Paper 1 Final Draft Ind Opps (1)-Fr

8/17/2019 Paper 1 Final Draft Ind Opps (1)-Fr

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Section 1 : la nature de l’entrepreneuriat.

Quand on parle d’esprit d’entreprise et de création d’entreprise, il faut

avant tout préciser et cerner qu’est-ce qu’un entrepreneur et ce qu’est

l’entrepreneuriat. En eet, le champ de l’entrepreneuriat est depuis

longtemps avec ses multiples composantes sont observées, étudiées

et analysées par des chercheurs dans plusieurs domaine d’études, des

économistes, des sociologues, des historiens, des psychologues, des

spécialistes des sciences du comportement ou des sciences de gestion

(ilion, !""#$.

%’entrepreneuriat, comme étant une discipline de recherche, se trouve

& un carrefour. '’ailleurs Il n’y a pas de consensus sur une

théorie de l’entrepreneuriat encore moins sur une défnition

univoque. L’état de l’art ait apparaître de nombreuses

acceptations et une prousion des thématiques o prennent

place des notions et des concepts qui ne peuvent onder la

spécifcité de l’entrepreneuriat )!. 'e ce fait, le développement

scienti*que de ce champ ne peut se poursuivre qu’& partir d’une vision

commune et d’un large accord sur un corpus de connaissances, des

théories produites, des perspectives et des méthodes de recherches

utilisées.1. L’entrepreneuriat : un concept va!ue et di"cile # défnir.

%es discussions des chercheurs et théoriciens sur la dé*nition de

l’entrepreneuriat sont énormes, une multitude de descriptions et

diérentes e+plications ont été données alors qu’aucune dé*nition

solide ou une position théorique n’est généralement admise, ses

caractéristiques basées sur lindividu, la géographie, léconomie, les

politiques, les institutions et la culture dans lesquelles cest incorporé

sont continuellement en évolution. '’ailleurs, selon lobal

Entrepreneurship onitor (E$ l’entrepreneuriat est un concept

di"cile # défnir$ car les entrepreneurs et les activités

1 /erstraete.0 (122!$, Entrepreneuriat 3 modélisation du phénom4ne ), in revue del’entrepreneuriat, /ol!, 5!, 122!, 6 3 77. 8ccessible sur http399:::.adreg.net.


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entrepreneuriales ne sont !u%re aisés # identifer$ et que le

concept est comple&e$ équivoque et va!ue )1.

'ableau 1: synth%se des postulats des écoles ()unnin!ham etLischeron$ 1**1+

,od%le

entrepreneurial

-roposition

-rincipale

ypoth%se en

mati%re de ormatio

d’accompa!nement/cole des 0 rands

hommes 2

%’entrepreneur poss4de une capacité

intuitive, un si+i4me sens et des traits de

caract4re et d’instincts avec lequel il est né

;ans cette intuition inn

l’entrepreneur ressem

commun des morte/cole des

)aractéristiques

psycholo!iques

%’entrepreneur poss4de des valeurs,

des attitudes et des besoins uniques qui le

conduisent

%es personnes se com

accord avec leurs vale

/cole classique %a caractéristique principale du

comportement entrepreneurial est

l’innovation

%’aspect critique de

l’entrepreneurship est

de faire pluttre ut iles dans une organisation e+istante.

%’intrapreneurship est le développement

d’unités ?ndépendantes créatrices de

nouveau+ marchés

%es organisations ont

s’adapter pour suivre

entrepreneuriales m4n

croissance de l’organis

entrepreneurs devienn

managersSource: Moussa-Mouloungui (2012, P : 11) ; BENATA

Mohamme (201!, P : 22)"

5ous pourrons conclure & partir de la présentation synthétisée de

=unningham et %ischeron (!""!$, quatre obAets d’analyse peuvent se

dégager constituant autant de perspectives grBce au+quelles la

dynamique entrepreneuriale peut >tre observée. =haque niveau d’analyse

2 .E. rapport e+écutif, 1222.


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catégorise l’intér>t accordé par chaque école 3 (!$ %’individu 3 école des

grands hommes ) et école des caractéristiques psychologiques C (1$ %es

opportunités (capacité & détecter et les e+ploiter$ école classique ) C (D$

%’action et la gestion école du management et école du leadership ) C

($ %e conte+te d’action entrepreneuriale école de l’intrapreneuriat ).

%es recherches dans le domaine de l’entrepreneuriat ont connu trois

grandes tendances que lon peut distinguer dans l’a+e du temps. 'ans sa

lecture globale du champ de l’entrepreneuriat, ayolle (1221$ résume

ainsi les diérentes étapes de l’évolution des recherches 'rois

questions ondamentales peuvent résumer une !rande partie de

l’activité de recherche en entrepreneuriat. S’inspirant$ d’une

ormulation de Stevenson et 3arillo (1**4+$ ce triple

questionnement peut ainsi 5tre proposé : 0 6hat on /arth is he

doin!7 8 2 constitue la premi%re interro!ation$ 0 6hy on /arth is

he doin!7 8 2 la seconde et$ 0 o9 on /arth is he doin!7 8 2$ la

derni%re ('orniosi$ 1***+. ;ous retrouvons$ ici$ les approches

onctionnelles (6hat+ des économistes$ l’approche centrée sur les

individus (6hy and 6ho+ des spécialistes des sciences du

comportement et les approches processuelles (o9+ des

!estionnaires #"


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é&am(=hevalier

!"1!$

%entrepreneur est un individu avec un

niveau e+ceptionnellement bas daversion de

risque.

