Droit de l'U€ -Lib de Circulation

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Droit de l' U Master 1

07/10/2010

DROIT DE L'UNION EUROPEENE DES LIBERTES DE

CIRCULATIONS

INTRODUCTION

On va traiter des liberts conomiques, la dimension est comme partielle, car nous n'envisagerons pas lesactivits du Conseil de l', ne de la Convention des droits de lhomme, mais nous y seront confront.Il en est de mme de la charte des droits de l'H

Le Conseil de l' ne doit pas tre confondu avec le C de l'U qui est un conseil de ministre rgit par l'article16. Il prend diverse forme en fonction des questions traites. Il y ' a neuf formations, qui runissent lesministres comptents dans le domaine trait. C'est une institution communautaire, il est un organe lgislatif etrglementaire.Ses comptences d'excutions peuvent tre dglues la commissions .Le Conseil est un organe politique par excellence, et qui runit des chefs d'tat et des gouvernements, rgit

par l'art 15 du TU. Ce C donne les impulsions ncessaire au dveloppement de l'U et dfinit les grandesimpulsions.' U a t cre par la pratique a t faite et institutionnalis depuis 1986 l'acte unique .

Libert traits : 1957 T de Rome, jusqu' Lisbonne de 2007 sera trait.

Lgitimit

Source du droit de libert de circulation.

I LEGITIMITE

L' est prsent comme sans frontire. Et la libert de circulation est la base de la construction . Etl'ensemble des liberts on jou un rle moteur. A chaque grand tape il y a eu des avancs en terme de libertde circulations.

A L'importance de la libre circulation dans l'volution de la construction europenne.

1 La libre circulation et la cration de la Communaut t. Eco

Les fondateurs avaient une ambition premire politique, mais la communaut tait conomique.3 tat gnie d' employ par Jean MONNET; Ils considrent que l'objectif immdiat tait la cration d'unmarch commun.Or un march commun ne pouvait se faire qu partir des quatre liberts de circulation :-libre circulations des personnes, marchandises, services et capitaux.

L'ide de supprimer les barrires douanire tait envisage ds 1943, donc en 1957 la signature du T concrtise ces ide de marchs communs.Le considrant 6 du T. dsireux de contribuer grce a une politique de libert commune a une suppressiondes restrictions aux changes.=> Cration d'un espace, d'un march conomique commun pour les Six.

Cela suppose aussi la mobilit des hommes.L'art 3 du T rencontre de ses objectif, (art 26 T du actionnement de l'U) : Communaut comporte unmarch intrieur caractris par l'abolition entre les tats membres des obstacles a la libre circulation des

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marchandises personnes service et capitaux.

A l'poque tous ne peut pas se raliser en un jour, il fallait que la ralisation du march devait treprogressive, de ce faite une priode de transition est prvu de douze ans divis en trois tape de quatreannes. De ce faite au plus tard en 1970 les liberts conomiseurs sont effective, le march commun (uniquede nos jours) fonctionnait.

L'importance de la libre circulation apparait dans la structure mme du T. Deux partie y sont consacr, lepremier titre pour la libert des marchandises et le titre 3 pour la libert des svc personne et K.

2 La libre circulation et l'Acte unique Europen.

1987 entr en vigueur de l'acte unique sign en 1986.En 1986 = constat que le march unique n'est pas encore ralis, des obstacles existe encore et entrave cettelibre circulation.Il Existe 1612 rglement sur la libre circulation des travailleur s'applique, en 1408 scurit social des

travailleur migrant, on ne peut pas dire que rien n'a t fait, mais il y a encore bcp d'obstacle.

Obstacle =Pas d'union montaire, qui ne facilite pas de transaction.Pas de mobilit des personnes indpendantes de celles des travailleurs, libert de circulation des tudiants ouchmeur n'existe pas.Il y a encore des contrles important la frontire.Le plus grand obstacle est la disparit des lgislations nationales.

L'objectif est d'aller plus loin, l'inspiration de l'acte unique doit beaucoup cette impratif de circulation.L'article 8A du T prvoyait que la communaut arrte des mesures destines tablir le march intrieur au

plus tard au 31/121/1992 => Nouvelle priode fixe.

1985 et 1992 prs de 300 textes qui visent le march intrieur sont adopts, sur le fondement de cet article8A => concrtisation de cette volont d'aller en avant.

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TU ou T de Maastricht 1992 comporte des avanc importante en matire de libert de circulations mme sison ambition est de parfaire l' politique.Or l'acte unique voulait faire le march conomique.En 1992 un grand nbr de disposition ont t adopt. La notion de communaut conomique disparat etcde devant l'U, et de Communaut . C'est l'avnement de la notion d'Union et de communaut , on ne

parle plus d'conomie.Disposition concernant la libre circulation :

Coopration en matire de police, justices et affaires intrieur (le troisime pilier l'poque) Art 67et suiv sur le fonctionnement de l'UCela concerne le franchissement des frontires, les conditions d'entre des ressortissant tiers cad

extrieur l'U. Maastricht pose l'union conomique et montaire (l'). Ce la favorise la libre circulation des K et

marchandise. L'avnement de la citoyennet qui fait son apparition dans le trait. Le lien entre citoyennet et

libre circulation article 20 du T sur le fonctionnement de l' : tout citoyens de l'union a le droit decirculer librement dans les tats membres sous rserve des conditions prvue par le trait et lesdispositions prisent pour son application

Le T Maastricht prvoit protection diplomatique des citoyens de l'U n importe o dans le monde auprs desconsulats des autres Etats membres.

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Addition entre l'U a lAssociation de Libre Echange sign en 1992 a bordeaux, et runit les pays de l'U.On crer un espace conomique , cad les liberts existe mais son tendue avec ses pays de l'AEL.Pays de l'AEL = Islande, Norvge et Ninchenchtein. Normalement la suisse fait parti, mais elle n'a pas vouluratifi l'accord sur l'espace conomique donc elle est rest l'cart. Avec ses pays membre nous avons unmarch, et il s'applique avec ses pays. La suisse a un accord spcifique avec l'U.Cet accord consacre entre tous les signataires, le quadruple des liberts : marchandise service K personnes.En contrepartie de cela mme les entreprise or U doivent ouvrir leur procdure du march au entreprise del'U et respecter les rgles de concurrences.

Aprs 1992 T d'Amsterdam.

5 Libre circulation et T d'Amsterdam

Il communautarise, intgre dans le T communautaire ce qui relve du troisime pilier politique de visaimmigration et asile, tout ce qui concerne les ressortissant des Etats tiers ; il consacre la libert de personnes.

Il fait entrer l'accord de Schengen.Pour la rel libert de circulation il ne faut pas faire de contrle du tout, en pour permettre la libert decirculation, les pays externe l'U seront contrl par le pays qui a la frontire avec les pays externe lors del'entr dans l'Europe, et cela permet de ne pas contrler une fois qu'ils sont entr dans l', cela quils soient ou pas.

6 Trait de Nice et le dfit de l'largissement.

Sign le 7 dcembre 2000 et entr en vigueur en 1/12/2003. Son dfit majeur est d'organiser l'largissement.L'largissement mcanique n'est pas sans consquences sur la libert de circulation car de fait l'espace delibert de circulation est largit.10 pays on adhr en 2004 effective en 2004,

Enjeu de l'largissement :Contrairement aux anciennes adhsions il s'agit dune adhsion collective, l'U fait face a l'intgration de 10

pays d'un coup pour la premire fois. Modernisation de leur structure, mais ont des craintes de ne pas pesersuffisamment face a des partenaires historique.Mais cela peut aussi favoriser les dlocalisations dans les pays moins favoris.Il rpond de manire institutionnelle.Vote la majorit qualifi dsormais, plus l'unanimit car sinon risque de blocage.Des Etats n'ont pas de commissaire .

7 Trait de Lisbonne du 13/12/2007

Contexte = T constitutionnelle et suite au refus un nouveaux texte sign le 13/12/2007 par les chefs de

gouvernement, qui s'appel T. de Lisbonne.Il entraine bcp de modification institutionnel

2. 18 membres dsormais dans la commission3. Accroissement du rle confrer aux parlements nationaux.4. Conscration de la charte des droit fondamentaux qui acquirent des validits juridique. Cette

charte a une valeur juridique gale au trait.

Quasi disparition des piliers, tout est dans le trait. Le troisime pilier a disparu. L'U succde et se substitut la communaut . Partout ou les mots communaut sont remplac par Union .T sur l'U cot de cela on a un T sur le fonctionnement de l'U =TFU qui traitent du droit de l'U

Pour les gnrations de futurs on ne parlera plus de communaut.08/10/2010

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B L'IMPORTANCE DE LA LIBRE CIRCULATION A TRAVERS QUELQUESEXEMPLE

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Arrt BOSMAN de 1995 jouer qui souhaite changer de club et il tait en fin de contrat. Il recherchait unnouveau club, et le club de Dunkerk voulait bien l'accueillir. Le contact est tablit avec Dunkerque mais leclub d'origine exigeait une indemnit de transfert, importante. Cette exigence financire est admise par larglementation de l'UEFA qui est priv. M. Bosseman se retrouve donc sans club, Il se pose la question de lalgalit de la libre circulation? Cette exigence d'indemnit est-elle une contrainte la libre circulation? Lacours lui donne raison et remet en cause une rglementation de l'UEFA. La cours juge qu'il s'agit d'uneentrave car il est en fin de contrat et qu'il ne peut pas rejoindre un nouveaux club (a diffrencier avec lesrachats de contrat en cours). => Notion d' entrave non discriminatoire . Le footballeur est salari.ARRET du 10 Mars 2010 Olivier BERNARD : Former a l'olympique lyonnais et a rejoint un autre club, etOL demande une indemnit, et la cours accepte a condition que l'indemnit soit proportionnelle aux couts dela formation.

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Arrt DECKER 21/04/1998 : Le droit communautaire affecte un rglementation publique national descurit social, il s'agit d'un ressortissant luxembourgeois qui demande la caisse d'assurance de luirembourser une paire de lunette avec verre correcteur acheter en Belgique tablit en Belgique. La caisse luirefuse car ces lunettes ont t achetes en Belgique. Cour de justice, se prononce, et condamne la lgislationluxembourgeoise car c'est une entrave a la libre circulation des marchandises. Car en assurant leremboursement que des produits acheter dans l'Etat d'origine et pas dans un autre Etat, cela perturbe lacirculation des marchandises.

