Upload
duongthuy
View
214
Download
0
Embed Size (px)
Citation preview
1
Prendre en compte
l’environnement informatique
dans la réalisation des
contrôles
Juillet 201316
1
2
16
Les supports de formation mis à disposition des participants sont lapropriété exclusive de CNCC. En conséquence, toute reproduction,représentation ou diffusion, intégrale ou partielle, par quelque moyenque ce soit, sans accord préalable expressément notifié par CNCCest illicite en application de l’article L.122-4 du Code de la propriétéintellectuelle et, est passible des sanctions pénales prévues auxarticles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
En particulier, CNCC distribue un support à chaque participant lorsdes sessions de formation. Si la transmission de ce support estdématérialisée (mail, téléchargement), l’utilisation de ce support estréservée aux seuls participants ayant été présents au séminaireconcerné pour un usage strictement personnel.
2
Introduction
• La dématérialisation des données financières est un facteur PENALISANT la collecte des éléments probants avec :
• Absence d’édition
• Système de production intégré
• Gestion de la production en flux tendu
• Flux financiers intégrés
• Gestion de la trésorerie en ligne
• La dématérialisation des données financières est un facteur FAVORISANT la formation de l’opinion grâce :
• Aux outils permettant une vision plus large
• A une formation adaptée
• A des processus mieux formalisés
•
Dans un environnement de données financières de plu s en plus dématérialisé : 2 analyses
OU
3
Introduction
• Le corps des NEP ne prends pas DIRECTEMENT
en compte l’environnement
informatique
• NATURELLEMENT l’exercice professionnel doit s’exprimer dans un
environnement informatique
Dans un environnement professionnel encadré par les NEP : une évidence
4
3
Prendre en compte l’environnement informatique dans la réalisation des contrôles.
PLAN
• I / Environnement informatique & corps des NEP : démarche du commissaire aux comptes
• II / Les NEP : En pratique
• III / Démarche de l’administration fiscale et lien avec la démarche du Commissaire aux comptes
• IV /Quelques exemples d’analyse de données et stra tégie du cabinet face aux outils
5
Séquence 1
Environnement informatique & corps
des NEP : démarche du commissaire aux
comptes
4
Le référentiel normatif : guide conducteur
Principes applicables à l'audit des comptes dans le cadre de leur certification
Acceptation
et maintient
de la mission
Lettre de
mission
Connaissance de
l'entité et de son
environnement et
évaluation du risque
d'anomalies
significatives dans les
comptes
Procédures
d'audit
mises en
oeuvre à
l'issue de
l'évaluation
des risques
Tests de
procédure
Contrôle de
substance
Caractère
probant des
éléments
collectés
Rapport
général sur
les comptes
annuels
Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes
NEP 200
NEP 501
NEP 500NEP 330NEP 315
Principes
GENERAUX
Démarche
d'audit
Aspects
particuliers
Normes
"transversales"
Appréciation
des estimations
comptables
NEP 540
Plan de missionProgramme
de travail
Méthode des
sondages
Planification de
l'audit
NEP 300
Demande de
confirmation
NEP 300NEP 530
Prise en compte de la possibilité de fraudes et d'erreurs lors de l'audit des comptes NEP 240
Anomalies significatives et seuil de significationNEP 320
Documentation des travauxNEP 230
7
SEQUENCE I : Démarche
Le CAC fait preuve d'esprit critique
Le Risque d’audit doit être suffisamment faible
L’assurance de l’opinion est élevée mais non absolue
Les principes de l’audit la NEP 200
En environnement informatique les principes restent les mêmes :
8
SEQUENCE I : Démarche
5
Démarche en deux étapes : NEP 315 & 330
PHASE I
dans l'élaboration des
1-Prise de connaissancede l'informatique dans l'entreprise :
Appréciation de l'informatique dans l'entreprise et de son impact
dans l'élaboration des comptes
2 - Description du SI de l'entreprise : Identification des principales composantes du SI et
de son niveau de complexité
3 -Prise en compte de l'informatique dans le plan de mission
4 - Incidence sur le risque inhérent : Incidence de la fonction informatique
(conception, achat,
exploitation, sécurité,
5 - Incidence sur le risque lié au contrôle : incidence des applications importantes
comptes sur le risque lié
PHASE II
6 - Obtention
d'éléments probants
et détermination du
caractère suffisant et
approprié des
éléments obtenus et
liens avec l'opinion
sur les comptes
9
SEQUENCE I : Démarche
CONNAISSANCEDUMETIER
REVUEDUCONTRÔLE INTERNE
CONNAISSANCEDUSYSTEMED’INFORMATION
CONNAISSANCEDESPROCESSUSDU CLIENT
PLANIFICATIONIDENTIFICATIONDES RISQUESPOTENTIELSPOUR CE CLIENT
TRAVAUXSUBSTANTIFSMANUEL OU INFO.
