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LES Mardis du numériqueRAPPORT CONFERENCE_ 11
janvier 2019
w w w . m a r d i n u m e r i q u e . o r g
Pour un Sénégal numérique gagnant
I. CONCEPT
II. CALENDRIER PREVISIONNEL
III. LES INTERVENANTS
IV. NOS PARTENAIRES
V. PANORAMA DE PRESSE
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SOMMAIRE
I. CONCEPT
Le cycle de conférences des Mardis du numérique a pour but de servir de plateforme d’examen des différentes problématiques liées à la construction numérique et à la transformation numérique.
Il s’agira de poser les bonnes questions, d’en faire une analyse rigoureuse et inclusive et de formuler des recommandations, principalement à l’endroit du gouvernement, qui est l’animateur clé pour ne pas dire le métronome de la mise en œuvre de la stratégie Sénégal numérique. Chaque conférence donnera lieu à un rapport, lesquels seront consolidés sous forme de livre blanc destiné aux hautes autorités. Les mardis du numérique se veulent ainsi une plateforme de consolidation de la mise en œuvre du Sénégal numérique. Son caractère totalement inclusif permettra aussi d’explorer des pistes qui ont peut-être été insuffisamment considérées lors du processus d’élaboration et de validation de la stratégie numérique nationale. Enfin, les mardis du numérique sont destinés à susciter de nouvelles vocations et un nouvel intérêt sur la chose numérique pour des acteurs qui ne se sentaient jusque-là pas interpelés par la chose numérique.
M. Ibrahima Nour Eddine DIAGNE Président de African Performance Institute (API)
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II. LE CALENDRIER PREVISIONNEL EDITION 2018
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DATE THEME DEVELOPPEMENT DEROULEMENT
CONFERENCE FORUM
20 FEVRIER 2018
• SANTE : La santé à l’ère du digital: quel enjeu pour le Sénégal?
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a adopté depuis maintenant une dizaine d’année, une résolution pour la création d’une stratégie e-santé. Cette initiative traduit l’importance des technologies de l’information et de la télécommunication dans la réalisation des objectifs de couverture sanitaire universelle, en particulier dans les zones ou les ressources médicales se font rares.
Ce sera ici l’occasion de donner la parole aux différents acteurs qui pourront échanger sur l’utilisation optimale des TICs dans le travail au quotidien en tenant compte des contraintes liées à la mise en œuvre.
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JUILLET 2018
• EMPLOI : Le rrôle des Grandes entreprises et de l’Etat dans l’amplificationdecréationd’emploisàtraversdesservicesàvaleur ajoutée ?
Il sera organisé ici une conférence dédiée à l’insertion des jeunes grâce au numérique. Il s’agira de confronter l’état et les grandes entreprises (plus de 200 salariés) avec les jeunes aspirants à l’emploi salarié.
Cette conférence , ne se focalisera pas sur les opportunités d’emplois classiques mais sur le potentiel de création d’emplois d’externes que chaque entreprise voudra bien offrir aux Jeunes à travers l’externalisation de services à valeur ajouté contractualisé (ECOVAS). Ce concept vise à permettre à l’Etat et aux grandes entreprises de prendre conscience de leur rôle et de créer des niches d’emplois comme le fit la SONATEL à l’époque des télécentres.
Il sera organisé en partenariat avec le Ministère en charge de l’emploi et le Ministère du Commerce ainsi que celui de l’économie numérique.
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DATE THEME DEVELOPPEMENT DEROULEMENT
CONFERENCE FORUM
NOVEMBRE2018
• ECONOMIE : La maturité de l’écosystème numérique : les leviers de l’accélération
la question centrale de la gestion économique du pays dans le contexte numérique sera abordée lors de cette conférence. Quelle est la place du numérique dans les politiques et programmes économiques du gouvernement ? Les universités, le gouvernement, la banque centrale, les institutions internationale (banque mondiale, PNUD, FMI) qui appui le Sénégal sont-elles à la même heure sur cette question ?
