Ricardo Teté - EPK

[email protected]+33 (0)1 60 44 81 17

F + 33 (0)1 60 44 89 75contact : Alexis Blanchart

Sortie26 AVRIL 2007StyleWORLD / BRESIL

L.C.

OP114

music

RICARDO TETÉ - Geringonça

1/ Geringonça2/ Relativismo3/ Nau de Icaros4/ Rimas5/ Depois do carnaval6/ Tristeza pe no chão7/ Todas Aquelas Palavras8/ She is a fi sh9/ Beijo Roubado10/ Teoria e pratiqua dos domingos11/ Il ne faut pas briser un rêve12/ 8 Algarismos

Direction ArtistiqueDavid Linx

Arrangements Cuivres : Laurent Cugny

Musiciens :Natallino NetoMinino GarayZé Luis NascimentoRicardo HerzBira MonteiroOlivier LouvelChristophe WallemmePaul Brousseau

Guests : Irène Jacob, David Linx, Hamilton de Hollanda, Nelson Veras, Stéphane Guillaume.

www.myspace.com/ricar-dotete

O+ musicwww.oplus.org & www.oplusboutique.net

26 AVRIL 2007

Featuring : Irène Jacob, David Linx, Hamilton de Hollanda, Nelson Veras, Stéphane Guillaume, Marc Ducret.

Presse/Radio/T.V.MUSIC MEDIA [email protected]+ 33 (0) 1 53 16 15 15

Music Publishing (c) O’ Sun Music Ltd

Si la musique avait un goût, celle de Ricardo Teté serait d’un alliage subtil. Une mise en perspective, à la fois savante et innocente, d’éléments rarement réunis. Douceur et mystère. Un je-ne-sais quoi de naïveté, de couleurs vives et d’enfance, saupoudrées de cérébral, de distancié, de cristallin. Des mélodies qui plaisent tout de suite, et des textes à tiroirs.

On n’est pas loin des ambiances du «réalisme

magique» des auteurs sud-américains : Borges, Cortazar, Garcia Marquez. Ses infl uences musicales ? Arto Lindsay, Jose Miguel Wisnik, et bien sûr tous les grands noms de la bossa, du mouvement Tropicalia, sans oublier quelques fi gures mythiques de la scène musicale de São Paulo comme Arnaldo Antunes et Tom Zé. Le tout, chanté par un admirateur inconditionnel de Chet Baker et de João Gilberto.

Ricardo Teperman, dit Ricardo Teté, a grandi dans un îlot de maisons calmes, cerné par l’urbanisation sauvage de Sao Paulo. « Cette ville est si polluée que le ciel a toujours une couleur incertaine. C’est d’une beauté punk. » Bien sûr, il y a les contrastes sociaux, la violence... Dans sa bulle, Ricardo se sait privilégié. Il commence la musique à 4 ans. Côtoie la scène littéraire. Se gave de fi lms d’auteurs européens : le cycle Antoine Doinel de Truffaut, «La double vie de Véronique»...

Quelque chose dans ce confort le laisse sur sa faim... et l’a poussé jusqu’en France, il y a 5 ans. Il y rencontrera sa femme, et le chanteur et jazzman David Linx, habile réalisateur de cet album envoûtant. Ça valait bien un Atlantique. « On a dû attendre la disponibilité de certains musiciens que l’on voulait absolument. Une fois que tout le monde a été réuni, ça a été rapide. On a enregistré les bases en une

Agé seulement de 29 ans, ce talentueux jeune auteur-compositeur a reçu des mains de Gilberto Gil le 1er prix pour la chanson «Contabilide» lors de la grande fi nale du Festival Cultura le 14 septembre 2005 à Sao Paulo ! Il est notament l’auteur de deux grands succès, « Beijo roubado » vendu à + 1 milion d’exemplaires et « Cala a boca », qui se sont vendus à 50 milles exemplaires au Brésil.

Il multiplie désormais les collaborations tant avec les musiciens de la scène française que brésilienne.

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Sortie26 AVRIL 2007StyleWORLD / BRESIL

L.C.

