • Les « huit » paresseux ou les cercles visuels • Mouvements visuels / fredonner et compter

+Évaluer et corriger les IES

1.  Faire tous les tests de la première colonne sur la vue précédente

2.  Corriger toutes les IES et tester à nouveau

3.  Contrôlez à nouveau la fiabilité du réflexe idéomoteur du deltoïde :

n  Phrase 1 : « je peux obtenir une information fiable au travers de ce test maintenant », versus…

n  Phrase 2 : je ne peux pas obtenir une information fiable au travers de ce test maintenant »

Mise en pratique en binômes

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+À savoir…

n  Si vous tentez de traiter les problèmes d’une personne avant qu’elle ne soit capable de maintenir la stabilité de son système énergétique, vous serez probablement confronté à une de ces trois situations : n  Le traitement ne fonctionnera pas, ce qui vous conduira (ou votre

client) à penser à tort que les méthodes de la psychologie énergétique ne fonctionnent pas.

n  Le traitement semble fonctionner dans votre cabinet, mais le client ne peut pas "tenir" le traitement au fil du temps, ce qui génèrera de la frustration vous et votre client.

n  L’état du client peut empirer à cause du traitement.

+Identifier l’objectif du traitement

Afin d’optimiser l’efficacité du traitement en Psychologie Energétique, il est nécessaire d’identifier deux composantes :

n  L'objectif : le résultat final que le client désire le plus

n  La cible : la meilleure question à traiter en ce moment pour aider à atteindre le but désiré

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+Spécifiez l’objectif

n  Générer : Demandez au client d'indiquer l'état interne ou les résultats externes qu'il / elle veut plus en ce moment.

n  Confirmer : Confirmer avec RID / TM que cet objectif est dans l'intérêt le plus élevé et le meilleur pour le client.

n  Affiner : Si nécessaire, affiner l’objectif, puis tester à nouveau, jusqu’à ce que cela corresponde parfaitement aux attentes du client.

+Difficultés pour identifier l’objectif

n  Vérifiez les Interférences Énergétiques du Système (IES)

n  S’il n’y a pas d’IES, et que le client soit incapable d’identifier un objectif, même avec le TM, alors prenez traitez d’abord cette difficulté comme un problème.

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+Spécifiez la cible

n  Générer : Demandez au client d'indiquer le meilleures cibles à traiter en vue d’atteindre l’objectif fixé

n  Confirmer : Confirmer avec RID / TM que cette cible est la bonne

n  Affiner : Si nécessaire, affiner la cible, puis tester à nouveau

+Difficultés pour identifier la cible

S’il y a un problème pour identifier la ou les cibles une fois que l’objectif est défini :

n  Utiliser le travail de détective : discuter, testez différentes possibilités en utilisant le TM (voir des pistes à suivre dans les vues suivantes)

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+Conseils pour affiner la cible

Si une enquête plus approfondie est nécessaire, vérifier:

n  Un (ou plusieurs) traumatisme(s)

n  Un contrat qui aurait besoin d'être rompu

n  Les croyances limitantes

n  Des émotions qui accablent ou qui restent bloquées

n  Un désir inavoué

n  Un choix non pardonné

n  Une habitude limitante ou une compulsion

n  Explorez vos intuitions en utilisant TM. Vérifiez le type de problème d'abord, puis dirigez vous sur une cible spécifique.

+L’horloge des méridiens

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+Traiter les inversions psycho-énergétiques

+Traiter les inversions psycho-énergétiques n  Identifier et traiter les blocages conscients et inconscients à

la résolution du problème, provoque un alignement intérieur à plusieurs niveaux (psychologique, émotionnel, physique, énergétique et spirituel) pour traiter la cible.

n  Ce concept est en lien avec la notion d’inversion des méridiens en acupuncture, celle d’inversion du corps (John Diamond, 1980) et de l’inversion psychologique telle que définie par R. Callahan, 1988).

n  Méthodes de traitement : n  La plus simple : phrase de correction globale type en stimulant un

ou plusieurs points de traitement n  Plus riche : identification précise et traitement

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+Formule de base pour les IP

n  Exemple : n  le patient exprime, « de toute façon j’ai toujours eu l’impression

que je ne méritait pas une vie heureuse »…

n  Affirmation utilisant les phrases de traitement n  Dire : « Même si / Malgré que / Bien que…. »…

n  Exprimer la croyance limitante, (par ex. « je ne mérite pas une vie heureuse »)

n  Dire la phrase d’auto-acceptation : « je m’accepte tel(le) que je suis »

n  Activation : tout en stimulant simultanément le point sensible ou le point karaté

n  Durée : le temps de dire trois fois la phrase © 2014 IFPEC

+Identification de l’IP et traitement

n  Le moyen le plus simple d’identifier la présence d’une IP est d’utiliser le test musculaire avec la phrase suivante : n  « J’ai au moins un blocage (une inversion psycho-énergétique)

qui m’empêche de me libérer complètement de ce problème » vs

n  « Je n’ai aucun blocage (aucune inversion psycho-énergétique) qui m’empêche de me libérer complètement de ce problème »

n  Le moyen le plus simple de corriger cette IP est l’utilisation de la correction globale d’inversion

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+Correction globale d’inversion

n  En stimulant le tranchant de la main ou le point NRLPH : n  Même si j’ai ce problème, et…

n  Même si une partie de moi pense que je ne mérite pas de me libérer de ce problème, et…

n  Même si ce n’est pas possible que je me libère de ce problème…

n  Même si je ne suis pas en sécurité si je me libère de ce problème…

n  Même si les autres ne seront pas en sécurité si je me libère de ce problème

n  Même si je ne suis pas disposé à me libérer de ce problème

n  Même si je ne saurais plus qui je suis si je me libère de ce problème

n  Même si j’ai d’autres blocages qui m’empêchent de me libérer de ce problème

n  Je m’aime et je m’accepte profondément et complètement.

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+Test spécifique d’inversion

n  Si le test de base : « J’ai au moins une bonne raison de garder ce problème » opposé à « Je n’ai aucune bonne raison de garder ce problème », montre qu’une IP est présente, alors :

n  Faire le test avec chaque phrase positive et négative des principales IP

n  Si le test musculaire indique une IP en verrouillant sur la première phrase et en déverrouillant sur la seconde, massez le point de réflexe neurolymphatique (PRN) dans un mouvement circulaire ou stimulez le tranchant de la main en répétant la phrase de traitement trois fois.

n  Vérifiez la correction avec le TM. Puis faites à nouveau le test de base. Refaire si besoin.

