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7/25/2019 Strategie Gestion Risques Mte 98
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- fase IV, Expertise, slechts uitzonderlijk toegepast, indien de eerste fasen niet toelieten om
treffende preventiemaatregelen te bepalen. Duurdere en meer gespecialiseerdeonderzoekstechnieken zijn dan vereist.
Het document stemt tot nadenken betreffende de toebedeelde taak van de verschillende
analysefasen, de vereiste bekwaamheden van en de complementariteit tussen de verschillende
partijen.
ABSTRACT
After having defined the terms risk factors, hazards, damages, severity, exposure, risk,...., thedocument proposes a general strategy for the prevention of risks including four steps of increasing
complexity:
step 1: Screening, where the main risk factors are identified and immediate solutions taken if
possible;
step 2: Observation, where all the risk factors are comprehensively considered, the risks briefly
estimated and simple methods of prevention decided;
step 3: Analysis, performed if necessary, where the working conditions are studied in moredetails in order to identify less obvious prevention measures;
step 4: Expertise, performed only in the few cases where the first steps have not made possible
to take appropriate prevention measures . More specialised but costly investigation methods are
utilized.
The document makes suggestions concerning the tasks to be performed at each step, the capacities
required from and the complementarity between the different people involved in the strategy.
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1. faire en sorte que la terminologie soit claire et que tous les acteurs de la prvention aient la
mme comprhension de termes tels que facteurs de risque, dommages, risques, prvention,protection, ...;
2. faire en sorte que l'ensemble des problmes conditionnant la sant et la scurit soient
considrs et non pas seulement les plus vidents ou ceux qui correspondent aux comptences
disponibles;
3. faire en sorte que la prvention des risques puisse tre effectivement mise en place, non
seulement dans les grandes entreprises o les comptences sont plus aisment disponibles,
mais aussi dans les petites et moyennes entreprises;4. structurer l'approche de la prvention de manire profiter des comptences disponibles et
assurer la complmentarit entre les diffrents intervenants.
Le document cherche dcrire dans les grandes lignes une "Stratgie gnrale de prvention des
risques".
Cette stratgie doit tre suffisamment expliciteque pour pouvoir dfinir:
quisont les intervenants (internes, externes, experts, ....);
ce qu'ils peuvent ou doiventmener comme actions d'analyse ou de prvention; les comptencesqu'ils doivent avoir;
les complmentaritsavec les autres intervenants.
Elle doit cependant tre suffisamment gnraleque pour rester une exigence d'objectif et permettre
dadapter les moyens aux problmes rencontrs, la taille de l'entreprise et aux comptences
disponibles en interne et en externe.
L'objectif de la stratgie est bien la prvention des risques; ltude des risques n'est pas un but en
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La stratgie propose est une stratgie diffrents niveaux de complexit croissante et requrant
des comptences de plus en plus pousses. La dmarche s'arrte lorsque les informationsrecueillies sont suffisantes pour dfinir les mesures de prvention et de protection telles que le
risque rsiduel soit acceptable.
L'ergonomie a pour objectif l'adaptation de toutes les facettes des conditions de travail aux capacits
physiques et mentales des travailleurs et, par l, amliorer le fonctionnement des entreprises. Elle
est tout autant concerne par la prvention des accidents de travail que des maladies
professionnelles et par toutes les atteintes possibles au dveloppement physiologique,psychologique et mental des travailleurs. Elle est ainsi l'essence mme de toute stratgie
intgre de prvention de l'ensemble des risques au sens large, par opposition l'approche
consistant mener sparment et au hasard des lgislations, destudes d'un risque particulier.
Le document s'adresse aux chefs d 'entreprisesresponsables de la prvention et aux
conseillers en prvention et protection,tant internes qu'externes, qui seront chargs
de mettre en oeuvre cette prvention.
II. DEFINITIONS ET CONCEPTS
La procdure de prvention des risques utilise 10 concepts prcis dfinis ci-dessous en donnant
des exemples dans les trois domaines des accidents, des maladies professionnelles et du bien
tre.
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Lappellation "facteur de risque" parat donc la plus logique.
