OEIL & OREILLE35 ANS DEJA !

201620152014201320122011201020092008200720062005

CONCERTSRENCONTRESEXPOSITIONSEDITIONS

PREMIER CAHIER

EDITIONS :MARQUES, TRACES, EFFACEMENT © 2016CONTACT :oeiloreille@hotmail.com

20042003200220011999199819971996199519941993199219911990

l'instrument

« Du 22 oct. au 9 nov. 2015, le collectif « L'OEIL&L'OREILLE » a demandé auxartistes de la collection de Richard Jean d'exposer une oeuvre de leur choixdans l'espace remarquable de l'église des jésuites. Cette église est utiliséecomme lieu culturel et nous avons pris l'option de l'aménager en salle deconcert et en galerie d'art. Nous avons tenu compte du style baroque, de sonvolume et de sa lumière. L'exposition est construite comme un petit labyrinthequi permet de se trouver en présence de deux groupes de panneaux blancs(3m/2m de haut) mais aussi de l'architecture du lieu. Nous avons aussi utiliséles murs et les monuments en trompe l'oeil ainsi que la sacristie, la place duthéâtre et sa cave.Nous sommes gourmands et nous aurions encore aimer avoir le clocher, et lescatacombes,.... enfn ! Les images de ces revues éditées par Marques, Traces, Effacement racontentun regard de photographe, celui de Roberto Ménégale sur les oeuvres ensituation.

Il y a en tout 6 cahiers dans un coffret qui présente les 35 ans en images, enhistoires, en sons et en vidéos.

Le tirage est de 210 exemplaires signé, à compte d'auteur.Bonne visite. » (r.j.)

François PontLe travail de François Pont m'a attiré par sa technique et son abstraction suggestive. Une simplicité relative, une forcedépouillée à l'essentiel guide son geste. Couché dans des terres en friche, j'entend les herbes qui bruisse dans levent et par mes yeux je vois une géométrie courbe précise et foue et un bleu blanc au loin la haut. François Pont c'est« Une vision dynamique de l’art et de la vie, ainsi qu’une volonté de « re-création » guident l’artiste dans sa démarcheartistique, et non la nostalgie d’un temps perdu....il s’adonne entièrement au mouvement. Il en résulte des œuvreslibres, riches de spontanéité, dans lesquelles François Pont s’efforce de trouver une certaine harmonie. » ( MurielConstantin, historienne d'art septembre 2007)Il vit et travaille en Valais et à Londres. http://www.fondationlouismoret.ch/artiste/francois-pont/

François Pont

Alban AllegroLa toile de Alban qui est chez moi m'a fait rentrer dans une galerie attiré par deux carrés bleu qui a l'approchemontraient deux tracés simple de têtes d'homme fottant dans une atmosphère de terrain vague. Mais peut être est-ce la profondeur donnée par le blanc et le rouge qui a attiré mon mouvement et mon oeil. J'y ai vu un grand bruiténigmatique comme du free jazz. Sa peinture est à lire par ses symboles et... « La peinture en tant que matière et couleur constitue pour l'artiste une préoccupation majeure qu'il traduit par unevolupté à multiplier les couches pour obtenir des compositions où les divers personnages s'enfoncent dans desprofondeurs inconnues et réapparaissent telles des ombres dématérialisées, reflets de leur souffrance et fragilité. »(N.K. Lors de l'exposition à la ferme de la chapelle)Il vit et travaille à Sion, en Valais. http://www.fermedelachapelle.ch/Archives_AllegroAmstutz.html

Alban Allegro

Sigismond de VajayJ'ai rencontré Sigismond alors qu'il était activiste des anciens « Toit du monde » à Vevey. Nous avons collaboré sur leprojet « Among Them », à Sion. C'était déjà dans la même église des jésuites une centaine de corbeaux occupaientl'espace. Dans ses projets, son travaille de mise en liens des gens dans une situations est d'une certaine manière,quelque chose qui existe dans la vision « L'oeil&L'oreille ». ...« Artiste protéiforme, curateur et éditeur, ses productionssont un vaste projet collaboratif que l’artiste élabore au moyen de dessins, d’installations, d’objets et d’une futurepublication autour d'une thématique, chercheurs, scientifiques , écrivains sont impliqués dans la démarche... (leshalles Porrentruy)Vit et travaille à Buenos Aires et à Vevey http://www.eac-leshalles.ch/eac/index.php?page=sigismond-de-vajay

