4
Un temps d’avance Régis Lebigre 2014 Élections Municipales, Vence Le Mythe sur la ZAC Saint-Jean : n «Le Maire aurait dû s’opposer au projet de la ZAC Saint-Jean» n «Vence va payer 21.39% des 20 millions d’€uros de travaux contre l’inondation (…)». n «Les parkings seront gratuits». La Réalité : Critiquer les voisins et mani- puler les chiffres ne font pas fleurir le commerce. S’ingérer dans le projet d’une Commune voisine est vain et prétentieux. Semer l’angoisse avec des accusations et des chiffres faux n’a qu’un but : faire croire qu’un Maire aurait le pouvoir de participer aux choix des Communes voisines ou de s’y opposer ! Qui peut croire que le Maire de Vence soit responsable d’un projet commercial porté par Cagnes- sur-Mer depuis 2000 ! Aucun Maire ne saurait interférer dans le développement d’une Commune voisine comme aucun Maire n’apprécierait se faire dicter son action par un élu voisin. Avant toute chose rappelons que la ZAC Saint-Jean est située sur le Malvan en zone inondable. Le Programme d’Actions et de Préventions contre les Inondations (PAPI) est piloté par le Service gestion des risques du Conseil général sous l’égide de l’élue chargée de mission prévention des risques naturels. Concernant le programme de travaux, le Syndicat Inter- communal regroupant 8 Communes* du bassin versant participera à hauteur de 5.920.500€ dont 21,39% pour Vence et 50% pour Cagnes-sur-Mer. Annoncer que Vence va payer 21.39% de 20 millions d’euros est un mensonge ! De même que faire croire à la gratuité des parkings alors que le projet les a toujours prévus payants. Pour ma part, je préfère œuvrer concrètement pour déve- lopper et soutenir nos petits commerces de proximité et leur fabriquer un écrin idéal dans une Ville exceptionnelle. Plans FISAC (800.000€ dont 150.000€ financés par la Ville), rénovation urbaine (2 M€), enfouissement des ré- seaux électriques (24.000€ pour la Ville), rénovations des façades (75.000€ par an), travaux d’accessibilité, navettes urbaines gratuites (80.000€), gratuité du stationnement tous les samedis et tickets commerçants (95.000€), si- gnalétique des parkings (25.000€), collectes spécifiques des déchets (10.000€)… voici quelques actions concrètes en faveur du commerce local menées sans l’aide des opposants trop occupés à contrer toute réalisation qui modernise Vence et conforte son identité de Ville dyna- mique et rayonnante. * Cagnes-sur-mer, Vence, La Colle-sur-Loup, La Gaude, Saint-Jeannet, Saint-Paul de Vence, Coursegoules et Bezaudun-les-Alpes. Tandis que nous sommes au travail, des petites phrases courent les rues, les terrasses, les petits apéros du soir… Leurs auteurs prétendent connaître et maîtriser la réalité Vençoise. Leur objectif : dénigrer le travail accompli, semer le trouble et la confusion par des accusations systématiques et sans fondement. Mais les chiffres sont têtus et les faits rendent dérisoire toute tentative de polémique. Alors mythe ou réalité… Vous décou- vrirez à l’intérieur de ce document ce que les Vençois doivent savoir. Les donneurs de leçons se sont-ils seulement souciés de solidarité, de vieillisse- ment de notre population, de précarité énergétique, d’emploi, de logement… ? Et l’équilibre financier en période de crise, mesurent-ils toutes les difficultés qui préoccupent nos habitants ? www.lebigre2014.fr

Mythes ou réalités - Régis Lebigre 2014 - Un temps d'avance - Carnet de Campagne n°2

Embed Size (px)

DESCRIPTION

Mythes ou réalités Régis Lebigre 2014 Un temps d'avance Carnet de Campagne n°2

Citation preview

Page 1: Mythes ou réalités - Régis Lebigre 2014 - Un temps d'avance - Carnet de Campagne n°2

Un temps d’avance

Régis Lebigre 2014Élections Municipales, Vence

Le Mythe sur la ZAC Saint-Jean : n «Le Maire aurait dû s’opposer au projet de la ZAC Saint-Jean» n «Vence va payer 21.39% des 20 millions d’€uros de travaux contre l’inondation (…)». n «Les parkings seront gratuits».