8vers

risque

(;chumpeter

!"D$

%entrepreneur est un leader et un

collaborateur F& la destruction créativeF. ?l 9elle eectue Fde nouvelles combinaisonsF qui

inclut3 !$ lintroduction de nouvelles

marchandises ou les nouvelles qualités de

marchandises 1$ une nouvelle méthode de

production D$ un nouveau marché $ un

nouvel approvisionnement en mati4res

premi4res ou composants G$ réorganisation

dune industrie.

Entre

comminnov

(c=lelland

!"H!$

%a premi4re tentative de+pliquer la

psychologie de lentrepreneur par le besoin

de laccomplissement

Ieche

trait

perso(=asson !"J1$ %esprit dentreprise est d>tre diérent - de

laspect davoir une perception diérente de

la situation.

6erce

entre

('rucKer

!"JGC 8cs,

8udretsch et

dautres.

!""$

%esprit dentreprise est un acte dinnovation

qui implique la dotation e+istant des

ressources avec la nouvelle capacité

productrice de richesse.

?nnov

(artner

!"JJ$

%esprit dentreprise est le meilleur e+pliqué

par ce que lentrepreneur ne fait pas qui

lentrepreneur est.

8ppro

proce

esprit

dentr(;tevenson et

!""2 Larillo$

%esprit dentreprise est la poursuite

doccasions sans préoccupation pour des

ressources actuelles - dans une aaire privée

ou dans dautres organisations.

Iesso

actue

préoc

(Mygrave et

!""! Nofer$

=oncentreO-vous sur la nature et les

caractéristiques du processus

6roce

entre


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entrepreneurial entre

lindiv(5ord !""2$ 8ects institutionnels sur esprit dentreprise ?nstitu

(8mit, losten

et dautres.!""D$

%esprit dentreprise est un processus

de+traire des pro*ts de ressources uniqueset de valeur dans un environnement

incertain.

Iesso

uniquvaleu

(PracKhardt

!""G$

%esprit dentreprise est un structurel (des

liens de réseau incorporés$ et le concept

dyadique o lentrepreneur évalue quelle

relation m4nera & la plus grande occasion

entrepreneuriale.

Iésea

(PirOner !""#$ %entrepreneur identi*e des occasions debéné*ce et amorce des actions pour remplir

des demandes actuellement insatisfaites ou

améliorer des ineRcacités corrigeant le

marché lapportant vers léquilibre.

Entrecomm

du ma

(Mecattini

1222$

Quartiers industriels, tradition

entrepreneuriale locale

Quart

indus(Mas et !""#

8brahamson$et (l?rlande,

Nitt et

dautres.

122!$

%esprit dentreprise est une personne &

charge de conte+te le processus social etéconomique.

'épe

=onte(Nofst

5oode

dautr

(;hane 1222C

;hane et 1222

/enKataraman

C ;hane 122D$

%esprit dentreprise est caractérisé par

comment les occasions sont découvertes,

créées et e+ploitées par qui et avec que des

conséquences.

Iecon

dScc

(8lvareO et

122!

MusenitO$

%esprit dentreprise englobe des actions de

niveau individuelles dans la création de la

société, des actions de niveau ferme dans la

poursuite dinnovations, des actions de

%indiv

;ocié

8ction

5ivea


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niveau du marché dans le+ploitation

doccasions présentées.

march

e+plo

occas(Mruyat et

Lulien 122!$

=onte+tualiOe le lien doccasion individuel

dans lenvironnement.

=onte

enviro

(Nitt, l?rlande

et dautres.

122!$

%a pensée entrepreneuriale (lidenti*cation et

le+ploitation doccasions$ et la pensée

stratégique (se concentre sur des décisions

et des actions plani*ées et e+écutées

atteindre un avantage concurrentiel.

?nven

FEspr

dentr

;traté

Tahra et 122!

'ess

%es facteurs e+og4ne sont des antécédents

importants & lesprit dentreprise

=onte

Enviro

(Lohannisson,IamireO-

6asillas et

dautres.

1221$

ait d>tre incorporé institutionnel de réseau+inter-fermes locau+

aitincorp

Iésea

(Nofstede,

5ooderhaven

et dautres.

122$

%e r


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(8nderson

1222C

Menne:orth

122DC

Palantaridis

122C

Palantaridis,

%abrianidis et

dautres.

122#$

Esprit dentreprise dans la périphérie %es

desp

dentr

6ériph

contre

(ugler 1222C

Uleveur,

Naerpfer etdautres.

122!C 6eng

122C

;mallbone et

atras 122HC

;mallbone et

atras 122"$

Esprit dentreprise dans =onte+tes de

0ransition

%es

du c

transi

0oute la recherche précédente dans la 0able ! est classi*ée dans

lindividu, institutionnel ou des catégories de processus. %e but était de

trouver un écart dans la recherche pour placer mon propre travail

empirique dans lequel des études le processus dentrepreneurs de

nécessité dans une périphérie post-socialiste. %élément concentré sur

individu desprit dentreprise répond & la question3 qui est

lentrepreneur7 5aturellement, lentrepreneur peut et changervraiment par lapprentissage et le+périence, mais il y a des

caractéristiques & sa personnalité et son ensemble de capacité (tous

les deu+ peuvent >tre vus comme des ressources$ qui est son point de

départ dans lobservation de son occasion daaires et prenant la

décision pour le+ploiter. %élément structurel desprit dentreprise peut


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>tre vu comme le conte+te de lentrepreneur ou le milieu dans lequel il

op4re. %e conte+te dans lequel il se trouve dans déterminera quelles

ressources internes il a & sa disposition (par e+emple des occasions

déducation$ et encourager ou le décourager pour utiliser ces

ressources de commencer une nouvelle entreprise (le conte+te par

e+emple économique, politique, socioculturel$. inalement, ce mest

devenu clair quen prenant les éléments concentrés sur individu et

structurels desprit dentreprise et les mettant dans le mouvement et

dans la relation avec lun lautre, nous avons la détermination du

processus et le résultat daction entrepreneuriale. 8insi, Aai dV

e+aminer et ordonner la fragmentation dans la 0able ! développer les

éléments dans la 0able 1 qui sera la base de mon cadre de recherche.