REVUES DEPOSTES SPECIFIQUES
STOP
Documentationcomplète, exemple, outils
10
SEQUENCE I : Démarche
Démarche en deux étapes : NEP 315 & 330( démarche concrète)
10
6
Collecte d'éléments probantsCollecte d'éléments probants
Tout au long de la mission
(NEP 500)
Prise de connaissance, évaluation du contrôle interne , évaluation des risquesPrise de connaissance, évaluation du contrôle interne , évaluation des risques
PHASE I(NEP 315)
Procédures d'audit en réponse à l'évaluation des risques
Procédures d'audit en réponse à l'évaluation des risques
PHASE II(NEP 330)
La NEP 315 & 330 & 500 Approche générale : en synthèse
11
SEQUENCE I : Démarche
La NEP 315 & 330 & 500 Approche générale : en synthèse
Sous influence INFORMATIQUE
Cette phase implique d’avoir une vision globale de l'entité :1. Environnement de contrôle : comportement de la di rection, degré de
sensibilité et actions menées en matière de contrôl e interne
2. Système d’information relatif à l'élaboration de l'information financière : comptable, production, gestion
3. Procédures de contrôle interne en place
SEQUENCE I : Démarche
12
7
La NEP 315 & 330 & 500 Approche générale : les points essentiels
Séparation des taches
Description des systèmes
Valorisation Procédurecommande
Procédureréception
Contrôlesfactures
Inventaire physique
inhérentRisque
inhérent
contrôle
Risquelié au
contrôle
détection
Risquede non
détection
D’AUDITRisque
D’AUDIT
Nature des
activités
Complexité des process de production
ObsolescenceCoursdes
matièresCoursdes
devises
Pertes et détournements
Nombre de centres de production
Typologie des stocks
Erreur humaineComplexité des
procéduresCollusion
13
SEQUENCE I : Démarche
13
INFORMATIQUEINFORMATIQUEINFORMATIQUEINFORMATIQUE
Construction de l’opinion
Vérification d'un Vérification d'un Vérification d'un Vérification d'un
calculcalculcalculcalcul
Procédures Procédures Procédures Procédures
analytiquesanalytiquesanalytiquesanalytiques
RéRéRéRé----exécutionexécutionexécutionexécution de de de de contrôlescontrôlescontrôlescontrôles
Inspection des actifs corporelsInspection des actifs corporelsInspection des actifs corporelsInspection des actifs corporels
Demande d'informationDemande d'informationDemande d'informationDemande d'information
Inspection des enregistrements Inspection des enregistrements Inspection des enregistrements Inspection des enregistrements
ou documentsou documentsou documentsou documents
Demande de Demande de Demande de Demande de
confirmation des tiersconfirmation des tiersconfirmation des tiersconfirmation des tiers
Observation Observation Observation Observation
physiquephysiquephysiquephysique
Le caractère approprié est fonction de la qualité des éléments collectés, c'est-à direde leur fiabilité et de leur pertinence .
La NEP 315 & 330 & 500 Approche générale : Outils & travaux
14
SEQUENCE I : Démarche
8
La NEP 315 & 330 & 500 Approche générale : Outils & travaux
Objectif : analyser les procédures internes
en recensant l’ensemble des contrôles standards
attendus dans cesprocédures
Questionnaire
de C . I
Questionnaire de revue préliminaired’environnement
Diagramme
de circulation
des flux
OUTILS
15
SEQUENCE I : Démarche
Cartographieapplicative
le commissaire aux comptes choisit les méthodes appropriées pour sélectionner les éléments à contrôler en vue de réunir les éléments
probants permettant d’atteindre les objectifs de ses tests d’audit
Tests de procédures Tests de Substance
Empirique Sondage
La NEP 530 : Méthode des sondagesun outil normé et indispensable en milieu informatique
méthodes
Travaux
16
SEQUENCE I : Démarche
OU
9
La NEP 240 : Une NEP toujours présente dans la démarche
Exercer son esprit critique
Evaluation des risques
et programme
de travail
•La fraude se distingue de l’erreur par son caractère
intentionnel.Connaissance de
l’entité
Le risque de ne pas détecter une anomalie significa tive est plus élevé en cas de fraude qu’en cas d’erreur parce que la fraude est générale ment accompagnée de procédés destinés à dissimuler les f aits.
