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ECOLE SUPERIEIRE DE TECHNOLOGIE MEKNES Projet de fin d’étude L’APPLICATION DES NORMES IAS/IFRS AU MAROC Réalisé par : Achraf AZBIGE et Elmahdi KARDACH

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ECOLE SUPERIEIRE DE TECHNOLOGIE MEKNES

Projet de fin d’étude

L’APPLICATION DES NORMES IAS/IFRS AU MAROC

Réalisé par : Achraf AZBIGE et Elmahdi KARDACH

Encadré par: MR.ABOULHASSANI

Département:TM Fillière :TC Année:2014/2015

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Avant de prolonger avec vous dans le contenu de notre présentation, nous profitons l’occasion pour exprimer nos vifs remerciements à toute personne ayant contribué, de près ou de loin, à la réalisation de ce travail.

Nous souhaitons tout d’abord remercier notre encadrant MR.Aboulhassani, qui nous ont encadrés avec patience durant la réalisation de ce travail de fin d'études. Leurs conseils nous ont été bien utiles, notamment pour la rédaction de ce mémoire. L’expression de notre haute reconnaissance à Mr. Yassine bensbahou(responsable à COSUMAR)et Mr.mohamed el arfaoui(expert comptable) qui n’ont épargné aucun effort pour mettre à notre disposition la documentation et les explications nécessaires.

Nous exprimons également notre gratitude aux membres du jury, qui nous ont honorés en acceptant de juger ce modeste travail.

Enfin nous tenons à remercier l’ensemble du corps enseignant de la Filière techniques comptable.

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Table des matièresIntroduction

Etude théorique 5

Présentation et application des normes IAS/IFRS au Maroc 5

Les normes IAS/IFRS face à la normalisation marocaine 10

Etude pratique 4

Présentation des états financiers du groupe COSUMAR selon les normes IAS/IFRS 23

Présentation des états financiers du groupe COSUMAR selon les normes marocaines 36

Conclusion

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Au 01/01/2015, tous les groupes cotés en bourse en Europe doivent présenter leurs comptes consolidés selon les normes IAS appelé désormais IFRS, ces dernier ont pour but d’être le langage comptable international, les entreprises marocaines auront tout avantage à anticiper cette évolution, toute entreprise qui souhaite évoluer sur les marchés internationaux devra tenir compte de ces normes.

Au premier chef, les entreprises concernés par ces normes sont les filiales marocaines des groupes européens cotés, afin d’être en harmonie avec la maison mère.

Mais, les autres entreprise peuvent adopter pour les normes IFRS, soit parce qu’elles sont susceptibles d’intéresser les investisseurs étrangères, soit parce qu’elles recourent au financement sur le marché international.

Dans ce modeste rapport, on a essayé de présenter

toutes les informations qu’on a pu collectés concernant les

normes IAS/IFRS. Premièrement, une présentation générale

de ces normes .ensuite, leur application au Maroc.

Finalement, une étude comparative entre la normalisation

marocaine et les normes internationales (présentation des

états financiers )

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1ère partie : étude théorique

Chapitre 1 Présentation et application des normes IAS/IFRS

I. Présentation des normes IAS/IFRS1) Définition

Les IAS/IFRS (International Financial Reporting Standards)

sont un ensemble de recommandations ayant pour objet une harmonisation au niveau international de l'information financière dans tous ses aspects, y compris comptable, pour une meilleure comparabilité et une meilleure transparence des états financiers publiés par les Entreprises et les Groupes.

Les IAS/IFRS concernent la comptabilité, mais aussi toutes les fonctions de l’entreprise, de la société mère aux filiales. Les normes comptables internationales IAS/IFRS se fondent sur une philosophie propre. Elles introduisent un véritable changement d’esprit par rapport à la tradition comptable, en privilégiant les investisseurs comme destinataires de la comptabilité, en adoptant de nouveaux concepts à savoir : « La prééminence de la réalité économique sur la forme juridique » et « La juste valeur » et en soulignant « la primauté du bilan sur les comptes des produits et charges »

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2) Les objectifs des normes IAS/IFRS

Les IAS/IFRS ont pour objectif d’appliquer des normes comptables compréhensibles, capables de fournir une information transparente et de qualité, destinée aux utilisateurs (dirigeants, investisseurs, membres du personnel, fournisseurs, clients, État…) afin de les sécuriser et les aider dans leur prise de décisions.

