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La locomotive BB 15 000
Généralités sur la traction ferroviaire
LA TRACTION ELECTRIQUE
Guide de navigation
Analyse fonctionnelle
Préambule historique
Bibliographie - Internet
Informations préalables aux activités sur FerelecInformations préalables aux activités sur Ferelec
Auteurs
SNCF-CAV- J.J. D’ANGELO
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SNCF-CAV-FABBRO et LEVEQUE
Le train, d’hier à demainLe train, d’hier à demain… Le système de guidage par rail est connu depuis le 17ème siècle, mais la première
locomotive a été construite en 1804 en Angleterre. Les premières locomotives à vapeur seront peu à peu remplacées par les locomotives à traction diesel, diesel-électrique,
turbine-électrique et électrique.
Parmi les moyens de transport par rail on trouve aussi les monorails . L’avenir permettra peut être de voyager « en suspension » grâce à des trains à sustentation
magnétique comme le Maglev. Aujourd’hui, le TGV permet de voyager à 270 km/h en vitesse commerciale.
TGV AtlantiqueMonorail
Vapeur Diesel-électrique Electrique
Maglev
SNCF-CAV-FABBRO et LEVEQUE
Structure d’une locomotive à traction électriqueStructure d’une locomotive à traction électrique
TGV : les trains à grande vitesse de la SNCFTGV : les trains à grande vitesse de la SNCF
LALA TRACTIONTRACTION ELECTRIQUEELECTRIQUE
Infrastructure des lignesInfrastructure des lignes
SNCF-CAV-FABBRO et LEVEQUE
Evolution de l’électrification en France :
La traction électrique apparaît en France au début du 20ème siècle, avec la mise en service en 1900 des lignes Orsay-Austerlitz et Invalides-Moulineaux. Ces lignes sont
alimentées par une tension continue de 600V, à partir d’un troisième rail. D’autres types d’électrification sont ensuite mis en place : différentes alimentations en continu (600V, 750V), puis, grâce à l’évolution de la technologie, 1,5kV continu et 25kV 50Hz
monophasé (fréquence industrielle). Le contact pantographe déployé / caténaire permet l’alimentation en énergie du convoi.
Infrastructure des lignesInfrastructure des lignes
Rayon des courbes
Rayon
Principes de construction des voies de chemin de ferPrincipes de construction des voies de chemin de fer
Profil de voie
1000m
35mLa SNCF admet par exemple des déclivités de 35 pour 1 000 (3,5 %) pour certaines lignes de transport de voyageurs à très grande vitesse.
Le franchissement des courbes contraint à limiter la vitesse des Le franchissement des courbes contraint à limiter la vitesse des trains : pour circuler à 200 km/h, le rayon des courbes minimum trains : pour circuler à 200 km/h, le rayon des courbes minimum est de 1 700 mètres. Pour rouler à 270 km/h, le rayon des est de 1 700 mètres. Pour rouler à 270 km/h, le rayon des courbes doit être de l’ordre de 4 000 mètres.courbes doit être de l’ordre de 4 000 mètres.
d = 35/1000 = 3,5%
SNCF-CAV-Eric BERNARD
Rayon
Un rail moderne doit pouvoir supporter un trafic de 1 milliard de tonnes avant d’être retiré du service. Les traverses en béton, plus lourdes que les traverses en bois, confèrent une plus grande stabilité à la voie et
leur durée de vie est supérieure.
Rails
Traverse (bois ou béton)
Ballast (empilement de cailloux)
Le rail traditionnel était constitué de barres successives séparées par des intervalles ou joints de dilatation, à l’origine du bruit caractéristique des trains. Aujourd’hui, les
voies sont faites de « barres longues ». Les contraintes mécaniques dues aux variations de température sont équilibrées par les réactions des traverses et du
ballast. Le confort de roulement est nettement amélioré.
Structure des voies
Le rail adopté dans tous les pays est le rail type Vignole qui comporte : un patin pour l’appui sur les traverses, un champignon pour le roulement et une âme entre patin et champignon.
