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La suggestion mentaleet l'action des
médicaments à distance/ par Eugène Alliot,...
Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque H. Ey. C.H. de Sainte-Anne
Alliot, Eugène. La suggestion mentale et l'action des médicaments à distance / par Eugène Alliot,.... 1886.
1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de laBnF.Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : *La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. *La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produitsélaborés ou de fourniture de service. Cliquer ici pour accéder aux tarifs et à la licence 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : *des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sansl'autorisation préalable du titulaire des droits. *des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèquemunicipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateurde vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de nonrespect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter [email protected].
AUiot E.
f~y~~
r~M~t des FM~c~~ï~M~
~M~FtC<?.
JB. Baillière
Paris 1886
Symbole applicable
pour tout, ou partiedes documents microfitmés
Ong<na! illisible
M~X 43-120-10
Symbole applicable
pour tout, ou partiedes documents microfitmés
Texte détértoré retire défectueuse
NFZ43-120-H
J.-B. BAiLLIÈRE ET F!Ls
t~ rue Hautefeuttk~ près te boutevard S~nt'Germain
1886
SUGGESTION MENTALE
~MmiM~ A- DISTANCE
.ï .\e'<<?M~'o~ (/.o/r-<C~
PARIS
/7/
A' :.j!
PAU Ecc~H ALUOT
Mudcettt
Lnm;Utcrccstu!tcn~tan)')p!!<e
f!crc!<pn!.dc<.ju<t('ut<;ntanuctcn.[u<tnut repose.
~J~
~66EST~
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D~~S~~D~Ç~N~~~~Aw~1lS~~lNC~~
~L-r~~ PAa ~u~~rti~ALLI:OT~
~Y~M~n~ "('
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La Mtat;ère est Mnèe métamorphose
de t'esprk, dequi toutétoaneet~
~M~M~MM~
~?~PARIS~
~&BAîLHËRJE/ET FiM
19, rue Ha~fiBame/ pf&s !e boutevard Samt-Germam
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M< 1~ d~cte~ A. potier ta reMon de
p~~mèn~s auMi nouvea~~
~Roch~ort~ pM~'M~le~ p~~sasëtn~ Bomm
~Bûi'ot.bs~~
et Ptc~o~ ,~oc~ellet'et _1:'i1iea~du:' Cljé;t~~1\
~~O~
L& c0 mémotr~, reînarquabïeà tou6 tes
titt~a~ noMStMptM qui nous semMent
po~~ se~r & rex~ de qu~qaes-~n~ de c<M
< ti'av~! a po~c but de soumettre aa
Jugement du PJli,IoBop~ique. rCe~ son~bases sor ta doctrme d~ v
tit~~ et sur une nou-
~et!~ &éone dé l~Ïectr~
< M. E y~ng (de Genève), t dit M Beïjon, & ta Rn~e aon tfa~ écrMt d~ja, ëh1883, que les mani~s-
B tations si stugutierement variées, si souvent obscurea,
< ~~qu~ ïes ~o~ ~e~, sont !om
~d'être expïtq parfois & admettre l'ac-
far. c~s ïncon~.u~~ des ptysMiens. Ït ajoute,
w avec raiso~ q~ de choseB, on dott com*
me~ce~ p~ J~s,ci~~oUst.6, physiques
'irv'
dan~iesquet~
science poMttve, ~'ailréursv~ce ~ti,diQiëux ~âb~é:rv~v
teur,nenie~ :re.*l~.te~e:pp~,it,i'B dans FùniveMt de
~eïî~T!
? ment contées. Sans douter ïe champ de ~mconnu
t e~ttïnmenae etAoïts~d~~
~nouveUôs conquêtes, pa~
~dïque,='
M. Ifu~ ,¡ët~:a:~ei~IÍcé' ont iM~ t~~ ~e hé
pasmer ~c~ ~o~~ïble; di~~zs d'ün~érs, de ~cés v-:
~c~
mëne, force prodùc~ice et î~
coKnaiss&nt encore aucune force, tl est certain que
ragent de tous Ïes phénomènes nàtureïs est eo~
'"absûtuinent'iMonnu.
Les pnystCieDs ne connàïssent
puM~ils peMent que !a pesàtiteur, Ïe son, Ïè caloiriqué
l&tnmiëreetlema~ ~~on~t':qu~d~4't8:
tions d'un 4~< unique ~tMcohnu q~ sup-
posent q~e cet inconnu est~~o.tÍri~rr.
`~'
sent les eïfëts,disent't~
toent et la nature et îe mode d'actïbn.
Comme les p~~ yottatre croyait & Pûnité de
Ïorce, à un agent unique~ e~M~ re~p~matt v
MHSt~' ~?"
Moteur data?8 iMttu~onts ~ërveitle'tx dea sens ? &u~~ m~ des rap-
°
ports st étonnants eatM lea yeux oi t~ tnmièM, ~ntM atmos-
phère et tes oreiUes, poup qu~~toncoM besoin d'àccompHtson ouvr~p~r un autr$ so~a~t~à~M t~iar~
pM teâ yoïea pt~ c~our~ ion du ptoco~é ëat im-
pniMan~; ià~mtip!x~t6 desao~
e~~ ~~c~0 ~wc y~
~?0~ q~a'a~: pr~a~pe ~,i~tet·eet, éter. ~etw
it`
wvo~r deux CM*~ia ~Mënt sem-
;;dï~é~tï~`~~l~~ï~d~i~e'r~ `~<.r~
r~n rautM a'Ha sont s~atbtàbloa, c'est conamo a'il n~y ec
ava~q~ ;u~at~~ !e gr&nd toat in~&imentvarié &n&ohcè ?& aeat prmcïpe co prmcipe doit agif enB ~o~
etfe, ou R ~'oat p~s pnnoijB~S~r~it aar to~ sur touswles ~~todes~rde i~ut
être. 1! n'y a donc pas an sottï moavMMBL un seuï m~, v
UMMMÏe Ï~~ ~e s~oxt:1'e~fet~ ia.xao~é`diat c~in~. :cause uia~i·
~rr~~er~te.`La mattère de l'uoiveM appa~tent donc à to~t autant
qoe les idées, et les idées tout autant que tama~èpe. ~`
~Dïr,e ne~ quetqu~ ohéoe-1 es t hi~r~ae lui$. ca s~a.ï.~t .drre qu
D~ q~eqweïque<ïho~ grand font. D<CM~< r~~<t~M~ .de: t~utes t~s: o~io,~es, toutes oaa~st~nt tic en: c<
t.MM~{l).
f impuissance de la physique & découvre raient M~
Mpér dont, cependant, elle admet rexistencC)
permet de oroire que celui-Ct n'est pas entiërement de
s~ et;que. ~eutr~tre une autre sotence, la m~
taphysique pourratt nous îe faire conna~M
Cette hypothèse nous a conduit à une nouveHe théopte v
~de''Meet~té~~
Suivant cette th~OMe,ie~~Û éïectrique appartien-
v drait & Ta phyM~ par tes effets matériels dont it nous
rend témoins et reÏëYerait de îa métaphysique par son
iayisibiïité et son impohdérabtiité, comme paf les y
phénomènes p~ qu'i! détermine; pïacé sur ies
timites de ces deux sciences, au sommet de !& première, v
& Ï~ ba~~ la secoude, iHes retierait comme teain~e
(~Z~<t<&Vt.lD~M~~ Ir,
~s~~
/r&tm~té~al~~
.d~< ::CQmm~ae:demîè-rf':p.r'>
1~
,,(insa~issa~~le etitUpondépaMet (~~ .I.P! '6e:4g~ ¡.
~0~
p~pTi~ eiùdiâglolub, lé. -de.-la a 1.~d
tempéra~tuM~ a' '~diffëréiité ~qüeis
t~re~ d~r
&u Cui~e~m~ ..et. imbondërabl ,l~pp~~#è,té:cié:suMr des metamorphosea~a~ :'pre~d~è.>"
d~àndbnn~ ~të! 'l'état, ~mtitéçiel: \rlsib.è"
et po&dêraMe~ pour crée~',a''1.Îl11er", :dirj(er"~e~: QO~P~
modii~ et vacteï' les ~nnea?
Cet~ théorie po~Hne~doctpm~~ de ~id~t~é de&
Suides nerveu~ eté!e(;~
oppose Jtes expérience~ 'q1)e"lêij:nèr;3:.
condu~entl~ectnctté q~ moin$:~ bÍ~4~~ 'l: :<i~¡:
muscles, et des minions de fois moins bien que tes
'<:aux. ~1~
Mais, Ïoih un obstacle à r&ccompïisseïnent du
rôle de l'électricité dans les fonctions du système ne~
~)B!n t'4~t4,-rhydMg&n~n'&pae~p~ 'Y:
~~t~smmoB~er ïa pt<'Mipa&tmMpM~q~, ~ow M <~tgaf v~M )~"
~tMa eh à~btsaaat des- etMooMatvea, qot leoondntM~ & Mt&td'Athe! S'U MMsemMe &v<xtran peida, ~st qoe,
~at le pesé)', Mmttommes oMt~ de Ten~Mm~ot, MMmel'ét~mal, en
pMdMt s&MbertA,H perd QMpattie aè a&pu!9~cè, deséa pMpfiet~
~M'
~r~ âne cen< -szne ~~u~2. & ~t, ~Ïe
~pt~q~e~~a~suite~~s
réàctioM ~tectr~ ";<;
'"î' "tii-e' "D, 'J, _iu:,w~iH~'r.
se proâm-
raient po~n~st~ ~ait n~e, eonm~ c<e~
t~~ iSt&ts~ c~ractértsés pa!' une p&ï'&ïy~'e du
.o~y&m~se~ "?'
Ites ~ropost~ons que~ nous a~nx éine~re, ~tïaïeuys
p~urFont ~tpe con~érée~ cornue des ~a~~
~~adan~~ i! n'en ~eune qu'on ne pmss~
~tr<~er dm~ reltgueuses on dMMles
oeuvres des sa~vani~ tes pïus Ulustpës~',dans:'
1 ïes ppineipes de 3a philosophie de D~capt~~
ToHteïd phHosophe
MMspapce~ chosea dont~o traite ici ne sont y< pasde pe~ d'tmpor~~
'tr~uvé4'8 ,vê~jt6s,q,i. n'qn~ pa.;ê*~déco~ve~ pM d~~èa; j~imo mieax h~n ften dédder et,
a~ qae c~tMMtn soit Ubfe d'eà peMer ce ~H plaira, jed~eupe que co qMOj'~cnrfM aoitacolement pris pour une hypo-thèae, Ïaq~~ est pûnt~ &)rt éloignée de la vémte; mats
éncûrô qtte cela fdt, je croirai a;votrboaucoupMt,a~ tout~81e8'c~oeee quioii sont~d~
o~~BCM, càï', ai ce~ ae trouve, eHeM aéra pM
moinsunie & ïa vie que si eUe était vraie, parce qu'ott s'en powraservhr en m8mo façon pour dispoaer les causes natareHea~
prodmro lés effeta que ron voudra (1).
nos rem&rqueS) nous croyons
~<ie'voH'j.
4~ ExbM~ la J1ouvellethëorie de sur 1&
(l)P~~<jpM!o~M~S~~ ",44.
~u~enot~tpav&~se
~n 1968, dans ~R ouvrage pt~sen~ ? ~cad~Ba)e d~
-?6.
~~t~xp~~nu.
Pr J»40~.
seMiarep~oductmn HM~~ aussi sûcctacte que
.'pQjMt!M~d<B~s~ivres.
Bxtr&ice du Uvre~.t},~rj:G~ ,t. rêPr.î~itté
r&temen~ no~ <~mMeatM~ tes
lignes qu~~n~
~cûns~ueroBtle-:secohd-'chapt~
Neung~sur-Beuv~ (M~et~he~ i
3
~x~~mJT~
:Àti'
~T~nw~DS~
.BT'M~ "f'
"rAetion:'dès":lediêabtel1ts.distaDee
< < 11~<
Com~é 1~ gaz (occy~~w) q~ti les await engendrés, tous ces
~tt'os, t~ua ces corps, et chacun de leurs ~toïnets restèrent
imprègnes du sonfûe divin, qui circute, sans ceasé et dans
tottsiea sens contyai?es, dans chacune des molecuîesdé tout
corps, a quelque règne qu'it appartienne, et, à traveM l'es-
pace, entretoas les corps terrestres etcélestes.
l'univera étant rÊsprit, et l'Esprit 4tant Dieu (ou y~
so'~J, qui a tout créé, s~ost, par son sont&o, incarne en toutes
choses, est en tous lieu~ voit tout, entend tout, entregent laet provoque la mort, ~est-a~dire le changement de forme,
car, tout étant l'Esprit divin, rien ne peut naître, Nen ne peut
périr.
§~.
(Ë~MHta 4o L<ï Vte ~<MM 4~
it!1'R
N~ t~o~rie`c~~ `1'yle~~ri~~it "e
TeBtpMBontèBe.attétectrtqufen'eetqa'umea'etexa~redMdeuxMMf<mt9 Ot nMMtVMMtMt COM.tmtres, t'Mtt d6compOMat, t'outre
rMompOMOt,<tMt tg censHtaent ta
/te~ontvejMet)e. r-
'SECTION
~VE~T~
~tMs~ lore; -Iés o~ûr~~iptg~ diwï~na n~'Q~tr'ë~ oe~â~ de; air~leroans toutes ièsdirections~O~ tlâ~~pa~rtaut~toi~our~,
déposant sans cesse, et 'répreMnts~us cesse, dans tous les
po~t~ de 1'
Cet Esprits ça&uidep~ss~ _he~r~~e "do ~i~~t'ar~axpâo~er,
aGéux ~a ~ay~ ~rl'é ~t:Ii~hd~
pms sonde, pour re~uyoerensutt~ M h!rnter H lea tp&naporte d'un~ un autre corps, d'un a~stfe
~à~a<ast~
Le pomt; ou l'&tùmë, qût paaae d*~ .astre.d. un ,aatre;. est
aon maxint~ <~ .dt~eion et de ~t eat p~aMeme~~M quipàp~ë'ei'espa~ ~t p~~rcouT~~`eâ`i~e~tx:par~~ei~ é~~lee,
propprtMttMUeaaent & i& m~ae~~e~~ n&ture dechàe~ d~w
astpea; et ce potot dott être ceiat (~ lo y~ peÏàtifatto~Bt aott
max~um.No~d~ l~emde-rela~ car- -l'Esprït dïv-ïn ~tan~
partout, le yMeàb~ota ne a~i~ter yni ~:neun ptiin~:w
De m$mé que les dé~M9 d'une général terrestre' entre"
ttonnent la yte d'utie gén~ration~~B~dutts atomiques de dêco~poBitMB~ °t~a~n~po:·t~
devc~~cixtx desastres aux autres aatrës~ entreHennent la vie de tous ces
<~rps cêiestes et de~ de ruui~eM.
Ce Ûtude d~m, pr~cip~ de toutes ~chpses, & Ïa ~pM eapï~tet tn~Hère, ~vine tout, eutretient, par la métamorphoser
i'ext8teï;ce de ce qu'H a créé, èmprunte une ibrme, une ma~
nière d'êtfo différentes à chaque ntotecaïo, & chaque corps, A
chaque espace qu'H anime et doct ? change condnueUe~ent
.tat.
En traversant Ïésespaces
cé~esteB en une innnit<& de dtrec-
tioas contraires, itmamiient toustes astrésdansleura orbites
respeetives, puMant dans !& nature ot te votume de ces corps
mêmeSt qu'H a créés/ la force nécessaire pour ebBServer Jtear
;eqaUibre.Par la coBtbustion eM~BNammatîon de l'hydrogène, pjro-
duit delà décomposition do ieùr substance et de louraat~
pheres.i~donne à tous Ïes corps tefrestM~ et o~leetetx~l~.ehüa~
îeur et Ï~ÏUïnièret et engendt~tous les sons qui frappent nos..oreiMes. ~?'L'
Ce aon~ divin, ce principe~ de ~e, de son, dte oh~env~~w
lumière, ~de tàouvement et d'équilibre univoMoî, cette caM~
généra unique, c'est ie nuide impondérable ~ue la. scteMe
nan~ee~etricite~ nuideélectrique~
~T6~t~taa~t& a&wM, Mr~ MoMeuntv~MeOementfApandM et que nous -nommons $Mot~cM< (Co~Mou doctes Staquoa. p. 9<)
;N<~YE~<M~
r
~~4~
~ë'~Me'êtêetr~ .J
et de pr~pNéCéa, Tua composant, to~Ottra charge d'oxygène,-l'utre decorap~`sânt,;t~oujours:~air~é â'h drQ~ne, ;tratv~rsenty~utre decoïapb~ànt, tot'j< d'hydMgeM, trayer~tt
~u& les <~pe et toua ;Jes.aoe~-da~8 ,()Qte. les tUfectioM~).ban~tG~aIëa corps st&btes et da~& tous ce~ Qm paeaentdel'6~~e~ ~e~lui~~i :r~~t :8Ó~i4..<le cou~aMt composant è6~ puMB~
Dans toas les co~ qUl'Jn.,Óh.nt, d® ,l~t,()li~eyer8 I'étst
~uidp~uvo~ala~ 'est
"j~a'~ne~e~L?ac~o~ 1~'inten~ii;~édiff6rénigià, d'e' cbaCUl1'des "deux'C()u~
~nta ont i&ït M~bae~ l~xtstence dé de~x élec~tCites, l*t~e
;.poMtive,'l'aotKt.negative.
L~ad&te&ce perManénte de d~ux coar~nt~ contraires, inhe-rent& à toms les stpwea, à to~p~l~ ,4 tni~s eap&i!;e$
q~ib sUlonnent dane toutes lo& direct!on8, Ï~teMité diiïê-
re&të de (~acun de ces <ràBts,Ïes actions~uBLOt récompOBànte do rautre, et les propriétés difSSrentesdes deu& gaz dont Ha sont chargés, permettent d'expliquer les
phénomènes prodnits par l'électricHe, sans qm'il soU nécessaire
d~dctettre deux nutdes~ 0'om phta qu'& de~x états di~renta,
l~n atattq~; r~utï'e dyna<niq~e~ d*un même auMe.
Lféléctrieité N'existe jamais à rétat statique; ce que noBS
eoneid~rôns comme rétatststi~ue~
MQ~, dont BLOuan~avpns pas conscience, de metne que nous
h'ayQns pas conscience de la~ degténopjnal et eompatiMe avec
l'exercice physiologiede toutes
~noS~nctions~
v (tY Newton pMsiàtt que lM"&atrèBlaocent coa~MeHeMeot 4&as t'espace.àvec~tne vhasaepMdtttieaBC, noe B~bstance tn'poa4ératte et d'âmeténuité
ext~ime.Uaa~ctepIaatsra~iteûtn~mmé~~
(8) Setoa P~tie!'< yeïecttfioM he aerah q<t*<tMjtoeAMe&tiondo ouï~oa~Met qai MmpMtt'eapace, etiesmete poatt!~ ~effat~ a'tBdiqQerateBt,un,rs'l;,QUi,rempliC¡I'SP,aoe,8,l. ",111°,d'ari potnceauqa6 tes dettréa d'an ~&meétat. &partit d'oM peiat 4'eq~!bM e&MfM,at-
MatadM~ élect~MM. (j0<«. M~e~e, 1~ Ôdit., pM UtM et RoM~,PiMta, tS~, p. 44~A!t EMC'nnom6.1t :¡
NOMS&eMna jcea~aiat d'~Uw plu ht<a. fï :nouepeNhtOM à «<mtemrOtt'tt~'<mMteqa'aa &aMe <oniq<te;BOosMMM amené à cette coneéqaenceNtpMMuaeq<te i'Mectftcitô Bopettt jamata Atre en Mpoa. (Cc~ff~c~s d<tdeCtè<iM'~8<'<M).Q)M<tt.'N;)-<
dn
Page l~ de son traite dasp~tïame dans TanUquité et dana tea tempa
'M~T-t~T.TiP. ~M~TW'nt.'t~~
"L~8~~¡~i~jtf:t:6~re~~j~#i~"t.'l.>i:
tèneit~dea couMa~ et, p~ Bm~ pb~~ em~sBOs ~el&
ïM~nMie la ptnsst~c<& de i'eMMci~ par~N~e&eô et pM* con-tai Hpua &~ona .a~OM la noMom
r~&~Mtëe' aM~
<~mm$ no~a Mqu~pons MMo d~~ preaaion atmoapMnqae
~I-"¥;rOt'lqtte'¡ee1..ei~n4~aQI.q.de88oQ.dè:'ledtÓ£malé~
mo~~M (< <t'A~~e~ F<S<m!n~ ~B~MtMedcotëM Waha (d$ Mce). ctte cea MjptM de M. ~oeoiiMt
< Ït <9St eapëaâMt tm eeftain Mmbfe dû pMocot~aea qM. a<ma MOM< eA~~w ~M qae de Mtwo. aeM awi~M po~.& ~QÍ''Cf8:'
w <M/<~M< M~t ?< !û<a. ::i,
< QaéMMMMce&& ?eup~~tout <iBttët$ deaa 1~ ~de Aj~< dMg~ o&w iM~~prits.
<D'&ptrè8!aaBjrahmè8,iaMMaaMF~~mcd~ tou~~~oMe A~~aa ~~d~wt~/qci,~ mè~
w <? Mmm~oatt~ toMe t~ :tj.u:, Íî1a"hn6kl.yièlblé.:OÍ..JiiVt:
`<atMes/L&M,t'6iéet~M~. Munies fbMwd~
~.qaé des étata~aK~<H)it~a.de/ce'AttM$~'« Te~eMM, d'ittptèe 1~ BMhWes. MtM qa! MM~~ a èomme'yxlas« gfMde de cette fbTO~~t~6,acqu!~a~paM~Be~pMpe~ n
a<M' les 6tM& aaim~ moîna Mon partage et Mf lea ~trea tMtNMn~, e
AncmaoeMMM ?eprëaeBMnon p!as me~ yèM~ l'aMoM, l'&tt!'ac-
~OB,nU&aât~, ~ït~M&ëe, a! Je p~no!pe vi~t, B)<tts tt y andarmo~:n~ame!as, oa ~emen~de p!aa daaa tea corps avants quad~~
tn<M'Mts.<M.jQ denne, &Mtte4e m!eax, là non~ de /~MM~~<aï cét«é<aeat<t~je auppeM 6tM «~ wo<M~<!<tt<att do MïM<fM~. J'appeMe vïë t'a'n.-
~setnMe'des~CMMUoas. /i.
(DeetMMf I.ap!agae, 2H&MM ~dteaïe dâ M aevembife M~T.)
No<~ sot~mes d'&ceofd s<n' l'exeluatoa <<~M /bwa qaetcoaqa~ ieMt&<(&-
tïë~ aope~eeée &l'w~otsMe/ JM&ta ~as~ mtâaMe vital qwvAaë aa&pMM i&~ timo modMcatio~da l'~e6tdcM. ~~M~Sip ~jpOMt
~'M<t<M'<twa<'<<aacsJaae!&~MMeminel'ad~ta;<“<
H m'y aqa'ané~ot en MtMnomte la gtav~~en. J~
~~4~d~$~
(Dco~wMarch&t (de C~i)~ nwm~M~mômejûwnat.
:(J)oc~.r!4atcb'(d; :CÍ1~.k m&mBD\itÚiro' :du;iDAm.jÓu~1~"
RépoaMa~d~çteMmpïa~e.)
L'~ectti'e!té é~ànt te p)r!m<~pe qat a~tme toea noa crânes, dit te doctow
S~qwM, il reste à ~ehet~hM en qaot constatai cettam<:tte&~pf6~d$~xa.<~e&deia~i~ '~J.
(Staqnez/C~Mj~tMM~~
C'estehvettad't~a' ctmse qu*on anem~é6 c/ qMote6 substance
ag!eMnt ew lM wttpa, ~a décotnposëat. fbMnent ~<~ p~dMits M~ca~;eetta a~t4 o'ëetqoe raettotido &otd~ étectt'iqM.ce, tt,8 at'Bni, té, :oea~q~~lac," Iraie~ance nomméyité,.ott,.eWd'~icbrégÀÏMitO'Mten Wft~ de cet~ pa!sMN~ "omnCU.'OU):i1"4ta~
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~a~a~nBett~ m~~&ax répBt&teets; <~eat par h t&6me ve<~d qaé :y
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(C<<tMeMtdtt4<)<BtetU!'StaqweZ)p~M')
NOUVELLE T!tÉOR!E DE LA FOUORE 5
C'est avec raison que Wollaston a attribué à
l'oxydation le développement de l'électricité par le
frottement. Cet acte mécanique agit en apportant
sans cesse au contact des corps frottés l'oxygène at-
mosphérique~ qui brûle plus activement l'hydrogène
m~y~~trbert~
corps, et, dès lors, provoque une plus grande acti-
vité de ce courant et de son antagoniste. Le frotte-
ment agit dans la circonstance absolument comme
le courant d'air sur un foyer de combustion.v
Il est vrai que Gray a démontré que le frottement
développe de l'électricité dans le vide '.et que Gay-
Lussac a reconnu qu'il peut aussi en développer
dans l'acide carbonique sec. Mais ces deux faits
n'infirment nullement l'opinion de Wollaston, car
le vide ne pouvant jamais être absolu, et l'acide
carbonique contenant de l'oxygène (que, du reste,
suivant notre théorie, le fluide peut extraire de tous
les corps), ce dernier gaz ne peut, dans ces deux
expériences, faire complètement défaut.
L'intensité des courants électriques tend toujours
à se propager d'un corps à un autre corps, à travers
l'espace, et le rayonnement ou échange continuel
de fluide, qui existe ainsi entre tous les corps et tend
à les mettre en équilibre d'électricité comme de
température, constitue l'électrisation par influence
ou par induction, dont l'action est en raison directe
de la quantité d'électricité dont les corps sont char-
i. L'étmcHHM)Hcctr!quc ne pa~~cptM ou,tu!eux, ne se prodtutpas dans le vide le plus absolu que l'homtue pmssc faire, parceque roxygène et t'hydro~è~e n'existent pas, dans ce vide, en
qnanttM assez coosidérabte pour engendrer utie ré&etKm dontHnnnence puisse détcrtntncr, dans rcncèptm!e de l'observa-leur, la sensation ïunuHCHM que cous nommons ~UnceHp.
XOt!V!LE TMÉORtRHK !<AFOUt~RRc
gés eten raison inverse du carré de la distance. C'est
ce rayonnement cet échange de fluide, cette élec-'
trisation par influence qui détermine l'endosmose et
l'exosmose. Les gaz et les liquides ne traversent pas
en~t~re~e~ membrane~ ii&BM~d~on~M
duits à l'état de fluide d'un côté des membranes, et
recomposés de l'autre côté.
C'est aussi ce rayonnement qui donne lieu au
phénomène du pendule électrique. Lorsque corps
est électrisé~ le rayonnement de son fluide électrise
le milieu ambiant; l'activité de ses courants se pro-
page à ceux de ce milieu et des corps qu'il contient.
Ces derniers courants, selon la direction du plus
fort d'entre eux, tendent alors à porter vers le corps
électrisé, ou & en éloigner tous les corps qu'ils trou-
vent sur leur passage.
Si ces derniers corps ne sont pas fixes, ils sont,
dans le premier de ces deux cas, portés vers le corps
électrisé, jusqu'au moment où le contact tes met en
équilibre de fluide avec celui-ci. A partir de ce mo-
ment ils sont eux-mêmes éiectrisés, et ils influen-
cent dans leur sphère d'action les courants atmos-
phériques, qui, de tous côtés~ se dirigent vers eux.
Et c'est ainsi que la résultante de ces derniers ra-
mené dans la verticale le pendule primitivement
entraîné contre les lois de la pesanteur.
H y a donc impulsion, entraînement par les cou-
rants, et non pas attraction par les corps étec-
trisés.
Les corps ne s'attirent pas mutuellement, mais
ils sont poussés, entraînés les uns vers les autres par
les courants de l'atmosphère, avec d'autant plus
d'énergie que leurs courants propres sont mieux
~OUVRU.RTMKORtEHR LA FnU!)RR 7
combinés avec ceux de l'atmosphère. Cet entraîne
ment constitue la vis à tergo.
Nous ne pensons pas qu'il existe une véritable at.
traction entre les deux courants; mais il nous sem<
Me probable cme levide~relati~ que tend à produire
la combustion de rhydrogëne ~ar Ïe~~c
pète, provoque une plus grande activité des deux
courants. Ceux-ci s'alimentent mutuellement le cou-
rant décomposant livre au courant recomposant les
éléments de son action, que ce dernier lui restitue
sous une nouvelle forme; et de nouveau celle-ci sera
soumise au mouvement décomposant.
Et, d'un autre cote, un corps à l'état gazeux occu~
pant un espace beaucoup plus considérable que le
même corps à Fêtât liquide ou solide, la diminution
d'activité du courant décomposant peut, à son début,
donner lieu à un vide relatif qui sollicito l'action du
courant contraire.
La conductibilité électrique d'un corps est la pro-
priété que possèdent ses 'atomes de s'influencer
réciproquement, de mettre instantanément tous leurs
courants moléculaires en équilibre d'électricité, 1
d'orienter tous ces courants et de les combiner,
rayon à rayon, avec ceux du milieu et des corps dont
ils subissent l'approche ou le contact. Un corps est
donc d'autant meilleur conducteur que cette électri-
sation par influence s'opère plus facilement et plus
promptement.
Les deux électricités dont l'existence a été sup-
posée sont représentées, l'une, dite négative, par
le courant décomposant, l'autre, nommée positive,
par le courant recomposant.
Les corps dans lesquels le mouvement de compo-
NOUVELLETHÉOÏUEHK LA FOU!)HE8
sition l'emporte sur le mouvement contraire ont été
dits électrisés positivement ceux dans lesquels do-
mine le mouvement décomposant ont été considérés
comme électrisés négativement. Ces derniers sont
~ouvet~-ceux dont-la surface .chagrinie~&Yorise
l'accumulation du Huide hydrogéné sur les aspé-
rités, et) par suite, !a décomposition de leur sub-
stance.
Un corps semble & l'état neutre lorsque ses deux
courants contraires, faibles d'ailleurs. se font sensi-
blement équilibre. Mais cette neutralité n'est que
relative tel corps peut être a l'état neutre pour un
sujet et très électrisé pour un autre, selon que la ré-
sultante plus ou moins puissante des deux courants
propres à chacun des observateurs échappe ou non
à l'influence de ce corps.
Dans un corps électrisé, le courant t positif ou
composant domine a l'une des extrémités; le cou-
rant négatif ou décomposant l'emporte à l'autre ex-
trémité et l'état neutre persiste en un point situé lt
une légère distance de la ligne médiane.
Lorsqu'on frotte l'un contre l'autre deux corps de
nature quelconque, deux disques, par exemple, leurs
courants s'activent, se combinent, et Ie3 deux corps
n'en forment réellement qu'un seul, composé de
deux parties extrêmes dans l'une desquelles domine
le mouvement décomposant, tandis que dans l'autre
le mouvement recomposant est le ptus intense.
Si, dans cet état, les deux disques sont séparés
brusquement, ils influencent différemment la sphère
atmosphérique dans laquelle est suspendue une
balle de sureau préa!ablement électrisée, et celle-ci
est attirée par l'un et repoussée par l'autre.