L’idée est de fournir une information financière à jour, de qualité, susceptible de donner une image plus fidèle sur la réalité économique d’une entreprise, indépendamment du système juridique et fiscal de son pays d’origine; ce qui permettra une meilleure comparabilité des performances des entreprises à l’échelle internationale. L’objectif ultime des normes comptables internationales IAS/IFRS est de fournir une information financière utile pour les utilisateurs.

Elle doit être:

Pertinente Fiable Comparable

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II. Le Maroc et les normes IAS/IFRS

1) APPLICTION DES NORMES IAS/IFRS au Maroc

Dans le but d’uniformiser l’information comptable et financière, les IAS seront appliquées en 2007 dans les sociétés cotées. L’entreprise marocaine doit se préparer activement à ce changement.

D’une part un d’expert doit être mis en place afin d’être l’interlocuteur privilégié, à la fois de la commission et l’ASB (international accounting standards board). Ce groupe va jouer un rôle proactif dans l’élaboration des nouvelles normes.

D’autre part le CNC (conseil national de la comptabilité) doit participer activement aux travaux de l’IASB, en particulier au projet de norme sur les dispositions de la première application des normes IAS afin d’œuvrer à la convergence, à terme, des règles marocaines avec les normes.

les bénéfices attendus par les entreprises marocaines du projet de conversion aux normes internationales se présentent dans les points suivants:

L’adoption des normes IAS/IFRS permettra aussi aux entreprises marocaines de bénéficier d’un référentiel

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comptable unique avec des normes et des principes standardisés au niveau international, ce qui facilitera le contrôle interne et simplifiera l’audit externe. Une telle harmonisation de l’information financière garantit un degré élevé de transparence et de comparabilité des états financiers, et par conséquent un meilleur accès au marché de capitaux internationaux.

L’application des normes IAS/IFRS facilitera les travaux comptables des filiales des entreprises marocaines avec des entreprises mères à l’étranger. En effet, ces dernières ne seront plus obligées d’établir les états suivant deux référentiels marocaines et IAS/IFRS, ce qui entraîne des moins de coûts et plus de pertinences de l’information financière.

2) le passage aux normes IAS/IFRS

L’adoption des normes IAS comportera certains couts, en particulier pendant la première année, mais cet investissement s’avère très rentable à long terme. La transparence accrue et une meilleure comparabilité des informations financières entraineront en définitive une diminution du cout que supportèrent les sociétés pour lever des capitaux, ce qui contribuera à promouvoir la compétitivité de l’industrie. En donnant un langage commun aux entreprises ces règles, élaborées par des organismes privés indépendants,

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permettent aux investisseurs de faire leurs choix .enjeu économique majeur, elles provoquent une véritable lutte l’influence entre les pays.

Les Entreprises marocaines concernés par le passage aux IAS/IFR

Certaines entreprises marocaines sont déjà passées aux IAS/IFRS, d’autres sont encours de transition. Dans ce sens, on peut distinguer les entreprises ayant appliqués les normes IAS/IFRS par option (ONA, LAFARGE, COSUMAR, MANAGEM, SAMIR, RAM) de ceux qui les ont appliqués par obligation (MAROC TELECOM, CDG, BMCE, CIH, …etc.).

Au Maroc, trois catégories d’entreprises sont concernées par ces normes :

- Les entreprises cotées à la bourse des valeurs : En se basant sur l’article 14 de la loi au 21/9/1993, l’application des normes IAS/IFRS est par option et ce à partir de 2007

- Les établissements de crédit et assimilés (cotés ou non cotés) : la note circulaire de Bank Al Maghreb obligent ces derniers à appliquer les normes IAS/IFRS à compter de 2008

- Et les établissements publics: l’application des IAS/IFRS est par option à partir de 2008, en se référant à la loi 38-05 relatives aux comptes consolidés des établissements et entreprises publics.