Sigismond de Vajay

Eliane BeytrisonPendant les répétitions de la pièce de théâtre « la vie sur terre » de Geneviève Guhl , j'ai rencontré Eliane qui faisait lascénographie. Je connaissais un peu sa peinture, celle des voyages de Bagdad à Gaza. J'ai chez moi quatre petitsportraits d'une grande série réalisée comme un hommage aux vies tuées et disparues dans les guerres et uneaquarelle d'un singe suspendu à un lustre. J'aime les gestes de son regard qui sont comme des esquisses dépouilléesmais qui remplissent nos imaginaires et les traits tristes et décidés de la « militante ». Je sens la force, ladétermination de se travail qui peut se faire et se dire dans la simplicité d'une cuisine, d'une chambre, d'un banc,d'un bus... Dans l'église les singes se posent en gardiens du temple.Elle vit et travaille à Genève. http://www.galerielignetreize.ch/fr/beytrison.htm

Eliane Beytrison

Eliane Beytrison cristian emery

cristian emery« Cristian emery poète aux paroles brutes . Pas d'histoire, seulement celle qu'on voudra bien y mettre. Nous nesommes ni tenus par la main, ni laissés seuls face à nous-mêmes: un certain horizon nous est proposé. Liberté denous y diriger à notre guise, liberté de baliser un chemin original de notre propre vécu. La narration se disperse sousla poussée des impressions acérées: bribes de vie concentrées par la poésie d'Emery, abrupte et ramassée. Peu deparoles pour dire l'amour, la peur, la solitude, pour dire l'envers de notre quotidien saturé de discours. Uneinterprétation sensible aux différentes qualités de silence, au langage du corps qui parle au corps vient parachever cespectacle lancé à l'estomac. Exister, c'est aussi parfois savoir se passer des mots. (Pierre Fankhauser, à propos de àcorps et à cris texte de cristian emery mis en scène par Geneviève Guhl))Décédé en 1996 http://editions-alenvers.ch/livres/la-vie-en-vain/

cristian emery, « urgence » le livre et la cassette

Pierre Alain MauronJe l'ai connu dans l'atelier 7, qui se trouvait dans la rue des vaches, à Sion dans la fn des années 80, si je ne metrompe pas. Il travaillait avec du collage, des dessins, des matières, ardoise, terre, bois. Il y a dans ses gestes quelquechose de musical, agitation calme, tension détente. Ce peintre aime illustrer échanger avec la littérature. Patient etréservé discret, peu souvent exposer, peu inconnu. Chez moi j'ai une composition sur papier à musique acquise parmon frère Roland, contrebassiste de jazz. Elle me fait entendre Peter Kowald dans sa liberté et ses échangesethniques. Pierre Alain est l'ami que l'on aimerait avoir, ouvert curieux humain discret... Quand j'ai parlé del'exposition et de cristian emery, il m'a expliqué qu'il avait un travail de petits « gribouillages » sur les poèmesd'emery. Il a rencontré le fls de l'imprimeur de cristian emery qui lui remis des papiers qui servaient à l'édition de« urgence », c'est ce que nous avons exposé.Travaille et vit à Signèse / Ayent en Valais. http://www.nufnuf-art.ch/info_artgallery_mauron_pierre_alain.htm

Pierre-Alain Mauron

Roberto MenegalePhotographe, graphiste travaille maintenant sur ses «macros», un travail qui mélange allègrement abstraction etfguratif. Exercer son imaginaire, laisser venir à l'oeil et au cerveau ses fantasmes : «T’as vu un animal ? Mais moi, j’yvois des anges...non, l'océan, ...des montagnes». Des sélections sur la nature, des référence aux toiles des maîtres !donnent forme aux séries de son accrochage. Ses agrandissement du détail : l’exploration de mondes qui sont sousles yeux de tous, mais qu'il faut exercer pour regarder et découvrir au-delà de la réalité première, plonger dans lesubconscient et agrandir son imaginaire, c'est ce que propose ses images. Il cherche à partager avec un soucid'esthétique dans une œuvre harmonieuse par le choix complexe des formes, des couleurs, des ombres et deslumières... Ici, c'est la rencontre entre le bleu et le noir dans une construction géométrique.Il vit et travaille à Sion, en Wallais (Valais).