Cette conférence de haut niveau doit de façon sereine adresser l’enjeu du numérique dans nos politiques économiques et passer en revue les réussites dans d’autres pays ainsi que la manière dont cette question est traitée.
Il s’agira de réunir des experts nationaux et internationaux pour éplucher cet enjeu et identifier les bonnes pratiques de nature à améliorer la performance de notre économie.
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DECEMBRE 2018
• SOCIETE SENEGALAISE : La société sénégalaise faceaudéfidesinnovations dans les technologies de l’information
L’aspect sociétal de la révolution numérique est sans doute le plus pernicieux. En effet la société sénégalaise a ses ressorts et ces derniers sont durement impactés par le fait numérique sans que pour autant des études et analyses sérieuses nous montrent ce que nous perdons et ce que nous gagnons. • Il faut encourager la recherche à travers des bourses de thèses
pour réellement mesurer le gap qui va se poser entre notre condition économique et sociale et l’émergence d’une jeunesse qui sera coincée entre la socle de la société sénégalaise et l’universalisme qui a aussi la forme d’une imposition du modèle culturel des pays du nord sur les pays du sud.
• Un pays comme le Sénégal qui est un foyer de convergence entre l’africanité, l’Islam et le modernisme doit être en mesure de piloté son évolution culturelle en ne se reposant pas sur le fait accompli mais ayant un vrai projet de société.
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DATE THEME DEVELOPPEMENT DEROULEMENT
CONFERENCE FORUM
A DETERMINER
• ADMINISTRATION : Impulser la transformation digitale et favoriser la cohérence des initiatives relevant de l’administration.
Les grandes administrations ont un rôle déterminant dans la transformation digitale du Sénégal. La cohérence de leur démarche dans le secteur numérique est un atout pour la réalisation de l’ambition numérique du Sénégal. L’état du Sénégal est conscient de cette responsabilité et à démontrer sa volonté de traduire cette ambition en réalisation concrète. Cependant, des barrières invisibles paralysent la plupart des projets du gouvernement sur le numérique.
Il s’agira pour les «Mardis du Numérique» d’offrir au gouvernement une perspective de lecture de ces facteurs bloquants dont la prise en charge ferait gagner au Sénégal des pas de géant dans son ambition de construction numérique. Cette grande conférence sollicitera le gouvernement à travers le premier ministre et les Ministres dont les administrations sont en première ligne pour tenter de tracer une feuille de route en vue de lever tous les écueils recensés. Cette conférence sera organisée sous la houlette du Ministère partenaire des «Mardis du Numérique» qui est le Ministère de la Promotion des Investissements, des Partenariats et du Développement des Télé services de l’Etat.
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A DETERMINER
• ENTREPRENARIAT : Comment préserver l’emploi et la croissance sous l’emprise du numérique ?
Cette conférence sera sans doute la plus difficile à organiser et la plus complexe tant les parties intéressées n’ont jamais été confrontées à cet exercice qui requiert une capacité d’abstraction et de projection. Entreprendre à l’ère du numérique exige sans doute de nouvelles habilités et nouvelles manières de considérer les écosystèmes. Qu’il s’agisse de l’entreprise déjà existante, qu’il faut consolider et faire croitre, ou de l’entreprise en création qui doit à la fois profiter des opportunités et se prémunir contre les menaces, le défi est le même.
Pour conduire la réflexion et susciter auprès des parties intéressées les attitudes gagnantes, les «Mardis du Numérique» conduiront une conférence de rentrée sur cette question. Il y aura ensuite un (01) forum à l’endroit des jeunes sur cette question qui sera axé sur deux (02) volets :
• les soutiens disponibles au Sénégal pour réussir son projet d’entreprenariat;• les solutions digitales mises en œuvre par des jeunes et en attente de clients
et d’investisseurs.