Ces facteurs de risque peuvent tre relatifs lascurit:le travail en hauteur, un sol ingal, lutilisation dun couteau, llectricit, ... ;
lasant physiologique: le bruit, les solvants, le port de charges, ....;
le bien-tre, le confort et le dveloppement personnel: le travail post, l'autonomie, les
relations, le stress ....
2. Le second concept est celui deffet, dedommage, qui peut rsulter de ces facteurs de risque.
Dans les trois catgories de facteurs de risque dfinies ci-dessus, il peut sagir de
fractures, entorses, coupures, lectrocutions ....; surdits, intoxications, douleurs lombaires ...;
troubles de concentration, fatigue, manque de libert, manque d'informations,...
3. Le troisime concept est la gravitde ces dommages ou effets pour le maintien de l'intgrit
physiologique et psychologique des personnes concernes. Cette gravit peut tre dfinie sur
base:
de lincapacit de travail temporaire (I.T.T.) ou permanente (I.T.P.), voire de la menace
pour la vie dans le cas des facteurs de risque de scurit; des effets sur la sant, rversibles ou non, pour les facteurs de risque susceptibles
davoir des effets physiologiques;
de l'interfrence avec le bien-tre, la satisfaction, la motivation du travailleur, pour les
facteurs de risque sociaux et organisationnels.
On peut caractriser la gravit au moyen d'une chelle qualitative telle que:
pas de gravit
f ibl it l bl ITT i t f
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vouloir nier limportance de ces - et de nos - travaux, force est de constater que ces mthodes
[14, 16] sont extrmement - et probablement utopiquement compliques et ont trs peu dechance dtre rellement utilises sur le terrain. De telles valuations quantitatives sont donc
souvent difficile, longues, coteuses et peu ncessaires, du moins a priori.
Par ailleurs, pour la plupart des facteurs de risque, de tels concepts nexistent pas, de sorte
quune chelle qualitative telle que la suivante doit tre utilise:
Exposition Frquence ou Dure (% du temps)
rare 1 fois par an < 0,1%
inhabituelle 1 fois par mois 0,1 - 1% occasionnelle 1 fois par semaine 1 5%
frquente 1 fois par jour 5 10%
trs frquente 1 fois par heure 10 50%
continue > 50%
Dautres chelles qualitatives ou semi-quantitatives peuvent tre nouveau trouves dans la
littrature [1, 8, 11, 19].5. Le cinquime concept est la probabilitde survenue du dommage pendantlexposition, mais
sans tenir compte de la dure ou de la frquence de cette exposition. Cette tape est souvent
intgre la suivante: lvaluation du risque proprement dit, compte tenu de la dure ou de la
frquence dexposition. Sa considration, de manire spare, est assez subtile et ne simpose
pas lors de lapproche sommaire de dpistage o les solutions immdiates de prvention sont
recherches. Elle savre plus indispensable lors dapprofondissements ultrieurs.
C tt b bilit t f ti d diti d t il ll fi bilit d hi
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Ces facteurs individuels sont donc des facteurs aggravants et lappellation "cofacteurs" de
risquedit bien de quoi il sagit.Lamotte et Van Emelen [12] donnent aux termes "facteurs de risque" une signification plus large
puisquil sagit de "chaque lment soit collectif, soit individuel, associ au danger et dterminant
le risque", englobant ds lors sous cette appellation, galement, la "probabilit (de lvnement)
de se produire avec ou sans dommage personnel", ainsi que la dure, lintensit ou la
frquence dexposition.
6. Le sixime concept est celui du risqueproprement dit, c..d., de la probabilit de survenue dun
effet dune certaine gravit, en tenant compte de lexpositionau facteur de risqueet de laprobabilitde cet effet pendantcette exposition.
