Le qua,tial, de J . Creleoti, . - La point, dela Croisette, si f,iquc,n-et visitée, est entrain de devenir l' un des beaux quartiers deCannes.

Les étrangers qui n 'étaient pas , revenusde quelque temps, marquent à ce sujet leurloyeux étonnement . Un observatoire fort

a situé à l' extrémité de c tte pointe.It

Iceest transformée cri tapis de ver

dure, harmonieusement dessiné, où poussentquelquea palmiers. du plus riant aspect . Ilv a certes beaucoup à faire encore pou,l'embellissement de 1 . Croisette et 1. cou,-modité de es habitants.

Tout viendra progressivement.

Victime du wa-il . - Le no--é BosieliHugo, manoeuvre à la Compagnie du Gaz,s 'est fait, hier, une contusion à la j ambc, enpoussant un vagonet, qui lui occoulionnera,une incapacité de travail de 12 à 15 joursenviron .

ai

Accideni et, eoilure. - Un cheval attel é àune prolonge, s ' est abattu, hier matin, a i I

heures et demie, près de l'octroi du Four-à-chaux, route de Grasse . En tombant, Il s 'estblessé aux jambes de devant, mais les trois

Mp normes qu

.1 se trou-ient sur le véhicule,

nt eu, heureusement, aucun mal. dp

SE" SATI0~'Nin~ ! -Nous désigirens aujour-d 'hui la maison à laquelle nous avons faitillusion dans notre chronique d' hier et d 'a-varit-hiur.

Il s'agit de la liquidation des magasins denouveautés A il 7 -isse~and, o3, rue d'Antibesà cannes.

En effet, cette importante maison, dontle bail qui avait été contracté pour -5 ansn ' est pas jcnouvrlé, pirépar, Ilcmr mardi ' , -courant, une grande liquidation qui

nede-

rera que quelques semaines.Nous Il . .. ons affirmer que tout Y seï,

sacrifié.

Les cocherg de mal. - Le banquet des co-chers de nuit qui réunissait is coii,~vc,, .tu lieu hier, à midi, dans un bar (le la rue dula Gare. Beaucoup d'entrain et joyeuse,chanson,.

WIll par )&tic M . Sian v . N'ram,sk\, .jeune étrangcic diploiW c i i, rou des jardinsil, étagé. l~leçoi, du 9 he'l- du -tin7 heures du soir .

4aob

lit«-Ien~zLa, -ci-, -I)tenu à la

aux ull ,l VOTRE-1) .l l/E e , t de ce-qui font époq-

Comment aur'it-il pu eu et,, ilot'écilen

d n,qui sortent chaque jour de cette mai- ?

Avions—, ra-n de duc que ,tt~LIQUII)ATION pas „, fr-i , tci-ccommerciale ; comme il en né (baque jour,aussi voyons-nous avec regret la fil, d '

"il'-tu et unique LIQUIDATIDN Pour d-n-getal de

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- j -, J'clic, , lent d , ."ét” àpr-tant où il ~e disposait à paroi, le nomméVasonc Charles, .'lgé de 22 ans sujet itali e n,domicilié 1, eu vertu d'ou . .a.-car d'amen ^ r décerné contre lui par le juged 'instruction de Draguignan, --ur escronue-rie ou ab- de confiance à 1'tude de fauxpoids sur la quantité de la marchandise Va-.,eue qui ecut en . lieu, quelques heure.s_ culement dane, notre ville a été cueilli aumoment où il , croyait en sûreté '

il sera déf l ré au Parquet de C.ra~se pouiêtre conduit ensuite à 1 )ragoignan.

MANDELIEUFét, d, 1,1

lelébré, lu,

et _,4 a,., il ~uo5, .,en, lan .vu, d e M, Guize, ai,, de M-dc

lieu.Samedi 22 avril lle-5, à 8 Ile-11 du soir,

salves d'artillerie, feu de joir . le. Ii .~Ic

. ..flambeau- .

à ,, heurt,, de maintvermouth d'honneur, distribution des cocar-des . - A ` heure, de PaInè,-mid~ Giandb a l populaire - A 6 heures farando l e m au-

A ~~ heures du et.

du bal

jusq u'à Il . du onalmLurdi 24 avril . à 1) bon- du matin con-

,cors de boules bl~ch", le, Ilcil , 4 11 Il etla moitié des mises ; 2e prix, 1%lotr e Moitié,le,

Le, mises s- ot fixé" à 2 fi ' Par j"'e'iConcours de boules à la muette. roservé auxjeunes gens du pays ayant moins de quinzeans, ler ori%, 2o frant,s ; 2e prix, la moitié desnoles,

mise est de . fi . Par joueur . - A 2 lie.-de éprise du bal - - à 4 h :

cou cours de chant, console il Il Cll ~Ill ' OD-nette I o fn - Courses d'âtac . prix uni 'ne l.

fr. - "Mat de cocagne. - Marmites . - Troissauts. - jeux divers- A 8 heures du soir:re%rise du bal jusqu'à minuit.

s'il . - le, étrange,, Sent p,é,,,-nus que l'express arrivant à Cannes à i I Il.% du soir s'arrêtera à la Napoule le diman-

, et , , lundi.La jeunesse réservera le meilleur accueuil

aux étrangers ui voudront bien honorer laféoc, de le ., présence.