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11ème Conférence du 22 Janvier 2019 :
« Innovation et Entreprenariat dans l’économie numérique : les défis de l’enseignement supérieur »
La 11ème édition du cycle de conférences « Les Mardis du Numérique » s’est tenue le 22 Janvier 2019 à l’auditorium de l’Université de Thiès.
Discours Introductif M. Ibrahima Nour Eddine DIAGNE
Président African Performance Institute « API »
Discours d’ouvertureProfesseur Ramatoulaye Diagne MBENGUE,
Recteur de l’université de Thiès
III. LES INTERVENANTS
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Monsieur Cheikh THIAM, Ancien Directeur Général de Le Soleil en compagnie du Président de l’African Performance Institute
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Cette rencontre, axée sur « Innovation et Entreprenariat dans l’économie numérique : les défis de l’enseignement supérieur », a enregistré la contribution de plusieurs acteurs notamment : (cf photo de la gauche vers la droite)
• M. Cheikh THIAM, Directeur Exécutif du Club des Investisseurs du Sénégal;• Pr. Ibrahima THIAM, Maître de conférences, agrégé en Sciences Economiques
de Gestion, Université de Thiès ;• Pr. Ramatoulaye Diagne MBENGUE, Recteur de l’Université de Thiès ;• M. Ibrahima Nour Eddine DIAGNE, Président de African Performance Institute;• Pr. Amadou Thierno GAYE, Directeur de la Recherche et de l’Innovation du
Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation ;• M. Joe MARONE, Modérateur, Journaliste à la RFM.
PHOTO DE FAMILLE
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PHOTOS
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IV. NOS PARTENAIRES
Nous avons bénéficié de la contribution des partenaires que sont :
Avec le soutien de :
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V. PANORAMA DE PRESSE
11ème EDITION
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http://www.aps.sn/actualites/societe/formation/article/l-etat-invite-a-anticiper-sur-les-
pertes-d-emplois-lies-aux-avancees-numeriques
SENEGAL-NUMERIQUE-VISION
L’ETAT INVITÉ À ANTICIPER LES PERTES D’EMPLOIS LIÉS AU NUMÉRIQUE
23 janvier 2019 à 08h36min
Thiès, 23 jan (APS) - L’Etat doit anticiper sur la reconversion des personnes qui auront perdu leur emploi du fait des avancées numériques, a indiqué mardi le Professeur Ibrahima Thiam, spécialiste de l’économie numérique à l’Université de Thiès. Une des caractéristiques du numérique, est de faire disparaître certains métiers et par conséquent de détruire des emplois, bien qu’il en crée d’autres’’, a expliqué le professeur Thiam. Il faisait une communication lors de la 11-ème édition des ‘’Mardis du numérique’’, un cycle de conférence délocalisé pour la première fois hors de Dakar. L’édition 2019 avait pour thème ‘’Innovation et entreprenariat : les défis de l’enseignement supérieur. Il va falloir mettre l’accent sur les capacités d’adaptation et de reconversion, promouvoir l’interdisciplinarité’’, a recommandé le professeur Ibrahima Thiam, enseignant-chercheur à l’université de Thiès, spécialiste des questions d’économie numérique. Le numérique offre une multitude d’opportunités dans l’e-commerce, les plateformes de réservation hôtelières, l’organisation des entreprises, entre autres, a dit le professeur Ibrahima Thiam, agrégé des sciences économiques et de gestion. Le numérique peut, par exemple, aider à respecter le quantum horaire, en dématérialisant certaines tâches qui sont les motifs de déplacement des enseignants, estime l’universitaire. A côté de ses avantages, cette nouvelle donne compte des risques qu’il va falloir gérer. Le numérique ’’creuse les inégalités entre des gens qui vont beaucoup gagner et d’autres qui auront peu de choses à faire, a-t-il relevé. Le Sénégal a adopté sa Stratégie nationale de transformation numérique ‘’Sénégal numérique 2025’’, qui implique plusieurs mutations, a laissé entendre le conférencier. Se mettre au numérique signifie aussi courir le ‘’risque de s’exposer’’ à la cybercriminalité, ce qui pose des enjeux sécuritaires à gérer, a rappelé M. Thiam. Le Sénégal a mis sur pied une Commission de protection des données personnelles, a-t-il relevé à ce propos. ADI/OID
http://www.aps.sn/actualites/societe/formation/article/l-etat-invite-a-anticiper-sur-les-pertes-d-emplois-lies-aux-avancees-numeriques
http://revelations-medias.com/2019/01/23/education-11e-edition-du-cycle-de-conferencesles-mardis-numeriques/
EDUCATION
11è édition du cycle de conférences :
Les Mardis Numériques
Par Hebdo Révélations le 23 janvier 2019
11è édition du cycle de conférences : les Mardis Numériques, dont le thème porte sur
« l’innovation et entrepreneuriat dans l’économie numérique: les défis de
l’enseignement supérieur ».