• Un risque limité par le respect des Normes et des processus de contrôle
17
SEQUENCE I : Démarche
guide en librairie
18
Guide complet avec:• Référenciel• Process détaillé• Etude cas complet• Réglementation
fiscale• Outils sous tableurs• Textes en Word
SEQUENCE I : Démarche
10
Séquence 2
Les NEP en pratique
En pratique La planification : cas général
organisationplan d’audit
revue du contrôle internecontact clientpour N+1
avrilN
sept.N
31.12.N
prise deconnaissance du SI
évaluationdes risques
synthèse etorientationsdu final
conclusions
travauxsubstantifs
01.01.N+1
testsinformatisés
2 REGLES D’OR :• Simultanéité : contrôle interne / risques S.I.• Simultanéité : travaux substantifs / tests
STOP
20
SEQUENCE I SEQUENCE II : pratique
11
En pratique La planification : récurrence
pland’auditannuel
contact
DG/DSI
1er exerciceaudité
prise deconnaissancedu SI
évaluationdes risques
concl.
testsInform.
exercicesultérieurs
miseà jour
évaluationdes risques
concl.
Contrôle préliminaire final
STOP
21
SEQUENCE I SEQUENCE II : pratique
Outil de communicationinterne
(traitements de texte, groupware..)
Outil de projection de simulation
(gestion budgétaire, trésorerie..)
Outil de suivi(reporting, comptabilité,...)
Outil opérationnelde gestion(paie, GPAO, comptabilité...)
Outil de communicationexterne(traitements de texte, groupware...)
En pratique : Objectifs prise de connaissance :Identifier, formaliser, apprécier
•Principales composantes du S.I.•Niveau de complexité•Processus à analyser, utiles aux objectifs de l’aud it
22
SEQUENCE I SEQUENCE II : pratique
12
En pratique : Cartographier les composantes du S.I.
Identifier les principales applications informatiques
Identifier
les
interfaces
Mise en évidence des risques potentiels liés à l’architecture
Visualisation synthétique du S.I.
Architecture et système de génération des flux comptables et financiers
23
Représentation graphique
SEQUENCE I SEQUENCE II : pratique
• type progiciel (éditeur/développement spécifique),
• date de mise en place,
• environnement technique : UNIX, Windows, AS400...,
• mode de traitement (différé ou temps réel),
• nom de l’éditeur ou du prestataire,
• date de la dernière modification,
• principales fonctionnalités,
• nature des sorties,
• estimation du volume traité
ETAPE 1 Identifier chaque application
Nom de l’application
Type Principales fonctionnalités
Date de mise en service
Environnement / système d’exploitation
Mode traitement
Editeur / prestataire / Développement interne
Date de modification
Nature des sorties
Estimation du volume traité
Dossier permanent informatique
Recensement des applications
En pratique : Cartographier les composantes du S.I.
24
SEQUENCE I SEQUENCE II : pratique
13
type d’interface : automatique, semi-automatique, manuel,
applications en amont / en aval,
nature des flux : ventes, stocks, clients…,
fréquence : quotidienne, hebdomadaire, mensuelle…,
ETAPE 2 : RECENSER, Identifier la nature des « liens » entre applications
Dossier permanent informatique
Nom de l’interface
Type Applications Amont / Aval
Nature des flux Fréquence Etat des anomalies
Recensement des interfaces
En pratique : Cartographier les composantes du S.I.
25
SEQUENCE I SEQUENCE II : pratique
ETAPE 3: élaborer la cartographie Exemple de S.I. « simple »
En pratique : Cartographier les composantes du S.I.
26
SEQUENCE I SEQUENCE II : pratique
14
En pratique :Adapter le plan de mission selon la complexité du S.I.
Quelques exemples d’éléments de complexité :
•progiciel intégré ou de nombreuses applications spécifiques,
•technologie utilisée : système central, client serveur, Internet…
•paramétrage : complexité, standards ou spécifiques,
•nombre d’interfaces,
•existence d’interfaces manuelles entre les systèmes,
•dépendance des traitements entre les systèmes,
•…
La cartographie du S.I. indique le niveau de complexité
expert Informatique
(NEP620)
27
SEQUENCE I SEQUENCE II : pratique
Complexité : incidence sur la fiabilité du S.I. :outil de décision
Incidence sur la fiabilité du système d’information
Faible Modérée Elevée
Intégration Système entièrement intégré utilisant des informations partagées entre les applications (existence de référentiels). Les fonctions d’états de synthèse et de tableaux de bord sont intégrées dans le système.
Quelques interfaces sont automatisées. Des informations sont traitées sur poste client à des fins d’états de synthèse et de tableaux de bord.
Système fragmenté nécessitant la saisie manuelle de nombreuses informations entre les systèmes. Données en doublons en raison de l’inexistence de référentiels. Pas de règle de gestion concernant la mise à jour des données.
Documentation Existence d’une documentation à jour permettant d’avoir une bonne compréhension du système d’information.
Documentation partielle mais couvrant les principales applications.
Documentation faible ou non mise à jour. Difficulté à appréhender le système et à mesurer l’impact d’une modification.
Analyse Complexité Du S.I.Dossier permanent informatique
28
SEQUENCE I SEQUENCE II : pratique
15
Comment identifier les processus à analyser ?