Ce risque peut tre valu quantitativement si les gravit, exposition et probabilit ont elles-mmes
t quantifies. Cela peut tre intressant pour comparer diffrents risques et dfinir les
priorits, ou pour comparer le risque avant et aprs diverses modifications possibles. La
mthode Kinney [11] permet d'ailleurs d'aller plus dans cette voie en comparant les mrites de
diffrentes solutions techniques de cots diffrents. Nous voudrions cependant insister sur le fait
que lintrt principal de la procdure telle quanalyse jusqu prsent nest pas la quantificationdu risque en elle-mme, mais la rflexion sur les dommages et effets potentiels, lobservation de
lexposition, ltude de linfluence des cofacteurs. Ces tapes, souvent considres comme
intermdiaires, sont les plus essentielles dans la dmarche de prvention et la quantification du
risque pourrait tre larbre qui fait oublier de bien connatre la fort.
La plupart du temps, lvaluation quantitative du risque est superflue et une valuation qualitative telle
que propose par Hawkins et coll. [8] suffit: cest dessein que, ci-dessus, nous avons omis
h ll tit ti
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risque trs lev ou inefficacement matris.
8. Laprvention. Les moyensde prvention sont les mesures techniques ou organisationnellescollectives susceptibles d'liminer le facteur de risque, de rduire la gravit du dommage, de
diminuer l'exposition ou la probabilitdu dommage, c..d. en fait, dagir sur certains ou tous les
lments dfinis ci-dessus, de manire rduire le "risque". Les exemples paraissent vidents
pour illustrer que la recherche de solutions dpend plus des lments de l'tude du risque que
de la valeur finale du risque.
9. Laprotection: dfaut de mesures de prvention supprimant le risque, il est, dans certains cas,
ncessaire de recourir des moyens de protection individuels. Il s'agit des moyens deprotection ports par le travailleur dans le but de rduire la probabilit du dommage: souliers de
scurit, coquilles antibruit, masques, lunettes pour le travail sur cran, ...
10. La surveillance mdicale: par surveillance mdicale, nous entendons ici les examens de sant
spcialiss tels que tests fonctionnels respiratoires, examens audiomtriques, ... raliss de
manire sassurer quun travailleur expos un risque et donc pour lequel il y a une certaine
probabilit de dveloppement dun dommage, na pas subi ce dommage.
Cette surveillance mdicale nest pas, comme chacun le sait, le seul rle du mdecin du travail, et,dans la dmarche dcrite ci-dessous, il sera le partenaire indispensable dautres prventeurs,
pour la dfinition, en particulier mais non exclusivement, des dommages potentiels, de leur
gravit, et lapprciation du caractre acceptable ou non du risque.
La surveillance mdicale telle que dfinie, c..d. la ralisation dexamens spcialiss en rapport
avec un dommage spcifique, ne peut tre dtermine, comme cest le cas dans certaines
lgislations, partir seulement de lexistence dun facteur de risque mais bien en fonction du
i C t i ti t dj h t d C t l d
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quelques cas particulirement complexes uniquement, la participation dexperts devient
indispensable.De nombreuses techniques sont disponibles. LANPAT [2] en a list dix, allant de ltude de la
littrature la mthode HAZOP ou la mthode MORT, en passant par ltude de poste de travail.
Ces mthodes nont videmment pas le mme poids, ni le mme champ dapplication; elles ne sont
pas utilisables par les mmes personnes et dans toutes les entreprises. Nous tant plac demble
dans le contexte des PME, nous pensons que les seuls outils utilisables sont les listes de contrle,
les audits simples, les tudes de postes et de tches, tandis que les mthodes HAZOP, AMDEC,
WHAT-IF et autres SWIFT seront rservs aux spcialistes et aux circonstances particulirementgraves.
La stratgie propose obit au schma de la figure 1.
Figure 1: Schma gnral de la stratgie de prvention des risques
ETUDE DES RISQUES
1. facteurs de risque
2. dommages
3. gravit
4. exposition
5. probabilit
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Figure 1
Schma gnral de la stratgie de prvention des risques en milieu de travail
Elle comprend quatre tapes successives: Dpistage, Observation, Analyse et Expertise.
1. Etape I de Dpistage
Il sagit ici seulement didentifier les "problmes" principaux et de remdier aux erreurs flagrantes
telles que trous dans le sol, rcipients contenant un solvant et laisss labandon, cran tourn vers
une fentre, ... . A ce stade, il serait vain de requrir un usage rigoureux des termes. On parlera de
"problmes" dans lacception gnrale du langage courant.