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+Inversions courantes

Inversion Phrases test Phrases traitement

Bonheur « Je veux être heureux » vs « je veux être malheureux »

« Même si je veux être malheureux, je m’accepte T et C »

Bien-être « Je veux vivre / être bien » vs « je veux mourir / être malade »

« Même si je veux mourir, je m’accepte T et C »

Volonté « Je veux me libérer de ce problème » vs « Je veux garder ce problème »

« Même si je veux garder ce problème, je m’accepte T et C »

Futur « Je serai bientôt libéré de ce problème » vs « je ne serai jamais libéré de ce problème »

« Même si je ne serai jamais libéré de ce problème, je m’accepte T et C »

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Mérite « Je mérite de me libérer… » vs « Je ne mérite pas… »

« Même si je ne mérite pas de me libérer de ce problème, je m’accepte T et C »

Possibilité « C’est possible que je me libère de ce pb » vs « Ce n’est pas possible…. »

« Même si ce n’est pas possible que…, je m’accepte T et C »

Sécurité pour moi « Je suis en sécurité si je me libère de ce problème » vs « Je ne suis pas…. »

« Même si je ne suis pas en sécurité si…, je m’accepte T et C »

Sécurité pour les autres (co-dépendance)

« Les autres sont en sécurité si je me libère de de ce problème » vs « les autres ne sont…)

« Même si les autres ne sont pas en sécurité si….. »

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Envie « J’ai envie de me libérer… » vs « Je n’ai pas envie… »

« Même si je n’ai pas envie de me libérer de ce problème, je m’accepte Tt et Cpltm »

Identité « Je saurai qui je suis si je me libère… » vs « je ne saurai plus qui je…

« Même si je ne saurai plus qui…, je m’accepte T et C »

Mini « Toutes les parts de moi veulent se libérer de ce pb » vs « Une part de moi veut garder ce pb »

« Même si une partie de moi ne veut pas se libérer de ce pb…, je m’accepte T et C »

Justice / ressentiment « C’est juste pour moi et les autres si je me libère de mon problème » vs « quelqu’un ne sera pas puni, si je me libère de ce pb »

« Même si quelqu’un ne sera pas puni, si je me libère de ce problème… »

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+Inversions courantes : récapitulatif

type Phrase test positive

Massive 1 Je veux (j’ai envie) être heureux(se)

Massive 2 Je veux être en bonne santé

Volonté Je veux me libérer de ce problème

Futur Je serai bientôt libéré de ce problème

Mérite Je mérite de me libérer de ce problème

Possibilité C’est possible que je me libère de ce problème

Sécurité soi Je suis en sécurité si je me libère de ce problème

Sécurité autres Les autres sont en sécurité si je me libère de ce pb

Envie J’ai envie de me libérer de ce pb

Identité Je saurai qui je suis si je me libère de ce pb

Mini Toutes les parts de moi veulent se libérer de ce pb

Justice / ressentiment

C’est juste pour tout le monde si je me libère de…

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+Démonstration

n  Travail en utilisant le test musculaire

n  Test de l’objectif

n  Identification des inversions

n  Traitement de IP

n  Séance d’EFT classique n  Ciblage

n  Rondes

n  Testing (y compris en utilisant le test)

+Cadre des exercices pratiques

n  Vous êtes en apprentissage et non pas ici pour faire la thérapie de notre collègue stagiaire : si le problème présenté vous parait trop important pour vous (en tant que praticien), n’y allez pas. Si vous ne vous sentez pas sécure dans la manière dont vous êtes accompagné en tant que sujet, vous pouvez interrompre la séance

n  Cadre d’apprentissage : droit de faire des erreurs

n  Bienveillance des uns avec les autres, toutes les personnes ne sont pas au même niveau de pratique

n  Relation privilégiée entre le Praticien et son client/patient : l’observateur reste en ressource, prend des notes, chronomètre la séance et prévient le praticien lorsqu’il ne reste plus que 5 minutes.

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n  Demandez les autorisations : placement des chaises (respect de la proxémique), est-ce ok pour travailler sur tel ou tel sujet ? Est-ce ok pour en parler ici ? Etc.

n  Entant que praticien, contrôler votre temps d’exercice : pensez à arrêter 5 minutes avant la fin, gardez du temps pour la stabilisation et le nœud de Cook.

n  Feed-Back : l’observateur fait un retour de la séance au praticien : n  Comment vous êtes vous senti accompagné (au sujet) ?

n  Que pensez-vous de votre séance (au praticien) ?

n  J’ai aimé, j’ai appris, je suggère, je m’interroge ?

n  Le praticien de dit rien durant le feed-back.


Observateur

Praticien Sujet

L’observateur est le gardien du temps. Si le timing est dépassé, c’est son propre exercice qui se retrouve amputé.

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+Exercices

n  Travail en utilisant le test musculaire

n  Test de l’objectif

n  Identification des inversions

n  Traitement de IP

n  Séance d’EFT classique n  Ciblage

n  Rondes

n  Testing (y compris en utilisant le test)

+Correspondance émotionnelle des méridiens

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+VG 20 : sommet de la tête

n  Dissipe : n  Les tensions psychiques, n  la difficulté à aller de l’avant, n  la perte de courage.

n  Développe : n  les fonctions intellectuelles (concentration et mémoire), n  agit sur les 5 organes des sens, n  redistribue l’énergie. n  Apaise, apporte force et volonté. Point important chez les

personnes ne s’acceptant pas.

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+Vessie 2 : début du sourcil

n  Dissipe : n  Les séquelles émotionnelles laissées par des événements

difficiles. n  Le manque d’ambition, d’ardeur à faire les choses n  La stagnation dans n’importe quel domaine de la vie.

n  Développe : n  Le ressentit des émotions et l’intuition n  La force intérieure n  Le courage d’effectuer les changements que l’on sait nécessaires.

n  Emotions : Trauma, frustration, peur, impatience, agitation

n  NB Vessie 1 : Intérieur de l’œil, pas utilisé en général en EFT

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+Vésicule Biliaire 1 : coin de l’œil

n  Dissipe : n  Les rancunes obsessionnelles

n  Les sentiments de rage et de haine

n  Le besoin de vengeance

n  Développe : n  Une vue juste sur l’ensemble des choses

n  L’expression constructive de la colère

n  La mise en pratique bien pensée des idées et des rêves

n  Emotions : Rage, pouvoir (puissance), bloqué, fureur, courroux

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+Estomac 1 : Sous l’œil

n  Dissipe : n  Les soucis obsessionnels et les idées fixes

n  Les besoins d’attachement excessifs

n  Le vide que l’on porte en soi

n  Développe : n  La bonne assimilation des expériences

n  Les capacités de donner et de recevoir de manière équilibrée

n  Les sensations de contentement et de plénitude

n  Emotions : Anxiété, peur, phobie, faim, privation, amertume, déception, avidité

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+Vaisseau Gouverneur 26 : sous le nez n  Dissipe :

n  La timidité, la gaucherie, la honte de soi

n  La crainte de s’affirmer, de s’imposer, ou de dire "non »

n  La peur de parler en public, l’effroi d’un examen à passer

n  Développe : n  L’originalité personnelle

n  L’aisance en société

n  L’acceptation de soi-même tel que l’on est présentement.

n  Emotions : Embarras, impuissance, désespoir

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+Vaisseau Conception 24 : sous la bouche n  Dissipe :

n  Les sentiments de culpabilité, les remords et les regrets

n  L’accablement, la désolation et les tourments

n  Le besoin de réprimer ceux qui nous ont fait du mal

n  Le besoin de se punir

n  Développe n  Les possibilités d’oubli et de pardon, y compris envers soi-même

n  Les capacités d’accepter les choses du passé telles qu’elles sont.

n  La volonté d’aller de l’avant en tournant la page

n  Emotions : Honte, indignité, défectuosité, inutilité

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+Rein 27 : Sous la clavicule

n  Dissipe : n  Les peurs, les terreurs, les attaques de panique n  L’affolement et l’agitation dues à l’épouvante ressentie n  Les phobies (peur de la solitude, des hauteurs, de sortir de chez

soi, de conduire, de voyager en avion, etc.