Appli. 1 Appli. 2 Appli. 3 Appli. 4 Appli. 5 Appli. 6 Appli. 7
Processus 1 X X X X X
Processus 2 X X X
Processus 3 X X X
Cartographie des applications
Traitement données comptables et financières
Quels sont les processus qui concourent directement ou indirectement à la production des comptes ?
Importance des données traitées, nature des interfaces, …
29
SEQUENCE I SEQUENCE II : pratique
Conclusion :Interpréter le résultat
Com
plex
itédu
S.I.
Incidence sur la fiabilité du S.I.
Le S.I. est peu complexe …
•S.I. intégré, référentiels uniques
•Technologie maîtrisée
•Documentation à jour des évolutions
•fiabilité des informations gérées
•respect des procédures de contrôle interne
… le cas échéant :
•S.I. composé de multiples applications
•« re-saisies » nombreuses
•Faible documentation
•Présence de nouvelles technologies mal
maîtrisées (Internet, …)
30
SEQUENCE I SEQUENCE II : pratique
16
Réaliser une synthèse des risques
élev
é m
oyen
faib
le
APPLI 1 :
absence de revue
approfondie de l'archivage fiscal
multiplicité de base client
APPLI 2 :
gestion
environnement matériel
APPLI 3 :
RIS
QU
E
- PROBABILITE +
Identification
Mesure
31
SEQUENCE I SEQUENCE II : pratique
A RETENIR
Comprendre le S.I. d’une entreprise
Quelle politique vis-à-vis de l’informatique ?
Quelle organisation au niveau de l’informatique ?
De quoi se compose le S.I. ?
Savoir représenter le système d’information d’une e ntreprise
Processus et systèmes : formaliser la cartographie des
applications
Briques composant le système d’information pour mie ux
apprécier le degré de complexité du S.I.
identifier les processus à analyser, utiles aux obj ectifs de l’audit
Tirer les conclusion en intégrant l’informatique da ns la démarche
d’audit
32
SEQUENCE I SEQUENCE II : pratique
17
Séquence 3
Démarche de l’administration fiscale et
lien avec la démarche du Commissaire
aux comptes
34
Le contrôle fiscal des comptabilités informatisées
a) Textes de références
b) Périmètre d’intervention
c) Obligations de conservation
d) Sanctions
e) Obligations & responsabilités
f) Présentation pratique
34
18
35
Le contrôle fiscal des comptabilités informatisées
Loi de finance 1990 n° 89-935 du 29 décembre 1989
BOI : Instruction Administrative n° 13 L 01-06 n° 12 du 24 janv.
2006
BOI : Instruction Administrative n° 13 L 02-08 n° 30 du 6 mars
2008
LFR 2012
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III
35
36
Le contrôle fiscal des comptabilités informatisées
Objet du contrôle :
« Le périmètre de contrôle défini par l'article L. 13 du livre des procédures fiscales, couvre les trois principales composantes d’un système informatisé :
• les données élémentaires ;• les traitements ;• la documentation. » (Art. 38 du BOI 13 L-01-06)
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III
36
19
Le contrôle fiscal des comptabilités informatisées
Cadre du contrôle :
Les principes comptables devant être respectés par les
entreprises et qui sont vérifiés en cas de contrôle :
Clôture de la comptabilité (Art 420-6 du PCG)
Intangibilité et irréversibilité des écritures comptables (Art
420-4 du PCG)
Traçabilité de la permanence du chemin de révision (Art
410-3 du PCG)
Justification des écritures comptables (Art 420-2 et 420-3 du
PCG)
37
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III
37
Le contrôle fiscal des comptabilités informatisées
Les documents comptables obligatoires et les pièces justificatives
• Durée : 6 ans (article L 102 B I du LPF)
• Modalités : au moins 3 ans sur un support informatique, et sur tout
support au choix du contribuable pour les trois dernières années
Les données élémentaires et les traitements qui concourent
directement ou indirectement à l’élaboration de la comptabilité
• Durée : 3 ans (article L 102 B II du LPF)
• Modalités : sur support informatique
La documentation informatique
• Durée : 3 ans (article L 102 B II du LPF)
• Modalités : sur support informatique ou papier
38
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III
38
20
Le contrôle fiscal des comptabilités informatisées
Le non respect des obligations peut conduire à un rejet de la
comptabilité de l’entreprise.
Cette sanction peut être lourde de conséquences dans la
mesure où elle est assortie d’une pénalité de 100% prévue à
l’article 1732 du CGI (Art. 165 du BOI 13 L-01-06).
39
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III
39
Le contrôle fiscal des comptabilités informatisées
Lors d’un contrôle fiscal, seul l’utilisateur (le contribuable)
est seul responsable vis-à-vis de l’administration fiscale.