Roberto Menegale

Olivier DumoulinIl travaille dans un atelier situé en forêt, au fond des gorges du Trient. Je l'ai rencontré pendant qu'il restaurait lagrande mosaïque de l'hôpital de Sierre. Son travail « ses dessins peinture sur toiles, papiers ou bois, carnets, tablettenumérique vous regardent. Réalités vécues ou découvertes pendant l'élaboration l'oeuvre révèlent tous azimuts leurprofonde altération. Icônes, martyrs, fragments de paysage. Absences et apparitions sont les sujets multiples de ce jeude traces. Ces existences, saisies dans l'immédiat, font face à l'inconnu, au vide et se rappellent à notre bon souvenir.Comme un météore ”Boum dans l'atmosphère” le trait s'imprime dans l'esprit.Le dernier vers des indécis”, c'est celui qu'on écrit avant d'en redemander ; une série de vertiges singuliers à coups depinceaux, traces, gestes et couleurs. » (O.D.)Vit et travaille à la Taillat et à Sion. http://www.taillat.ch

Olivier Dumoulin

Barbezat-Villetard.J'ai rencontré ce duo dans le courant de 2015, sur le projet « Mon Tan Dun ». Deux choses au moins me relie à leurtravail la vie des objets et l'exploration du diffcile.« Depuis trois ans, le duo Barbezat-Villetard explore les rapports directs qu’entretient un objet ou une installation avecle site où il/elle prend place. Chacun de leurs travaux renouvelle le rapport œuvre/lieu/spectateur, plaçant ce dernierdans un état d’exploration de formes, de matériaux et d’espaces sans cesse revisités. Nourries par les dimensionshistoriques, culturelles ou architecturales du lieu qu’elles investissent, ces œuvres se défnissent par leur caractèregénéralement éphémère et fragile, évolutif ou transitoire, suggérant très souvent un état d’«entre deux», qu’il soitgéographique, temporel ou dimensionnel. » (Anne Jean-Richard Largey, historienne de l’art | octobre 2014)Ils vivent et travaillent à Sierre et à Berne. http://www.barbezat-villetard.com

Villetard et Barbeuzat

Villetard - Barbezat

Walter Willisch« Walter Willisch est un artiste haut-valaisan. Sa peinture s'inspire du paysage de son enfance et sa résonance est celledu souvenir: une coloration bleue pour des images de montagnes, de petits personnages empruntés, au visagemélancolique. La qualité du bleu est particulière: tellement assourdi ce bleu, si fondues, les fgures, dans le fond dumême ton, que le spectateur doit plisser les yeux pour distinguer les motifs. Dans les années nonante, l'artiste sedégage de la fguration, s'essaie à une abstraction «lyrique» encore mal maîtrisée. » (Laurence Chauvy)

Peut être, mais son geste griffe avec violence est quelque chose comme mon impuissance, ma rage devant lemeurtre de la nature. Vit et travaille à CH 3911 Ried-Brig http://www.willisch-walter.ch/index.php?doc=home

Walter Willisch

La sacristie

la sacristie

Anne BussardJ'ai côtoyée Anne aux rencontres - architecture - musique - écologie. Dans le Manoir de Martigny, elle soulignait entoute simplicité les contours d'une rosasse de plâtre. C'est ce qui m'a plus, ce geste presque décoratif innocent. Sapeinture comme ses vidéos et ses installations ont la légèreté des rêves, la douceur de la compassion, une simplicitépas loin de l'enfance insouciante ou regrettée avec une pointe de nostalgie et de regret. Amour, le plus beau mot del'humanité. Dans cette exposition, elle a choisi une vidéo tournée dans un parc ou se mélange des requérants et la féede l'amour et une grande peinture d'un jour blanc et doux que l'on regarde à travers la vitre de la fenêtre, un petitvoile dans les yeux.Elle vit et travaille, à Sion http://www.visarte-valais.ch/vs/index.php/artistes/anne-bussard

Anne Bussard

Céline Salamin « Graziosa Giger prouve une fois de plus qu'on peut faire de bonnes expositions en Valais et qu'il existe de la bonnepeinture. » C'est là que j'ai acheté les deux motifs présentés en séries de Céline.