'ans les deu+ sections suivantes, le cadre concentré sur individu et

structurel desprit dentreprise est e+aminé des perspectives dun

e+amen de littérature et dune théorie. %aspect procédural nest pas

e+aminé dans ce papier parce quune discussion plus détaillée est

sauvée du papier G - mon papier empirique *nal o le processus

desprit dentreprise non-novateur est e+aminé dans une périphérie

post-socialiste par réconcilier lindividu et son environnement.

'able >: Interro!ation de )adre: ?u@estAce qui est

/ntrepreneurial8

Blément d@/sprit

d@entreprise

La question < posé

=oncentré sur individu Qui est lentrepreneur7;tructurel Quel conte+te engendre le nouvel esprit

dentreprise7Quel conte+te engendre le non-nouvel

esprit dentreprise76rocédural Quel est le processus de nouvelle et

non-nouvelle action entrepreneuriale7


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%e concentré sur individu, Fqui est lentrepreneur7F %a question avait

ses commencements avec le psychologue, 'avid c=lelland dans son

travail séminal, Fla Iéalisation de la ;ociétéF (!"H!$. ?l a utilisé la

science comportementale pour discuter pourquoi quelques sociétés

sont plus dynamiques que dautres. ?l a trouvé sa réponse dans les

normes et les valeurs qui prévalent, plus spéci*quement, avec le

besoin dune société de laccomplissement. 'ans ce conte+te,

entrepreneurs ont été reconnus comme layant dun haut besoin de

laccomplissement inWuenXant ainsi une partie du développement de

société. 'epuis c=lelland, lintér>t dans les traits de personnalité de

lentrepreneur a lBché beaucoup détudes dans la tentative didenti*er

qui lentrepreneur est. =ertains des résultats durables de ces études

sont que lentrepreneur (quand comparé & la population générale ou

au+ directeurs$ a un haut besoin de laccomplissement, la haute

tolérance au risque, e+pose le sur-optimisme, a le désir de la liberté et

une croyance quil contr


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structures économiques e+istant en créant de nouveau+ (;chumpeter

!"#$.

%aspect structurel desprit dentreprise nous dit quil e+iste dans un

conte+te. =e conte+te forme lindividu et la forme desprit dentreprise.

'ans mon esprit, le composant structurel a deu+ vues3 une structure

relationnelle et une structure socio-géographique. %a structure

relationnelle inclut des réseau+ individuels et les réseau+ de sociétés.

%es eets de réseau+ sociau+ grands, divers ont été documentés pour

>tre les conducteurs desprit dentreprise réussi (@OOi !""#C

Lohannisson, IamireO-6asillas et dautres. 1221$. %a structure socio-

géographique inclut des suAets comme la culture, des normes

(Nofstede, 5ooderhaven et dautres. 122$, traditions

entrepreneuriales locales (Mecattini 1222$ et les questions de

périphérie contre coeur (;mallbone, 5ord et dautres. !""#C

Menne:orth 122$.

%es implications dune description concentrée sur individu, structurelle et

procédurale desprit dentreprise sont incontestables dans cela ils

reconnaissent la comple+ité du phénom4ne. En reconnaissant lacomple+ité, les chercheurs sont encouragés & voir lesprit dentreprise

dune faXon holistique qui provoque des questions pertinentes en termes

des probl4mes diagnostiquant et mettant en oeuvre prescriptives. ;i une

nation 9 la région 9 la ville 9 le village veut encourager lactivité

entrepreneuriale, adressent-ils les individus, ou le processus, ou

sadaptent dans le conte+te7 8AusteO tous les trois7 Quels raAustements

sont les meilleurs7 Z quel degré7 Qui est le meilleur équipé pour le faire7

5ous navons pas les réponses & ces questions. =ependant, un ordre du

phénom4ne dans ce cadre fait la question - le demandant plus cohérent

et plus inclus.

>.> =étermination des Cacteurs d@/sprit d@entreprise


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%es concepts concentrés sur individu et structurels Aai eu lhabitude de

formuler la question, Fque lesprit dentreprise7F ;ont est maintenant

utilisé pour formuler la question, F=e qui permet lesprit dentreprise7F %a

table D grands traits les questions sest rapportée & la facilitation desprit

dentreprise. %es sections suivant répondront & ces questions du point de

vue de recherche précédente.