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Chapitre 2 Les normes IAS/IFRS face à la normalisation comptable marocaines (présentation des états financiers)

I. présentation des états financiers selon les normes IAS/IFRS

1)Les éléments à présenter

Les états financiers comprennent:

• Un tableau de la situation financière

• Un tableau de résultat global

• Un tableau de flux de trésorerie

• Un tableau de variation des capitaux propres

• Une annexe

o objectif Fournir des informations sur la situation financière, la

performance financière et les flux de trésorerie de l’entreprise qui soient utiles à un large éventail d’utilisateur pour la prise de décisions économiques.

présentation d’une image fidèle

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oPas de plan comptable standard et de présentations standard de ces documents

le tableau de résultat global

o Définition: document regroupant tous les éléments

de charges et de produits transitant par le résultat ou directement inscrits aux capitaux propres. Eléments à présenter:

o Produits des activités ordinaires;

o Charges financières

o Charge d’impôt sur le résultat

o quote-part dans le résultat net des entreprises associées et

o des co-entreprises mises en équivalences;

o Intérêts minoritaires;

o Résultat de l’exercice;

o Résultat net de l’exercice part du groupe

le tableau de la situation financière

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définition: un inventaire économique à une date t. Classement des actifs et passifs selon le caractère courant

ou non courant. Définition d’un actif courant:

• -actif utilisé ou vendu dans le cadre du cycle d’exploitation

• -actif détenu à des fins de transaction à court terme

(≤12moissuivant la clôture de l’exercice)

• -actif détenu essentiellement aux fins d’être négocié

• -ou trésorerie ou des équivalentes trésoreries.

le tableau de flux de trésorerie

Cet état n’est pas prévu par la NCM, mais présenté dans l’état IAS7

Présentation de l’état des flux de trésorerie

L’état des flux de trésorerie doit présenter en activité d’exploitation, d’investissement, et de financement

Activités d’exploitation: les flux de trésorerie d’exploitation proviennent Principalement des activités génératrices de produit de l’entreprise, tels que les flux provenant de la vente de biens, les sorties de fonds à des fournisseurs de biens et service.

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Activités d’investissement: porte sur l’acquisition et la cession des actifs à long terme et tout autre investissement qui n’est inclue dans l’équivalant de liquidités tel que l’acquisition et cession d’immobilisation corps, TP….

Activités de financement: ce sont les activités qui entrainent des Changements quant à la composition des capitaux propres et des capitaux empruntés par l’entreprise.

le tableau de variation des capitaux propres

L’état de variation des capitaux propre constitue une composante des

états financiers .cet état doit présenter :

Le résultat net de l’exercice

Les éléments de produits et charges, de profits ou de pertes comptabilisées dans les capitaux propres.

L’effet cumulé des changements de méthode comptables et corrections d’erreurs fondamentales

Transaction sur le capital avec les propriétaires et les distributions

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Solde des résultats accumulés et non distribué an début d’exercice à la date de clôture.

L’annexe

contenu:

Enoncé des bases d’évaluation et des méthodes comptables utilisées.

Informations imposées par les IFRS et non présentées ailleurs dans les états financiers.

Informations relatives aux hypothèses futures attendues et sur toute autre évaluation incertaine pouvant amener à un ajustement des montants des actifs et passifs de l’exercice à venir.

2) Points de divergence

L’IAS 01 ne traite que de la présentation des états financiers.

Les retraitements prévus par la NCM et IAS01 pour la présentation des États financiers divergent sur les points suivants :

Le contenu des états financiers

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Les considérations générales pour l’élaboration des états financiers

Rapidité de la diffusion des états financiers

Distinction entre les éléments courants et les éléments non courants

Le traitement des intérêts et dividendes au niveau de l’état de flux de trésorerie

Le traitement de l’immobilisation acquis en leasing au niveau de l’état des flux de trésorerie

Les informations à fournir au niveau de l’état des flux de trésorerie

II. Analyse comparative

1) Dispositions général La nature des états financiers

NCM IAS 01Les états financiers comprennent :

Bilan Compta de produit et

charge Etat de solde de gestion Tableau de financement Etat des informations

complémentaires

Les états financiers comprennent :

Un bilan Un compte de

résultat Un état de variation

des capitaux propres Un tableau des flux

de trésorerie

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Tout rapport de gestion supplémentaire doit être séparé des états financiers.

Les méthodes comptable et note explicatives

L’IAS 01 encourage les sociétés à présenter un rapport de gestion de même qu’un état supplémentaire sur l’environnement et des états sur la valeur ajoutée

Considération général pou l’élaboration des états financiers

NCM IAS 01 L’image fidèle et la

conformité aux normes comptables:

conduit l’entreprise à publier des états financiers qui donne une image fidèle.