n  Développe : n  Les sensations de sécurité en tout lieu, le calme intérieur n  L’envie de faire des choses impensables auparavant n  Le désir d’avancer dans la vie

n  Emotions: Peur, indécision, lâcheté, manque d’intérêt sexuel, manque de confiance en soi

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+Rate-Pancréas 21: sous le bras

n  Dissipe : n  Les interdits intérieurs qui empêchent de profiter de la vie n  Les sentiments d’ennui, le renoncement, l’amertume n  Les points de vue défaitistes, le manque d’originalité

n  Développe :b n  L’assurance personnelle par la libre expression des capacités

innées n  L’envie d’accroître ses connaissances intellectuelles,

d’entreprendre des choses nouvelles. n  Les sensations de bien-être et de contentement dans la vie

n  Emotions : Anxiété future, souci, craving (manque) en cas de dépendance

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+Foie 14 : sous le sein

n  Dissipe : n  Les sentiments de frustration, de confusion intérieure n  Les atermoiements, l’irrésolution, l’étroitesse d’esprit n  L’indolence et la léthargie

n  Développe : n  Le dynamisme et la fougue nécessaires à la poursuite des

ambitions n  La confiance en son propre jugement et point de vue sur les

choses n  L’envie d’exprimer ses talents innés et compétences personnelles

n  Emotions : Colère (excessive, généralisée), manque de joie, ressentiment

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+Poumon 11 : Pouce

n  Dissipe n  La tristesse

n  Développe n  Le détachement

n  L’inspiration et l’expiration,

n  Le destin

n  Emotions : Chagrin, tristesse, intolérance, mépris, préjugé, dédain

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+Gros Intestin 1 : index

n  Dissipe n  Le besoin de contrôle

n  Développe n  Le lâcher-prise

n  Emotions : Culpabilité, problème de relations ou de contact

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+Maître du Cœur 9: majeur

n  Travaille sur la négligence de ses besoins affectifs, la difficulté de faire des choix

n  Emotions : Jalousie, regret, tension sexuelle, entêtement

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+Cœur 9: auriculaire

n  Travaille sur les peines de Cœur, l’amour de soi ou des autres

n  Emotions : Colère (spécifique)

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+Intestin grêle 3 : Point Karaté

n  Dissipe : n  Les oppositions éventuelles du subconscient à la réalisation de

nos objectifs.

n  Les pensées noires, le manque de confiance en soi et la crainte de l’échec (ou du succès).

n  Développe : n  Les capacités intellectuelles, la perspicacité, l’adresse physique.

n  Les performances en tout domaine (sportif, sexuel, académique, professionnel, etc.)

n  Emotions : Vulnérabilité, compulsion, obsession, tristesse

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+Triple réchauffeur 3 : point Gamut /de gamme n  Travaille sur la notion de survie, de sentiment de sécurité ou

d’insécurité

n  Emotions : Dépression, douleur physique, désespoir, tristesse, chagrin, abattement, découragement

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+Le positif en EFT

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+Le positif en EFT

n  Règles importantes : n  Introduire le positif n’est pas un substitut à trouver la bonne cible. n  Cibler le négatif seul doit permettre la progression du traitement,

sauf lorsque des croyances négatives bloquent le progrès, ou lorsque des informations cognitives manquent à la personne (ex : c’était lui l’adulte, je n’étais qu’une petite fille, ce n’est pas de ma faute).

n  Introduire trop tôt le positif peut être une erreur dans la mesure où le patient pourrait se sentir incompris dans sa croyance négative encore trop forte

n  Si du positif est introduit avec finesse, soit il passera bien, soit il créera une résistance acceptable par le patient. Cette résistance (« tail-ender », traduite par « oui mais ») devra absolument être travaillée directement dans la foulée avant de continuer l’introduction du positif.

+Le positif en EFT

n  Classées de la plus subtile à la plus directe, les diverses méthodes pour introduire le positif sont :

n  le recadrage

n  Phrases interrogatives « et si »

n  la méthode des choix

n  le positif seul

n  Il est recommandé de les utiliser dans cet ordre pour éviter la montée des oppositions. Si des oppositions se manifestent malgré tout, on procède au : n  gommage des oppositions inconscientes

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+Recadrage en 5 points

1.  Même si j’ai vécu cette expérience / ce trauma / ce problème // Même si j’ai ce problème...

2.  je m’accepte profondément comme je suis (ou je m’ouvre à la possibilité de changer)

3.  c’est normal (logique ou naturel) que je ressente (cette émotion / ce problème)

4.  Et la vérité c’est que.. (une autre réalité c’est que / d’un autre point de vue) ici et maintenant c’est fini.... c’est bel et bien du passé, je suis en sécurité maintenant

5.  et d’autre part encore, j’ai maintenant le droit d’être en paix, car j’ai appris de cette expérience / je m’ouvre à la possibilité de vivre les choses différemment

+Grille de restructuration cognitive Un événement

douloureux Pensées

automatiques Je me dis…

Émotions / Comportements

Je ressens et je fais

Questionnement socratique

Je me demande…

Réponses au questionnement

Je réponds…

Mon père me dit « tu finiras SDF, tu ne comprends rien »

Je suis nul, je n’arriverai à rien

J’ai honte (7/10), Je me sens coupable, je pleure

Quels sont les éléments qui me font croire que mon père avait raison?

Je ne comprenais pas mes leçons, j’avais de mauvaises notes

Ici et maintenant : j’avais déjà des difficultés, et c’est toujours pareil

Ici et maintenant : je ressens de la colère contre moi (5/10), je me sens nul

Quels sont les éléments qui me font croire que mon père n’agissait pas au mieux ?

Il ne m’aidait jamais, lui non plus ne comprenais pas

Pourrait-il y avoir une autre explication ?

Le prof ne m’aimait pas, j’étais sa cible

Avez-vous tout raté dans votre vie ?

Non, j’ai réussis mes études

De quoi êtes vous fier ?

De ma famille. Je suis installée en libéral

Comment réussissez-vous ?

Je travaille plus que les autres

100

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+Restructuration cognitive (1)

1.  Même si je revois encore mon père me dire que je ne comprends rien et que je finirai SDF

2.  je m’accepte tel que je suis

3.  c’est normal que je doute toujours de moi compte tenu de sa manière de me programmer

4.  La réalité, c’est que j’ai du travailler plus que les autres, et que grâce à mes efforts j’ai réussi mes études

5.  Et je m’ouvre à la possibilité de ressentir de la fierté vis à vis de ma réussite professionnelle et personnelle.

+Restructuration cognitive (2)

1.  Première ronde : mon père me criait dessus quand je lui montrais mon bulletin trimestriel / il me disait que je finirai SDF / il me disait « tu ne comprend rien » / c’est bien normal que je doute toujours de moi / il ne m’aidait pas / il ne m’a jamais dit qu’il était fier de moi / C’est logique que je n’ai pas confiance en moi / etc.

2.  Rondes suivantes : on commence à intégrer des éléments de restructuration : la réalité c’est que lui non plus ne comprenait pas / il ne pouvait pas m’aider / il se mettait en colère / le prof ne m’aidait pas non plus / il se moquait de moi / j’atais son souffre douleur / etc.

