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Savignac Séverinetravaux de Licence

ecoLe nationaLe superieured’architecture de touLouse

2010-2014

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Un projet dans le quartier St-Etienne de toulouse, sur une parcelle vide servant de parking à la préfecture.

Création d’un complexe rassem-blant toutes les entités nécessaire à la production de la musique jusqu’à sa diffusion. Au premier niveau, semi enterré, dix boxs de répétitions avec espace extérieur, un studio d’enregistrement, des espaces de vie. au niveau supérieur un espace public est dégagé sur ces volumes, donnant accés au public à une salle de concert. Les deux niveaux su-périeurs offrent des appartements pour des musiciens en résidence, espace complètement modulable est adaptable. La tour de 40m face à la préfecture offre un espace pu-blic vertical semi ouvert parsemé de jeu musicaux éoliens jusqu’à une terrasse offrant une vue sur toute la ville. Cette tour abrite un studio de radio, diffusant à plus grande échel-le l’activité du complexe.

Les hauts murs de briques réduisent l’espace public de ce quartier à de minces ruelles, coupant de la vue du passant les grandes cours privées des hôtels particuliers. La reflexion sur les espaces a donc été menée à l’echelle du pièton et de ce qu’il perçoit. Cette sensation de la ville est retranscrite par maquette en creusant le vide dans la masse, d’abord dans un annuaire puis dans un bloc d’argile. Le plan masse ne sera abordé que plus tard.

Le mur pignon qui surplombe la parcelle sert d’appui à ce projet. sa forte présence sur le site va induire le système constructif utilisé. Chaque an-gle qui lui donne son contour accidenté servira de rythme à la trame structurelle. Sous la forme de murs épines qui partent du mur pignon et tra-versent la parcelle, ils resse-vront les différents volumes du projet.

Les appartements destinés à recevoir des locations de courte durée sont pensés pour être totalement modulables. Les éléments généralements fixes d’un logement, la salle de bain et la cuisine sont conçues dans des boîtes mobiles à roulettes. elles se relient facilement aux plusieurs raccords de gaines dans les murs. Sur une trame de 60x60, elles s’intègrent dans la même trame qu’un réseau de rails au plafond qui permet de séparer les espaces à volonté grâce à des rideaux.

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Dans le quartier St-Michel à Tou-louse, l’ancienne faculté de chimie est laissée à l’abandon en 2011. Les locaux désertés sont encore remplis de matériel et de mobilier.

Etudier, explorer l’existant, analyser les usages qui s’y développent au fil du temps, pour lui doner la possi-bilité de se déployer selon son pro-cessus évolutif inconstant.

ce bout de tiers ville, en analogie au Tiers paysage de Gilles Clément, est un délaissé - un refuge, lieu de l’invention possible, en situation active. Ce lieu de liberté d’évolution réinvente des comportements. «En-visager la marge comme un territoi-re d’investigation des richesses à la rencontre de milieux différents» G Clément.

Voir un scénario d’évolution, plani-fier une possible auto-organisation. Réutiliser les lieux en les modifiants au minimum.Profiter des larges espaces dégagés par la structure porteuse en faça-de.

Ouvrir ces laboratoires de chimie au public dans un cadre associatif, c’est scientifiquement prouvé, nous allons désacraliser la science réser-vée aux initiés.

un lieu de partage des savoirs, et de vie :- des espaces pour l’association pour l’accueil, la représentation et les laboratoires et amphithéâtres- des logements de longue durée pour des actif de l’association, agés ou en famille- des logements temporaires pour des étudiants, des intervenants, qui disposent d’un grand espace com-mun- un dortoir pour accueillir ponc-tuellemnt, des groupes.- espaces libres, et de jeu

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Artun projet d’école d’art pour en-fants de primaire à Baziège, village à 20km de Toulouse.

La stratégie d’implantation urbaine met en évidence une charnière en-tre deux parties de Baziège : une au Sud, tournée vers l’inter-commu-nalité, et une au nord, plus privée, réservée à ses habitants. La place de la volaille, intime et calme, se tourne vers le nord, tout en se dé-senclavant et s’ouvrant au village.L’entrée du bâtiment est guidée par la végétation depuis l’école primaire et le mail, lieu d’arrivé du public.