'able D: Interro!ation de )adre: ?u@estAce qui -ermet l@/sprit

d@entreprise8

Blément d@/sprit

d@entreprise

La question < posé

=oncentré sur individu =e que les caractéristiques

individuelles déterminent qui devient

un entrepreneur7;tructurel Quel environnement détermine les

formes diérentes desprit

dentreprise76rocédural Quest-ce qui détermine le processus

desprit dentreprise7

Eessources -sycholo!iques et ;onApsycholo!iques Individuelles

tre présents

dans la maAorité dentrepreneurs m>me & travers des fronti4res

culturelles. ?l est important de noter que ces traits peuvent >tre trouvés

dans la population générale et ne sont pas des indicateurs si quelquun

deviendra un entrepreneur ou pas parce que dautres facteurs de faXon


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importante p4sent dans aussi. =ependant il a été prouvé que dans des

conte+tes spéci*ques un entrepreneur pense vraiment diéremment

quun salarié ou un directeur. Quels traits de personnalité sont souvent le

présent dans des entrepreneurs7 %a littérature peut >tre divisée dans

psychologique (la 0able $ et des ressources non-psychologiques (la 0able

G$.

0raits 6sychologiques

=ette subdivision présente comment les auteurs précédents ont informé

le champ sur ce que les traits psychologiques inWuencent lesprit

dentreprise et & que le degré. L@intelli!ence mesurée par le grand

nombre de quotient intellectuel a Fun positif et signi*catifF (;;hane

122D$ $ leet sur le travail indépendant (dde lEsprit et /an de Yinden

!"J"C dEsprit !""D$ %a connaissance antérieurefournit une capacité

absorptive qui facilite lacquisition dinformations supplémentaires (=ohen

et !""2 %evinthalC [u 122!$ 'eu+ formes de connaissance nécessaire

pour l@esprit d@entreprise sont la connaissance de marchés et la

connaissance de la aGon de servir ces marchés (/enKataraman

!""#$. %es fondateurs fermes ont été connus pour avoir des scénarios

cognitifs ou une perspicacité spéciale qui leur permet d@identifer etutiliser des inormations que les nonAondateurs ne peuvent pas

voir (PirOner !""#C collines, ;hrader et dautres. !"""C Mhide 1222C

itchell, orgeron et dautres. 1221C itchell, MusenitO et dautres. 122#$.

%es entrepreneurs e+posent des tendances créatives parce qu@ils

doivent créer de nouveau& cadres pour estimer des ressources.

(;chumpeter !"DC coque, Mosley et dautres. !"J2C Yu !"J"C ;hane et

1222 /enKataramanC ;arasvathy 122!$. %es fondateurs fermes ont les

niveau+ plus hauts de tolérance de risque que la population !énérale

ou les directeurs (le =hevalier !"1!C Paish et !""! iladC ;arasvathy,

;imon et dautres. !""JC ;te:art et 122! Ioth$. %es entrepreneurs ont un

haut besoin de lindépendance (=aird !""!C Ieynolds et !""# MlancC

étoueO, itOroy et dautres. 1222$. )ependant$ si la recherche de

liberté est la motivation principale pour commencer une aFaire$


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14/40

'able N: Littérature sur les 'raits -sycholo!iques d@/ntrepreneurs

'E


15/40

Miais dSptimisme MusenitO et Marney !""#, 8mit et

122! 8l-, 8rabsheibani et 1222 8l-;oi ERcacité =oque et !"J2 8l-, =hen et !""J

8l-, Tietsma !"""%ieu ?nterne de =ontr


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aussi beaucoup plus pour risquer de perdre dans le cas o leur entreprise

échoue. ;i une personne a un courant & faible revenu, ils sont moins

capables dauto-*nancer, mais avoir aussi des coVts doccasion inférieurs

dans le départ dune aaire \par e+emple3 (Evans et !"J" %eightonC 8mit,

losten et dautres. !""D$. %a présence d@un conoint employé

encourage lesprit dentreprise parce que layant dun courant de revenu

sécurisé baisse le+position *nanci4re ('iminue !""G$. L@éducation na

aucun eet spécial sur si quelquun commencera une aaire ou pas

(apr4s que lalphabétisation est réalisée$. =ependant, léducation aecte

vraiment quel genre desprit dentreprise est manifesté. %es entrepreneurs

nouveau+, novateurs ont tendance & >tre plus instruits (=asson !"J1C

;hane !""1$. %Bge des !ens commenGant leurs propres entreprises

a tendance # 5tre autour du milieu de (DTAUU+ ans ('iminue !""G$.

%es Aeunes manquent souvent de le+périence nécessaire pour e+écuter

une aaire réussie et les gens plus vieu+ que GG se+posent & trop de

risque *nancier avant la retraite. 6lus haut la position sociale de

lentrepreneur, plus probablement il sera un entrepreneur novateur,

nouveau qui a du succ4s dV pour mieu+ avoir acc4s & *nancer, des

meilleurs réseau+ de qualité et une meilleure éducation (;te:art et 122!

Ioth$.

'able U: Littérature sur les )apacités Individuelles -ermettant

/sprit d@entreprise

)