II LES SOURCES DU DROIT DE LA LIBRE CIRCULATION

A LES TRAITE ET DROITS DERIVES

Trait =Dans les T importance de la libre circulation.Les objectif sont formul en matire de libre circulation, au sein des art 3 Du TU et 26 T. Fonctionnementde l'U=> rfre aux march intrieur et au 4 liberts.

Libert des marchandises : Art 23 a 31 CAprs Lisbonne art 28 et 37 TFU

Libert des personne 39 48 (wEUR) CEEt 61 69 CEAprs Lisbonne art 45 55 TFU

Etablissement et Prestation Svc 49 55 du TC56 62 TFU

Libert des K 56 a 60 C63 66 TFU. Le ppe est l'interdiction de toutes restrictions aux mouvements de K, entre les Etats membreet les Etats tiers. En ralit cette libert est dj ralise, on note toutefois, que s'agissant de la libert avecles Etats tiers, il existe des restrictions a conditions qu'elles soient adoptes a l'unanimit.

Disposition des Pays et Outre Mers Associ (PTOM) Art 183 186 C et 199 202 TFU, qui concerne lacirculation des marchandises et personnes dans les relations entre les pays membre et associ,Il s'agit des Coll. d'outre Mer Franaise et la nouvelle Caldonie, pour la France il s'agit de Mayotte,

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Polynsie, Nvlle Caldonie, qui bnficie d'un association interne a l'U, mais leur marchandise peuventrentrer librement dans leur territoire mais les marchandise qui entre chez eux peuvent tre contrl. De cefaite ce n'est pas une rciprocit total. Cela vaut aussi pour le ressortissant des personnes des Etats membre,mais non pas les Franais.

Les conventions passes avec les pays tiers :L'espace conomique permet d'largir le champs d'application de cette libre circulation. ACCORD PASS2EAVEC LES PAYS acp Afrique carabe pacifique; accord DE Coton on, fond sur la solidarit communautaireavec le libre accs des produit ACP avec des tarif prfrentiels, ou libre accs, mais pas de rciprocit, c'estun rgime de solidarit. Les ressortissant des ses pays doivent tre accueillie sur une base nondiscriminatoire, cela ne veut pas dire libre accs, mais on ne doit pas faire des diffrences entre les pays ACP

L'accord D'ANKARA Turquie

Le droit driv

S'agit des rglements, adopt par le conseil sur proposition de la commission.Il est obligatoire et immdiatement applicable.Il existe des rglements important, pour la libre circulation des personne art 1612-68 sur la libre circulationdes travailleurs.Rglement, 18/12/2008 exportation des biens culturelles.Directive (Art 249 C) impose des rsultats aux Etats en leurs laissant la libert quand aux moyens, dans undlai fix, avec la transposition de la Directives. La transposition tardive expose l'Etats a un recours enmanquement ses obligations .La directive a t un instrument utilis dans le domaine de la libre circulation, personne 16/12/1996DIRECTIVE DETACHEMENT : concernant le dtachement des travailleurs dans le cadre d'une prestationde services.La directive 2004-38 du 29/04/2004 = droit de sjours des citoyens de l'union et des membres de leur

familles de circuler et de sjourner dans le sige des Etats membres.La directive sur marchandises sont des directives d'harmonisation, on rapproche les droit nationaux, fondsur art 94 95 C 114-115 TFU; et elles ont un objectif commun = faciliter la libre circulation desmarchandises, c'est dire elle rapproche les droit nationaux et supprimes les entraves a cette libre circulation.Si les droit des pays sont trs diffrents, cela ne favorise pas la libert de circulation, car il y a divergence dedroit, or si on rapproche les droit nationaux cela va favoriser la circulation des marchandises. (Directives surle produit dfectueux, directives relatives la vente et garantie de biens de consommations, rglementtechnique pour aliments, ou autres...)

L'ide est de favoriser la libre circulation en agissant en amont pour que le produits se ressemble et cela peutviter le contentieux.

Les destination individuel peuvent avoir des incidences sur les autres personnes.

B LA JURISPRUDENCE

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Le droit de l'U est un droit prtorien par excellence, la cours de justice, dans le domaine de libertconomique, dveloppe une jurisprudence constructive.Cours de Justice Union englobe la Cours de Justice et le Tribunal de Premire Instance.Le Tribunal Premire Instance, est comptente l'origine de faon rsiduel, dans le secteur de laconcurrence, et fonction publique communautaire (plus le cas)

Dsormais le TPI est comptent pour tout les recours en carence (un Etat aurait du agir elle ne l'a pas fait) enannulation d'un acte communautaire ; Dumping (concerne les pays tiers) et la responsabilit contractuelle.Le tribunal peut faire l'objet d'un pourvoi fond sur un moyen de droit, qui arrive devant la Cour de Justice,elle traite le pourvoie, mais ait comptence pour l'examen des renvoie prjudiciel (validit d'une norme, ou

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sur l'interprtation) car la cours a pour mission gnral l'interprtation et l'application du trait.Toute juridiction peut saisir la cours pour interprt le droit communautaire.Le juge national est li par l'arrt de la cours.Arrt 22/06/2010 MELKI : Concernant la compatibilit de la question prioritaire de la constitutionnalit etson articulation par rapport au mcanisme de la question prjudiciel. Question : Est ce que ce mcanisme estcompatible avec la question prjudiciel car dans les libelle de la loi..revoir cette arrt..........C cass laisser entendre que le mcanisme tait contraire au droit de l'U, et la coursJ dit que la question est

valable a condition que le juge nationales puissent saisir a tout moment la Cours de Justice.

2 Les mthodes d'interprtation de la cours

La cours de Justice se singularise par la mthode thologique et systmatique

Systmatique : consiste interprter les rgles dans le cadre de leurs rapports avec l'ensemble de larglementation en tenant compte de leur place et d leur fonction dans le systme juridique communautaire.

Le droit de l'U est un droit autonome et cohrent. Art 25 CE et 30 TFU cette disposition interdit denouveaux droit de douane entre les Etats membre, et la cours dit que cette disposition doit tre interprt eugard l'conomie gnral du T en matire de droit de douanes.La cours n'hsite pas pour insister sur la caractre fondamental de la libre circulation rappeler que l'art 3TU cette disposition est insre dans la premire partie pour insister sur le caractre fondamental de la librecirculation.Arrt SCHIMBERGER 12/06/2003

Mthode tlologique : interprter la norme par rapport au but recherch, ou de la norme communautaire ellemme. Au del des terme utilis, ce qui compte c'est l'intention du lgislateur, du but recherch. Cetteinterprtation permet d'assurer une interprtation dynamique des rgle.

Rgle de l'effet utile : privilgier l'interprtation dont l'effet est le plus grand qui garantie la norme unmaximum d'efficacit, on exclut toute interprtation qui affaiblie son efficacit, sens extensif. L'ide est dedire puisque la norme est le fruit de la volont de son auteur, elle n'a pas vocation demeurer sans effet ouinutile. (Limite des emploi de ladministration publique arrt ZHU SHEN)

Mthode comparatiste : Il faut donner un contenu qui pourra permettre l'application au niveau international,pour cela la dfinition communautaire doit tre donne. On n'hsite pas comparer les normes, c'est pourcela que l'on parle de valeur normative de la cours. Parfois d'un domaine l'autre dans le droitcommunautaire change, (travailleur par exemple change en matire de circulation ou scurit social) ; ce rlede la cours de justice n'est pas toujours biens compris, certains n'hsite pas a parler de gouvernement des

juges ils accusent la CJ d'outrepasser la limites de ses attribution, d'empit sur la responsabilit politique,donc judiciarisassions marqu, et contest par certains.)

3 Les principes gnraux du droit et le droits fondamentaux.

Dans le T. de Rome, il n'y avait pas de rfrence aux droit fondamentaux, il posait simplement l'interdictionde toutes discrimination selon la nationalit. En ralit cela tait du a la dimension essentiellementconomique du T de Rome, et pas d'objectif en matire de protection des droit fondamentaux (libert decirculation de personne vue sous l'angle conomique et non pour la circulation des personnes elle mme).

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14/10/10.

La cour de justice malgr le silence de trait de Rome, a rige des principes gnraux du droit. Dans unpremier temps, la reconnaissance des droit fondamentaux a t l'uvre de la cour de justice. Les droitsfondamentaux font partie intgrante des principes gnraux du droit dont la cour assure le respect. La cour autilise cette formule dans l'arrt cour de justice le 17 dcembre 1970 arrt internationalhandelgesellschaft. La cour de justice affirme donc l'existence de droit fondamentaux, cette affirmationn'allait pas de soit car la cour n'tait pas investi d'un pouvoir rig des PGD.Pour affirmer l'existence de PGD et caractriser les droits fondamentaux particulier la cour a puise dans lesdroits nationaux des tats membres, pour y dceler des PG communs aux droits des tats membres et issue en

particulier des traditions constitutionnelles communes aux tats membres c'est le sens de l'arrt Nold du 14mai 74. Ainsi des principes de scurit juridique, de droit au juge, de confiance lgitime, proportionnalit,respect des droits de la dfense on t affirms par la cour.

La deuxime source d'inspiration rsulte des instrument internationaux comme la convention de sauvegardede libert fondamentale des droits de l'homme du 4 novembre 1950. Ainsi la cour dans un arrt du 18

juin 91 arrt ERT la cour affirme que des mesures incompatibles avec des mesures de DDH et des libertsfondamentales ne peuvent tre admises dans le droit de la communaut, ici c'est l'art 10 de la convention desauvegarde de libert fondamentale des droits de l'homme sur la libert d'expression. Plus elle s'est rfre l'art 6 de la convention de sauvegarde de libert fondamentale des droits de l'homme l'exigence d'un

procs quitable comme dans commission contre France de 1990. elle s'est rfre la non rtro activitdes dispositions pnales par rfrence de l'art 7 de la convention de sauvegarde de libert fondamentale desdroits de l'homme arrt du 10 juillet 84 Rgina, en cho de l'art 8 de la convention elle a reconnu la

protection de la sphre de la vie priv commission contre Allemagne ou Carpenter du 11 juillet 02, danstoute ses dimensions familiales, domicile de la correspondance...Elle s'est rfre la libert syndical art 11 de la convention arrt RUTILI anne 15 octobre 75.

Les auteurs du trait ont consacrs en quelques sorte l'uvre du juge l'occasion des rvision des traits.