OP114

music




Musiciens :Natallino NetoMinino GarayZé LuisManfaRicardo HerzMarc DucretBira MonteiroOlivier LouvelChristophe WallemmePaul Brousseau



26 AVRIL 2007

Featuring : Irène Jacob, David Linx, Hamilton de Hollanda, Nelson Veras, Stéphane Guillaume.

Presse/Radio/T.V.MUSIC MEDIA [email protected]

+ 33 (0) 1 53 16 15 15

ManagementSoline [email protected]+ 33 (0)1 47 89 34 78

LabelAlexis [email protected]+33 (0)1 60 44 81 17

(p) Passport Songs MusicContact : Thierry [email protected]

MEMBER ZONE --> http://www.oplus.org/pro (util : invited / Pass : welcome)

EPK VIDEO - PRESENT SUR LE CD PROMO !!!

semaine, d’une façon quasi «live». On avait tellement parlé et rêvé du disque, qu’une fois en studio tout s’est fait très naturellement ».

Dans ses textes (traduits en français et en anglais sur le site internet), miroite un kaléidoscope de références, littéraires ou cinématographiques. Sans jamais entraver l’émotion, elles sont là comme autant «d’hyperlinks», de portes ouvertes pour qui voudra les voir.

« Si tu as déjà les clefs, tant mieux. Si tu veux les chercher, tant mieux. Sinon tu peux juste apprécier la musique au premier degré, en toute légèreté. »

« Geringonça » est un mot très brésilien, qui n’a pas de traduction en français. C’est une machine étrange et poétique, faite de bric et de broc.

Tout comme ce disque, plein d’infl uences éclectiques, de mélanges spontanés entre tradition et modernité.Pierre Fageolle/ Journaliste

Contact

1111111111111111111111111111112 480705 723707

QuotidienT.M. , 418 240

~: 01 40 10 30 30L.M. : 1 729 000

JEUDI 6 SEPTEMBRE 2007

C'EST GRATUIT

La bossa pop de Ricardo TetéA l'écoute du très réussi « Ge- mélange avec une subtlle sensibî-

ringonça » (0+ Music), le lité bossa-nova ou samba et despremier album solo de Ricardo sonorités plus pop. Un melting-Telé, Oll décow..re la poésie d'un pot d'influences musicales àtalentueux auteur, compositeur el J'image de cet artiste aYÎdede cul-interprète. Sa voix et sa musique ture et d'expériences..regorgent d'une douceur velou- CARÈNE:V~RD~tée. Sur scène - ce soir au Divan Ce soir à parfÎr de 19 lleures aildu Monde - Ricardo Teté dé- Dimn du Monde, 75, me desvoile son enthousiasme et son Martyrs, Paris XVIIIe. MD Pigalleénergie. Déjà connu et primé au 011Am't'n'. Entrée libre.Brésil, il a participé à l'émergence Egalement le 28 septembre àde la culture brésilienne en 21 heures ail Sate/fit Café, 44. meFrance au sein du fèstifOrquestra de la Fulie-Mén"collrt, Paris XI'.do Fuba. Avec «: Geringonça », il At, Saiflf-Ambroise 011OberkampfU'""···_ ""'- __

1111111111111111111111111111111 200701 641888

MensuelT.M.: 80 000

JUIN - JUILLET 2007

~: 0153438800L.M. , 488 000

26 JUINRicardo TetéLa modernité musicale du Brésil passée au cribledu jazz européen avec un chanteur et guitaristedont les compositions ont été arrangées parDavid Linx et Laurent Cugn'j'. Le contenu de sonrécent disque - Geringonça {O+) - est à décou-vrir sur scène avec, sans doute, tout ou partiedes artistes qui ont contribué il son enregistre-ment: Irène Jacob, David Linx, Hamilton deHollanda, Nelson Veras, Stéphane Guillaume .• Cale de la Danse. 5, passage Louis-Philippe, 11'.Tel. 0147005759.

[email protected]+33 (0)1 60 44 81 17


ReleaseAPRIL 2007StyleWORLD / BRAZIL

L.C.