3.  Puis on aborde le positif directement : la réalité c’est qu’aujourd’hui j’ai une belle famille / je suis fier de mes enfants / Ils sont fiers de moi / j’ai réussi mes études grâce à mes efforts

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+Exercice en trinôme : 30 mn + 5

n  En quoi puis-je vous aider ? n  Quel est votre problème ?

n  Qu’attendez-vous de cette séance ?

n  Définition de la cible n  Les 5 critères

n  Questionnement pour recueillir des information pour faire des recadrages adaptés

n  Application de l’EFT n  Ronde classique ou technique au choix

n  Attention au lien et à la qualité de l’accompagnement

n  Utiliser les mots exacts du patient + recadrages

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Restructuration cognitive

+TCC- EFT des attaques de panique et de l’agoraphobie

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+Critères d’une attaque de panique

n  Selon DSM-5, Attaque de panique : Sensation intense de peur et d’inconfort , débutant brutalement, atteignant son maximum (acmé) en quelques minutes et au cours de laquelle surviennent 4 (ou plus) des symptômes suivants : 1. palpitations, battements de cœur ou accélération du rythme

cardiaque 2. transpiration 3. tremblements ou secousses musculaires 4. sensations d’étouffement ou d’essoufflement 5. difficultés de déglutition 6. douleurs ou inconfort thoracique 7. nausées ou troubles digestifs 8. sensation de vertige, d’instabilité, de tête vide ou impression

d’évanouissement


9. sensations de froid ou de chaud

10. paresthésies (sensations d’engourdissement,

de fourmillements)

11. déréalisation (sentiment d’irréalité) ou de dépersonnalisation (sentiment de détachement de soi-même)

12. peur de perdre le contrôle ou de devenir fou

13. peur de mourir

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n  Présence d’attaques de panique récurrentes et inattendues.

n  Au moins une de ces attaques a été suivie pendant un mois (ou plus) par a et/ou b: a) la crainte ou préoccupation persistante de revivre une attaque

de panique ou ses conséquences (perte de contrôle, faire une crise cardiaque, devenir fou).

b) un changement significatif et inadapté de comportement relation avec ces attaques (comportements pour éviter d’avoir une attaque de panique comme éviter de faire de l’exercice physique ou de se retrouver dans des situations peu familières).


n  Les attaques de panique ne sont pas dues aux effets physiologiques directs d’une substance ou d’une affection médicale générale.

n  Les attaques de panique ne sont pas mieux expliquées par un autre trouble mental.

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+Spécificité du trouble panique

n  Le T.P. diffère des autres phobies par le fait qu'il n'est pas déclenché par un objet extérieur.

n  La peur provient d'une sensation proprioceptive ou d'une pensée qui déclenche la peur d'avoir peur, par exemple la peur d'éprouver une attaque de panique.

+Épidémiologie

n  Prévalence à vie chez population générale avec critères du DSM 5 :

• des attaques de panique : 9.4%

• « presque une attaque de panique » 25%

• trouble panique: 3-5%

• agoraphobie: 1.5%

n  35 à 65% des troubles paniques associées à l’agoraphobie

n  45 à 85% des cas d’agoraphobie ne sont pas liées à un trouble panique franc mais à une attaque de panique isolée ou épisodes anxieux aigus ou rien

n  Dans une population clinique, les cas d’agoraphobie sans attaque de panique sont moins fréquents (0-30%)

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+Épidémiologie

§  Comorbidité avec les autres troubles anxieux : 53 %

§  Comorbidité avec Episode Dépressif Majeur : 45%

§  Le trouble panique précède la dépression dans 2/3 des cas

§  Axe II : 26 à 58 %

§  Addiction (alcool, drogues + médicaments): 36 %

Kessler R.C. National Comorbidity Survey Replication. Arch Gen Psychiatry, 63, 2006

+Évolution du Trouble Panique

§  10% de guérison spontanée après quelques mois ou années,

§  30 % de persistance sporadique d’attaques de panique sans altération de la qualité de vie,

§  30 % d’évolution chronique sans aggravation de la symptomatologie,

§  30 % d’aggravation du trouble panique jusqu’à réduction du périmètre de sécurité avec apparition de complications (dépression, toxicomanie…)

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+Causes ou facteurs du Trouble Panique

1) FACTEURS PRÉDISPOSANTS

§  Vulnérabilité biologique

§  Influence familiale §  comportements rigides ou surprotecteurs

§  Traits généraux §  tendance à l'anxiété chronique et à la dépression §  dépendance affective et à la passivité

2) FACTEURS PRÉCIPITANTS

§  traumatisme, stresseur psycho-social ou stresseur chronique.

+Causes ou facteurs du TP

3) FACTEURS DE MAINTIEN

§  Occurrence de nouvelles attaques de panique,

§  Certains facteurs cognitifs, facteurs comportementaux

§  Renforçateurs secondaires et les stresseurs chroniques.

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+ Persistance de la détresse émotionnelle en fonction de la suppression ou de l’acceptation des émotions

Émotions perçues comme intolérables

et inacceptables

Efforts pour les Supprimer

Échec de la suppression

Affect négatif

Émotion perçue comme tolérable et

acceptable

Pas de

Suppression

Normalisation de

l’humeur

From: Campell-Sills, L., Barlow, D.H., Brown, T.A., & Hofmann, S.G. Appraisal and regulation of emotion in anxiety and mood disorders.

+Modèle cognitif de la Panique

n  Hypersensibilité à certaines perceptions corporelles normales ou pathologiques, qu’ils ressentent de façon excessivement angoissante : des distorsions cognitives les conduisent à interpréter ces perceptions de façon « catastrophique ».

n  La conjugaison de cette hypersensibilité à un stimulus corporel banal peut déclencher une attaque de panique. Cette hypersensibilité contribue par ailleurs à amplifier la spirale de la panique dès l’apparition des premiers signes spécifiques d’une attaque de panique

n  Clarck 1986

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+Spirale de la panique

+Deux processus

n  Hypervigilance et attention aux sensations corporelles, focus attentionnel interne

n  Comportements de sécurité vont maintenir l’interprétation négative

n  Salkovkis 1988, 1991

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+Les comportements

n  L’évitement

n  La fuite

n  Les comportements de sécurité n  intention d’activement prévenir la catastrophe redoutée

n  ont pour conséquence de maintenir la croyance

n  Eviter l’exercice pour ne pas faire une crise cardiaque

n  Se tenir à la rampe pour ne pas tomber

n  Hyperventilation …

+Les TCC du Trouble panique

n  Premières techniques comportementales

n  A partir du modèle cognitif ( Barlow et Clarck) des modules structurés de TCC des attaques de paniques et de l’agoraphobie ont été proposés et sont aujourd’hui bien validés

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+Rétablir le dialogue entre le cortex (pensée) et l’amygdale (émotion)

§  En acceptant de vivre l’émotion sans vouloir la contrôler §  Stimulations EFT in-vivo (+ point REMAP)

§  En modifiant les « sens » qu’elle prend §  Restructuration cognitive

§  En acceptant ces pensées qui ne peuvent être éliminées et en les observant sans jugement §  Pratique de l’EFT en séance accompagnée et en autonome

§  En favorisant la « guérison » du cerveau par les nouveaux apprentissages (expositions) qui sont anxiogènes §  Tout en stimulant les points EFT

+Apprendre à renoncer à se débarrasser de la panique

n  Il est important de reconnaître que ces sensations physiques, si déplaisantes soient-elles, sont inoffensives.

n  Puisqu'il n'y a aucun danger réel, vous devez donc apprendre à réagir différemment lorsque vous vivez ce type de sensations.

n  Ne plus chercher à les contrôler mais juste ACCEPTER pendant quelques minutes ces sensations qui sont très désagréables mais inoffensives.

