Lehaim magazine 02

Lehaim Magazine 02.indd 1 15/04/2016 13:52

J’entends souvent dire à la période de la fête de ‘Hanoucca ou de Pourim que ce sont « la fête des enfants. » Je ne sais pas d’où vient cette idée si répandue et quelle en est la source dans nos textes. Il est vrai, cependant, qu’il est recommandé, pendant ces deux fêtes, de faire vivre à nos enfants ces événements d’une façon toute particulière, mais la Torah nous impose, à nous les adultes, de nous réjouir le jour de Pourim autant que nos enfants, si ce n’est plus. Concernant ‘Hanoucca, même si la coutume veut que les enfants aussi allument les bougies, la loi ne l’impose qu’aux adultes.

En réalité, la fête des enfants, c’est la fête de Pessa’h. Nous ouvrons les festivités par le Séder et la lecture de la Haggadah. Cette cérémonie est entièrement tournée vers les enfants. Ainsi la Haggadah, qui signifie récit, vient de l’injonction faite par la Torah dans le verset : « Véhigadta, et tu raconteras à ton fils. » La soirée est organisée sous une forme d’échange de questions et de réponses entre le fils et le père.

L’enfant pose les quatre questions de Ma Nichtana et le père s’applique dans sa réponse en faisant le récit, devant sa famille, de la sortie d’Egypte. Il adapte son discours au niveau de l’enfant qui est en face de lui. Car il peut y avoir quatre types d’enfants, nous dit-on dans la Haggadah.

La transmission aux générations suivantes est importante. Elle est indispensable. Cette transmission de notre passé et de notre histoire est la garantie pour notre avenir.

Nous racontons à nos enfants les moments les plus tristes et les plus sombres de notre histoire, mais nous leur disons surtout, ce soir, que Hachem nous a choisis pour accomplir une mission, faire de ce monde une résidence pour

D-ieu. C’est pourquoi, jamais Hachem ne nous laissa pas dans la détresse et il nous libéra des différents oppresseurs.

Nous enseignons aussi, à nos enfants, l’importance de la reconnaissance. Nous devons louer D-ieu pour les bienfaits qu’Il nous procure et pour les merveilles qu’Il nous fait vivre. Nous leur apprenons encore que Pessa’h n’est pas une fête du passé, mais qu’aujourd’hui, « chacun doit se considérer comme sorti lui-même d’Egypte. »

En répondant aux questions de notre enfant, nous lui apprenons à répondre à celles qui lui seront posées, plus tard, par d’autres.

Enfin, le récit de Pessa’h nous apprend – et je considère que c’est le plus important – l’espoir.

En Egypte, nos mères ont enseigné l’espoir à leur époux et à leurs enfants. Elles ont, de ce fait, donné naissance à la génération de la délivrance. Ces enfants ont constitué les Tsivoth Hachem (Exode XII – 41), armée d’Hachem, une

brigade dont la mission est de diffuser la lumière, de partager l’espoir et d’instaurer l’amour. Ce sont eux, ces enfants, qui ont reconnu, les premiers, Hachem notre D-ieu, au moment de la traversée de la Mer Rouge.

Profitons donc de ces jours de Pessa’h – jours de délivrance physique et spirituelle et d’anticipation de la Guéoulah – pour enseigner l’espoir à nos enfants, pour leur apprendre la Guéoulah et pour leur donner envie de Machia’h.

Alors, comme nous dit le Midrash, nos enfants seront les premiers à reconnaître notre libérateur, Machia’h Tsidkénou dans ce monde différent et meilleur qu’ils auront contribué à changer.

RAV ELIAHOU DAHAN

lemot du rabbin

Pessa’h : la fête où les parents ont des devoirs


Pessah est l’une des trois grandes fêtes de pèlerinage, qui ne peut être dissociée des deux suivantes : Chavouoth et Souccot.

Chavouot : Pentecôte ou les « semaines » est la fête des moissons (le blé) qui intervient 50 jours après Pessah, fête de la liberté atteignant son apogée avec le don de la Torah au Mont Sinaï

Souccot : fête des cabanes, de la récolte des moissons d’automne nous fait revivre l’épopée du désert, errance qui dura 40 ans.