SNCF-CAV-FABBRO et LEVEQUE
Entretien et exploitation des lignes
L’automatisation des installations de sécurité répond à la triple nécessité d’améliorer le débit
des lignes, de renforcer la sécurité et de faciliter le travail du personnel des gares.
L’informatique intervient de plus en plus dans la sécurité et la régulation du trafic. Les anciens postes d’aiguillage
à leviers, à faible rayon d’action, sont regroupés en postes de commande automatique des itinéraires, capables de tracer simultanément les itinéraires de
plusieurs trains. Sur les voies, la signalisation manuelle fait place aux blocs automatiques et aux transmissions
voie-machine.
Poste d’aiguillage à leviers
Poste de commande automatique
SNCF-CAV-FABBRO et LEVEQUE
33 163 km de lignes, dont 32 105 km en service :
• Lignes principales: 31 386 km
- Lignes à Grande Vitesse (LGV): 1 286 km- Lignes à deux voies et plus: 15 904 km
- Lignes à voie unique (voie normale): 15 315 km
- Lignes à voie unique (voie étroite): 167 km
- Lignes électrifiées 14 174 km
. en 1 500 Volts continu: 5 804 km
. en 25 000 Volts alternatif: 8 248 km
. par troisième rail et autres: 122 km
Situation au 31/12/99
MODES DE TRACTIONTRACTION ELECTRIQUE TRACTION DIESEL
En serviceLignes classiques: Continu 1500 V En cours (principales lignes)
Monophasé 25 kV En projet ________________
Autres tensions
Lignes nouvelles: Continu 1500 V
Monophasé 25 kV
La caténaire permet d’alimenter la motrice en énergie, depuis les sous-stations. Le câble supérieur, appelé « porteur », aide à maintenir la caténaire. Le « retour » du courant se fait par les rails..
Support en ogive (viaduc de Garabit)
La caténaire
Support 25kV Support 1500V poutrelle H
Le pantographe est un « bras » positionné sur le toit des locomotives électriques.
Il assure l’alimentation en énergie électrique, par contact glissant avec la caténaire.
L’énergie est parfois amenée par un troisième rail, dans ce cas, le pantographe n’est plus nécessaire.
caténaire
pantographe
SNCF-CAV-Eric BERNARD
2 motrices encadrant 10 remorquesmasse : 444 tlongueur ht : 237 mvitesse maxi : 300 km/hpuissance : 8800 kWcapacité : 485 places
TGV AtlantiqueTGV Atlantique
SNCF-CAV-FABBRO et LEVEQUE
2 motrices encadrant 18 remorquesmasse : 752 tlongueur ht : 394 mvitesse maxi : 300 km/hpuissance : 12200 kWcapacité : 766 places
EurostarEurostar
SNCF-CAV- J.J. D’ANGELO
2 motrices encadrant 8 remorquesmasse : 386 tlongueur ht : 200 mvitesse maxi : 300 km/hpuissance : 8800 kWcapacité : 516 places
SNCF-CAV- J.J. D’ANGELO
TGV DUPLEXTGV DUPLEX
Le réseau TGV
A l’intérieur du TGV Atlantique:
Bogie moteur
Compartiment voyageurs
Rhéostat de freinage
Groupe auxiliaire de puissance
Pantographe Bloc puissance
Équipements de sécurité
et ordinateur de bord
Antenne de signalisation
Réservoir de fréon
Bloc pneumatique
Bogie Bloc d’absorption
des chocs
Attelage automatique
Châssis principal
Transformateur principal
La locomotive à traction électriqueLes premières locomotives à traction électrique expérimentales furent mises au point vers la fin
du XIXe siècle en différentes tensions continues ou alternatives.
Mais c’est à partir des années 1940-1950 que l’utilisation de la traction électrique se
généralise.