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+Le module TCCE

n  Information sur le trouble et son traitement, planification du programme thérapeutique (2 consultations)

n  Apprentissage de la maîtrise des attaques de panique par les techniques de contrôle respiratoire associée plus ou moins à de la relaxation (3 à 5 consultations)

n  Thérapie cognitive (2 à 5 consultations)

n  Exposition (5 à 8 consultations)

n  Au total dans les formes non compliquées le programme s’étend sur 12 à 20 séances (de 45 minutes).

n  • D. Servant. Gestion du stress et de l’anxiété 2012.

+1-L’information au patient

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+Informer le patient : 4 objectifs

n  Diminuer la détresse du patient

n  Augmenter l’alliance thérapeutique

n  Augmenter l’implication du patient dans la thérapie

n  Apprentissage de l’EFT et des points Remap

+L’information au patient

n  Informer le patient sur le trouble et son origine supposée

n  Expliquer le déclenchement des attaques de panique et leurs conséquences selon le modèle TCC

n  Donner les grandes lignes du traitement TCCEE (déroulement, implication, résultats attendus…)

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+Apprendre à renoncer à se débarrasser de la panique

Psychopédagogie :

n  « Votre centre de la peur, (l’amygdale) surréagit et déclenche une émotion incontrôlable mais banale : la peur. Il commande automatiquement des réactions de survie comme si vous faisiez face à un véritable danger.

n  Mais cette fois : « VOUS AVEZ PEUR MAIS VOUS N’ÊTES PAS EN DANGER »

+Comment expliquer le trouble panique à vos patients

1) Certaines personnes éprouvent, à un moment de leur vie, des réactions d'anxiété si intenses qu'elles se transforment en attaque de panique.

2) La personne qui vit une attaque de panique a l’impression de perdre le contrôle et ne comprend pas ce « bouleversement » qu'elle perçoit comme catastrophique et grave. De là provient la peur de mourir, d'avoir une crise cardiaque, de devenir fou etc.

3) Les personnes qui ont déjà vécu une attaque de panique peuvent développer la crainte d'éprouver à nouveau ces « sensations » désagréables qu'elles croient souvent imprévisibles, incontrôlables et catastrophiques.

4) Les réactions physiologiques sont à la fois la cause et le résultat de la peur panique

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+Supports

n  Information orale

n  Remise d’un document sous forme de « livret du patient » (carnet de recueil, tableaux…)

n  Des guides ou self help (e)book

+2 – Techniques comportementales

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+Les techniques comportementales

n  Le contrôle respiratoire : cohérence cardiaque

n  L’EFT

n  Les points REMAP

n  En situation anxiogène , il est fréquent que le patient paniqueur : n  Ne sache pas comment contrôler ses manifestations anxieuses

n  Aggrave ces dernières en se crispant en s’agitant et donc en hyperventilant

+Le contrôle respiratoire et la stimulation de points méridiens

n  Apprendre les techniques au patient

n  Réviser régulièrement les exercices avec le patient (utilisation des outils IFPEC : fiche + vidéos)

n  Rappeler que le but immédiat n’est pas la disparition de l’angoisse et des malaises grâce à ces techniques, mais leur contrôle (« agir malgré l’angoisse », « ne pas reculer devant l’angoisse »).

n  Ne pas créer de faux espoirs.

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+Bases physiologiques de la respiration

n  Fréquence respiratoire repos chez l’adulte 12 à 16 cycle/mn

n  Equilibre O2/CO2

n  Hyperventilation � � CO2 � Alcalose respiratoire

n  Vasoconscriction et � affinité de O2 pour l’hémoglogine � moins bien libérée

+Les signes de l’hyperventilation

n  Symptômes centraux, qui traduisent une diminution de l’approvisionnement en oxygène de certaines régions du cerveau : vertiges, étourdissements, sensation de tête vide, sensation d’étrangeté, vision brouillée, impression d’avoir le souffle coupé, confusion…

n  Symptômes périphériques, qui traduisent une légère réduction de l’oxygène au niveau de certaines parties du corps : palpitations, coeur qui s’accélère (tachycardie), sensations d’engourdissement et de picotement dans les extrémités, mains moites, raideurs musculaires…

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+Le contrôle respiratoire

n  Régulière et lente

n  Profonde

n  Abdominale

n  Prolongation du temps expiratoire (COHÉRENCE CARDIAQUE EN 4s / 6s)

+Le contrôle respiratoire et l’EFT : exercices entre les séances

n  • Demander au patient de pratiquer les exercices = n  dans des situations non anxiogènes

n  puis , dans des situations peu anxiogènes

n  enfin, dans des situations anxiogènes

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+Remarques sur l’usage de la relaxation dans le trouble panique

n  Deux granges techniques employées en TCC : n  Schultz (training autogène)

n  Jacobson (relaxation musculaire progressive - 1938)

n  Attention, certains patients paniqueurs redoutent la sensation de perte de contrôle induite par la méthode de Schultz, et ont donc du mal à se laisser aller. Ils peuvent aussi craindre de se concentrer sur leurs sensations corporelles.

n  Avec l’utilisation de l’EFT et des points méridiens, élimination direct de ces problèmes.

+3 - Thérapie cognitive

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+La thérapie cognitive : rationnel

n  Les interprétations catastrophiques du patient à propos de ses sensations corporelles participent à la spirale de la panique

n  En prendre conscience et les discuter permet peu à peu un meilleur contrôle de l’angoisse

+La thérapie cognitive

n  Identifier le déclenchement des attaques de panique

n  Processus cognitifs

n  Expériences comportementales

n  Clarck , Salkowskis, Hackmann, Wells et al

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+L’identification des déclencheurs

n  Perturbation émotionnelle (excitation, colère, dégout)

n  Mouvement oculaire rapide (mouvement de foule)

n  Exercice (dyspnée, palpitation)

n  Se lever rapidement après station assise (vertiges)

n  Café (palpitations)

+Les processus cognitifs

n  Décrire la spirale de la panique

n  Décrire les pensées automatiques et les scénarios catastrophes associés à la panique

n  Questionnement socratique pour les tester les probabilités et les risques liés à ces scénarios

n  Elaborer d’autres pensées à partir d’un tableau à colonnes (situations –pensées automatiques – pensées alternatives)

n  Modifier les croyances anxieuses concernant la survenue d’une attaque de panique

Clarck 1990

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+La spirale de la panique : exercice

n  Faire remémorer au patient la dernière et plus forte attaque de panique

n  Lui faire décrire étape par étape comment elles s’est développée à partir du modèle de la spirale de la panique

n  Au besoin, utiliser l’EFT pour traiter les sensations physiques et émotions associées.

+La spirale de la panique : le questionnement

n  Quelles sont les sensations physiques que vous avez ressenties lors de cette attaque de panique ?

n  Quand vous avez senti votre coeur battre très fort quelle pensées avez-vous eu ?

n  A ce moment qu’elle est la pire des choses que vous vous êtres dit ?

n  Quand vous vous êtes dit je fais une crise cardiaque, comment vous sentiez vous ?

n  Quand vous vous êtes senti anxieux de faire une attaque de panique, quelles sont les sensations que vous avez ressenties ?