Méthodes comptable: Une entreprise doit sélectionner et appliquer les méthodes comptable à fin que les états

L’image fidèle et la conformité aux normes comptables internationales:

conduit l’entreprise à publier des états financiers qui donne une image fidèle.

Méthodes comptable:une entreprise doit sélectionner et appliquer les méthodes comptable à fin que les états

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financiers soient conformes aux normes comptables.

La bonne information:les états financiers doivent diffuser des informations fiables et utiles à la prise de décision pour ceci ils doivent inclure des notes aux étatsfinanciers qui expliquent les éléments présentés dans le corps des autres états financiers.

La norme général précise dans ces paragraphes relatives aux dispositions communes à l’ensemble des états financiers que:

L’entreprise doit présenter des informations qu’on doit comparer au titre de l’exercice précédent

Les postes non significatifs doivent être regroupés alors que les postes significatifs doivent être présentés séparément

La compensation entre les postes d’actifs et de passifs ou entre les postes de charges et de produits n’est pas autorisée

financiers soient conformes aux normes comptablesinternationales.

Importance relative et regroupement :

Les postes non significatifs doivent être regroupés alors que les postes significatifs doivent être présentés séparément

Information comparative :L’entreprise doit présenter des informations qu’on doit comparer au titre de l’exercice précédent

Les hypothèses sous jacents :

les états financiers doivent être établis sur la base de 2 hypothèses suivant:

La continuité s’exploitation La comptabilité

d’engagement Cohérence de la

présentation:la présentation et la classification des postes doit être la même d’un exercice à un autre sauf si elle est avantageuse

La compensation:les actifs et les passifs, les charges et les produits ne doivent pas être compensés sauf si une norme internationale

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l’autorise.

2) Structure et contenu des états financiers information communes à tous les états financiers

L’entreprise doit indiquer dans chacune des pages des états financiers :

le nom de l’entreprise la date de l’arrêté des comptes et la période couverte par les états financiers l’unit é monétaire, la présentation de chiffres arrondis est admise tant que l’importance significative est respectée. La mention consolidée, s’il s’agit d’un groupe d’entreprise.

Durée de l’exercice

NCM IAS 0112 mois, elle peut exceptionnellement être inférieure à douze mois pour un exercice donné.

Les états financiers doivent être élaborés au moins une fois par an.La durée de l’exercice peut être supérieure ou inférieure à un an

Délai de réalisation des états de synthèses

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NCM IAS 01Les états financiers sont présentés au plus tard dans les trois mois qui suivent la date de clôture de l’exercice comptable.

Dans les 6 mois à partir de la date de clôture

Le bilan C’est de synthèse traduisant en termes comptables

d’emploi (àl’actif) et de ressources (au passif) la situation patrimonial de l’entreprise. Distinction entre les éléments courants et non courants

o les actifs

NCM IAS 01Elément courants : un actif est classé comme actif courant lorsque :

Il fait partie des activités d’exploitation et il est consommé dans le cours normal du cycle d’exploitation Il est détenu à des fins

de placement ou pour une courte période (12mois à

Eléments courants : un actif est classé comme actif courant lorsque : L’entreprise s’attend à

pouvoir réaliser l’actif, le vendre ou le consommer dans le cadre du cycle d’exploitation normal L’actif est détenu à des

fins de transactions ou pour une courte durée et

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compter de la date de clôture).

Tous les autres actifs doivent être classés en tant qu’actif non courants.

l’entreprise s’attend à le réaliser dans les douze mois suivant la date de clôture. L’actif est de la

trésorerie ou un équivalant de trésorerie dont l’utilisation n’est pas soumise à restrictions.Tous les autres actifs doivent être classés en tant qu’actifs non courants

o Passifs

NCM IAS 01Passifs courants : un passif est classé parmi les passifs non courants lorsque :

Il est attendu qu’il soit réglé par l’utilisation de la trésorerie provenant des éléments classés comme actifs courants ; ou

Qu’il doit être réglé dans le 12 mois après la date de clôture de l’exercice

Tous doivent être classés en tant que passifs non courants

Passifs courants : un passif est classé parmi les passifs courants lorsque :

Il est attendu que le passif soit réglé dans le cadre normal de l’entreprise ; ou Le passif doit être

réglé dans les 12 mois après la date de clôture de l’exercice.