Liens :
- http://www.lemiroir1.com
- http://www.revelations-medias.com
(Texte : Frédéric DIALLO. Images : Sokhna Diarra GUEYE)
http://revelations-medias.com/2019/01/23/education-11e-edition-du-cycle-de-conferencesles-mardis-numeriques/http://revelations-medias.com/2019/01/23/education-11e-edition-du-cycle-de-conferencesles-mardis-numeriques/http://revelations-medias.com/author/revelation/http://www.lemiroir1.com/http://www.revelations-medias.com
http://osiris.sn/Numerique-Le-Senegal-dans-une.html
Observatoire sur les Systèmes d’Information, les Réseaux et les Inforoutes au Sénégal Numérique : Le Sénégal "dans une phase d’opportunité sans
précédent" selon un expert
Mardi 22 Janvier 2019
Le Sénégal est dans une phase d’opportunité sans précédent dans le domaine du
numérique qu’il doit valoriser, pour devenir une "nation numérique majeure", a indiqué,
mardi, Ibrahima Nour Eddine Diagne, président d’African Performance Institute (API).
"Le Sénégal est un pays jeune avec des compétences avérées en matière de numérique.
Nous pensons que nous sommes dans une phase d’opportunité sans précédent, mais
(qui) est appelée à disparaître si elle n’est pas valorisée", a dit M. Diagne, selon qui
c’est "le moment de provoquer ce débat".
Il s’exprimait en marge d’une conférence, dans le cadre des "Mardis du numérique", un
cycle de conférences organisé par l’API.
A cette occasion, plusieurs panélistes sont intervenus sur les défis de l’enseignement
supérieur dans les domaines de l’innovation et de l’entreprenariat dans une économie
numérique, en présence d’universitaires, d’étudiants et d’acteurs de la société civile.
"Il y a dans les cinq prochaines années, un enjeu capital, si notre pays joue la partition
qu’il faut – aussi bien l’Etat, le milieu de l’enseignement, le secteur privé, les
étudiants -, nous pouvons vraiment prétendre être une nation numérique majeure",
estime Ibrahima Nour Eddine Diagne.
"A contrario, nous risquons, si nous ne faisons rien, d’être une économie marginale",
poursuit-il, estimant qu’avec la révolution numérique, le monde ne se rattrape plus.
"Quand on prend cinq ans de retard, on a perdu cinq ans", au moment où "les autres ont
pris l’avance et ont fini de valider les opportunités qui auraient dû être les nôtres", a-
t-il fait valoir.
Les jeunes principaux destinataires de ces réflexions, doivent comprendre que "dans le
monde d’aujourd’hui, c’est les compétences qui font la différence".
http://osiris.sn/Numerique-Le-Senegal-dans-une.html
Ils doivent aussi avoir à l’esprit qu’ils "ne sortiront pas avec des diplômes qui les
rendront compétents, mais avec des diplômes qui leur donneront des connaissances",
a-t-il souligné.
Il a salué la création de l’Université virtuelle du Sénégal (UVS) que le Sénégal "n’a pas
copiée", et qui malgré des problèmes, portera ses fruits avec le temps avec "un gain de
compétitivité".
