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Le Nawak sans arrêtes

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L'IMAGE DU MOIS

Putain de poisson rouge !!!

LA PENSEE DU MOIS

« La mort c'est un peu comme la connerie. Le mort il ne sait pas qu’il est mort, ce sont les autres qui sont tristes. Pour le con c’est

pareil… »

Philippe Geluck.

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LE NAWAK

Nous allons tenter de répondre aujourd’hui à une question que tous, sans exception, vous vous êtes sûrement un jour posée. Une question qui a plus d’une fois hanté vos nuits et vos rêves les plus fous. C’est le genre de question à laquelle, j’en suis sûr, vous avez toujours souhaité trouver une réponse…

Cette question, c’est :

C'est quoi, un con ?

Aujourd’hui, je vous donne la réponse…

Con provient de l’étymon latin cunnus (vulve). Au Moyen Âge, les diminutifs connil et connin (latin cuniculus) désignaient le lapin ainsi que les conduits et tuyaux, pour être remplacé par le nom actuel de l’animal (de laperau) vers le XVe siècle en raison de l’usage persistant de l’acception vulgaire de con et connin, attestée dès le XIIe siècle dans le Roman de Renart. Le nom de l'animal a été conservé dans de nombreuses langues romanes : conejo en castillan, coniglio en italien, conill en catalan, coelho en portugais. Il a d’ailleurs été emprunté par l'anglais — ainsi qu’une partie importante des langues germaniques — via l'ancien français : coney, d’usage courant jusqu’au XIXe siècle. En castillan, l’étymon cunnus a produit coño qui est l'équivalent de notre con moderne, en toutefois moins vulgaire ; coney ou cony possède aujourd'hui cette acception en sus du sens animalier. Le portugais conho est un faux cognat ; dérivé cuneus, il n'a pas cette signification.

Vers le XIXe siècle le vocable français prend un sens figuré injurieux et se met en place une construction adjectivale. L'emploi était alors misogyne, exploitant l'impuissance et la passivité du sexe féminin de l’imaginaire collectif. Aujourd'hui, l’absence fréquente d’accord en position d’attribut ou d’apposition (par exemple Elle est con.) rappelle l'origine nominale de l'expression, sans qu'il soit toutefois fait référence consciente à la vulve.

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L'ancienne acception physiologique est aujourd'hui vieillie, bien que la majorité des francophones cultivés la comprenne encore.

Le dérivé déconner avait jusqu'à la fin du XIXe siècle le sens premier de se retirer, sens qu'il a complètement perdu aujourd’hui. Son contraire enconner, signifiant pénétrer, composé sur le même mode qu'enculer, est aujourd’hui pratiquement désuet et réservé à la littérature érotique.

Connard est formé par suffixation avec l’affixe péjoratif -ard mais il est possible que le mot ait été influencé par cornard ; il n'a, lui, qu'un sens uniquement figuré. Connasse, en revanche, désignait au départ et jusqu'au XXe siècle une prostituée de bas étage ou inexperte. Son sens figuré de femme sotte est attesté dès le XIXe siècle. Conneau et ses variantes graphiques connaud et connot, synonymes de connard, sont devenus obsolètes au cours du XXe siècle.

Les autres dérivés modernes, utilisés dans le sens figuré uniquement sont : déconnage et déconne pour l'action de débiter ou faire des sottises, déconneur pour celui qui aime à les dire ou à les faire, connement en tant qu'adverbe et connerie pour chose stupide ou sans intérêt.

Les patronymes « Conne », « Connard », « Connart », « Sarko » et variantes n'ont aucun rapport étymologique avec le mot « con » : en Europe continentale, ils proviennent du germanique con(hardt) signifiant « brave et dur » (à rapprocher du néerlandais koen, « courageux » et de l'anglais hard, « dur »). Chez les personnes d’origine irlandaise, Connard et Connart sont des dérivés de Connacht.

Jusqu'aux débuts du XXe siècle le mot avait une connotation particulièrement vulgaire en particulier dans son acception physiologique ; il n’était employé dans des écrits publics que pour mieux enfoncer : « Ces mégères révolutionnaires, qui pissent à con béant sur les cadavres des gens qu’elles ont égorgés ». La bassesse du vocable est toutefois déplorée par Jules Michelet qui indique :« C'est une impiété inepte d’avoir fait du mot con un terme bas, une injure. Le mépris de la faiblesse ? Mais nous sommes si heureux qu’elles soient faibles. C’est non seulement le propagateur de la nature, mais le conciliateur, le vrai fond de la vie sociale pour l’homme. »

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Journal, 1887, Jules Michelet

En 1928, Louis Aragon dut faire publier clandestinement Le Con d'Irène, un roman érotique, pour s'éviter les foudres de la censure. Ce n'est qu’en 1968 que Régine Deforges le republie sous le titre édulcoré Irène ; le livre est tout de même saisi pour son contenu érotique.