OP114

music


1/ Geringonça2/ Relativismo3/ Nau de Icaros4/ Rimas5/ Depois do carnaval6/ Tristeza pe no chão7/ Todas Aquelas Palavras8/ She is a fi sh9/ Beijo Roubado10/ Teoria e pratiqua dos domingos11/ Il ne faut pas briser un rêve12/ 8 Algarismos



Musiciens :Natallino NetoMinino GarayZé Luis NascimentoRicardo HerzBira MonteiroOlivier LouvelChristophe WallemmePaul Brousseau


www.myspace.com/ricar-dotete

Music Publishing (c) O’ Sun Music Ltd


APRIL 2007


If music were coffee, Ricardo

Teté’s music would be a

subtle blend. A learned and

an innocent union of elements

that aren’t often brought

together. Sweetness and

mystery. A certain naiveté;

bright colours and childhood;

a dash of intellect, of distance,

of crystal. Instantly appealing

melodies and multilayered

lyrics.

This is not far away from

the ‘magic realism’ of South

American authors like Borges,

Cortazar and Garcia Marquez.

His musical infl uences? Arto Lindsay, Jose Miguel Wisnik and of course all the great

names of bossa nova and the Tropicalia movement, without forgetting mythical fi gures of

the São Paulo music scene like Arnaldo Antunes and Tom Zé. The whole crowned by the

voice of a devoted fan of Chet Baker and João Gilberto.

Ricardo Teperman, a.k.a. Ricardo Teté, grew up in an oasis of calm houses in the midst

of the wild urban landscape of Sao Paulo. “The city is so polluted that the sky is always

an uncertain colour. It has a punk-like beauty.” Of course, there are the social contrasts,

the violence... In his own little world, Ricardo knew he was privileged. He started playing

music at the age of four. He hung around the literary scene. Overdosed on European

auteur fi lms: Truffaut’s Antoine Doinel series, La Double Vie de Véronique...

But something about all this comfort left him dissatisfi ed...

Five years ago, he headed for France. There he met his

wife, and the singer and jazzman David Linx, the skillful

producer of this haunting album. It was well worth crossing

the Atlantic for. “We had to wait until certain musicians

that we absolutely wanted were available. Once everyone

was united, everything went quite quickly. The basic

tracks were recorded in a week, more or less live. We had

spoken and dreamed about this record so long that once

we were in the studio everything just came out naturally.”

29-year-old only, this talented young composer received from Gilberto Gil’s hands the 1st prize for the «Contabilide» song during the big fi nal of the «Festival Cultura» September 14th, 2005 in Sao Paulo! He is the author of two big successes, «Cala a boca» solded at 50.000 exemplary and «Beijo roubado», which were solded more tha 1 milion exemplary in Brazil.

He multiplies henceforth collaborations with artists across the world.

[email protected]+33 (0)1 60 44 81 17


ReleaseAPRIL 2007StyleWORLD / BRAZIL

L.C.

OP114

music


Produce byDavid Linx

Brass arrangements : Laurent Cugny

Musicians :Natallino NetoMinino GarayZé Luis NascimentoRicardo HerzBira MonteiroOlivier LouvelChristophe WallemmePaul Brousseau



APRIL 2007


ManagementSoline [email protected]+ 33 (0)1 47 89 34 78

LabelAlexis [email protected]+33 (0)1 60 44 81 17

(p) Passport Songs MusicContact : Thierry [email protected]

MEMBER ZONE --> http://www.oplus.org/pro (util : invited / Pass : welcome)

EPK VIDEO - INCLUDED IN THE PROMO CD !!!

In his lyrics (translated into French and English on his

website), a kaleidoscope of literary and cinematographic

references shine. Without ever hampering emotion, they are

like hyperlinks, open doors for all who want to look through

them.

“If you already have the keys, that’s great. If you want to look

for them, that’s great too. Otherwise you can just enjoy the

music on a basic level, in all simplicity.”

Geringonça is a very Brazilian and untranslatable word. It is a

strange and poetic machine, made up of bits and pieces. Just

like this record, full of eclectic infl uences, a spontaneous blend

of tradition and modernity.