Avantages:
La locomotive à traction électrique est plus silencieuse, plus rapide, plus facile à conduire et surtout plus puissante que les locomotives à
traction diesel ou vapeur. L’énergie électrique est économique et performante sur les lignes à fort trafic (coût de l ’électrification).
BB 8100 : 1948 ; 1.5 KV
Une locomotive à traction électrique est mue par un ou plusieurs moteurs électriques, appelés moteurs de traction, qui permettent la conversion de l’énergie électrique en énergie mécanique. L’énergie électrique fournie par le réseau électrique hors ligne ferroviaire est captée à la caténaire par un pantographe ou par l’intermédiaire d’un troisième rail, le retour d'alimentation se fait par les rails.
Deux types de locomotives à traction électrique sont exploitées sur le réseau français : la
locomotive à courant continu 1.5kV ou à courant monophasé 25kV 50Hz.
Les locomotives modernes « bi-courant », (continu et monophasé), voire « multitensions »
sont utilisables sur l’ensemble du réseau.
3ème rail sur réseau 750V et 1.5 kV CC
La locomotive à traction électrique
SNCF-CAV- J. M. ANGLESBB 36000 « multitensions » (adaptée aux réseaux européens) et BB 26000 « bi-courant »
La locomotive est principalement constituée d’une caisse (châssis principal) d’un ou plusieurs bogies (châssis secondaires) , équipés d’un ou plusieurs essieux.
Les essieux peuvent être moteur (entraînant) ou porteur (non entraînant).
Structure de la locomotive à traction électrique
L’Union Internationale du Chemin de Fer, à laquelle adhère la SNCF, a établi des règles internationales de désignation des locomotives. Ces règles sont précisément décrites par la fiche UIC n° 612-0. (Voir aussi: www.uic.com)
Quelques règles « simplifiées » : - nombre d’essieux moteurs fixés au même châssis ou bogie : A=1, B=2, C=3… - nombre d’essieux porteurs fixés au même châssis ou bogie : désignés par le chiffre correspondant; - le nombre qui suit (15000, 67000,…) désigne le numéro de série de la machine.
Exemples : - BB 25000 : locomotive à 2 bogies à 2 essieux moteurs par bogie.
- CC 72000 : locomotive à 2 bogies à 3 essieux moteurs par bogie.
- BB BB 300 : locomotive à 4 bogies à deux essieux moteurs par bogie.
- A1A A1A 68000 : locomotive à 2 bogies équipés de 2 essieux moteurs séparés par un essieu porteur.
Dénomination d’une locomotive:
SNCF-CAV- J. M. ANGLES
caisse ou châssis principal
Exemple de la BB 15000
Les 2 bogies ou châssis secondaires
Exemple de la BB 15000
Moteurs de traction
Ressort de suspension
primaire
Amortisseur
Essieu
Ce bogie est constitué de deux moteurs de traction qui entraînent chacun un essieu (deux roues).
Ressort de suspension secondaire
Le bogie et ses équipements
2 essieux par bogie ou châssis secondaire, tous moteurs.
Exemple de la BB 15000
BB 15000Caractéristiques
- Longueur : 17,48 m
- Masse totale : 88 tonnes
- Diamètre roues : 1,215 m (mi-usées)
- Réduction : 1:1,659
- Vitesse maximale : 180 km /h
- Effort à la jante à la vitesse maximale : 82 kN
En exploitation:
- Puissance continue : 4000 kW (128 kN à 110 km/h)
- Puissance unihoraire : 4420 kW
- Vitesse maximale : 160 km/h
2 bogies indépendants. 1 moteur électrique par bogie, entraînant 2 essieux par l’intermédiaire d’un réducteur mécanique à rapport constant.