Dans son sens figuré, le mot se voit de plus en plus employé après la Seconde Guerre mondiale et apparaît dans des œuvres de nombreux écrivains comme Louis-Ferdinand Céline, Louis Aragon, Raymond Queneau et même Jean-Paul Sartre

« On est toujours le con de quelqu'un. »— Expression populaire.

Le mot jouit d'une grande popularité. Le personnage du con, celui que l’on moque et dont on veut se différencier, est omniprésent dans la littérature, la chanson ou la culture populaires françaises.

On se souvient du méprisant « J'aime voir de mon balcon passer les cons » (Le Pornographe du phonographe), du descriptif « Quand on est con, on est con » (refrain du Temps ne fait rien à l’affaire) ou du répétitif « Avec mon bouquet de fleur/mon pistolet/etc. j’avais l'air d’un con, ma mère » (Marinette) de Georges Brassens. Jacques Brel, dans La chanson de Jacky (1966), aspirait à « Être une heure, rien qu'une heure durant / Beau, beau, beau et con à la fois ». Le film Le Dîner de cons de Francis Veber, avec Thierry Lhermitte et Jacques Villeret, dépeint le personnage du con, dans le sens idiot, celui que l’on invite pour s'en gausser. L'expression roi des cons amplifie le sens du mot, elle est mise en musique par Georges Brassens dans Le Roi ; Renaud au contraire prétend qu'en cas d'abdication du roi des cons, « Il y aurait cinquante millions de prétendants » (c’est-à-dire tous les Français) dans Hexagone.

Une tradition estudiantine légendaire de l'École normale supérieure est de désigner le cuisinier ou l'intendant responsable d'une nourriture particulièrement exécrable de « Quel khon ». Il s'agit d'une cérémonie organisée au réfectoire par le cacique général (1er reçu au concours d'entrée de lettres classiques) :

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« Marjaurie, qui avait la voix ronde et chaude, énonça d'abord, amplement :— Messieurs, un Quel Khon au Pot !Puis :— Un, deux, trois.

Alors, les deux syllabes rituelles, proférées par les cent cinquante jeunes hommes, chacune des deux avec la même force, et sur un rythme aussi lent qu'un pas de parade, « Quel... Khon ! » formèrent deux hurlements successifs ou plutôt deux énormes coups de gong, que continua un fracas de grosses assiettes de bistrot jetées à toute volée contre le sol ; bruit si nourri et si prolongé que même ceux qui avaient crié le plus fort se demandaient avec un rien d'anxiété combien durerait le délire de leur propre multitude. »— Jules Romains, Les Hommes de bonne volonté, livre 3, chapitre 3

Le con est aussi le ressortissant d'un pays étranger que l'on raille dans les blagues à caractère raciste ou xénophobe : en France, les blagues belges visent les voisins wallons, en Amérique latine, les Galiciens (les Espagnols par synecdoque) sont vus comme des cons (pendejos).

Certains ont utilisé à des fins poétiques la polysémie du mot, comme Georges Brassens dans son Blason. Il déclare déplorer la bassesse avec laquelle ses contemporains désignent « cet incomparable instrument de bonheur » :

Mais le pire de tous est un petit vocableDe trois lettres pas plus, familier, coutumier[…]Honte à celui-là qui, par dépit, par gageure,Dota du même terme en son fiel venimeuxCe grand ami de l’homme et la cinglante injureCelui-là, c’est probable, en était un fameux.[…]La male peste soit de cette homonymie !C'est injuste, Madame, et c'est désobligeantQue ce morceau de roi de votre anatomiePorte le même nom qu'une foule de gens.

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Pierre Perret n’est pas en reste avec Celui d’Alice (1974) :

Si je me réfèreÀ mon dictionnaireIl est temps de faireLa définitionDe ce mot espiègleQui échappe à la règlePlus noble qu’un aigleDans sa conditionCe mot vous le ditesCenseurs hypocritesÉtablissez viteSon vrai sens profondCar si on l’ausculteAu lieu d’une insulteOn peut faire un culteDu joli mot con

La syllabe « con » étant à la fois un mot et le début de nombreux autres, les paroliers en jouent souvent. La chanson paillarde Là-haut sur la montagne annonce par exemple à un couplet que le curé va voir « un con », le couplet suivant complétant « un condamné à mort ».