Pierre Fageolle/ Journalist

Contacts

1111111111111111111111111111112. 260700 176605

lif lPresse Régionale -;;:: 055600 33 33

1

'SI_l

T.M. : 369005 L.M. : 1 037000

&17&3 MERCREDI 15AOÜT 2007

.,..,-",EYMET.L'association Maquiz'artorganise le premi.des jardins de Cadix. Deux soirées, vendredi et sart'.

Un pont entre (: DavId Briand

QlelQues millionsd'année après la sépara-tion géologique des COll-

"nents afIicains et amé--ricains, voilà une passerellemusicale qui relie ces deux cultu-res.

Un pont qui ne franchit pasdirectement l'océan AUantiquemais qui léza.rdeju'>qll'àEymet. ens'autorisant lin détour par le jar-din de Cadix. Les compagnonsbâtisseurs sont regroupés dansune jeune association. Depllis unan et demi, Maquiz'arta été crééedans le but de développer desévénements culturels de qualitésur Eymet.

La trentaine active. Composéed'une dizaine de jeunes trente-naires actifS, l'association a vé-cu son baptême musical en or-ganisant quelques concerts l'étédernier au pied du château mé-diéval de la bastide. Le fameuxtromboniste brésilien Raul deSouza puis Je Colombien RigoRuiz se sont par exemple pro-duits. L'hiver suivant ne filt passynonyme de vide car les mem-bres de l'association ont ré-chauffé l'atmosphère en or-ganisant dans un caveauquelques concens de jazz.

û:t été, ils ont décidé de passerà la vitesse supérieure. D'abord enfuisantvenir Omar Sosa, qui entredeux r&itals à Montréal et Berlin.s'est accordé un détour en Dordo-gne pour fuire trembloter d'admi-ration Jes vieilles pierres du châ-teau en juillet dernier.

Etpuis ce week-end, ce sont LesAfrolalines, un festival résolumentfestif, qui VOlentle jour.]] devmitdrainer les amateurs et les uuieux-

Ri<:ardoTété. Le jeune Brésilien, révélé par son dernier Clde mise avec samba er bossa-nova

des musiques africaines et latines.Du fait de cette alliance entre cesdeux styles musicaux issus dedeux continents, il s'annonce entout cas unique dans le sud-ouest

leur a ouvert S"

matin à 7h30;la promotion d(

La premières'annonce é<:leclseconde sera cicolombienne.ÀI'originedujazz.Une double

thématique qui trouve son ex-plication toute simple. t Ce sontles musiques à j'origine dujazz », développe Laurent Pas-quon, le président de Ma-quiz'art.

Pour cette première, Je; organi-sateur:<; n'ont pas lésiné sur laprogrammation. Ils ont mêmetapé dans l'œil de France Inter, qtÙ--

Éc:lectique. Ccdes Togolais h;quî ouvriront Jrevivre t le palque et rythm.icléthargie pourtiques depuis (

MlnimoGaracussionniste ar~

erfestival LesAfrolatines dans le magnifique cadre'edi, dédiées aux musiques africaines et latines

leux continents

'On antenne hierlfin qu'ils fussent~sAfrolatines.soirée, vendredi,

igue tandis que lalédiée à la salsa

avec les plus grands jazzmen (ouwomen) de la planètc conune De<'D€e Bridgewater, fuit cavalier seul.Enfin, pas tout à fuit, car accom-pagné des tambours du Sud, ils'inspire du tango argentin pourmieux s'en affranchir en insuf:flant ses influences.

Puis, c'est Ricardo Tété qui vaclore cette première soirée, tout endouct'ur et en sensualité. Lauréatdu grand prix de la musique bré-silienne dans son pays nata! voilàdeux ans, il fèra partager son uni-vers musical Avec ses quatre musi-ciens, samba etbo:;,<;a-nova scintille-ront sous les étoiles.