NOUVELLE TH~ORtE DE LA FOUDRE 9
Si les deux disques sont présentés au pendule
sans être séparés, H ne se manifeste ni attraction ni
répulsion, parce qu'alors les deux mouvements se
font sensiblement équilibre et n'exercent sur les
coLuran.ts atmosphériques qu'une faible inHuence, ba-
lancée par celte de iaBoItie~Ïe sureau.
Lorsqu'un corps bon conducteur et isolé est éiec-
tri~é, c'est-à-dire lorsque l'activité de ses courants est
portée au-dessus de la normale, cette activité est inap-
préciable dans la masse du corps où les deux courants
contraires se font équilibre; mais, aux extrémités
et à la surface, le défaut d'antagonisme, la résis-
tance opposée par l'air, mauvais conducteur, au pas-
sage suffisamment actif du fluide dans l'atmosphère t
et, e«un, t'intensité acquise par le courant dans son
passage à travers le corps, provoquent en ces points
raccumuiation et la tension du fluide, qui devient
alors d'autant plus sensible que le courant est plus
énergique et que l'air plus sec s'oppose davantage &
sa diffusion dans l'atmosphère.
Il est donc vrai que l'un des deux courants
est plus libre et plus fort à Fune des deux extré-
mités et à la surface, et que le fluide s*accumute
réellement en ces points. Mais il est également
vrai que le fluide est en activité dans la masse du
corps.
Le fluide électrique devient appréciable alors seu-
lement que l'un de ses courants prend une inten-
sité de beaucoup supérieure à celle de l'autre,
c'est-à-dire lorsque l'équilibre normal est rompu.
Kt, à ce sujet, nous ferons remarquer de nouveau
que la pression atmosphérique n'est également ap-
préciée par l'homme qu'en deçà ou au de!H d'un
\onV!!U.Ë THÉORIERË-~A t~OUDRK'«)
certain degré, variable suivant les sujets et aussi
suivant l'état de leur santé.
Lorsqu'un courant électrique arrive & l'extrémité
pointue d'un corps conducteur électrisé, si la pointe
es~~a~~H~Milie~ma~vais~onducteu~eommeI'a~
atmosphérique, le fluide se condense dans cette
pointe et à sa surface, d'autant plus qu'elle offre
moins d'épaisseur; l'activité du courant qui passe de
cette pointe dans l'atmosphère augmente avec cette
condensation) à ce point que parfois la main appro-
chée de la pointe perçoit la sensation d'un léger cou-
rant d'air qui semble en sortir. Enfin, si l'énergie
des courants s'élève à un certain degré, la décom-
position de la pointe devient très active, l'hydrogène
s'accumule, se condense sur la ligne du courant,
même au delà du corps, et sur une longueur va-
riable comme l'énergie du mouvement décomposant
et l'état de sécheresse de l'atmosphère; et il en est
ainsi jusqu'au moment où le courant atmosphérique
contraire, chargé d'oxygène, enflamme l'hydrogèneet quelquefois avec détonation. Dans l'obscurité, la
lumière produite par cette combustion est visible
sous l'influence de courants relativement faibles.
Ce phénomène, qui n'est autre que celui de la
foudre, peut se produire de même, moins facile-
ment il est vrai, sur les arêtes vives et c'est de lut
que nous rend témoin la percussion du briquet sur
!p ~itex. lorsqu'elle faitjaithr l'étinceUe.
NOUVR~E THÊOM PE LA FOUOH! H
n
>
L'intensité des courants électriques tend toujoursse propager d'un corps un autre à travers Fes-
M.. t.
pace; le rayonnement ou échange continuel de
Huide qui existe ainsi entre tous les corps et tend &
les mettre en équi!ibre d'électricité constitue l'élec-
sation par influence ou par induction, dont l'action
est en raison directe de la quantité d'éïectrtdté dont
les corps sont chargés et. en raison inverse du carré
de la distance.
Et, nous l'avons dit (page 6), cette électrisation
par influence n'est autre que le phénomène d'en-
dosmose et d'exosmose.
Deux corps sont en équilibre parfait d'électricité
lorsque les deux courants de même nom ont, dans
l'un et l'autre corps, la même intensité, que le même
courant domine, et à un même degré, dans ces deux
NOUVELLETHÉOtUECE LA t~UORE
corps, enfin que, par suite, h résultante de deux
courants contraires est exactement la même dans
l'un et dans l'autre. Est-il besoin de dire que la
conséquence fatale de cet équilibre parfait est l'ho-
mogénéité de substance des deux corps~
Deux corps votsnis,da~ desquefs le courant
oxygéné, positif, recomposant, est le plus fort, tandis
que le courant hydrogéné, négatif décomposant, do-
minedans l'autre, ne pourront donc se mettre en équi-
libre d'électricité qu'autant que le mouvement de
composition du premier se propagera au second, ou
que le mouvement de décomposition du second se
communiquera au premier.
Lorsque deux corps à l'état normal sont appro-
chés ou mis en contact, le rayonnement existe tou-
jours mais, tant qu'il n'existe qu'à Fêtât normal, il
n'est pas décelé par le pendule électrique.
Lorsqu'un corps est électrisé, c'est à-dire lorsque
l'activité de ses courants est portée au-dessus de la
normale, le rayonnement l'est également, et l'in-
tensité des courants du milieu et des corps ambiants
s'élève de même. On dit alors que ces corps sont
éiectrisés par l'influence ou par induction.
L'électrisation par influence se démontre au
moyen d'un cylindre de cuivre jaune D, isolé sur
un pied de verre et portant, à ses extrémités, deux
petits pendules électriques formés de balles de su-
reau suspendues par des fils de chanvre qui sont
conducteurs (fig. i). Lorsqu'on place ce cylindre à
une certaine distance de l'un des conducteurs M de
la machine électrique, les deux courants contraires
du cylindre sont innuencés, deviennent plus éner-
giques, et chacun d'eux entrame un pendule dans
NOUVELLETHÉORÏRDE LA POUHRK !3
sa direction. L*un des pendules se dirige vers ia
machine, et Vautre se porte dans )e sens contrairele courant qui dirige ce dernier pendule est de
même nature (c'est-à-dire positif, composant) que
celui qui domine à rextrémité du conducteur M,
dont il n'est en réalité que la suite le courant con-
traire est nécessairement négatif, décomposant.
Dans cette expérience, le phénomène peut s'ana-
jyser ainsi
d" Le courant négatif, décomposant, qui va de A
vers M, en s'emparant sur toute la longueur du cylin-
dre de tous les courants moléculaires de mêmes sens
et propriétés, ayant acquis en B une force supérieure
à celle qu'it avait en A, entraine le pendule &;
Tandis qu*en A, oh il n'avait pas la force de faire
équi!ibre au courant contraire, il n'a pu entraîner
!e pendule <t.
2" Le courant positif, composant, qui va de M en
A. s'adjoint en traversant le cylindre tous les cou-
rants motécuiaires de même sens, arrive en A. avec
une force supérieure à celle qu'il avait en B, et en-
traine le pendule a,
Alors qu'en B, oit il n'avait pas Je pouvoir de faire
équilibre au courant contraire, il n'a pu entraîner
le pendule b.
En somme, les deux pendules, sollicités en sens
contraires par deux courants d'inégale intensité,
obéissent au plus fort.
Au centre du cylindre, un pendule restera-t-i!
dans la verticale ?
Non, et pour deux raisons
1" De deux courante contraires, l'un est toujours
ph~fbrt que Ï'antt'e.
!4 NOUVELLE TttÉORtR HR LA FOUtHUS
2" Deux moitiés d'un même corps ne peuvent ja-
mais être si parfaitement symétriques que l'une ne
contienne pas au moins un atome de plus que l'autre;
or un atome de matière, c'est au moins un atome de
tlutde, et un atome de n uMesufOt pour
libre, comme il suffit pour donner la vie ou la mort.
Le point neutre, c'est-à-dire celui où, sollicité en
sens contraires par deux forces égales, le pendule
demeurera immobile, ne peut donc jamais être au
milieu du cylindre, lors même que les deux moitiés
seraient parfaitement symétriques. Pour qu'it fût
juste au milieu du cylindre, il faudrait que la diffé-
rence d'intensité des courants atmosphériques qui
le traversent fût compensée d'une manière absolu-
ment exacte par une différence opposée des cou-
rants propres ou moléculaires du cylindre.
Il est facile de se rendre compte de ce fait ainsi
Soient représentées par 20 la force totale des cou-
rants moléculaires du cylindre qui vont de A vers B,
et par 100 celle du courant atmosphérique de même
sens, à son entrée en A dans le cylindre, la force
de celui-ci sera HO à la partie moyenne, etd20
l'extrémité B.
Soient représentées par 20, plus la plus petite frac-
tion que l'on voudra, la force totale des courants
moléculaires du cylindre qui vont de B vers A, t
et par ~01 celle du courant atmosphérique de même
sens, à son entrée en B dans le cylindre, la force de
ce dernier sera iii, plus une fraction, a la partie
moyenne, et i2i, plus une fraction, & l'extrémité A.
Il est évident qu~ la partie moyenne la résultante
équivaut à d, plus une fraction elle sera donc nulle
à peu de distance de cette partie moyenne, p!u~
NOUVH~R TttÉOtHR !)R !<AFOUHHR ir)
près de la machine~ en nu endroit constituant le
point neutre.
Un corps électrisé par influence ou par induction
agit & son tour sur le milieu ambiant et sur les
corps YOtStns~ comme rtndtqu la disppsttion des
pendules de la figure.
Le courant qui va de M en R, ayant acquis au
point A, par son passage sur le cylindre D, une in-
tensité relative plus considérable que celle du cou-
rant contraire, entralne le pendule a
Mais, en traversant l'atmosphère de A en P, il
perd une partie de son fluide, de sa tension et
passe impuissant sur le pendule p
-De P en R, il recueille les courants moléculaires
de même sens du cylindre E, et, arrivé en R, en-
tralne le pendule r.
Le courant qui va de R en M s'adjoint les cou-
rants moléculaires de même sens du cylindre E, et,arrivé en P, entraîne le pendule p
De P en A, il perd une partie de son fluide écoulé
dans l'atmosphère; sa tension a baissé, et il passe
impuissant sur le pendule a
De A en B, il recueille les courants moléculaires
de même sens du cylindre D, et, arrivé en B~ il en-
traine le pendule b.
Commt~tca~o~ de r<~cc<nc~J a dM~ce.
Lorsque ces courants prennent une très grande
intensité, les espaces atmosphériques qui séparentla machine du cylindre D et celui-ci du cylindre E
se chargent, sur la ligne des courants qui joint les
trois corps, de l'hydrogène du courant décompo-sant et de l'oxygène du courant composant, et, lors-
que la charge et la tension arrivent à un œrtah)
NOUVELLETHÉORIEDE LA FOUMEd6
degré, la combustion de l'hydrogène par l'oxygènedevient plus vive et donne naissance à l'étincelle et
à la détonation.
Il n'y a pas recomposition de deux fluides, mais
Mm co~mbinaisonde deu~
son engendre soit un troisième gaz, dont nous igno-rons la nature, soit de l'eau, selon que la tension
des courants est plus ou moins grande et probable-
ment aussi selon les proportions dans lesquelles
l'oxygène et l'hydrogène se trouvent combinés. Et
c'est le même phénomène qui combine les gaz des
nuages pour produire la pluie.
Mac~me ~/dro-<~ec<WqMe d'~rm8<ro~.
Dans la machine hydro-électrique d'Armstrong, la
tension des courants électriques de la vapeur est
augmentée par la pression et le frottement auxquels
ils sont soumis dans les ajutages de sortie, comme
elle l'est toujours dans le passage par de petits ori-
fices il ne peut en être autrement, que la vapeur
soit sèche ou qu'elle soit mélangée de vésicules
d'eau, car la vapeur doit toute sa force à la grande
puissance du mouvement de décomposition de
l'hydrogène qu'elle contient.
Étincelle ~ectWgMe. L'étincelle et la détona-
tion électriques sont des phénomènes absolument
identiques à ceux que produit l'inflammation d'un
mélange d'oxygène et d'hydrogène, soit dans un
flacon, soit dans des bulles de savon.
Les formes sinueuses et en zigzag, que prend
l'étincelle, sont des effets de la réfraction des cou-
rants dans un milieu dont les différentes couches
n'ont pas une densité absolument égale.
î/étince!le tirée du corps humain, électrisé natu-
NOUVRLLE Tt~OtUE !)R' hA FOtJf~R n
rehement ou artinciellement, a la même origine:
et ce. sont les courants de la personne électrisée
qui hérissent ses cheveux, les entraînent vers les
corps qu'on leur présente, lui procurent la sensa-
tion d'un léger souffle sur les mains et sur la figure
et parïo~~onnenf~
MM. Staquez, Boscowitz et de Reichenbach.
P~e ~~ec~~Me.– Des deux courants qui traver-
sent une pile électrique et ses électrodes, celui qui
a reça le nom de négatif décompose les éléments
qu'il parcourt, et celui que l'on nomme positif les
recompose.
Ce sont ces deux actions décomposantes et re-
composantes qui ont fait supposer la décomposition
et la recomposition des deux fluides.
A l'état normal, ces deux actions contraires, é~ant
simultanées et se faisant sensiblement équilibre,
échappent à nos sens. Nous en acquérons la no-
tion alors seulement que, leur intensité s'élevant
considérablement, le corps sur lequel elles s'exer-
cent brûle ou change subitement de forme.
Ce ne sont point les actions chimiques qui don-
nent naissance aux courants ce sont, au contraire,
ceux-ci qui engendrent celles-là.
Lt~ïère électrique. La lumière électrique est
un effet des deux mouvements de décomposition et
de recomposition.
Le courant négatif décompose l'un des cônes de
charbon, réduit ses éléments à l'état d'hydrogène
et transporte ce gaz vers l'autre cône; le courant
positif, chargé d'oxygène, brûle cet hydrogène qu'il
rencontre et en recompose une partie à l'état de
charbon qu'il dépose sur le cône négatif, dont, par
NOUVRhLRTHÉORIEt)E !<AFOUME~8
suite~ le volume doit nécessairement augmenter. Et
tes mêmes phénomènes se produisent dans le sens
contraire, mais avec moins d'intensité; si nous ne
pouvons les constater, c'est qu'ils sont annulés par
ceux de la direction opposée.
-ÎI exister donc dans~
dirigés en sens contraires et deux courants positifs
faisant opposition aux premiers. Les deux charbons
s'usent; mais le charbon positif s'use plus vite et
donne la lumière la plus vive, parce que, des deux
couples de courants, le plus intense -correspond au
cône positif.
(Les courants peuvent, en outre, ~a~spor~
par T~e action purement mécanique, ~'MM p~~e
à l'autre, des mo~ct~es de charbon.)
Cette théorie sur les décompositions éiectro-chi-
miques opérées par la pile se rapproche sensi-
blement de l'hypothèse émise par Grotthuss, mais
nous devons faire observer que, dans notre pensée,
les éléments des sels dissociés par les courants de
Ja pile ne circulent pas en nature, qu'ils sont dé-
composés et transportés à l'état de fluide.
Vitesse de ~ectWc~e. La vitesse de l'électri-
cité est incalculable; le fluide traverse instantané-
ment l'univers entier, si muni que nous puissions le
supposer. L'infiniment petit espace de temps qu'il
nous semble employer à parcourir les plus grandesdistances n'est que celui dont nous avons besoin pour
percevoir les sensations qu'il détermine. On ne sau-
rait objecter que cette instantanéité est impossible,
car il n'est pas plus difficile de la concevoir qup
~OUVE~R TH~ORtR HK !.A FOUHRR !9<"
~'admettre les vitesses de 180,000 et de 400,000 kilo-
~fnètres par seconde, trouvées par les observateurs.
f,>~
ni
~~r~i,hi-=- ,w.
--L 71.rm.
,?,~
Théorie de !a. foadre.:rh. v
Lorsque le courant centrifuge, prenant une inten-
sité anormale, décompose activement et entraîne
~dans l'atmosphère une quantité considérable d'hy-
drogène, des résultats assez différents peuvent se
~produire
i~ Si le courant centripète est assez puissant pour
~brûier la totalité de ce gaz, si son intensité relative
~est normale, la pression atmosphérique reste sen-
~pibtement normale, !a température est élevée, brû-
lante, sèche même, et cependant assez bien sup-
portée par Forganisme.
1 3" Si l'intensité relative du même courant centri-
~pète tombe au-dessous de la normale, s'il ne brûle
~qu'une trop faible quantité de l'hydrogène, s'il n'en
~recombine pas avec l'oxygène, à l'état liquide, une
~quantité suffisante pour donner un degré d'humi-
~dité convenable aux couches inférieures de l'atmos-
phère, celle-ci et tous les corps qu'elle entoure sont
raturés d'hydrogène. Alors, nous avons conscience
de la variation d'intensité de la pesanteur, qui nous
~semble augmentée, bien qu'elle soit diminuée, et la
température, moins élevée cependant que dans le
~cas précédent, mais également sèche, provoque, chez
l'homme, des troubles fonctionnels qui simulent le:
~prodromes de plusieurs maladies, notamment de la
nèvre typhoïde.
20 NOOVE~LET~OHÏR t)R LA FOMnRR Y
La quantité d'hydrogène qui n'est pas sufnsam~
ment brûlée pour continuer son ascension est ras~
semblée par les courants horizontaux et entre dans
la composition des nuages.
Lorsque, dans ces circonstances, la puissance
~ïb~Ïùe du~co~ran~
nuages est brûlé ou combiné, à l'état liquide, avec
l'oxygène atmosphérique, suivant le degré de cette
puissance et celui de la résistance que le nuag~
oppose au passage du courant.
Si la force du courant et la résistance du nuage
sont telles que la tension du fluide soit peu considé~
rable, la combustion ou la combinaison à l'état li-
quide s'effectuent'lentement, sans produire les' phé<(
nomènes de la foudre. L'électricité atmosphérique
reste alors à 1"état normal, et nous n'en avons paa
conscience. L
Mais si, sous l'influence d'une très-grande inten-
sité absolue et relative du courant centrifuge et
décomposant, les nuages ont acquis une densité et
un volume considérables, l'orage se prépare, et la
production des phénomènes de la foudre devient
probable.
Les deux courants contraires, rencontrant ces
nuages, plus denses et dès lors plus mauvais con-
ducteurs du fluide que les milieux qu'ils quittent, .`
éprouvent à. les traverser (c'est-à-dire à se com-
biner avec leurs courants) une résistance d'autant
plus grande qu'ils sont plus secs et plus denses'.
t. Si nuages éanmthutmdes, c'est-à-dire composés de
~outtetottes liquides, comme on le pense géneratemeMt,t' ~`
*~idc ~s travcyseraH, 8Mis tension. <*<tct< phénomènes de ht
~t~e ne ~e prodMinuent pas.Il
M~wpMptTwn~i~ttW n~ <~tMwUVi~M~N*R&UtttK~ <e*
3
Oètte~ >1tuidê:dê8"de~xcduranta s'acoumu~ ~ans l~a~ dM nuages (<??*
/~ae~~<~ ~pt'~tt< p~é~~e~: ~!e ~nos:ac~g~areâtsj,
jusqu'au moment ou~ par suite de l'etroitosse du passage
qu'Hase aontfr~y$,la~naio~ &rJ'lv~at; 'au maxununatt l'oxy-gène du codant ceatripèta enNamme l'hydrogène du courant
..Më~~t'ëoïair.L~Ûamm~on 8& ptopage & t'hydpogé~ne du nuage d~ne
nno étenJae ptos d~ moi~a coBaidépaMe, amvant que ce gaze~ploa~ ~oina~ 1t oxygène,
do~t la p~aence eatin~ a eacombuation.
Savant q~lecoa~ centripète trouve dana te df~fe d0
~Më fef~~ dani$1 mteneyë .de; la :ré~ista~cs et :dari$. lea..
ptopôptto~a de~r de rhydro~ne, tea eiémonte
de & cocabina~n K~ide soole, de la com~atton ae~e, ou,&Ia~M/de!a~ d~)tJ,<CQmb1J1atsonli'rUldf~t UQ.
opagè do~ne Hë~ s Ïa phié aoule, à~ f©udre eeule, !a
ïoMreac<~ d~'p1111e."Loraque !& tondte a'aocomp&gne de ph~ ie pheaouvent
eHo no tombe paa. c'est-à-dire <l~e la cOïoboetion incandes-
cente de rhyd~ogêM ne 8'êto~tout au ~oms, ne ae propage pas ot~ota qui MK*~
"'montenHe'a'ol.
Oâ comprend qu'i! en d~it être ainai en effet:
D~ne part, ia p~o, en Jmniectantto sol, loa corps qui le
swf~ontèntetVatrM-metne~ fa~ Peeoulement dululde
centrifugé; danaratmosph~re, par tonte Jaeurface du aol et
deiouaYescorpa, et, par suite, ïnet&n à aa teaBion au som-
'c~~do~ceux-Ë'autrepMt, le courant centripète, à sa sortie du nuage,
t'eneontre une attnoaphère saturée d'humidité, s'y diMemine et
repaseo a l'état normal.
boreque ïa fbudre tombC) le phénomène peut s'anatysor.atnsi'J.
~circonstancea sont cellea qui viennent d'être indiquéea;
ratmoephèro est sèche et saturée d'hydrogène.A aa sortie de la terre, le courant centrifuge, rencontrant
un air d'autant moiM conducteur qu'iî est plus sec, se ding'eau~out Atraders le& corps moitleura conducteurs ~ui s'élèvent
au-dessus du soh Arrivé au sommet de ces corps, il rencontre
de nouveau cet air sec, qui ne lui permet qu'un écoutetnentinauMaa.nt. proportionnoH&ment a la quantité do Suide qui no
cesse d'amuer. Celui-ci s'accumule en ce point la tension
devient extrême l~eouloment par le sommet prend une ac-
~ité consMefaMe et ~rtne~ ~-deasw des co~ps, ~ne octane
d'hydrogène ttès-denae qui s'étend jns<au nuage. x t,courant c~~ agi,t "comme l,a. :,1ei.8.~pn""dent:
pour enn~~ colonne ~hydrogène dana son passage &
Savons le nnage~ma~t après avoi~d~~ a~~ ~oel~i~cu, il.: ~n.. ~,>
serves tension/su~ en descendant, 1a~.`
d'hydrogène et cOHtïMeaoninaammat~ daDsl'atmosphè1'8
(~ttein~ammàtiôn, de rhydrogène provoque sa d~atation~
augmente sa forcé exDansive; et, torsqu'eïïe se pMduit dan$
unooï'M eoUde, eMo a&teKMno a& decMcoret 6~ ~pt~re,w
Mpïo& C'es~Ï&m~e force qtnpPoduH:I& détonation c'eat-
'e,îp,I,,,0, 0, ~e,.8,~,l~m,',J, .fO,~ar.ee"q" U, ,p"ro,d,U"J,t,l,dé~O,J1,a',U"o"P,:,o~e"t,&3tTe )~ genér&tiott d'un gaasioôoNnu, dont rinauence ppô-
voquéd~s~Bcecerebr~ el~~t",o.J11DttCJ.;¥f!
q~ï 8ewa~Mf~~B~ pMi&MLe ptténomeïté q~e nou9 venons de déortré e~ cèttu de ïa
ioudre deaee~n~ ÏMam~a~oB de~I~ colônn.e;d'b~d~g~~ne~commence d&n~ le nuage, et noM pomvoM voip PécÏMP des<-
\cendMiW.le corps ~Mdpoyé."
~< ~e~ L~ fioadre eat ascend~ate lorsque l~n-
aamma~on ~m~e]Me au so<nB!tet du corj~ jfoudroy~ é:Cé~l~ai
se propage abmdaMdeux dire~tOM oppoBéea, a partir d~ j
point mi~al de haut on bas et de bas en haut. Dans ce cas) J
on cons e qu redair marche du corps foudroyé veM le
nnage. '.L .'J'
`,.
.j
L'univeM est une pile eleotMque, ta résultante de ses deux
courants constitue l'&ttraction universe!!e~ ~<Crée pap )o Nuide ~ectriquet I~n~ pile ,'i~~l1i. 'è:
et tout atome do tous les corps~ de tous les espaces, en est un
.'é)ement.
Plusioura physicions ont comparé la terpe & une pi!e elec?
tftque. Pourquo~ne pas étendre cottecomparaison à runivers.enhor.
L'univers est composé d'un nombre innni de aystèmes so-)at~ sem~laMes au notre et diSérents entr~eux do putssance,commères planètes de celui-ci en diffèrent ent~eMos~
~n nombre consM~r&Me de courants rayonnent entre tousV .CQB.systèmes.
I~a terre et tous les corpacétestes émettent et reçoiventle amde étoctrique dans toutes ~es directtone, et cas deux ac~
ttons donnent na!aMneè & 4eux couranta cootfaïMs, ru~ûotuf~oilDeDtll"cKf' 4.co.lI,_t8'eoottair~l:1D'
,¡f,?
~~è, djSc~~ et aMènda&t, y&ûtM centripète Mc<MB..
posant ~dMcehdàBttq~i~v~~ "cO'pl(depafl;~en"
S~Midtê $n sëM < par d~uy fofcea différantoa d'~
~na!t~ dana ~êple,i ,'8iatre eue)! son ~oint<~nt~t & Na eit~ ahRo8pMriqtt$, i'ajstr~ doi~ ~tre v
"Mf~t~~a~-s~'opM~
-m.<~
~OK!f%ow M~e~, ibrc~ doM Newton a reconnu et ~ramté
-wla~fM~~oi "j
J&<t W& <e ~i~OM' <f~C<C WOSMW
« ~M~ ~e~~ c<tfv~ <~ ~cc.v
~on àut~nr n'~ Ne~ pr~oge
aar ta n~tate )a ~Me AlaqweMé ii rappliq~Mt.Be Bon
~mpa, !& BCMnce d~ l~teo~it~~ encore daha rè~nce;
'¡:">
(1) Péap mMedo cM~ d~B te orps hum~a au passe- BOM
"(U,po,a, "mM,8,O,b:O,Jû,JiOJ,8;IO,' 11,' dü,' ",8,,1', 'ÔO,9,,8,h" "IOU-Maaoemoe dea capota ~itfum Ma~nn&s dàn~ t'$if, 8* de ce~Kutts, de
p~Mtpea eMb~Ïs, ~<Bp~dë)M,Mas, i~yMMea. qu'a ït~ d~Natït paa, mais qaisMatp~dpitadiaM~M~éMdë rotg~ism~ <mqaïyp«4extetent.
j~aaa~ e~t dAanié~Mqo!~M~~M y~a et da yia.or, je y<M ~t~yieMatI~ d?ax «payante ~e l'e~MtiatMe qai. ~pposj6a t'!m & t'&atre, ent ~e
d!MKt<aon en a~M invetse. L'jMtMtaaceod&nt, yan, t'ttn~pe ch&od jet aee,né de !a veaaië, de Finteatin, de t'oatomfM:, de i& v~cate MHaiM, du M!ndfait. L'autM <fat descendant, yin~ pfincïpe û'eid ef bomMe, né dea pea-mOiM, da ccqa~ d<t ~ie, de !a rate du Mth gaoche, et pf!ncÏpatemeM da
'.cerfeM~Cea cottr&nta oaptindpea ctrcoÏentd&mB lecorpa dama une diMcUeo
dôter~taee à t~avoMteacMM& émergeant deaûM~Cette tMnamiaaten MiMtpMieMyen d'un Mqmde, Nestlé aang', etdM
:eap<tte'ux.-Ceaeapritavitàwxp~~eMeatd6l'ail*etpéBêtMnt4a!)ist'ûMam!ame.i&
Ha ae cta~ënt dea ptitLcipëe aubt!~ et ïea MaaapMMnt avec ïe aong qat",n";8e'cbi~D, ,tdeà,pn~"oJP' BU,'b,ti,'18,:1,,88 Ir,' anap,,,0118,'Ies. t;a:veo, Te' 'BaD",'11.1,'9, '1,e~ ea~ M*at6me Ïatpregné. U y a atoM môiao~ë datta tea vàisseaMx de eea
dtvete pyinoipee, d'ett ctfcatatibn. Det'éRai!té detoM cesp~ncïpMoppeaës:4" .e,' ra.p',ûti êqutllÏ;Ï de èil'0 r~watfon, -la .j"al, ¡"Ut'd'e:tO"U8,,Cë8PriliQipe., oppoe.
8.
)'oa~ta~aéqu<MbMdepteaabn,taaaato.v
B'Bja àuiM ectA, &'eat enaMmet~tte Bombre deavotea d'apô~Atitationaux capots yttawqaerenatderaa~bonaociM~~ des prïn<:tpeaqatebaatttMent te~ e~Manta; vôHà pMt t'acMpunetMre; car te môdecïn chinots
ptëtend qaé ies ttWtM pMdaîta paf les aigoïU~s wat &its dana le bot de
permettM à !'&!<' de se mettre en- comman~catten avec !e9 eyg&aes e!t Jteurs
vaiaMaay.'
D'O.SmM,aeBeaone(C8te*<t'Or)&ncten mMe~n d~ t&marine.
fCw<v<a<f M~<t<c«!, dn ? MwiM' MM.
Cettetattte démentfe âne MadaphM qu*iÏn'yaf!6adaMavéàaséM&ta acteH; m&ts ae<ts pensons q<t<* l'MMpunoMM a~taMrtottt en ~voriaMt
(eo~W!~ <~<Mt M<tM<~<ûM) l'écoutûmeot, hMS d9 l'o~aniame, du
~aMe ébctf~e, dont te ~mg et toua lès <mtMs MqoÏ<ÏM stn tens"c~aotëwM. -<
%4 ~t~
elle i~notaUla puissance att~tive de l'éléctro-aitnant, et
m'avait pas encore découvert cette autre loi `y:~J~ ~~cMOMt ~M~~M ~ec~~MM M~< ~~0<t
~~c~ itont' aes~a ~o~ e~
~r~o~M~ ~àrr~ d~_ l~ d'~s~ac~é.S~il eut connu cette dernière loi et la puissance <ie l'électron
aimant, l'in~i~Me in~estt~teur aë fut deman~dé a~
~a~
~on univeraoUe ou pesanteur, et asaezptdMa&to pbur lut ~Mv
<<ibM; et, en y pensant to~ooM, aiMt qM~ tum~t & le
dire, i~ eut pv~biementre~ qu'ell~n~t.. qa~ la pi~,n~.teMt ~He~mêm~ OH q~e ceHo"ci n~est qa'tn dee o~~ de
ceUe~:en ~n ~ot, qa'~s~ mén~ ~eüt p~roduit.~ouu~ïea e~ta jtttMb~ea & deux~~ dé .~iatnte. dxffére=ïte,.
JLes~f~s 4es cou~ntse~ ~ua~m~a~se~s et 1.
A ret&t eloctfMue de tp~a les coppa dont i~ ema~Mt,e~ eu`
raison invendu xs. dietaucio:
~ne coMéqwence/nat~relie d~M~ M des coHMn~ étee-
tf&quea) c'èat QM les vatiatMna de dMtamBe entre les astres, v
OMCproduit ja ~rjotie <'Uipfique de ~èura opMtes. ~onneB~ Meu
a des varî&tions de téM état eloctciquo, c'eat-à-d~e do ~nten"
site, reï~ve poap ~un~ aj&sduo ~ouc Fautre, de chacun detetu's courants, et, par sutte, ~ntvaNep ta puissance de ieap
résnitante~
Ces v&tiations de Pétât étectriqne se prpdaMent donc sur-
tout daM~ eofp$ <f~ en f~~ g~! ~~?0~ de
<<M~ coM~c~~ oM c*ést-'à dire aw centre dé ce sys"'
terne, daBalamassedusoleU. w.;
Et ee dermer, à son tour, réagit de la même macère, et
produit, sur chacune des parûea do son système, un effet quino différé do celui auquel U est soumis quo par Io degré d'in-
.tonsite.