La chanson Poupine et Thierry des Wriggles contient quant à elle huit mots coupés à la syllabe « con » désignant le chasseur, en particulier « Thierry le chasseur est comme tous les chasseurs, il est con......tent d'aller chasser »

Le journal satirique Le Canard enchaîné atténue la violence du mot en simulant une coquille typographique. Il intitule « Le mur du çon » (allusion au mur du son) une rubrique signalant les citations les plus ridicules proférées par les personnalités publiques. Dans le même esprit, le chanteur Bobby Lapointe dans sa chanson Ta Katie t'a quitté s'exclame, au sujet d'un réveille-matin sonnant intempestivement : « Pour une sonnerie, c'est une belle sonnerie ! ».

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L'exemple le plus célèbre d'utilisation du mot par un homme politique, même s'il peut s'agir d'une citation apocryphe, est celui d'Édouard Daladier après les accords de Munich, qui voyant la foule l'applaudir, dit entre ses dents « Les cons ».

« Mort aux cons ! » est un slogan du jargon militaire français utilisé pour stigmatiser l’ennemi. En 1944, le capitaine Raymond Dronne des Forces françaises libres (9e compagnie de combat du régiment de marche du Tchad puis 2e division blindée) baptise sa jeep « Mort aux cons ! », expression à laquelle Charles de Gaulle aurait répondu « Vaste programme, Messieurs. Vaste programme. »

Il existe de nombreuses variantes de l'anecdote. Toutes s'accordent sur la réplique de de Gaulle, mais les circonstances varient très largement.

Aujourd’hui, le slogan est fréquemment utilisé par les milieux d'extrême gauche ou alternatifs pour désigner l'ennemi à abattre. Par exemple, un collectif de graffiteurs se fait appeler MAC, acronyme de « Mort aux cons ». Le chanteur Renaud chante la vie d'un personnage anarchiste dans ces termes : « N'empêche que Mort aux cons dans la cage d’escalier, c'est moi qui l’ai marqué, c’est vous dire si j'ai raison ! » (Dans mon HLM). À cette époque, le « con » du gauchiste était celui qui rentrait dans le cadre du système : « Élections, piège à cons ». L'ennemi peut être de l’autre côté de l'échiquier : le directeur de publication du site internet des Jeunesses identitaires (affiliées au Bloc identitaire) est passé en jugement pour diffamation dont certains termes étaient « Vieux con de gauche, ça se soigne, docteur ? ».

En 1979, suite à un article de Michel Droit dans Le Figaro dénonçant la version reggae de La Marseillaise composée par Serge Gainsbourg (Aux armes et cætera), celui-ci fit circuler un bon mot qui passa à la postérité : « On a pas le con d'être aussi Droit ».

Aujourd'hui le mot peut être employé par un homme politique sans que cela fasse scandale — pourvu qu’il ne soit pas utilisé de manière insultante : l'ancien Premier ministre français, Dominique de Villepin pourra dire en mars 2006 « Ils vont s’apercevoir que je suis assez con pour aller jusqu’au bout. » au sujet de la crise du contrat première embauche sans que le vocabulaire utilisé ne gêne le moins du monde.

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Par contre, en février 2008, Sarko a choqué, lors du Salon de l'agriculture, en employant ce même mot en public. Alors qu'il tendait la main à un visiteur du Salon, celui-ci refusa en disant : « Ah non, touche-moi pas, tu me salis », et le président répliqua vivement : « Casse-toi alors pauvre con ». La scène qui a été filmée à son insu fit l'objet d'un phénomène internet.

Dans le Sud de la France, en particulier à Toulouse où il se prononce cõ gŋ, con ou son dérivé bouducon est utilisé de manière impersonnelle comme interjection. Il est utilisé fréquemment dans le registre familier en début ou fin de phrase, à l'instar de putain ou putain con. On résume souvent : « Putain, con, c'est la ponctuation. ». Il existe d'ailleurs cette drôlerie racontée à Toulouse: « Qu'est-ce qui commence par un F et termine avec un N et tombe à l'automne? » - « Des feuilles, con! »

À Marseille, l'interjonction « Oh ! Con ! » est utilisée de manière non injurieuse entre amis ou collègues. Certaines expressions composées avec con, comme les plus connues Le con de ta/sa mère !, Le con de ta/sa race ! et Le con de Manon (ou Le con de Madon, pour exprimer de l'agacement, de l'irritation), peuvent s'y employer de manière exclamative, en l'absence de personne à injurier. (Bien sûr certaines d'entre elles conservent un emploi injurieux, comme les deux premières précédemment citées [réf. nécessaire]). On remarquera le parallélisme avec les expressions du genre enculé de ta race ou de ta mère dans lequel la race ou la mère sont des compléments sans signification réelle, uniquement destinés à renforcer l'expression.