L’école se compose de trois blocs qui regroupent les entitées néces-saires à son fonctionnement.Ils définissent un espace central qui joue le rôle de place intérieur.

Sa structure définie par sa forme of-fre une transition progressive vers le centre dans un jeu de passages, de lumière, d’alignement de poteaux.

Elle a pour fonction de recevoir du public lors d’expositions et d’évène-ments, elle réunit toutes les circu-lations pour créer un espace com-mun à tous les usagers du bâtiment. elle est un lieu où tous se croiseront et veront l’activité de chacun, pour que tous est conscience de l’autre et de l’organisation sociale dont ils font parti.

Chaque bloc à une structure indé-pendante du centre. Leurs trames définissent les espaces dédiés à chaque fonction, ce qui est lisible en façade par la rupture vertical du bardage horizontal.

Les toitures en pente créent deux niveaux d’ouvertures en façade, l’un pour un apport lumineux, l’autre pour offrir des vues sur l’extérieur dans un jeu de transparence avec ces mêmes ouvertures qui donnent sur la place intérieur.

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Bellastock 2013, GreenWashing, festival de construction.

Ce festival a pour but de réunir cha-que année les étudiants des écoles d’architecture de France autour d’un thème. Sur trois jours une ville éphémère verra le jour, construite de tiges de bois souples et de bouts de ficelle.

Réfléchir à un système constructif, s’organiser en groupe, la contrainte du matériau disponible sur place, sous la pluie battante se construire un abri étanche pour y dormir la nuit. Vivre une expérience d’archi-tecture.

Réflexion sur le temps de l’architec-ture. Trois jours de construction, par nécessité en premier temps, puis comment cette ville de caba-nes pourra rester et s’intégrer au lieu après notre départ.

Les structures seront ensuite le support de la végétation que nous auront planté à ses pieds. Réflexion sur une plus longue durée, celle des plantes et des saisons, pour que ce lieu devienne plus tard un jardin expérimental actif où nos construc-tions prendront racines.

ce projet de gradin s’est fait dans le cadre du module d’ouverture «Pen-ser pour construire, construire pour comprendre».

Après une analyse de groupe de l’histoire et du monde du spectacle, chaque binôme réalise un projet, l’un d’entre eux sera ensuite selec-tionné pour être construit.

En réponse à une commande réelle, ces gradins sont destinés à recevoir un public de 90 personnes, dans une salle de spectacle, ou dans la rue. Ils doivent être démontables à deux personnes et transportables dans un volume maximum. Les ma-tériaux sont imposés, bois de sec-tions définis, contreventements et assemblages en métal.

Faits de deux modules courbés et d’un module droit, ces gradins of-frent de multiples possiblités d’usa-ge, capables de répondre aux multi-ples forment que peuvent prendre des spectacles en intérieur ou en extérieurs.

Les trois rangs permettent une cré-maillère de petite taille transporta-ble en un seul morceau.Wor

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ce projet sera ensuite réalisé en partenariat avec l’usine à tourneu-feuille, lieu de création, de résiden-ce et de diffusion artistique. Ils sont les Maîtres d’Ouvagre du projet et nous donnent accès à leurs ateliers et leur savoir sur l’utilisation des machines, le travail du bois et la réalisation technique d’un projet.

Notre groupe se charge de l’organi-sation du chantier, de la répartition des tâches et de la vie de groupe durant ces quatre jours que nous passons sur place.

nous réalisons toutes les étapes de construction, du débitage du bois au montage final.

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6BStage d’un mois au 6B à Saint-Denis avec l’architecte et président du 6B Julien Beller.

Projet d’aménagement de la salle commune du quartier Voltaire. Il s’agit d’un quartier de Roms relogés dans des algecos sur un terrain sui-te à un accord avec la Mairie. L’amé-nagment et la construction de leur village s’est fait avec l’architecte.