190
93
11098 152 172
180
V(km/h)
Fj (kN)294
0
Caractéristique de traction(roues mi-usées, adhérence
moyenne)
128
Champ maximum
Caractéristiques
- Longueur : 17,48 m
- Masse totale : 88 tonnes
- Diamètre roues : 1,215 m (mi-usées)
- Réduction : 1:1,659
- Vitesse maximale : 180 km /h
- Effort à la jante à la vitesse maximale : 82 kN
En exploitation:
- Puissance continue : 4000 kW (128 kN à 110 km/h)
- Puissance unihoraire : 4420 kW
- Vitesse maximale : 160 km/h
2 bogies indépendants. 1 moteur électrique par bogie, entraînant 2 essieux par l’intermédiaire d’un réducteur mécanique à rapport constant.
190
93
11098 152 172
180
V(km/h)
Fj (kN)294
0
Caractéristique de traction(roues mi-usées, adhérence
moyenne)
128
Champ maximum
BB 15000
1 – Pantographe
2 – Disjoncteur
3 – Bloc rhéostatique
4 – Sécheur d’air et réfrigérant
5 – Bloc batteries
6 – Bloc protections
7 – Bloc thyristors
9 – Réfrigérant du transformateur
10 – Transformateur principal
11 – Capteur de préannonce
13 – Bogie complet équipé de son moteur de traction et de son réducteur
6
Nomenclature1 – Pantographe
2 – Disjoncteur
3 – Bloc rhéostatique
4 – Sécheur d’air et réfrigérant
5 – Bloc batteries
6 – Bloc protections
7 – Bloc thyristors
8 – Groupe moteur compresseur
9 – Réfrigérant du transformateur
10 – Transformateur principal
11 – Capteur de préannonce
12 – Réducteur
13 – Bogie équipé de son moteur de traction et de son réducteur
14 –Emplacement du moteur de traction
15 – Cabine et pupitre de commande
14
Bogie de BB 15000
Axe de rotation
d’un essieu
Roue à monter sur un axe d’essieu du bogie…
Le bogie complet sans les 4 roues….
Positionnement du moteur électrique sur un bogie de la BB 15000
Moteur électrique entraînant le réducteur en rotation
Axe de rotation du moteur électrique
Positionnement du réducteur mécanique sur un bogie de la BB 15000
Ensemble réducteur mécanique
Axes de rotation des deux essieux
Axe de rotation du moteur électrique
Roues dentées du réducteur
Feuille de route
Dans sa cabine, le conducteur surveille la signalisation et contrôle la marche du train grâce aux instruments disposés devant lui.
Il assure le démarrage, l’arrêt du train et règle la vitesse selon sa feuille de route.
Le pupitre de commande de la BB 15000
Approche fonctionnelle Approche fonctionnelle
Système de traction étudié:
Locomotive ( BB15000), wagons, railset caténaire
-Réseau monophasé 25 kV -Perturbations énergétiques:
- Dialogue conducteur / motrice selon :
horaires, présence conducteur, liaison radio, signaux optiques.
- Dialogue voie / motrice :arrêt automatique de sécurité.
N.B.: le conducteur n’appartient pas au système
, ,
Informations visuelles
Pertes énergétiques
Énergie électrique renvoyée au réseau
WW RR EE
A-0
- Vitesse de déplacement (consignes vitesse ou courant ) en fonction de :
charge remorquée, profil, conditions climatiques,
état des rails.
Système de transport ferroviaire :locomotive ( BB15000) + wagons
+ rails + caténaire
Transporter
A0A0
pénétration dans l’air, état des rails,
déclivité (gravité).