La Réalité : Critiquer les voisins et mani-puler les chiffres ne font pas fleurir le commerce.S’ingérer dans le projet d’une Commune voisine est vain et prétentieux.Semer l’angoisse avec des accusations et des chiffres faux n’a qu’un but : faire croire qu’un Maire aurait le pouvoir de participer aux choix des Communes voisines ou de s’y opposer ! Qui peut croire que le Maire de Vence soit responsable d’un projet commercial porté par Cagnes-sur-Mer depuis 2000 ! Aucun Maire ne saurait interférer dans le développement d’une Commune voisine comme aucun Maire n’apprécierait se faire dicter son action par un élu voisin.Avant toute chose rappelons que la ZAC Saint-Jean est située sur le Malvan en zone inondable. Le Programme d’Actions et de Préventions contre les Inondations (PAPI) est piloté par le Service gestion des risques du

Conseil général sous l’égide de l’élue chargée de mission prévention des risques naturels.Concernant le programme de travaux, le Syndicat Inter-communal regroupant 8 Communes* du bassin versant participera à hauteur de 5.920.500€ dont 21,39% pour Vence et 50% pour Cagnes-sur-Mer. Annoncer que Vence va payer 21.39% de 20 millions d’euros est un mensonge ! De même que faire croire à la gratuité des parkings alors que le projet les a toujours prévus payants. Pour ma part, je préfère œuvrer concrètement pour déve-lopper et soutenir nos petits commerces de proximité et leur fabriquer un écrin idéal dans une Ville exceptionnelle.Plans FISAC (800.000€ dont 150.000€ financés par la Ville), rénovation urbaine (2 M€), enfouissement des ré-seaux électriques (24.000€ pour la Ville), rénovations des façades (75.000€ par an), travaux d’accessibilité, navettes urbaines gratuites (80.000€), gratuité du stationnement tous les samedis et tickets commerçants (95.000€), si-gnalétique des parkings (25.000€), collectes spécifiques des déchets (10.000€)… voici quelques actions concrètes en faveur du commerce local menées sans l’aide des opposants trop occupés à contrer toute réalisation qui modernise Vence et conforte son identité de Ville dyna-mique et rayonnante. * Cagnes-sur-mer, Vence, La Colle-sur-Loup, La Gaude, Saint-Jeannet, Saint-Paul de Vence, Coursegoules et Bezaudun-les-Alpes.

Tandis que nous sommes au travail, des petites phrases courent les rues, les terrasses, les petits apéros du soir… Leurs auteurs prétendent connaître et maîtriser la réalité Vençoise.

Leur objectif : dénigrer le travail accompli, semer le trouble et la confusion par des accusations systématiques et sans fondement. Mais les chiffres sont têtus et les faits rendent dérisoire toute tentative de polémique.

Alors mythe ou réalité… Vous décou- vrirez à l’intérieur de ce document ce que les Vençois doivent savoir.

Les donneurs de leçons se sont-ils

seulement souciés de solidarité, de vieillisse-ment de notre population, de précarité énergétique, d’emploi, de logement… ? Et l’équilibre financier en période de crise, mesurent-ils toutes les difficultés qui préoccupent nos habitants ?

www.lebigre2014.fr

Page 2: Mythes ou réalités - Régis Lebigre 2014 - Un temps d'avance - Carnet de Campagne n°2

Le Mythe : «Ils bétonnent tout Vence avec ce PLU (…) et la proportion d’espaces naturels ne cesse de décroitre».

La Réalité : Seuls 25% du territoire sont en zone urbaine. Les zones naturelles de la Commune occupent 2.876 hectares soit 73,34% du territoire.

51 hectares sont désormais inscrits en réserve agricole afin de restaurer l’agriculture de proxi-mité et l’alimentation en circuit court. La zone urbaine représente 994 hectares sur une superficie totale de 3.923 hectares.25% du territoire sont en zone urbaine. Cette zone a vocation à être densifiée compte-tenu de l’obligation pour la Ville de fournir du logement et de permettre aux propriétaires d’optimiser leur patrimoine.