L'acte unique europen en 86 va consacrer de manire timide dans son prambule l'uvre du juge car l'acteunique se rfre aux droits fondamentaux consacrs par les constitutions et les lois des tats membres. Lacteunique se rfre aux droits fondamentaux tel que issue la convention de sauvegarde de libert fondamentaledes droits de l'homme, l'AU se rfre aussi la charte sociale europenne.Le trait de Maastricht va faire un pas supplmentaire et consacr de manire directe cette incorporationdes droit fondamentaux, selon l'art F du trait de l'union, l'union respect les droits fondamentaux, tel qu'ilsont garantis par la convention de sauvegarde de libert fondamentale des droits de l'homme et tel qu'ilrsulte des traditions constitutionnelle communes aux tats membres en tant que principe gnraux du droitcommunautaire.Le trait d'Amsterdam poursuit dans cette voie, il reprend l'art F pour devenirl'art 6 du trait sur l'union etajoute un 2 selon lequel l'union est fond sur le principe de libert, de dmocratie, du respect du droit del'homme et des liberts fondamentales, ainsi que de l'tat de droit, principe qui sont communs aux tats

membres. Et le trait d'Amsterdam va galement faire franchir un pas supplmentaire dans la reconnaissancedes droits sociaux fondamentaux, puisque l'art 136 issue du trait d'Amsterdam aujourd'hui art 151TFUE,affirme que la communaut et les tats membres sont conscients des droits sociaux fondamentaux tel queceux noncs dans la charte sociale europenne du 18 octobre 61 Turin et nonc dans la chartecommunautaire des droits sociaux fondamentaux des travailleurs de 1989. Au sein des droits fondamentauxl'accent est mis sur les droits sociaux fondamentaux.D'une certaine manire le trait de Nice du 7 dcembre 00 va poursuivre dans cette voie avec l'adoption dela charte des droits fondamentaux de l'union europenne, cette charte est annexe au trait de Nice mais l'poque elle est sans valeur juridique. Paradoxalement l'adoption de cette charte a mise en lumire des

problmes d'articulations entre le droit de l'union europenne, et le droit issue de la convention desauvegarde de libert fondamentale des droits de l'homme. Une des options possible en 2000 consistait adhrer la convention de sauvegarde de libert fondamentale des droits de l'homme, d'une part la CJ disaitqu'elle se rfre la convention et les textes mmes disaient qu'il respectait les textes issue de laditeconvention. En ralit l'adhsion la convention aurait conduit subordonner la CJ la cour europenne desdroits de l'homme qui est l'organe comptent pour contrler l'application de la convention. En outre


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l'argument officiel tait de dire la communaut n'a pas de comptence gnral pour dicter des rgles enmatire de DDH, un avis rendu par la CJ le 28 mars 96.Le trait de Lisbonne change la donne, car la rfrence la charte des droits fondamentaux tel que issue dutrait de Nice, cette rfrence se double d'une affirmation de la valeur juridique de charte gale au trait.Aujourd'hui la charte est annexe au trait, il a la mme valeur que le traite c'est l'art 6al1 du TUE. Parrapport 2000 c'est une avanc considrable en 2000 elle n'avait pas de valeur juridique aujourd'hui elle en aune. L'adhsion ventuelle de l'union europenne la convention de sauvegarde de libert fondamentale desdroits de l'homme est dsormais envisag comme possible dans le trait art 62 envisage l'adhsion possiblede l'union europenne la convention de sauvegarde de libert fondamentale des droits de l'homme. Cette

possibilit d'adhsion fait que l'union dispose d'une vritable comptence pour adhrer la convention desauvegarde de libert fondamentale des droits de l'homme.

Quel sont les droits protgs par la charte ?La charte compte 54 articles, elle est divise en 5 titres, titre consacr la dignit, libert, l'galit, solidaritet citoyennet.L'art 15 dans le titre 2, relatif la libert professionnelle et au droit de travailler, tant entendu comme la

libert pour tout citoyen de l'union de chercher un emploi. De travailler et de s'tablir ou de fournir desservices dans d'autres tats membres. Cette libert est entendue comme le droit pour toute personnesd'exercer une profession librement choisi ou accepte. En une disposition on a l'ensemble des librescirculations des personnes est brasse.Ce qui est en rapport avec la libre circulation ce sont les droits qui touche la citoyennet, l'art 45 relatif lalibert circulation et de sjour nonce ainsi que tout citoyen de l'union le droit de circuler et de sjournerlibrement sur le territoire des tats membres, et un 2 complte cette disposition, la libert de circulationet de sjour peut tre accord conformment aux trait aux ressortissants de pays tiers qui rside galement

sur le territoire d'un tat membre .Dans la charte il est indiqu quil ny a pas de rserve cela, donc si on prend juste cette disposition il nedevrait pas y avoir de limite.La reconnaissance du caractre fondamental de la libre circulation des citoyens dans le cadre de la charte

confirme si besoin en tait du caractre fondamental de l'ensemble de la libre circulation.

Quel est l'enjeu du caractre fondamental des liberts de circulation?Le premier enjeu est li la hirarchie des normes, l'affirmation du caractre fondamental des libertscirculation confre aux liberts conomiques un rang suprieur dans la hirarchie des normes. Non seulementla validit d'un texte de droit driv peut tre apprci au regard du respect de ces liberts et le non respectdes liberts peut entacher un texte. Ce qui peut tre plus intressant c'est que la confrontation d'une autredisposition du trait avec une disposition des liberts circulation tournerait l'avantage de cette dernire.Un deuxime enjeu est li a l'interprtation on peut considrer que la qualification de fondamentale autoriseune interprtation large et extensive. Cette interprtation large et extensive s'explique par les mthodes utilis

par la CJ (systmatique, tlologique.).Que ce passe t-il en cas de conflit entre les liberts fondamentales et d'autres libert fondamentales?

Les rapports entre ces liberts conomiques et les autre droit fondamentaux suscitent des questions. La CJs'est prononce et sa jurisprudence est incertaine elle semble tantt faire prvaloir d'autre liberts aux libertsconomiques et tantt le contraire.

Les liberts conomiques cdent ?La libert de runion en faveur de l'environnement sembler prvaloir sur la libre circulation desmarchandises un arrt 12 juin 03 Schmid Berger o la cour se prononce sur la conciliation entre la libertsdes marchandises et liberts de runion a un but environnementale. Il s'agissait d'une association de dfensed'environnement qui organisait un rassemblement sur une autoroute en Autriche, ce rassemblement ont tannonc pendant trs longtemps, le blocage tait de 30h. Une autorisation implicite avait t donne par legouvernement autrichien, une socit de transport SB a conteste cette autorisation implicite, la cour estinterroge sur cette situation. La cour va commencer par dire en effet le faite de ne pas interdire cetteinterruption c'est une mesure qui susceptible d'entraver la circulation des marchandises et peut tre condamn

pour entrave la libre circulation, mais dit la cour ses 2 liberts a priori peuvent faire l'objet de limite, il fautdonc trouver un quilibre, la cour dit que les autorits autrichiennes disposaient d'une liberts d'apprciation


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et compte tenu du caractre fondamental de la libert de runion et compte tenu du but poursuivit laprotection de l'environnement les autorit autrichienne ont estim qu'elle n'avait pas d'autre moyen qued'autoriser cela. Dans ces circonstances le faite de ne pas avoir interdit le rassemblement n'est pascondamnable. La libre circulation des marchandises cd devant les droit fondamentaux des runions et del'environnement.Dans un arrt OMEGA du 14 octobre 04, la cour a fait primer aux principe de dignit humaine par rapport la libre circulation des marchandises. Il s'agissait ici une mesure d'interdiction d'exploitation d'un jeu desimulation d'acte homicide, la cour a considre que ce jeu portait atteinte a la dignit humaine, au nom decela la libre circulation des marchandises pouvait tre rduite.

Deux exemple ou les liberts conomiques vont primer sur mal dfense des droit fondamentaux.Les arrt vicking et laval des 11 et 18 dcembre 07, la cour devait se prononcer sur des actions syndicales

pour la dfense des droit sociaux conciliaition entre le droit de grve et l'action syndical et libert deprestation de service. La cour va considrer que le droit de mener une action le droit de grve est un droitfondamental c'est paradoxal car il est exclut des trait, l'art 153 TFUE le droit de grve est exclu descomptences communautaire. La cour va considrer que l'exercice de ce droit constitue une restriction

injustifie la libert d'tablissement et de prestation de service.L'affaire Viking un transporteur marins finlandais dcide de s'installer en Estonie car le droit social estonienest moins protecteur que le droit social que le droit finlandais. Il se heurte une action syndical des marins,et la cour ? Sur la libert d'tablissement et la libert d'une action de grve.L'affaire Laval, concerne le dtachement de salari, une socit de droit letton face a des syndicat sudois,une socit letton remporte un march en sude, et envoie ses salaris la bas et un syndicat exige que lessalaris lettons adhre a la convention collective et la socit refuse, blocage. La socit letton est quasi enfaillite et accuse l'action collective.La cour conclu dans les deux affaires que l'exercice de cette action constitue une restriction injustifi de ceslibert pour la CJ l'exercice de cette action collective rend moins astreignant l'exercice de la libertd'tablissement et de la prestation de service, et cela constitue une entrave la libre circulation.

15/10/2010

Partie 1 La libre circulation des personnes

L'ide consiste dire que le march intrieur ne saurait se rsum un espace ou seul les marchandises et lesservices circulerait, ds 1958 les auteurs du trait avait conu le march commun (aujourd'hui marchintrieur) comme un espace caractris par l'abolition des obstacles non seulement la libre circulation desmarchandises et non seulement des personnes. L'ide tait de construire une des peuples Europen, et cetteunion devait pass par la circulation, la mobilit des personnes.En tmoigne les dispositions de la libre circulation, relative la libert de circulation des travailleurs, (art 39

42 CE ) disposition relatif au droit d'tablissement art 49 a 55 TFU et le trait comportait des dispositionlibre prestation de service 56 62 TFU.Il sera question de ses trois libert mais l'accent sera port sur la libret de circulation des travailleurs. Larfrence ses trois domaines, montre quen ralit la libre circulation a t cre l'origine comme celle desagents conomique, et au fonds ces trois libert s'avre complmentaire, car elle vise a assurer la possibilit

pour tout les ressortissant des Etats membres d'exercer son activit qu'elle que soit la forme (indpendant ousalari) ou ponctuellement dans le cadre d'un service.Cette analyse traditionnelle doit aujourd'hui tre ncessairement complt, car le droit des sjours et decirculation des personnes est envisag en dehors mme d'une activit professionnels mais dans desconditions plus restrictives.Puisque dsormais la libre circulation s'inscrit dans le cadre de la citoyennet .

CHAP 1 LIBRE CIRCULATION ET CITOYENNETE UROPEENNE

Section 1 Le lien troit entre la citoyennet et la libre circulation des personnes.