Pessah : fête du printemps, de la moisson de l’orge, associé aux symboles de la nature et de l’agriculture.

Fête des Matzoth, pain azyme, dont la pâte n’a pas eu le temps de lever étant donné la précipitation avec laquelle le Hébreux ont quitté le pays d’Égypte. Fête aussi de l’abolition de l’esclavage. Ce rappel est essentiel : la sortie d’Égypte est l’évènement fondateur de la notion du peuple d’Israël, asservi depuis 400 ans. L’institution de la Pâque, signifie qu’on impose au temps de la nature un ordre commandé par le temps de l’histoire et qui édifie un nouveau commencement. D.ieu par l’intermédiaire de Moise éveille chez les Hébreux le désir de liberté.

Le mot Pessah, Pâque du vieux français Pascua signifie « passer au-dessus » la traduction la plus fidèle est en anglais : » Passover. C’est une des fêtes les plus riches en symboles et enseignements.

Les trois lettres qui composent ce mot sont :

Pe : la bouche, : symbole d’ouver-ture, de la parole et du silence lorsque le Pé est final.

« Il est un temps pour parler et il est un temps pour se taire » Kohelet

Sameh : symbole de soutien, d’appui, de mémoire symbole de clôture, de transcendance, de grâce Divine, de vie.

Mémoire« Et qu’est-ce que la mémoire, si ce n’est un collier de perles » R. Haddad

RituelSameh, c’est la première lettre de Seder qui veut dire ordre, dans le sens d’ordonnancement. C’est l’obligation qui incombe cette nuit-là de raconter la sortie d’Égypte, à effectuer le Seder et la lecture de la Haggada qui veut dire : le récit. Son style n’est pas narratif mais interrogatif. Rien ne peut être acquis sans le questionnement.

Liberté« Laisse partir mon peuple » ainsi a parlé l’E.ternel (ex.5,1)

Pessah c’est le rappel de l’évènement qui a fait des Hébreux des hommes libres.

Je vous invite au Seder

Moment essentiel de Pessah, illustration fidèle de la sortie d’Égypte et l’une des plus grandes

traditions de la religion juive.

Après l’office à la synagogue, la famille, les amis, l’étranger se retrouvent autour de la table dressée selon un certain rituel.

Pendant le Seder, dont la traduction est ordre dans le sens d’ordonnancement avec un rituel et un programme bien précis, nous avons le devoir de raconter en homme libre la sortie d’Égypte. Le Seder n’est pas une prière, il est humain, il permet à tout être une prise de conscience de sa vocation d’homme : réflexion, dialogue, questionnement, étude, éveil de l’intérêt de l’enfant.

Quatre questions posées tout au début du récit par le plus jeune enfant appellent donc quatre réponses du déroulement de la cérémonie.

Quatre fils, le sage, le méchant, le naïf et le quatrième celui qui ne sait pas poser de questions - Quatre attitudes possibles devant l’évènement, quatre fonctions de la sensibilité à la compréhension de chacun.

La Hagadda commence par cette phrase : « Voici le pain de misère que nos pères mangèrent en Égypte. Que celui qui a faim vienne et mange ; que celui qui est dans le besoin vienne et conduise le Sédère de Pessa’h. » « La liberté commence par une invitation à partager le pain, mais elle commence également avec l’éthique. » précise Marc Alain OUAKNIN.

PESSA’HMémoire, Rituel, Liberté


« A pessah la parole émerge de l’exil. » nous dit le poète Cl.Vigée

Raconter seulement n’est pas suffisant, il faut compléter le récit par des actes et des explications qui répondent au questionnement.

En admettant qu’un rituel soit un ensemble de gestes que nous faisons dans des moments particuliers, ils ont un sens et un but.

Les gestes sont le Seder en lui-même et son déroulement.

Le sens est l’explication des symboles représentés à travers toute la Haggada qui est le texte lu pendant la célébration du Seder.

Le but est la commémoration, la continuité et la transmission.

Cette soirée vient rappeler et annoncer la libération de l’esclavage, rappeler et annoncer est une note d’espérance.