:st Togo' Tempo,.lbitant Toulouse'.e bal en faisant;rimaine mélodi-lue togolais », endes raisons poli-les décennies..y, un batteur per-.;entin. qui a joué

lesAfrolatines gUide pratique

Vendredi. À partir de 17 h 30,Togo Tempo (Togo), puis MimoGaray et les tambouf5 du Sud(Argentine) et Ricardo Tété(Brésil).Samedi. À partir de 19 h 30,Rogo Ruiz y su Bomba Caribe(Colombie), puis les Rythmop<ltes(groupe de danseurs gunboots),pu isMercado Negre (Colombie).Tarifs. 15 €, 12 € tarif réduit,gratuit pour les moins de 12 ans.Pass pour les deux jours: 25€.Tél. Office de tourisme d' Eymetau055323 74 95.Animations. Projectiondedocu_mentaires sur les grands orches-tres cubains au château.Marché ethnique avec une ving-taine d'expo~ants de produitsfabriqués il la main, avec l'associa-tion Sud Caravan de DoudouThione.Restauration sur place.Présence de Samba Garage lesamedi après-midi.

Salsa. Samedi soir, deux orches-tres colombiens de salsa dedouze musiciens chacun vontnous ramener aux sources decette musique populaire de nte.Rigo Ruiz, un groupe de Co-lombiens basés sur Toulouse, abénéficié des arrangements dumême professionnel que YuriBllenaventura tandis que Mer"cado Negro, qui compte le per-cussionniste Roberto Rodriguezdans ses rangs, est l'un desgroupes qui comptent sur lascène européenne.

Autant d'excellentes raisonspour aller danser dans les jardinsde Ca.dix.

III 111111111111111"" 11[111112 470708 422646

HebdomadaireT.M.' N.C.

MERCREDI 5 SEPTEMBRE 2007

"a': 01 55305530L.M.' N.C. Télérama50rtir

RICARDO TETELe6 sept., 19h, le Divan du monde,75, rue des Martyrs, 18', 01-42-52-02_46. Entrée libre.roLa bossa-nO'.'<l avec une bonnedose d'énergie urbaine made inSào Paulo, la ,;111' où Tété agrandi avanl de s'installer enfrJnce, il y a cinq ans.

111111111111111111111111111111 MensuelT.M.' N.C.

"Q: 0153212100L.M. , N.C. TGV magazine

1 750711 111890

JUILLET· AOUT 2007

RICARDOTETÉGERlNGONÇ!'-- _

Les cuivres de Laurent cugny,les percussions de Minino Garay,les guitares de Nelson Verasel Marc Dunet: la palettede cet album produitpar David Linx est large. Et meten valeur le timbrl:'juvénilede ce chanteur brésilienà découvrir de toute urgence.

World. 0+ Music/Harmonia Mundi.

Produto: CADERNO_2 - BR - 9 - 28/04/07 D9-BR/SP - Cyan Magenta Amarelo Preto2% 5% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 95% 98% 100% 2% 5% 10% 15% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 85% 90% 95% 98% 100%

Após vaias, chegaa redençãocomATorcidaGritaOs jovens compositoresDaniloMoraeseRicardoTeté lançamCDqueé frutodamalfadadaexperiência noFestivalCultura

Artes cênicas encaramaeradosefeitos especiaisAgora,aténopalcoeaovivo,umatorcontracenacomsimesmo–comonapeçaLosingSomething, emNY

MúsicaLançamento:

TeatroTecnologia:

Adriana Del Ré

O Festival Cultura – A NovaMúsica do Brasil, realizadodois anos atrás pela TVCultu-ra, funcionou como uma espé-cie de rito de passagemna car-reira dos jovens compositoresDaniloMoraes eRicardoTeté.Naquelaocasião, aduplapode-ria ter inscrito qualquer can-ção feita em parceria, que fos-se,digamos,maispalatávelpa-ra um festival de música. Car-tucho para isso eles tinham.Mas,emcomumacordo,pre-feriramarriscarcomumacom-posição “difícil”, que causassecerto estranhamento em letrae melodia. E Danilo e Teté(que, naquela época, assinavaTeperman)entraramnadispu-ta com Contabilidade e esta-vamao ladodenomes jáconso-lidados na música como LuizTatiteDanteOzzetti. “Igualda-de se conta no contracheque/Acionistas espocando a sibili-na/Especulando tanto que ar-de/Aaltadopreçodopreserva-tivo de baixa qualidade”, dizumtrechodamúsicaescolhidapor eles, para se ter uma idéiada complexidade de seu teor.Para surpresa deles pró-prios, acabaram passando, fir-mesefortes,pelasfasesclassifi-catórias. “Já tínhamos idéia doque agrada em festivais. ECon-tabilidade tem elementos nadapopulares: o compasso é meiomaluco, a harmonia meio com-plicada, várias imagens de nú-meros”, explicaDanilo.Na finaldo festival, mais uma surpresa:em vez de serem ovacionadospelaplatéia,porpouconãoleva-ram ovadas. Lembrando anti-gos festivais, a dupla saiu de ládebaixo de vaias.Na hora, uma profusão desensações veio à tona, lem-bram eles: perplexidade, es-tranhamento, vontade de rirda situação. Mas a idéia de ter