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I Article 20 et 21 du TFU

Il correspond aux article 17 et 18 du CE.

La notion de citoyennet a fait jours dans le Trait de Maastricht en 1992, l'article 17 CE 20 TFU = il estinstitu une citoyennet de l'union, est citoyen de l'union toutes personnes ayant la nationalit d'un Etatsmembres, la citoyennet de l'union complte la citoyennet national et ne la remplace pas. II Les citoyens del'union jouissent des droit et sont soumis aux devoirs prvus par les traits. Aujourd'hui, l'art 20 du TFUont entre autres le droit de circuler, et de sjourn sur le territoire des Etats membres.La premire allusion de circuler librement et de sjourner nous intresse, mais l'art 21 TFU (art 18 C) quifait plus prcisement le lien entre citoyennet et libre circulation Tout citoyens de l'union le droit decirculer et de sjourner librement sur le territoire des Etats membres, sous rserve, des limitations etconditions prvus par les traits, et par les disposition prisent pour leur applications Il faut concilier ce droit de sjours, avec les limites et condition prvus par les Trait, comment articuler cettedisposition avec la charte des droits fondamentaux?

Les droits de sjours et de circulation paraient-ils comme les attributs principaux de la citoyennet?L'attribue principale sont les droit de circuler et de sjours.Une premire objection, d'un point de vue chronologique l'tablissement d'un corrlation entre la citoyennet

qui est une cration rcente et la libre circulation peut surprendre car le trait de Rome envisageait dj lalibre circulation des travailleurs ect... Donc on ne peut pas dire les droits de sjours et la libre circulation estne avec la citoyennet car elle a vue le jours aprs le trait, mais aujourd'hui elle s'inscrit dans le cadre de lacitoyennet et ne peut plus tre dtache.Dans la tte des auteurs du trait, la libert de circulation s'inscrivait dj dans la citoyennet sans que celane soit dit, il s'agissait d'un citoyennet projet, par ceux qui proposait la perspective sans cesse plus troite.Le trait de Lisbonne a l'article 21 TFU tend le domaine de la majorit qualifie la libre circulation,

possibilit d'agire du conseil et du parlement, d'atteindre leur objectif grace la majorit qualifi, pour lespasseport titres de sjours ect..;

II Articulation des article 20 et 21 avec les autres disposition de droitprimaire et de droit driv.

L'avenement de la citoyennet n'a pas fait disparatre les limitation et restriction prvues par les autresdisposition du trait et du droit drive. Ce constat dcoule de l'art 21 TFU ( 18 C) qui confre au citoyen

de circuler et sjourne librement sur le territoire des Etats membres, mais sous rserves des limitation etconditions prvues par le prsent trait, cela est trs important car il faut voire les limitations du droit drivet des autres trait.

Dispositions de droit driv: Lorsque l'article 18 a t adopt en 1992 on parlait du rglements 1612 68

relatif a la libre circulation des travailleurs, ou encore des directive 90-364 et 90- 365 du 20/06/1990 relativeaux droits de sjours des non actifs, (retraits et les personnes qui ne bnfice pas du droit de sjours en vertud'un autres titres) Directive de 1993 pour le sjours des tudiants.Mais dsormais il convient surtout d'voquer le texte fondamentales en matire de libert de circulationDirective 2004-38 du 29/04/2004 droit de de circuler pour le travailleurs et la famille de celui ci , et desjourner sur le territoire des Etats membres. Ce texte abroge toutes les anciennes directive (celle de 1992 et1992) mais il modifie le rglement1612-68 sur la libre circulation des travailleurs.Aujourd'hui on a un seul texte unique, contrairement au anciens texte qui traitait chacun par secteur, on veutdpasser l'approche sectoriel et l'objectif est de faire de la citoyennet le statut fondamental de la librecirculation.Mais y' t-il une distinction selon l'activit conomique? Nous verrons que la distinction entre ceux qui exerceou non une activit conomique emporte encore des diffrence.Donc en effet par la citoyennet on a un approche global pour les travailleur, mais pas pour ceux n'exerant

pas d'activit.


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Cette article est-il un fondement autonome au droit de sjours et de circulation?Si on suit le texte de l'article 21 la rponse est ngatif car il y a une rserve sur les disposition des droitdriv et des autres trait.Ces autres disposition comme la directive de 2004 s'avre mme ncessaire pour la mis en uvre concrte dela libre circulation, donc priori l'article 21 n'est pas inconditionnel, sont application dpend des autresdisposition, mais l'examen de la jurisprudence de la CJ montre que la situations n'est pas si simple et l'article45 de la charte ne fait pas rfrence ses limites.La CJ a riger la citoyennet en statut fondamental, la cour en a fait un fondement qui permet de palier lesdisposition issu du droit... ou nuancer les condition des droit driv, ou de les contourner.Cela ce dessine lorsque l'on regarde bien les arrt. Mais en ralit sa doctrine n'est pas fermement tablie.

Section 2 La citoyennet notion fondamental et statut fonctionnel

Arrt GRZELZYCK 20/09/2001 est important : La cour rige la citoyennet en statue fondamental, et depuiselle ne cesse de rappeler ce caractre fondamental de la citoyennet, ( Arrt Mlle D'HOOP 11/07/2002;BAUMBAST ET R 17/09/2002; SCHWARTZ 11/09/2007)

Cette reconnaissance du caractre fondamental emporte des consquences prcisent, parce que la cours dejustice en fait une notion fonctionnel qui lui permet parfois de palier les dispositions du droit communautaireet driv

I Palier les dispositions du droit communautaire et driv .

Dans ces arrt la cour palie les inapplicabilit une situation donne de la libert de circulation destravailleurs, arret GRZELELZIK : il s'agit d'un tudiant franais en belgique, (donc libert non applicable) etla cours va se referer a la citoyennet pour pouvoir appliquer les regle de libert de circulation, il invoquait lerevenue minimum belges, qui a t qualifier au sens du droit communautaire d'avantage social pour la librecirculation des travailleur, et il y a la non discrimination des avantages sociaux des travailleurs; mais iln'est

pas un travailleur, pour en bnficier il faut dire que l'avantage est ouvert au travailleurs, ou on va appliquerces dispositions aux tudiant, la cours surmonter l'innaplibilit du reglement 1612-68, pour l'appliquer cette tudiant. La cours surmonter cette inaplicabilit aux noms de la citoyennet, il devait bnficier decette avantage sociaux aux citoyens Europen

MME D'HOOP : ressortissant belge est venue en France pour des tudes secondaire, et elle rentreen Belgique, qui recherche un emploi, il existe un avantage social pour l'attente du premier emploi,elle revendique l'attribution de cette allocations d'attente, mais ele se heurte un refus car elle effectue ses tudes en France, et de ce fait elle ne peut plus y prtendre. (Peut-on invoquer le droitcommunautaire contre sont propres Etats? Oui car elle est en situations de libre circulation) etvisiblement il y avait une discrimination patente pour dcourager partir, mais elle n'est pastravailleur y'a ti'l atteinte a la non discrimination qui peut tre fond sur la libert de circulation?Mais Mlle D'Hoop n'est pas travailleur, et la solution de la cour a t dicte par les disposition de lanotions de citoyennet , et elle raffirme que le statut de citoyens de l'union a vocation a tre lestatut fondamental des ressortissant des Etats membre, et en a tirer les consquence en matire denon discrimination en disant que dans le domaine de l'application des trait, les citoyens de l'unionqui se trouvent dans une mme situations doivent bnficier d'un mme traitement.

Arret TAS HAGEN 26/10/2006: Une ressortissante n-irlandaise e de son poux qui rside enEspagne et ils sollicite une allocations ne-irlandaise attribu au victimes civil de la deuximeguerres mondiales, mais il se heurte a la lgislation n-irlandaise qui exige la rsidence au ays baslors de la demande, or il rside en Espagne. Ces intresser ne pouvait pas se prvaloir de la libert

de circulation, et pour les autorit n-irlandaise cela ne relve pas de la comptence communautairecar cela touche allocation attribu aux victimes de guerre, la CJ affirme nettement l'applicabilitautonome de l'article 18 qui palie aux rgle . Pour la cours en s'tablissant en Espagne ces


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personnes n'ont fait que exercer leur droit reconnu l'article 18, indpendamment de tout activits,et l'article 18 est applicable (mais a prciser par la cour) peu importe que la prestation en cause nesoit pas rattachable aux domaines du droits communautaire. Il admet une application autonome del'article 18 relative a la libert de circulation

De ces trois arrt ont peut conclure : Que lorsque la situations de l'intress n'est rattachable aucune des situations vis par les dispositions spcifiques, aucun domaine particulier, l'article 18du TC peut recevoir une application autonome pour contourner.Mais lorsque la situation est applicable un domaine particulier ces disposition sont applicables.La citoyennet de l'article 18 s'avre tre subsidiaire, si on peut appliquer une autre on va le faire.Est-ce qu'une notion fondamentale peut avoir un statut subsidiaire?

21/10/10.

Cette application de la citoyennet soit de manire autonome ou subsidiaire par rapport aux droits

drivs, est lisible dans deux arrts rcents: dans l'arrt Schwartz, une loi allemande permettait dedduire de l'IR 30% des frais de scolarit vers des coles privs en Allemagne. Si on rserve ladduction d'impts aux frais verss des cole allemande, sa crer une entrave la libre circulation.La court dit que dans la mesure ou l'on pourrait conclure l'inapplicabilit de l'art 49 sur la libreprestation de service, il convient d'examiner la rglementation au regard de l'art 18 relatif lacitoyennet. Si l'art 49 tait applicable alors il n'tait ncessaire d'utiliser l'art 18.deux exemple: arrt du 1 avril 08, gouvernement de la communaut franaise et gouvernementwallon contre communaut gouvernementale flamand, le gouvernement flamand avait dcidque le bnfice d'un rgime d'assurance sociale la rsidence en territoire flamand. La cour estinterroge sur la violation de l'art 18 et aussi sur la libre circulation des travailleurs (art 39) et elleest interroge sur la libert d'tablissement. La cour mne d'abord l'analyse au regard de la librecirculation des travailleurs et de la libert d'tablissement, et constatant que la loi adopter par legouvernement flamand que l'entrave est caractriser elle estime qu'il y a plus lieu d'examinerl'entrave au regard de l'art 18.On peut se demander si le caractre de l'art 18 se concilie bien avec le caractre fondamentale de lacitoyennet?

II la citoyennet permet aussi de nuancer les conditions et limites issues du droitdriv.