Cette innuenco réciproque, entro losoÏëil et son cortège de
ptànétes, existe égatement entre ratome de Nuido~ui cbnstittte
rame et tous les atomes de Auidé qui constituent le corps et
"le'cerveaa. v:.
.§~'
La formo oHi~tique des orMtoa dea astres est une condition
M~de la vio universelle.
Tous lea corps tendent toujours de mettra en equil~
par&it d'elèctrMtté, et cet équilibre constttue rhomogenétté
'substance.S~ileneat ainaidepuisFépoque tant reculée de la création
dw moadè, q~eMea catmM oat pu mettM obstacle a cet eqai- r
~5
libM et empeë&w~ J.u8ioD.:de:l'univ~eD~8's..u.
substance. cest-A-direie retour aa néant, là &n de tout ce
~t~
Une sea!e probaMement, ta ~rme eIKptique des o~Mtes
dos astres, qui &nt v<ariér 4 <Me iastam~ Jta pression;
rhMMÏdtt~ et Ïa tompép~t~M, e& on m~t, l'état èlect~qce
~a~oaph~'e~
Eaaaydns de Tendfe compte du mo<Md'aotMm de <Mtte CMM'.
CbacaB de tous ies systèmes planétaires qM arment le
m'o~dè, t~Mme du soleil QBtverseh constttue par Ja con-
ve~enceaa pomtq~ occupé d~a~ C9Ut:8~.éc~és'de~'tOuaces~t~mes..
~esoÏett~veMeÏ doit donc so~
rayonnement étec~ ~iougIea .ây~ies:, et, ¡
Cette mnuences~xepcant, pour chacnn d'eus; e~ riaïsoa di.recto doïamasse etde laqnanM -d'~Iectr-ivi'td. dont-~Ies .co:r~aaont charges, et Masi en caMon inverse du carF6 de ïa dia-*
~~M~e~
On comprend que !a. puMsance de cet astpo doit varter
eOmmesadïstaBcëàcha~~ dgs ~~$téute~
Et qne~ doa lors, son in&uenco reactive sur ceux-ci dott va-'Mër'de'[nême.
C*Qst dtre que~a~~ M ta teïapératare et rétat hyaTo-métrique de tous les systèmes vanont pour ohacan <feux
comme Jear Mnuence eoUective sur le point central du~.monde.
Ce que nous venons de dire de l'umvers, de son point cen-traï et de tous ses grands systèmes s'applique exactement &
notre système solaire, à chacune des planètes qui ie compo-sent, et à son centre qui constitae notre soïo!! la puiMancodo celui-ci vaMto comme sa distance â~~c~ desplai1ètes: etaon innaence réactive sur ceacorpa varie de môme.
~Aïnsi'D'âne part, finance étectftqoe que ïe soïei! nniveraoÏ
exerce par reaction/sur toua les corps, vaMe comme sa dM"
tance à chacun de ces corps et comme Ja résultante de toutes
les inCuonces exercées sur lui par tous ~es systèmes;D'autre p&rt, ÏadMtance de chacun des systèmes au soïeit
universeï variant côntmueHoment, la somme de tontes !ears
innuences varie de m§me;
Doncyles vaMa~onscontihTteUesdeta distance dos systèmesau soïeit uut verset é~nt une consequeoce Jataie de !a ibMne
eUiptique des orbites, cette forme entretient l'existence de
~univers, en s'opposant à réquiMb~~ctrique qui s'etaM~~
j~
$ntr$~8iM<~r~
~~8b!~i; ét~~ai~
L~oo~phaleeat p)~ :~t .68.t.tf~~G~B~pap~)~ ieut~ d'étoilae` n
cpïnpoasmtea, il ïopme une aob~leuaoreso~ble, et doit être
conaid~e cûmme Mne image BMCfpscopMme do rivets.
Chacune de co9 c~mpoBant~a p~BMo & une fohcHon physî-v
q~e ou à Me ~aÏte ~o! bu iatoHoct~~Ue et deQ~tte ?a& aubs~nea, e*ës~&-dMe l~~n~~ ",intime ,'dë~"¡lé.mei1t. "cbi':o,'
miq~~ qui ï& eonsdtuént. v~o~ compo·
MRte9,com~l&den~ astresval'iè:pou",ëh:aCUI), d;.Q¡~
C~mrn~ e~M t0w te? astt~ M nomb~~ ~clé:oouravt~
rayonnent, dane tontes !MdirectMna,on~ 'tou~]e8'6toil&'f
de ena~ce ayateme, pou? entretolitt' FexMtence da so~ (oa
compbaante princtpede~ qtH les amme, o~ e&tfo toua ïëft eya-
temea, po~r eoMtttner ia composMïte pMnbipato de ~orga-
niame~ le noaad ~ta!, r~M~, a !a foia pbyaiq~ë, môca~ et i~
teHectnelle, ~t~~M~c f~t',i'<
,,$. "<<
Ainai qaa Oal~ra coTmpNa, !ea inaHn<!ta, ~s faoa~ teaqua~s moratea ou inteHochtoHea wnt atj~~s c~
quptquo pM~o, étotte ou composantedé Ï~Ma~s~encêph~H..
que et u en est ai~t po~r toatea tes onctions yej~é~dvé&e t
,m~M~L~
~Q.°'-
Chacune deaeto~es ou compoa&ntea de Ve~~deux coUKmtB contraires, dont ta force et, par enite, t~ réeut-
tAnte lui sont propres, bien qnosoucMBos cependant à rh-
aQoMedeRMttrescompottàntea.
(t)1LeMÏe!iaQÏ~Meret !9 petnt eeetMd deTN~vet'e.ne pewent&tMq<m ~'M <!ctioM.<ttUMpour 1 étude de la vie, ~aM l'éM~. aeMet ~el<tNNeace 09 qoi Mt ittâM ne peum~e~ m centM, ce qat eat eapttt pw.&baMOM)eMimmMéfiètne saa~tt être tamittecm. p<dsq!t6 làtoatt&to~ effet de la eemboattom de t'hydM~eae; lot Douésemmea en ~eo <P<t)apMtMemedoMM<ma&anden<toaaiaMl<tti<'B.
,THÉOB1J~f,i)B]~'ÎLsa'J}RldlTj
1~ force do ~ésuÏtante normale de ses deux courants
vario pour chaque comnoaante cérébraïe, et, avec cette di~â-
~<reMe~de.~pee~ 'Si~r~v:
nature intime du corps ou composé chimique, qui ~rnae la
substaacodech~MCompos&tto.Sit matntenant, noas cooeidérons que ch~Me composé
cMmiqno a'deapropnetês cMmiqHeaotphyMqMBdiet~~qat 1~ di~MuCt~Bt de towaïe~ autres, nona pouvons co
prendfeqMe ch~ du .cervéau~ puisse être doaéé
de propKétés sp~iates, qui 1~ distiaguont de toutea ies
autres, et~ae ceN propriétés différentes puissent constituer
les divers tnstinets, qualités moraïe& et inteïlectueÏÏea, et
iactùtes~nctionneltesd~ «rveau.~ourfatt~n iavoquer hypothèse 0 ÏëarésuÏtàta
d'un~ analysé citmique, qui détnontréMit une oompoaitionoteméntaire identique pour toutes tes parties de la substance
'cérébrale~
Non, assurjemô~ puisqu'H est acquis à Ïa science que des
corp~ dits Momies, présentent, avec cette compoMttpnéiementaiî'eidonttque, des propriétés chimiques et
physiquesossentieMoment d'a~MnIos. Comment, en enet, reconnaître,
dans uttoanaÏyBo, une diRérence de composition constituée
par quelques atomes, en plus ou en moins, d'nn~N~~ i nvi-
Stoïe etitnpondéMMetc La orme eïïiptique dos orbites des astres fait varier
a chaque instao~~ avons-nous dit, la résultante des deux
courants éiectriquesd~ las, corps.- 0
tjtCs composantes cérebrates, qui n*échappônt point & cette
éïëctHsattôn par inNuence~ non pius qua celle detousïes
autres éléments daJapi~ immense, nommée univers, voientÏa réaultante de chacuno d'elles varier continueîtement. Ces
vàri&tiona nous Mndent compte de ceUes que nous observons,
à chaque instantdans J~ puissance des facultés et dans ïa
nature des quahtés de rétro, puisqu~eïîes ont pour effet,
de NOodiSer sanscesseïa nature intime, ou co~M~o~
cA~ de lai sabstance cérébraîe~ et, par sutte, son aptitude& ~exercice de e6s ibnctions et & Ïa manifestation de isos
insttBtcts.quaÏitéset fouîtes.
C~s chaog~émeB~ irrégu~ Ïa nature intime delà
subs~nco cèrébrate, provoquent accidentellement les bons et
Tes mauvais mouvements; Tes bonnes etïes mauvaises aottons,
28 NOtJ~I~
et, dès lors, peuvent tràns~rnter Fëtre ins~ ïtB
peuvent ppussoraccMentellement le pius honnêto'homme Aune action coupable, et rendre ie scélérat accessible à do bons
eëntime~ts.
Ha nooa font abandonner momentanément hoe habitudM)noM inspire&t tes déMMet !9a d4go~t8 capptCïeax, ~9 aentt-
~M~B~ephémèM~Mtton et~~
Cpposes&ceaxqa~nouaaniment h&bit&eUement.e ~a tension dea cour&ntB Mectriojnea eat en raiaon inveMè
va d~ ia cpndncttMiité d~s cor~a q~ tpavôfs~nt/et ré&c-
e tiona oiectro-dumi~ues qu'ïïs provoquent, v&Heni: avec b vr
~~<egf~ de~<!Otto~neM)n. .i'
Cette propositionwuM~it Dour ~MMcompt'endce i& diversi~
Nea ~te pro~i~, anr rppganiSMe~ pM rinnnenco ae.
mêmeB agents ext6nouM,daM des circoM~
tdentiqnéa en apparence Ai~Bi,lM~~ ,et.le8;Dub~I1~êtaDf;~'aatant <neiHëop9 conduct~M da Û~de q~!a sont: p~shumides, qu~Ma que soit la nature de l*&jgent qui oxeMàPmaaence, il est évident q~6 1& ténMQn des courants ser&
d'autant nhs gfande, an'ils traverseront dea ~rps et (re~
miUeMx pïas secSàvant d'attemdfe le ~ryeao, et que J& nature
des réactMi~ étectrp-cMmiqueis, qu~Hs prQyoqnëront dans t~
substance cérebr&te, variera ttomme !e degro do cette tensiQn.
Le degré de tension des courants émanant des ot~eteextérieure n'est pas le aoul elôment qui puisse faire varier ia/
nature des conmo~ cbtmiquea qu~sen~~ .l~u. ~tiol1peut être conMdêrabtement &ffaiNie ou exaUée par Ïa resut-
tàute Dropre du corps qui lasubit, suivant qae cette reB~ltant~est très fiorte ou très faibte. Kt, même, la puissance de cette
résultante peut être assez consideraMe pour que Mnnuencedos courants étrangers soit complètement nuUe ceUe-ci,
dans ce cas, est pius faible que ïa réaction du ce~eau, quis'assimile le <hHdo et le traneiorme en aa propre substance,sans subir ~i-même aucune modiacatton.
Ce résultat de r&ctipn du corps étranger eur ie cerveau, e<fde la réACtion plus puissaute de celui-ci, conspue l'assimiL-
latioh, but et phénomène ultime deafouctions de nutrition.
.Z4..
M~dhM d'actif dea ina~tM~oes extéfiemMS aaw
'V<Mf<)M9dteme.
Avant de pouMuivre rexpdaé do rinnùence d~ choses exté-
rieures eur reucéphale, déterminons le mo~e d'action de
.<!ette'in6uenco~ .j' '<
N(~VË~LE ~CNŒ: L~ËC~
< L'ïp~ dëe~ tend toujours a M
~propager d'un corps A un autre, a bavera l'espace~ Ler
« rayonnemeNt ou échacge condnuel de fluide, qui exiate? ainsi entre tous les corps, et tend à les Mettre en équilibre
<f d'électricité (c'est-'a~dire a Ïea traneformer toua en une
~subatance homogène), MB8ti~aeIW~e<t~a~< dont l'action eatéh raison directe de la qaaicttité d~toc-
""T~M~O"~a cMrédoia.~staKce. B
CeMe é!<'ctKM~ oat un phénomène Ëenaï~b~mont Matocoe A c$iNi qui so pfodoU dans ï& ~vano-
ptaatte ~dansJta gén~Mttonde ïa lumi~M ôtectrique.(LoMquo yin~uence a'Merce par l'appareil do ta vision, le
phénomène se confond avec celai de photogr.pble.}:tfn cor veau et nn quelconque de tons ïee autres coppa, iane
pièce d'af~ènt, par e~empîe, tonnent nne pite dont le cervean
eUe coï'ps metaMique coastttuent lea deux pôio«; et ces deax
potes s~nituencentmu~oHëment, c'oat-à-diM tendent, parun échange continuel de Nuido, à se trans~rmer on une
aubstancéhontogénè.
Le courant centrifhge do la pièce d'argent docoiapoae ce
ïneta! et en transporte les élémenta, réduits à l'état de nuide,au cerveau où le couritot rocomposant les rocoMbine, pour
Mproduire !& subst&nce cérébrale, décomposée par le courant y
centrifuge du cerveau.
D'un autre côté, le courant centrifuge de i'encéphaïe
décompose iaaubatancecorébraîe, et en traMporte Ïes élé-
ments~ réduits à Ï'état déicide, à la pièce d'argent où le cou-
rant recomposant iesrecombine, pour reproduire la substancemétaNique, décomposée par le courant centrifuge de ta pièce
~d'argent.Mais cea éléments ne pouyont être reconstitués à leur é~t
primitif. Qu'autant que le courant recomposant possède toutoales condtttona nécessaires à cette reproduction: et ces condi-tioM sont toutea fésumées p~r la conservation de sa puis-
sance, absolue et relative, a un degré absolument le même
que colui auquel elle existait avant la décomposition.Si ce degré de puissance est conservé. la recomposition
normale de la substaBce céfébraleaura lioo, et l'innnence
métallique sera nulle sorl'encéphale, quiinnaencera ete'assi-milera fe nuide émanantde ta pièce o'argent.
Le résultat &nal de l'action et de la réaction exercées pa?îecerveau et lé corps métallique, réciproquement l'un sur
l'autre, sera l'absorption et rasstmilaëôn, par le premier<
d'une partie plue ou meinsMMidéMNedu aeeond~
ï~
Et H M eera ainsi la r~au~tante de ~enoeph~ ast pm~"
~t~~Ue 4~ 'p~'a~l~eatée:pa..O'1.palvé.fisation ou la dissolution.
Maj~ 9Ue'B~si la résultante méta~ique est élevée par la pulvérisai ou
la dissûlutio~t ~t''e aabit l'in~uence du métaJL la saba~neo
~oé~b~l~eat~odi~~dan~
.8,U~8,, D' œ.s3_
~oéMb_l.'¡Jeat,modJAêa~4au.QQœPPNtJ.QQ;~i~WJ.L.v~t¡.
résulta-nte se rapproche plus ou moins de celle de lapièce
,ésu, lta,t,e en un mot, h,e,,plU,8, ",OU,oit ~plue. ",d,8:"ce,l,18,",d,è'l&}).iè" ce,d'argent en un mot~ ~encéphale est piM on momB m6MHaé,
mitteraliae, aon orgamsation 08t af~bliO) Fetrû tend à te~ y
~onvner veM le règne ~M~a~~ dont t! est Msu,
~aeBt~iM 'l'tt1Íe: autre ~:`.
tantôt ~voriseea, tantôt entravées, par ïa pulvériaa~ôn eHa
dtSBOludon, suivant Ïe degr4 d'intenstte de Ïa r~snï~nto de
phacnn des deux corpa, entre l~quels s'exeMe le vayon-;netnent.'etectnqae.
'v" e <<~
La diveraite physiologique de stMtctnre et de composition
chimique des organea, des tHSUs, des glandes, des ~Hieules
et dea composantes ceré~raïes, et la diftérence également
physiologique de forme (1), de direction, de ioug~eup et dé
',P"gigue 'd,e, f¡,o,m,'&,(1), .d,,direc,' ti,ÓD. d' ~JOU,;811,e,uP,''~rd,diamètce des tubes <m condaits; font varier ta résultante des
œurants et~ par auite, engendrent ta dt~rence de mature des
produits abaorbés~ aécrétéseto~al~ normàïomont parchaq~ a
organe, tissu, glande ou foUicuÏe, sous l'inauence de son
~toilet ainsi que la diversité normale des actes physiques;moraux et inteMeetuèts qu'Us accompM~~
'4B.' ~)'
Si maintenant noua recherchons dans Fetude des i~nctiona,des sensa~ons et d~ cuites physiq~ et- in:tellea.
tuëUeè de rhomme, le plan suivant lequel rEtre suprême
(ï/j[~jmM.conrbe6~~m~ 6û apposant & ta~ teMton àMcMtiMMmt du a<~de, &vona6Ntaaco!tM~atMN. Lad!fec~on a!MeNMMgeadM soMnoMee et muMpUeJte« eo<u'ant9et tèa <&ntM-ar$tMmenML'ûNtfe-cMtMMMt dëe fibres Mfveusûa <mgtt~Mtela pntaatanee <!Mco<t-Mnta q~lesptu'cooMnt.Les &HtM8coarbe etapM~M, et la dîMctiMran. q~leilPFco"'D~.Les. form,uB,'cour.be,etsph6ri,Ué. ,et dé ~ot;¡OIlstnaeaee <ïoïveat donc avoir <MMjp'&nde iaNaecce aaf !a darëe de v!~
6t Bmf rAM~e avec tMaette B'~xefMat les bottons. O~ M« ~MMitM~MOf M dW~jy<M Wjp~<M'~ <~M<Mt<)~Mt~?<?' ? ~Mt~ <?~ ?
JM~Mc~~<~M~W~~W~~6~~
;.1)~,L'ÉLBOTftI0IrÊ}:?
en~tient et dipÏ~e romai~nce de toui~ c~ a crée, n~us
aMoM voxp que ce p!an est unique comme Dieu, commev
~Cûot !s mat~~ eommeïe principejNO~b~qM~ qui &'eB~ F&bm~on dea corpa par cetespnt;
q~ tèQa iM pheaornènea qm coïta~ont fôtre hwn~inentre~énhent aa vie, ~oas saca excopt~ ',sont .des ~ef~ets, de
r~etCtriaaRon pâ!' inSoence, toHe que nous r&vons analyse
à~t~h de t& ~brca, qui tend à tracs~ormep tocs tes c0!*pa en
~hë aubstàncé homoge&e. `~
ûè~< àe&pMmé cotte
« Et, btèd qne ce soit an àv&ntage aux &ommë~jA'~oiy dés ae~
w ~n~ eQ ~a par des impMMionB~ d'aiMeura, et«
qae ceïa t~moigrne de Ja dopendaace, Hoaa conduoBB aoeMa que Dieu n'en & pomt, ntaM qu'U entend et veut, nozt pas
encore <~OMMnoua par des opératibna aucunement di~
r~ntea, mata que ~~< ~~M <f~ ~wp~
Nc~ H entend, veut et /M~o'est-à-diM toutes MB
? ehoa~en e~fèt; ca~ H ne vottt point ïà maÏiee
«d~t pèche, pafcequ'eHe n'est ïton. N 0:'
:L~ S. t4~'
L*a~ r~~M~o~~ et r~M~M~ no sont point cona-
titttéos par !ep~~ ~M~M~ d'une sabstance au travers
d'anemembrane. EMeeaontdMo~tsdadouMemouveméntqcn
d~otapo'ao <ï~n côte de Ïa'mombtaii~ et emporté, Arétàt do
Boidè, 1~8 ~az, pTodmts de c~te déûompoait~oh, ~e !~tre
côté, oùitMCOMpoaa.itea p~pnetea, dé~mposante et recompo~~ d&s deux
coaràMa électriqueB nous, donnent donc l'expitcatton des
ph~nomèhea d'd~ d'N~~ $t prùba"Mement anMi do c~M~ tonsion des courants étant
aogTnent~e par rôtrottësse des conduits. y
~§io.
EtM et vivre, esprit et mattéra, Autde ~ectHqao et principevtt&t, n'étant qu'une seute et mênie chose, Ïe p~ncipe vitaï ne
peut Stre distingué ni de retre, ni de son enveloppe, ni de ses
or~anesouinstrumonts (I).
(Jt) MBoacho~ quitUatingw teprioc!pe vitat das ûi~Mes eh' <ttitM)$,~~p~àMee~
38 WtT~~ T~~E DE ~ÉLË~
C'est pour avoir Mgardê te rè~eïninérat comme privé de
vie, que la science a été conduite a la rec~~ ;b:e,fo~é~àngère la ïnatière minêrate, qui B*empareraitde eeUe.-ci
pour constituer la vie, rorgaMsation.
~sTnoW
organMé, nous comprenons oue la torce vitale d'un composéquelconque n'est qu'une modincation do celle de cÏu~cun des
éléments qui arment ce composé, jmodiRcatïoa imprimée par
~combinaison~
Et sachant maînteMntqa~~ l1utritÍon;"88t:COf1sti'tuéè pa!'
Fexerisice incessant, danB ton~s les molécnies de l'etre/dn
phénomène d'endosmoae et d'exoam et' qu.lul-cl,n."estq~nne mani~pe d'opter de reie~~tion pap innconce~, nouspouvons reconnaMFeqNe chacun des quatre pTincipes,oxyhydfogèno, carbone et azotée dont se composent ~s ammauX)
étant, pris a pMt, soumis aux lois dé l'electns&tion parinânenc~ et subissant dès loM rendostaaose et l'exosiaose~ a la
vertn digeBtive,sécr~ive et nutritive. Et loraqM nous les
voyons, combinés ensemble, accomplir cea mêmes fonctionsde nutrition, nous n'éprouvons plus lo besoin de chercher la
force étrangère qui leur dûnne ce pouvoir, pUMquè noussavons que cette force est
la matière etie-meme, et que, par
conséquent!, elle préexiste & toute combinaMon de tous les
"y/éléments~y'
Bece que leprmcipevita! '~ou81es.'lé1DeD'ts ,.tD~en dehora d'eux, ce n'est point une raison pour supposer que
chaque élément va commander aux autres et provoquer rànar-
chie, e~ que, par saito, Inexistence d'un composé <;Mel<conqueest impossible. Car le plan d'action étant unique pour tousles éléments et tous les composés, et l'intensité de la force
étant seule variable, ~M~M~p<M~ ~< M ~M~~ <~~WC, ~<M6! jpM~, MW CÛMCO~~M<MB~<s
p~, aussi longtemps que l'éloctrisa-tion par innuence ne vtentpas, en iMsant varier l'intensitédo saibrce, provoquer sa décomposition et com~mor ses élé~
mentssousnne autreibrme ou lès faire renaître enles séparant.
En un mot, la vie est tout, eu tout et partout, et tous les
corps no sont que les &)rmeg in&nimént vaMées que prend le
auido électrique, le soufne de la Divimité. "'q'~es formes commencent, croissent, décroissent et dispa-
raissent~ la cause vitale est toujours, sans limites, innnie
comme resprit divin, sans un comme sans wmmencèment~~
~OUVE~I~ ~E h'~L~aT~~(3IT'É ~g y
~T~
Et toute cette vie yégétaMvedu~ s'exerce par endoe*moao et exosmose/c'eat-à-dire par éloctMsation par inn~ence~
et constitue lea~nctiona de nntri~on (1).
` L'organoqai touche et Fo~et touché arment les deux p~es
d'un~ pUe, ot ~ea courants ~t Ïes ttïna~~t p~seataot aa~
~nsion ~'A~ntpïue ~ande~qhè les dèuxpom~de~n~ct (ceiui qui eticehuqul
~toach~abntjpiuaatg~s.v
C'~at à ~a tBMion dM BMide à rextrem~~d dOigt~,qU8"US'
deyo&sattNboepJaaensattonpéoibié et I&ïeg~r~t&t p&iho-
logique de MÏ, détermines souvent pMie contact de cea
deux oy~nes, Burto~ loraqae rexordce prolongé de run ou
de rautro, e~ a /!M'~oW. dû to~s doux, a éjevô an-d~aus del&Nbrmale la tensiôn~ de toors couranta. Cet é~ est
Ïé réaul~tdal'tDaNMcéd'ancurpa étr&ng~~ le aup !a
eomDoaaDto céréb~aïe de l'oBH dontta résttitanto est afiaiNie
papraxarcicaexcesB~La tenaion dea coMrantsea~si bien lacaM~ de cespMno"
menes pathoïogiq~~ noas pouvojas souvent éviter leur
pMdncdon et toujours dimmuorMarinteBsité,ejamouH~ntlé dot~t avant de le porter au contact de i\BiI. L'humidité
dimmue bu Mt cesser ia tension du Suide en lavorisant son
écouïemtont et c~éat ainai q~agissent Ïes ïotiona et Ïee baiM
d'eau puro,pïua ou moins ~otde, pour enlever instantané-ment la aensation ou te sentiment de Mgue d'un org&ne
\~y~~WM~
~9~ y
Un coup d'ceU jeté sur !a conformation eUes sécrétions des
organea génitaux, et sur Ïeurs ~nctions~ noua &it envisagerrnomme et la Mmme comme deux machines éïectnquea,
dana chacune deaqueHes nous reconnaissons un condensateur,
aphérique, et un condunteur-excita.teur, cyïindnque et
pointu, ~Mt~'EM~~ o~~ ~e ~M~ ~c~W~MC.
Cette ~rmegiob~dU,co~deBsateu~88t
la plu8..prOpl'e d
(Ï) L&nut~on, o'Mt 1&vie. L&v4e an!v~raeUe étant I& somme de
tOMtMieaviMindivMMeïtee, aoaM8aortMn!que deitêtro ceiui deees
d~i~ar~endeMmoaeetl'e~amoae,r~ectrisatbhpapiaauencp. M~théor~a ne eMait doac qMeia conantXMtonde cette pensée de VotttdM:
=,qMotoatytm~eMjmMMOpMieme~eMaao~~
SA ~`i~ T~
a'opposeratà perte du~< '.on'a~~ml1~.ti~t1:a]l'~PÓi.t,qneiconqoe de rorgane et a la deetruotion decetui~ct. Aassi
la retrouvons- nous, ptua oa mdina ~&~ dati~ l. cer~tm
eB dans tous Jtes organes û~ dee f~aot~es plu~~ac-
'tiveN"
La forme~cy~apeSt~mtn~se~p~
~~MM~M~S~~ .:antea .A..tac"
connpMBsement 00 AoaM foMuonB~ <m eUo t$ur pènn~ mtraMmïMionda ~aidû à !~r ~tï~mtté, Bana B~t~ seo~e
pM~ su~ce eyhnAHque. L'a~ la ,t'IWÓ~JJtra~$ aux pointea 86~~ par ce Mt, p!u
~M~Mtbl~
'J. :,S,:IQ,
L'~oitoM~!&
~n~~r~p~ mnombrtt~sv
c;fconvoluttOM et ontM-cM~aementa (tes eo~daite ~n~~i~
(dont les 6,090 pieds, ~pfès le calent de Mbnpo~ ~Mm~nt M~MMai pettt Y~umo que ce~i da epMësa&teur d~
rhQtnme~ doivent provoquer dama cet org&NQ, HM te~O~
é~ctriqwe coMtdéKtbio qMt peut noue Mndfe compte et do aa
puissance etdesoni~uenMaup tonte récpïiQmi~
-7~ '5' :it:
(~s reNe~ioManr t&fbn~ fonctions et les aenaatio~a
de~ appareil de reproduction~ noua ïea t$rmïnerons p$riremarque d'an ~t qui démontre une M~ do pttte ia. ~ge
'pr~oyanco. du-Créateur;~ur la tête, snr ies partieë gemta~es <"t Mr tous l~B p~ntaeu diveraee cau&eB, notamnïént grande activité f<)nctMn'-
meîte deaprganea, tendent à accumuïer le Suide cents~ugeût, par auite, à proyoquer son écouïemont tent, y'
maiB continuot, est favorise par un grand développement dM
Bystème pileux, dont te r6ie se dédutt BatureHement~ d~fo~me do ses niaments et des propriétés hygrométriques de
loarsunstance. Lorsque, sous l'~naueNced~B orage ou d'une
grande terreur, cet écoulement acquiert UM intenaté oonai-
dép&Me, il peut maintenir les cheveux raides et hôNsses (Ij.
(1) Lea Neaaat~MéÏectfiqaea qH'épMuyÔMhteea gaMes etiu~ &toutes lea extt6mtt~8, aux do!gta, au nez. aux oMtttM, fHMMMMsMtMtt'v!egd'~cbrottaoMd,etpO)MtahttetonBa~raBe6C<a!<p~ :1..
toage ehewMxdes ïàd!ea& Mtena!e)tttfw<<~$ MWw~,ea ~èn~an~ & la~t~ de eea hi<tm<aesMMgMSsaa'' ëoonme, 4e fa<jtoaque ta vaede eetefEftt
.asm'avaiëarten'em'aupeKtittMNe.~p<<jM~ys~~W~a,p<~ent~&TA~~miedMec!eBM~~
~eti~par~.J.F~et~ 8nt_A,8.
~ï
C'est ï& tensMn exagérée du Cuide morbmqne, ntanifostée par)ea ~enaations péniMOS,~ OU proioJûtgéeSt t[M d~-
eo~pose saba~nce de~ cheveux, ~os M bMoMr lantemtoatou
subitement.·
i ~y
instinctive ou aftbc~ve~ peut s'exercer
1" E~tM FostomM et sa composante cerebr~e eHe pM-
vo~no a~M ï~~M~ Jafaim;
qMtp&MsseraniN~àaenouïTir; t. ',<
2~ Entre y~stomM ot ~n éio~ ~M~ ef:rà!!mea~
'.<~<!tM<~Jp<M'<Dans c6 cas, olïe ~iderMim&LdanBl&pech&yche et lecho~
de a~ nourfitaro, et 19 poMso A l'introdatM dans aorn tabe
dtge~M~
L'att.ï'Mtion étoctriqa~ o~ af8n!t6 dtï~~ue, 6ntM~ la sube-
t&nco c~réb~tQ et la subs~nco aUmontaiw, c~~ .l1t",force
i~C'est eUeq~ ~é.tere~D~~88&~t,'D'&ns ce cae, cette aéiMatton apparent a I& vie de retation
comm~ à la. vie végétative, puisque rinanence'B'exerco ontfe
l'anunal et le milieu ambiant3" Entre âne on phsteuM composantes cérébraïes, ~M~
~~<
EtnBechose~~q~S!l<& inspire alors désîr ou répu~Mnce~ af~e~OJt ou aver-
~o&, aympathié ou an~pathie~ pM~u' o~ peine, joie on tris-tesae~ eapoif on désespptr, eatimo ou mepria, pTessontt-.mente,'etc.