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+Les procédures cognitives

n  La restructuration cognitive consiste, tout d’abord, à mettre en évidence les pensées dysfonctionnelles à partir des monologues intérieurs, des interprétations catastrophiques et des images mentales, principalement à propos des sensations corporelles qui participent à la spirale de la panique.

n  Elle fait appel à différentes techniques à partir du questionnement du patient (flèche descendante, Colonnes de Beck )

+Flèche descendante

n  C’est la technique du « pire du pire » ou du « et alors ? »

n  On travaille sur l’effet amplificateur et la menace accrue à chaque étape

n  On peut ainsi relativiser l’effet « cause – conséquence » entre le déclencheur et la pensée ultime en questionnant.

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+Flèche descendante

J’ai peur de faire une crise

Je ne pourrais pas rentrer chez moi

Il faudra appeler des secours

On m’amènera aux urgences

Je vais peut être rester à l’hôpital

Tout le monde pensera que je suis folle

+2ème temps : le travail sur les cognitions

n  Demander (ou se demander) si les pensées : n  sont adaptées ou non à la situation

n  sont réalistes ou exagérées

n  correspondent vraiment à ce que l’on pense au fond de soi

n  Poser (ou se poser) les bonnes questions : n  Quelles sont les preuves en faveur de ce que je pense ?

n  N’y a-t-il pas d’autres manières d’expliquer les faits ?

n  Si c’est exact, est-ce grave ?

n  Être amené à modifier ses cognitions

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+Modifier les pensées automatiques : le dialogue socratique

n  Questionnement socratique = aider le patient à remettre en question ses croyances n  Arguments pour/contre n  Probabilité de la catastrophe n  Pourcentage de croyance n  Autres interprétations possibles n  Décentrage

n  Exemple : n  « Si je fais une crise à l’extérieur de chez moi je pourrai être

hospitalisée et devenir folle » n  Degré de croyance dans le postulat : 50% n  Après questionnement 25 %

+Questionnement

En faveur de la possibilité de de devenir folle

Contre l’idée de devenir folle

1 Je ne sais pas comment ça peut Évoluer 2 On peut péter les plombs à tout Moment 3 Je n’arrive pas à me contrôler et ça m’inquiète beaucoup

1 Je vis normalement 2 Je ne ressemble pas à de gens qui ont des problèmes mentaux 3 On ne m’a jamais dit que j’étais folle

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+Restructuration cognitive en EFT

n  Même si je ne sais pas comment mes attaques de panique peuvent évoluer et que je me dis que je pourrais pêter les plombs à tout moment et devenir folle, je m’accepte comme je suis ».

n  Et c’est bien normal que cela m’inquiète car je n’arrive pas à me contrôler.

n  La réalité c’est je vis normalement, qu’on ne m’a jamais dis que j’étais folle et que je ne ressemble pas aux personnes qui ont des problèmes mentaux.

n  Je m’ouvre à la possibilité d’affronter ma peur et de la laisser partir

+Exercice durant une crise

n  Demander au patient de noter ses sensations et pensées automatiques sur le carnet à colonnes (Beck) quand il fait une crise

n  Lui demander de réfléchir à des pensées alternatives réalistes et de les noter sur le carnet

n  Lui demander de stimuler Gros Intestin 4, Estomac 36, et les 2 extra points

n  Lui demander de noter les différences

n  En dehors de la crise, lui demander de travailler en EFT selon le modèle précédent

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+Utilisation des colonnes de Beck (Aaron Beck, psychiatre américain concepteur de la théorie des schémas cognitifs)

+L’erreur de jugement ou d’interprétation

n  À partir de la mise en évidence des pensées automatiques, il est suggéré au patient que son interprétation résulte d’une erreur liée à l’anxiété. La méthode consiste à amener le patient à examiner les preuves concrètes et les probabilités que ses prédictions se réalisent.

n  Il faut permettre au patient d’élaborer un discours alternatif acceptable et plausible, par l’identification du type d’erreur logique (surestimation des probabilités et pensée catastrophique). La 1ère règle est de ne pas énoncer au patient la possibilité d’une erreur logique, mais de l’amener à évaluer lui-même la valeur de son interprétation.

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+Dédramatiser (et alors ?)

n  Après une explication de l’erreur logique avec le patient, l’inviter à réinterpréter la situation en dédramatisant.

n  Expliquer l’erreur de jugement et inviter le patient, lorsqu’il est confronté à la situation en réalité, à imaginer d’autres possibilités ou à se demander si réellement cela peut arriver comme il l’imagine.

+Alternatives

n  Tester une nouvelle hypothèse. Dans cette technique, le patient est encouragé à repérer les cognitions négatives et à envisager une éventualité plus réaliste au sujet de cet événement.

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+Restructuration cognitive

PENSEES ANXIEUSES PENSEES ALTERNATIVES

•  Je vais faire une crise cardiaque pendant le film et personne ne s’en rendra compte

•  Je vais attendre que cela passe •  j’ai déjà fait des petites crise

comme cela •  Je vais faire stimuler les points

méridiens comme on m’a appris pour me calmer

•  Un pincement comme cela est nerveux et cela ne ressemble pas à un malaise cardiaque

•  Quand je fais des attaques de panique j’ai souvent des pincement dans la poitrine qui finissent par passer

+4 - Exposition in vivo

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+L’exposition aux sensations redoutées : apprentissage

n  Rappeler le pourquoi de l’exposition et ses principes

n  Pratiquer les exercices : n  Avant l’exposition, faire prédire au patient les conséquences

redoutées, et vérifier ses prédictions

n  Pendant l’exposition, lui faire décrire ses sensations et ses pensées automatiques. Le patient doit se concentrer sur son anxiété et ne pas chercher à penser à autre chose. Laisser des temps de silence, ne pas parler tout le temps.

+L’exposition intéroceptive

n  Son objectif est d’exposer le patient aux manifestations physiques des attaques de panique, en les déclenchant au cabinet, en dehors de toute confrontation à des situations extérieures. Ainsi, en plus de l’effet de l’exposition sur l’anxiété, le patient poursuit la mise en place des stratégies de contrôle physique et de la restructuration cognitive.

n  Ramener le patient au calme en utilisant l’EFT et en ciblant les sensations physiques désagréables

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+Exemples d’exercices

n  secouer la tête (environ 30 secondes) ;

n  relever la tête (pendant 30 secondes) ;

n  monter et descendre rapidement ( marche d’escalier ou sur un tabouret), courir sur place pendant une minute ;

n  retenir sa respiration pendant 30 secondes ;

n  tendre son corps, faire une pompe ;

n  tourner sur soi chaise de bureau une minute ;

n  hyperventilation (respirer rapidement et profondément, comme pour gonfler un ballon.

n  respirer à l’aide d’une paille en pinçant le nez ( 1 mn)

+Hyperventilation : exercice

n  Exercice d’hyperventilation

n  Contrôle respiratoire et/ou EFT

n  Objectivation au moyen du biofeedback de variabilité cardiaque

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+Agoraphobie

+Paroles de thérapeute…

n  …. Les différentes formes de maladies que nous traitons ne peuvent être traitées par la même technique… Déjà les phobies nous obligent cependant à dépasser notre conduite actuelle.

n  On ne se rend guère maître d’une phobie si l’on attend que par l’analyse le malade se laisse déterminer à l’abandonner… Chez les agoraphobes graves, on a de succès qu’à condition de pouvoir les déterminer, par l’influence de l’analyse… donc à aller dans les rues pour affronter l’angoisse jusqu’à ce que celle-ci disparaisse.