Ibrahima Nour Eddine Diagne a évoqué "les profondes mutations" d’un monde passé
d’une "domination par la force", à travers l’esclavage et la colonisation, à une
"domination par les compétences".
Un monde dans lequel la souveraineté ne s’applique plus à un territoire, et où
"Facebook connaît plus les Sénégalais que l’Etat du Sénégal", en maîtrisant leurs
préférences et autres caractéristiques.
Pour cheikh Thiam, directeur exécutif du Club des investisseurs du Sénégal et ancien
directeur général du quotidien Le Soleil, un des panélistes, le Sénégal a déjà réalisé
des avancées numériques en matière de procédure dans plusieurs secteurs.
Il devrait désormais mettre l’accent sur le paiement numérique pour gagner du temps
et régler certaines "petites corruptions", a-t-il dit, avant d’inviter à établir "des ponts
entre les écoles de formations, les universités et le monde de l’entreprise".
Cette perspective peut être accompagné par la création d’un fonds d’appui à
l’innovation et à la recherche, qui serait à frais partagés entre l’Etat et les entreprises.
Il propose aussi un système d’incitation par la défiscalisation en faveur des entreprises
qui créent des laboratoires de recherche.
"Le Sénégal est en train de progresser en matière d’innovation", a dit pour sa part le
professeur Amadou Thierno Gaye, directeur de la recherche et de l’innovation au
ministère de l’Enseignement supérieur.
Il note que le Sénégal a gagné six places, selon le rapport 2018 du Global Innovation
Index, publié par l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI).
Le concept des "Mardis du numérique", qui en en est à sa 11-ème édition, vise à
"provoquer ce dialogue" qui manque sur une question aussi transversale que le
numérique, a dit Ibrahima Nour Eddine Diagne président de African Performance
Institute (API), à l’origine de cette initiative.
Chacun fait de son côté ce qu’il pense être plus pertinent, alors que le rôle des uns et
des autres "n’est pas de trouver des solutions, mais de poser les bonnes questions",
selon M. Diagne.
(Source : APS, 22 janvier 2019)
http://www.aps.sn/
http://7tv.sn/
Les Mardis du Numérique 11ème édition :
« Innovation et entrepreneuriat dans l’économie
numérique: les défis de l’enseignement supérieur ».
- Lien élément JT en français :
https://www.youtube.com/watch?v=x9UTmi90fJs&feature=
youtu.be
- Lien élément JT (19H) en wolof (17 :20 à 19 :50) :
https://www.youtube.com/watch?v=UNO2aw1hETg&feature
=youtu.be
https://azactu.net/
Vidéo-Arrivée du numérique : “L’enseignement supérieur
sénégalais doit s’adapter” (expert)
- Lien vidéo :
https://azactu.net/video-arrivee-du-numerique-
lenseignement-superieur-senegalais-doit-sadapter-expert/
http://7tv.sn/https://www.youtube.com/watch?v=x9UTmi90fJs&feature=youtu.behttps://www.youtube.com/watch?v=x9UTmi90fJs&feature=youtu.behttps://www.youtube.com/watch?v=UNO2aw1hETg&feature=youtu.behttps://www.youtube.com/watch?v=UNO2aw1hETg&feature=youtu.behttps://azactu.net/https://azactu.net/video-arrivee-du-numerique-lenseignement-superieur-senegalais-doit-sadapter-expert/https://azactu.net/video-arrivee-du-numerique-lenseignement-superieur-senegalais-doit-sadapter-expert/
https://www.dakaractu.com/Pr-Ramatoulaye-Diagne-Mbengue-rectrice-de-l-universite-de-Thies-L-
universite-de-Thies-entend-jouer-sa-partition-dans-la_a163784.html
Pr Ramatoulaye Diagne Mbengue, rectrice de l'université de Thiès : " L'université de Thiès entend
jouer sa partition dans la révolution du numérique..."