( „,iiiission de la ~éÉe . - Pré~idènt, For-gès Augu

'te ;v 1,e-p~éideut, El-us Naou,;

trésorier, Giraudy Aimé ; secrétaire, Aimarjo-ph.

(

d,, j,,,~ .- G. B-1,Le bal sera éclaire à l'acétylène

Un incendie qui attrait pu avoir de gravesconséquences, S' est déclaré, hier, 18 ducourant, dans la propriété de M . Prochietto,à proximité de la propriété de NI . Robaudy.Alimenté par les immondices et activé parune légère brise, le sinistre commen~ait à.Prendre des proportions inquiétantes quanddes hommes travaillant dans le domaine etaccourus en toute hâte ont pu s' en rendremaitrrs.

Nous ne saurions trop recommander auxvisiteurs de se montrer plus prudents et deprendre des précautions en allumant leurscigarettes . Les conséquences de leur impru-derce peuvent être très graves.

Les Sangliers dans le Var

Une battue aux ~angliers organisée parun groupé de chasseurs de Brignoles et duV .I, a ce lieu au quartier des Quatre-Te~r-me,, avec

1es meutes de M .M . Sauve, du

V~,I et Grisolle . de Brignoles.Un -Iitaire de 85 kilos a été abattu par

M . Joseph Finaud, de, BrionolesNos intrépides nentreds sont rentrés tout

joveux de leur aubaine et ~u sont donné ren-dez-% nu, pour un de ces jours . A nions quememercredi dernier, dans le talé id q.a,t,e,,trci, marcassin, étaient tombés sous la dentd'un des intrépides chiens . No, félicitations.

LÀ MISSION 1ILITAIRE DU PÉROU

Le ministre de la Guerre vient de déclin-dcr -x généraux commandants de corps

de le,

pou, la, un , ,n en mi-Iit~tirc française du Pérou, des propositions

il . adjudant de caval-, et tribri~-a(lier maître maréchal ferrant de . la mê-me arme . tous deux Icngagés.

La durit, du contrat avec le gouve rne-ment péruvien scra de trois ans,

apartij: du

i- juillet i~)o ; . La solde annuelle allouce achacun d'eux par le gouvernement pérui iensera du 4, 000 francs, et les frais ci, ovageseront payés à l'aller et au retour. les candi-dats devront erre célibataires, très sérieuxet de bonne conduite.

La mission française dont il s'agit a étéchargée depuis longtemps de l'instructionde Farmée pérovirmie. Elle avait d'abord àsa tète le colonel Clément . comme sous-chefde j'état-major et qui rentra en France cil

Il il été remplacé par le colonel ?? g,v,en q-ilité de directeur de I'Ecoic militairede assisté d'on capitaine d'étz,t-~naj .,,d'u n capital- d' .rtill,iie, de trois lictitu-nants des trois armes et d'un professeur d'es-crime de l'armée française . Le désii du gou--ruinent du Pè- les élu-ments du cette mission qui a déjà mis l'ar-niée péru~ienne sur un bon pied moti,c ladémarche du ministre de la guerre auprèsde tics chefs de corps.

MORT MYSTÉRIEUSE EN VAGON

Plusieurs soldat, de la i4~ section d'état-major, qui avaient passé la journée à lacampagne, arrivaient hier soi ' à ~ I heuresen gare de Sanat-P .ol à Lyma I.r'q~'ils eu-,uni la dculourcu~c surprise devoirl'und 'en-tre eu x Pierre Chabert inerte sur la banquet-lu portant à la tempe une horrible blessure à.quelle il vient de succomber . 0

Ilse Perd

en cej,,t,i,es sur le, . . . se, de cette morttry,tén . . ..

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CONTES PROYERÇAUX

ILER LENW3110

Notre confrère la leune Provence dont Pi-ni t iati ,e mérite ton, les encouragements pu-blI, j'article suivant:

Ma ve' i. ., ra"è Fi .. . . dou gros mis, vend'agué'n cou de sang, et, ma fisto, l'avié dé-gué 1 Urousaiuen, bèn sougnado, aco s'es leu

bènpassa. . . poudën un pau la galejà.