Tous les autres passifs doivent être classés tant

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que passifs non courants

Etat des soldes de gestionCet état n’est pas prévu par les normes IAS/IFRS, mais

présente dans les états marocaines .cet état comporte 2 tableaux : Tableau de formation des résultats Tableau de calcul de l’autofinancement. L’état de flux de trésorerie

Cet état n’est pas prévu par la NCM, mais présente dans l’état IAS 07.

Traitement des intérêts et des dividendes : Les intérêts et des dividendes versés sont classés parmi les flux de trésorerie la NCM ne traite pas des intérêts et dividendes reçu.

Les Immobilisation acquises en leasing : Pour les immobilisations acquises en leasing, le remboursement en principal sont considérés comme une sortie de trésorerie liée aux activités de financement. Variation des capitaux propres

Cet état n’est pas prévu par la NCM., mais présente dans les normes IAS/IFRS. Notes annexes aux états financiers

NCM IAS 01

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Informer sur les bases retenues pour l’élaboration des états financiers et sur le choix des principes comptables.

Fournir des informations supplémentaires ne figurant pas dans le corps des états financiers et indiquer tous compléments nécessaires à l’obtention d’une image fidèle.

Divulguer les cas de no respect des normes comptable.

(comparable)

(comparable)

Indiquer les informations imposées par les normes internationales qui ne sont pas présentés par ailleurs dans les états financiers

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2ème partie : étude théorique

Chapitre 1 états financiers du groupe COSUMAR selon les normes IAS/IFRS

I. Présentation et interprétation des états financiers.

COSUMAR « Compagnie Sucrière Marocaine de Raffinage » est un groupe marocain, filiale de la SNI (Société Nationale d’Investissement), spécialisé dans l'extraction, le raffinage et le conditionnement du sucre sous différentes formes. Il est devenu l'unique opérateur sucrier marocain après l'acquisition de SUTA, SUCRAFOR, SUNABEL et SURAC en 2005.Cosumar se compose de cinq sociétés :

•Cosumar SA : cette société regroupe la raffinerie de Casablanca et les sucreries de Doukkala. le morceau sous la marque "Enmer".

•Sunabel : regroupe les sucreries de la région Gharb-Loukkos, elle produit du sucre granulé commercialisé sous la marque "El Bellar".

•Surac : la sucrerie raffinerie de canne située à MechraBelKsiri produit le lingot, le morceau et le sucre granulé, disponible sous le nom "Al Kasbah".

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•Sucrafor : Créée en1972, la sucrerie raffinerie deL'Oriental produit du sucre blanc granulé, sous la marque "la Gazelle".

•Suta : les sucreries duTadla, crées en1971, produisent du sucre granulé et du lingot, commercialisés sous la marque "Palmier

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Des informations concernant les deux dernières années

La forme :

Selon les normes IAS/IFRS le bilan est le document le plus important dans la présentation des états financiers, car il présente la situation patrimoniale de l’entreprise, et exprime ses performances, on observe que le bilan de COSUMAR est composé de 2 parties, l’actif qui présente les emplois de cette dernière et le passif constitue ses ressources, commençants par l’actif il est composé de deux grandes phases, l’actif courant qui comprend les éléments supérieure à un an et l’actif non courant pour les éléments dont le règlement est inférieure à un an. Au passif il y a aussi deux phases les éléments courant et non courant, on observe que le bilan contient des informations concernant les deux dernières années.

Analyse :

On observe que les ressources stables de l’entreprise couvre les emplois stables, car 5318/4349.5>1, aussi on a que l’actif courant du groupe COSUMAR est supérieure à son passif courant, cela signifie que l’entreprise opte pour une stratégie d’activité très favorable, à partir de ces statistiques on peut dire que COSUMAR a une bonne performance.

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Des informations concernant les deux dernières années

Forme :

Le cpc du groupe COSUMAR a consacré la première partie pour les produits d’exploitation et les charges d’exploitation afin de dégager un résultat d’exploitation, la deuxième partie réservée pour les éléments opérationnels en vue de dégager un résultat non courant, puis une troisième partie qui déclenche un résultat financier. Ces trois résultats nous permettent d’avoir un résultat avant impôt, la dernière partie consacré pour les résultats de consolidation, puis on a un autre tableau ou on dégage un résultat global net du groupe COSUMAR.