Si iea pr~nn~l1ne, activité, atla teamon
dn iSuide déj~so un certain degré. la sensation acquiert nneintea~té anormale, la passion naît, et d'autant plus vive ett
pins insHrmontabte que la tension est pins considérable.
Dana les trois circonstances que nons venons de apéctner, la
fonction eat exécutée par nn petit NombjFe d'é~Hea, et la
sens&tion déterminée provoque un acte, que le plus Bonvent
noua ilommona instinctif.
Cet; acte se confond avec Facte réRéxe par ceï~ qa'U est v
exécuté sans volonté m jngetnent préalables.
~aiaiïendiiïereènce~
D~~ p<t~ l'agent exerce son action à diatance, sans con-tact àpprëciabi~
E~<r~rimpM~~ estP~9U~
~r~ 'S'1,8~
L8ÈO&M~ dé BO~t tO~S M C~p~, t~ 00.
pnénomènes qu'iis présentent et, dans l'état actuel ~e nos
m~u~a, presque tous les actes des~ animaie,et suriont les actes les a~naatipM ~énésiqu~s !& vie a'mseolle-MêzMt determitte M propre SB. M bien oue l'homme &'&
,Q1!~¡94~dt.r.JJ;\4'f, :~r~Qt~ we~~ t i. y.·,r~r:çsr~ats~: t-ü~.M~ m.n.i.w
"p~'g~emt~~Le mode ~'ac~on dea c~naes~ m .ee na
.~ent`etreque rétectPMation pap inûnen<ce, CM, nous l'a~oM de~à dtt, la
natMrèn'aqM'onpîan, et cepïa 'Ié,Ql1eJ eJle,d~lU1e.et. ventréttant la vie, doit être également cejtoi savant lequel eHe
ptovo~e eldetermineJa~M~ ,pUj8q~e.:'l' a«.m,C?rt:~4!Q~éo~p.'n'est que la nateaance d'nn autre <orpB)poMquo l'eiectNMtton
parm&uence n'est <~el~doewp~~e .illi~:nïMationetiadesaastmtlation.
Un~c~ naît et croît innnehcë son MKèuMile. Un corps qm décroît et meurt e&t in~uonee, d4tM~ et
asmm~ par toat ce qai rentonre.et
Comme l'impression qui détepmm~ seneation, Ja maïa~ie
estua compose eunuque eNgeD~rodana le cerveau par félec-triaation par contact ou par inAuenco comme Ïa sena&tton,
ïe<ymptôme morbide eatlamaniiestation~ propriétés de ce
~~Mm~o~MmM~Y~?~
";§.24~ ~J~
v
Maintenant a.i nous <~neidérons que la preaston atmbspM
riquevaNeponr chacun de tous lesMtres comme leur inûaencev
coHectivè sup ïo point centrai de i'atuvers que cette inBuoncecoUective varie elle même commele mouvement dé décom-
posttion dos atomes qui composent chacun dea astrea, nous
arrivons à cette conclusion que toates nos pensées et toutesnos actiona peuvent avoir ieu~ moM!e daMBtous les atomes de v
l'univers, queUé qoe soit la diatance qui Doua en sépare, et,ce qui n'est pas moins digne dé remarque, que chacune de
ces penaees comme de ces actiona exerce eg~Moment une in-
nuonce féactive sur tous ces atomes. (C'est par cette innuehce
réactive que Dieu connaît instantanément nos ponaées et nos
acttona les plus secrètes) >De telle sorte que les massacref morveilleux, o~ ~~o~w
~<oW<MMJ~ auxqueUes Mprépareat dea nations qui ao dMent
pieuses et civiiMées, peuvent être causo~ prédisposantëa~ oc*caaionnélles ou simplement adjuvantes d'epidémiea qui déci-
meront les habitants de ptanétoss~uéea a. ptusioura mHMàrds
de lieueade notre globe.v
N~~ ~tu1:oB,iE:' Lj~â~RtcxT~
'4-
AiotH, nous semble démontrée, l'in&uence plus ou moins
oonsidéraMe deB astr~ toua les pMnom~a qMt~ ~èntn09 sens. Et cette mnuenco, par tes réaettons électro -Mimi-
ques (peut~tre plus st~ toute autre époque do l'exis-
",q:O,1I"JP,,t-é" ~~e,P,l\t,s',t, a,J,s, ,q, U,"1, to,U,t,.a,u,tr.é, P"Oq,U~d,"e,l'èX,I,tence) qu'au moment de la natasancë~e provoque a Ïe
c'B~veMt, p'ouM'aat bien donaov quetq~e v~leor à rhorosëope, ai
.JM~~é~~M&é~
~temont exactes.
.e~~K'
-<-v*
Ce q~eno~s venons de~ Ptn&aence morbMqwe deaautres Msimaaari~ autres noua aMéne à partir de ta. m~me
jm~nence exetc~ par ~homme ou TatdmaÏ tnaïa~ea stir
l~omme on l'antmal satM, in&nence dite tantôt do contagion,~tant<&t'~n&cHon.
(~ttainanence (qn~ de 1'éiectrieation par~~
inAnence~ par contact médtat on immédiat), e'exetcant entre
~na l~s o~ros, tKNt ~vt~ont1" Qao tontea les maïadiea, woM~ et pAy~M~, peuvent
§tr<e eotnïnnntquees par contact ou inaction, ioraquo le aojeteain possède une composttton chimtoue sensiMoment iden-
dqneA cel!e que possedaït~ s~ot malade avant d'être atteint
parTaffectioBt; rQue, dans le caa M~ntraire~ la
contagion et l'infection
ponNontoncote déterminer che:5 le sujet sain un état patholo"
gt~ne,maisque cette dernière af~ pourra n'être passemMable a ceHe dont elle tirera son ôngine~
Lorsque deux sujets, deux hom~m~~ deM anuBaux, ou
un nommé et un animal, sont approcha bu mis au cdntact,le
rayonnement électrique s'établit immMiatement de run &
Pantre et aMBi, en vertn de l'afanité chimique, de chacune
des compoaantes cérébr&les de l'un à la composante ~mUaire
"-dè~rantro;
Etrécipt'oqnement. wEt !à puissance eloctro-chimiqne de ce rayonnement est en
raison inverse du carré de la distance.
De cette manière, deux composantes aimilaires forment une
pile dont chacnne~M pôles.Et ces deax p61es a~udinencent mutaeBement, o'eBt~a-'dire
tendent & mettre en équilibre leur double mouvement de dé-
compoaition et de recompositton.L~e courant centrifuge de run des p~es décompose la subs-
tance de celui-ci et en transporte les éléments, ~dnits A
Fêtât de naidè, à l'autre p61e ou le courant recomposant les
38~ T~ÉO~~ DE, ~LECT~~CI'
récombiM, pour Mproduire la substance decompOtaée par leCOUrant Centri~U~d~ plU,.
Et cette même action est exercée par les de~X pôles yéci"
proquemetni~unsurrautre. y v
~s les éléments ne peuvent @tre reconstitués
qu'autant que le courant recomposant trouvetoutes les cendi-MonsneoeajaMres à leur régénération, (~nditions qui sont
'es'~sumees~~Teq~~
pûles.cpmmeentreles éléments provenant de la substance
detpmte à rnn daa p61eB, et ceux nécemairea pour ta généra-
tion de h aubataneo a reprodn~e à rautM~Si donc un coarant émane d'une composante cerébrate
dont ta sut'atanceeBt anormale, morbide, et en transporte les
éïéme~ Ruidïûés dans Ïa composante simUaiM de l'autre
st~et; et, BiïescoaMntsde cette dernié~ tombent
on éautUbre parfait avec ceux de la première, dont ils sub!~
sentrinnuence, la ~balance morbide eat régentée, ta ma-Ïadieest transmise, ~contagion est ef~c~Mais iee choses ne se passont pas tonj~ ai~si, et trois
casuivera peuvent se présenter $
~J_ ,S26.
y En e~t, sachant ce qu'est !e nuide, comment il se dirige
d*uno composante cérébrate d'un sujet à la composante simi-laire d'un &utre, m~e & la plus grande distance (1~ comment
l*tmage, la. oarote) p~M~~ itn~nt~~d~ l'un peuvent être
photograpmées dans le cerveau de l'autre, on peat concevoir
que nos ntoeurs doivent avoir pbur ~sultat inévitable d'acca-
muler le 4~Mc véneHen dans le cerveau de Thomme et de la
femme; dêeleurplus tendre en&nce/d'autant facilement
H) Si ~deqaet Mitt& d!stanea q~ aëpM~ de~x &mia ou d'ettxpMenta,eue peut ÔtreanaoMa par t&ptttaMaMdaf&yetmementA~a'exefce entM e<MHdeteM~w~e qae l'6v~eme~hetu'etme<t mftIheeKtaxqoi atte!at l'om d'eax, peat ao~vent exeMof eM* t'antM un& inCMnce de~m&BMMtMO'
Nous ea trouvons an exemple d&nBce ~it que (page MCdo sen a'~<~d<t jS~W~MM,d<%}&citA) iô v~BécaMedectoor Wahu t&conte en ceaMnees wU~ospMte, résidant haMtaeHent àPa~s. perd sa femme pKMceauM~Mè&t.n était ~té.pwnntermédt~Md'MamAd~ (ne
i'ét.a~ni«M f~Mt~OM), ea cemmtHMcat!<maveo rettptît de sm &Mme. Queh}<Mtetàpaapfôa MMtotaecëUë~ reàpt'itMc~MeUtë de quitter Pafts,dootieoMmat,tMteat-itdtt,estd4&voMMe&a&sante/etUrengatM&aNerhaM<~N!M.JLeBpMteauitteceMoMet9'iastaMe&Nice~iatt t& coanataaance d'an autre apiftte a<6 dM8 cette viUe. Quelqae
tempaapfâaMnativee& N!ce. itreçeitde aen médiom dePar!a,aaedieteeMte pMfeap~tdeaaMmmo q~iatdtt: qu'U~ la~eennatManee da BpMtode Nice qae aan #Bt~ iNt deviendra preoieMM
.qw'nemme~y~e~
~ouvs~ ?
qneïeur composante ~nera~e~ le::re~~v~ait ~de
laconcept~pn, to~oM~ p~dtspoaêe & subur ta y~a.c~
cMmiqne Quilec~Mt~ue.
La ptn'oïe, la p~naée. Kmag~-Ia et&tue et rouvmge
~Nm6 ou manuBcrit eubisBen~ Tin~ueBce dé dya~po~ition
mbpaÏode~eMpautoap, aMBt bien que celte hy-.
mq~ms~M~tend &leB cieMre en equtl~bre de
ânide et, comme ceues de 1& confosston et de toutea les m&-
Mtea phy8iquea, cette inN~enco, loFsqn'eue em~e d'un M~et
B Oi', desonvivaat, la femme du apïrite de Paris n'avaitjamais entendu< parlerdunouvel ami deson mari. Le medtum,qa! habite Paris, n'en avait
jamais non plus entendu parler Le apirite de Paris nouvellementinataïte A Ni<!e n'a pas aoU}ctt4 cette dbtee. Cemment d~ne expMq.uw ce
e qo: wAëMe, eï e$ n'e$t pM anè actbn ~deate/ tnconteatabte de
~reapMt?z' CMta!na pMIoaephea qniae opoient transeen~anta~ pfétendent que teà
B &i~ produits dMM l'ôtat de t& M)&<!to'«nité peavent a'expMquec paf lesm phéMmônea du têvCt du MminMaboHame, de t'hypn~ame ou de t& ~Ue,<* on bien emcoM Ma dïa~nt que eea f&tta s'expliquent par l'action invoton-
je taiM et inceaaoiemto de t'ame que le. Mifpa; parQMcoMaisa&nce égale.Bmentincen~cientequer&mepeuta~oir.
~Maia, dans le finit q<ttMécède,!a mddimn eat à Parlé et à moins que,t quand Ha écrit qu'il miiait cliver la cotaaiaaance du apirite dec tRice, etc.. son &tne ait fait incoMciemment et iaatantanement le voyage
de Parie a Nice, peur vo!r et poor savoir ce qa'ilMIait dicter, M n'eet
)f guètepoaeiNe d'expliquerlà choM Or,ati l'on adntetque l'âme du Médiam,'unie Âun porpa matériel, a pua'Mt détacher momentanément, pourqaotune autre âme qui a <MSM d'être uoie à un corps materiet ne pourfaiKHe
pa~MreIe même voyage et dicter & l'âme du médium de Paria ÏDanef tousiea ca9,ouc*e8tramedotnediom quiavoyagé, ou c'eat une autree âme il n'y a pMl& de moyen terme.*
~:t''expMoàttonde ce fait nous. pataït facile. L'âme du médium n'a pas
voyage une &me no peut quMtor le corps qu'elle a créé. qu'elle anime, quivit par e!le et par qui elle vit. maia une de ses moaadee (~Mt <<c <M M~
~<stf«)eat reatée, par ses emanatiooe. en relation avec une des monades
du partsien qui a~eat instaNé à Hice. et dont les courants lut ont apportéla photographie d'une partie des ao'ions de ce dernier; et la tnona«e duMédium a dicté & ce dernier ce qu'iia ~crit au parisien de Nice La Mo-nadè du Médium a travaillé sans l'otdre, ni là voionté/ni ia connaissancede ce dernier (de «w~e,~M< h~w~M~ M< <? jpt'o~c cotMetMM),qui est demeuré absolument inconsciejott de ce travail.
Ce fait peu~ ~conaidéré comme un Phénomène do BC~gea~on men-
te~le invo~ntait~. exercée sur le mé<iium. par io parisien de Nice.C'est à cette action dea courants qu'il faut attribuef les sensatieas
nommées pressentiments. C'est par elle encore que, plus d'une foie. le
résultat d'une grande bataille a été eonna. & une distance considérable derendreito~ elle ae Mvipai~ a.vaut même d'être patMtement ;ugé par toaslesoombattauts. °:
ïl est encore un des effets de releetrisatioa t.ar innuence, ce sen-timent instinctit de dégoût et de répatsion qui saisît l'homme noMe;fràaoet loyal & l'approche d'an être vit, fbufbo et rampant, comme a la voed'un aniteat immonde et venimeux.
Bnnn, H eu est de même de la fruité que nOM possédoaa, de deviner
la pensée, l'intention d'une peraonae sans lui parler, sans là regarder et,
ouelquefoia~ peut-Mret sans le <iésiMf.
40~ ~~oi~ ~~i~c~r~~a~~r~
im~Qf,Ï&ipu~t6~~ qûi. ;ia ~bf~,<I1'Ili8Óû~¡ir;1~eda~~deÏ&d~Mnceq~ 0$:d,e~f?7~r~f"
'aqB~ ~7~<0~at aM 4M ÏMlb~ lM !~Na6M, lèa MBtMM et )M apec-
")Qre.i. :aI, "i,q.le,rbal. 8.'i'l"DJ. Q.t. :1..e.8. ,,()m.8D8.:f.J.e18.s.P'tadM d6Mse&t ià aa&w physiqoe et mùt~e, pewpIcnHea
p~&a $t Ïea Mpi~x.?~~m~~m~M~mSm
M~neo d6&voràMe lear lecture tmpnme aux eoaMnta
éî~t~qaead~ ron~ph&to une ac~~ ~4!&1'IIJ1a~d~ n~mbM~a rôac~o~~ doBt )oa pvop~téa a6 màmfMtontpa!' to~tea CM angOtMM que le lecteur MctLorcke &vec ta~t
d'agité et ~OB een~~QM M~ci~~ ,1.ptQP.1.tiq.~e.~ne ~MionmorbMe dw RMide
tamorphOM de r~r~niBme, ausa~ sûpemont qM cetïett qm
tM~~ntab~sM~N~
.SEC'npN'm
(Extpatts des J?~e~àI'liy~e. j_.
.§~ ~7'
O~ani~~o&ï'i~hi~Y
L'Mganismo ~umatD estrimagedel~w~ de rorganiamo'dtvin.
.t St,~oaMt le rote de mtcrùscope apipi~l~ :A~e.,hu~aiae
ae dM~ Mpéon mmeù ambiant, eUé déconvre ~n nombre
pMdi~e~xd'~Uea (1), B~onadeB pt; oomposan~M cé~braIeB~
(MCeaëteiieeaoat !t!en teSMona~esd~ ~eibn! m&!a,eontfa!Mméata~lt'epMhm de ce pMioaephe, eMeaee Metttgicnoent Téctpfoqa~m~t sa'
Maseat yïa~aeneo de ram~ otde toutes ies choses extéHeuMS Al'o)fg&-a!atmeha<Bt~a; et cosontpMcïaAment teateacMio&NenceaQutpMvo-
q~nt!eu!'e4aëya~netentMti~hMMtew~tè.Ce ~oat~eséMtlëa o~ mMadeaqQè te 8ptrht8~e p~aa~p eapyita
déaincaMéa et aUmquetait aceerde, avec Mîtpérïep'it ott Mmoaph&M~a-~)~eMe, t& facuite de ee reiCKMU'nefam' !tt ter~ cm Mr une MOre
ptM~t<t<eétaooaSMmMeiMpONatMo.etpourdeQxr~acas~J%~tMt~eMMM<. SépMée de so& enve!ûM'ë, de aes ~ena, de aen eefM
oainattomMt.QaeAme ser&itchndMnnée&ria&c~M physïqMe et MM.taett~ <M~nBe? aMàtt Dtea (on y&t'fK~m) M~me, <a J& aMtMèM
a'exietaM pM, car~ ia pena~o M ye<~sa~!c~eM poav~t s'ôbver
NO~E~ y"~O~E~ ~E L'~L~`RIt'
M-dessMa dehM-meme.est nëceasairement la créa~en d'oae essence i~
jM~enM,mat6~eUeenmix<6e,phystcû-psycMqae.Sjtled~&eamô ne pëat a~n~ .nlipirltlléUemeDt.
"D<<M~MMMeMt.–S'UpoM&de~W uD.08phêre.ma*t,lÎe.U M saurait passef sut nn~ autre planète, puisque 1& matt&M ne MWt
a'Mch!r lea Mp&MN béteatee qa'ap~a awcM 4tA m~Maorphoaée en 4<hw,ta Quittât apMtueL
Les idëea Ïnvo~n<~MBp&raitK<ent ~tUNef tes CMjy&ncee desepMtes q~i
!? conaiaèMMt commeaogfgAfeétt paf
les doatncamëa. atem qà'eMM a~tte produit <t<t tayonne~nt, edt d'una OMptaa!e<tMt moaadea. seitd'om ~t
yhBteMKt systèmes de monades (eM<«&ta< w~tt~M <w <Mn'<MMM«
wtM~t~Wëts), qui- tra~àment s<uM r<Mfdfe ai la veteate de t'&meeachefde
Mtt~ comme Mns Ïe so)annmbo!!eme, comme dans tea rôves et entr'MtMa<tM8ce!utdeBee~hevea..H n'en est pas de rhommecomme -de l'absolu pÎMe eat~l'esp~t
pur et t& matière, l'esprit h~aMia peat se partNet, s'ët~ve~ te gMa'Ïif, eaM dMgeaM vjfs t'absota, ou a'abaiMer. se matep!at!sw en con~dép~pt
phya!q~e, ta matieM. DaM fan eU'aatM cas, reMat est un produit M
Miectrïatatton pac maneao~. de rexesmoac et de t'endesmose, et, dans M
pfém~f. noMsie regardenat eûmme Maphenomenet de ao~eatton BM~..taie.
(~'<<M~CM<MH~, FOMf ~<t&<~ tM~tM~M~, <? JMMa~' Sa~M <M',<:OM~<M~ coMe~to~ que !<t MMttM~ M< d~ <<w~ ~<<d, <:OMwe MMdt-
wc<6t«* wodK~eOMf, ï'ea~, <<<wt ? p~~<t~ et!<t jWt~MMW
S<<M~M~<~M~e<
(1) Nous avensdttp~ haut(p~e M, 84): <lLeseIeU om~a~t
e peint cen~atde l'annota M pèsent MM qae des notteoea~test'aw
qni gra~ttent autow d'èMë/co~m~ autour de la
~n~~h~M~
De même que le soleiïumveraet(I), notreame, so!e!! princ!'paldè r~rganisme huntain, possède une atmosphe~~e~
diM ômanationB abmtn~Ues aw dce
69p~ea &ataoa,plM9 o~m~~ purs,daJl81esquels': 'c,1'cillenl.
~'?'?~~?6~Jtiumiana, comme les astres Ïe Bontpaple soufSè on éaptïtdMin.
Comme l'&me ou m~ma~princtpa.te, dont eUe 4eHv$ c~a-
MM d~ cea monadeaou ~w~~co~ poasMeane atmoa'*
pMre et rayonne ~&aMe~t'wMMp ou oïectfiqM. '>Entre toutes les monades et leare famiMes on aodet6a)
r~gne la même hiérarcMe qu'entre tons le$ M~res et !enM
~atèmea petite ou ~ande, c~Mnae d'eUès tourne àntonr deson chef ou père qui !a crée, ranime et I& dMge. Et, pour:~Il~ ':chef ,OU.. pere, ,qu!l'Icr~ l'aD.lme~t tout dlrlP'Í, Et-l' 01U'chacune d~elïes~ tout vient de 8jn ohef, et tout retourne son
Cet ordre et cette hiérarchie, dans !a marche des étoUM
humaines, ainsi que dans rinuuencequ~Mes exercent, ré<a-ppoqUexnentt les unes aur les autres, conatttuent ïa vie et !araison de l'homme (w~ctf~o~ ~a'jM~~d'~Mo''
Ta~f ~wc ~~Mf~yt~M~~), comme lemême ordre et
N~
m§!M hiérarchie dans la mAr<~$ et le tayonaomont dw :v`
perpetnent !& vie et taiBO~ di~mea, epm~ te m6m~v
etia même hiêrarcbie dans ïea actes dea hommea eatretien-
y nentita~~vie etJafaiaon doa aocietes huwain~~
QuaM~ eat Fétendne d$ ï'eapaeë enoephàïiqne occupé par
l'&mo et tonte$ lea ~toites qui gffavitont autour d'olle?
-t~
~t-iîrempM par ia matière visible et pohdéfaMe,Mes ancros-
copM&rtincieb seraient imp~~ 'déÓ()~~ri~jCette po~ -dlv'.ne't::llat\lr.eU~qt-
eMe nona MmMerin~OMibté,at~our~Ie
~l!1icrOB~()penous & fMt conDaître te monde in~istbie de t& matière, et quo
noa photQgraphieB arti&ci<&lieis représentent, s~r dos pointa~o,- pJ1ot,!grapbiss,: 7hôsur
':de.p(dnt8~
impefe~pttbtes, lea horizoM 1~ plua étendus ?
$~ `,.
t~el<~emeat/de/~c~aniame'hum~~
Bx&mmons r&me (o~ c~~t A~wa~ OM~t~c~ ro1t'e
AMt~~) rinstant m§pie do Ïà concepHou, dont oHe est te
Mmde dèl&vtû, d&M l'état &cmel de Ïa ectence. ce q'tî aat tnM M
t,peutavetr wn centM. eteeiq~ Mt esp~t pa~ ~Mta~catimmaM~
tMmMit être tu)m!neux, puisque ta lamt&M ostMneaetdet~ cembastioa
derhydMg&M~ Ict, nouaaûcunea~m &eed'(tnp)foM&me d&ntMoaaban-tdenoonatasotttttoa.~
Mais/en y ~aôchissant, il ncas aemMe que ïe p~M~me c'ëat pM-iaMtttMe.
L'&we humaine peut être !ocaMe6e, paMeqM'eHe&aOMmmeacemen~etatte Ça, p&Me que a~n enveteppe ets<tn instrante~t. ea'tpa. esMncô taa-
tét!îeMa,&<teanm!te&; matitt !'abso~. i'étetfael et in&tti, ietuMe («H~e-
«'~<~). don~ te te<ap& et respace eont des attrïbuts, eoht MOM aveea a!t`~
que i& vMesse est iMta~tanëe.feaprit divin, enan, a~ peat êtM iocaMsë.t~tNtQdedeceBSidëMriàmatiwe.lesco~saats/~g~n corps
hwa~a!B. <B<tpa~cuiiier, nûatspor<ait& bcaMaa! à fMtMindfe, àM)Mité)')&
paytietMet!igeatèatabsotMMeotmor&Ïédei'4n6oi. v-
En fô&tité. cette pensée était iMogio~e. cap eMo aiait impMctte~at !*i)t-
~ni,dontetteafâmtaitexpMci<emeBtrexisten~"p'"
A<]joMdhu!.aoas&vaMt& -conviction que respMtinnnt esjMtidivMMe,,A*Jourd~hui. noul 8VO.n81&00.' n."letion. qu.l'esp.tID..fln. i. ,e8~.IItcli. iâi. ble,.qu'entoua Kewx, en toMS potata. it Mt égat s ÏMi-meme, bon, sage, ~isaaat
etinteMigentandegféauprème.Enan, aoutm'avona pas la prëtention de le eonoaftM patfaîtament; atasî
que Modique le titre de not~e tM~vaU. noas eapéfooa Matement conttibaax'
at'ÔMde oup~MAme aoutevep&rbs phénomenea extraordinaires, d&eon-
wrtN. pMVttqM&s et itbae~éa dep~<& qaeÏqMes &~n~ Avec B<<M~ 1.
eMyôna que. ce pfebtème n'est pu iMMttMe; que ta cMnaiMMce del'homme peut coaduifeàin coanafaN~Më plus où moina p&r&tite deBieo,~t qu'en y penatutt aouvem, d'àutMe aNWut le beaheor d'acqaerif eette
eQnM<ea&mce,ded!asipefcet qM'Hy&devoiMetcoNfhBdainanetMhe~izen.
(Ï) Ainat que !'ontponsé Û<pte. Ctàude Bernard et M; E. Càw, il eocta~dOWM!WtC C~Mt~Ciett MO~Mf~He et M~MC ~<e~ W<<~ t'0~<i d~MM
~N C~MM ?< f<MtiMW<!<MtS <<WM~~ ~E. CaM, JM~tM<~<<MC ~iMCM,p.8M-
a~o~~ n~a~r~o~ 4?
frmt, et anatysons les pnen(~enos~d~ment del'organisme humain.
r
.UB~t6t..cr$ë~ ~ycûne de, mo~ eM~Mf~, ammée"Tun'm~vemenïlaeyo~
~w~M~ cot~<~t ce~rt/~c ~< <x~M~~M<!e ee~
~o6M~ M~«<~), pay<~nn<9 autoup d'oUe-mômOt C!'$st-
~dire envoie deaémaBattonaqHrM~ atQ10aphère~t 1& Mettent en rèïa.tbn &v6c i&m~ ~tMpMfa, dont $U<&est omvdopp~e de toutoa p&rta; et dont eHe-Bnemé recott lea
YtWM~~phyMquea.moKten~ cette m~t~ et le pMa<~pe de vie, de
mouvement du nbayelêtce arment leB<ÏMxpetettd~neF~~c~~ jctont téB courants, ~~c~c~~ sont,cô~atitaée pa)* ioa émMtationa tïtoratea de t'&me et les vapeurs
p~MqMade~~activi~ dû., ~a,onnement. dé" "ltAme,cteat-A..di1'8 de son
acttonaurla m&~ère, est d'autant plue grande que rame eat
ptaa jeanee~ p&r8mto,p~8pHFe, plue forte.
Cette activïté provoque ceUe du rayotmement contMire; de
là réaction de la matière aup r&nte, et lea deux eseencos a'tu-
Huencent fécippôquement avec énergie. ,0
Prenant amei une grande intenaitCt vie, te mouvement,
entre les deux aubstancee, détermine promptement,sur divers
poiaMd'entre-cFQisemontdea coaranta la gén4ra<tion d'etinceUes (oM ~c~M~ ~c<fO-c~MMt~t~~) qui consti-
titueut les monadea jp~~Me:! ~~<o[~M de l'orga-
~m8me;(l).
(2vo~ ~ow?MO~ physiauM, jpet'cc ~'c~iM M~ c~<
~«.ts o~tMey ~Mt~t~, e~vege~tivest p~cc ~i~ ~w ec<<o?t~c co<tM~<wd* ~~<a~e.Ces réactions électro-chimiqnes, ces etoiïes phvaiqnes,maia Noides, doivent être engendrées avant les ètodes mo-
raïes, puisquel'âme eat de tous côtes en rapport immédiat
avec lam&ttère, eteUes doivent naître avant les étoites intet-
lectueHM,MM< tessens..
Ces qu'oïlea apparais~ t'atmosphèro de !'ame, ces
etpties physiques se trouvent en relation, ~f ~~coMfo~~
ce~M ~w<W/avecles deux ossiènces dont eliea
(i) Cette g~nétatien est donc aaalogae &caHe desastfe< des aateMMès
etde taMatea~ a.t$mM. (Voir pagea M. 8S, 86,10? et 108 4e tat~' ~MM~4t~<<~< et pages K,20, 8Bet ~n~ ,\81e,
TAcadê!ete4eBao!encës.)
.MÀTT1t~CtT1)?.~M~A<OTCTtMT~t.W~t~tWM '~UUVNi~ihUa*MMv y~ L·ç~
procèdent ~&me ou essence mo~le, et ia< matière ou esscM~
Animée pa~i'&nte, chacune de CM Mûn~
môme ét~ par son courant centrifuge, agit sur la matière, qui
réagit sar elle et ces action~ &tréactions~nér~on de nouvoUos étmcëUes, d'~o~~ wa~ M~
d~ c~~n,i ~Gr.~ï~s~r~t -`: ar u~ li ô~n~ne~:r̀i/eâtï ~ue'Au:1i(i18~gpi,ucr.Qbs.J).t., 'at'lI1.nh6Po.JI1êne~l~eQti~;ue4:I'L.
'pou?~ormor~'e.¡~ P.'S; ê.Jiy'é.o.ppi~êt.
ment
,f&t~
.e '.n'est .e~acor~ gue, a~i~tât~~e:
Apres !& naia&Mce dé I'en&nt/ F~e, a6a seM~
~s.e,6iOMMphyMq~ea, entre en Mppo~ àv~c m tepfMtMet t~ voûte CMeste 6t cette reï&tion détermine t&gé~aM~ûn
~do~nMveMos''éi~!es.'phyMqaes'
~ntnite/ le r~onnement, rotoctnastion par inaueoee, qnéFamé et to~te& les monadea phyMqaes exetc&nt ~c!pMque-ment les nneaBurtea antMs~déteroïtMl&Modacttbn~d~ ,d~~t6ilë..
instïncdvea, puiade mouadM int~ectoeHes, c~t~-dire
O&iBaancû et îe développement de yinaënct et de yiïtte~MgeBce
jp&la r~a<~ Mstinctivë~ d'à~ 'u;t~lI~iJ.~n. en-
aut~; de rhommè $vec !à jNàt~eM, Ja ~< on
mo~sI])Mp~t~delam&tïère,pMre9M~~A!o!'s, rhomme n~èst plua aeuiement végète, il devient
&~i~t, instinctift puis mtoUtgMt~ phy"atq~e, del& mattère aeulement. ïtn'eatencorequ'~n Mimât,
q~Mêt~ incomplet, impa~ pOMqM'H eat eaco~ t~
impwf, puisqu'M ne possède que la partie la mo~s elev~ de
MnteHige~e que Ïe créateur veut lut donner.