Figuras-vous que. dimar, de la semano pas-,ado, la bravo suquêtano . en fasènt -unmarrai aivso une paisaro u'avié au mi. tan,je , ci ~.,cto, sei trabo, sei caulet, 'un saqutide bellei lentiho que vous tiravon Puc i : s'a

-proche c leu marrandage s'entameno:Quand, vouastrei lentille?Tr,,e se..Trege sou! soue pas doumadoAin! Faudrié bessai vous paga pèr (lue

tel prengoussias!N ~-

_i , ma homme, mai d'habitude,pagara que %, né sou nou saut .

- Lei lentiho de païs . o ; mais pas

aq ue-Io qualita ; vesèl, seule de lelatiho d'Au~~1-gno~ v vènon d'Antibo..- Eh bén ! fai Finoun, que n'avié envelo,

vous en donni douge sou, que tret. ge est unmarrit murle-

èr douge sou,V1~g'uep as'

si couéion bèn, au mens,Vouastrei i,»t&,ho dAuvergne.

Coumo d'lieu . ma belle, couina d'uouAlouro pesas m'en lieu cinq tilo, que

ni .gradort 1La marchanda peso lei lentiho c misé Fi-

nou la touto countènto tourna à Poustau peral-ti senti dira-

- Cumo pensas assaiè Ici lentille.Boule que bouleras, lei lentiho cantavola

belle cansoura dins la pignato v l'aiet écrié fougréu de sauvi embausemavon, ço que fasiédire à Finoun:

(i Es pas estonnant que leu pauvre Esaùligne vendu soun dre d'einat per un plat delentille! N'auriéu blessai, fach autant . >,

E la bravo Finoun si coutagoustavo à j'a-vanço.

Ai las! Quourou lei tristé, éroun dure cou-ma avans de lei bouta centre, senoun de mai.

Pacientè encaro uno bouano ouro c leitourné -pasta Tendre colline de graveto!

Erro furiouso misé Finoun, e seuil gros misflacuejavo 1

- Ah! malau de sort! fi dirai soun fèt àj'auvergnats e. pa, plus tard que demm.

Urousarren qu'avié dins l'arril un potd'anchom, que rendéguè grans service en

L'endémin Ici, poung tout fa, un toupinpien de lentilio mau cuecho dins leu coufin,davalè vers leu marcat e tout dre s'avancé de- 1' .Iihi~-:

- Dig-, la forme! Vouastre orne es pasc.s'aire 1

Nzmi, pé'qué?Es héla daumige, que vouàstrei lentiho

pourrien Il servi de ploumb. Tenès ~Aco di , ènt Il % uejn leu toupir, dins la fau-

Mai, d,quc , us p,e . : si- foi . ?vous sias une guso, une messour,

grero ' une trompo-, uand-pou!- Mai, ma bravo . ..- Tai%as-~-ott~, négo-el ,esque de malur!

Mais, encaro . ..Ai hén rnvejo de vous esciapa moun

toupin sus lou mour-- Escoutab . bravo fremo. ..Lei gènt s'artoulouravon e risien a slespe-

ta la paur,l Finoun roujo comme un chant-flic p-dié tout.

- Escouti rë~n . gusasso nravias afourtique v(,uàstrei lentille, don tron-de-padiéuno,si couien conclu, d'uoo !

ET-,trn, aviéu -man.Coumo, avias resounLeis uou, ma belle, don mai bouiou don

mai rénon dur : se leu sabias pas aro lou-poes

Lou toulpin

dei man de Finoun eIci gènt 'éstcl .figué,.n, , . . . eu

(oumis,ari menèbre arribè just lier empegaun verbau à la pauvre sucuctain.

F. GARBIER.

Regina Hôtel BeruanconD.

A PROPOS DE M” FAVIER

Notre -frète 1-

publie surMgr. Favier l'anecdote suivante :

Une dépêche de Pékin annonce la mortde Mgr. Fav ter. Le célèbre vicaire apostoliquevient de s'éteindre, à l'âgé de soixante-huitans, au coeur de ce Cëleste-Empire où il avaitpassé les deux tiers de sa vie.

Mgr . Favier était né à Marsannay-la-Côté(Côte-d , Or) ; il avait fait ses études au sé-urinaire de Dijon. Ordonné prêtre, il étaitentré chez les Lazaristes et n'avait pas tardéà s'embarqtier pour la Chine.

jusqu'à ces derniers temps, malgré songe et sa rude vle de missionnaire, Mgr . Fa-

vœr avait gardé la belle allure et l'heureuseinsouciance d'un jeune homme de vingtans

Un de nos amis avait pli l'approcher lorsde son retour à Paris après les tragiques êvé-neroulats de Pékin. Pas plus fatigué qu'auretour d'une promenade au Bois de Boulo-gué. pas plus ému qu'à la suite d'une céré-monie quelconque dans son église cathé-draie, il semblait à peine se souvenir qu'iln'avait échappé à la mort que par un mira-cle imprévu et ne se doutait certainement~as qu'il av ait été admirable et qu'en dehors

e toute sympathie uonf~sionneIIe, ses com-patriotes lui savaient un gré infini du belexemple d'héroïsme qu'il avait donné.