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%eighton=htre trouvée

si ces attributs peuvent >tre vus comme un paquet des ressources qui

inWuencent la décision de devenir un entrepreneur et quel genre desprit

dentreprise sera pratiqué. Lai mentionné avant que cet esprit

dentreprise ne soit une action collective, mais une action individuelle. 8u

lieu de+aminer les ressources dune société, les ressources hébergées par

lindividu est pris en compte. 'ans la vue & base de ressource de lacréation et de la croissance de la société comme présenté par 6enrose,

les sociétés poss4dent des ressources, qui les aident & réaliser lavantage

concurrentiel qui m4ne la société & la performance & long terme

supérieure (6enrose !"G"$. 6our elle, lessence dentreprise était la

capacité de détecter et connecter des ressources internes avec des

occasions e+ternes. %e concept original de IM0 (un terme non inventé par

6enrose$ a été basé sur des actifs fermes tangibles. =ependant, la théoriesest plus tard développée dans la considération des actifs qui étaient non

seulement tangibles, mais aussi tacites, des actifs socialement

comple+es, ceu+ ancrés par des individus. 6enrose a reconnu que les

compétences et des contacts de lentrepreneur sont critiques parce quils

rendent la reconnaissance de ressources potentielles et la détection

doccasions possible (6enrose !"G"$. =e processus est formé par la


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perception de lenvironnement de lentrepreneur. 6enrose y donne des

détails3

F%environnement est traité en premier lieu comme une image dans

lesprit de possibilités et des restrictions de lentrepreneur avec lesquelles

il est confronté, car cest apr4s tout, une telle image qui en fait détermine

le comportement dun hommeC Que le+périence con*rme que les

espérances sont une autre histoire. F (6enrose !"G" p. G$

%a recherche récente a pris les avis de 6enrose en établissant une 0héorie

Z base de ressource (IM0$ pour des sociétés et le connectant avec lesprit

dentreprise. 8lvareO et MusenitO (122!$ prolongent les fronti4res de

ressource la théorie basée pour inclure la capacité cognitive

dentrepreneurs individuels. %es chercheurs déclarent que la théorie

entrepreneuriale et IM0 adoptent la m>me unité danalyse qui est Fla

ressourceF, ou des ressources plus spéci*quement hétérog4nes. %a

logique & base de ressource se concentre sur lhétérogénéité de

ressources tandis que la théorie entrepreneuriale se concentre sur

lhétérogénéité dans des croyances de la valeur de ressources

(;chumpeter !"DC PirOner !"#DC ;hane et 1222 /enKataraman$. %econWit est résolu quand Fil est reconnu que les croyances de la valeur de

ressources sont eu+ des ressourcesF (8lvareO et 122! MusenitO$. 8lvareO et

MusenitO e+aminent la reconnaissance doccasion individuelle, les

capacités organisationnelles de la société et le marché et constatent que

les ressources int4grent tous les trois niveau+ danalyse. ?ls abordent la

question de trouver un domaine distinctif desprit dentreprise par cette

résolution.

Le suis daccord avec 6enrose, 8lvareO et MusenitO que lenvironnement

dans Fle premier casF peut >tre une image dans les connaissances de

lentrepreneur o les occasions et les barri4res abondent. @n endroit qui

est tr4s dépendant de facteurs psychologiques, comme la perception.

=ependant, il y a touAours Fun deu+i4me casF o un environnement


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beaucoup plus universel, & le+térieur de lesprit de lentrepreneur, fournit

des r4gles et des normes qui structurent une économie, une politique et

une culture. =ette seconde le cas est lenvironnement institutionnel o

lentrepreneur avec son paquet de ressource spéci*que a un cadre social

quil partage avec tous les autres. 'ans la section suivante, Autilise la

0héorie d?nstitutions et le =hangement ?nstitutionnel du 5ord 'ouglass

(le 5ord !""2$ pour comprendre quels forums institutionnels préparent le

terrain pour lentrepreneur.

Structures Institutionnelles


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sont vues par l@entrepreneur. %e nord y donne des détails ci-

dessous3

F%es sortes dinformations et la connaissance e+igée par

lentrepreneur sont Monne partie une conséquence dun conte+te

institutionnel particulier. %es motivations 9 des barri4res sont

intégrées le cadre institutionnel. %institutionnel %e cadre formera

la direction de connaissance et les compétences qui seront le

acteur décisif & long terme développement de cette société. F

(5ord !""2$ p.#J

8insi, les théories de 6enrose et 5ord ont quelque chose en commun. Eu+

deu+ font des déclarations de comment les ressources (6enrose$ et des

institutions (le 5ord$ op4rent sur un niveau environnemental (e+terne$ et

sur un niveau individuel (interne 9 personnel$. =eci m4ne & la conclusion

quune relation e+iste entre des ressources et des institutions. 6ar

e+emple, Ae vois une relation récursive o les institutions forment des

capacités individuelles et o les individus forment leurs institutions.

%implication pour la recherche entrepreneuriale est ce non seulement

nous avons une relation, mais un dans le mouvement dynamique que destensions limportance de recherche holistique pour englober la

comple+ité. 'epuis le 5ord, dautres chercheurs ont e+ploré limpact que

les institutions ont sur lactivité entrepreneuriale. %a recherche récente a

e+ploré linteraction de ressources et des institutions sur le niveau ferme

en e+aminant des facteurs dore et la demande permettant lactivité

entrepreneuriale (/erheul, YenneKers et dautres. 122!$, le r


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culturelles. =es institutions sont aussi les déterminants de la structure

industrielle dune région ou nationale étant ainsi un grand facteur de

détermination sur le comportement dentrepreneurs et les occasions

disponibles pour eu+. @ne structure économique soutenant lesprit

dentreprise devrait assurer la croissance économique et la stabilité, des

structures *scales raisonnables, la transparence, la disponibilité de

capital. %e rtre de soutenir des libertés

personnelles, avoir un Utat de droit Auste et soutenir des droits de

propriété. %es gouvernements ont le pouvoir de stimuler lesprit

dentreprise par la fourniture de politiques concernant la ressource et

sectorielles. %environnement culturel a un énorme eet sur qui

lentrepreneur est comme un individu et ce que actions il prend.