Pour vous conter le déroulement du Seder, laissons parler Heinrich Heine, poète romantique allemand du 19e siècle (Le Rabbi de Bacharach) :

« Dès qu’il fait nuit, la maîtresse de la maison allume les flambeaux ; elle étend la nappe sur la table, pose au milieu trois pains plats et sans levain appelés azymes, et met sur cette place élevée six petits plats qui contiennent les mets symboliques, savoir :

Un œuf, de la laitue, du raifort, un os d’agneau, un mélange brun de raisins secs, de cannelle, et de noix.

Le maître de maison se met à table avec tous ses parents et toutes les personnes de la maison et leur lit des passages d’un livre étrange qu’on appelle la Haggada, mélange bizarre de légendes antiques, d’histoires merveilleuses sur le récit en Égypte, de récits singuliers, de controverses, de prières et de cantiques pour les fêtes Un grand souper s’intercale au milieu de cette solennité, et, pendant la lecture même, à certains moments déterminés, on goûte aux mets symboliques ; c’est aussi selon le même rite qu’on mange de petits morceaux de pain sans levain et qu’on boit 4 coupes de vin rouge.

Cette cérémonie... est empreinte d’une sérénité mélancolique, d’une gravité enjouée ; elle a quelque chose de mystérieux et de féérique et le ton traditionnel et chantant avec lequel le père de famille lit la Haggada a quelque chose de si intime et de si pénétrant, il vous berce d’une manière si maternelle et si brusquement vous réveille... »

Il est temps maintenant de partir, le moment d’affronter l’exode. Il n’est qu’une mise en route d’un chemin initiatique. Après l’épisode de la mer des joncs commence un long cheminement dans le désert avec des moments pénibles. Ils affrontent des épreuves auxquelles ils ne s’attendaient pas : l’eau amère, la manne dont ils se rassasient très vite, et surtout le départ de Moïse et l’attente de son retour.

Le désert a été un grand moment formateur, car la liberté d’être n’est pas donnée, elle s’acquiert.

Et ces 40 ans dans le désert ont permis à une nouvelle génération de faire l’apprentissage de La liberté.

Au- delà de l’histoire de Moïse et des Bné-Israel, il faut voir dans le récit, l’image de la lutte contre toute forme d’asservissement et pour le droit de vivre dans la dignité, comme des hommes libres. Nous ne pouvons nous considérés comme véritablement libres tant que d’autres subiront un esclavage. Nous avons le devoir de nous voir sortir d’Égypte. Reprenons cette phrase répétée chaque année lors du seder et qui reste d’actualité : « souvenons-nous que nous avons été esclaves en Égypte »

La liberté n’est pas un état de fait, il s’agit d’un combat essentiel qui doit être mené chaque jour. Efforçons-nous de prendre notre vie en main pour la mener à son objectif sans devenir esclave des influences extérieures. Choisissons la voie qu’il nous appartient de suivre et qui elle seule nous délivrera en nous permettant de trouver notre véritable liberté.

À notre tour nous devons nous battre pour que tous les peuples puissent jouir de ce droit fondamental.

R. BIEZUNSKI


Sans armes face à la rafl edu 11 septembre 1942Longtemps, la résistance au nazisme a été définie comme une prise d’armes contre l’occupant. Or il existait une autre résistance, moins violente mais tout aussi efficace car elle versait de nombreux grains de sable dans les rouages de la machine à broyer les hommes.

Les cheminots de la gare de Lille-Fives furent ces « combattants sans armes ». L’ouverture récente des archives de la Seconde Guerre mondiale permet de nouvelles recherches enrichissant les travaux antérieurs. Grâce au dépouillement de documents dormant dans divers fonds d’archives complété par les témoignages de témoins directs ou de leurs descendants, Monique Heddebaut décrit avec précision le déroulement de la tragique journée du 11 septembre 1942 qui décima les communautés juives du Nord et du Pas-de-Calais.

Ces cheminots n’avaient guère plus qu’un seau, une pelle ou une échelle pour transformer un déportable en ouvrier de la gare. L’action fut en partie improvisée mais les cheminots, résistants dans divers réseaux ou syndicalistes habitués aux actes clandestins, savaient aussi s’organiser dans l’immédiateté.