Analyse :

On observe que COSUMAR dégage un résultat d’exploitation positif qui signifie que la politique commercial de l’entreprise est favorable, et pour le résultat opérationnel il est aussi positif, COSUMAR dégage un résultat financier de 71.3 million de dirhams, mais il est inférieur à l’année précédente, le même pour le résultat avant impôt, finalement le groupe COSUMAR a réalisé un résultat global positif ce qui désigne qu’il sont dans une meilleure situation et que l’entreprise adopte une politique financière favorable.

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.Des informations concernant les deux dernières années

LA FORME :

A ce niveau, le groupe COSUMAR présente deux tableaux de variation de capitaux propres, le premier concerne l’année 2012 et le deuxième pour la période du 01/01/2013 au 31/12/2013, d’où sont présentés les éléments suivants :

Le résultat net de l’exercice Les profits ou pertes comptabilisés dans les capitaux

propres L’effet cumulé des changements de méthode

comptable et correction d’erreurs fondamentales Les transactions sur le capital avec les propriétaires et

les distributions.

L’analyse :

On observe que le capital du groupe COSUMAR n’a pas connu un changement, pendant les deux dernières années, les réserves non distribués ont augmentés pour atteindre 3104 ,1million de dirhams, aussi les parts de groupes ont augmentés de 220 ,7 million de dirhams.

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Des informations concernant les deux dernières années

La forme :

L’état de flux de trésorerie doit présenter les flux de trésorerie en activités d’exploitation, d’investissement, et de financement, c’est pourquoi COSUMAR a divisé son tableau en trois grandes catégories, pour les années 2013/2012.

L’analyse :

On observe que le budget le plus important est consacré pour les activités opérationnels, avec un montant de 901 ,11 million de dirhams, puis il réserve à ses activités de financement jusqu’à 38 ,2 million de dirhams. On vue de financer ses investissements COSUMAR a proposé 440,3 million de dirhams

Cela signifie que COSUMAR a une capacité de financement, et elle a pour finalité de réaliser des ressources futures.

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Analyse :

Cette partie consiste a énoncé les bases d’évaluation et les méthodes comptables utilisées par le groupe COSUMAR en vue d’élaborer ses états financiers, et comprend aussi les informations relatives aux hypothèses futures attendues et sur toute autre évaluation incertaine pouvant amener à un ajustement des montants des actifs et passifs de l’exercice à venir.

Dans cette phase COSUMAR est obligé d’informer sur les bases retenues pour l’élaboration des états financiers et sur le choix des principes comptable, aussi on observe que COSUMAR a donnée des informations ne figurant pas à ses états financiers à savoir :

La consolidation La gestion des stocks Les avantages du personnel

Finalement, COSUMAR présente un résumé du rapport des commissaires aux comptes sur les états financiers consolidés au 31/12/2013.

Chapitre 2 présentation des états financiers de COSUMAR selon les normalisation marocaine

I. Présentation et interprétation des états financiers.

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L’analyse de la présentation selon la normalisation marocaine

A travers les états financiers publiés par le groupe COSUMAR, on observe qu’il est obligatoire de présenter quatre états financiers plus les annexes.

Premièrement, le bilan qui présente le patrimoine de l’entreprise, il est divisé en deux grandes parties, les passifs qui constituent les ressources et les actifs qui présentent les emplois du COSUMAR, chaqu’un de ces deux éléments est répartie en trois phases

Les éléments supérieurs à un an (actif immobilisé et financement permanent)

Les éléments inférieurs à un an (actif et passif circulant) La liquidité et l’exigibilité (trésorerie actif et passif)

On constate qu’au niveau de l’actif les éléments sont enregistrés par leur valeur nette, et n’ont pas par la valeur brute, c’est pourquoi COSUMAR a divisé son actif en trois cases, le brut, les amortissements ou les provisions, et le net .ce dernier est calculé comme suit :

Brut-amort /provision=net

Selon la normalisation marocaine le total d’actif doit être égal au total du passif et c’est le cas pour COSUMAR.

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Secundo, le comptes des produits et charges est un document essentielle, car il permet à COSUMAR de dégager les résultats suivants :

Le résultat courant Le résultat non courant Le résultat avant impôt Résultat net de l’exercice

C’est pourquoi le groupe a divisé son compte des produits et charges en trois catégories, les activités d’exploitation, les activités financière, et les activités non courants. Chaque élément dégage un résultat, et par la suite fait la somme pour faire apparaitre un résultat avant impôt ; COSUMAR est comme toutes les sociétés anonymes soumises à un impôt sur le résultat, que le groupe doit le retrancher de son résultat avant impôt, afin de dégager un résultat net de l’exercice2013, ce dernier est le même résultat figurant dan le bilan de 2013.