A noter l’existence d’une procédure de plainte pour
complicité pour fraude fiscale qui peut être menée à
l’encontre des éditeurs, sur la base du constat de
l’existence de fonctions permissives
40
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III
40
21
Le contrôle fiscal des comptabilités informatisées
Le commissaire aux comptes dans le cadre de la mission vérifie que l’entreprise répond aux textes en vigueur et peut travailler sur les mêmes fichiers que l’administration fiscale.
X
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III
41
42
Le contrôle fiscal des comptabilités informatisées
Qui contrôle ?
Contrôleur fiscal « traditionnel »
BVCI : Brigade de Vérification des Comptabilités Informatisée
La démarche d’un vérificateur
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III
42
22
43
Le contrôle fiscal des comptabilités informatiséesSynthèse de la démarche d’un vérificateur (1/2)
Quoi ? Comment ?
prise de connaissance de la documentation informatique, des traitements de données identification des éléments d’information à contrôler
envoi d’un questionnaire à remplir, entretiens,prise de connaissance de la documentation de l’entreprise…
Identification des traitements informatiques permettant de valider les éléments d’information à contrôler
3 possibilités :# réalisation de contrôles par le vérificateur directement sur le matériel présent dans l’entreprise (L 47 A alinéa 1),# réalisation de contrôles par le contribuable sur son propre matériel (L 47 A alinéa 2),# réalisation de contrôles par le vérificateur en dehors de l’entreprise, à partir d’une copie de fichiers (cette copie peut être soit dématérialisée, soit sous forme de fichiers papiers) (L 47 A alinéa 3)
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III
43
44
Le contrôle fiscal des comptabilités informatisées
Synthèse de la démarche d’un vérificateur (2/2)
Quoi ? Comment ?
Réalisation de contrôles sur la base des informations récupérées
Utilisation d’outils d’analyses de données permettant un traitement optimal de l’information (EXCEL, ACL, IDEA)
Echange sur les conclusions / finalisation du contrôle
Contradictoire
LFR 2012 : obligation 2014 : liste des écritures
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III
44
23
45
Le lien avec la démarche d’audit
Mission générale du CAC Contrôle fiscal
Acceptation / poursuite de la mission
pas de lien, cette phase n’étant pas applicable au niveau du contrôle fiscal
Prise de connaissance de l’entité -Identification et évaluation du risque d’anomalies significatives
prise de connaissance de la documentation informatique, des traitements de données identification des éléments d’information à contrôler
Conception et mise en œuvre des procédures d’audit complémentaires
Identification des traitements informatiques permettant de valider les éléments d’information à contrôler
Contrôles mis en place / Evaluation des éléments collectés
réalisation de contrôles sur la base des informations récupérées
Synthèse de la mission & formulation de l'opinion
échange sur les conclusions (contradictoire) / finalisation du contrôle
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III
45
A RETENIR
L’ensemble des règles fiscales permettent un contrôle facilité et plus efficace.
Le commissaire aux comptes a une démarche informatique similaire pour les contrôles informatiques.
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III
46
24
Séquence 4
Quelques exemples d’analyse de données
et stratégie du cabinet face aux outils
Domaine principal : Progiciels de gestion comptable : la couverture fonctionnelle
Editionliasse fiscalefrançaise
Reportingfinancier
Comptabilitégénérale
Comptabilitésauxiliaires
Comptabilitéanalytique
Gestionbudgétaire
Comptabilitéd’engagements(projets)
Gestion desimmobilisations
Gestion detrésorerie
Consolidationstatutaire
Gestion desinterfacesbancaires
Gestion desOPCVM
Générateurd’états
Extracteurde données
48
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III SEQUENCE IV
48
25
CYCLE CHIFFRE D’AFFAIRES
• A partir des journaux de ventes, recherche de bris de séquence
sur le numéro de pièces,
• Recherche des annulations de factures, des avoirs systématiques
• S’assurer de la chaine « BL – FACTURES – ECRITURES »
• Détection des doublons sur N° de factures
• Réalité• Exhaustivité• Séparation d’exercice
Exemples de Travaux à réaliser
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III SEQUENCE IV
49
50
CYCLE STOCKS
• Etude de la cohérence du fichier stocks : moyenne, mode,
médiane, stratification par famille, par site etc.
• Recherche des quantités négatives et de la bonne application
de tarif
• Recherche de doublons à partir des références
• Recherche des articles à rotation lente à partir des dernières
dates de sortie
• Vérification du calcul de la provision pour dépréciation
• Réalité• Exhaustivité• Séparation d’exercice
Exemples de Travaux à réaliser
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III SEQUENCE IV
26
51
CYCLE TRESORERIE
• Séparation des fonctions : autorisation des règlements etvirements informatiques
• Dans les journaux de trésorerie, extraction des écrituresayant une contrepartie anormale : comptes de charges oucomptes TVA déductible par exemple par un tripersonnalisé
• Application de la Loi de Benford ( minimum 5000 écrituresconseillé )
• Vérifier la réalité des paiements (montant significatif,répétitif ...)