Et c’est là un apport important de cette étude : l’auteure met en évidence le rapport entre la Résistance et l’opposition à la déportation raciale. Jusqu’à présent le lien entre résistance armée des réseaux et résistance « sans armes » des cheminots n’avait pu être établi. Désormais, il est évident que c’est leur engagement de résistants, au niveau politique ou syndical, qui entraîna les cheminots dans le refus de la déportation des juifs. En outre, les cheminots bénéficièrent d’un environnement favorable dans ce quartier ouvrier de Fives où vivaient des militants politiques et des paroissiens protestants, regroupés autour de leur pasteur Henri Nick. Les rescapés y trouvèrent refuge.

Autre apport important : les noms des cheminots qui ont sauvé de la déportation une soixantaine de personnes sont enfin mis à jour. Il est donc désormais possible d’entreprendre des démarches auprès de l’Institut israélien Yad Vashem pour conserver la mémoire de leur courage.

Monique Heddebaut

article tiré à part du n° 70 automne 2015 – hiver 2016, 49 p.

TSAFON : Adresse postale : Association Jean-Marie DELMAIRE/TSAFON, Boîte Postale 61 087, 59 012, LILLE Cedex, France

site internet : www.tsafon-revue.com et adresse électronique : [email protected]


votreagenda communautaire

Vendredi 22 avril 20161ER SOIR DE PESSA’H

19H00 : GRAND SEDER COMMUNAUTAIREPaf: Adultes: 35 - Étudiants et Enfants 22 Réservez impérativement en appelant au 06.60.78.27.27ou sur judaismenord.com/tools/events/

19H30 : Office du Premier Soir de Pessa’h

Samedi 23 avril 20161ER JOUR DE PESSA’H

9H30 : Office de Pessa’h

19h30 : Office de Min’ha suivi d’un cours

21h15 : Office de Arvit

Dimanche 24 avril 20162ÈME SOIR DE PESSA’H


19h30 : Office de Min’ha suivi d’un cours

21h15 : Office de Arvit

Jeudi 28 avril 201619H30 : Office des derniers jours de Pessa’h

Vendredi 29 avril 20167ÈME JOUR DE PESSA’H


19h30 : Office de Chabbat et de Pessa’h

Samedi 30 avril 2016DERNIER JOUR DE PESSA’H


19h00 : REPAS DE CLOTURE DE LA FETE DE PESSAH - Séoudat Machia’h

Venez déguster vin et Matsa, partager des paroles de Torah et des histoires

fascinantes, chanter des mélodies ‘Hassidiques et découvrir pourquoi ce jour possède une énergie particulière liée à la venue de Machia’h.

22H04 : Fin de la Fête de Pessa’h

Mardi 3 mai 19h30 : COMMEMORATION DU SOULEVEMENT DU GHETTO DE VARSOVIE

Jeudi 19 mai 19h30 : Conférence de M. Joël MERGUI, Président du Consistoire de France

Dimanche 22 mai 14h30 : APRES-MIDI DE LA FEMME

Jeudi 26 mai 19h30 : Soirée de Lag Baomer

Dimanche 12 juin1ER JOUR DE CHAVOUOT

9H30 : Office de Chavouot

10h30 : Lecture des Dix Commandements

10h30 : Ice Cream Party

12h30 : Grand Kiddouch Lacté

19h30 : Office du soir de Chavouot

Lundi 13 juin2ÈME JOUR DE CHAVOUOT

9H30 : Office de Chavouot

11h00 : Yizkor

12h30 : Grand Kiddouch

19h30 : Office de Min’ha

23h12 : Fin de la fête

19h30 : Conférence de M. Joël MERGUI,


Dimanche 19 juin14H30 : Après-midi de la Femme

Dimanche 26 juin11H30 : Cérémonie de remise des prix du Talmud Torah

Du 11 au 29 juilletGan Israël

Dimanche 24 juilletJEÛNE DU 17 TAMOUZ

3h38 : Début du jeûne9h30 : Office du matin18h30 : office de l’après-midi22h25 : fin du jeûne