Et Ïl peut viettUr et mMMr dans cet état d'enfance i&td'im'.w
per~ction, si lag6nératton de ses etoHésmofa~os n'est pas
provoquée par la vue du cieï, pari~Mpjtration d'un air pur, et
parrinstruction mora.te ou, religieuse.
~3.f'
'A': A
,f Au cdutr~re,st~me entend par!~ Etrèsuprêmet,:
spirituel, in~isiMe~t~pedu bien, de ia vérité, une première
notiou ou idée du tneu, une première étoUe morate surfitdansson atmosphère, uu premier ou éiémeotde vie,
d'action morale tuiestdonné
L'éïectnsation par innuenco peut s'exefcer entre Famé etcette monade; et) si rexerciee de ce rt~onnément est assez
~OU~Ï~ T~ ~y~GECTI'~t~ITL~
aCtjtf, St tâ~C~ "OUV_.t:8t1r~cette .01oii.a.4(1c'io.MMtfM~ et ies deux couranta apMvent A M
."ao~rê""de' tënMonqui détermine !a génepatton de nonveUe&
composantes mdi'at~s.La nation oe Dieu, du v~ .¡t'n4,,8~' èGrtecti°!IDe',
comade le monJe ou système oonetitué par ces etoites mor~ea1~ ëQMtMMMC~ d66 jCthb~oN divimea ou n<at)~<*ët!toa M
~uIhpuo&tcoMMCcéaMonàdMtEt I& relation, rayonnement qw a'étaNtt Mnex, ~unë
pa~, entretonteBle~composantee m ,et,d'autre-part,entpe ces depntèMs et l~ame (d'OM~ e~j~cMM~6< awc
r
~«~~ ~~iM'MCOn~<, c~~<owM~), eonati~Me
r~ntë~UgenMmorato on l'hoi~i é.PMiat Bi toe intetMgencM moK~e ot physique s'unissent d&M
âne proportion convonaMe, <&Mes ee complètent, ee peric~
tionnent Téctpfoqne~ent, ~t lonr réauïtante, rêire réeRement
humain ae dMngnè de raMma!, ae connaît lï<i-m~Qè,ee <rap-
pMcBéde ~apHrMCtJLon p~m]Ltivo ïe Bi~~ W~8e,' 1'&lèveet
~r~pt~~on~emptre. 'r~
~4~~
Comm~!e$tMan~qw'e~08 animent et~ fonctionaou facni-
t'6a qn'eUM régiaaent) les étoiles humainea sont permanentes
putomporaiM8(l).
PM~ne toates !es monadeave~ôtativeN et animales sont
permanentea.Dea ~toïte~ morales et mteHeetael~beancon~~ que
tempOi'aiMS et le plus grand nombre me vivent qu'un instant,
août fagâttve8,ccmme leurs manifëRtations lea idées, les
pensées, tes souvenirs, qui sont do véritables sensations
(!/ Les aatMaomes dtvtMnt aaM! ïea ~toHea céteeMaeN peHnanentes et
t<empOHt!rea.et cette dtvtsten rend encet<9 phMsenstbïe î'aaatoe~e. dontnoM avona mdtqae t'extstence, entre tea aatMs eH<M6<oUeacétobrales
Hon eatdetMmé des menadM q~ Man!CMtent~m' exietence partcas !e9paënom~Bes patholegiqMa ncatmëa ~ic~ ou ~Mtjp~M~ M~t~etw.
Le pt<Maeuvent, ces accidents sont fugtti& comme les étoiles qui lesdëteim<:nent.
Ces depni&MSsent auides, comme les étoiles phystotdgiqnes maia, sttêtu' ex<steacese pMtonere. etïea perdent pMgyessivemeat jtaur n&ttare~uHé, nerveuse, et se tt'M<s<br)Ménten matière proprement dite.
fC'~MtMt <<Mm<M~<<e<?aMt~<Wo~<t«<~<~ ~tM~, (Ma<WCt~~M~fW~<<CSM~<0«M.)
Ators.teMrs MM~atattons deviennent a.ppreei&btes par îavue et ceas-tituent toutes les attorationsdes tissas, de I& maMM, quenous nommoMM<~OW<MMt~MM~<MM'
C'Oat àinst OM'a~tatnerveux d'onorgane, succ&dentsadegenôreMenoeoesohMnan~ttcaai~ouchM~
4~ x~x~~ L~~L~â~rR~cx~
~-U'1~ën''<e~~ atnsi f~I~P'"
1~ ~ea étoites côrébralea sont dea me~ l'e~
aenco BpiritueHo qui Ïiorme l'atmosphère de î'~me ett <Mtte
atmosphère eatlimttée par la matiezSi toutes cea monades étaient permanentes, en se muiti~
pUant. eM amratent t par ab~Fbw ~n~ 6o~8<~nc$ dMt
~&t~M~Tâme.
Alors lea pténomènea de l~ncombr6ment ae pMdaMent
~esp~, q~rest~ sp~ri~é!1e,mân.
querait a~tx mona~oa q~~ ne pouvant phta ae monvotr, ae dé-
veIoppép,86FMont condamRéea àpEt rame eUe-même, compnmpe pap sea~
p~exëeutM lu mouvement dé rot&~n qui cûMtttno aavïeet qui d~Fmt~ les émM&tïOM mor~a do~t $U$ an~
~cMtvres. f"~
Au <Mntr&!ret leup ~e Bi courte poMi$t au ptue grMdnombrû doa étoM~a (I) de se muKipItM' à l'inSni, comme le
prouva I& oomptextté $t muMpUdté des Mtos inteUëc-
tuû!squorhomme'poutopéMp.3<' Cependant) pour chaque aéne d'idées, de oonnMBSMces,
il ï'$ate un ~etme, une monade dans !'attnosph$re do r&me;
et, M lés ideM, les connMas&nces sont- trop étendues, tropnombreuMa, il arMve un moment ou rencombremont ae pro-duit toutea ~s étoMea (~ ~~<o~ cc~~et <M~Mi~. ~o~ ~<M~M) sont comprimées, perdentiour Mberte ~action, de mouvement. Dès ce moment; Ïa vie
physique est enrayée et cet arrêt détermine ra-pidementeëiuideavlea morale et tnteMoctueUo*
C'eat ainsi que chez l'en&nt, lo travail inteUectuel jnndteaaentieïlomont au déveïoppemont dos organes phya~ques,comme, chez raduKo. aon excès s~oppose à tour exerciceot
prOvoquelouratrophie~r
Bien certainement, ce travati est rnne des causes les phB~iel1.:e~r~nttm~Dt,ce
tr~ vaU eàt. 0 es les .p1118puissantes des ravages (<~o~~c~~<Tow?~~t~~<M)~ e< e~~c~~) de la phthiaio et des Révres ~rphoïde~cérébrate,
Les téaultata&tata de t'instruetion gratuite et ooKgatoireseront donc la dé~énératton de rospèce humaine et la mort
prématuréedesës individus.
'1 ~w`.'-<
(1) Ces étoitoa, ~nt vie n'est m'instantanée, pemvem ôtM eompa~Matm météûMa <tant noue &von~tndKttté !a naissance ~tt~ ~inpar rës<HM'tton. (Voir pagea W, 108 et ÎM de W<!<MM ~Mt~e.)
0 /1 ¡, '/1
muyËL~E DE b'ÊLECTMMTE 4'?
`
Pans ÏM~~ intelleatuelle~
UMmon~ 13e-nnaai~e~te par une MMsénaatton;
Lea M~Kces d'ano aoctôte, d'un système d~étoiles, ae tra-
Un jugement est Ïeppodutt du rayonnement do ptusioum
~syMèm~L$ Mi9on, ~tn 9et Ï'hoaame entier, rosMÏte dea actione et
r~ac~onsoxe~es par !'&tne et toutes a~s étoMea phytHqoM,mop~s~MteM~ctn~
Et cotte K~t)on se~mt vraté, rMo, ators aeubm~ .qn~rame et tonte$ %es mon&dé~ a~a~ ptrea~ sainea, queyhotnme anrà~ relponve la eant~, Ïa VM prunittve, phyaiqto-
mqMe ~è toua ïea atomea phyBtqaoa et mopamx qm ta coMti"
~t~m~r~Y~ :j'~
~e~
Ïl est dee idéea on ntonades qui sont physiologiques par ~eur
essence~ mais pathologiques par leur durée, leur h'équence oa
Ïenrputssance.C~t otoitea ae m&nifBatent par les mMiea, les pasmons/IeB
'td~es'~Ma. .y'
A !'état norm&l, lûa composantes cabrâtes sont plus faibles
quer&me, qHHes crée. les dopage et les anéantit selon ses
besoins, ses desMs, a& volonté, son Mbx'eawMtf~. A l'état
pathotogiquo (~o~t MM~~ ~f<o~ /ee ~iM*
~~a<M~~<~ ~r"~ u~ce e~ dtirrde
~Mt ~~w~ < aeo~ c«w~, leur
pUM~aoce est telle qu'eHoadomment l'âme, Ïacbntagionnent,îa tfansformeM en leur propre substance efint cotnmumqnentainat toutes leurs pfopNétés.
A~rea cette contagion~ rame n'est plus elle-même; elle
a perdu son empire, son MtM'~ <atfMt< et n'a plus d'aube
volonté que cëïre de la monade qui se rest assimilée (1 ).
Si Ïadomin&tiondecette dernière n~est pas permanente;si, par moments, l'âme reprend en
partieson essence morale
et aes propriétés, ces alternatives d'&ssimilationetde désaasi-milàtion. de liberté et de servitude, se manifestent ~par lès
-p4611oui4à« I1berté.e. t noram6tuie Wt-tè tUfeateut. ~!ar.1elphéoomenos psycMquos nommés: ~M~ co~)h~~ <<M~
c<~c e< ~<M~OM~ woyo~ M& cWw~-¡ .`:
(t)C'eetanpMMm&Md'awt6eoM~MeaaW~
48NOUVEÎ~ ~Ï~TMCÏT~
Bernadette Sonbiroua nous donne un exempïede~centreles passions morales, lorsqu'el~ qui.l'entraîne versia grotte de MasaaMo~ malg~ la ~ense dé
ses parents. Et aa défaite est analogue & celle de l'hommequi succombe dans une lutte contre une idée CMmineUe~
Pour provenir tes crimes, il f&ut moraliaer F&me, puieque~~l~me~uma~nen~ `',
iorte contre le mal, le physique, la matière, qu'autant qu'elle
eàtMttM,tMO<*<x~,jp~NtOMyt~tM.`. 7 > y
On dtt qae Ubefté dé ~homme est prouve directement
pM!&MMoienc6qui,ïo~que nM~ noug ..attëtte"qüenoue poutïtons ne p~s agif on ~r autrement qu~eH~ eet
pronvee indirectement par tonates~ qUI la .8~ppO..J1t.:sâtM~etion intunô ou regret, aeton qu'on a bien o~ ïnaï
~agi.Maie ïa conacience, c'eat rame, et, noua venena de ie dire,
souvent, A deux instants di~erènts, ~<t~oc~~M~ ~M~M~, r&me n*est~p BemMabIe eMo-même; r
puiaqu~eUo peut être alternativement morale et immbralé,Kbre et eaclave; aa nature vàrtè comme tea mouvements res-
piratoires, comme les deux couranta contr~rea, et ces chan-
gements se produiaent avec Ia~ d~ ~àr
conséquent, r&me qut juge sa propreaiction n'est pM tou-
jours ce qu'elïe était & rinstant ae cette action; eÏtepentavoir retrouve, pour le Jugement; la hberte~
te Mb<~
&<'Mt<~ qu~eiÏe avait perdu pour l'exécution. .>
v.`,
-tevtes''o~'pM~~m~es.daaa~oi~~
Dans rhomme~ comme en M~
eipe et son mod~e,U est troM vies, essences
l<'IInevïe,e88enceoupeMonnemo''alè;2" Pne vie, easenceou personne physique;
Et une vie, essence ou personne inteUigente,quif~MleB deux premières et qui eonstttue le t~cw jp~~Mc de
'Cudworth. '.<Ces trois vies~ essences ou personnea. plus ou moins pures,
Bimples, aelon Ms sujets, représentent les trois âmes de
'tMMt'i:
le L'&me raisonnaNe (o~ ~M~Mtc wc~~), qu'i! plaçait'danslà't&te.
L'âme déraïsonnable(o~MtM~w),qu~
geait'dana'Ie'ventre;"v
J!<!0t~~ :~âÊ()IIE'J)E:L'*LEOT~IOITÉ 40
3~ Rt~&trMdbÏe~ ~re~~o~e i~ate~·
~~),p?incipe des paM~oale~ qui, saivant
ce pmiosophe, ~~a~ ?<«? ~w~tw etavaitson siège danalecoeup.'_1.
~<M,V~
Ces trois vies ou -personnes sont les efïëts d'une pile élec-
trique, que nous nommoas pt<~ hMM&tnc, pour la dietM-
gaer de~ pile ttmve~oHe et do toates Ïes autres pilea nata-'r~UM..
Cette pUe est consmu~e par quatre eubataDoes Mtecogènea
etdon~paTedBa4quent)!a densité est différente pourcoa-
~eune~en~
'dos.saDstanM8~nt~
~~ame divine, pMm~ees~ OtoraIe/absolumentpuMt v
'~MNpîé.
3~ L~~e humaine, seconde essence morate, demi-p~re8~ Le corps bumam~ première esoence physique, moins
.pure,,plus composée que Pâme humaine~4" Et la terre, seconde essence physique, encore plas im-
pure, piMs composée que io corps humain;Ces essences se superposent dans Fordre de leur pureté
L'âme divine domme les troib autres eUe occupe le som-
met de la pile;Au-dessous se place l'&mehu maine
Le~
~Laterre.est..à'Ia'ba<!e.
EIIes~opmont trois couples ou éléments, ainsi composes s
PBBMM& coupM. Pôle positif L'âme divine.
Poieneg&tif:L'&mohnmMQe.DBBxn~MB cocpLB. Pôle positif L'âme humaine.
P61e négatif Le corps humain.TBOïStéMBcoopM.–Pôle positif Le corps humain.
Pôle négatif Le globe terrestre, la matière terrestre.
Un quatrième couple, formé par la terre et l'smedivine,le circuit (1) mais nous devons le négliger, pour rendre
plus sensible l'analogie qui existe entre cette. pile naturelle et
nospilës artMcieÏtes.
A l'aide de ces deux courants, les deux pôles de la pHe
(t) G'iMt~-diMle carde de ~e hamt~ne, comïBoneaa w~M vu
(<M~ vt <~ <M~<w<M<f~~«w/ miaërat, & Tet<~ gazeux (~<<Mverïe cer~e de )a, vie aaiveMeH~par le conpte quTi JEbtmeavec féther
oae~d~leo~iqwt
rN<
v
~)!~tt<M~(/ es., u~e: sr~b~t~acraceg~la~ti~og~~ej:
a'tn&Mncent r~cipMqnement, o'eat-a~dipè tendent à se cont~
gionner TécipMqnem~nt, & tM~a~tmef toute là pile ûh ~é
s~nlesubatancenomo~ne.Cet~ inauence e'eMMO eucceaBlvement,dan8chaqnecoo~ v
entrelea deux aubataneea Mt~rogèneB iqui le composent, pourconstituer tes troiB viM b~ porsooMS~h~ ue nou~
~t~&
'r:i;y~ .°~'i:·y.~c~ ï .r,w'e. ,w N 5, ~a~~r r,w'orws.xin,és:5:.·y..v
~J ;cu~~teM<~mM-~oM~~
La v~ morale det l'hommû est ~n do~Mo moayemen~ MM
douM$ r~ion de Mme ou dem~moMto hN)taaine,<f<MM~of~&vec r&~o oa moraÏs d~n~ et, ~'oMM~e avec ,aon
~rpa 1& m~ huima~xe, .oue la direction de la meMe
~1.(-
ipMf t<t é~Mt~nt Még~tt~ r&me hQmaiae ~co~~c~w:~ woM~L le Nùide nerveux de rhomMe, ao potte vefal'âme d~me,&'etèvéjMqu'&lamo~ et Ini demande)aveclavie,Iara~ondecettevte.
Ce mouvement ascendant conatîtoe le aux. l'action. dé
l'homme a~rDiou. 'Y~A ce Bnx, à cette action, à. cette expit'&tionrMccèd~ le v~
reaux,laréactt0~ l'tMpiTatton w
~a~ t~ <s~M*'<tat p~atM~ pap son Eaprit-Saunt ou
nuide eteetnque, l'âme divine, la mofate a~aolue deacend eur
.l'&me humaine, 1~ contagioBne,I~pupiûe et lui porte, avec I~
vie(<M< wo~e~hmago ou photographie oM oonnais-'
.aance de Dtûu ~t de MB.c&uvroe, ainsi que la connaiMance et
laraisondenos de~oiBS envers 1m; devoirado~~
(1)1<St ta première de ces deox re!at!oaa est beaucoup ptae active que v)&aeeoaicte,a! l'~tne nôgt!ge aon corps, le courant a'oovM e<HMces deuxeMeMes, te ÛaMe mor«I sMcom<Me dans l'&me, y prend MNetenatooexagérée, aMormaJe,pathotoKiqoe~et te f~etpèat entrer an extaae.tomt-ber dàaa <e qeMttstMe et mourir. AbNOfbee ~ar ta c<wte~pÏatt<Mtde )a<MyinM,t'&meoabMe aeoMrps. ceM$doIu!~aaamettw vspeafmbrMOqa'eHet'eooit de Dtèo. Ptivé dece~ force motrïce, v!mtie, ie c~paoaphyaique se décompose et e&<to déteHn!)ae ~tatement eeModei'&meqùtn'&pMSf&ison d'être, a<u' la terre. en t'atsence deaen tnatMnBént.
LaMoempMtttondoMrpa
NOËLLE THÉOMBDE ~ÉLBCTRMTÉ St
sèment Mt connue
'V.ie,eo. m.P.1i.t. 'mo.l'ale'Phy,ûqu.e.etiKteHectaeÏle.
t"r'~tio.étali.tto.uoun'egaleâ l'a~tio~J'4me ~J1mâine
estmoraÏMée, doutant ptus qu'eMe s'élève plus activement
ver&TsmedMMne.
Et, si les <Ïeux monvemotta côntraifos prennent one inten"
site physiologique, les deux âmes peuvent être unies et con-
~ues~~ee~~t~~e~
raie, ttae sMÏe aabstance absoïument pure et homogène
Dteu se fàtt homme, et ~homme est fait Bi~
AM puriRéC) divinMee (t)< l'âme hM~aine acquiert les
I~phMNMWot lamoft oamtd~d!e est teaM; chMaiqoe comme chezPernadetteSoaMMQa.
D&M l'Mtaee et aarteut daas te quMt!ame, t'homme p~at acqaéffr onep~fMMmee MW~e M~aopd!MiMqui, dMgée aùf 1& màtiàM.ioï perecetd'accMOtpUy des actea également ex<ï'ae)'<naiMs et nonMBea som&tayeta oe
miracatéa~ paMo qo'Us ao~ttae~pMoaMes potr ià sc!emce.
Ahtaï~ daas Mt 6t&~ dMa ~~<s ~e~tM ~~M)' !<M~)M~, <~ w
<?« ~M~ Mf~ qr~ Pe c~MM~ dt'Of~Mt~ <? JM'C~ <~
<~$e~~), Bernadette 9oubiKtU8, ea grtttt&at lai roche de Maseabietle,détera!tM, dMM<? sot, t'~coMÏement (to Cw~e moMt! dOat eite eat tMpchM~eë; et, ta-téactién étant to<~ouM@gate & t'actîon, t'ïntenstté de M
eo~famtmet~pM~oque MM paisMnoe exagérée dacoMMtce~t~ de
ten'e, tMOMe aïnM t~ vie de ce gïobo au point exctté. change ta d!Ke'
tton des eouranta soaten'aïns et ftttt Boafdre, &la surface de ïa <erM, des
éaMqatcoalatenttM~r<aalementdaMSMaein.{C~ ~~MMMi~ <M'Mt~<M A <W~<<<Wt fWM~~ <~MM~M
M<!MMr~~ eap<M<t~'e$ <~ M<Mw~wwaes, ~< M jpMeh~eMt s<MM Mtt-
/W~'<~<t~~<<W~<!<W~tM~ <
'Y<f
(t) StMM~stÏocoée par reap!it divïa.
Danan~e.des aacètes patvteeneot àcet état divin, qa! tem'peHMetdeN'étevMaa-daaaM da BoicontpeieaioisdoïapesanteaftM.WahwetM de
Reehaa en tapperteot un exempie, dont i'auteM' était an fatde. nommé Co-
vindj~amy/etdont M. ~acoUtot fut témoin en 1866.
&aM tKtMt!de, Mr iaiévitatioa,poMté par laJB~M~~e~M~~da? aeptembfe t8~ et repMdMit par ta RpwM~ ee M. Donate.ea <evfier et
BMUfst8M,M. de Rochàa, côienetdMgéote. OMprunte & Joseph Dootabt'am~direotoatd'aatrotogte et d'astMOomie à Barod&, la Bafration snivante:« Bans l'aanée de Samfat 1918 (I8M), dit le savent Htndoa, j'étaia eccapé
&<aifedesMoheMhes8Ut'yaacteanecM)m!oetj'étais6mqu6ted'Mnmatt)reodmpéteat qut pût me foupatries tenseigaëtoeats doatfavaisbeseia.
Apres beaaceup de recherches, je trouvai, dans un temple de Mahader
,ir de tavlUe de Brooeh, un SeM~aM (ascète) qui pratiquât le y< l'extase,
etjedevhMoadesesdiscïptes. «
~Jé'M'p~étendBpoÎBt exptiqoM/daNS te engage delà scie~
dentale, leé etïets produtts daM le corps hume~n par cette branche da
MOp-~t~e (Wt<<w wy&~Më t'~MMawc D~~). mais ce qce je puis dire,c'est qae. peadMMq<M le ~eM~<M<était absM'bô et en cointempJatiM daas
t'&ccompUssementde son ~WtMMyomMt. assis dt~ns t& posMM prescrite d<t
p<t~t<MO~.aen corps était étevé au'desSMa du sot d'tme hauteur de
quatre doigta et restait suspendu en fa!r daranc quatreM c!nq minMtes
&taMe,etjepow~8passerma.mainau'desaowdelui,!m'Msar~~ ainsi
a qne Ïtt ÏévUation est Mon w fait rée!. )*
]~
~~otsd~ t'Etre ~u~më~ :8t~pïîj.c~ê,~Ji~sapU!~té;etëUeestinanie,puisqu'eMe s~~
p~~atnt et p'èut, àina~ ôtM la fots~ anr ta terre et f~tou~'ameurs~
.f~<?M~~ip~ ~c~~ humatne, dwtMaée
(~M~CM<cjM~ descend etsc répond dM8 scn
corp8,lopurMe, t'atimo e~ dingë ~s aos actM,$~
(~ < ~~a~) qu'eH~ reçue.
.e'
La vie phya~ne de l'homme es~ doublem~u:vemeJkt~1t~é',doublé te!attQn du corps &amtnn ~<~ ~af<,ayecMa âme,
et, ~M~'c avec )a mattepe torpeatro, soaa !a diMotton
.(~oïttmc ''ica.. ~t,
ËtBLee~~ephyaique, CMac~onaetréactMCBentpe
etaôn eorp8,'d!'<jp~ puMe~ecedepjMor~~m&t!
te~r6, ~adnt p!h8 aetivea que r&c~o!i et !<tp6ac"
tton M~e r~mo divine et r&me h~m~e, ceHe-M ne ï'~tt
pà~ et, dea toM, ne peut tMMmottre & somc~ppa, t& qu&nHté
i;'
depuMaance, devàpeurmo~ïedpntUabes~~epïatma~èro.~teprestpo. ~t' ~7' '.?
A~~ hUD:a",iQ:Ía~ma t..}rè:
hNmMne,et ee raasimiié, c~t~ change en M~è~
tè~e~re ~Ma~, v~~o~ selon que r~ec~i*
9&tion par contact ou par mauence est exetcée aor rhomme
par dès Mtm&M,deB végétaux b~~Et Ïe corpà gerçant ensuite sur son &mo une action id~n*
i~quo; re~e humain est mat<~iaUsé/revêt les pwpné~ Ja,
matière dont U subit rinauence, devient caimeetd~
ïe ~e~, trasdMe ë~~ :ramm.}l1ert.: '@tDa:.Î,~minéKd.'
Est~~ besoin d'ajon~r~(o&e ~~M os ~M ~t~t'd&M~ ?0~ ~MM~~o~ fa~M«o~ )M<t<~ <M~<M~M~ <?~ ~), constitueJ& mort, !e changement absoïa de Ïa~
N0~ 68
:J.m$M~~ ~.re.ux cri~olifî:fje,red~isent e&M~8$~ a~fB&t~e~moote~ dM9~m6~ordre,
~&m~6t cp~ puïaentreoedem~r làre ~rr~tro~ pour entretenir I'ex~~(!èdo r&~ dn eôrpa(1). .L: J'
pa~inawncë.entMles de~deraMMcou~leado ïa puehu-'matn~e~~ ~111~lque~er~.OIl1'1~e.t~a;Bj~~ pa?~
s~u,D~or~~t,
I~~Mdm!tde ruM9n,d~~m~ :0:,)<Po~ l'4tade,Qnpett !a dMaef è~ intettiga~ncèm~ a
~j~~eMce~pÏ~atque~7'i~inMmgencempraie/ c'eat l'im~é oa photo~pRia der&mie'diviM<tanar&mehûmaiao e'aat eonuMaaaheed~~~t~étdenoadeyoiTso~~
>
~Y~
EtaieMepondit être sb~olamontma~naUfée,rAmod'âne~fm~ h~ iœp:ui.e:,i\reèevo¡'r
(t)Ë~t &t&1~iaMp~~m~ t'hûmmedettpcMédefti9sdeuxta~>(J.i~)t.~1i~'la.rOJ8"rPri..'étm. 1ère.c"..r.h.:tR'Jm.'e.-d.O.'lt'.posa'.der.,1it8d.~U1.'h'>ttMttgëncaset~vee,.&î&M$.meratémeotet<phyai(Mement.S'M.oë.poasàde.qMtU'intettigeneemûfàte,y&tneMpMtta&rétatd'Mpfttpur,ae con~md<tveol'absoÏa(eoHMM<MMM!'awoM<<M<S 5 !<tjM'~n<e'Me<<0tt(.e~bMe,n~Mg~,àb~aMMeoncwpsqataodêcompos~
"a\tatminéral..
~MMpMsèaeqaël'tatèMigeocep~ya!qM,l'&itneooNtesonMioctpa~tta~eta&~ieexiotuaivemoatphyatqao,détepm!nes&matëfiaUscttOaa!nsï~HeMMed6aonûeep8.ettemd~ péfiasent,ct[aM$!tt<te<bfme,t6pa8aeat&rétait.teit~t~
DaMteadetmcas.ramaMtaasttnHôè.absorbéepàf reasehceqaHAdothtM,poutt&p~aofabeolMtneat,dànatepMmtetoaB,pûtn?!&~&Mr!&.i!M~dMB'le's<t~&d.'C~m~eiapae~eaphys!qMe,l&~aMÏonmor&tedet~n)!inëno'reNa.n MmMeqae,parla<bi'htèoMï~tiqoedesorMtesceteMes,D!euaitvnutu
neMdoMef~èxemplèdelàt~teetdotatnddôf~entnôttantMmifietnà~paMtend~tBa~bwteMte mat!ôfe,déiaMaa~t'met'enaapMpMe~MètComMeitneMsd&nBct'MeMpteaeta boatéetdel'tiMtnMM.e~d~BMte~bAtaMtju~o~'ap9oaee&no<t~
Aïnat,pMceûfem,!&r~ao~sopfômet omnipotentes'eat donneunma~tM,dant~teyeMeoteïait~~è,h et,cepead&nt,aojonfd'hM!,t'~é dèaeap~eehéa~e~et~ata~B.dër~è~n~&eepo neptusveototfd'~t~n~tM.d'~tMte~badt~ctë~qnes~
''t~' '?~1$ ~W~T~r~~t~t~9t NU~VJ! *~n ~njun~~JKM~tAi!'
t~MMgeoaphoto~pM~ -Cro.9¡,f.l~é4f'<"dieM,8i ~parfait qne noua puissioma té aappoae~~c~ ~M~ ~6~c c< <~ ~0/<~ ~K~ F~~w c~~ A y~
.M~~<~J"C'est donc paf]a&ca~te de peaaer & J~ieM q~6 i~û~~e
'disthtg~~ot~M~à~raaim"j
L'MûUigeMe phyai~, ~eat l'iatage 00 photo~pMè dea
~sea ptyaiquea, aM[al'àtMoa~~ '1'~cfhu~.in~n;t <~Dn&iaBaaee bru~ C,'Oig:~cliô.e.)nljï'elle n'en est paa la eonnMas~nce w~e, pn~q~eMe n~
.eet~de ~M:CM~'et~are:a<ms. ';<
.Céttû'photogMpMo.t.w-~m "arut unt&M eKe eet to~oaM ineonmM~, pBiâqa~Uû M
~présente p$ab~n qM! ûa~ mpd~e)~-aon~pf!a~&a!~e.' ~r.
La ~éntaMé iB<ei~nc6 ~t Ja c~Mta et des cho<Ms, Jointe eonnMsaa~ ~e I$t~a e~HMea
~de Ïet~.tMsoM vraies~
L'inteÏMa~acc m~&Ï~ oet impoMut~ ~a yabe~~ de yin~aÏ'.!~6~cë physiqoO et c6tte dormes oa~tot~oi~ &û~, tnco~
pMte. imparM~ tOMqa~e n~Bt pM N~ f~nteÛ~nca-moHnè~
Vapottp phyeMae, immoral Ï~mo des aNiataw~p~ïa-satte a eonc~v~M' i'id~ d'un dieu et à poMedèr Ïa vMabïe
'Dana i'iMt~~U~~ .p.!<' Une reapiratïon eptntaeUe et une reapïMo'n mate~
rteMe'7'
lEf~c~o p&B r&me, ta reaph'adon apifi~aMe cona~ete dana
rinsptration de Ï'espn~ on nuide vM et daMt rexpira~on de
reBpnt~~tdemot~q~AccompMo pàf Ï<M ponmoM et par ~à peau) Ïarespifatton
materïcHe est Mn~f&tion de r<M6ygène et l'cixpufauon de
l'Jbwdcoge~ne, de l'acide cat~bbaïque, etc.;S" I!ne ctMalation de yosppit on ~mdé nerveux, éïec~iqnet
(J~~ c~ ~pa~~ Mce ~<w ~W<M~J
(1) Aid~~ot~e pMl'iatèUigence moeaïé/i'igemccphyaiq~~eart &reBtMt!ande ià vie humaine a6&N<!enc~eà $Me*meme,eïte n~eatntos qu'uop pu~samcemwMRque,<MeomposMt'a,dMtmb~v&t eoMMeieeUede FMnce, depBiStfnaiMe, sortea~ deipMBiSM.