Un arrt Bambast et R du 17 septembre 02, la cour ici se rfre la citoyennet pour pallier le

caractre insuffisant des disposition relative la libre circulation des travailleurs. M Bambast est denationalit allemande et on lui octroie une carte de sjour au RU il est salari puis devient chefd'entreprise donc relve de la libert d'tablissement, ensuite il sjour en Chine et Lisoto, tout en

prospectant rgulirement le march du travail au RU. Et il souhaite revenir au RU mais on luirefuse car ne relevant plus de la libre circulation des travailleurs, la CJ est ? De savoir si en tant quecitoyen de l'union il ne peut pas de prvaloir de sa qualit pour sjourner au RU, la CJ rpondfavorablement, en disant qu'un citoyen de l'union qui ne bnficie plus d'un droit de sjour commetravailleurs dans l'tat membre d'accueil, peut bnficier d'un droit sjour par application directe etautonome de l'art 18, car la cour rpte que le statut de citoyen de l'union est fondamental et qu'il cfa tout citoyens de sjourner librement dans les les tats membres de l'union.En ralit la cour prend en compte les disposition de droit driv, car la cour accepter deconsidrerla directive du 28 juin 90 (CF plus haut). L'application de cette directive a conduit lacour de justice examiner les conditions et limites prvues par cette directive. Cette directive posedeux conditions que La cour va appliquer de manire trs souple. :


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une condition de ressources suffisante , La cour se contente d'une apprciation minima, onconsidre que la personne travailler en Chine, il a eu un revenu.

La justification d'assurance maladie , L'intresser avait une assurance priv en Allemagnemais ne couvrait pas les soins d'urgence au RU, et la cour a considr que mme si ces soins

ne sont pas couvert, l'exclusion des soins d'urgence, ne suffisait pas faire de l'intress unecharge draisonnable pour le RU. La cour a interprte de manier souple car il s'agissait d'uncitoyen europen, elle a conclure qu'un citoyen de l'union europenne, qui ne bnficie plusdans tat membre d'accueil d'un droit de travailleurs, peut en qualit de citoyen de l'union y

bnficier par application directe de la citoyennet

Dans la formule finale la CJ elle fonde son droit de sjour sur la citoyennet europenne. Et leslimite dans le droit driv doivent tre appliquer de manire proportionnelle.

La cour livre une mthode pour l'apprciation du droit de sjour des ressortissants des tatsmembres, la rfrence la citoyennet n'empche pas de se rfrer aux dispositions pertinente dudroit driv pour examiner les ventuelles limites et conditions prvues par le droit driv oud'autres dispositions, mais compte tenu du caractre du fondamental du statut du citoyen de l'unionces limitations doivent tre interprtes strictement dans le respect du principe de la

proportionnalit.

III la citoyennet permet encore de contourner les limites issues du droit driv.

Deux arrts: Bidar du 15 mars 05, ou la cour se fonde surl'art 18 aujourd'hui l'art 20 pourcontourner les dispositions restrictive de la directive du 29 octobre 93 pour le droit de sjour destudiants. Un tudiant franais au RU, refus des autorits britanniques d'accorder cet tudiant un

prt pour tudiant pour compenser les frais d'entretiens, le RU invoquait que l'tudiant n'tait pastabli au RU. Au sens de la lgislation britannique une personne ne pouvait tre considr rsidentau RU que si elle avait rsid durant les trois annes prcdents le premire de la premire anne ducursus. C'est une discrimination indirecte car ce sont les britanniques qui ont plus de chance deremplir la condition. La directive sur les tudiants prvoyait dans son art 3 expressment qu'elle neconstitue pas un fondement d'un droit au paiement par l'tat membre d'accueil de bourse d'entretienaux tudiants bnficiant d'un droit de sjour. Cette limite est confirm art l'art 242 de ladirective de 2004 sous la forme de bourse et de prt pour les tudiant n'ayant pas acquis un droit desjour permanent. La CJ va dire c'est une chose de ne pas reconnatre un droit aux citoyens, maisc'est autre chose d'interdire qu'il en bnficie. La CJ recours l'art 18 combin avec l'art 12relative au principe de non discrimination, pour fonder le droit des tudiant aux allocations

d'entretien et condamner le refus des autorits britanniques. Le raisonnement de la cour consiste arecourir l'art 18 et 12 pour contourner la directive 04.l'arrt a suscit des ractions ngatives par les tats membres.

Un arrt 18 novembre 08 FORSTER, tudiante allemande qui est au Pays-Bas qui on lui refuseune allocation d'entretien qui est soumis une condition de rsidence de 5 ans, la cour de justice vavalider la condition de rsidence de 5ans. L'arrt prcdent il fallait avoir un statut de rsident cequi est quasiment impossible si on tait pas britannique, ici il faut vivre 5ans.

Arrt 18 juillet 06 Decuyper, il s'agissait d'un ressortissant belge salari jusqu'en 87 en Belgiquequi se retrouve au chmage et il peroit des indemnit de chmage, il s'installe en France et la

Belgique et interrompt le versement des allocations chmages, car elle le soumet la condition dersidence. La cour est interroge sur la conformit de cette disposition, la cour qualifie ces

prestation de chmage de prestation de scurit sociale (il existe un rglement de de scurit sociale


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71 modifi en 04 et 09), les rglements de scurit sociale permettent de justifier la condition dersidence certaine condition, car selon les rglement de SS les allocations SS sont verses dans lesautres tats membres que si le ressortissant va pour rechercher un emploi. La cour aurait pu enrester l parce que l'art 18 soumet aux droit de sjour aux limitations du droit driv.

La cour examiner la situation au regard de la citoyennet pour conclure dans un premier temps surune atteint aux droits de circulation et de sjour des citoyens de l'union.En effet la rglementation en cause (belge) dcourage les nationaux du seul faite qu'il se dplacedans un tat membre. En l'espce il s'installait en France et non pas pour y rechercher un emploi,

pour la CJ toute disposition qui freine la mobilit est suspecte. La cour annihile la disposition.La cour dans un deuxime temps s'il y a pas une justification d'intrt gnral, l'tat belge justifie

par le contrle des chmeurs, la cour considre que le contrle des chmeurs est un motif lgitimedonc la cour a considr que la disposition tait lgitime. Ce qui faut retenir c'est que la cour danscet arrt ne se satisfait pas des limites au sens du droit driv, elle va au del au regard de lacitoyennet europenne et se rfre l'art 18 du trait.

Section 3: les bnficiaires de la libre circulation (champs d'applicationpersonnel).

I - les ressortissants des tats membres, titre principal.

A: porte du critre de nationalit.

1 dfinition des citoyens de l'union.

Est citoyen de l'union toutes personnes qui a la nationalit d'un tat membre art 17 aujourd'hui20. la directive du 29 avril 2004 sur le droit de sjour des citoyens de l'union, prcise que onentends par citoyen de l'union toute personne ayant la nationalit d'un tat membre . En posantcette condition de nationalit le droit de l'union europenne renvoie la dtermination des

bnficiaire au diffrents droit nationaux, car l'union europenne n'a pas comptence en matired'attribution de la nationalit. Chaque tats dterminent souveraine les modalits et d'attribution etd'acquisition de sa nationalit et in fine chaque tats dtermine les personnes qui revendique sanationalit pour le bnfice de la nationalit europenne.

Cette comptence souveraine des tats a t raffirm expressment dans une dclaration N2 dutrait de Maastricht, en vertu de cette dclaration la question de savoir si une personne lanationalit de tel ou tel tat membre est rgl uniquement par rfrence aux droit national de l'tatconcern, la CJ le raffirme rgulirement, arrt 7 juillet 92 Micheletti et Espagne contre RU du12 septembre 06 et mme date arrt Eman.La nationalit est dterminante et non pas son origine et non pas le statut de tel ou tel territoire.Le RU a prciser que sont les ressortissants des iles anglo-normande ne peuvent pas bnficier dudroit communautaire de libre circulation, de mme pour les iles Fro du Danemark. Arrt Eman lesnerlandais qui rsident aux Antilles nerlandaise sont priv du droit de vote au parlementeuropen. partir de quand une personne peut elle revendiquer la nationalit d'un tat membre ?Aucune dispositions du trait ne permet de traiter diffremment des ressortissants des tats

membres suivant l'poque laquelle ou la faon dont il ont acquis la nationalit. Ce qui compte aumoment ou une personne invoque le bnfice les dispositions des droits de l'union europennepossde la nationalit d'un tat membre.Que se passe t-il en cas de double nationalit ? Que se passe t-il il est ressortissant d'un tat membre


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et d'un tats tiers ? La CJ dit que des lors qu'elle a la nationalit d'un tat membre cette qualit nepeut tre contest sous prtexte d'une nationalit d'un tat tiers, c'est l'arrt Micheletti, il s'agissaitd'un italo-argentin qui souhaitait s'tablir en Espagne.La nationalit peut aussi concerner des PM, car la libert d'tablissement peut concerner aussi bien

les PP de travail indpendant que les PM.L'art 48 aujourd'hui 54, rgle la question sont des socit d'un tat membre au sens du trait dessocit constitue conformment la lgislation d'un tat membre ayant leurs siges statutaires,leurs administration centrale ou leur tablissement l'intrieur de l'union. deux lments constitueconforme aux droits des tats membres et sige sur le territoire de l'union. Il peut avoir unedissociation entre les deux, avoir t constitu conformment la lgislation d'un tat membre, etavoir un SS dans un tats membres, mais ralis son activit dans un tats tiers, elle peut bnficierde la libre circulation des prestation de service.

2: les extensions.

Il convient d'ajouter au bnficiaire de la libre circulation les ressortissants des pays memebres deAELE ( accord europen de libre change) en vertu de l'accord cre EEE (espace conomiqueeuropen) sign porto en 1992 et entre en vigueur 1994, EEE= AELE+U.E. Au del mme del'union europenne on a cre un espace plus grand qui intgre les AELE ( la Norvge, Islande etLiechtenstein) la suisse a refuser de ratifier l'accord de Porto, il y a un accord suisse et U.E qui vaassez loin dans la libre circulation des personnes.Les accords de coopration, entre union europenne et les tats tiers, ce sont mme des accordsd'association des pays sont associ union europenne, ces accords laisse au tats membres del'union europenne la libert de circulation et de sjour de ces personnes dans l'union europenne,mais le principal apport c'est l'galit de traitement entre les ressortissants de ces tats et lesressortissants de l'union europenne. Comme les accords d'ACP, accord d'Ankara conclu en 1963dans cet accord c'est a ralisation progressive de la libre circulation de travailleurs entre l'unioneuropenne et la Turquie, et il est complt par une dcision du conseil d'association du 1 dcembre80 dont l'art 6 vise prenniser de manire durable le libre accs aux travailles des travailleursturque appartenant aux marchs rgulier de l'emploi des tats membres.La CJ ne cesse en permanence d'uvrer favorablement au rapprochement entre le traitement rservturque et celui rserv aux ressortissants des autres tats membres, et la CJ transpose des principed'interprtation des dispositions issues du trait relative la libre circulation des travailleurs auxdispositions comparable des accords d'associations avec la Turquie. La CJ considre que la notionde travailleurs turques doit tre calqu a celle du droit communautaire.