%environnement culturel de lentrepreneur se décidera sil envisagera

m>me de devenir un entrepreneur, comment désirant il doit prendre des

risques et ce quil fera sil éprouve Aamais léchec. %es indices culturels

dNofstede (la distance de pouvoir, lindividualité, lévitement

dincertitude, la masculinité$ ont des eets variant & travers des cultures

sur lesprit dentreprise.

Le -rocessus d@/sprit d@entreprise

%e champ desprit dentreprise na pas eu de version formalisée Fdun

processusF desprit dentreprise, en soi. ?l a eu une série dau+ idées de ce

que ce processus pourrait ressembler. 6ar e+emple, le processus desprit

dentreprise pour ;chumpeter était lacte de destruction créative. 6our

PirOner, le processus desprit dentreprise avait la vigilance pour

reconna_tre des occasions dans lenvironnement. ;cott ;hane (122D$ a

développé un cadre de processus entrepreneurial basé sur des occasions

entrepreneuriales. Lai choisi le cadre de processus entrepreneurial de

;hane pour quatre raisons3 dabord, il est le plus complet que le champ a,

deu+i4mement, il crée la conscience que lesprit dentreprise est un

processus incorporé & temps, le tiers, il reconna_t implicitement que


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chaque phase e+ige des compétences diérentes, des actions et des

conte+tes et quatri4me, cest un processus récursif (non linéaire$ le reWet

du vrai apprentissage et des actions dentrepreneurs pratiquant leur

métier. Lutilise si+ étapes de ce processus dépeint ci-dessous dans la

igure !. G

La f!ure >: le -rocessus /ntrepreneurial

E+istence doccasion - Utape !

'écouverte doccasion - Utape 1

%a décision de+ploiter loccasion - lUtape D

8cquisition de ressource - Utape

;tratégie entrepreneuriale - Utape G

Srganisation de processus - Utape H

;ource3 ;hane 122D

=haque étape a un ensemble des détentes qui déplacent des actions

entrepreneuriales par le processus. ;elon ;chumpeter (;chumpeter

!"JH$, le+istence d@occasion (lUtape !$ est conduite par des

changements technologiques, politiques 9 réglementaires et socio-

démographiques. %e processus de découvrir l@occasion (lUtape 1$ et

e&ploiter l@occasion (lUtape D$ est un eort de lentrepreneur individuel

qui dépend de leur psychologique et des attributs de capacité. %a

4 t really has se!en stages "ith the last stage #eing $performance% or the e!erydaymanagement of #usiness. chose to not e&amine that stage #ecause "e #egin to mo!e a"ay

from the entrepreneurial and into the managerial.

' For the sake of simplicity( the process looks linear. )he reader is asked to use theirimagination to understand that the entrepreneur could #e in t"o or more stages at the same

time and can mo!e #ack through the stages.


23/40

décision de+ploiter une occasion (lUtape D$ est aussi aectée par la

situation industrielle, économique, politique et socioculturelle. =e qui

amorce le processus d@acquisition de ressource (lUtape $ est le

besoin et il implique le rassemblement et la recombinaison des ressources

qui aussi de temps en temps e+ige le *nancement. 'ans la maAorité des

cas, les fondateurs daaires *nancent de leur propre épargne (8ldrich,

!"""$. =omment le processus dacquisition de ressource est eectué

dépend de mécanismes contractuels, des liens sociau+, le capital-risque,

des investisseurs providentiels, lauto*nancement, des stratégies de

communication persuasives, des plans de développement, des réseau+

sociau+ et des attributs de fondateur. Quelques conditions de straté!ieTentrepreneuriale (lUtape G$ impliquent deu+ questions3 'abord,

comment lavantage concurrentiel est-il protégé de la concurrence une

fois quand il est rendu public7 'eu+i4mement, comment lentrepreneur

g4re-t-il lasymétrie de linformation et lincertitude dans le+ploitation de

loccasion7 ?l est au-del& de la portée de ce papier pour e+aminer

lavantage concurrentiel, les asymétries de linformation et lincertitude

plus en détail (6our un compte détaillé voient ;hane 122D$. Le

processus dorganisation (lUtape H$ est la derni4re étape daction

entrepreneuriale il est causé par le besoin de routines et des structures.'e nouveau, ce nest pas dans les limites de ce papier pour le+aminer en

détail. 6our plus dinformations sur le processus dorganisation

entrepreneurial et un e+amen e+haustif de littérature voir le chapitre !2

dans (;hane 122D$.

'onc quest-ce qui est impliqué dans le processus desprit

dentreprise7 En reconsidérant les H étapes, la participation de

lentrepreneur individuel avec son environnement est une constante

partout dans les étapes. =haque étape est une ar4ne o la psychologie

de lindividu, des e+périences et des capacités respectent les occasions

dans lindustrie, léconomie et la société.

6 Entrepreneurial strategies are defined as the strategies by which entrepreneurs exploit new ventureopportunities Shane, S. (2003. ! "eneral #heory of Entrepreneurship. $heltenha%, Edward Elgar..


24/40

%es questions F=e qui est entrepreneurial et quest-ce qui le permet7F Snt

été e+aminés dans la section précédente dans un cadre incluant le

concentré sur individu et le conte+te (structurel$ et procédural

institutionnel. 8vec laide de ce cadre, trois relations sont évidentes.