Cette identification doit tre ralise de manire interne lentreprise, par un prventeur, voirelemployeur lui-mme dans les PME, avec la collaboration des travailleurs. Pour ce faire, il leur faut
un outil simple et rapide tel quune liste de contrle tablie pour leur secteur industriel. De
nombreuses listes ont t dresses soit par des services mdicaux interentreprises, soit par des
prventeurs de scurit. Il serait utile de les centraliser, de les uniformiser avant de les redistribuer
de faon large. Le mieux est lennemi du bien et, face limmobilisme et aux contraintes de temps,
il est probablement prfrable de simplifier fortement ces listes de manire cibler lessentiel.
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Cette tape II dObservationrequiert une connaissance intime de la situation de travail sous ses
diffrents aspects, ses variantes, les fonctionnements normaux et anormaux. Cette Observationdoittre globale, c..d., couvrir tous les facteurs de risque, indpendamment de la formation de la
personne conduisant l'tude. Il est donc souhaitable qu'elle soit ralise partir de listes de
contrle plus compltes et plus dtailles que celles utilises lors de ltape I de Dpistage, listes
qui passent en revue tous les facteurs de risque susceptibles dtre rencontrs, donnent des ordres
de grandeur du degr dexposition et indiquent les mthodes de prvention les plus courantes. A
nouveau, des listes de contrle adaptes aux diffrents secteurs seraient dvelopper cette fin.
Il est non seulement souhaitable mais indispensable que cette tape II dObservationsoit ralise
par des responsables de prvention internes l'entreprise. Ceux-ci doivent disposer au minimum
d'une sensibilisation aux facteurs de risque non seulement de scurit mais aussi de sant et de
bien-tre au travail et l'approche ergonomique, c..d. globale et participative de ces problmes.
La profondeur de cette tape II dObservationsera variable en fonction du facteur de risque abord
et en fonction de l'entreprise et de la comptence du prventeur. Dans une petiteentreprise de
moins de 20 personnes, lemployeur lui-mme devrait pouvoir identifier les facteurs de risqueprincipaux au moyen de la liste de contrle courte de Dpistage, mais un intervenant externe sera
gnralement ncessaire pour ltape II dObservation, avec valuations qualitatives de lexposition
et des risques et recherche des mesures simples de prvention et de protection susceptibles de
limiter, voire dliminer ces risques. Dans une moyenneentreprise, une part plus importante du
travail sera assure dans l'entreprise elle-mme et un service externe ninterviendra que pour les
tudes plus dtailles et plus spcifiques et/ou pour des avis plus spcialiss sur les moyens de
ti t d t ti E fi d l d t i f ti i t t l ti
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inacceptables, lurgence dune tude complmentaire en fonction de la svrit de ces risques
rsiduels et les objectifs poursuivre.4. Etape IV dExpertise
La collaboration de personnes trs spcialises est cette fois ncessaire. Elles connaissent mal la
situation de travail et vont apporter aux prventeurs internes et externes leur comptence
mthodologique et technique. Des mesurages trs particuliers seront peut-tre raliss:
rverbration, rayonnement lectromagntique, charge mentale lors dun contrle de processus
complexe. De telles tudes doivent rester occasionnelles et circonstancies. Elles doivent treralises selon un cahier des charges prcis tabli par les prventeurs internes aux entreprises.
Elles ne sont pas gnralement globales et participatives mais orientes vers un facteur de risque
trs particulier. Il s'avre donc ncessaire de remettre les donnes, rsultats, recommandations,
dans le contexte de la situation de travail, ce qui ne peut tre ralis qu'avec la collaboration des
prventeurs internes et des partenaires.
IV. PRINCIPES REGISSANT CETTE DEMARCHETrois principes semblent essentiels la base de la stratgie gnrale de prvention des risques: la
globalit, la participation et la complmentarit.