• Réalité• Exhaustivité• Séparation d’exercice
Exemples de Travaux à réaliser
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III SEQUENCE IV
51
Cycle personnel
• Vérifier l’ancienneté des personnels
• Extraire les primes accordées et valider leur autorisation
• Rapprocher les fichiers de virements et les RIB du
personnel
52
• Réalité• Exhaustivité• Séparation d’exercice
Exemples de Travaux à réaliser
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III SEQUENCE IV
52
27
Cycle immobilisations
• Inventaire physique du matériel informatique et
rapprochement fichier
• Vérification des calculs de dotations
• Vérification du total amorti ≤ total immobilisé par
éléments
• Cohérence date factures fournisseurs et dates
immobilisées en fonction des régimes fiscaux
53
• Réalité• Exhaustivité• Séparation d’exercice
Exemples de Travaux à réaliser
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III SEQUENCE IV
53
Objectifs
• Analyser les données de l’entreprise
• Quantifier un risque ayant fait l’objet d’une évaluation préalable « modérée » ou « élevée »
• Vérifier des données
• Rechercher des anomalies
• … / …
Exigences du professionnel :
• Effectuer des tests répondant aux objectifs d’audit
• Transformer des masses de données en informations
• Automatiser les travaux d’audit habituellement effectués manuellement
• Améliorer l’efficacité des équipes
• … /…
54
Stratégie du cabinet face aux choix des outils
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III SEQUENCE IV
28
Stratégie du cabinet face aux choix des outils
55
Il n’existe pas de solution unique selon :
• Typologie de clientèleNombre de transactions commercialeQualité du système d’informationComplexité de certains processus
« Dossiers complexes » ElevéIntégréeElevée
« Dossiers classiques »NormalDisparateNormale
• Stratégie du cabinetConfiance dans la mise en place des outilsMise en place des techniquesEquipe dédiée Budget
« Ambitieuse »ElevéeSur tous les dossiersSpécialistes + matériel dédiéConséquent
« Prudente » NormaleCiblée sur certains dossiers Formation desauditeurs limité
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III SEQUENCE IV
Logiciels Spécialisés (IDEA, ACL)
Caractéristiques :
Volume :Traitement de fichiers volumineux
Traçage des travaux effectués
Intangibilité des données
Reprise et conversion des données
Facilité d’utilisation
Automatisation des travaux récurrents
Logiciels standards EXCEL,OPEN OFFICE
Caractéristiques : Facilité
Universel, Prix, Suffisant
FORMATION OBLIGATOIRE
56
Stratégie du cabinet face aux choix des outils
• Logiciels développés sous Excel : ACTIF DATA
• Caractéristiques : Automate déjà programmé, Standards, Prix raisonnable
• Suffisant dans de nombreux dossiers
1
2
3
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III SEQUENCE IV
29
Stratification de données
Explorateur spécialisé et
historique des travaux
Analyse numérique
Organisation des données, insertion de
formules, champs calculées
Analyse des dates
Fusion, extraction comparaison de
feuilles
Rupture de séquence
Recherche de doublons
57
Version anglaise uniquement
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III SEQUENCE IV
CONCLUSION
Plus le système d’information est complexe …
•plus l’incidence sur la fiabilité des données est
grande
•plus il devient nécessaire d’intégrer le système
informatique dans l’évaluation des risques
d’anomalies significatives
SEQUENCE I SEQUENCE II SEQUENCE III SEQUENCE IV
58
30
Date
59
Titre de la présentation
CNCC+ En savoir plusProfitez de la complémentarité de l’offre CNCC
PORTAIL
OUVRAGES
Collection guide d’applicationPrise en compte de l’environnementinformatique et incidence sur ladémarche d’audit
Normes Normes d’exercice professionnelhomologuées et code de déontologie
OUTILS
FORMATIONSCNCC Formation campagne 2013/2014 - Prendre en compte l’environnement
informatique dans la réalisation descontrôles
- Excel : un outil de contrôle pour lecommissaire aux comptes
- IDEA : un outil d’analyse et detraitement des données au service ducommissaire aux comptes
- Intégrer les outils informatiques dansl’audit des stocks
Prendre en compte l’environnementinformatique dans la réalisation des
contrôles
Redécouvrez vos outilsréalisés par la CNCC
Une page pratique chargée d'astuces pourmaîtriser le portail sur le bout des doigts !
Depuis la page d'accueil du portail > Outils& Packs > Redécouvrez vos outils réalisés
par la CNCC.