'abord, le psychologique et les caractéristiques de capacité de laect

individuel si une personne choisira >tre un entrepreneur et ils dé*niront le

résultat entrepreneurial. En e+trapolant dEdith 6enrose la théorie & base

de ressource sur la croissance ferme, nous pourrions dire que la

connaissance entrepreneuriale et le comportement agissent comme des

paquets de ressource. %a deu+i4me relation inhérente & ce cadre est la

relation entre lentrepreneur et son environnement. économiques,

politiques et culturelles mettent les r4gles de comportement (le 5ord

!""2C ;cott !""G$ qui déterminera si les occasions ou les barri4res

assistent et comment lentrepreneur les percevra. %a troisi4me relation

est incorporée dans le processus desprit dentreprise o les ressources

individuelles et les institutions ont une relation récursive agissant lun

ainsi sur lautre et le changement de leurs propres caractéristiques par

leurs interactions.

En considérant la comple+ité des interactions a mentionné ci-dessus, il est

clair que par les combinaisons uniques de ressources individuelles et des

caractéristiques institutionnelles pourquoi beaucoup de formes desprit

dentreprise peuvent avoir lieu. ?l y a, cependant, deu+ catégories dans

lesquelles la maAeure partie dentre eu+ saccorde. ?ls sont le roman

(;chumpeterian$ et le non-roman (lentrepreneur$ de (PirOnerian. %es

manifestations de ces formes desprit dentreprise sont e+aminées ci-

dessous.

D.4 L/S 'O-/S =@/;'E/-E/;/QES

6arce que les paquets de ressources individuelles et les qualités

dinstitutions formelles et informelles sont variés, pas tous les


25/40

entrepreneurs sont créés égau+. %a recherche entrepreneuriale adresse

souvent une de deu+ catégories dentrepreneur3 le roman

(;chumpeterian$ et non-roman (PirOnerian$. %es deu+ formes desprit

dentreprise peuvent assister dans une société en m>me temps. %es

nouveau+ entrepreneurs sont considérés comme désirables parce quils

ont Fun eet signi*catif et positifF sur léconomie et la société (88cs et

lUtage 122$. ?ls commencent dune occasion qui est souvent associée &

la technologie de pointe et il impacte le développement économique,

linnovation, la croissance de travail, les renversements de connaissance

qui augmentent la concurrence et encouragent la diversité ferme, (8cs et

122H /arga$. %entrepreneur de ;chumpeterian est décrit comme étant

nouveau parce quil est responsable de détruire les vieilles faXons daaire

et les remplacer dactions nouvelles, novatrices, créatives, changeant

m>me la direction déconomies enti4res. =et entrepreneur est dhabitude

fortement instruit, les vies dans un coeur urbain ou géographique, ont des

ressources humaines et *nanci4res muni*centes & sa disposition et un

réseau social grand et divers. =ette forme desprit dentreprise peut

seulement arriver dans des régions avec des ressources riches et diverses

(la 6?EIIE 6IU=?E@;E 122D$. ;chumpeter informe la recherche

entrepreneuriale en reconnaissant que les entrepreneurs poss4dent lavolonté pour présenter le révolutionnaire Fde nouvelles combinaisonsF de

produits, des techniques de production, des marchés, des sources de

provision ou les formes organisationnelles qui poussent léquilibre

dominant au+ intervalles rares et irréguliers (;chumpeter !"D$.

?l y a, cependant, quelques limitations & la compréhension desprit

dentreprise de ;chumpeter. 'abord, bien que son concept Fde la

destruction créativeF soit souvent cité, il est aussi souvent mal compris

(=hiles, Mluedorn et dautres. 122#$. ;chumpeter a reAeté le subAectivisme

de lesprit humain et était beaucoup plus en faveur de lhomme sera (Yitt

!""1$. 'eu+i4mement, ;chumpeter a cru que le ;ocialisme pourrait

marcher (;chumpeter !"#$. ?l a prévu que lesprit dentreprise

deviendrait *nalement désuet parce que les plani*cateurs centrau+


26/40

pourraient mieu+ plani*er des économies dans léquilibre. ;chumpeter a

été attrapé entre ladhérence économique néoclassique obAectivist &

léquilibre et ne pouvait pas concilier le subAectivisme du cadre autrichien

(%anglois 122D$.

@ne autre faXon de+pliquer le phénom4ne desprit dentreprise est par

?sra`l le point de vue de PirOner. ?l soutient que les mod4les néoclassiques

ignorent lentrepreneur qui, par la vigilance supérieure, découvre des

occasions et corrige disequilibria (PirOner !"#D$. %a contribution de

PirOner & la recherche entrepreneuriale déclare que lenvironnement est

allé avec des occasions et e+ige seulement la vigilance de lindividu pour

voir et les e+ploiter. =ette forme desprit dentreprise est décrite comme

le non-roman et a deu+ manifestations3 le style de vie et lentrepreneur de

nécessité. ?ls créent des micro-entreprises comme des entreprises

individuelles, des partenariats et des entreprises familiales. %e style de

vie, le non-nouvel entrepreneur sacri*e la croissance pour le style de vie

et embauche généralement peu de personnes et ne fait aucun impact sur

la croissance économique (8cs et 122H /arga$. %es avantages que cet

entrepreneur fournit & la société consistent en faire une petite

contribution au+ niveau+ demploi régionau+, étant un mod4le & émulerpour dautres et étant impliqué dans le bien->tre communautaire

(8nderson 1222$. %e non-roman, lentrepreneur de nécessité se tourne

vers lesprit dentreprise parce quaucun autre choi+ pour lemploi

ne+iste. =ette forme desprit dentreprise arrive dhabitude dans la

plupart de ressource des nations pauvres et les régions du monde.