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+Critères de l’agoraphobie

A. Peur ou anxiété significative dans au moins deux situations des cinq situations suivantes : •  être dans les transports en commun •  être dans un espace ouvert •  être dans un endroit confiné •  faire la queue ou être dans une foule •  se trouver seul hors de son domicile.

B. La personne évite ou craint les situations dont elle pense qu’il pourrait être difficile de s’échapper ou dans lesquelles elle pourrait ne pas trouver de secours si elle ressentait de symptômes à type de panique ou touts autres symptômes invalidants ou embarrassants.


C. La situation agoraphobique doit toujours provoquer de la peur ou de l’anxiété

D. La situation agoraphobique est activement évitée, requiert la nécessitent la présence d’un accompagnant ou est subie avec une peur ou une anxiété intense.

E. La peur ou l’anxiété est hors de proportion avec le danger réel posé par la situation agoraphobique et avec la situation socioculturelle

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F. La peur, l’anxiété ou l’évitement sont constants et durent depuis 6 mois ou plus.

G. La peur, l’anxiété ou l’évitement causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou toutes autres sphères importantes de la vie quotidienne.

H. Si une autre affection médicale est présente la peur, l’anxiété ou l’évitement sont nettement excessifs

I. La peur, l’anxiété ou l’évitement ne sont pas mieux expliquées par un autre trouble mental

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+TCC – EFT de l’Agoraphobie : la désensibilisation systématique

n  Joseph Wolpe (1958), à partir de l’hypothèse que les phobies, et plus généralement les névroses, correspondent à une réponse émotionnelle conditionnée, propose le premier traitement comportemental par désensibilisation systématique.

n  Le malade est mis grâce à la relaxation musculaire, dans un état physiologique antagoniste de l’anxiété; puis il est confronté pendant quelques secondes à un stimulus générateur d’une faible anxiété. Si cette confrontation est répétée plusieurs fois, le stimulus perd progressivement le pouvoir qu’il a de provoquer l’anxiété. On peut alors présenter des stimulus de « plus en plus forts » et les traiter de la même façon.

+La désensibilisation systématique Joseph Wolpe

�  Entrainement à la relaxation musculaire profonde : remplacé par la pratique de l’EFT

�  Plus efficace

�  Plus rapide

�  Utilisation d’une échelle d’estimation subjective de l’anxiété (SUD ou NAS)

�  Construction des hiérarchies d’anxiété

�  La confrontation entre la relaxation et les stimulus anxiogènes des hiérarchies

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+Hiérarchie sur le thème de l’anxiété des examens (Wolpe)

1)  Sur le chemin de l’université un jour d’examen

2)  En train de répondre sur une feuille d’examen

3)  Attendant l’ouverture des portes de la salle d’examen

4)  Attendant la distribution des feuilles d’examen

5)  La feuille d’examen est posée retournée sur la table

6)  La nuit qui précède l’examen

7)  La journée qui précède l’examen

8)  Deux jours avant un examen

9)  Trois jours avant un examen

10)  Quatre jours avant un examen

11)  Cinq jours avant un examen

12)  Une semaine avant un examen

13)  Deux semaines avant un examen

14)  Un mois avant un examen

+Evaluation

n  Choisir une situation qui représente la valeur maximale 100 et une situation qui ne déclenche aucune angoisse 0.

n  Situez chaque situation et attribuez lui une valeur entre 0 et 100.

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+La séance de désensibilisation

n  Patient relaxé yeux fermés

n  Lui faire imaginer la situation par suggestion

n  Evaluer le niveau d’anxiété

n  Pratiquez l’EFT

n  Imaginer à nouveau la situation

n  Réévaluer le niveau d’anxiété et la diminution…

n  Quand la situation ne déclenche plus d’anxiété on passe à la suivante

+Variantes proposées Wolpe

n  Utilisation de support audio

n  Désensibilisation en groupe

n  Désensibilisation « in vivo »

n  Réponse par la suggestion

n  Réponse par différentes techniques physique (Yoga, TRE, Méditation…).

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+Les inconvénients de la désensibilisation selon Wolpe

n  Relaxation musculaire pas toujours adaptée et longue

n  Evocation et suggestions complexes

n  Séance parfois longue et fastidieuse

n  Limite à des expositions au cours des entretiens

n  >>> Autant d’inconvénients supprimés avec l’utilisation de l’EFT

+L’exposition : les règles de base

n  Comme tout trouble anxio phobique, le trouble panique est aggravé par les évitements, et amélioré par les expositions, à condition que ces dernières aient lieu selon certaines règles strictes. n  Les exercices d’exposition doivent être suffisamment prolongés

(anxiété diminue de 50 %) n  Il faut répéter les exercices n  Graduels, de la situation la moins anxiogène à la situation la plus

anxiogène (hiérarchisation) n  Les exercices doivent être complets (attention aux évitements

subtils comme la distraction) n  Les exercices doivent être librement consentis (l’exposition

forcée ne serait pas efficace)

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+L’exposition : conseils au praticien

n  Bien expliquer le pourquoi de l’exposition (lui montrer les deux courbes d’évolution de l’angoisse)

n  Lui rappeler que les exercices d’exposition se feront toujours avec son accord et sous son contrôle

n  Faire avec le patient la liste des différents évitements (Situationnels et subtils)

n  Durant les exercices d’exposition, on réutilise les techniques de contrôle respiratoire et de restructuration cognitive

+L’exposition dans l’agoraphobie

n  L’exposition situationnelle n  par évocation ou suggestion

n  par visualisation

n  in vivo

n  par prescription de tâches

n  accompagnée du thérapeute

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+L’exposition situationnelle : apprentissage en séance

n  Rappeler le pourquoi de l’exposition, et ses principes

n  Lister les situations-problèmes

n  Accompagner le patient dans des situations, ou l’envoyer affronter les situations et lui demander de revenir ensuite en consultation

n  Lui donner des conseils précis pour l’exposition (durée, comment gérer l’anxiété physiologique avec la stimulation des différents points, que se dire…)

+Exposition Hiérarchisation des situations

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+L’exposition : apprentissage en séance

n  Rédaction détaillée (pensée, sensations) du récit de la première (ou de la plus forte) attaque de panique et de la situation agoraphobique, et relecture du scénario

n  Lecture d’une liste de mots anxiogènes en rapport avec les situations redoutées

+L’exposition en imagination : exercices entre les séances

n  Relectures de la liste de mots anxiogènes

n  Relectures régulières du récit de la première (ou de la plus forte attaque de panique)

n  Eventuellement, écoute d’un enregistrement audio de ce récit

n  Traitement des montées émotionnelles et sensations physiques avec EFT

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+Exposition par visualisation

n  Entrainement à des exercices de visualisation simples

n  Scénarisation de la situation agoraphobique

n  Exercice de visualisation mentale

Servant D. La relaxation. Nouvelles approches, nouvelles pratiques. 2009

+L’exposition situationnelles : exercices entre les séances

n  Construire un planning précis des exercices

n  Privilégier la faisabilité avant tout (mieux vaut des exercices faciles et réguliers qu’un exploit non renouvelé)

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+Etudes TCC et Trouble panique

n  Efficacité des TCC reconnue (nombreuses études)

n  Pas de recommandation officielle en France

n  En revanche, des recommandations anglosaxonnes existent

n  2 types de traitements ont été étudiés sur la prévention des attaques de panique: les antidépresseurs et les TCC

n  Résultats des revues et méta analyses récentes n  - Antidépresseur > Placebo n  - TCC > Liste d’attente n  - Antidépresseur et TCC: efficacité comparable

Mike. J Affect Disord 2005, Gould et al 2005, Otto et al 2001, Van Balkom et al 1997

+Self help thérapie

n  Manuel de thérapie pour le patient (Self help book) montrent efficacité sur certaines études

n  Association à contacts téléphoniques (infirmière, psychologue) en plus du suivi du Médecin Généraliste s’avère > à un traitement médical standard.