OUTILS
PROCESS_AFU :deleg adm Rédac : Gcou
DOC ACHAT
DOC REMISE (batch)DOC CHQ
DOC DIVERS
FAC INDUSTRIE
EXCEL
►les factures > 15 K€ sont émises avec un BAP (trésorier) échéance à définir DEFINIR LA REGLE DE REGLEMENT (décade, bi-mensuelle …)►les factures < 15 K€ sont émises avec un BAP (auto) échéance à définir►les factures seront annotées de tous litiges & remarques diverses (tenue d'une comptabilité sur les engagements)
TOUTES les factures transmises sont scannées par lots (périodicité) sous format TIFF & transmises à ORLEANSTOUTES les factures sont retournées à STE XX pour archives et seront classées dans un ordre comptable pré- définiTOUTES les factures sont enregistrées et attachées à l'écritureà l'échéance définie ORLEANS émet une proposition de paiementaccord définitif du trésorierémission des virements (magnétiques) &(ou) des lettres chèques à imprimer à PARISTransmission des lettres chèque pour signature et envoi au destinataire
DOC REMISES (batch)
Comptabilisation des règlements par ORLEANS, lettrage des comptes clients, envoi d'un grand livre non lettré périodiquement pour analyse, relance et determination des créances douteuses
DOC DIVERSEnvoi par STE XX des documents divers (contrats, subventions …) pour constituer le DP et attacher les pièces aux # et écritures concernées
FAC INDUSTRIESEnvoi des factures et des contrats, enregistrement des factures, liées aux écritures avec le contratTenu d'un fichier EXCEL des contrats pour analyse périodique, recherche des PCA
SUBVENTIONS ACCORDEES PAR STE YYSTE YY accorde sur ses fonds propres des subventions à des medecins, obtention des PV du conseil scientifiqueTenu d'un fichier EXCEL pour suivi des règlements et pour l'étalement des travaux, Recherche des CCA
COTISATIONS ET ABONNEMENTEn février, envoi des cotisations et abonnements de l'exercice, liste exhaustive avec coordonnées des adhérentsL'intégralité des produits est constatée à l'émission, suivi du recouvrement à travers les comptes clients et les remises des batch périodiqueSuivi des créances anciennes, politique de dépréciation : créances de l'exercice précédent : dépréciées à 100 %, créances de l'exercice N-2 : passées en créances irrécouvrablesMise à jour liste des Abonnements et cotisations : annulation des appels (décès, retrait de l'association, refus de la revue…)
NOTE DE FRAISRecpetion des notes de frais par STE XX : vérification, validation, contrôle des justificatifs, imputation sur evènementEnvoi périodique (numéroté) des récap avec imputation analytique, BAP et date d'échéance selon règle prédéfinie
! Envoi exhaustif des notes de frais - comptabilité sur les engagementsPARIS scan périodiqueORLEANS comptabilise et lie la récap à l'écriture ; préparation règlement, proposition de règlement à échéance
- virement éléctronique + mail accompagnement- proposition de règlement par lettre chèque, envoi fichier à PARIS pour impression- retour lettre chèque pour signature et envoi à l'adhérent concerné
SUBVENTION RECUE PAR STE YYSTE XX envoi les éléments en distiguant bien les contrats avec l'industrie des subventions accordéesORLEANS comptabilise et établi un fichier EXCEL de suivi
CONGRESEnvoi mensuel par STE XX des éléments (balances) pour enregistrements des mouvements du mois Envoi par STE XX des éléments rematifs à la TVA du mois pour être incorporé dans la déclaration STE YY
Règlements sont reçus par STE XX pour contrôle, périodiquement un fichier récap est transmis à ORLEANS (Par n° de remise :code client, Nom, montant règlement)
COTISATIONS ET ABT
STE XX
PARIS ORLEANS
CENTRE ADMN
TOUTES les factures sont reçues par STE XX et trans mises (périodicité) à Innovances - papiers original (numérotée : mm/ n°chrono) & imputées (analytique)
1
1a
1-PROPRO
2-ok
3-DEFINITIF
chq
1
1a
1b
1b
v :16/09/2013
FO
NC
TIO
NS
PE
RS
ON
NE
LS
A B
OU
D G
AI
C F
ER
S D
ER
attr
ibut
ions
>m
agas
inm
agas
inch
fad
mM
agas
in
1M
agas
inX
Réc
eptio
n
2R
écep
tion
Exp
éditi
on
3E
xpéd
ition
XC
ompt
abili
satio
n
4C
ompt
abili
satio
nx
Ten
ue d
e l’i
nven
taire
per
man
ent
5T
enue
de
l’inv
enta
ire p
erm
anen
tR
espo
nsab
le d
e l’i
nven
taire
phy
siqu
e
6R
espo
nsab
le d
e l’i
nven
taire
phy
siqu
eR
appr
oche
men
t de
l’inv
enta
ire p
hysi
que-
inve
ntai
re p
erm
anen
t
7R
appr
oche
men
t de
l’inv
enta
ire p
hysi
que-
inve
ntai
re p
erm
anen
tA
ppro
batio
n de
s aj
uste
men
ts a
près
inve
ntai
re
8A
ppro
batio
n de
s aj
uste
men
ts a
près
inve
ntai
reX
Rap
port
des
sto
cks
obso
lète
s, in
utili
sabl
es, e
tc...