Et MM eiMuïation do& Mqwdea aangain et iymphatM~e.(JS~w c~ p~~ awc~~i~
Et 8~ une digëation apifitûeHe et une digestion maté-
--fiotte~ ~Y:
La prei~ière (~~ e~j~ jpa: c~c c~CM~~o~
~p~M~~J est c~He dea v&peu!'a atimentairea qui, du tubedige~f; Mbh~~ direG~nent l'~i~d~
~se~yn~f~ ~~6r~c~W ~`tid ~ut~c~ï~``~'v
~oK~W~~yeat le &nt de TabaorptMm dea aubat&ncee aMmen'-
~rea, de leur passage d&M le t~~rrent de 1a ctrcnïation mate-
-pieUé<
Te~ou~~ la fespiratMn, Ja dMulatiôn et la %H~ ~piri.:
tueMea~ré~dënt~dete~~°reé'pitrat~eti, rla :eir~lationv
etïad~estionma~épieltea.
TecjouM, un desord~ dea ~ne~OQa apir~~tes~ ua étatMorbide de râmCt de rM~ précède et determHio le
ii~d~a~M~Ram~~ .1~6tat ~m~orbïde.,du~corps. âe~:M~aM.t' i/
Dea tora, malgré noapt~ugeaaciootiaquM~ ~àut bten
fia~na~ître q~ toujouM. excepté dana tea ca$ Mr e~cèa
& ~étéï~iné i& ma~ gfand nombre <Ïea prattq~eamoratea teKgienaea eont pt'~ curaUvea et ~gié-
~qMC~. p~~a~eUea~ en 1 Diea (Ï),eon pMticipe do vie, puMq~eU~ !a fppti&er en pro-voqaant une plua grande intensité relative et absolue de aoh
co~Mnt~ttat, on augmentant ainst là aommod~ ~cro~a~e:
(h te~ h'MtMiMss~aissënt, eMt&gibttn~t, e'~èntMant, se auc~es<-~~itttt~t d a~ant pl<te qae tejttM conversatîena et tomtos iears faÏM~nss~MintïmMetp~~ t~c~gùentes..
q~Pot~ttot ieaprtô~eet~a~s pmtiqMeaM~iëaaea, qa! sont d6 v~
tàMee fet&tittM et ~aveMatton~ entre r&tnë tMMnatMet i'&<ee aM<!e,m~Mi~i~t~UosjpMpewresaltatta cc~tagtoa. l'MstmU~en, 1&am~ee-~~dei'~ede ces deux ~aenceBMr~'autye/deI& pta~ par tapJtMis~rtê, ae ia maasé ta pt<Mpetttè paï' t&ttMMawla p!<MgHtad~
~<
;H~
;?.~M~
i~ Pno: :?
~<[;tbse!
(Lou~ âgé dé iIO~.é~'a.
& Vhôpitat do ï$ m&riM, de ~eh~rt, & .Jl_d~ diniq~
'médical, ~2~ màï'B''1885.
Ce J6nne hQ~me est ar~ MM~ & J~ an deia~ïèr 1885.~
eôMunë -0enga~ v~ion~iM. Acccsê aa wïs ~ts ô~ ~aûM
devant !e Conse~ dé gaetre pbmr <? dem, il a M toco~~
i~ë~bBaaMè, et reM~te
"]Mc~e,~<m.T'~oya~à'yM~ ;1::,),i~
Ajt~cM~nta. Lea MM~gneme~ fQMrnie~~ Ïe
malade a6ntibrtmeompiè~/mais,p&r~
dte, minnt!eMO) onapaeecôBattt~ '1~,f~~ >
santpa~PpapdeB étala aom&t!q~ea,qmQ~tp~~
decoMciencep&fti~ttÏieM, en
rapport avecdtvefs~ ~tidde~
de sa vie. D~M~~ eatd<~à coMn
daiM scteBL~
M. Camuaet, Qm Pa observe à BboDevà!, CW¡PD,1ê
exempïe de~ûuMe conadénee; co~ .i:~p~();
dci~ par ?. Legrand da Sa~Ue, datM 8da Hvr~
W~s; par M. P. Richer,.daBa apn étudec!miqne
del'hya~
t6iti.~6~Ïlèpà~et M.P;R1Cb. e..1j,da.n. 8. 89.1l'. son d.C1~.nl.'q,u.e. 'e.: lois..t6ro<6pHepaM,etparM.
Ribot, daM aon tratte d~ nMdadtea
de lapersonnaitté. Dernièrement encoM, daM tee ~~4~M
JVeM~c~ dû moi8 de septembre 1885, le doctear J. Voisin
a &nt paraître une note aur un oaa de grande hystérie cnez
rhûmme avec dédonblement de la peMonnatite eta trait
Son hiat~ire est des plua curieuses. Ït eBt n6 APariai me
Jean-Bart, au mois do mars 1863, d'MCïnere dé conduite
M'r6guUôre et d'utt p~re inconnu. H apassé âne partie
dé Bon
enfance aux env~rona de Chartrea~ à Luysanet A Levé.
Sa m~re parait etM une hy~rique~ et Ha ua demt-frére~
.° OOM~ `. v. r.
m~~ de,qùat~rze -qui aara~t es, ~e~ avea
~~ch'Mm~ cié aau~.t,LMt-me .des son bM âge, a eu des Cfises et crachait sou-
vent le sang; il aurait ou même des paralysies partielles~Mais c'est snrjtout~e~ l'ge .de. 1.u ato ~e àne, la `euite~d;'uneg~ q~ sa m~die a'e~t d~ve~pp~, et q~H a eu
aün~tat~o..t~w~
H étai~nn ~oov oocope A ~Mt'e doaaaHnentB dans une vigne,
~and ~n seppent mnt i]ni enlacer te b~a gauche et réchappaga~Ïempcdre. Il eûMtune~àveure&tr~ Roi rr,en-.t~ a tacelomo, H~
~ve~ a Mt i~eutuMaMa~~ ,rconvulaïve~: ceg :àtia.q. u.~
ae ~s~velerent de temps en tempe, mM Ïea jambM B~aaEai-
Mijrent, et il e~ arrwa a ne plus. ppuyon' marcher d~ tout. n
é~it pM&pMg~què, avec contraotare.
ïtaoppeBentenèndepemar~ sous le~rappàrrt,-p~hi~uce:Sa ~émptM es~~ C'est an panvpe garçon ~0 carac-
~;t§~<~c~et.sympai~iq~
Un toatu~ vera a Cn de mat 1880, deax mots eaviron apreasôS en~éë j& FasHô, V. tombe d'une attaque & ratoRer
me~e~ C'est j~ne~ attaqne d'hyetero~p~epste, qui dufero~me:, C'est ur~~~violente; âtta~i~.e ii'b~~ti~~o»~pxlep~ie; ygüi. di~r~
phs de ctnq~ante heures, car leB peModes avaient été tpès
Ïon~Mea et espacées par un assezlong intervalle ainsi la
pNase extatique avait dur~a peu proa vmgt-quatM heUFes.
Au p~vei~, te màtade veut se ievër, il demande ses habits,et it réussit, tout en étant ibpt maladroit, à se v~ de son
pantalon et dé. sa veste, putsit faitquetquespaadamIasaHe. r
'paraplogie~dis~
aus~ co»apt~~e~e~t ce
~~C~ ~M~ ~«~ ~OMf-
.MM~0~
Ces cympt&messe di~ ton j oura très :vïte,etsa, ~aé:.
moire ne su~itplus la moindre déiàiHancefppr4ciabte,M<XM? &~ rriciZacde, d'a~tctre f <M~
tMa~o~ ~Mo~ et <<t~~ aucun tM<M' (Observa-
~JCion~dë'M~Ct~setj'
Son caractère est d'une grande mobilité.
Les fonctions de nutritton se font irrô~uUèremeat rappétit
.eat'_capMCieux.
~'f:?~
,§
ch~tp~Ï~tnoasa-voM itidiqué~ ~au$g:d~ 1~, ~obil~
duc~ctëpe~~< ~s4.d-e~dé~ôtti~ ëa.~i~icis`tt~r:`.
'T. ~<M~
.Î~%i lei ~NV.x~~A~
~r 18M,t&pr<)aaic~dél&zotèaohs-axi~M~déteymmô ~ne violente ctise, àppès làq~Ue te malade est
ropNe do polypnee~ et de thoMC&t~e.
~0~ ~~ugïaa~~r~.te:a'in~'ten~ité~
d68eour&n~,Ï~pM88tO~ .un hôxnt.:que~çonq,ue~ d't~
organisBae petit fermer en ôuvpip un ànt~
d!M if~ot~ J!f. J?~ pa~e
conaideré commenn n~tàl galeux, a doMedMï'éanl- v
tata phts étonnants. Une epro~ette eQntenant d~ ~`
gène eat taiao an contact de ï$ma~in te malade ma~eate nne
vive satiafactM~ et H rtt le nre est continn etepsBmod!q~e;on obaerve dea monveMnta rnythntéà du y~a~ ~et :dé iaa3aruliï~dM eôt4 ou se &it rappUcation La phyaïononne expripte lecontentement etia volopt6. La verge entre pen à pan en erec-
tten. Le metne phénomène ae produit si, an Ueu d'eppïiqoerttM eprouvette ple~e de ga: on ~rtge nn ~et d'~dro~enesM' n~e partie ttuetconque du corps. En le dirig'eant a~r ia
nM~p, Ïe rire ea~ exagère et le sujet epronveuM;gfandesatMfMMon. Aoeun phénomène do transfert ne ee prodMMi~et tout ~Mparut a l'éioi~nement du ga&N y avmt M une a~
phyato'~que tout & ~t inattonduo.Des expéMencos entreprises avecdiffêrents gaz ont démontra
que cette action était spéci~o à rhydrog~ne.
Co~MMC~~e. Notre théone de Ï'éÏeotrtClté et de
son r~e dans tea fonctions de reproductïon nous semMe
rendre coMpte des propnetés généstqMes de Thydro-
~ehe, si tes pnénomënes du rapprochënïent des sex<es et
de la conception sont conformes & t'analyse dont voici
l'exposé:
Lorsque deux individus de sexes dinérents sont
approches ou mis en conta-ct, te rayonnement élec-
'<e~ y
t'~h~e 4~ ~pu:: par MucMe
po~~M :~ie~r~qù~e~ .vet d~éterimne t'éni~os~vse ®~
!~o~~eétectro-cM .~cani zt~s.. Un~~ ~ca~n
~que~ i<~ta~ de ce ~erMer phônom~he est leSottement sous~ duquel les courants des deux
~j~~a~deuy corps n'en (orment ptus qu'un seul c'eat-à'dire
que teurs compoaaLntes g6ntta.!es sont en équilibre p&p-~t d'ê!e~rt~té et, dès ~~rs, ~ns~rat~es en une sa~s*
tance homogène. Le rayonnement s'&~MïMan~
~&tt~ct~o~ et les deux pendutea
~c~rique~ ~êb~nént l'un de I'au~ra retoïnbent <i$ns
've~ 'c. w:: .<
Après un espace de temps dont la duréey&ne suivant~ne ïoute ~c~ ~ect~qne se
r~mpt entre Ïesde~ éfoNes génémirices (~ ~e~eM.-c~ ~<~6 c~~eM~e
~~t rac~ c&
p~ ~OMU~), Ïe TayonnenteAt ~e ranime ~t
d~ ~donn.e aux phénomènes que nous
~yenoM~d6cn!'e.
LoMqae le rapprochement a ~té op~ré ~n cer~am
jno~brede~s, ré et rhomog~néité
,ub.~an~e.de.:4e~x étotïes perststent indéRniment, à
.mn éta~t pins ou ~ins parM~ et le rayonnement CMSt-
deraLMe~nt~ détermine plus l'attractton ou
propulston des deux pendules, qui demenrént tmmq-~Ies':dans~a~r~c.ale.
Ba~ns cet état aeneut~ électrique) les deux sujets
sont peu ou poi~ e~ciins au r..approchenaent s.QxUe~;MaM. de ntéme qu'une eau, saturée d'un sel/p~~
~ssouq)~ u~ n~uve&u Sel et mê~e une certaine quan-titté ~un tro~tè~e pu d*un quatrième se~ de même une
~o~posante embraie, saturée d'un compose chimiqu
pent encore subie rinfluence d'un et même de plu9!eu''sautres composés chimiques.
~usst,de même que l'appétit, satisfait par un mets
quelconque, pe~ renaîtreplus ou m vif sous i'in-
/(t~ ,r;
~1~ ~UI~Nt~Â~
'nuence~'e~Ia' oü' de ~I'odeur ~ûn :ôu d~ lü_sïett~
.aut~mëts~ ;~e'i!uAe/6~M~rayonnement est &peu près nul en présence d~ là co~
posante ~tmilaireaveG~ la üel`1e ~llé:re~t::é~x,é u~inb~e ;pâ~&t~~~emtrés ~Mës d~ ~<S~~ ,C'8S "CIo~ul1~e"vo&rsOU' <.
.t,t,<S~r.·oi ,u:ç.:f~x: i` a r z^ xa,
rayonnement prenare une actïvttê M&~eM~déraNe et son pendute abandonner là veM~e, en se
.dMge~'i6(m~ 191ijjl~.I8;:pes,anteJ1t~ ;r :` ,<
~Bàns~acte~~ d~üx'pil~ÓJi;~ 'è.n.:~tton~
~'hommc~ fênnme :"coDstit\ieÍ1t'Í~p~1~8,4~
prem~rè qui détermine leur pa~pprocheme~t, et' d~
{'activité e9tàugmenté& p&r ïa presMon et le ~bttë-v
"m~7.-~v.
Lescourants~co~'dom~nt~dans~étte.pr~i~.pn~
DaM la seconde~ dont le courant ~omposan~
ptus ~ort; Fun des~!e8 est formé p~ la ~t'eïniëpe piÏe
(~ ~o~~ co~ M co~<~MQ l'autre est constitué par rovnle, (tàoB lequel !<&s
courantsde ta vapeur tmpondéraMe(~ se~z~~tülï~~Qu~ ~e l~vap,ell~po,~dér~lj,Jé'(Qur~e~¡~alul',font JMUir l'etinceHet dont Teffet est îam~ta~oyph~~d'unatomé de l'ovule en un ~au~et cette métamorphose constttue la c~ratton du germe impondéraMe, dé rame ou pri~ ,c'de vie d'un nouvel êtpe, d~uné ~o~e d~
MOp~~ ~M~e/ ~~<)M~a~ w&<M~~M~e OM ~W<Me~ ~e.~
Dans l'expérience qui fàttl'ot~ét de la présentala nature electnque des ~p~ '~J>tJe"éfJ '~era¡;
peut-ôt!*e démontrée ~a!'le pendule o~mètre que constituerait une àiguiMe suspendue aussi v
près que possible du sujet et deTéprouvette contenant
te gaz~ q,úe'nons'coDsidéronf",comM~tactieurs~de~pn~
ft~ Atn~ pM sa mét&morphoM/pMsa~:c~m~lâat~olf~"ec,'i'~x18.~i.'t'hy<ft'eg~M, w pMdah de d~contpoa~on dea<~rps,ee dejt'nteyteMepond6raMedet&n)rM!ôM,doviet)ftàgeMtdo yëMm~Mttto~,a.gènt(!e,de htmièfë, de
chatMf et, we~~MMMt,de son at de MMateor uatver-
soUes, <wc'eats~combueMen~09 te<t &tmespMM~tétMat~ et eatëa{e
~MI~A~~'èl
1 "{,·'
p
d~ JM~~ B~<w, page %1.– J~ eya~MM*~
appltqJ1é~, :dï°re.ct~aa~at :sur le~ '4ra,~ :I'9i.t:.Bt,pl~
~len~ent anppop~ H y qnetqnes mouvements d~ bras,dea
~aé~ue~B~
'Mè.
C<?~~M~<a~. ~P CM McouM~ n6 seraiocLt-
eï~ p~s réeUement 61ectn(;ues ? Ba~ u~ a~eht autre
q~e t~lectndté q~ ro~iuti~e secousses semM~Moâ
/et~"de~âutde?~"
"&6,
v
r~B! <~ JtM~ ~c ? p~ Mac~ snr
le tabomfèt élec~q~ téM~t îa~ maim snt !a mMhine ~ec-
MqMO~ &o~M kyai~to~pileptiqM Mt d*a~ vae ~gra~iie~:i~iepi..~ah~e it éprouve nïtë v~rîtaNe aeMatton de Men"8tM.
~a~do&U accatte une b~tofe à ganche et non à droite Bientôt on te
vo~t t~pigner ~r te tabouret deux membMtunMenre
penvent e~ecn~ dee mouvement assez étendue, et tes deuxcôtés ~ucofps sentent ~s bien tes étincelles que ron tire. An
bontde cinq minotes, on le &it descendre dtt~tabonret etonle son~~it & rinauence~ 'la` rio~~ehioe électnqne. Chose
<Mt~nse M n~est ~tns paM!yse;ni anestMsié d'&ucnn e~ n
Ht ~n~~mèntdes deux yet~ '~a yâyidonomie eilè·~ctéi~rew
a'est modiÊée BoninteUigence n'est pics ï& même) son c&HM-
tèM est devenndoux,poh~ l ~heure~,encor,e ar:~gautnotta m~Ïade eat mMn~nant ptein de ttmtJtte* n se croit &
SMU~Urbain,~ l'époque où H n'était pas encoM tombé ma-
,9'.~r tMoowan~ eentr!p~te9 de ch&c~~ tous'. mifea, quidonnet &c«a d6!'n!efa, ta chaleur, 1~ lumière t'aspeet tumtM~x. comme «OnabNèncë, djMis les Mp&cesiateratmoaphertqMes, détwmïoe robacM!të de
ces fégtona~ obacuAté SMslaqaone nous ne poturioM pas dis~ogaer les
MtrM.qai~Mn&ndy&t~ttoasenanaaeuIeIumtèMComment donc M pMreconaaî~eiftMtMa.l&aageMe, la puta~anco,
i'inteHt~eBee soprômee, daBe eette entM qat &tt 1& tranaparence atmo-sphé~qaa, p~ur~oMBpeymettfe de wit t68 eofps tetfMStfes Mt'ebacnrHe<Btei'plaa!&t&;Mpom'jetM6donneF i& ~M!)ttt6 de dtettngtMteaMtpaee-teate~îQ~ûntaàemmeabeetMtpfmctpë, Dtéu, nattM'e.&afentnatoMloa,"le8tei.,qutÔD.l&D,.mme. '~b.O.1Utt1rl.DOip~L:'Dieu, unique de ..na.,t.urel011.&rce phyatqtte, et!e n'en est pas me!ns M source uaiqaa de nette intM"
t~~eû et ne~ p~asancé,ptttsq~eaaMsa<erce et sapaMenaoua'l~ ~t.:4e..
pe~a r~i~ionnonan~<M~8&uc~eceBnaMeanMde~tMmUieuet,pa~ arpo~tte
p~Be~M.pà&maMeceUede~gete~
~?~O~M~~
M~. L~Ïèotnc~ a~qn~ a ~c a~ en &netmt diep~aîtpe
toute papalyste et en rendait au a~et t'état phya~ue dans
ïequet':tr~.t~va~av&nt;~tM~
~O~M~e. :"4i1;JI.é_~i~~t,
répàrtï dana tout ~orgams~e so~ ecoulem -a :été
'1'
,1!J.IAt'lj"ieifé..s,tall'l' ':Uè' Sè,/tÊ'nsl()lf:morbld«'et ~i;,
morbiRque a été ramenée & la normaïe.
"j'f!g.
mM~pPO~it.Ie~fana~t~
En ontre, on& constante ~OMneHxpRenom~ea~''hott.
B&Mï~toa~lep~qMt~uu. ~a.ip!,p.: .t.'on voit t& pM'tie ta p~a r&pptooMede ~M~~nt qwea~~
etMon~tioMtlecofpa lui-m~es~ ~b;ï~ ,eett.. a.~r.~
Hon~ <~n poat &M'e prendM M a~ët ies a~fndes ïe~ pïtM ~a~
itjSaa Mna! en pl~tç~t l'à!ïaaat ~deaa!M de )a t$f6, u :a'é!~e
pon à jpa~ et &pr~o à ne p)~a toucher le soi qttepar )$ pomte
deapied~. Cette actten do ~ai~ant se ? :uo.r:41.-
tauMe me~ aasez ~nde. Le ma!a~e étant ôvetHe et daMi eon
état habit~et, ~ea<diM paMiyee à dMtite, l'mmant exer~
c'< ~y~d~nt pn~ba~temopt les d~~x p~ÏM s'&t~ef~te~t ~ttu~-
iemen~ ~ra~~tétàtt iNoMe~ té~"-eD1enll, 8.muLn~ ab 'QuI e ,'efl,' ~gt;r~"'="
Dans cette éxpénence, comme ~ans ceMe de t'hydï'o~-
geiie (~Sd~pFéMht~ ~.pI~sn:ntrsi "a~tre8'
que n~us rapporterons pïas loin, jtàhonie de sureau è~
raï~utHe a~à~tée pourraient d~mon~rer la n~tUMr
~ctnquedu phënoniène. v v
~Â
J~<t'a~ Af~t~~ d~ J~. I~~<w, pages 2~ et 89–– Ses
~~4ctares aà !A pen~e MthMM~M s~mm~~ p~ovoquo:6o~¥'4~t. U.je.ae,' pén9d~..16.'.t~a,qu.".A;t\lIn. _1.l:.:pr.'c).V.~i¡ù.~~venÈ~~b~nNM~e~~Bs ~f~~
E& f~ic~nn&nt ~gèMmont avec ïe doîgt ou avec un ohj~t
~eonqu~ am mM~ooM un ~p~ ~~#-
~MM~TAÏÏ~S Il
o~ ~~o}~~ a& Maac aMf~e <?? a~c b~ae~e, aoj~~o ]aM p6!fe en ~nw
~t MentÔ~ !e& m~ yapport~vec ~M~o~ ces !~M«cïe$q~Md iïa ae co~rac~t nof.-
.V.1.D.tio.n. ~8. ,.UêCI4.9..,a. ci. ".1.1.8.8..e.CO.n..t. ~te.a.tD. le~.m~~ I~yan~braa ef !<?en aupin~on, en extenaton on 'sn
~~on.OnobMontÏQam~m~ le si plé ir8lem but
s~hèM de dtStMbotton antrent en contrac~oa..f
,r..ü..r
e,.
Un tege? S'ôlement m~eent po~r ~éd~pa~~ cea con~~ ~`.:ag~e~a~ ~~et.a~t ;d~fait, ta
"pa. 'at~. :'i~C. o.-dit. IX-i DPqtpO ti rt dif ac~ /&~ $ a dit. DcmontpaBtep.
men~nt ~o~ ï'~eB~té ~ës~&'oMen)eot~-
L'éiectci~ et d~ Feau, combma et aepMe<ea:i,Jlélf3ctr~~U'I$1l" etd6tait're~u', ,OOl1,lbJDe:etllépare',I~
-o3~hyd~
~A~
~o'
J~ ~~o~ JM..N~o~ pa~e ?. etM~aree-
~e~ <
~o~ M. Claude Perronnet déûnit I&
a~ggestipn ment&ïe, < ~M ~~<MM~~ p~
~M~ ~~7'y~
(~
P~~Al e~4i n~ ce que son~ !'id~e, !&
pCMee, le Ju~enïent et la r&isbn, et comment ils ae pro-/Mtae~
~nr mo~e de ~ansintMion est !e même que ceM de
~?~ënr.genéyatton.tuctdtte, inutàtton, séd~c~on, domi~on, jRMCina-
tion, magné~ation, su~gesM~ mentaïe, prale~ visueMeot Bahnique sont des phénomènes de contagion, d'en-
dMm<Meetd'exo8moae,d~ectr~&tionp& de
photogc&~hM e~ de gaïvanopt~~a domm&tton est puïMante~ d~ le
couf~nt est ~UB herméttqnement iermé,~ rexpén-
(<)~~M<t~~
~v~p< 8f, ,41.48,50 et si;r
v
/m~tateup'ét.t&~mon~
~9uv~tM~ de~~re;~
'a'coMCïëncë~
'"e~tre .~ëMé-e~8es\m~~ ;"r~ia.t"wco<i'
cë~ qu! ~t'omëne~- ~~tn~t~jpaycï~~ u~`.̀~.~.z
1 u
r r,
F<p<f~ ~~Mo~ J!f. B~û~ p< 36.–MM~ 6onrMetB~Mts&v&ie~tqaetd~~attoo ~o toutes sbr~ad~ réusatftMut tou-
jouM àa mo~~ t MIS
..1°..U.re. U..'m.,'o.m.e.n.~p.r. :~i8.'CJ.u.}~v.tU.t.¡, ,t.C.(>m.. ,11). ,n.d,1.DJm.Y. on ao~amb~tsme, l'un de noa maîtrea .Itu &t la sag-
~és~nB~acte: <Ceabir,q~~ ..hfU\t~aq~è.:t~itr.'eD-:B dorirti;ta t~rM~as d&ns ~o& ~t~~ ? i~~féè da~
Ï$~utem~~ ta~ep~~gMras du nez. En Im oraônBàn~ de à'aM~i~~
!es bfM, on ayaiteartout pour ba~ d~vitë~ deawrn.ouv~
mente quelconques &vec Ïe8m$t~a,nnoj~i un coup, etc,
pu~nt donner !MU a rhé!&orrhag!e quo rbn cheMnatt a ':I
~.<[)M<MHy.
À rhenre di~, titqmMe ae~~e~t!a~ Ini-même, va a'Maeotr &u Heu'indïqué et dan~ ta po~ticn~fdonn~e, etJbientSt bn v<t aumter de naNne gauche, c'eai-
à-dtte du cût<&non paralyac 6<; aansprovocaCon aucune, qisfe~
a~M gouttesda eang. PiuMéuM médecins ot Ôtudian~ dé
t Ecûté'fufenf' t~moins~dé.co~ït.
Un autM Jour, mémo e~ ~'1e[:nô.n~d.iï'
sujet, sur les deuxavant'.bt~a avec l'extrémité mousaô d'un
r stytet de trouaëe puis ir lui dit,U~buUsjCM ? A qutttfe houreB~ ce soir, tu fendotmir~s et
sai~uèBaa.aubrM~r~ tra~er; '9~'nom sepa écrit surtés bras on îet~res de
aang. ? Quelquea
mmutes avant t'heare nxée) on le su~ attentivement jpoups~ssurer que nen encore ne ~aT&ïtsM~ ,on:l..
vbi~a'nyno~or, ~averserlës al\ër,rBettr., cA'
Jhft place iadiquee. Au ~Ms gauche, les caractèroa ae dessinent
eh ïroMef et en ppoge vif, et quelques goutélettes det s&~ y
pèsent en ptusiOMM pointa~ Tr~ois mois apr~, ~es c~ra6~étaient encore viaiMoa, bien qu'its eussent pa~t~ pou a peu a~
droite, cô~pafaty6e,ïe ph4nomènem~e pmduisi~ ~> 'i'P~ ~P.n autre fait intéfossant a 6t6 constate par
M. MabiHe, prop~a dèanémo~rhagiës provoquer, ~j~voaïant ~ire aa~aer y.<. ~u ~raa, ne p~uv~ y pa~ûni~
~OMMËNTAMS ~5
~il:In~ â~i~nande il~M ~Maitd~.po~~ itne saigMXtpas. Je ma peux paa~
tépOB~ Ïe 8~$f/– P~M~~ paa ? 'rce'
~q~
Íp"ï.ae."8aDg.Jf.O.'d.st,a..0. De.,vôt.tff8.ilg:A'.e< Ëh1 bien, aaignez à t& t~te. Immédiatement, on
o~~tiént nne hémor~ taoe, à yendroit qu'on avait
'aaBï~né~~7-
~M~ ~~nnom Avona pi~posé une exptic&tMn n&turena d~ Ta
~a~anee do aow~
de(roche de MassaMUe),
ad~ rinRu~ende ~o~ .Soübirol1s.
~e~&ct!tude de ëette expHcation ne p~raît-eHè pas
~MOD~eexpépi~e~ les hémôrphagtes
:1~ ç~iex se ~flnt prod:uit~s
:u$ I'inf~uence .~le
Mal~ïile .j.
J~ ~~icw/ pag& 41~
'hAnQm~es.d'~B~M~Mt;et~de'' dynMatoarénte:.
MM.B~ Ch_<Dotre!JUjet C8J!t$i08.
ph6&om@&ee qu~Matrentda.M~catégono de~ auf lea-
queht M~ $rown-S6qnafd a ét~M ea t~éopio de ~M~o~
~et~Mo~~ôua~ Mn~oroM po!nt ict d~ns la eteacrip~on ides exp6-
ri~n~s eatp~p!t89a p~r riUnstM pfofeBBOur dn CoMège de
~n~ ît Mus SM~Fa de dir6 que des fatta expenmohtaox
no'Mbyou& M ont dento~e qoé es nerfs moteam et les mnà-
~e~ peuvent, sousA'maueïtce d'une trMtai!on<dusy8 ner-
~eax; pepd~o s~bitemûnt, en pactie, soit on tûtaïite, leuM
pr~M~tesmotï'ices, ou~ &ueontra!re, gagner soudainement
une puMsan<!e motrice Mon plus énergique q~à retat
'nnai.. ~-V
J'a)L m~~ dit BMwn-Seqpard, que ~rfains points dn
ncen~oce!'ébro''rachidion possèdent une grande puissanceB pour faire disparaître lea propriétés d'autres parties da sys-
tente ner~eu~, par une tnaoence inhibitoire, et que lès
~memespoints ou d'auto daué~ d'une autre pra~ci~té~»
iusqu~alors non étudiée, otén vertu de laquelie les lésions
ïrritatrices de ces points pouvënt augmenter tes ac~vités,N ies propriétés ou tes actions do parties plus ou moins dis
tantes. C'est une innuence dynamogénique qui se manifeste
COMMENTAÏRB9?
B dans <? dernier cas* a {Co~ do t'~a~a~l~»a~~~.âss r
sct~ !? msre 1880<)La rapMite avec l~u~ drmx~nutrpp~e~~ou
~ces accfoiaBements de p~sance, ne Dermot pas de l'attribuerà iMaence de changement daM jb dccuÏ~t~n oa dctia
autdtion; et ces phénotB~ios ai rcmarquaMee ne pe~ve~t
être expMqaéa que par une tRauenee papemeot ~yoam~qae
~-exe~e~pa~ea M
se <aodM~tt A ces ~its nouve!temcnt a~a on hmiète, R ~aï-
!ai~ ~6B noms no~ve~x, de ~o~f ïea diminudoM de ptti~~aance ~BOM d' et po~r le~: au~mer~ta~t~on~: de pue
aancecei~d~ï
Ces p~~nMMa~dt~enaaMoa noaB aH~~Aasepen ~v~è~ Nombi'Ô~ p~no~ne~;po
âr,h, ~lti~~rt nbüV~it~#;
4no nMa ~Mdie~cna aona le ~tre l" ~o~ ~~M~~PA~ ~)M~.
Cû~MM~~yc. Ïtà rapidité avec Ï~quèMe se pro-
duisent tes diminuHom ou les ~ccroïssoïnents de pMS-sance s'expMqtte par cûUe de réiectridté.
.§.ii.,a:
F~wo~ ~~f p&ge l~~t~ta
~mhtMtt~M. Ainai que !'& m~nt~ M, Ch Rouget, ~n
«~~ ~~M~<w est le réattitat d'UBemntience exerce
par des Cbree nerveusea imtéea supiea ~<'MM<<e<&tt~~
veMOéa dont Fact!vité Mt saapenduo.