3: l'exclusion de principe des ressortissants des tats tiers.

Il s'agit d'une consquence directe de la condition de nationalit. Ce qui ne sont pas desressortissants des tats membres ne bnficie pas aux droits communautaire. Il faut reserver uneexception pour les membre de a famille qui peuvent bnficier la libre circulation, et lesressortissants d'tat tiers qui sjour dj sur le territoire d'un tat membre, directive du 25novembre 03 relative aux ressortissants des pays tiers de long dure, la directive est plac sousle signe d'un rapprochement entre les rsidents non communautaire de longue dure et lesressortissants communautaire. Qu'est ce qu'un rsident de long dure ? C'est une rsidence lgale etininterrompu de 5ans condition de ressources stable et d'une assurance maladie. L'acquisition de cestatut confre a son titulaire un droit de sjour permanent dans l'tat membre d'accueil sous le

sceaux de l'galit de traitement avec les nationaux.Par le biais de la directive de 2003, le droit de l'union europenne rgit le droit de l'immigration destats. L'acquisition de statut de rsident de longue dure dans un tat membre ouvre son titulaire la


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facult de sjourn au del de trois mois dans les autres tats membres quel qu'en soit le motif. Cequi rapproche la situation d'un ressortissants d'un tats tiers avec celle d'un tat membre. Maisl'affirmation du droit de sjour au del de trois mois est soumis a des limite comme la nonouverture des emplois en cas de pnurie de travail, ressources stables, et logement approprier, et

limitation possible par les tats du nombre de personne autoriss sjourner ce titre.

B: le national d'un tat membre face son tat.

Un national d'un tat membre peut il invoquer les rgles de l'union europenne relative la librecirculation l'gard de son propre pays?Un national d'un tat membre peut il dans l'tat dont il est le ressortissant tre trait moinsfavorablement qu'un ressortissant communautaire dans une mme situation et y subir unediscrimination rebours ?

1: cas o l'intress ne se trouve pas en situation de circulation.

Lorsque un national d'un tat membre se trouve dans une situation de circulation de mobilit entreles tats membres il peut comme tout ressortissants d'un tat membre se prvaloir des rglesrelatives de la libre circulation y compris auprs de son propre tat.Exemple:un national d'un tat membre qui acquiert une qualification professionnelle dans un autreet peut invoquer le droit de libre circulation et notamment la reconnaissance mutuelle desdiplmes et qualification auprs des autorits franaises.Trois exemples:Arrt Krauss du 31 mars 94, ressortissants allemands qui acquiert un diplme de troisime cycleaux RU, or la lgislation allemande l'poque, une personne qui obtenait une qualificationtrangre universitaire ne peut s'en prvaloir en Allemagne qu'aprs une demande d'autorisation

pralable auprs des autorits allemande, c'tait le mme pour tout le monde. Cette rgled'autorisation tait applicable a tous les ressortissants d'un tat membre, K a invoquer les rgle de lalibre circulation et le droit s'tablir.Monsieur Krauss pouvait il invoquer les rgles relative a la libre circulation contre son propretats ? Si oui se rgime d'autorisation tait il contraire a la libre circulation ?Pour le premier point, la cour dit que les dispositions communautaires ne peuvent exclure dubnfice du droit de l'union europenne les ressortissants d'un tat membre lorsque ceux ci setrouve l'gard de leur tat membre d'origine dans une situation assimilable a celle de toute autres

personnes bnficiant du droit communautaire de la libre circulation. .Sur le deuxime point, le rgime d'autorisation a t considr comme non valable mme s'il est nondiscriminatoire, car elle est une entrave pour la libre circulation.

Deuxime exemple : arrt mademoiselle D'Hoop, elle invoquait les rgle communautaire de librecirculation l'encontre de son propre tat, le cour a admit que mademoiselle D'Hoop pouvait se

prvaloir des rgle relative la libre circulation.

Troisime exemple: Arrt Sign du 7 juillet 92, une ressortissante britannique marie unressortissant indien et aprs avoir travaill en Allemagne reviennent aux RU, le RU refuse l'entre etle droit de sjour son poux indien, la cour considre que sa relve du droit de la libre circulation

puisque cette ressortissante est all en Allemagne et revient aux RU, elle peut se prvaloir de sasituation pour que son poux puisse bnficier aux droit de sjour aux RU, car la CJ dit qu'un

ressortissant pourrait tre dissuad de quitter de son pays d'origine pour exercer une activitprofessionnelle dans un tat membre si son retour elle ne peut bnficier des droits au moinsquivalent ceux qu'il bnficiait son dpart. Mme solution dans l'arrt AKRICH du 23


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septembre 03.

un dernire exemple: arrt Carpenter 11 juillet 02, la cour reconnat qu'un ressortissant britannique qui effectue des service dans d'autre tat membre d'invoquer le droit de l'union

europenne de la libre circulation pour faire venir aux RU son pouse Philippines. La personne nes'tait jamais dplac dans les autres tats membres, mais le faisait distance.

2: Cas o l'intress ne se trouve pas en situation de circulation.

En dehors de tout mobilit le national d'un tats ne peut se prvaloir des rgles relative la librecirculation dans son propre tat ce qui peut l'exposer un traitement parfois moins favorable qu'celui rserv aux ressortissants des autres tats membres plac dans une situation comparable.Un arrt Morson 27 octobre 82, la cour considre que le national d'un tat membre qui n'a jamaisexerc son droit de circulation ne peut pas invoquer les rgles communautaire relative auregroupement familiale pour constater le refus oppos par les autorit nerlandaise au membre de sa

famille ressortissants d'un tat tiers. Il y a une diffrence traitement, c'est ce qu'on appelle lesdiscrimination rebours c'est--dire un national dans son tat est moins bien trait qu'unressortissant communautaire, ce n'est pas interdit par le droit communautaire.

On applique le droit communautaire de la circulation ds lors qu'on se retrouve dans les cas decirculation , on parle aussi de rgle de rattachement des rgle de l'union, le droit de l'unioneuropenne relatif la libre circulation n'a vocation rgir que les situations la libre circulation,c'est le principe de rattachement aux droit de l'union, les dispositions la libre circulation, ne visentque les tats membres, ce qui laisse en dehors les situations qui ne correspondent pas auxmouvement entre tats membres ce sont les situation purement interne, ces situations l ne peuvent

justifier l'application du droit europen. Arrt du 1 avril 08, gouvernement wallon....dans cet arrtl'avocat gnral prconisait de revenir sur cette jurisprudence dans ses conclusion pour largirl'application du droit de l'union europenne aux DOM par exemple, la cour de justcie reste sur sa

position et n'a pas vocation a rgir des situation purement interne.Le droit de la libre circulation exceptionnellement, il va s'appliquer des activits exerc a des tatstiers condition la situation donne garde un lien de rattachement suffisant avec le territoire del'union europenne soit ils sont tabli sur le territoire de l'union europenne ou produisent des effetssur le territoire de l'union europenne, exemple BOUKHALFA 30 avril 1996, situation d'untravailleurs belge employ sur le territoire d'un tat tiers l'Algrie, mais au sein de l'ambassaded'Allemagne, la cour a considre que le contrat de cette personne tait de droit allemand, selon laloi allemande avec une clause attributive aux tribunaux allemand et alignement de pensionallemand. La cour a considre que les dispositions pouvait s'appliquer car elle gardait un lien derattachement avec le territoire de l'union europenne.

II - la famille du ressortissant communautaire, par extension .

Il existe un cas de regroupement familiale en droit de l'union europenne, mais il faut distinguer entre lesdirective communautaire qui harmonisent les droits de l'immigration et le droit de la possibilit de faire venirsa famille. Initialement la possibilit pour un travailleurs ressortissant d'un tat membre de faire venir safamille auprs de lui lorsqu'il se dplace dans un tat membre elle n'avait pas t imagin dans les traits.C'est depuis le rglement du 15 octobre 68 1612/68 que le droit aux regroupements familiales est envisag.Aujourd'hui le regroupement familiale est rgit par les art 10 12 du rglement 1612 et surtout par ladirective du 29 avril 04 directive dont l'nonc mme montre qu'elle s'applique la famille du citoyen del'union, puisque cette directive est relative aux droits des citoyens de l'union et des membres de leurs famillesde circuler et sjourner librement sur le territoire des tats membres. L'art 1 de cette directive confirme cela

par des droits de citoyens et des membres de leur familles.


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28/10/2010

[email protected] ou facebook reseaudan.III

A QUE RECOUVRE LA NOTION DE FAMILLE?

Qui peux prtendre au droit de sjours en tant que membre de famille?

Entre rglement initial de 1612/68 et la directive de 2004, il y a une volution.

1612 article 10 : dfini la notion de famille, et le droit de sjours tait ouvert au conjoint dubnficiaire titre principale. Le droit de sjour est permis au descendant de moins de 21 ou charge, il peut

s'agir des descendant du couple ou d'un seul des conjoint. Il tait ouvert aux ascendant et du conjoint si ilssont charges, le trait lui mme ne parlait pas du droit de la famille, le rglement voque le regroupementfamilial, mais en prcisant ce que l'on entend pas membre de la famille .

Il restait des questions en suspens : le concubinage, CJ arrt REED du 17/04/1986 : le conjoint est celui qui aformellement contracter un mariage, civilement reconnu par la loi, et cela exclut le concubinage.Arrt du 23/09/2003 AKRICH : la cour prcise que n'tait vis que des mariage authentique, il nereconnaisse pas les mariage de complaisance, et cela ouvre la voie a un contrle d'authenticit du mariage.La vrification est possible mais cela ne dit pas comment celui si sera opr ni par qui.

Directive du 29/04/2004 largit la notion de famille, elle l'tend deux catgorie qui n'existait dansle rglement , la partenariat et une catgorie des membres de la famille dont le sjours doit tre favoris.