1. L'approche est globale: le bien-tre, le comportement, la satisfaction, la sant du travailleur ne
dpendent pas d'un facteur de risque isol, mais de l'ensemble de ces facteurs et de leurs
interactions. Il ne s'agit donc pas de mener des tudes spares risque par risque, mais de mener
l' d d l' bl d i l l ill
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A un certain stade, fonction de la svrit du risque et de limminence ou non des mesures deprvention, la nature de la surveillance mdicale ventuelle est dtermine.
Il est ncessaire que le prventeur "gnraliste" conduisant l'approche aux niveaux infrieurs,
reconnaisse ses limites de comptence et s'adjoigne des prventeurs de plus en plus spcialiss,
si cela est ncessaire pour la recherche de solutions. Les prventeurs ne se remplacent pas, ils se
compltent. Il n'y a donc pas de "prise en charge" des problmes par des intervenants extrieurs
partir d'un certain niveau et - a fortiori - dans leur entiret. Il n'y a pas non plus transfert et "abandon"
des problmes par l'entreprise vers des prventeurs extrieurs.
V. IMBRICATION DE LERGONOMIE
Lapproche ergonomique consiste considrer d'emble l'ensemble des facteurs de risque
physiques, physiologiques, psychologiques ou sociaux lis au travail. L'ergonomie n'est donc pas
l'apanage de telle ou telle discipline (mdecins, psychologues, ingnieurs, ...), mais fait
fondamentalement appel toutes les comptences, et en particulier, celles des travailleurs et deleur encadrement. L'ergonomie ne consiste pas s'intresser aux aspects anthropomtriques ou
physiologiques ou psychologiques, mais considrer l'ensemble de ces composantes, de manire
les adapter au mieux aux caractristiques et aux capacits des travailleurs en gnral ou de
chaque travailleur en particulier.
Cette adaptation doit tre bnfique aux travailleurs, par une rduction des risques, de la pnibilit
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Les missions et les comptences requises aux tapes successives de la gestion des risques
devraient pouvoir tre mieux dfinies, de mme que le moment o et la faon dont lesprventeurs externes et les experts doivent assister les prventeurs internes dans cette gestion.
VII. REFERENCE
1. ANPAT, Evaluation du risque. Lgislation en pratique n 7. ANPAT, 1995.
2. ANPAT, Prvention des risques. Fiche dAction 4, 1997.
3. BS 8800, Guide to occupational health and safety management systems. BSI,1996.4. COMMISSION EUROPEENNE, Mmento pour lvaluation des risques professionnels. Commission
europenne, 1996.
5. CEE, Directive du Conseil concernant la mise en oeuvre de mesures visant promouvoir
l'amlioration de la scurit et de la sant des travailleurs au travail. 89/391/CEE du 12 juin 1989.
6. EN 482,Workplace atmospheres - General requirements for the performance of procedures for the
measurement of chemical agents. European Standard, July 1994.
7. EUROPEAN CENTRE FOR ECOTOXICOLOGY AND TOXICOLOGY OF CHEMICALS.Assessmentfactors in human health risk assessment. TECHNICAL REPORT NO 68. ECETOC, 1995.
8. HAWKINS N.C., NORWOOD S.K., ROCK J.C., A strategy for occupational exposure assessment.
American Industrial Hygiene Association,Akron, Ohio, 1991.
9. JAMMAL A., ALLARD R., LOSLIER G., Dictionnaire dpidmiologie. Maloine s.a., Paris, 1988.
10. KAUPPINEN T.P.,Assessment of exposure in occupational epidemiology. Scand. J. Work Environ.
Health, 20, special issue, 19-29, 1994.
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Etape I
DEPISTAGE
Etape II
OBSERVATION
Etape III
ANALYSE
Etape IV
EXPERTISE
Quand ? Comment ?
Cot ?
Par qui ?
Comptence
travail
ergonomie
Tous les casObservations
simples
Faible
10 minutes
Personnes delentreprise
levemoyenne
Si problmeObservations
quali tatives
Faible
2 heures
Personnes delentreprise
levemoyenne
Cas difficilesObservations
quanti tatives
Moyen
2 jours
Personnes delentreprise
+ Prventeurs
moyenneleve
Cas complexesMesurages
spcialiss
Elev
2 semaines
Personnes delentreprise
+ Prventeurs+ Expertsfaiblespcialise
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