C'est la cigarette à la bouche, en caressantsa longue barbu blanche, avec des rires dansla voix, qu il évoquait les souvenirs de cesiège de neuf semaines où, avec trente fusilstartares, il supporta l'assaut continu de sixmille hommes armés de fusils Mauser et sou-tenus par les canons Krupp de l'armée ré-gohëre . La cathédrale, le Pei-Tang, seuledebout des quatre églises de Pékin et desvingt-six qu'il avait construites dans l'éten-due de sa mission, n'était plus qu'une écu-moire ; trois cents chrétientés sur cinq centsavaient étb rasées de fond en comble ; sixmille néophytes avaient été massacrés.

Mais le brave père Fait - c'est ainsi qu'onJ'appelait familièrement là-bas - n'avait pasperdu sa confiance inébranlable en Dieu.Après sa délivrance, Il avait rapporté triom-phalement, en France, le drapeau aux troiscouleurs qui avait flotté, pendant l'assaut,sur le Pet- rang.

Et il le montrait fièrement à ses visiteurs,en di~ant :

- Voilà lion plus cher trophée. Il n'aPl ., ni forme, il, couleur ; ce n'est pas undrapeau, c'est une plaie ; ma ' is Il est beautout de même, parce que, mu_' aux piresheures de la canonnade et de la fallu, nossoldats n'ont pas désespéré . . . parce que ledrapeau était debout ! ...

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. ep.rMinima :- Il 0- MaXiMa : 20 .5Baromètre d'aujourd'hui 8 h . matin 756 .2

en hausseThermomètre ~ C"t'grade

167 :5Fahrenheit

3 5

RUSSIE ET JÂPON

DERNIÉRES NOUVELLES DE LA MATINtE

TéUgrm~s de mire orr,jp#"ant ParficWiti,

Paris, le ig Avril,8 h . il2durnatIn.

Ex MIANDCIIOURIE

On signale sur le théâtre de la

guerre, une certaine activité du côtédes Japonais, qui, croit-on, opére-

raient une forte concentration envue d'un mouvement important.

-D'autre part, les lignes Russes

semblent se renforcer de jour enj Our.

LA CONŒNTRATIONDES TROUPES RUSSES

On annonce de Tokio, que lestroupes russes concentré> sur la li-gne de Chang-Cheng à Girin et au

Sud, sont estimées à 200.000 horn-mes.

LE RAVITAILLEMENT DE L'ESCADRERUSSE

On annonce, à l'Etat-major de la

Marine, à Saint-Pétersbourg, quepour son ravitaillement l'escadre de

la Baltique, n'a nullement besoin dequitter la haute-mer.

Bulletin Ênaneier

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NpMgs ft à hil

LFs LNCIDENTS DE LIMOGES

Lini?ge3 . — La soirée d'hier aété calme . Le cadavre de Bardeltué, a été transporté à sondomieîle.

Les obsèques auront lieu aujour-d'hui, et les ouvriers s'apprêtent à

faire une imposante manifestasion.La population laborieuse réprouve

les troubbs d'avant-hier.L'état de Faucher, blessi à la té-

te s'améliore.

LE VOYAGE DE M . CLÈMENTEL

`-Paris. —Le ministre des colo-nies fixe son départ pour l'Indo-

Chine, au 6 aoùt.Il partira de Marseille avec le

vice Amiral Fournier. Les grandes

manoeuvres navales devant êtreterminées à cette date.

LE SHAII DE PERSE EN EUROPE

Marienbad . — Le Shah de Perse

est attendu ici le 29 courant, pour

y faire une cure.

L'ASSASSIN DU GRAND-DUC SERGEMoscou .— Le Sénat a condamné,

hier, à la peine de mort Koliaeff,

l'assassin du g-rand-duc Serge de

Russie.

LA GRkVE DES PERROVIERI ITALIENS

Rome .— La grève des chemins de

fer n'est que partielle . Les compa-gnies ont assuré la marche des trains

d'une façon régulière, ce qui, par-tout, a déconcerté les grévistes, qui

ont toute lit population contre eux.On pense que sous peu tout ren-

trera dans l'ordre.

LA CROISIÈRE D'EDOUARD VII

Alger. — Leroi Edouard, en-chantédeson séjour àAlger, va

le prolonger et visiterale dépar-tement de Constantine en faisantroute vers l'Est.

Leu souverainBont visité Blidah

où i18 se sont rendus en automobile.

ils ont déjeuné à l'hôtel.

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