Partenariat : art 2 parmi les bnficiaire il faut compter les partenaires avec lequel le citoyen del'union contract un partenariat enregistr, sur la base de la lgislations d'un Etat membre, siconformment la lgislation de l'Etat membre d'accueil, les partenariat enregistr sont quivalentau mariage et dans le respect des conditions prvus par la lgislation pertinente de l'tat membred'accueil. La lecture de cette disposition montre que le droit de sjour est permis sous certainesconditions:

1 Il faut que les partenariat est t clbr sur la base de la lgislation d'un Etat membre, personne ne peut seprvaloir si il est clbr sur la base d'un Etat tiers2 Il faut que dans l'Etat membre d'accueil le partenariat doit tre quivalent au mariage.3 Le partenariat ne doit pas heurter les conditions prvus par la lgislation d'accueil, donc il faut que lesconditions soit conforme au partenariat d'accueil.

Que se passe t'il si le partenariat n'existe pas dans l'Etat d'accueil?

Le texte exige une reconnaissance dans l'Etat d'accueil, a priori on ne peut pas se prvaloir d'un partenariat;on s'aperoit que la dfinition de conjoint ne fait de diffrence entre les mariage homosexuel ou pas. Lemariage homosexuel, depuis 2004, parat tre reconnu. Mais pour le partenariat ne fait pas rfrence, et doncon pourrait vis le partenariat homosexuel et htrosexuel.

Que se passe t'il si le pays d'accueil reconnat le mariage homosexuel, mais ne connait pas la figure dupartenariat?

La question reste ouvert il n'y a pas de rponse.

Que signifie l'quivalence par rapport au mariage et comment l'apprcier?
mailto:[email protected]:[email protected]


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Le pacs et mariage peut il tre quivalent en France (non car mariage divorce et pacs plus libre rupture), maisla jurisprudence n'a pas encore donner de rponse, l'quivalence n'est pas l'identit mais doit tre unrapprochement.

On voit que ces condition reflte un certain compromis, et in fin la CJ va trancher.

L'ouverture du partenariat est que les ascendant et descendant sont inclus dans la famille.La directive de 2004 reprend les anciens bnficiaire, et la question est de savoir que faut-il entendre par

personne charge?

Arrt JIA du 09/01/2007 : livre une conception extensive de la notion de personne charge. Mme Jia rejointon fils en Sude , ils sont tout deux de nationalit chinoise, mais le fils est mari une Allemandes qui travailen Sude. Comment l'affaire peut-elle relev du droit ? Grce a l'pouse qui est Allemande. La sude avaitexpuls la mre qui avait un visa touristique car la mre n'avait pu prouver qu'elle tait dpendante de sonfils, car elle avait fourni de son employeur en Chine qui tablissait qu'elle dpendait bien de ses enfants, laquestion pos devant la cours, tait de savoir si l'ascendant tait bien charge de son fils? Prend t-on en

compte le niveau de vie du pays d'origine, ou prends t-on le niveau de vie du pays d'accueil? La cour livredes lments, elle considre que la notion de personne charge ne dpend pas de l'obligation alimentairejuridique, il n'est pas ncessaire de dterminer les raisons du recours au soutient des enfants, l'tat membredoit seulement apprcier si les intress sont en mesure de subvenir leurs besoins et cela compte tenue dela ncessit de l'tat d'origine, ou de provenance des ascendant, dans les faits, et on apprcie cela aumoment ou il font leur demande dans l'tat d'origine. Pour la preuve de la charge, la cour admet qu'elle

puisse tre amene par tous moyens, et prcise, que la production d'un document de l'autorit d'origine quiatteste que l'ascendant est bien charge est un moyen de preuve admissible, mais ce ne peut tre unecondition impos par l'tat d'accueil. L'interess pourra donc faire la preuve par d'autre moyens que celui l.La cour admet que le seul engagement par le travailleur concern, de prendre en charge l'ascendant peut ne

pas tre jug satisfaisant par l'autorit de l'tat d'accueil.

Arrt ZHUCHEN 19/10/2004 : Il s'agit d'un ressortissant chinoise au RU, ou le droit de sjours est en cause,et la cours fonde le droit de sjours de cette ressortissant chinoise dans les Etats membre sur la qualitd'ascendant de 6 mois. La ressortissante chinoise a accouch d'un enfant en Irlande, et le droit du sol est envigueur en Irlande et en naissant l'enfant la nationalit irlandaise, et la cours accepte la circulation de lamre au m de la nationalit Irlandaise de l'enfant. Pour que l'enfant puisse circuler, il faut que la mre puissecirculer aussi; le droit de circulation de la mre est driv de celui de l'enfant.

Les membres de la famille dont le sjours doit tre favoris : art 3 Paragraphe 2 : l'tat d'accueilfavorise, conformment sa lgislation, l'entr et le sjours des personnes suivante; tout autremembre de la famille, si dans le pays de provenance, il est charge, ou fait partie du mnage ducitoyens de l'Union bnficiaire du droit de sjours titre principale. => Tout autre membre de lafamille qui serait charge du citoyens de l'union, ou si pour des raisons de sant grave, le citoyens del'union doit imprativement et personnellement s'occuper du membre de la famille concern.Finalement le droit de sjours est favoris.Le partenaire, avec lequel le citoyens de l'union une relation durable dument atteste, on vise ici e

concubinage, ais il faudrait un certificat de concubinage ou d'autre lments qui montre que les personnevivent en concubinage. On retrouve ici le concubinage exclut dans le rglement.

L'tat doit avoir un regard bienveillant l'gard de ces personnes, mais cela n'ouvre pas le droit de sjours deplein droit.Il y a bien un largissement de la catgorie des membres de la famille.

B LA NATIONALITE DES MEMBRE DE LA FAMILLE

L'ar 10 du Rglement 161/68 est ouvert au membre de la famille qu'elle que soit leurs nationalit La directive de 2004 va dans le mme sens, elle ne pose aucune conditions quand la nationalit et prendssoin de prciser, que la nationalit n'a pas a tre prise en compte.


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De fait donc les ressortissant des tats tiers se retrouve bnficiaire, de rgle relative la libre circulation,mais le droit reconnu aux membres de la familles est un droit driv de celui dont peut se prvaloir le

bnficiaire titre principale.On voit bien qu'il y a le bnficiaire tire principal, et ceux qui sjourne titre driv dont le sjours dpendde celui qui sjourne titre principal. La distinction, dans ce contexte, entre membre de la famille qui sonteux mme ressortissant d'un Etat membre, et les membres de la famille qui sont ressortissant d'un Etat tiersest pertinente. Les membres de la famille, qui sont ressortissant d'un Etat membre sont bnficiaire titredriv, mais en tant que citoyens ils ont vocation bnficier d'un titre de sjour eux mme aussi car ilssont citoyens .Cela signifie que s'ils perdent leurs qualit de membre de la famille (divorce ou ne sont plus charges) ils

pourront toujours se prvaloir d'un droit propres an tant que citoyens , alors que les membres de la famillesqui sont bnficiaire d'un Etat tiers, priori, n'ont plus de droit personnel en tant que citoyens rester sur leterritoire. Donc il faut faire valoir que la famille un droit driv, mais si la famille est membre d'un Etatmembre elle un droit personnel, or celle d'un Etat tiers ne l'on pas.

C CONSEQUENCE D'UNE MODIFICATION DAS LA SITUATION DU

BENEFICIARE A TITRE PRINCIPAL

La CJ a uvr pour la reconnaissance de droit aux membres de la famille ressortissant d'un Etat tiers, elle lefait en puisant dans les droit fondamentaux.

1) Les solutions jurisprudentiel

La CJ oeuvre parce que elle va recourir la vie priv, et l'article 8; l'ide est la suivante, mais si il y a desenfants, ils doivent pouvoir suivre des parcours scolaire normales, et on ne va pas loigner les enfants ect...ARRET BAMBAST et R 17/09/2002 : se prononce sur les effet du droit de sjour d'un membre d'un Etattiers, d'une part de la perte de la qualit de travailleur de son conjoint, et les effets de son divorce, il est partisans son pouse, mais que devient son pouse. Dans les deux affaires il tait demand la cours, si le droit

de sjour de l'pouse ne pouvait tre fond sur la ncessit de permettre leurs enfants, de suivre des coursnormaux dans l'tat d'accueil.? Dans quel mesure le droit de sjours des enfants suivre des courspouvait fonder a autoriser le conjoint reste r lui mme sur le territoire? La rponse de la cour :l'effectivit, du droit des enfants sjourner dans l'tat d'accueil pour y suivre dans des conditions nondiscriminatoire, pour y suivre des cours d'enseignement gnral, commande de reconnaitre le droit de sjourdes parents qui la garde des enfants, quelque soit la nationalit des parents. L'enfant reste l'enfant d'unressortissant d'un membre de l'union , et pour cette raison la cour ouvre le droit de sjours. Et li au droit degarde de l'enfant, la cours se rfre au respect de la vie priv et familial prvu l'article 8 de la CDH.=> ouverture troitement li au droit de sjours des enfants, sur la base de cette arrt il autorise de distinguer,le droit de sjours du membre de la famille qui est ressortissant d'un Etat tiers est driv de celui qui l'est atitre principale; mais ds lors qu'il perd la qualit de conjoint, soit en raison d'un divorce, soit de la perte dela qualit de travailleur communautaire par son poux, son droit de sjours devient driv de celui desenfants, ds lors qu'il a la garde des enfants.Ce droit de sjour n'est pas autonome parce que il dpend de celui des enfant ou celui qui l'a en titre

principale. Cette arrt s'inscrit dans la protection du droit de sjours, par les droit fondamentaux, d'autre arrtse refre a l'art 8 (CARPENTER, il se rferait l'art 8 de la CDH)

2) Les solutions offertes par la directive de 2004....

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Elle intgre des solutions jurisprudentiel tout en tant plus prcise, elle traite dans deux dispositions distinct,

d'une part les consquences du dcs ou du dpart du bnficiaire titre principale (art 12 directive) etd'autre part, elle traite des consquence du divorce de l'annulation du mariage, ou de la rupture d'unpartenariat (art 13 Directive)


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Le droit de sjour de la famille sera lie a celui de l'enfant. La directive art 12 3 intgre les solutionjurisprudentiel antrieur ainsi que Bambast, le dpart du citoyens de l'Union ou son dcs n'etraine pas laperte du droit de sjours de ses enfants ou du parents quelle que soit leurs nationalit pour autant que lesenfants rside dans l'Etat membre d'accueil et soient inscrit dans un tablissement scolaire pour y suivre unenseignement. Le droit du sjours du parents esr prserv, mais il reste subordonner la garde des enfants etles enfants doivent tre inscrit dans un tablissement scolaire.Si l'enfant n'est pas scolaris, car il est en bas ge la directive ne rpond pas.