La salle commune est leur seul es-pace fermé commun. Il est destiné aux fêtes, aux repas, aux moments partagé, jeu de cartes et autre. elle sert aussi de local pour les associa-tions intervenantes, cours de fran-çais, activité pour les enfants, ...

La reflexion se fait sur le mobilier à fabriquer, les fenêtres à rajouter, un auvent pour l’extérieur où les habi-tants se réunissent également, sur la décoration, le chauffage, ... Tout sera réalisé avec les habitants avec qui nous nous concertons.

Réalisation d’un dossier pour la Mairie, avec plans, croquis, métrage des matériaux, budget, ...

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En attendant la réponse favorable de la Mairie au dossier, réalisation du projet de réaménagement du rez-de-chaussé de l’immeuble du 6B.

Espace actuellement dédié au stockage de matériel son d’un col-lectionneur, il sera dédié au nou-vel espace repas avec cuisine, bar, transformable en salle de concert pour accueillir des soirées et des évènements publics.

Relevé et conception, dossier final.

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E Le mouvement induit le défilement du paysage, les lignes se déplacent, ondulent, se déforment.

Recréer un lieu, un espace mouvant qui donnera l’illusion du mouve-ment au spectateur. Qu’il perde ses repères spatiaux, dans une situation instable, plongé dans une sensation de vertige.

L’effet de moiré, une interférence spatiale entre deux trames. Des ban-des défilent, les réseaux de lignes se superposent. C’est l’illusion d’opti-que qui créera le mouvement.

Le spectacle devient une expérien-ce. Le corps est au centre. c’est le sensation physique, l’interprétation que fait le corps qui le met en mou-vement, l’oeil en est le moteur.

L’op art, Bridget RileyNaoko Tanaka, ombres projettées

Travail de mise en espace réalisé avec un étudiant en master des Beaux-Arts de Toulouse.Son travail se rattache à la notion d’envahissement de l’espace, par les lignes, les motifs, ainsi qu’à l’absen-ce de maîtrise du résultat, du geste automatique humain accidenté, la dérive dans le processus.

Cette installation destinée à pré-senter son travail a fait l’objet d’une réflexion en lien avec la notion de dérive. La volonté est de créer un espace segmenté dans lequel la déambulation ne serait pas orien-tée par l’installateur, invitant ainsi le visiteur à se perdre dans ce laby-rinthe de draps peints.

par un jeu de vues et de décalages entre les peintures, le public décou-vre la suite de son parcours au fur et à mesure qu’il avance entre les toiles, son esprit est constamment stimulé par l’obligation de faire un choix dans sa direction. En effet les espaces non hiérarchisés ne le gui-dent pas son cheminement.Un espace amusant dans lequel on se perd et dont il impossible de per-cevoir l’ensemble.

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rB des fresques urbaines.Interventions colorées dans la ville.

a la craie, à la peinture, elles vien-nent souligner, mettre en évidence un élément présent, se servent de leur contexte et font ainsi basculer le regard du passant. Bouleverser le quotidien, changer un regard porté à la ville.

Apporter une dynamique visuelle et sociale à l’espace public, égayer collectivement la vi(ll)e.

Monocouleur.Intervention colorée dans la ville.

La simple présence d’une personne en monocouleur vient souligner, mettre en évidence un élément pré-sent, change le sens du contexte, et fait ainsi basculer le regard que le passant porte dessus. Boulever-ser le quotidien, changer un regard porté à la ville.

Apporter une dynamique visuelle et sociale à l’espace public, égayer collectivement la vi(ll)e.

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BInstallation d’une friperie libre sur un trottoir.

Les passants regardent, essayent, échangent, emportent.

Distribution de cadeaux anonymes dans la ville.

Devant des maisons, dans des ar-rêts de bus, sur le trottoir.

Changer notre rapport aux choses, offrir au passant une surprise, qu’il choisira de prendre ou de laisser au suivant.

Favoriser la gratuité, le don, l’échan-ge. Des notions sur lesquelles une reflexion est ouverte. Le plaisir sans l’argent.

Apporter une dynamique visuelle et sociale à l’espace public, égayer collectivement la vi(ll)e.

CArNEt

DE Voy

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