Co~MMi~ est possiMe que la ceHute ner~
veuse soït !e logement de ta ~e dé MbMtz~mhadë due nous nom étoile ou co~posa~te ceré-
.-Mie.r
~§'
Fa!~o<< ~MJ!~MOt~ <&! M. ~page ?. LMuencèmhiMtoireestune paiasaace p~aaedée pap presque idatoa' les
partieadu8y8tècoonerv6n& central et une pcrtion conaidé-TàHe dotsystème pé~phéfioue. cette putManoe est a~ ~ande
quelle peat ~aMser raïret (finhtMttoa) du ccea! de la resp~
ration, de la nutntton) despropriétés
et des fonctiona
de rencéphKie, de la moelle épiniore et des sens, etc<).(B.*SeauaM!, Co?Mp~<~ 3c ~<*<t~ ~M M~cM,
aObcto&relM.)
COMMKNtÀMS '?
,v.Avec Abajï~t~, nou~ 'l'~otn ;depoWlfB~A~ cortama points qui siègent àur des parties (tiffé-
rentes du corps et dont làpression~a plus légère détermine
l'arretdea [email protected] nos malade, la pression exercée sur certains points
du~~B~mèhea~té~ pb~n"m~u. '1~hlb.l'tÜ8.
C<MM~ t~ pres&ioû augmente rintettStté
des couranS ~'ce~'In~~déterminer la congestion nerveuse, électrique, spiri-
tueMe et, par snite, la para!ysie) par excës ou oppres-
'MQn'ue.~rce.
Ïl est probable que, prolongée au delà d'un tetnp9don~é~rm&ibitton déterminera côngeation maté-
rieMe~
N<~s avons dit plus haut (page que toujours, un
desb~~ des~ un étàt morbide jiè
l'~e, de l'e~rit~~ p~ detennine le deàordre <M~
fonctions matërieltes, i'éta~~ du corps, de la
matiëre.'
-L.fj.
J~a!<f< A~wo<~ Af. ~<~<w, page 4&. 2" MBé"M~tm&Mtce dt~ d[ym~m<t~én<e. Par phénomènes do
dyMmô~éotO,&<~8 entendons ceux qui s'tMMïpnïpttgnentd~mo
&ugment&tiondepmMancooud*ac~on.
DMscortaino~conditiona, on peut, chex notre hystéro-épi-
leptiqne, détarBQiMr.commo noasaïlons voir, nneexagér&tion
d'action parfbie très remarquaMe.(~o~w~ w~Mt~M. Les deux moitiés du corps
BetnMent vivre d'une façon indépendante, et plus haut noua
&von8Vnqnû chaque toia que ces deux moitiés viennent à se
toucher, le du;jet en éprouve une certaine innuance. Ainsi
lorsque !a main droite est àppMquéo sur la bouche. oHe est
Nàiaie et rosto en pOBition, et MCntÔt on {teut constater rem~
preinte des dents; I& main gauche sur le côté droit n'amène
pas l'inhibition, mais le sujet renlêvo diMciIoment; onia
dirait collée.
Co~~M~ –Nous ne pouvons lire ces pages
sans penser aux courants mdufts, aux grenouines de
Calvam, aux expériences et à la théorie de Volta.
08 COMM~TAï~S r':
Les dcMx moitiés du corps de V. sem~Ïent vhrre
d~ne vio ~dopen~~ parae~ ,qùe ~,xeu~y~.~t~~b~anc~.e~~
mét&clMmtques(~~ ~ont :di~~r.~n~~$,etie e contact de ces deux substances hétérogènes ~év~
ïoppe la fbpce éïectrp-~o~ dé ~Volta;o~t la~ôyls~
de sureau et rat~Ueai~a~tôe~ p~ut~t~r~av
~yoxMtence/r/
.BiMj~ .M~~tM <~ ~/B~o~ pa~ 46, Nous att~
im~nton&ntôt~d~r~ea phénomènes mv~Mee de e~ ,ue;T~mB'avQ~t~~A;nteure. v;
AppU~uona~waih 4rQ~d~ ~n~~t s.~r eav~a~ain:~gsu~e,r 1e
pie<â droit aar le pMd g&u~he/ét faMOM la ~ao~& dmédiMB droit etderor~i~m~msd~m~ c6té~ aous vo~:onebientôt ee ppod~fe dea coàv~~one épïlepii~tmèM dan~ côt6
droite doa convulsions doa~ -l~vfaee~ de~ tir.aillé'~he~it~de la <~mmisaope~Maïo drotto, etM dee ~sae~n~~er~'aoin~rui·
eives da braa dyôit et de I&jaMbo d~ite v
u1Si, au contraire, nons appHqnonaI& main gauche enf~~QMtin droite etie pied gauche Nur le pied d~ ey eï noa~~&iaone la tracttôn du médius de la. mam et du pied gauche,on détermine des convuMona du côté gauche de ïaface/maiBte malade parle et accuse une certaine douleur. y
C~MMM~ L'inversion des phénomènes réaulte
de:I'interve!'sion'des;pôles."
~?' 1~.
~.1l~"émoâre:a'tg~ Bar?an,, Page 4f3: ~uiând iln'eat plua paralyaé et qu'it est en somnambuliame, ieN d~uxmaine
apphquéeaaur le c6té gauche do !a tête amènent les
phénomènes d'arrêt; la mainpiacée sur le c6té dr~t lui
répéter tous les mots prononcéa par l'expérimentateur. Lea
peraonnes voisines ont beau p&fler, il ne dit rien il faut quece aoit celle qai eat on contact avec lui qui parle. Une pàr~tcu-
`
ïanté & noiter, c'est que plus ron parle bas, plus tl parle~~t' t:
Co~MM~~c. Si Y..ne parle qu'a là personne
qui est en contact avec Ïm, c'est que les autres aont
ÛÛMM~T~K~ 1 = 1 99
6"
étran~res
~§"
'> <~a JM< .C~OM, page 4?. -<. M imjjte~MtM fay I'eupériarentat~ur~ avee luu;~r
:tt<y f
v '.I!I:' .r s. r a f ~.r
:i~ï~uf~
parle,8tonlut&'appe
'Quand. V.*< t~t.< *'t.~<t't~< *'<<t-<)''<.
F~~ du:: phâ~io,g~a,g~he.. D~n~ le` m$me état,
Co~~e~~e.– commen~r ces ph~no-mënéa) Ïeu~ que tadiq~e par les titres
s~us lesquels M~Berjon~~n~ dorine:la"ré~iatiou..j&
'71aüono,
~~a<t ~~û!M page 49. ~~MMo~Mo!~<~< Chez V. on observe ceptenne~ itmpPMSiOMdouïowensM) même à une coftaine distance du co~ps. Aioe!,un co~p de b&~on donné dana ~eapaco, & quetques cehtumetres
dM~ujete~ducûté gauche, laifatt~pM~ une Vio!ento
commott~n et noe vivo doulouf. UMMtnpt~ chiquenaudedbn$e!iëu Aune aenea~ même.H
7 mdi~Me, aaM se trompep; le point précis en regard duquel ona frappée même quand Ma les yeux fermés ou quand on
;surprend.
C~ déterŒme ïa pres-siQ~ et ceUe-ct augmente rénergie des courants atïno-
aphériques, et cette se transmet de proche en
prc'che (~<?~M~M~ co~~ c?~M %os conducteurs
~~MM)ju8qu'a~u cerveau~ q~eHe impressionne avecune mtenstté dont le degré est, toutes choses égates
d'aiHeùrs, en maison inverse du carre de ta distance quir
sépare Ïesujetdupomtbù se produit !e mou
~?0~ JM< F~o~, page 4C. C~~
~M~TAïRBS
w~w. MM. Bourru et Burot ont pu produiM unphénoMênë analogue à celu~ que provoquait Meam~che~ y~è~
personnes qu'il plaçait e~eerc(e autour de son ~uneux b&quet
magnétique. Voici l'expérience;
St, quand notre malade est & Fêtât do veiHe, un obsorva-teitp Icu prand aimu~nénaûB~ d$px mauM, de m<nn~ &
former un cOM~, ii M produit chez hd une ~èM i~i~itioB,~~it~on~uéA eM
pMjRe du cerde, rmhibitioa a~c~entuO)OMe sujet commenceà M9~r i~mQbiie, et si te corde se compose de plus de quatre
personnes, on ie voit immedï&tement denteutor irnBuobUe,comme lorsque rinhib~on est coïnptete. Stt i~c~ se conigfes-
~onne, etH est aur le point de s*~tsser et devoir une c~
qn'U aur&it ai 1~ contact Be prolongeait quelque teïnps. Lecercle une fois rompu, V. revient a lui en lisant une pro"
fonde inspirat!on,aecdnMtàgnée debruit pharyngien. ,¡,
Nos maires ont pouss~~ plus ~xp~nence. Ms dê~
8&votrBt un barreau de vorre,interpoaeén~efaisant partie de !a chaîne, à~ ~I'P.I !a~t et`,
empêchait, au ïnoment de la ~t~etuTO du circuit, r~ib~
'-dese"produire/
Aprèsavoirpria toutes les précautions désipaMes pour queië suj}et ne put se douter de ce qu~on désirait et en pre~
aence de plusieurs médecins et profieMeurs des Ecoles de mé-
decine navale, ils constatérentque, des que le barreau de
verre fermait te circoit, !ea phénomènes que nous avons décrits
pïua haut se réproduisaient de Ïa même f~con. Disons toute-
~ois que, depuis, nos maîtres se sont assurés qu'il notait p~
nécessaire que ha circuit fat fbBmé pour donner Mon aux phé"
noménes quenous venons ~étudier,.<
<7o~MMe~<~e. –Si les phénomënesse reproduisent
dès oue le barreau de verre circuit, c'est qu'iln'exMte aucune substance absolument isol&nte et af,
pour donner Heu &ttx phénomènes, H n~est pas nécés"
saire que le circuit soit ferme, c'est q~e réieetrisattdnse produit pa!* mNuence, à traders
l'espace atïnoapné-'
rique, ainsi que nous l'avons exposé plus haut (§ 2 du
chapitre~).
408
~< d~j~~o~ <~JMT. F~o~, pftgeÔO. ~M<!<
p~ j~etM' On observe ~coro, chez notre
t~J~A~~
-t!)~~ d€B ~?~1~~ <? des
'ehoM..M~t'q<MtMea.
Si/pap exempte,on place !a main en regard d'une partie
quéiconqué dn a~e~ t mais pa~tiouMérement du côte gauche, il
y à attraction Distance. La main joue ainsi Je rôïe d'un véri-
tàMe aimant. ~Si (~ést A ta tet~ qu'o& opêto, oh voit btentot
~io~LW pencher~~p~ uABtïï'éeparîam~ndei'expen-
m~n~tam~ tt0 bras-peut ptre ainsi chaog4 do post~on, mais
"1ëni~ËQ~ pougHasw tentement s~r Io et am!vrp la mam q~'po Im pré"
~BR~tû~oBM A distance. 0~ observe les mêmes phénomènesd'~fa~tion A Ï& cuisse et à la jadbe gauche. La verg~ eïie-men~e est at'i~o, étalon &!t avec la mata queÏqMs mouve-
~B~sdèvaètviëntA~a îiïbl' e ~istaDce d'el~ on la voitmsrit~ de va é~t vie~I~ ~u~re ~a~ibfe 'üxet~nced'aIl'è?
'owla voit
~eua peu ~gmen~r de volume et entrer on érection.
~Ces phénomènes d'attraction Mnt beaucoup moins accen-
ituesduc&~d?~ pai~alyeié:t<a ~ttiMn~ton est un phénomène da même genre. Pans
t'etat de veHJte) les doigta groupés et présentés devant les
yen~ sont CK~ pa!* ie majtade, qui est attiré et qui suit Fob-
sefvateur en venant appïiqnër,pour ainsi dire, son hex sur
lea doijg;ts qu'on lui présente, n est aïors impossibïe de Ïe
&ite parle'~ nL 4e détourner son regard du point ~xé I~n~
aen8~iRtée8tgenérate<
C<M~eM~ye. L& ~scination, ainsi que rattrac-
tton par les doigta ot les phénomènes génésiques déter-
mMéspàr~smouve~de va et vient sont encore
des résuÏtats de réïectrtsation par inNuence, qui, peut-
être~ serait déceÏèé par la bouie de sureau et ràiguiHe
`
aunantée dont V. et sa verge jouent le rôïe.
Comme tous les autres, comme ceux commentes sous
le § i7, les mouvements de va et vient ou de nutation
se communiquent à l'air, dont Ïa pression sur V.
augmente rintensité de ses courants électriques et, par
suite, ceMe des phénomènes génésiques (4).
(t) Ce dernier genre de mouvement et ses effets gënesiqaes se retroM-
ventdans~a vie désastres, dont la motion est Itée&leurco~onction,phéaomèM ~aéf&teor en rapport avec tour gecro d'organisa.t!oB Proba-
btoaent, c*eat lui qui d4term<ae la ttatasMoe d'astres nonveaux, qu~ par-'jMs, sous nn~MeNce de la forcé expansée de leur noyau centrât (M«-~OMM M<~< y<~<t<«c), éctatent comme des bombes Jorsqae leura causes~n6M.U'ïoe8s'a&ibMssomtavaMtÏasoi!diÛcat!on d'une partie suMsante
~~pM~tM)des gas dont Us procèdent. Dans ce cas.ies gaz
repassent &14tat d'ëthor, et tes fragments des avortons coasutaennes
me~jMr~soupieN'ésde~OMdire.
d<9~~
Si, pour fasciner V.it~ ~~ç~~ae~e que ~~gdai~ssoient groupés, c'est .'réun~3é'te.m&mM
cenx-ci donnent, à~Ï~ ~.aun: la~foi~~t~u~i~8ne,a~.yona~
met duquelle ûuide du ~cin~ se coûdensû, s'accu-
mule et acquiert ainsi ?!? do ~rce pour sutTnontcr là
résistance opposée, a son éoonlement,par~
dnet]~ u~. ~.1~
grande puissance du courant contraire, qui pousse v.
etson nez (o~<Mt~ <?o~~)~sur
la main présentée.
Si les d~ig~ét&ient écartés etnonn~ ~ide
~el'expét'iïnentateu~ an lien de seœNgepentotaIï~
y. s'écoulerait, par le bout do chacun d'eux, et 90
disperseraiten
~'ande partie dans l'atmo~pMrela
quantité qui se dinge~ 'V serait:: ir.éduxte~ dear;
quatre cinquièmes environ, et il en serait de tnême de
saténsionyain~ q~e~d ~on iü~u~en,ce~c~~i~~ric~ (~).~
ft) L& p~acn de la puiasance ~bapemëot ~toigtn d~t:ve~i6le»v~-m~nt de la'. de ,ladu. er~dee ~saûilt~a mdctr.ri~ques dès ar~w~sment a!aalegao à beUe de la ~Hne etdea moM~mé~~quesdea efg~~d<tMi8Mn<a)t;derdiMau. y
Neao~bnaess&ye~del&Mmontrey.Ainst q~e BMS Tavoes dtt
(jKMc!M,<!? e~t~e ~), deax eo~ht~
6teotflq<M8 contMtiM'a, dMM)*enta d'Ïntenstté, siUomtemt tena lM ëe~ ~t
tons teaé~&cea/danatooMs tes d!M<!tieM.D~s deux <ïOMànta c<mtra!res,l'on centripète et dMC<&<~Nt,ra~u'e
cenMrifhgé et Meeadant, q~ tr~e~aènt i<it terM et aon atmosphèM, le
premier eat plus puissant que le Meocd. <
Lcn'esuÏtantedeadeuxp~ssMoes q~ instituent ces courant estibfoe dont Newton Boas a fait cOM&îtM tes lo!s, la pesanteur oagf~tt~
'ttoa-un~Mf~eIIe~'C'est cette résultante quo l'homme et les oiseaux dosent vainore/~ouep
.oetcette
rdsnltapte qug.fhomme et les oiseau~ ~,doiveut vai~tcre, ~ou,rs'élever dans ratmosphèM.
Des doux couraMts éleotriqaes contraires qu! athônaent ho~en~te-
ment l'attaosp~re dans toutes les directïons, Tun est toojcm's plus fort.
"quel'aUtre.r~sujt&nte g&aerale de tous les durants sensiblement paraM~e~ â
l'eqaateur magnétique est en faveur de ceux qui se dtrigent de ~est &l'ouest.
La résultante générale de tous les codants sensiblement paranelesaaméridien magnétise eat en &~eur de ceux qut mâchent voM les
pôles.Mats, outre ces résultautes générales, !1 exiato un nombre tanal de r~-
-sultantes partielles variables avec les lieux, ~altitude etune jCMled'autrea'cIrcenstMtce's.
Ces résttitamtos partielles constttuent les conrantS atmosphériqfues quel'hetntne et r&nlmatdotvettt, tantôt suivre, tantôt surmonter, aeUtn qu'Usfavorisent on contrarient *ear marche. v `..
Ce sont les mêmes forcer que suivent on Barmontent, dana la profon-daur des eaux, comme A leur aut&ce, le poisson, le navire et rhomme
qui se livre ~l'exercice dei& natation.
La~roe ~ue t'nomme et l'animal doivent vaincre, l'éïectrjtcité, est aussi
mpaissance ~ileMPdonaela~~teire, dont tes conditions <? tronvent
COMMBNTAïRES
g m
j~<~ <~M Jtf~Mo~ <~ J!f. J&dw, page 88
EaRn, un autre jour, on M mit prendre on bain dans une
piscine. On applique un aimant sur le bras droitpendant
qu'on promène un Autre armant sur le sommet de la tête. Im-
me~atomënt V. est Ïnnuence et demeure immobile son
~re~rMevien~~xo,1!<~ ..nr~, ..$~t ^`~i~`"`'~i~riû`~~â~ï:
Apfès 4 ou 8 minutes, quelle ne fut pasla
surprise des obser-
vateurs en le voyant Nager et plonger habilement. oute pa-
ratysie avait encore disparu sous HnAuence de l'électricité
Bta.ttque. M parle très poRtnent, me connaît pas ceux qui rea-'
touren~; il se croit & Saint-U~ain/ou H a l'habitude de ae
baigner avec aea camarades. H reste 10 minutes environ dans
cet étatt puisil a une ébauche de criae aussitôt arrêtée
et après
Jaquënoti retombeparasse
à d~
JM~wo~ M. ~,8~f on, page 5â~:
Dans ce but, ms appliquèrent de façons diverses et dans des
rej~iOtts dif~~ des rnétuug~ et iMCttfs. pef pre-
mières tentatives furent vamea. Us ossayèrent, nous ravons
vud~
le bain éiectrique, et te succeo fut complet. Toute
paratysie du moMvément et- de ia sensibilité dans ses difC&rents
modea, diaparot à leursyeux en morne temps la personua-
dàasïtHtàtUMdesaa&ataneesqui composent. et recouvrant les ûMabat-taBtta dans la disposMen et tea Moultés mécMtïques des organes spectate-mentde8t!nésàta mMoho.auvoret&ia~MtaMon.
JF'asMMfaj~dement<'ftrevMcescoe~t!eas cherté poisson et cho~'r~!se&u..
Cohttae teat atome, tout Mhnat eat une pue, dont ta. plas grandeaonMM do Oaide est condeosée dans le cerveau, qa:, pour. cattû raiNon,
pr6eM6le<Mrpsdànatamaroha,Iévo!ettanat&tio6.JLea am!<naax vivant dans des milieux diversement etectr!ses, et plus ou
moiM bons cendacteara <tM&uide, doivent avo!r âne paiaa~nce eiectr!quedifÏerén~, q<tti nôcessite ttM urbanisation et des appareils dMMrents.
ON A d~a reconnu que la terpiHe, ie ~ytiHnote/le siiùre, $tc:, sent t
doues de beaueomp d'ëteotricité. M en est de même do tous ios autres
poiasons,~ un degré plus'oumoiascoMidéraMe.
Catt~ p!us grande somme de nuideohteziesànimMX aquatiques trouvesa raison dans là ~perte coasMeraMo de nuide que leur faitsubir la grande
conductibMitédeïettrmiiiettMquido.On peut petnarquer que es animaux ont la. partie antérieure du corps
d'autant ptus aïiongëe qu'Us accompHssont des voyages pics Jtongs, etl'extrémité antërieuM d'autant plus aigaë que ieur attaque est ptus puis-
a<Mt<e<tlubit en &tven!nsi, puisque rôtectrioité se porte toujours vers tes
.pointes.Chez iès oiseaux, tetong bec et Ïe itenar oou, dans Hsoiement, <a ph~
tan~e trianguta!re, danstasooiete, favorisent const~raMetnentia puis~'s~Bfcedù'vot.
Lap!u<neestdMtee de courants qui selon les beacins, se combtnent
plua on moMsfactIoment avec ceux dei'attnosphère. Ses barbes notn~
C~MMAMS'7~'
iïtésé tp&napoptMtàuno ôpoquepîos rocoMede!a~
V't~'
«on réveil, se trouve à Saint-U rbain, le 8S m&M t8'?6 n'ait
que 14 ané; il jouit de toutes ses facultés; il n'a jamaïa été
naïade aa voix, son attitude, aa phyMOnomie ~ont e$ll$s
d'un enfant poli et convenable. t
~s~c. bam ~lëctrîqueet 1& Mndatts `
lyp~cMe'mre~~
de l'excès du Nuide, de répartir nprNi~emént, dans
tout rorganisme, l~électricité du sujet et, par sutte,de
reporter,a l'état
physiologique, sa tension exagère ô~
insufRs&nte dans un ou pluMeura ~rganea,
~`
Ea~o~ ~~c~ o~ JM. ~~o~ pMe
conscience ou changements do ta personnaRté. .>
Co~MM~~e.– La ccnsc~nce c'est l'àï&e r&më
c'est la conscience, ta personne, ta personnaHtè, le
pnncipe créateur et directeurde toutes les DEtonades
physiques, morales et intenectuenes qm cpnstitttènt
breoa~s M r4t!B!ssent oMîqaementaut un péttote eommo~, tBïtMM pardeuxextfëmMapoinmea. L'eXtf~mtt6 interne dn p<tblè$8tpto~~rpsse, v.
motns aicaë qae son extrômUé exterp~, mais.plaB petite, ptM ~g<tS qoë
textr~iMëxt6MedetaptumeeBt!èire,q~e~MMndi~A?4tat6tatiqM, t'a!te & a&n extrômM externe potatae etaonpxtrô-
m!té inteyae hrge, courbe. Il on est ae m6<ne de t& qoeao..Au fepos, leRMide dé t'oiseam s'échappe doae assez &e!temont pax' tes
portes dos p!ames et 'tea àHes, et noMa voyons t'o!sèM ~ciHte)' cet&coa.
cernent en aoumett&nt ses plames en d~aôydre an cent&Ot d'aaeptuiè
f!'orage, ou, même, iorsque Te&a tut Mt d~ttt, a<t contact dh sable et
df; ta pousstëM, quî f~vortsent ta pro'tuction de <? desordM et t'eco~
toent da aMtde, par lour oondMctibHM piM grande que ~eMe do l'àtc.Poar le vo~ Mseaa, pt~' une coMtractton musot~atM energ!q~e, dûnne
à~extrémtte exteroe de ses aHes, do aa qaéue et de toMtoa ses ptames,nne ibrme coephe, Mtousao, qui s'oppose puissamment & recowtiM~ot de
ftonauide danaratmesphôre et favorise sa tenstoa & l'extrémïteanté-t'ieuro toute sa pu~saance, accumulée en avant, s'ajoute & celte do eett.rant &tmoaph~que de même sens, avec tequet TeiSMa s'ïdent!ne, et, ta
réaist&nce du courant contratre, qui g'Mssé sur la peitte, étant Vataoué,.t\<ai<nat est eMportA datts ta diroctton qu'U a chotsie
btHairecttenau'vanHaqMeHe los piames seBt imbriquées &vorïsepa<s-samment raotbn du courant de môme seas, en faiMM obstacle t sen
passage, et s'oppose & coMe du courant contraire on favorisant son gMs-sèment a la surface do t& plumé; cotte direction donne au ptuma~e de
t'oisea-u, dana l'ascension et dans le voi horiMnta!, !& propriété de ta
voiie~tdupM'achute.U su~t d~ penser pour reconnàitre chez !o po!sa<m une <MspoaMon a
peu près idënuque ces organes quyserYa~it&tan~tattctt.
dOM~MAiRBS
~opgamsme reoHement humain, c'est-a'dhe l'être réel"l~neht libre et raisonnable raisonnable en ce sens
qu'il cherche la raison des choses et s'eJfïbrce toujoursla prendre po~u~~ rëgle de sa vie libre, par ceïa que
ta connaïssance de ceMè raison et le respect de cette
règle de vie l'éievent et le maintiennent au-dessus de la
't~e~u~ :w~_ a;wAu contraire, s'H oublie cette raison, s'iï abandonne
ce~e rè~Io ~e vie, t! perd fatalement sa liberté i! tombesous te jcuË de ses monades (~ ~M~).
Pavées dé sa direcUoD) de sa tuteïïe, ceï!es-ci sont
àssimUées par Ïa mattère et contagionnent rame, quiperd, avec son essence morale~ ses plus belles facultés
et notamment celle de chercher et de comprendre les
rMson~~waie~
Alors, la socié~ ce~ébyaïetombe~ dans ï'anarchie et;
par suite, se délite plus ou moins rapidement Lessys-
tèmes d~ monades se dissocient, de chef ou Hen
cûmn~un et cette anarchie, cette délitescence se tra-
dttMent par Ïa foïie, l'aHénation mentale, !e~ma!adiesmorales et physiques~ l'ouverture des courants, ia fai~
Messe du rayonnement électrique entre les monades
(~M~~) comme entre leurs systèmes (~MM~~)rarrêt des fbnctions, c'est-à-dire leur inhibition.
L'âme existe encore/mais elle est dominée, eïïe a
~erdu son Jtibre arbitre et n'a plus d'autres facultés
qaeceUesdes monades et systëmes de monades dont
~l'B subit t~mpire. Elle est esclave, tantôt des uns,tantôt des autres, suivant que les ihnuences du milieu
déterminent leur sommeil ou leur réveil, leur inhibit~n ou leur dynamogénie, en ouvrant ou fermant têt
bu tel courant.
Chaque monade ayant, <M~c ~e co~o~o~ w~
<<c ~~f~ des propriétés et des itonctiorM
dtstinctes; celles qui constituent la mémoire étant tes
photographies dès Mts et des choses, et la vie élan Ile
rayonnement électrique, le double courant ou mouve-
Ment, décomposant et recomposant, dans une même
~rme, nous pouvons comprendre que l'ouverture ou la
fermeture d'un ou pLusieurs courants puisse <)éterminer
t~hibt~~nb~~dyn~ogéo~ ~~xxl~x ô~i. ~e ~;ir-~vei~d'un ou p!u8ïe~M systèmes, d'une ou pÏUM~M foi~ï~.·
t~ns, c'es~a-dire l'oubU pi! te ~9uv~r dcs;~ id~~
C~oa~s d'un~ pu ptusi~uM époques~ ~nsrqHetea. chan-
gements de caractère, de peM~naHté, $~t de~
.CK~nce. ;<~h~j~
t
w' am.a:,s'wnr .·~w, 11'&e ~n TL~i:w.i,~b
'a ~a
'-& ~<Ht
ExtMMdu~<MO< ~rage~' ~S:t ~~iva~t~r
Ac~on dos MbstàmeeB mÔdiceMmentenees oà ~oxtq~M~\&.dieMUMe.
;~<<0'T* w < <t':t;~<t.<t~<
L'or agit, aoëtae & dM~nce; i~ sufRt d~pp~c~r Hn~p~d'0~ une ~ontï'e, wne pièce d6 yin~~r~~ à lO <~attmÔ<~
p6urqu~lo8uj6t~~ 'pae~ wu ce :4'n' 1uypïré~~nt~: ~'accuse
u~o vive doa~UT. C~ ce &tt étoDn&pt et ~BF Ïeq~ rcèv;
pouvait ~voiraucu~d~~ a~ic~i lea nom~Mia~ Mtp~rièoc~
eliitrepMees, q~i a; engagé nos ~aîtrea &empiQyOir<te&ccctp<&*
s~B ehimiq~ea cbntme le cMorupe d~of, etïéut a dptttfte pî~tard Fidéede pFéaenteriesmédtoaMentB A"'dwta~Cte, pn~q~e
l6 contaet n'étMt pMnécess&ire po~f pMd~nre ~M i~cton u~
?11 p~ticutier& noter, c'eat que Ï& douloor paraK pta$yiveducôtéanësthésiô.
'P~L'idée de rechercher ces actiona & d!Bttm<ee A 6t6 ao~eï~e à
MM. Bourm et Butôt dana ieura éxpérieocos dem~taMoscopié, `:
q~a~d JUa vi~eat Fdr déterminer de !a br&lNre, non aeMleme~taM contact de ta peau~ mMs encore à une ~Mt~nce de t0 pe~-tMNetree. et Ï~oduM de potMa~m doanep Met! à dtt b&iHetaentot à de rétornnement. ïîà eureot reMursà dos ~a~ta~adicamenteuses yop~Qm) appttque anr la tête, un
pro~nd. sommeil, bas !ors, lea reBuitats Men imprévos dér ieiuirfi de è]Mpluit-,tMQM expériences a~largiasaient do pitts en plue, et ils tn&r~'
chèro&t dans cette voie de s~rptiseen 8urprtse,maM ~~burs
gaidéapàrdos déductions ri~areaaes.Avant de MMigoer le réaalt&tde ce$ expén~~
vone dire M mot du procédé expérhaen~l tmqtjtoÏ li se sontarrêtés,:
P~c~~ Nos Maîtrea penaèrent tout
d~tbord qu*ït ~!<~t appUq~er !a snbatance à e~péMmenter aa
r
contact de !a. peau, car, matgré Faction de l'or a dietanee,Hsne pouvaient sappnBo« qn'uàe s~atance n~edicament'eMBe pou"
r
COMMËN~AÏRBS
v~agïpA~$ïq~<~n~m~ .dU:'01rpS,id'èdoDÛIaDteétait que i'optum iaisait dormir parce an'ii était en contact
avec !esBcrM~ périphériques. Bientôt il fut ~acilo de constater`qu~ non aeuïement~e contact était inutiïe, maie qu'il présen-
tait des inconvénients. D'abord, t'app~ directe de cer-
taines substances déterminait nno sensation de brûlure et fa~
sait jatordeseris au sujet ainsi, ia noix vomique, expert-'~ëR~ d~c~
~& teta~qu~. Vautre par~ !'action locaïo se trad~~ pat
~ea eont~Mt~nea pour ïea anbetances lea phta ino~natvoa et
~Mquatt faction genorala~ qu~lque~ héditatïone, voiai
.qu.a1t."raC~i.O.'.n.I.n.é.ri. donoé .ê~:q~.l. q.n.e.s. h.81.ta' tl..01.18.v,:.°.l.'oi.!e proc6~ anq~ol~u~ Ont donné tapre~renco r
On ae Mrt d~n na~& M~ aMbstance ïnedicamen*
~n8& à i'6t&t sott~ on Hqnide. Ce nacon eat Mconvept <)'un
pàp~or nonp qtt$ le m~Me ot tn~me ï'pxp~rimûntatenr ne
pt~aaent ~vi&w anbatanco contenue. On pïace !e B<M:on
a~nei p~MÔ en Mg~pd d~no partie q~elconqme du corpe, $une distance ~é 6 on M continïèttea Le p!ua sonyent, le $acon
e&t nutt de la: rnain élu su.Jeto.j nivea~ de ï$
nnqne, dN côte Jbypérea~BÏé comme du c~té aneatMaM. Pa~Ïoia on a pu piroduirè une action en mettant le aacon ea
fogapd~e parties recouvertes; da~M le dos par exemple. On à
pnanaM déterminer cette action en pistant le Nacon sons nnoreiHèp scr ï~quet reposai la tote du s~6t. !t est ntite de
~~e remarquer que le sujet est à son état normal quand on
expérimente i! se trouve dans des conditions on tonte sug-
gestion OBtimpossiMo cjnoziut.