La directive est nettement inspir par l'arrt Bambast, et l'art 8 de la CDH.

Que se passe t-il en l'absence d'enfant, ou l'absence de droit de garde, dans cette hypothse la istinction entremembre de la famille qui la nationalit d'un Etats tiers, et ceux qui sont citoyens de l'union, cette distinction

peut retrouver tous son sens. L'art 121 nonce que le dcs ou dpart du citoyens de l'union du territoire del'Etat membre n'affecte pas le droit de sjours de la famille qui la nationalit d'un Etat membre.Il permet aux membre de la famille qui ont la nationalit d'un Etat membre de rester dans l'Etats membre.

Les membre qui n'ont pas la nationalit d'un Etat membre la question est de savoir s'ils perdent leurs droit desjours en l'absence du droit de garde, ou l'absence de l'enfant?Ils ne perdent pas ncessairement leurs droit de sjours, en cas de dcs uniquement du bnficiaire

principale, et certaine condition : - Le membre de la famille doit avoir rsid avec le bnficiaireprincipale dans l'Etat d'accueil depuis au moins un an.

Ils doivent titre personnel relever d'un des domaine de la libre circulation (travailleursalari, ou justifier de ressource suffisante).

Art 13 de la directive = Rupture du partenariat, divorce, annulation du mariage :1 : il annonce que la rupture n'affecte pas le droit de sjours des membre de la famille qui ont la nationalitd'un Etat membre. Il conserve leur droit de circulation sous reserve de relever du domaine de la librecirculation.

Pour les membre de la famille qui n'ont pas la nationalit d'un Etat membre, ils peuvent conserver leurs droitde sjours, mais des conditions plus strictes, car ils devront relever d'un des domaine de la libre circulation,mais doivent remplir l'une des conditions alternative suivante :

Le mariage ou le partenariat doit avoir dur au moins trois ans avant le dbut de la procdure dedivorce ou d'annulation, mais dont un an au moins dans l' Etat d'accueil.

Ou La garde des enfants leurs a t confie au conjoint ou partenaire par une dcision de justice ou

accord entre les ex-partenaire ou ex-conjoint. Lorsque des situation particulirement difficile l'exige ( ex : le fait d'avoir t victime de violence

domestique pendant le mariage ou partenariat) S'il bnficie d'un droit de visite, par dcision de justice, ou des ex-conjoint.

Ce qui fait que les possibilit que le conjoint d'un Etat tiers puissent rester sont assez nombreuse.

La directive fait preuve d'une ouverture relle et on observe, que le droit de mener une vie familial normall'influence. Mais si on prend la condition de dure, on peut voire que mme sans le droit de garde, il peut yavoir une volont de consolider la situation d'une ex-partenaire d'un citoyens d'un Etat membre; par rapport acela il existe un droit de sjour permanent dsormais, pour les citoyens de l'union qui ont sjournelgalement pour une priode ininterrompu de 5 ans sur le territoire d'accueil et ce droit s'adresse aux membrede la famille qu'elle que soit leurs nationalits, et il ne se perds que pour des absences suprieur deux ans.

CHAPITRE 2 LIBRE CIRCULATION ET EXERCICE DE L'ACTIVITEECONOMIQUE.


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La gnralisation du droit de sjours lies l'avnement de la citoyennet a nuancer le critre l'importancede la distinction du bnficiaire de la libre circulation quand l'activit exerce.Mais il n'en reste pas moins que que cette distinction demeure d'abord en raison de chaque catgorieen dpit de l'unification des texte, ensuite en raison de la pertinence de restriction au droit de sjours

de certaines catgorie, et enfin compte tenu du maintient de certaine activit hors du champs de lalibre circulation;

Section I Les actif

I LES TRAVAILLEURS SALARIE

Elle est rgis par les article 45 et suivant TFU ( 39 T) il est composer de quatre paragraphe: La libre circulation des travailleurs est assure l'intrieur de l'Union Elle implique l'abolition fond sur touts discrimination fond sur la nationalit entre les

Etats membre, pour l'emploi, la rmunration et les autres conditions de travailler Dtermine le contenu de cette libert de circulation de travailleurs travers quatre droit

( droit de rpondre des emplois effectivement offert; droit de se dplacer cet effets sur leterritoire des autres Etats membres; Droit de sjourner dans un Etat membre pour exercer unemploi)

Droit de demeurer certaines conditions aprs avoir occup un emploi. Tous cela sousrserve des raisons d'ordre, scurit publique et de sant publique. Ces dispositions ne sont

pas applicable aux emplois dans l'administration publique.

A LA NOTION EUROPEENNE DE TRAVAILLEURS SALARIES

Pour que la libre circulation des travailleur soit effectif, il faut pourvoir dgager une dfinitionunique de cette notion.D'abord on pressent que la notion peut varier selon les Etats, ensuite il existe d'autre forme derelation de travail sous des contrat diffrents.Il faut faire ressortir une notion communautaire de travailleur de salari => CJ 1964 considre quela notion de travailleur tait une notion communautaire et qu'il lui revenait en consquence dedfinir cette notion, pour assurer une unit d'interprtation et d'application.19/03/1964 UNGER : Concerne la scurit social, de ce fait il faut se rfrer d'autre arrt en plus.Il convient de retenir acception large de la notion, si bien qu'il convient de se rfrer la relationde travaille plutt qu'au contrat de travail, et est considr comme travailleur celui qui se trouvedans une relation de travail , la caractristique de la relation de travail est la circonstance qu'une

personne accompli pendant un certain temps en faveur d'une autre personne et sous la direction decelle-ci des prestation en contrepartie desquels elle touche une rmunration LAUWRIE-BLUM 03/07/1986 et BETTRAY 31/05/1989.Elment classique, mais que la cours interprte de faon assez libral, conception large dutravailleur ( but de favoriser la libre circulation)Pour le travail temps partiel ou occasionnel, et pour ces activit le salaire peru peut ne pas

permettre d'atteindre le SMIC de l'tat d'accueil, peut-il bnficier de la libre circulation destravailleur? Oui pourvu que l'activit soit relle et effective => BERNINY, activit relle effective,si la jouissance des droit tait rserv au seul personne exerant un travaille temps plein.Ce la exclut une activit qui serait tellement rduite qui prsenterait un caractre marginal ouaccessoire => Intermittent inclut dans le champs de la libre circulation des travailleur RAULIN

26/02/1992 de mme celui qui effectue un stage.Qu'elle que soit son statut juridique celui qui exerce une activit conomique relle et effective seraconsidr comme travailleur u sens du droit ; peu importe que l'employeur ne soit pas une


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entreprise (association )ITC 11/01/2007 reconnat la qualit de travailleur une agence de placement, un intermdiaire,dans la mesure ou il tait rmunr pour chaque emploi trouver.

L' exception d'emploi d'administration publique est trs restrictive, emploi qui participe directementou indirectement l'exercice de la puissance publique et au fonction ayant pour objet la sauvegardedes intrt gnraux de l'Etat ou des autres collectivit publique, et qui suppose de ce faite de la partde leur titulaire l'existence d'un rapport particulier de solidarit l'gard de l'tat ainsi que larciprocit des droits et des devoirs, qui sont le fondement du lien de nationalit => 17/12/1981COMMISSION CONTRE BELGQIUESOTJIU 12/02/1974 : cour avait affirm que le lien juridique entre travailleur et l'administration estindiffrent, peu importe la nature public ou priv de l'emploi, s'agit-il d'un emploi avecl'administration public, peut importe la nature du contrat.Conception fonctionnel et non pas institutionnelDe ce faite la plus part des emploi son ouvert (institution, recherche ect ...) ce qui relve de

l'administration, seront les emplois dans la police, ou dans la justice, la dfense national.

Au coeur se trouve l'activit conomique.

B LA NOTION D'ACTIVITE ECONOMIQUE

Puisque le travailleur est celui qui a une activit conomique il faut apprhender la notion.Es activit purement social sont exclu du champs d'application de la libre circulation des travailleuret y compris si elles sont exerc contre rmunration, CJ activit de rducation et rinsertion d'une

personne tait exclut 31/05/1989 BETTERAYTROJANI 07/09/2004 La cours saisie de la situations d'un Fr hberger par l'arm su salut enBelgique et qui effectuerdes prestation dans le cadre d'un projet professionnel, et la cour renvoieau juge national le soin de vrifier si les prestation devait relever du secteur marchand ou pas.Pour les sportif, la prsence de joueurs trangers dans des clubs a pos problme, il y avait unelimitation n'tait elle pas contraire la libre circulation? Activit sportif tait-elle une activitconomique?WALRARE 12/12/1994 et DONA MONTERO 14/07/1996 et BOSMAN 15/12/1995 OL C/OLIVIER BERNARD 16/03/2010 ; DELIEGE 11/04/2000; LEHTONEN 13/04/2000 dans

plusieurs sport la cours a dfini sa doctrine ne la matire et d'abord considr que l'exercice dusport peut constituer une activit conomique et relever du droit communautaire => pasd'incompatibilit de principe, et l'exercice du sport relve du droit communautaire dans la mesur ou

il constitue une activit conomique. L'exercice du sport relve du droit communautaire que s'ilconstitue une activit conomique. Dans quelle hypothse va -t-il tre une activit conomique?C'est le cas lorsque la pratique du sport est de joueurs professionnel ou semi-professionnel. Dansl'arrt de LIEGE la cours apporte une prcision que le fait qu'une association range ses sportif parmiles amateur, est sans influence sur la nature conomique du sportif, ce qui compte est larmunration du sportif.1re consquence : Sport doit tre ouvert en totalit, aux ressortissant des Etats membres (affirmerdans BOSMAN) la cours condamne les clause de nationalit, et elle condamne les clausesfinancires prvoyait des indemnits de transfert ou de formation la fin des contrats; mais c'estune entrave non discrimination.Pour les clauses de nationalit il y a des exceptions, c'est pour la slection national il est vident que

l'on peut exiger une clause de nationalit (elle l'a fait dans l'arrt BOSMAN).

04/11/2010


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rattrapage le samedi 27novembre 10H B

l'union europenne acceptait le principe d'quipe nationale, car elle revtirait un caractre

uniquement sportif (totalement hypocrite), on peut se demander si on fonde de la reprsentation deleur tats comme l'administration publique.La cour dans l'arrt Delige du 11 avril 00 que cette exception concernant la composition desquipe nationale, valait autant pour les sports collecti

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Droit de l'U€ -Lib de Circulation