La capitale du rail a accueilli ce mardi, la cérémonie dédiée aux mardis du
numérique. Une rencontre de partage et d'échanges consacrée à " l'innovation et
l'entrepreneuriat dans l'économie numérique : Les défis de l'enseignement
supérieur". De son côté, l'université de Thiès a ainsi pris les devants en termes
d'innovation pour entrer dans l'ère du numérique et jouer pleinement les grands
rôles. Telle est entre autres, la conviction de sa rectrice, la professeure
Ramatoulaye Diagne Mbengue, au sortir de cette rencontre...
- Lien vidéo :
https://www.dakaractu.com/Pr-Ramatoulaye-Diagne-Mbengue-
rectrice-de-l-universite-de-Thies-L-universite-de-Thies-entend-jouer-
sa-partition-dans-la_a163784.html
https://www.youtube.com/watch ?v=vQ8RPJzcJsc
https://www.dakaractu.com/Pr-Ramatoulaye-Diagne-Mbengue-rectrice-de-l-universite-de-Thies-L-universite-de-Thies-entend-jouer-sa-partition-dans-la_a163784.htmlhttps://www.dakaractu.com/Pr-Ramatoulaye-Diagne-Mbengue-rectrice-de-l-universite-de-Thies-L-universite-de-Thies-entend-jouer-sa-partition-dans-la_a163784.htmlhttps://www.dakaractu.com/Pr-Ramatoulaye-Diagne-Mbengue-rectrice-de-l-universite-de-Thies-L-universite-de-Thies-entend-jouer-sa-partition-dans-la_a163784.htmlhttps://www.dakaractu.com/Pr-Ramatoulaye-Diagne-Mbengue-rectrice-de-l-universite-de-Thies-L-universite-de-Thies-entend-jouer-sa-partition-dans-la_a163784.htmlhttps://www.dakaractu.com/Pr-Ramatoulaye-Diagne-Mbengue-rectrice-de-l-universite-de-Thies-L-universite-de-Thies-entend-jouer-sa-partition-dans-la_a163784.htmlhttps://www/
https://thiesactu.sn/2019/01/22/pr-ramatoulaye-diagne-mbengue-rectrice-de-luniversite-
de-thies-luniversite-de-thies-entend-jouer-sa-partition-dans-la-revolution-du-numerique/
Pr Ramatoulaye Diagne Mbengue, Rectrice De L’université De
Thiès : « L’université De Thiès Entend Jouer Sa Partition Dans
La Révolution Du Numérique… »
La capitale du rail a accueilli ce mardi, la cérémonie dédiée aux mardis du numérique.
Une rencontre de partage et d’échanges consacrée à « l’innovation et l’entrepreneuriat
dans l’économie numérique : Les défis de l’enseignement supérieur ». De son côté,
l’université de Thiès a ainsi pris les devants en termes d’innovation pour entrer dans
l’ère du numérique et jouer pleinement les grands rôles. Telle est entre autres, la
conviction de sa rectrice, la professeure Ramatoulaye Diagne Mbengue, au sortir de
cette rencontre…
- Lien vidéo : https://thiesactu.sn/2019/01/22/pr-ramatoulaye-diagne-mbengue-rectrice-
de-luniversite-de-thies-luniversite-de-thies-entend-jouer-sa-partition-dans-
la-revolution-du-numerique/
https://thiesactu.sn/2019/01/22/pr-ramatoulaye-diagne-mbengue-rectrice-de-luniversite-de-thies-luniversite-de-thies-entend-jouer-sa-partition-dans-la-revolution-du-numerique/https://thiesactu.sn/2019/01/22/pr-ramatoulaye-diagne-mbengue-rectrice-de-luniversite-de-thies-luniversite-de-thies-entend-jouer-sa-partition-dans-la-revolution-du-numerique/https://thiesactu.sn/2019/01/22/pr-ramatoulaye-diagne-mbengue-rectrice-de-luniversite-de-thies-luniversite-de-thies-entend-jouer-sa-partition-dans-la-revolution-du-numerique/https://thiesactu.sn/2019/01/22/pr-ramatoulaye-diagne-mbengue-rectrice-de-luniversite-de-thies-luniversite-de-thies-entend-jouer-sa-partition-dans-la-revolution-du-numerique/https://thiesactu.sn/2019/01/22/pr-ramatoulaye-diagne-mbengue-rectrice-de-luniversite-de-thies-luniversite-de-thies-entend-jouer-sa-partition-dans-la-revolution-du-numerique/