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+Faut-il associer les traitements ?

n  Médicaments + TCC > Médicament (phase aigue 8 à 12 semaines)

n  Antidépresseur +TCC > Antidépresseur Phase de suivi (6-24 mois)

n  Antidépresseur +TCC > TCC (Phase aigue)

n  Antidépresseur + TCC = TCC (Phase de suivi après arrêt)

Furakawa et al Brit J Psychiatry 2006

+Pour en savoir plus

n  Gestion du stress et de l’anxiété. D. Servant Masson 2012

n  La relaxation : nouvelles approches, nouvelles pratiques. D. Servant Masson 2009

n  Site de contenu http://www.soignerle-stress.fr

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+Travail sur les symptômes physiques

© 2013 IFPEC

+L’EFT sur les douleurs

n  Première question à poser : « Avez-vous consulté un médecin ? ».

n  Dans le cas d’une douleur présente, demander à la personne de la décrite précisément.

n  Est-ce diffus ? Tranchant ? Chaud ? Froid ? C’est quel genre de matière ? Quelle couleur ? Est-ce que ça bouge ? Est-ce que ça vibre ?

n  Chercher les déclencheurs avec des questions basiques sur les ressentis et les émotions : n  Depuis quand avez vous cette douleur ?

n  Que se passait-il dans votre vie à ce moment précis ?

© 2013 IFPEC

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n  Où et quand la douleur se déclenche t-elle ?

n  Quand est-ce que cela s’active et se désactive ?

n  Si plusieurs douleurs commencez par traiter les zones les plus douloureuses d’abord.

n  Pratiquez l’EFT sur :

n  La douleur elle-même

n  Ce qui se passait dans la vie de la personne au moment où la douleur est arrivée

n  Les émotions associées avec cette partie du corps

n  La fonction protectrice de la douleur

© 2013 IFPEC


n Prenez en compte les inversions psychologiques dès le départ n Test musculaire :

n  « j’ai envie de me libérer de ma douleur / j’ai besoin de ma douleur »

n  J’ai au moins une bonne raison de me libérer de ma douleur / deux bonnes raisons / etc.

n  Je suis en sécurité si je lâche ma douleur / etc.

© 2013 IFPEC

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+PROCESSUS DE CERTIFICATION PRATICIEN EFT CLINIQUE

+Certifications IFPEC

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+Certification Prat EFT Clinique

EFT 1

• 2 jours • Les bases de l’EFT • Une supervision conseillée

Technicien

• 3 jours • Les fondamentaux de la PE / IES / IP / Attaque de panique • Une supervision conseillée

EFT 2

• 2 jours • Les techniques douces / enfants / skype • Une supervision conseillée

Praticien

• 3 jours • Allergies troubles anxieux

+Certification Praticien EFT Clinique n  Suivre le module 1 EFT (2 jours) + Technicien (3 jours) +

module 2 EFT (2 jours) + Praticien EFT (3 jours), soit 10 jours au total. Les personnes qui ont déjà suivi les modules 1 et 2 avec des formateurs agrées IFPEC peuvent intégrer directement les stages Technicien et Praticien.

n  Lire les textes et les études disponibles sur le site de l’IFPEC et réservés aux stagiaires.

n  Lire des livres complémentaires : EFT Libération émotionnelle (JM Gurret), le Manuel de l’EFT (Gary Craig), le génie dans vos gènes (Dawson Church), la biologie des croyances (Bruce Lipton)

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+Certification Praticien EFT Clinique n  Valider au moins 3 supervisions avec votre formateur ou un

formateur agréé IFPEC. Pour valider la supervision, votre superviseur doit pouvoir vérifier que vous êtes capable d’identifier une cible avec précision, de détecter la présence d’interférences énergétiques du système et celle d’éventuelles inversions psychologiques grâce au test musculaire, de les corriger et de traiter la cible avec une séquence d’EFT, puis de tester votre travail, de stabiliser la personne que vous accompagnez et de conclure une séance en douceur. Les supervisions s’effectuent soit lors de journées collectives durant lesquelles une dizaine de stagiaires (maximum) passent tout à tour en démonstration devant le groupe.

+Certification Praticien EFT Clinique n  (suite) Chaque participant reçoit un feed-back qui profite à

l’ensemble du groupe. Il est également possible de réaliser les supervisions à distance. Dans ce deuxième cas, vous filmez votre séance avec un patient (durée maximale de 35 minutes). Votre superviseur prend des notes et vous fait une restitution par Skype ou téléphone en dégageant les points à améliorer le cas échéant. Le total de cette supervision est d’une heure et facturé en conséquence directement par votre superviseur.

n  Réaliser 47 séances complémentaires (soit 50 séances au total avec les 3 supervisions) et nous retourner les fiches dument remplies en une seule fois de préférence. Un maximum de 4 séances avec le même patient/client est accepté.

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+Certification Praticien EFT Clinique n  Effectuer un travail sur vous dans le cadre de la Procédure de

Paix Personnelle d’au moins 15 heures.

n  Réaliser un minimum de 8 séances de travail sur vous avec un thérapeute énergéticien (psychologue clinicienne ou psychothérapeute) agréé par l’IFPEC. Ces séances sont réglées directement à la personne que vous choisissez dans la liste disponible sur le site de l’IFPEC.

+Certification Maître Praticien EFT Clinique

n  Etre certifié Praticien EFT Clinique

n  Etre en activité et avoir réalisé un minimum de 300 séances d’EFT dans un cadre professionnel (cabinet libéral ou institution)

n  Avoir suivi le module 3 EFT (2 jours) + le stage Maître Praticien EFT (4 jours), soit 6 journées supplémentaires.

n  Réaliser un mémoire d’une vingtaine de pages sur le suivi d’un cas complexe sur au moins 6 séances (un document contenant les consignes rédactionnelles vous est remis sur demande). Une séance sera filmée et supervisée. Votre superviseur vérifiera que vous tenez compte de ses remarques lors d’une deuxième vidéo qui sera filmée vers la fin de votre travail avec votre patient/client.

03/04/16

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+Certification Maître Praticien EFT Clinique

n  Réaliser, en plus des séances déjà effectuées dans le cadre de la certification Praticien EFT Clinique, un minimum de 8 séances de travail sur vous avec un thérapeute énergéticien (psychologue clinicienne ou psychothérapeute) agréé par l’IFPEC. Ces séances sont réglées directement à la personne que vous choisissez dans la liste disponible sur le site de l’IFPEC.

Documents

TECHNICIEN EFT 01 - IFPEC · 03/04/16 2 + Conclure une séance + Conclure en douceur n Phrases de conclusion = n « Même si je n’ai pas tout traité et qu’il m’en reste beaucoup