Des pouces et de petits pots de couleur peint avec réalisme. Objets identiques et si différents. C'est la comparaisonqui permet de reconnaitre que chaque pouce est différent, il est aussi unique que chaque personne et donc unsymbole de l’unicité dans la différence de chaque humain. Humour bien pensé, l'intelligence d'en rire. L'objet donneà penser même et surtout s'il est de sa cuisine ou photographié comme les pouces. Une grande attention et dérisionsur l'acte de peindre. Geste précis et laborieux. « Cette esthétique sociale permet aussi un joli effet de boomerang.Tout le monde en parle, chacun vient voir son pouce ou celui d'un autre. La peintre utilise toujours la peinture àl'huile, médium lent qui demande de la patience. Tout comme l'évolution de sa carrière, qui n'a rien d'éphémère, etqui prospère, solide. peinture. Une authenticité qui révèle l'étoffe de l'artiste. »

Elle vit et travaille, à Sierre http://www.celinesalamin.ch

Céline Salamin

Céline Salamin

Isabelle zeltner salamin

Un passage entre ciel et terreLes tableaux d'Isabelle Zeltner-Salamin vous aspirent en eux. Le blanc vient couvrir ce que l'oeil de l'artisteavait saisi et fxé dans un premier temps. Il cache et donne.« Comme des portes s'ouvrant spontanément à vous, ils vous entraînent par la main, tel un enfant vousinvitant dans une ronde joyeuse et enjouée, vers un espace entre terre et ciel, moment magique, paisible etmystérieux, où se mélangent terre et lumière, forme et fuidité, passage ou cœur de nous même, chaleureuxet lumineux. On en ressort tout aussi spontanément, mais bien plus vivant.(Véronique Antille)Elle vit et travaille à Sierre. http://isazeltner.ultra-book.com/portfolio

Isabelle Zeltner Salamin

Beatriz Canfield

Sculpter pour générer de l'espace"Le plus important, résume Beatriz, c'est la liberté. Une liberté responsable qui implique des prises de risques". .... « elle assemble des poutrelles d'acier corten en les soudant, les sablant, les patinant et les vernissant pour en fairedes constructions tout en hauteur, des stèles lancées vers le ciel, des architectures imaginaires longilignes, d'étroitescitadelles évidées dont les groupes de déclinaisons formelles évoquent la forêt hérissée d'une ville verticale.Manipuler les lourdes barres métalliques, manier le chalumeau, négocier avec le feu.., elle parle de son corps à corpsavec l'acier avec les yeux qui brillent et un plaisir gourmand. » (Françoise Jaunin, historienne d’art )

Ici, elle présente trois bacs remplis d'eau capteurs et réfecteurs de la lumière du lieu et un ancien projet vidéo d'uncorps qui est comme une sculpture en douleur. Elle vit et travaille à Sierre. http://www.beatrizcanfeld.com

Beatriz Canfeld

Beatriz Canfeld

Martin ChandaArts visuels, photographie, design, architecture, sculpture, volume 3D et installations, land art.Ici, il présente des dessins et des céramiques qui vivent ensembles sur le même support. « Ces compositions interrogent ce rapport de l’image avec le spectateur. Je suis particulièrement intéressé par lesmessages cachés derrière les petits détails, qui peuvent être très importants, mais trop souvent laissés de côté. »(Martin Chanda)Le choix de la surface d'exposition entre totalement dans son projet et devient le lieu de vie de l'oeuvre. Elle va doncen changeant de lieu s'enrichir ou s'affaiblir en continuant de vouloir rester elle même.Il vit et travaille à Conthey en Valais. http://artnews.org/artist.php?i=6035

Martin Chanda

Mathieu Bonvin« Des entrelacs de lignes fottantes qui se conjuguent à l’horizon, qui se multiplient, se rejoignent et se distendent,qui forment dans leurs imbrications une forme d’orientation, de direction composant ainsi un dessin tout demouvance et de vibrations, voilà les dessins d’un artiste à découvrir rapidement. » (galerie Grande Fontaine, à Sion)Un univers original et personnel Mathieu Bonvin nous emmène dans des chemins particuliers avec la découverted'une pièce de trois dessins qui nous ramène au passé qu'il revisite. Il appelle à la non consommation, à l'expressiondépouillée, puissante et critique par les gestes brouillés. « Je dirais coûte que coûte !» semble exprimer ses dessins.Technique ou le brou de noix, l’encre, les bruns ocre, terre de sienne, apportent à l’ensemble une atmosphèreprenante.Il vit et travaille à Sion http://mathieu-bonvin.ch