causado incômodo lhes pare-ceu bem apropriada. “Prefirotomar vaia do que aplausosmornos”, diz Danilo. “É legalpra caramba, porque nin-guém tem coragem de falar‘não gostei’, são tão poucaspessoas que dá para contarnos dedos”, completa Teté.Querendo a platéia ou não,eles foram vencedores e tive-ram direito de gravar um CD.Tudobemqueo disco demoroumuito para sair – não por culpados rapazes, que já estavamcom todo o repertório acerta-do. Está sendo lançado agora,comosugestivotítuloATorcida

Grita. Em alguns detalhes, odisco (o primeiro oficial deles)vem impregnado daquela ex-periência. A boa sacada é quetiveram capacidade de tirarsarro do circo armado, seja notítulodoCD(tirado, oportuna-mente, da canção Teresa e aTorcida, incluída no repertó-rio),naartedacapa,ounacria-ção da música Viva Vaia.Mas A Torcida Grita é umaoportunidade para aqueles quetorceramonarizparaContabili-dade se inteirarem um pouqui-nhomais da obra dos dois com-positores. Afinal, essa obra nãoestá tantoparaoestranhamen-to,nemtantoparaocomunicati-vo, nem tanto para o humor,nem tanto para o bem harmo-nioso. É um mix de tudo isso.Talvez, esta seja uma segundafase da redenção da dupla, ini-ciada pelo exemplar desempe-nhomostrado porDanilo no re-cente PrêmioVisa.Nele, foi reunido grande par-te do repertório que compôsum álbum anterior deles, maismodesto, lançado apenas naFrança. Inédito para brasilei-ros e, como brinca Teté, para amaioriados franceses também.Das agradáveisNemque aVacaTussa e Arredondamento até afaixa Sisudo, eles exercitam asinfluências da MPB, as letrasbem-humoradas ou bem traba-lhadas,acoesãomelódica.Tive-ram liberdade para se dedicarao projeto e fazer uma produ-ção bem acabada.Sinais de uma sintonia quefunciona há mais de dez anos.Namaioria das vezes,Danilo fi-caresponsávelpelapartemusi-cal e Teté, pelas letras. Os doisse conhecem desde a época daescola, tocaram na banda Ban-guela e ganharam projeção fa-zendo forró. Juntos, compuse-ram o xote Beijo Roubado, quefoi gravado pelo grupo Rasta-pé.Apesar demanteremproje-tos paralelos, osdois gostamdetrabalharjuntos.“Minhaparce-ria com Danilo é a coisa quemais tenhoapegonaminhahis-tória”, declara-se Teté.OsdoisforammoraremParisetrabalharampor lá,emparcei-ra e separados. Danilo já voltou,para começar a divulgar o CD.Teté volta mais para o final doano.“Agentenãoestavapensan-do em ganhar o Festival Cultu-ra, então tivemos de nos adap-tar. Eu já planejava gravar umCD-solo fazia tempo”, diz Teté,queconseguiurealizarosonhoeficará alguns meses divulgandoseu trabalho na França. Lá poroutubroounovembro,eleretor-naaoBrasilemdefinitivoeiniciacomDanilo, para valer, a turnê.Para uma trajetória aindaem formação, outros ritos depassagem devem atravessar ocaminho da dupla. Mas estes,ao que tudo indica, deverão serbemmenos traumáticos. ●

DANILOETETÉ–Parceria, quedurahámaisde10anos, já rendeumuitas cançõese trabalhosnaFrança