9R
appo
rt d
es s
tock
s ob
solè
tes,
inut
ilisa
bles
, etc
...X
Aut
oris
atio
n de
ces
sion
des
sto
cks
dété
riorié
s ou
inut
ilisé
10A
utor
isat
ion
de c
essi
on d
es s
tock
s dé
tério
riés
ou in
utili
séR
appr
oche
men
t com
ptab
ilité
gén
éral
e / a
naly
tique
11R
appr
oche
men
t com
ptab
ilité
gén
éral
e / a
naly
tique
Déf
initi
on d
es p
rix d
e re
vien
t
12D
éfin
ition
des
prix
de
revi
ent
Com
para
ison
prix
de
revi
ent /
prix
de
vent
e
13C
ompa
rais
on p
rix d
e re
vien
t / p
rix d
e ve
nte
14 15 16 17 18 19 20
12
11
00
00
0
outil
: va
lidat
ion
de li
ste
et m
essa
ge d
e sa
isie
XX
XX
XX
XX
X
outil
: m
ise
en fo
rme
cond
ition
nelle
outil
: fo
nctio
n si
att a
u cu
mul
de fo
nctio
n
inst
ruct
ion
: s
aisi
r d
es "
X"
dan
s le
pla
nn
ing
SYNTHESE:
Que
stio
ns e
nviro
nnem
ent
Niv
eau
de
risqu
eC
OM
ME
NT
AIR
EIM
PA
CT
S /
PLA
N D
E M
ISS
ION
CO
EF
F
La n
atur
e ou
le c
ycle
du
prod
uit p
rése
nte
un r
isqu
e : p
rodu
ctio
n lo
ngue
, vie
co
urte
,..
ELE
VE
Gam
me
de p
rodu
its r
enou
velé
e to
us le
s an
s =>
ob
sole
scen
ce d
es p
rodu
itsV
igila
nce
accr
ue s
ur le
mod
e et
le c
alcu
l des
pr
ovis
ions
pou
r dé
préc
iatio
n3
Il ex
iste
des
sto
cks
sign
ifica
tifs
qui s
ont
entr
epos
és d
ans
des
lieux
gé
ogra
phiq
ues
diffé
rent
s
NO
RM
AL
Plu
sieu
rs d
épôt
s gé
ogra
phiq
uem
ent s
épar
és. D
es s
toc
ks
sont
éga
lem
ent p
rése
nts
chez
des
sou
s tr
aita
nts
en
Fra
nce
et à
l’ét
rang
er
S’a
ssur
er q
ue le
s pr
océd
ures
d'in
vent
aire
s ex
iste
nt e
t so
nt m
aîtr
isée
s. P
révo
ir de
s’a
ppuy
er s
ur le
s tr
avau
x de
s co
nfrè
res
prés
ents
dan
s le
s fil
iale
s et
che
z le
s so
us tr
aita
nts.
Ada
pter
l’éq
uipe
de
cont
rôle
de
l’inv
enta
ire
1
Sen
sibi
lité
des
mat
ière
s et
m
arch
andi
ses
aux
fluct
uatio
ns d
es m
arch
es
et/o
u m
onét
aire
s
FA
IBLE
Ex
Mat
ière
s pr
emiè
res
: fer
raill
e, m
étau
x,…
Ris
que
de
valo
risat
ion
......
. R
isqu
e su
r le
s pr
ovis
ions
2
L’en
trep
rise
n’a
pas
de
polit
ique
con
stan
te e
n m
atiè
re d
’éva
luat
ion
des
prov
isio
ns p
our
dépr
écia
tion
des
stoc
ks
NO
RM
AL
App
licat
ion
de r
ègle
s de
dép
réci
atio
n co
nsta
ntes
liée
s à
des
taux
de
rota
tions
moy
ens
cohé
rent
s pa
r ra
ppor
t à
l’obs
oles
cenc
e de
s pr
odui
ts e
t par
rap
port
aux
règ
les
G
roup
e
Vér
ifica
tion
de la
per
man
ence
des
mét
hode
s.
Vér
ifica
tion
des
calc
uls
par
expl
oita
tion
des
fichi
ers
1 7M
AX
IMU
M D
E R
ISQ
UE
PO
SS
IBLE
12
OU
TIL
: va
lidat
ion
de li
ste
Out
il : f
onct
ion
si im
briq
uée
ELE
VE
3F
AIB
LE2
NO
RM
AL
1