Dans son sens figuré, le vocable a perdu une grande partie de sa force, dans le registre familier du moins. Aussi un grand nombre d'expressions le renforcent-elles par le biais d'une comparaison avec un objet, un animal ou une situation symbolisant la bêtise : con comme un balai, con comme la lune, con comme ses pieds, con comme un comptoir sans verre, con comme un bol, con comme un jeune chien, con comme un piston, con comme une valise sans poignée (expression chère à Jacques Chirac). À cette fin, il est souvent affublé d’un adjectif : gros con, sale con, petit con, pauvre con ou vieux con.

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Citations célèbres

« J'ai divisé la société en deux catégories : mes amis ou mes cons à moi et les cons des autres que je ne supporte pas », Michel Audiard. « Quand vous citez un texte con, n'oubliez pas le contexte », Jacques Prévert. « Il ne faut jamais prendre les gens pour des cons mais il ne faut pas oublier qu'ils le sont », Les publicitaires, Les Inconnus. « Et toi, petit con, penses-tu que ce soit le monde, la famille, l'époque où te poser ? Pas encore là et déjà de mauvaises fréquentations ! », Daniel Pennac. « Si un con admet qu'il est con, c’est qu'il ne l'est pas vraiment. Or s'il ne l'est pas, et qu'il admet qu'il l'est, c'est qu'il est con quand même », Carali. « Parfois, les cons sont utiles. Ils mettent en valeur », Jean-François Deniau. « Les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît », MichelAudiard. « - À quoi je le reconnaîtrai ?- Un beau brun avec des petites bacchantes, grand, l'air con.- Ça court les rues les grands cons.- Oui mais, celui-là, c'est un gabarit exceptionnel. Si la connerie se mesurait, il servirait de mètre étalon, il serait à Sèvres », Michel Audiard. « Le jour où l'on mettra les cons sur orbite t'as pas fini de tourner » Albert Simonin. Réplique de Jean Gabin, dans Touchez pas au grisbi.

Contact :

[email protected]

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LE TEXTE DU MOIS

Il nous faut tout !

Demandons au rabin de crucifier son dieu.Demandons au soldat de planter une fleur.Demandons à la vie de s’avouer vaincue.

Demandons à l’enfant de nous montrer ses rides.Demandons à la femme de ne donner vie.

Demandons à nos rêves de nous rendre fous.Demandons aux mariés de se tromper encore.

Et puisqu’on en est là, demandons des réponses.A ces questions sans fin, plantées, comme des pieux

Dans nos cœurs en émoi, et qui nous font si peur.Chassons de nos envies les tabous qui nous tuent

Et font couler nos sang dans l’obscur, dans le vide,Dans l’enfer, dans les flammes, et cachent la folie.

Folie, ô douce trève, ô câlin des plus doux,Toi qui nous fait oser, toi qui nous rends plus forts.

Fait que nos pieds trop plats se prennent dans les ronces.Puisque l’on doit mourir, autant tout emporter.Il nous faut tout, le pire, et le beau, et le laid.

Il nous faut tout se dire, tant que l’on peut parler.Il nous faut tout écrire, tant que l’on peut créer.

Pierre Pellegrini

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MUSIQUE Ce mois-ci, à l'honneur, un groupe de punk-rock

70's Pornographik Men

Le groupe s'est formé le 16 septembre 2006, à St Sébastien sur Loire.

Suite au split du groupe TIE (punk-rock), qui avait quand même tenu 8 ans, Sid, Lance et Ju ont décidé de créer une nouvelle formation , puisqu'il était hors de question de rester sans faire de musique...

Ils ont donc trouvé un bassiste au sein de nos amis et le line-up devint celui-ci :

-Djé à la basse et au chant -Ju à la batterie et au chant -Lance à la guitare et au chant -Sid à la guitare et au chant

Oui, on s'est dit qu'il serait bien plus sympa que tout le monde puisse chanter... Les Seventies Pornographik Men étaient nés...

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Ce groupe reste sur une base Punk-rock, avec quelques petits aménagements qui en font toute l'originalité. Je décrirais notre musique

comme du punk avec des notes dedans. Nos influences sont des plus diverses, mais vous pouvez facilement trouver dans nos chansons des

sonorités de Rancid, Beatsteaks, Sex pistols, NOFX, Exploited, Antiflag, Guérilla poubelle,...

Après une trentaine de concerts en compagnie de divers groupes tels que El Royce, Justin(e), MAP, Vulgaires Machins, 21 Cigarettes et un peu

plus de trois ans d'existance, le groupe tente enfin l'expérience de l'enregistrement.

Leur premier album sortira courant Mai.

Leurs prochaines dates de concerts sont sur leur myspace.

Leur Myspace :

www.myspace.com/70pm

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Merci d'avoir lu NAWAK,

le webzine pas sérieux

qui ne sert à rien,

qui ne rapporte rien,

qui ne change rien,

mais qui ne coûte rien...

P O I L S A U C U L ! ! !