Pa!'&ns on se borne, pour éviter la période d'agacement
proârQtnique,~ toucher du bout du doigt un des points d~
corps que nous avons àppeMsp~ hact points d'inhibition.
Dans ces conditions, ïe sujet ne voit pius, n'entend plus, nesent pas. U ne peut) par conséquent, ae doutef de ce qu'on
tnH~tt ~'est doB.c une ~xceliento condition pour éviter ïa
supercheHC et pouf écarter toute idée de suggestion.On, iaisse le Bacon en regard de la partie du corps que i'ona chois~epen'dantqneïques minutes~ deux ou trois environ, et
bientôt l'action commence.
Un poïnt important à signaler~ c'est qu'en raison des ac-
~ons enargiques et pour ainai dire toxiques que nos maîtres
ont vu parfois se développer. U Jeur a paru prudent d'agio
avec des substances étendues Du reste, quand ~es médica-
ments sont trop aetiis, les actions sont trop brutaïes, et i! est
dMScUe de satsir ï'enchàînement. des phénomènes,
jP«~ Ac~~na <M~KcMaen<~naea~ t<apremfère période de raction est tout a fait banale su~et
COMMENTÂMES?
~ëïM~~iT~~Ml~, tM~nsïMoëtMp~ ~'i11~ ~tl~~t` â8~
déro<~ nh tabïoàu, t~oufs le même pour ta t~eme sabatanoe;
qui rappeMe en partie loa actions physioÏ~ques ett oxiques
Connues, ~u~queUes s~dutent~pourîa p~part de~ gu~b~tana~e~
des pnend~e~ ri~cruvei~ug, qu egtré~tame~a~'
énef~qûes. '7.
du ptmcipai. Amat, dans i& phase prodroanque de ionp action,Ïès substances acttvos fissent; de ce~o matuère banaïe p~f~~ia eUèB pTodmaent des pMn~eMa qMt rappettent t'~Maqu~~hy~Mé, des grands ïnonvemeots et des cont~Mio~ d'&u-
`:
treMM te aommott <m Ïo d~Mpe mtus tous Jce~ P~enooa~Ms se
dia~~ent t do ce~x de l'attaque d'hya~e p~ teatew 6t
loQf evoiaU-ibn même. Ce sont Ïà les ptemiêpeB tea~ioM du
système merwux, variables avec les aujets. Bientôt à ces pho-no~nea saM catuctère, auccèdent des act)6nB Bp~ci~q~ea q~eni le 8~6~, ni l'oxp~mèn~ûur né peuvent i~~ va ~r, Ce
Mn~ceneB q~ii est imppr~ntde dé~ dé tou`t oe y eat
àcc~~e etquô nous~noDa ~i~M enpaa~d$m~t en revue les principaux grûupM phy8t<Mog)Lque8 des
tnëdïcataenta.~
~e 7f. –H importe de dire que cette &~ deu..a.übs-
tan<~a ïn~dteamenteua&s et toxiquea & dia~eë a pu $trë cons-
tatée choK un certain nombre de personnes, et M «n. n'a pasto~durs obtenu dès effets aussi nets sur toutes, onpeutdiiM
que toutes ont été in~uencées. y
Page- 7~ D&ns tous ces pnenômènea que nous venoM
d*~ud~er ra~pidement, MM. Bourru et Burot distinguent des
actions psychiques ~ai consistent en haHacinatioas très va'-riàMes et probaMeNMnt spéciales au s~ët, et dM aettona
phyMaues, sotnattqu~ d<on~ les principales sont !a saRva-
UOB, M vomissement. les contracitons intestinales, ~tocnu~
ment, le b&iHemént, le sommei!, là sueur~ titubat~n àtcoo'-
~Uque)0tc.etc.Ce sont ces dermeres ~ani~stationsqu'i!s së~~ attaishoee.~
& constater rigoureusement et qui paraissent au-dessus de
toute contestation, car eiles déBent toute sliperchene.
.P~ Tels sont les &its observes et diacutes, Est~iÏ
pOBStMe d'en donner une expïi<~tMn?!M!M. Bourra et Burot
se ({e~ndeni d'avoir one opinion arrête~, Mon Qu'ils aient ~n''
vii~ge tes principales théories qui peuvent être invoquées et
qui ''Ont &u nombre de trois 1~ ~a tnéorie de !a
2~i.ont théo.rie dën '~i~rat~~on;g: `' ~~v L~vhéorre ~de ~a ;~oraé–8" La théorie des ~~a~MM. ~~Ï~a théorie de !a~r<<&
~~6<~e ~o'~<e où[ pÏQtot du c~e~ ~w~MC.. v
'là théor~~ë ta~~ y en étstit réservée, est d!
C9MMENTAÏRES
Ac~e A admettre ~esf éMe pourtant qui & ~umi les princi~pales o~e~tiQnsq~pnpe~
\e~è~e~oat.< ,<
/~6 TDf~ett~me ~ett~n. On o~ectee)~~ JR û<M w~ ~o< ~ow~C~M~ 49~ ~<MM!~o~~<? F~ ~tM% o~~o~~ fA~~M'f~
MM~OM~~a~WO~Cette réae~OB~qûte~tceHéqu! vient ia pr6mi&M à reap~t,
ne p~t étM eoMidêr~e comm~ nne oMM~oo, dane rigno-TMcepd nous Mm~~s da mo~e~d~
fext~iea~ Si I~s imédicantenta agt9Mnt p~ sa~ation, c~n
eat MOtM d'en or~9 tout no~veem, car on prodmt des
e~ets sans pa~e et même saM pensëe~ pnMqn'il était impos-aiM$ pMmior la&petimentateup de penser an taMeac très
coïNtp~o qm âUa!t se doMU~. E& admettant JapossibiMte
de ptoduire dtez nn snjetdes Mjafgostioms mentaïes, et en état
de veUIe, en~e ~uM! que ndée qui doit pMser dans îe
cerveau du a~ete~tepT~aMement chez ceM~ qui fait Ïa
"'<!Uggestion. ~J~
P~ 7~. Si ïèeeujetB sont des antomatea bien montôa,des at~ïnaux aavànts bien cessés, comment eMMquer que Ïes
ppemie~sessa~ aient été les plus briHants? ÏM ne sontpas
poiftectionnés par rentraînom&nt au contraire, leur conditton
physique s'eat modtRée, etIeurimpreesionnabHité estdevenue
.-moin<M'e~
Pour toMtes cea raMons, il nous semMe que là présomption
de sn~estion doit être 4caï!tée.
Lathéonedos~<~ d~â miao au jour parM.Vigou-
roux/ pour expliquer l'action do raunant, peut être aussi dis-
catéX. et- approP~i~e r. ,1'.a.tio.n.dl.G.I.aura. aut. '.p"e.iUt.&tl'e.'8.11'881.d.is-cutée et appropriée a ees~M~ elle paraît bien insn~-
~ante. M. Vigrouronx, lui-même, avoue que cotte idée de
Ytbpatïons nous oRre un moyen de comparaison ou do répre-
Mtïtatton schématique~ mais non une exj'Hcation il ajoute
que, dana l'ëtat actuel de la science, ce n'est rion expliquerque de dire d'un phénomène qu'il est do nature vibratoire, car
tout est vibratoire.
EnRn, ~reate une derm&re théorie, c'est celle de tà~bfce
~e~~e ~ûM~ développée par M. Barety, de Nice, en
1881. L'idée de l'extépioraMon de Faction nerveuse offre de
puissa~es analogies avec certains faite physiques bien connua.
Une boule d'eau chaude rayonne de là chaleur, l'aimant a ~n
champ ma~ne~que. La force àccummiee dans ces appareils
rayonne au <!ëla, et les corps qui se trouvent dana un rayo&
w
dêteN~ine auMsse~ soa Mt~n. 'U est IWM q~e ? ta: Ï'OM~r
nerveusetayonnanteeBtsbup~nne~ v ~on, éX18teA~8t"lo.)n'"
d'et~detNontree. Matait estadé Monver directeB~ent ï'exiatence de l'ôtner, du chaïnp m&
gne~que, qn'U ëaf dt~~è aux p~yMologts~ma&teredK'ecte le c~amp nerveux hMm&in~O~ aoup~oone
gnetiquea a distance, con$t&ta.nt queie fer place dans une
zoM détermia~ oat ~tirc. Qo m~e, s'U e<!(! bte~ ~taM
q~M B~taoce a~t à diat&nûo a~r ï& corps hu~ <~st
qu~èx~teq~q~e~~e~ puisaeS~ unprea&1o~é.. iaet~~w
zoM t~presM~nnaMo ~e ,:q~e;p'~ :,J.'$"Q9",diMona ~6 BHpexdMoN des ~ncib~s NOrv~s~ ~pM't~li~
aux~y~iqnos. DÂaa ces c~~ittQi~
ménts agisM~tâdM~ncea'expKq~ges di~otemént d~à MMzpn$ ne~eHs~ q~'ila ïmppépa~nne~~
d'Bt~mm&nt doa àc~s phyaio!o~qMS Bp~c~d'ogre nwvèn%. Lea a~bata-nc~a agK'a~nt diat&~cjB; Mt~!t€à p~dre, d'HM fa~n an~g~e~à M~ des aimants, q~a~
tto~n~~ pM un~ chatRpde forces o!t champ magnottq~ eo qmtest ac~9nn&M'& p&r eux. faction est Hmiteo à une cortat~dta~ncc pour l'fumant comme pour l~B aabs~nc~s miâdt~
m~nteuM~ M. ÈMmû ~<mg, d~ Gen~ o, ~cnyMt d~ e~ ~888~ <
qa<a ~es tn&n!fest&tiûBL9 a~ MnguUèrentent v&ri~s, M sonv~ v.obachre?, ~uxquoHM do~$nt H~u lea a hons a~~ B soB~
Ïoin d'être expUquées~t portent: pMfçM & admette ractMndo ~c~ i~connuoe deB phyaïcMna ~ôute &vec Mi~n r
tont état de choaea< on ~t comm~ocop p&r ~terminer lea"
cir~j~~ncea phvs~qaea d&na lesqu~~éa Bu p~sent~n~~`m&ata.ttOM. L&science ppa~ttYC, dut an~ears ce j~dt~oux
oba~rv~tear, ne ni,e ~n &uc~o mamèco t'exta~enc~ po~tbjtp
danar~vera de f~p~ encore in~ ro~i~ ~~e nè..po~r~t2.
app'Niler que aur celtett qm on~ é~ dûmeo~ conatàteea. Sa~a<'
donto, lecitamp do n~cpnnu est imm~na~e~nptta dévoua;aaptMf avec ardeur A d~nonve~c~~ ,PI1';¡u~.tr~YJll,;sér~nx et méthodique. La.vibr&tMn de c'er~ioa corps aar
champ de Myonnementaorapeut-~t~ ianL jo~r demon~poo.Cette theonoeatcaUe à ïaquoMe tes autours somNent don-
ner ~prefé~nce/toat en deci&ra~ntq~eUen'e~tqa~~ exp~-catton dfat<!entë qui Deat être aceeptée, ~nt que les faits ne
ïni eeron~ pas contratre~; eU~ & ravanta~e de donner une cet"taine dtMc~dn aux JLdëes et d'emp~he'* certains esprtts d~
co~idereF ~s ~aitsnpu veaux POïnme rôtevant jE~talement du
surnatu~é~~unMïve~ëux. 0~ de~~its phy~-
qu~quë~ Bou~ et Purot se rattac~
O~M~Et~TAïR~
c'est ? <s oapérent trow~p Ïfi toi <~a phéaorn~es qu'Ha
iQuoi aoit, au point de vue médical, ~8
cons~qQMceB pr&ti~u~ dé ces experiMces~uveHes sontd'~ne tr~s gpande impM'tMce. 0~ pent BO demander d'abord
~m~ont c~B poraoone~ si i~pres~io~~ ëxtéH~romont,peMvont vivre dapa Jo monde, entourées d6 aubveN-tioa~ qui
~O~ ~aa~ te ar~e~ üe ~~réa, on
Jeavoit:BeeotupùBor~n~enredevM&parteteytMrit~
'< i~vemen~~ ce; qui ;ût le\J.,r.nuir.e.:>"
h\J'<M~ ~~ntale;est ~n
gai~anppïa~, d~Ïe.ctnsadon par in-nuëa<?~, qui nous
j)araî~ cohstitner une démoH~tMtion
exp~~ntaïe d~ ,de.;n~tre /tlié~r~ê: 4. J~cbnÏ&gM m~rate~e~~ ainsi que ae plusieurs
.d~~oposi~
ëp~~e qu'eHe pe peut
~~qu~ ~e~;~ubstanee~c:~ disita>aicé, .put~Que l~e
~d~e~ma:x~i~esté:es }~ ,$Ub8~à~ees.dil!ÍtaQ~ "pu.lS.que. J~sicteès manifestées par y. n'exist&ieht pas préaïaMe-
~ent chez tes exp~
J~f~
$t Y. ne s'estpas perfectionne par rentraînement,
srson impressionua~ est devenue momdre, <?~
COM~ de' Z'in~lùence c'ëstque,par suite de ~a répetitton des expénencés, t'équihbre
~Iéct~riqüé: d..e.la. ré.pé..'O.' de e.XP.é..r.ten,C..des ~e.qu.,.l!.b..e~Ïectrjquë et rhomogenétté de substance des médMa-
.ments et des étpiïës céréb inHuen~ees ont peMisté,I~rs.~t,d~ .~t~d,e$'ceréb.rales,
(1) 1HBeh~bitode est crëëe toMq«û, ~pï'<ts MBacte aaM00exe~. t&co~péaittoB oMtn!<tMde t~ aubstaocècépébraMe,moditïéopat riaCueaeede cet acte, no retourna pas &t'6tat horm~et que, dos lors, !es e~-
`
meots 4a corps chtmiqae, étendre pat ëetteinaaence, denMUMBt,b!em
qc~ dësunis, à ttn état ?1 qa'Us se fe~mibioent, sbaa la plos l~èreaettdn
(o~ <«w<<t«~M d~t~M'~Mio~), auMi ta~temeptque les vapeuraaontramé-BëMà j'otat Mqo'dopar te pîuateger aba!sseMeàt<tetempëratMfe.
Ï/<~Mit!6deoea ët~naNts conatt~e ~ur tendaBice& atorooomMneretaemaa!f6atepa!*lèpeQchMt&eproduireï'ac~hab!taet Et, comme cette
~a!te, cepe~eKaateattt'&atantptMS pe!aaant qu'est tho~s avMeëehtde<~tMpoait!omdacorps cM~qaehaMtueLPrëe!a~m~ttt pour cette ra!aon que ce compaBécMn)}qQe,exilant on
partie a~aat t~rëpétit~o (te Facte habhael.a'eat ptus etttierem&Ni foymé,
m~saeutemen~ acheva tefmine par cet acte, et ~cHewent, saas tens!oo,I& féaction ôte~tfd-cMmtqtte qui t'engo~re eat, ene-otame, tMaq~ee, iM-paffatte, puisqueaon rMene consiste ptus à créer, ta&issoMlement&tep*
CCM~N'A~S
& un état pïùs ou n~oins pariait e~~rayonnement s'ëata~aiM~
(p~c ~8)~ en lisant Fanaïysë du ?approc~!nent
sexueL
que l'on nomme la force nerveuse rayonnante et, de
jnême que MM. Bourfu et Burot, c'est & ta théonë decette dermëre force que nous donnons Ïà préiêréncemais, amsi, du reste, que ces observateura y::naMsènt, d~e qu'i! existe une %one~ i~:pres= :v
P.alS.8.eJ.1.t,.d.r:q1. \1,d. ex.l.8.e., .UP-e.()'.D~p.e.t.v.I.p. '>'sionnaMe par lés métKcaments qu'eHe rë~rme~
n'est pas expMquerr~ ``.
n'est pas dire comment ï'tmpresMon est proMte. `ït nous semMe que, po~r donner cette êxpïieatMn, u
seratt iRdïspehs&Me de connaîtFe, smon ïa hat~e, du
nïoinslemoded'~ phyélOloglqU~ ,!l.~1J4,t~Y9~d:,'na9t.
Si ce dormer problème n'est pas éncorà résolu~
que ia science & de l'homme une idée & Ï&Ms trop
pettte et trop grande trop petite, en ce sens que, t'isb-taQt de tpua les autres corps, eHe le vott Hmr sur ïesMmÏtes deson eaveloppe maténe~ Qu,~(llP~I~
~~e~CM (~ ~f..C~ ~cc) sur ce)!es d~une petite~o~è rayonnante do son Ruide neryeux trop grande!en eette autre mamére qu'eHe !é conaidère~ pour ~nst
dire, comBae auteur, juge et directeur de Im-'m~ine.I~homme n'est ni
si petit ni si grand il n~ës~ rien etne peut rien par lui-même, mais i~ peut ôtre grand et
trës puissant par son principe vital, qui se cplubnd ave'*
mtjMri'<eM~fëq<t'&t'~&tphyaMegïqae, eUè devr~t eogenarw ~ti~e-.CMBt'
Si rh~J~tad~ est pMMée ce point que aoa e~M~Mséchim~tt~NoeaMto~<MMtAfM pr~a ~ntaet. Mest évident que réaction est &p$u
-pr&t.noUe.Uae~MéqaenMn&ttM'eHe de l'tMpM'&ottcnda Iap4aet!oBestraS!aiï*
bMasoatentde I&Ma~t!on qu'aiJû dôtermiae. Ptoa la rëaet!on est tntpar-&ite, meinaeat v~ Mnaat!on ût, torsque la ~éM~on «at &pM pfèanutte, Me~Mt domôtne d0t t& aensatbn. r.
C'est aina! que l'abafa, qui engendre l'habitude, eeaduit &la e~etA etpeut jtMEMM~les eenMttions, &ce peïnt qu'eneacMaënt presque d'êtrepeftMa. w'
COMMENTAIRES 83
celu' de l'univers, d'autant phïs qu'il en connaît mieux
et en observe plus stNctement~
Pour l'homme, pas plus que pour l'animal, il n'existeaucun
Rmde 8péc~ ~nl~~e .,dans.l~en,v~loppe de
chaque être ou rayonnant une petite distance de
"celle-ci~ r
.J~.aeule~etimponderaMerayonnéentre tous tea atôïnesr tous Ïê~ ~r~qu'eHecree/an~eetdi~
Sa zone est iRunie et sea ïn anMestatMns vaMect & !'ïn-
Rni, comme tes atomes, ies c~rps, les espaces dont eïïe
pren~~chiM~ !es fOMnes,
C'est son rayonnement qm nous permet de nous
transporter mstantanement~jo~~ jceM~, sur tous tes
points de t'UMvei's dont nous avons ïa pïus légère no-
~~on~f~ ,'j(~tte essence vit~ :est.l~ fore.t; ;,hysiq~e,
Fanent natu~ que la science nomme électricité, nuide
~électrique.Maïs, e~même, ï~ n'existe pas en tant que
ibrce ou essence spéciale, ~e ~c~e~ d~<c co~ CM ~OM-
~C~ COM~~fM, ~eCO~MM~, ~COW-
jco~ ~~c<
Et !é prmeipè de ces courants ou mouvementcomme de toutes choses, c'est ta fiorceinconnue dé
M. Emne Yun~ la force unique des physiciens, ie corps
simp!e unique des chimistes, la nature médicatrice denotre faculté, l'absolu des philosophes, le champ im-
mense & la GOnnais~ance duquel nous devons, dit
M. Yung, aspirer avec ardeur, c'est le sontRe ou esprit
muni, qui se joue de notre aveugïement, en faisant sonw
entrée dans renseignement supérieur, au moment où
nous voulons l'excfure de l'enseignement primaire;
0'*Mta!nS!q<tel'hMMwe ao perCec~onoe, grandit ~aîloment, commea~notton do temMUMtntelHgeote.de i'abaota. de Dieu ou rinan!.
Matantova. q<tedétendra la eoc<ët4~M~!se, qui veatpef~M Mtiôfe.ment cette notton?
0<~ËNTA~
ï
~4: ,OQMMRN'J]~IRES'
y
·,
Y
r' n,
rr
,r ·
L'actif de t'électr~tté ~tant instantanée et~~
sation p~r tûfïuence, médiate ou imm~ >te.q~~r".Bous l~ons exposée/pouvant, en absence de! to~
'<6'ee''ë~n~~camente & distapce~ Nous so~e~ au ju~mént du
monde scientiNque et phiiosophiq ;cétt~ expKcatïOa t
Suivit réxempïèqu~n~et dont les pô!es sont const~és par un corv~a~ par
une jp~c t'hys~érique et ïc méd~~~rmen~ ,IÍ1~pil.et:$.~j~~
fiuencént: `mrutûellemérit, é'est~irdi°re r t~nd~nt, v:y~r u~NNencènt n~utueMe~ c'es~dtpe ~ndent, par~
ecnange contïnuel de NuM~ &sc~ URe.jMtbst&ïice homogène. ~<
A run des pôles, !è M~~ ,.de'rby8~ei;qU,e.
décompose sa substance cérébraïe et en transpose Itescéments redïuts & Fêtât de Ruide, au médicàatent ou &
~~y; où Ïo courant pecomposant les recoaiM~
.&~tatmetaïHqu~.(i).A l'autre pôïe/ïe courant centnÏuge da médtcaïn~t
.A'.l'.a..u..t.re.PÕ.le.1. dëdoià Poo e 'Ce~ imn7te .d..U.D16.d.¡.,ca.m.e..ix.'t.ou de ~o~~ <o~ decooïpose ce métaï ou te medica*
ment et en trausporte Ïés élémeh~ ]~44ùità âr'.1'i~tai; dc
'Mde,.au'~e~au'.de~hysténque.
Ceïm-ci n'ayant pas ïa &)rce de se ïes asstmUer, c?est"
a-dire de ie~ recoïiMbiner à rétat~e substance c6rebràîe)ees éïeïnénts se recomposent à~M :~étatr;: de
substance Métallique ou médicamenteuse, dont ta pré-sence môdi8e ïa compositMn chtmïque de renoéphaïe
ët~ par suite, ses propriétés ::fax~ctioxig~:~phy.sio~to~i~..r
ques, qui hé ~ont plus humâmes, qui sont devenues
animâtes, végétaïes ou mmérates, selon ïana~ :ir
~pôîe'dominant< -i'
Si cette expMcation représentaitsubstances à dMtance serait de !a diétectrolyse pnysio-
~) C'est àiBa!qaej<aSQb~aMm$~o<MMM ,to~¡qGe,a,lt, s~ad9Mpwd~,comtneled<t~.P~oa.
(~~ENTA<RÉS <?
?
!og~que(<) et, par leur beHe découverte, MM. Bourru<et~urot &u~en~ !a gloire d'avoir posé ï& base d'uue
nouveMe doctrine physiologique.Htais comment démontrer expérimenta~ment que
l'a~ton des médicaments & distance est de nature élec-
Ïn~ue?
SHa b~uïe de sureau et raiguiUe aÏmantée ne don-
~nt'pa~~e~~démonstrabtiM~peut~
ea provoquMtt les phénomènes, alternativement, dans
une atatosphërè sëche, nve~ un Racon spherique, recou-
~pt d~e énveÏoppë~M~ et dans une atmosphère
humide, avjec un naeon comque, dont renveloppeseraithonn~ ,~on:~uct1"ÎceL Je serait présenté, dans le
premier cas, &des points du corps dépourvus de pôitsou de cheveux, et, dans le second, & des points qui en
seraient~ïus pu mo~ y
r.5:'.5..
M. Berjon sedemande co~MM~~
~M~ ~~w<c wto~e, ~~«~ de
~ce~ jpc~~ ~/?M~tc~ ~M~, dit-ii,
f<~ y ~e~~e ~e ~r~, o~ ~o~ CM Fe~o~~M co~-
~c?* ?? vie Ajp~ e~~e~ ~~MC~c~eM~
~~c~e~~y'M~~Mais, en Féatité, ces ôtresne vivent pas de la vie hu-
maine, puisqu'ils n'ont plus ïe~ir libre arbitre, puisqu~tssont irresponsaMes, ïnçpnscients (2), puisque les ïnani-
~ation~ de leur existence ne sont plus que ceUès d'un
miMeu qui les dom~~ et dont, p~~OM-
~ë~ ($), en denors des expériences, Ïa variété des élé-
(t) ÀteM~ Mon qu'on ah po diM, ï& dMlectrotyse de M. Bronde!.
d'Alger, ne aieMit pMMorte, et lea maïadea de cet iémtnemtpraMcjteàM'orraient encere iat dev~r ~(taMta.; la cattse d'errear, constate tM'
'poQfrai.e. ncare1~devolr 1.. 8aDt6¿la. caUSé. d. !'l"Nur,C.oDa.ta.M Beaamet! daaa t'expérienee de rtt6p~tal C<pMo,ne pro~v~t BmMe-mMtqoatea4Mtnentade&d<tmxp6tea n'ont paa traveMé etiaBaencéletnatade, bien qu'MCMnphénomène n~t xnantMsM~MNement i'aetten <e
''c~pMa&ge.(~)L'état tneonBcientet dé~rtnin~ par rouvertarè des coorapts entre
t'âmëotUMpartiedeameNadesdeÏavtederetatïen.f~LeptMaaeavent et non paet<Md<Mtrs,car U eat prûbaMe que Ïea
oHeeade rea matadessoat déterminées par riMNnenoedea eMmenta nou-veaux de teMrMMteu.
(~MENrÂÏRES~6
ments ainsi que rhaMtude néutraMsent~ en partie, Fi~fluence et, par ce M, détermine un équilibre inatanle,
Aussi pensons-nous <què loin de se créer 'uhe'.v~e-'a'
part, ces sujets, comme tous ceux éteints <ie mala~e~
chroniques $t, surtout, de névroses, devraient che~herjc!ans les voyages, dans un changement û'équent et une
,d~mdJ~.JI.Y.Jl~.1f! ~J,P.i.~ë' ~¡j~A.h. ~«.l~. tJ.rli~q.e.f". .t 'J'.~negrande var~ aesè1.~eD~ ,ue "eu:r:¡l e~<ell~u'eut:
nourriture, une niodincatton m~tacMmïqné de ïeur
substance cérébrate et, cocoïne conséquence~ la force dedominer, dé s'assïmiler tes choses qui déterminent leurs
actes et sensations pathoïogtques.
Lejonrna! 1.pl.~Jnl~reMon des phénomènes de Rpche~~t ~rmmait sc'n
articïeparcett~rénëxMn:< ËhRn, ïà Découverte de MM. Bourru et Burot est
grosse de conséquences dans !e domaine de ïa phy-B sioïogie et delà psychologie humaines, et il est tm-
posstbie de prévoir, dès maintenant, tes fruits qu'eltet pourra donner.
Nous partageons entierententcet~rhomme et Ï'untvers arment un tout indivisibie, et, !e
principe vital de Ttm étant celui de Fautre, la vraie
physiologie humaine doit être la vraie physiologie uni-''vèrselle.
Alors, co~~te une saine notion de
rhomme devrait nous conduire & une saine notion de
TinMni.
Et si, comme Faction médicamenteuse à distance, )a
suggestion mentale est un phénomène de galvanoplas-tie, de diélectrolyse physiologique, si, comnae l'aHtrme
M. Pasteur et comme le pensent bien d'autres, la notton
de rinBni doit avoir, dans la vie des peuples, des con-
séquences incalculables, la découverte de Rochefort
peut être le principe d'une modincàtion profonde de
rexistence humaine d*un véritable cataclysme religieux,
philosophique, politique et social.
OM~ANS. ÏMMHMBBtB OBOR&B8 MïCHAU ET C'
Or~Ans. Imp. GËOB&R5 MtCHAU et L-
à la Librairie J.-B. BAILMÈïM et Fils
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.M. t3"utru et thnct. !*a)!s. tf~'j. ~r. tn-ft", pa~ci!. :t\cc
«'pku~heshf'ts texte.
< At.). ~t /<< ~cttstdctcc sous k pc~m de vuc pAthf<-
!<<quc,ph)!csnph)quc. htstcuquc ctjud}Ct:U)'e.~v<'t.in- t~ <
('o.t.R~ttH. ilAt~Wt.' t'M~f.sMR'. exposa des phcnft-
mcncs < Serves p~ndam !c sommut! novcux p<o\f'quc, :Ut
ponude vue dttu<.}uc. ~ch<'to~~{uc. thctap~utt~ttc et mu-
dtc~ttt. :t\'<c n'! tcsun~ ht~h't'iquc du tna~nettsme anh~at.
P:u't~. !~t5. t \r~ in-t". 'csus de .x' pa~cs avec tt~tn'c*<
ttORt)0'< (J.-K.-H. 7'r.u'~ ~rf~<M/tt/ .~tt.'c/Wt't/f et tM.
~/<7~'w< procède d'une t<«t'odu< tton pat M. A. Conut. tncm*
~rc de t'tnstimt. pr<'t'csscu!' de ph\~uc :t !'Hco!c pohtcch))!-
~uc.v<'t.!tt-enscmh{ct,?~:pa:.fc-.a\'C(.p!.<t~t<i~.`` ·
!MMOKt). 7'J~t' /'t\7/< .ft. tn,t~tt'~ ~M .<Wt; M~'t't't.'MA'.
) v<t!. ~t. u)-~dc xxn'-t.o pn~c.t mec ))< {t~m'es cxrt"nn< s.;
L)!Y&M~ ~E. 7'rj</< ~~Mt~MC J\<! tM.ff<v Jf Lt M)OC/<< <{-
Hf'r.V<t'.m-d<j'~<'p:~c~ t<
Roh~nï. ~fc/r~~t. c/ t-t.t' <Mt. .s< /t'Kt.t~M~
~<< .ï/!f?M.?~. a~cc un pi'ramm~ t'c!atit an snmnattihuhsmc
;t)'tk!ctou!'na~!tctit{ue.t\n-H. 6 ·
SALVKRTH. ~C~ ~tt'~t.'t'X ~t. Ot: /<.f. .nr f.!W.~f(.
/J:< < ~f!'r.?c~t. '0ts~tuc cdtUutt, pt'cdcc d'une
tnt<duct!M< par t~nu!u LtTTtu~. v<'t.~i<UKttn'dc5?'jpa~cs,
;tvc<: un pw'ait. .fo
\'uts<s (Au~. L~ (.t'~nc.v ~~r w.!Lï.~t.< ~toM~tY~' et
sur !c~ tnat.KUcsnci'vcusc". t'aris. t~, t tn-:}" de pa~e~
avec phut<ap!uc~ct!i~u)'c't. !5
ON TROUVE