http://news.adakar.com/h/105582.html
L’Etat invité à anticiper les pertes d’emplois liés
au numérique Publié le mercredi 23 janvier 2019
Thiès - L’Etat doit anticiper sur la reconversion des personnes qui auront perdu leur
emploi du fait des avancées numériques, a indiqué mardi le Professeur Ibrahima Thiam,
spécialiste de l’économie numérique à l’Université de Thiès. Une des caractéristiques
du numérique, est de faire disparaître certains métiers et par conséquent de détruire
des emplois, bien qu’il en crée d’autres’’, a expliqué le professeur Thiam. Il faisait une
communication lors de la 11-ème édition des ‘’Mardis du numérique’’, un cycle de
conférence délocalisé pour la première fois hors de Dakar.
L’édition 2019 avait pour thème ‘’Innovation et entreprenariat : les défis de
l’enseignement supérieur’’. ’’Il va falloir mettre l’accent sur les capacités d’adaptation
et de reconversion, promouvoir l’interdisciplinarité’’, a recommandé le professeur
Ibrahima Thiam, enseignant-chercheur à l’université de Thiès, spécialiste des questions
d’économie numérique.
Le numérique offre une multitude d’opportunités dans l’e-commerce, les plateformes
de réservation hôtelières, l’organisation des entreprises, entre autres, a dit le
professeur Ibrahima Thiam, agrégé des sciences économiques et de gestion. Le
numérique peut, par exemple, aider à respecter le quantum horaire, en dématérialisant
certaines tâches qui sont les motifs de déplacement des enseignants, estime
l’universitaire.
A côté de ses avantages, cette nouvelle donne compte des risques qu’il va falloir gérer.
Le numérique ’’creuse les inégalités entre des gens qui vont beaucoup gagner et
d’autres qui auront peu de choses à faire’’, a-t-il relevé. Le Sénégal a adopté sa
Stratégie nationale de transformation numérique ‘’Sénégal numérique 2025’’, qui
implique plusieurs mutations, a laissé entendre le conférencier.
Se mettre au numérique signifie aussi courir le risque de s’exposer à la cybercriminalité,
ce qui pose des enjeux sécuritaires à gérer, a rappelé M. Thiam. Le Sénégal a mis sur
pied une Commission de protection des données personnelles, a-t-il relevé à ce propos.
ADI/OID
http://news.adakar.com/h/105582.html
http://www.socialnetlink.org/2019/01/ibrahima-nour-eddine-diagne-le-senegal-est-dans-une-phase-
dopportunite-sans-precedent-dans-le-domaine-du-numerique/
ECONOMIE NUMERIQUE
Ibrahima Nour Eddine Diagne : ” Le sénégal
est dans une phase d’opportunité sans
précédent dans le domaine du numérique By Socialnetlink+
Posted on 23/01/2019
Le Sénégal est dans une phase d’opportunité sans précédent dans le domaine du numérique qu’il doit valoriser, pour devenir une “nation numérique majeure”, a indiqué, mardi, Ibrahima Nour Eddine Diagne, président d’African Performance Institute (API).
“Le Sénégal est un pays jeune avec des compétences avérées en matière de numérique. Nous pensons que nous sommes dans une phase d’opportunité sans précédent, mais (qui) est appelée à disparaître si elle n’est pas valorisée”, a dit M. Diagne, selon qui c’est “le moment de provoquer ce débat”.