Selon la normalisation marocain, Le compte des produits et charges constitue un document très important, car au Maroc le système comptable est très attaché avec la la législation et la fiscalité.

Troisièment, l’état de solde de gestion est un document qui à COSUMAR de visualiser comment le groupe a généré son bénéfice, à ce niveau on observe que l’entreprise a présenté deux tableaux :

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Tableau la formation des résultats : qui sert à dégager le résultat suivants : résultat d’exploitation, le résultat financier, et le résultat non courant, en vue de dégager un résultat net de l’exercice, qui présente un indicateur très important pour apprécier la gestion de l’entreprise. Tableau de calcul de l’autofinancement : qui permet à COSUMAR de mesurer sa capacité de se financer sans recours à l’endettement, à ce niveau on observe que le groupe est dans une bonne situation par une capacité d’autofinancement de 3.063.6000 million de dirhams en 2013, malgré la diminution qui réalisé par rapport à l’année précédente de 411.340.701 million de dirhams.

Quatrièment, Le tableau de financement est établi à l'issue des travaux d'inventaire, en même temps que les comptes annuels et les documents de synthèse. Il est donc obligatoire pour le groupe COSUMAR. Le Tableau de Financement comprend deux parties :

le tableau I, consacré aux ressources et aux emplois de l'exercice. Il fait apparaître la Variation (+/-) du Fonds de Roulement Net Global.

le tableau II qui détaille l'affectation de cette variation en : • Variation du Besoin en Fonds de Roulement d'Exploitation, • Variation du Besoin en Fonds de Roulement Hors Exploitation, • Variation de la Trésorerie Nette.

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NB : A une ressource nette du tableau I correspond un emploi net dans le tableau II et vice versa. Il importe de compléter les différentes rubriques du tableau de financement (T1 et T2) à l'aide d'informations chiffrées, extraites des documents de synthèse produits à la fin de l'exercice comptable, des tableaux de l'annexe et des informations complémentaires fournies.

Cinquièment, les annexes comme nous avons indiqué l’annexe est un document obligatoire pour la présentation des états financiers du groupe COSUMAR, l’annexe comptable est un document dont l’objectif est d’apporter de l’information et d’aider à la compréhension du compte de résultat et du bilan comptable du groupe, on observe que l’annexe de COSUMAR contient :o commentaires sur les éventuelles dérogations à

l’amortissement sur 5 ans des frais de R&D,o explications sur les reprises exceptionnelles

d’amortissements,o explications sur les produits et charges imputés sur un

autre exercice comptable,o explications sur les charges à payer et les produits à

recevoir,o méthodes d’évaluation retenues pour les postes du bilan

et du compte de résultat,o méthodes de calcul des amortissements, des provisions

et des dépréciations,o méthodes utilisées pour la réévaluation

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o Informations sur les intérêts des capitaux empruntés inclus dans le coût de production d’une immobilisation

o échéancier des créances et des dettes (moins d’1 an, entre 1 et 5 ans, plus de 5 ans),

o dettes garanties par des sûretés réelles,o engagements financiers de l’entreprise envers les

dirigeants, les filiales, les entreprises liées et les autres participations,

On observe aussi que COSUMAR présente un résumé du rapport des commissaires aux comptes sur les états financiers consolidés au 31/12/2013.

Analyse pratique :

A travers le bilan , on observe que les ressources stable de COSUMAR couvre ses emplois stable ,car le financement permanent comprend un montant de 3.680.111.797,98Dirhams contre 3.209.394.158,98DHS pour l’actif immobilisé , il faut signaler aussi que le patrimoine à court terme permet à COSUMAR de faire à ses engagements à court terme , on constate que le niveau du stock est élevé ,il présente jusqu’à 50% de l’actif circulant, aussi cela concerne les dettes fournisseur qui constitue un montant de 1.969.799.083,87 Dirhams.il faut bien noter que le bilan du groupe COSUMAR a connu une diminution de 513.601.,58 DHS par rapport à l’année 2012 ,on peut déduire que le capital de COSUMAR est de 3.187.458.665,25de Dirhams dont un bénéfice de 582.252.631,56 DHS .