Samedi 13 aoûtJEÛNE DU 9 AV

21h11 : Début du jeûne

22h00 : Office du soir – Lecture de Ei’ha

Dimanche 14 aoûtJEÛNE DU 9 AV

9h30 : Office du matin

18h30 : office de l’après-midi

21h46 : fin du jeûne


une communautéen actionRetour sur les Dernières Activités

• Dimanche 6 septembre 2015 Cérémonie du Souvenir – 50 participants

• Dimanche 13 septembre 2015 Cérémonie de présentation des Vœux – Synagogue – 300 personnes

• Grand Repas de Roch Hachana 5776 – 140 participants

• Dimanche 20 septembre 2015 Journée du Patrimoine – 200 visiteurs

• Dimanche 27 septembre 2015 Grand Kidouch sous la Soucca – 150 participants

• Mercredi 30 Septembre 2015 Soirée d’accueil pour les étudiants – 70 participants

• Jeudi 1er octobre 2015 Dîner de Souccot – Activité de la Femme – 35 participantes

• Dimanche 4 octobre 2015 Grande Fête de Souccot pour les enfants – 40 enfants

• Lundi 5 octobre 2015 Grand Kidouch Communautaire de Sim’hat Torah – 75 participants

• Mardi 6 octobre 2015 Kidouch Communautaire de Sim’hat Torah – 50 participants

• Jeudi 15 octobre 2015 Conférence du Rabbin E. DAHAN : « Lecture Juive du Vivre Ensemble » - 150 participants

• Du 19 au 23 octobre Gan Israël – 25 enfants

• Vendredi 23 octobre 2015 Chabbat Mondial – 110 particiapants

• Jeudi 5 novembre 2015 Conférence du Dr Georges KOMAR : Judaïsme et Franc-Maçonnerie – 380 participants

• Dimanche 6 décembre 2015 Grande Fête de Hanouccah pour les enfants – 200 participants

• Allumage public de la Ménora – 250 participants

• Mercredi 16 décembre 2015 Conférence du Grand Rabbin de France, Haïm KORSIA et du Pr J.C. AMEISEN : Bioétique et Judaïsme – 350 participants

• 28 décembre 2015 / 1er janvier 2016 Gan Israël – 25 enfants

• Vendredi 15 janvier 2016 One Chabbat- One World – 110 participants

• Dimanche 24 janvier 2016 Grande Soirée de Tou Bichevat – 70 participants

• Jeudi 4 février 2016 Conférence de Marc Alain OUAKNINE : Le Cantique des Cantiques – 350 participants

• 8 au 12 Février 2016 Gan Israël – 25 enfants

• Jeudi 24 mars 2016 Grand Festin de Pourim – 170 participants

• Mardi 5 avril 2015 Conférence de Bernard-Henri Levy : L’Esprit du Judaïsme – 410 participants



Naissances20/08/2015 – 5 ELOUL 5775 À PARISELIA-ROSE ABOUAF, fille de Mickaël et Soledad ABOUAF, petite-fille d’Esther ABOUAF

1/03/2016 – 21 ADAR I 5776 À LILLEAMRAM ELIAHOU ETYNGIER (DIT ELLIOT) fils de Philippe Yitzhak et de Jocelyne Sarah ETYNGIER.

Mazel Tov aux familles !

Bar Mitsva24/09/2015 – 11 TICHRI 5775Elie, fils de Olivier et Sandra AMRAM, petit-fils de Robert AMRAM et Nadine SEBBAKH et de Armand et Evelyne KAKOU

05/03/2016 – 25 ADAR I 5776David Schnéour Zalman, fils de Rav Eliahou et Adina DAHAN, petit-fils de Rav Shimon et Béruria DAHAN et de Madame Yvette TAUBY

ont accédé à la responsabilité religieuse

DistinctionFélicitations à Albert et Roselyne BIEZUNSKI : leur petite fille Eva a brillamment obtenue son Master de droit international européen des affaires.