DUPLA INICIA TURNÊMAIS PARAO FIMDOANO, QUANDOTETÉCHEGARDE PARIS

DIVULGAÇÃO

Steven McElroyTHE NEW YORK TIMESNOVA YORK

Paraofreqüentadordecinemacomum, a visão de Eddie Mur-phy interpretando persona-gensnamesmacenajánãocau-sa um choque. Esses truquesde efeitos especiais já viraramlugarcomum:umbommaquia-dor,algumascâmerascuidado-samente posicionadas, mani-pulações digitais, e pronto.No teatro, um ator parado ao

ladodesimesmoaindaseriaumavisão perturbadora –mas talvez

nãopormuitotempo.NapeçaLo-sing Something, escrita e dirigidaporKevinCunningham,emcar-taz no 3LD Art & TechnologyCenter em Lower Manhattan,a produção marca o primeirousoporumacompanhia ameri-cana de teatro de uma sistemadeprojeção de vídeode alta de-finição chamado Eyeliner.UsandooEyelineremconjuntocom o Isadora – um novo soft-ware que controla vídeos digi-tais – Cunningham e a equipedecriaçãodo3LD(ou3-LeggedDog) produzem alguns efeitosespantosos, chocantesaté.

“Já não precisamos obede-cer as leis da física”, disse Cun-ningham,tambémdiretorartís-ticoexecutivodo3LD.Oespetá-culo fala de fantasmas do pontode vista de um homem de meiaidadederivandoparaoesqueci-mento da perda dememória – eaí os atores flutuam no espaçoou surgemdonada.OsistemaEyelinerusaumve-

lhotruquedepalcochamadoPe-pper’s Ghost (Fantasma de Pe-pper)que,segundoamaioriadosrelatos, foi visto pela primeiravez no palco numa produção de1862deHauntedMan (O homem

assombrado)deCharlesDickensnoRoyal Polytechnic InstitutionemLondres.Emgeral,atribui-seaJohnHenryPepper(1821-1900)adescobertadorecurso ilusório,mas o primeiro a sugerir a colo-cação de um espelho plano arti-culado entre público e atores,permitindo que objetos ou pes-soas nos bastidores “apareces-sem”refletidosnoespelhocomose estivessem no palco, foi umengenheirochamadoHenryDir-cks . Quando as luzes nos basti-doreseramapagadas,os fantas-maspareciamdesaparecer.ComoEyeliner, o pesadopai-

nel de vidro é substituído porumatelamais leve,quase invisí-vel, inventada por Uwe Maass,o diretor administrativo daEvent Works, uma companhiacomsede emDubai. Umaoutraempresa, Vision4, daDinamar-ca,detémosdireitosdelicencia-mento paraNovaYork.“Acreditamosque seencon-

trará um novo campo na sim-biose entre arte e tecnologia”,escreveu Mikael Foch, o dire-tor da Vision4, por e-mail. “Épor isso que estamos entusias-madosdecolaborarcoma3-Le-gged Dog, que compartilha as

mesmíssimas aspirações.”A invenção de Maass vem

granjeandomaiordestaqueulti-mamente: muitos dos milhõesqueviramMadonnacantarcomabandaderockemdesenhoani-mado Gorillaz no GrammyAwards do ano passado, prova-velmente não sabiam que, emparte daquela performance, es-tavamassistindo aumaMadon-navirtual–cortesiadaEyeliner.Somente agora as possibilida-des para o teatro ao vivo estãocomeçandoa ser exploradas.No início de Losing Some-

thing, o personagem principal,X (Aldo Perez), contempla suaexistênciadepoisdadestruiçãodo World Trade Center. Elemesmomais velho, também in-terpretado por Perez, entra doalto do palco, desce até ficar aolado de X, e os dois ficam face aface e conversam. ●TRADUÇÃODE

CELSOMAURO PACIORNIK

ESCALAPB PB ESCALACOR COR

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SÁBADO, 28 DE ABRIL DE 2007 CADERNO 2 D9O ESTADO DE S. PAULO CADERNO 2 D9

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Ricardo Teté - EPK