%avantage desprit dentreprise de nécessité est que cette forme daction

économique peut signi*er la diérence entre la pauvreté vile et la

fourniture dun ménage avec un gagne-pain.

Quoique PirOner semble quitter de positions néoclassiques, le point

dappui de son principe tourne touAours autour de léquilibre. algré

limportance des observations de PirOner sur lesprit dentreprise, il a

reXu quelques critiques. 'abord, PirOner déclare que les entrepreneurs


27/40

ne peuvent pas présenter la nouvelle nouveauté dans le marché parce

quils découvrent simplement ce qui e+iste déA& (//aughn !""$.

'eu+i4mement, puisque PirOner croit que le marché a tendance &

trouver la coordination parfaite, cela signi*e que les entrepreneurs ne

peuvent pas créer plus doccasions, ils peuvent seulement compter sur

des changements dans lenvironnement (/aughn !""$. %e tiers, il

nadresse pas le fait que les entrepreneurs peuvent faire des erreurs

dans leurs perceptions, seulement quils corrigent les erreurs dentre

dautres (/aughn !""$. =ela signi*e que PirOner ne peut pas orir une

e+plication déchecs daaires. inalement, dans la perspective de

PirOnerian, lentrepreneur pur ne+ige aucun capital parce quil

distingue entre des capitalistes et des entrepreneurs (comme

;chumpeter$ (=hiles, Mluedorn et dautres. 122#$. En séparant des

entrepreneurs du capital, se concentrant sur des erreurs passées et

négligeant le passage du temps, PirOner ne peut pas adresser

lincertitude qui est une caractéristique fondamentale desprit

dentreprise (/enKataraman !""#$. Mien que ;chumpeter et PirOner

aient des faiblesses dans leurs théories desprit dentreprise, les deu+

orent lidée de valeur que les ressources sont centrales dans la

détermination quel genre desprit dentreprise appara_t. 6our;chumpeter, les ressources sont ancrées dans lindividu et pour

PirOner, les ressources sont ancrées dans lenvironnement.

%a présence des deu+ types entrepreneuriau+ dans des nations

diérentes a été faite des recherches par 8cs et /arga (122H$. %eur

conclusion est que puisque toutes les nations ont la nécessité et des

entrepreneurs doccasion, un bon indicateur de développement

économique est le ratio dentrepreneurs doccasion au+ entrepreneurs

de nécessité. 6ar e+emple, les pays & faible revenu sont dépeints

comme layant haut les niveau+ desprit dentreprise de nécessité.

=omme une économie se développe, les entrepreneurs de nécessité

deviennent des salariés dans des sociétés (des moyens pays de

revenu$ et comme le nouveau développement arrive, les entrepreneurs


28/40

doccasion apparaissent (des pays & hauts revenus$. 'ans des régions

économiquement aigées, ces distinctions ne peuvent pas >tre si

pertinentes puisque les petites entreprises de tous les types sont

nécessaires pour créer la signi*cation économique pour ses habitants

('abson 122!$.

N.4 )P;)LQSIP;

%e but de ce papier est de commencer & conceptualiser ce qui est

nécessaire dans un cadre dont Ae conduis ma recherche empirique

observant le non-roman, lentrepreneur de nécessité dans la périphérie

post-socialiste. Le suis intéressé & comprendre comment les non-nouveau+

entrepreneurs voient et e+ploitent des occasions dans des régions

apparemment pauvres en ressource. 8vant de répondre & de telles

questions, ce papier se concentre sur lessentiel en essayant de répondre

quel lesprit dentreprise est, ce qui le permet et pourquoi les formes

diérentes desprit dentreprise e+istent. 'eu+ choses semblent touAours

>tre Aointes et dans linteraction avec lun lautre dans lesprit dentreprise

- lindividu et lenvironnement. 'ans la compréhension du r


29/40

éléments formels et informels qui se forment comment les gens pensent

et agissent ainsi dé*nissant avec quelles ressources ils doivent travailler.

%implication pour des entrepreneurs est que lenvironnement

institutionnel dé*nit souvent quel genre de nouvelles occasions

dentreprise sont disponibles et il ore des motivations et des obstacles

pour agir sur ces occasions. %individu et lenvironnement institutionnel

saectent et en m>me temps se changent. 6arce que les paquets de

ressources individuelles et les qualités dinstitutions formelles et

informelles sont variés, pas toute laction entrepreneuriale est créée

égale. =e papier adresse les deu+ catégories principales dentrepreneur3

le roman (;chumpeterian$ et non-roman (PirOnerian$. ?ci Ae+pose un

besoin de ma recherche en soutenant que le champ desprit dentreprise a

besoin de plus dinformations sur les ressources et lenvironnement dans

lequel les non-nouvelles manoeuvres dentrepreneur, particuli4rement

dans des régions pauvres en ressource. Le risque une hypoth4se e+posant

que de tels entrepreneurs sont plus nouveau+ (;chumpeterian$ que le

non-roman (PirOnerian$ parce quils ne peuvent pas dépendre de vieilles

structures et les vieilles faXons de faire des choses parce que souvent ils

ne+istent pas, sont dans la transition ou sont faibles. 8insi, lentrepreneur

et le processus entrepreneurial ne sont pas un healump - un animalimaginaire laissé & la description de quelquun est limagination, mais un

caméléon - un animal tr4s réel qui change ses caractéristiques selon la

personnalité et la compétence mise de lentrepreneur et sur

lenvironnement institutionnel qui encadre ses actions.


30/40

HIHLIPEJ3 #GG-##G.

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