Décès1ER/09/2015 – 17 ELLOUL 5775 EN ISRAËLMme Sylvie KOMAR, épouse du Dr Jean-Claude KOMAR, mère d’Alexis, grand-mère de Roman et de Ely

25/10/2015 – 12 MAR’HECHVAN 5776Mme Shaja Hélène KOMAR, mère du Dr Jean-Claude KOMAR, grand-mère d’Alexis, arrière-grand-mère de Roman et de Ely

28/10/2015- 15 MAR’HECHVAN 5776Mme Maria BEIGHELDRUT, mère du Docteur Alexis BEIGHELDRUT

31/10/2015 – 18 HECHVAN 5776 À SOISSONSM. Michel ROSENFELD, frère et beau-frère de Ginette et Elie KARPF

06/11/2015 – 25 MAR’HECHVAN 5776M. Sandor, Alexandre ROSENFELD, père de Patrick ROSENFELD, grand-père de Quentin et de Elise

17/11/2015 – 5 KISLEV 5776Mme Rebecca-Suzanne AELTERMAN née AROUETE, son époux M. Henri AELTERMAN

- 26/11/2015 – 14 KISLEV 5776M. Marc HUTTNER, époux de Josiane née HAFTEL, père de Julie, d’Alexandre, grand-père de Yanis, Lisa, Sam

DEC 2015 – TÉVETH 5776 À DUNKERQUEMme Edith SZULEWICZ épouse de M. Georges SZULEWICZ

Carnet defamille


Décès09/01/2016 – 28 TÉVETH 5776Mme Toba DUBAS née LIBERMAN, mère d’Yves, de Laurence-Sarah, d’Alain, grand-mère de Caroline, Lisa Marie, Samuel, Ilan, arrière grand-mère de Julian, Louka, Gabriel

12/01/2016 – 2 CHEVAT 5776Mme Hélène SZWARC née FINKELSTEIN, mère de Richard, grand-mère d’Audrey, d’Alexandre, de Mickaël, de Julia, d’Alexandre, d’Eve, arrière-grand-mère de Noah

30/01/2016 – 20 CHEVAT 5776 À WASHINGTONMme Edith BRESLER née HERSENFELD, mère de M. Jean-Claude BRESLER

02/02/2016 – 23 CHEVAT 5776Mme Dina KOMAR née EISENBERG, mère de Genta WROBEL, de Rose-Marie DOMANIEWICZ, Grand-mère de Samuel, de David, et d’Eve

12/02/2016 – 3 ADAR I 5776 À NATANYAMme Charlotte DAVIDOWICZ née SCHWERBROD, mère de Mme Paulette TOUZARD, de Liliane MARKIEWICZ, de Claude (Ygal) DAVIDOWICZ, de Patrick DAVIDOWICZ

10/03/2016 – 30 ADAR I 5776Maurice (Moshe) Machabanski Gliksman, né à Lille le 11 Janvier 1938, décédé le 10 Mars 2016, enterré à Tremblay en France. Père de David et Eva. Cousin de la famille Dawidowicz Gliksman

Décès15/03/2016 - 5 ADAR II 5776Dr Joseph BIEDER, époux de Pauline BIEDER-WEISS, père d’Ariel, de Florence,

grand-père de Solal, Nathanaël, Calypso, Victoria, Cassandre et Iris, beau-frère de Rachel et Jacques SCHARFMANN-WEISS, de Daniel et Michèle WEISS-VIERLING

17/03/2016 – 8 ADAR II 5776Dr Léon GRYNSZTEJN, époux de Sylvia et père d’Audrey et Sophie, grand-père de Arthur, Max, Tom et Victor

31/03/2016 – 21 Adar II 5776

M. Albert ABTAN, père de Didier ABTAN

Que l’E.ternel les fasse participer à la résurrection

et console les endeuillés de Sion et de Jérusalem

Carnet defamille


Nous voulons établir une communication optimale avec les membres de la communauté. Vos coordonnées téléphoniques et vos adresses électroniques sont indispensables.Nom ___________________________________ Prénom _____________________________ N° ____ Rue__________________________________________________________________ Code Postal ______________________ Ville ____________________________________Tel. Fixe Tel. Portable Mail.Je souhaite à l’occasion de la nouvelle année 5776 faire un don à l’ACI□ 18 € □ 26€ □ 52 € □ 100 € □ 200 € □ 260 € □ 500 € □ 1000 € □ 2000 € □ AUTRE _______________________________________________Règlement par Chèque à l’ordre de ACI de Lille (adresse ci-dessus)Nous vous rappelons que chaque don représente 66 % de réduction d’impôt

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