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Le compte des produits et charges du groupe COSUMAR présente les résultats suivants :

Le résultat courant =794.351.867,25 Le résultat non courant =-15.597.545,69 Le résultat avant impôt =778.754.321,56 Résultat net de l’exercice =582.252.631,56

En premier lieu ,on observe que le résultat courant du groupe COSUMAR constitue un élément favorable, car il reflète le surplus dégager par les opération liés à l’activité ordinaire de l’entreprise, par contre même si le résultat non courant est négatif ce n’est pas un indicateur exacte , car il résulte des opérations qui ne relève pas de l’activité ordinaire de l’entreprise, l’élément qu’il faut signaler est le résultat d’exploitation positif ,car il représente le solde final du CPC qui intègre tout les aspects de l’entreprise, mais le RNE n’indique pas la situation réel de COSUMAR ,il faut toujours se référer au résultat d’exploitation ,car il présente un indicateur très important pour apprécier la gestion du COSUMAR.

A ce niveau, on observe que le résultat d’exploitation du groupe COSUMAR représente un montant positif de 739.864.882,94 de dirhams, ce qui conduit à dire que l’exploitation dégage des bénéfices permettant à COSUMAR de survivre et de se développer.

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En conclusion, le passage aux normes IFRS n'est pas seulement un changement de référentiel comptable, c'est aussi l'adoption d'un système totalement différent de mesure de la performance et de communication avec les marchés.

La plupart des entreprises gagneront en transparence du fait, par exemple, de la présentation des informations par segments et de la reconnaissance des produits dérivés à leur juste valeur dans le bilan. Plus généralement, c'est une information homogène, plus détaillée et de meilleure qualité que devront fournir les entreprises. D'autre part, l'application de ces normes induira plus de transparence en termes de rating puisqu'elles permettront une bien meilleure comparabilité (base harmonisée).

Nous sommes d'avis que c'est à chaque dirigeant de juger si l'adoption des IFRS peut être intéressante pour son entreprise. Par ailleurs, depuis 2005, les sociétés non cotées qui établissent des comptes consolidés, peuvent également, si elles le veulent, appliquer les IFRS. Tout cela pourrait donc bien signifier que l'application des IFRS aux autres sociétés non cotées (celles qui établissent uniquement des comptes simples) pourrait se concrétiser dans un avenir relativement

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proche. Les IFRS pourront se révéler une opportunité vraiment intéressante pour les sociétés non cotées d'une certaine importance qui raisonnent et opèrent dans un contexte international.

Si les normes internationales apportent certainement plus de rigueur et de cohérence, notamment sur les marchés internationaux, que vont-elles réellement changer en terme de transparence, concept si changeant et relatif ? Les dérives ne seront-elles pas tout aussi nombreuses qu'aujourd'hui ?

Les interrogations soulevées par les derniers scandales boursiers remettent en cause l'establishment de la fiabilité des informations comptables. Les différents outils d'investissement connus et l'environnement, au sens large, de l'entreprise cotée se sont modifiés en réaction pour rassurer les investisseurs.

Cependant, même si la loi sur la sécurité financière et les notions d'audit interne tentent d'écarter les problèmes liés à la comptabilité dite « créative » et autres manipulations, des questions peuvent encore être posées quant à la validité et la fiabilité des informations fournies. Dans un avenir proche, et ce, grâce aux nouvelles technologies de gestion, et à la gouvernance d'entreprise, ces risques devraient cependant être plus réduits. Le développement de critères sociaux et environnementaux, par nature non financier, ouvre la question de l'évolution que ces critères prendront pour le marché et les actionnaires.

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La question reste finalement ouverte et seul l'avenir et l'application concrète du référentiel permettront de se faire une idée juste à ce sujet.

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Mme meriem bourkha ,enseignant chercheur, Cours des normes IAS/IFRS.

Mr adil mohamed, enseignant chercheur, Cours de l’harmonisaton comptable

Mr charba mohamed, enseignant chercheur, Cours de l’analyse financière

Code général de normalisation comptable Marocain « CGNC »

Le plan comptable général Français de 1999, version applicable au 1ere janvier 2005

Azzouz el hamma « comprendre les normes comptables IAS/IFRS au maroc »

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