Il s’exprimait en marge d’une conférence, dans le cadre des “Mardis du numérique”, un cycle de conférences organisé par l’API.
A cette occasion, plusieurs panélistes sont intervenus sur les défis de l’enseignement supérieur dans les domaines de l’innovation et de l’entreprenariat dans une économie numérique, en présence d’universitaires, d’étudiants et d’acteurs de la société civile.
“Il y a dans les cinq prochaines années, un enjeu capital, si notre pays joue la partition qu’il faut – aussi bien l’Etat, le milieu de l’enseignement, le secteur privé, les étudiants -, nous pouvons vraiment prétendre être une nation numérique majeure”, estime Ibrahima Nour Eddine Diagne.
“A contrario, nous risquons, si nous ne faisons rien, d’être une économie marginale”, poursuit-il, estimant qu’avec la révolution numérique, le monde ne se rattrape plus.
http://www.socialnetlink.org/category/it-business/economie-numerique/http://www.socialnetlink.org/author/basile/http://www.socialnetlink.org/2019/01/ibrahima-nour-eddine-diagne-le-senegal-est-dans-une-phase-dopportunite-sans-precedent-dans-le-domaine-du-numerique/
“Quand on prend cinq ans de retard, on a perdu cinq ans”, au moment où “les autres ont pris l’avance et ont fini de valider les opportunités qui auraient dû être les nôtres”, a-t-il fait valoir.
Les jeunes principaux destinataires de ces réflexions, doivent comprendre que “dans le monde d’aujourd’hui, c’est les compétences qui font la différence”.
Ils doivent aussi avoir à l’esprit qu’ils “ne sortiront pas avec des diplômes qui les rendront compétents, mais avec des diplômes qui leur donneront des connaissances”, a-t-il souligné.
Il a salué la création de l’Université virtuelle du Sénégal (UVS) que le Sénégal “n’a pas copiée”, et qui malgré des problèmes, portera ses fruits avec le temps avec “un gain de compétitivité”.
Ibrahima Nour Eddine Diagne a évoqué “les profondes mutations” d’un monde passé d’une “domination par la force”, à travers l’esclavage et la colonisation, à une “domination par les compétences”.
Un monde dans lequel la souveraineté ne s’applique plus à un territoire, et où “Facebook connaît plus les Sénégalais que l’Etat du Sénégal”, en maîtrisant leurs préférences et autres caractéristiques.
Pour cheikh Thiam, directeur exécutif du Club des investisseurs du Sénégal et ancien directeur général du quotidien Le Soleil, un des panélistes, le Sénégal a déjà réalisé des avancées numériques en matière de procédure dans plusieurs secteurs.
Il devrait désormais mettre l’accent sur le paiement numérique pour gagner du temps et régler certaines “petites corruptions”, a-t-il dit, avant d’inviter à établir “des ponts entre les écoles de formations, les universités et le monde de l’entreprise”.
Cette perspective peut être accompagné par la création d’un fonds d’appui à l’innovation et à la recherche, qui serait à frais partagés entre l’Etat et les entreprises.
Il propose aussi un système d’incitation par la défiscalisation en faveur des entreprises qui créent des laboratoires de recherche.
“Le Sénégal est en train de progresser en matière d’innovation”, a dit pour sa part le professeur Amadou Thierno Gaye, directeur de la recherche et de l’innovation au ministère de l’Enseignement supérieur.
Il note que le Sénégal a gagné six places, selon le rapport 2018 du Global Innovation Index, publié par l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI).
Le concept des “Mardis du numérique”, qui en en est à sa 11-ème édition, vise à “provoquer ce dialogue” qui manque sur une question aussi transversale que le numérique, a dit Ibrahima Nour Eddine Diagne président de African Performance Institute (API), à l’origine de cette initiative.
Chacun fait de son côté ce qu’il pense être plus pertinent, alors que le rôle des uns et des autres “n’est pas de trouver des solutions, mais de poser les bonnes questions”, selon M. Diagne.
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