Mathieu Bonvin

La sacristie

Colomba Amstutz«Dans mes tableaux, il n’y a pas que du rêve – explique Columba Amstutz. C’est aussi une forme de questionnementsur notre présence au monde.» Il y a aussi chez Colomba : « L’atmosphère poétique des tableaux ...qui nous plongentdans un univers si particulier, à la fois proche et distant, qui tient beaucoup à sa manière de peindre quasiment sansmatière, à la détrempe : les pigments très dilués ... En outre, elle peint sur papier, ce qui rend la couleur encore plusimmatérielle. Ce papier, grâce à la technique du maroufage – du mot maroufe, colle qui durcit en séchant – seraensuite fxé sur un support plus solide, la toile en l’occurrence. Ce sont l’énergie de son trait et la présence de sesfgures structurent et animent l’espace. » (Gallerie Château de Venthône)Elle utilise aussi l'objet, des ex-voto qu'elle rajoute à certaine toile peinte. Ici, les anges musiciens sont tombés dansles pigment bleu d'un bidon. Ils ont semble-t-il ! quitté la toile baroque de l'autel.Elle vit et travaille à Sion. http://www.ferme-asile.ch/Home/Artist/32

Colomba Amstutz

Sandra Gil : « Mon travail est fondamentalement lié au dessin et au geste. Au fls du temps, je me suis inventée et imposée lesrègles d’un jeu où la gestuelle graphique est contrainte de faire concession à un minimalisme plus ou moinsprononcé, et ce afn de laisser l’esprit libre de prendre des décisions spontanées irréversibles de l’ordre de la nuancechromatique ou liées à la matérialité tactile et visuelle de l’oeuvre. Les résultats de ces jeux qui me sont propresrelèvent de l’Art dans sa plastique la plus primitive. Je suis et j’ai toujours été infuencée par l’art japonais; un art et unesprit où la respiration est plus important que le mot qui va être prononcé. Pour chaque exposition, j’attache uneimportance fondamentale à l’espace, à l’architecture, et c’est celle-ci qui dicte ses règles, de manière à former un toutavec elle. Et tout ceci est indissociable. Il m’importe de relever chaque plein, chaque vide et de travailler avec cesdonnées le mieux que je puisse, aussi en jouant avec la rugosité d’un mur ou les espaces de circulation. » (Sandra Gil)Ici, l'autel semble absorbé par les 4 petits tableaux d'une fne transparence. Sur la droite de l'autel il y a une vidéoqui montre un drôle de marathon de Paris, (Corrida) : Vit et travaille à Lille, en France https://youtu.be/84sZtu3AzBs

Sandra Gil

Sabine ZaaleneNée en 1969 à Sion, Sabine Zaalene a obtenu une licence d’archéologie et d’histoire de l’art à l’université deBordeaux III puis un Master en histoire de l’art à l’université de Paris I. Elle s’est ensuite consacrée à des projetsartistiques récompensés en 2007 par la bourse d’encouragement à la création du Canton du Valais et en 2009 par lePrix Giuseppe Englert pour son projet Station. En 2011, elle a effectué une résidence artistique au Mali grâce ausoutien du Canton du Valais. Membre de Visarte depuis 2005, elle a participé à la Triennale d'art contemporain duValais, en 2007 et en 2014. Elle est actuellement en train de terminer un Master en Arts in Public Spheres à l'EcoleCantonale d’Art du Valais (ECAV).

Par les graines formant le fruit, la grenade se trouve traditionnellement associée à l’idée de communauté, manifestantle rapport de l’individu et du collectif. Ici le motif formé avec les graines se rejoue à l’échelle des moitiés de grenades.La grenade est un fruit et une arme. Quelque chose de viscéral se joue. (Sabine Zaalene)

Elle vit et travaille en Valais. http://www.sabinezaalene.com

Sabine Zaalene

Sabine Zaalene

Gil valery« KOS » une Vidéo 4'30 Gil Valery 2015 Sur l'île de Kos, elle attend qu'il traverse.Après avoir travaillé dans l'action sociale et le secteur des réfugiés Gilles entame une formation en communicationvisuelle. Dès lors, il poursuit son activité comme graphiste et enseigne les nouveaux médias, réalise des reportagesphoto puis devient assistant, caméraman et chef opérateur pour les Films Plans-Fixes entre autres.Il travaille aujourd'hui entre la Suisse et la Belgique, s'engage dans l'écriture et la réalisation de plusieurs projets defctions et documentaires. https://vimeo.com/144597220

Gil Valery, plan fxe vidéo « KOS » , (viméo)

19941993

1989198819871986198519841983198219811980

...