Voyageurs ou
marchandises en situation initiale
Voyageurs oumarchandises
transportés
Voyageurs ou marchandises
EERRWW
Communiquer
A1
Traiter les donnéesA2
A3Gérer l’énergie
Déplacer
Acquérir lesdonnées A5
Cabine, pupitre de commande
Automate, régulateurs, logique électrique et
pneumatique
Capteurs de vitesse, et courant
* Informations affichées
Traction / Freinage
Images vitesse roue, courants des moteurs A0
Pertes énergétiques
Énergie électrique renvoyée au réseau
Commande :- disjoncteur- pantographe- auxiliaires
Vitesse, courants
Monophasé 25kV / 50 Hz
Locomotive, wagons, rails
* Informations à afficher
A4* Énergie mécanique
restituée
v roue
I moteurs
Voyageurs ou marchandises
en situation initiale
Perturbations énergétiques
Ws
* Ordres conducteur motrice
* Energie mécanique
Réglage I moteurs (pilotage thyristors)
Le signe * indique un lienhypertexte associé au flux
Rails, caténaire, procédé de
gestion d’énergie
C
Ws
*Waux
Ws
* Dialogue voie / motrice
Ws
* Modes de marcheConsignes v, I
transportés
R E
A3
Distribuer
A31
Adapter
A32
A33Moduler
Convertir
Caténaire, pantographe, rail, disjoncteur
Transformateur
Ponts
Traction / Freinage
25kV / 50 Hz
2 moteurs série
A34
Energie électrique restituée
Waux et Ws
Energie mécanique
Energie électrique restituée
Energie électriquerestituée
Energie mécanique restituée
Réseau monophasé 25kV / 50 Hz
WWCommandes
EE
Disjoncteur, pantographeÉnergie électrique renvoyée au réseau
Pertes énergétiques
Gérer l’énergie desauxiliaires et de commande
A35
Auxiliaires
I moteurs
2 x 950V / 50Hz
CC
Circuits auxiliaires et de commande
- Ws - Ws alimentation alimentation circuits commandecircuits commande- Waux - Waux énergie énergie pneumatique frein,pneumatique frein,chauffage, éclairage chauffage, éclairage cabine et wagons...cabine et wagons...
RRRéglage courants moteurs (commandes ponts)
Energie électrique
Couplage moteurs
Dissiper
Résistances de freinage
A35
Couplage résistance
s
A4
Déplacer
Adapter l’énergie 41
Voyageurs ou marchandises
en situation initiale
Voyageurs ou
marchandises transportés
Transmettrepar adhérence 42
Réducteurs mécaniques(bogies moteurs)
Liaison roue / rail
Energie mécanique
Pertes par frottement (bogies moteurs)
* Energie mécanique Pertes dues à la pénétration dans l’air
Etat de la voie Déclivité,
air
Pertes par frottement(bogies wagons)
Pertes dues au glissement roue / rail
Pertes énergétiques
Energie mécanique restituée
Dissiper 43
Freinsmécaniques
* Energie mécanique restituée
* Energie mécanique restituée
Vitesseroue
* Energie auxiliaires (Waux)
Perturbations énergétiquesextérieures
EE
Caisse de la locomotive, wagons
Energie mécanique
Energiepneumatique
Le signe * indique un lienhypertexte associé au flux
* Energie
mécanique
44
Bibliographie - InternetBibliographie - Internet
Centre audiovisuel-Banque d’images SNCF: photos utilisables uniquement dans les pages
du présent document.
Dossier de ressources techniques « Ferelec » LEROY-SOMER, par Jean Filippini
Encyclopédie des Sciences et des Techniques QUILLET
http://www.transports.equipement.gouv.fr
http://www.sncf.com
http://www.rff.fr
http://www.uic.com
http://mercurio.iet.unipi.it/tgv/
http://www.multimania.com/souil/photos
http://h7a.free.fr
http://tdf.free.fr
http://perso.infonie.fr/cheminsdefer/
SNCF-CAV-FABBRO et LEVEQUE
Les auteurs du présent document :• Karine Antony Karine Antony • Eric DrouaireEric Drouaire• Renaud LascoursRenaud Lascours• Emmanuelle PeberayEmmanuelle Peberay• Xavier RaynaudXavier Raynaud
Professeurs stagiaires GE Electrotechnique• Patrick RaluyPatrick Raluy
Professeur stagiaire GM Construction
• Serge MiasSerge MiasFormateur à l’IUFM de Midi-Pyrénées
en collaboration avec:• Philippe Ladoux, J.M. Mendousse,Philippe Ladoux, J.M. Mendousse, formateurs à l’IUFM de Midi-Pyrénées.