Le Mythe : «L’urbanisation galopante est dictée par la Métropole».

La Réalité : Vence décide seule de son avenir et de l’équilibre de son urbanisme.

Notre Plan local d’urbanisme a nécessité 4 ans de travail et 25 réunions techniques et publiques. La Métropole n’est jamais intervenue dans les déci-sions municipales. Au contraire, nous avons bé-néficié des meilleures compétences techniques mobilisées pour respecter l’équilibre de notre ter-ritoire. Notre PLU a d’ailleurs été adopté par le Conseil Municipal le 29 Mai 2013.

Le Mythe : «Logements sociaux, il y en a déjà beaucoup…».

La Réalité : Vence répond à la loi et aux besoins de ses habitants.

Avec moins de 5% de logements sociaux, Vence est loin de répondre à ses obligations telles que fixées par la loi et le quota de 25%. Or, au-

jourd’hui, la Ville n’est pas en mesure de répondre aux besoins des 431 familles Vençoises en liste d’attente, éligibles au logement à loyer maîtrisé. Il faut savoir que le seuil de revenu pour être éli-gible au logement social pour un couple varie de 19.834€ à 34.433€ par an. À Vence, près de 60% de la population peut y prétendre.

Notre priorité a été et reste de rénover le bâti ancien plutôt que de construire revalorisant ainsi notre patrimoine. Mieux vaut acquérir et rénover des logements insalubres plutôt que de payer une lourde pénalité et voir l’Etat impo-ser d’office à la Commune des emplacements de constructions.

Le Mythe : «Vous allez faire monter la population du quartier des Moulins à Vence». (…) «Le Suve est transformé en quartier ghetto et en zone concentrationnaire»

La Réalité : Une offense ! Ce propos tenu en Conseil Municipal est inju-rieux pour les 60 familles stigmatisées comme pour l’ensemble du quartier. Les habitants du Suve ne sont-ils pas notre facteur, notre chauffeur de bus, notre employé de commerce…Ces propos cherchant à effrayer les Vençois ne sont que mensonges et discours anxiogènes. La technique est ancienne et couramment utili-sée : faire peur par de fausses informations puis se positionner en sauveur… comme par hasard à la veille des élections municipales !Qui peut imaginer qu’un Maire puisse déplacer des populations alors que seule une Commission d’attribution, suivant des règles strictes imposées par la Loi, est seule habilitée à attribuer les loge-ments sociaux.

Tant que je serai Maire, aucun nouveau logement social ne sera édifié au Suve et le terrain d’évolu-tion proche de l’école restera un site ouvert à tous.Répandre ainsi des bruits sur des sujets aussi graves, alimenter des craintes sur des questions vitales de mixité sociale, monter les Vençois les uns contre les autres (ceux relevant du logement

social contre ceux qui ont la chance de ne pas en avoir besoin), prétendre dans le même temps être capable de rassembler tous les Vençois… est une supercherie !

Le Mythe : «Vence a perdu son identité et se trouve impuissante devant la montée du com-munautarisme»

La Réalité : À Vence la loi de la Répu-blique s’impose dans tous les lieux publics.Je suis le garant du respect de la laïcité et en par-ticulier à l’école. L’avenir des enfants est notre responsabilité. L’Éducation Nationale comme la Commune offrent toutes les conditions de réus-site scolaire pour que chacun prépare son avenir au mieux de ses capacités et dans le respect des valeurs républicaines.Quant à prétendre «avoir informé les autorités compétentes de la montée du communautarisme», il est vain, en réalité de se parer des plumes de l’autorité quand ce n’est pas sa compétence. Je suis, en tant que premier magistrat de la Com-mune, en contact permanent avec les services de sécurité de l’Etat qui sont parfaitement au fait de tout ce qui pourrait enfreindre la loi.

Le Mythe : «Il est grand temps de réveiller Vence, la belle endormie»

La Réalité : Vence aurait alors un sommeil bien agité ! Il n’est pas un week-end sans événement et sans que le service des fêtes de la Commune ne soit mobilisé et à pied d’œuvre, sans que des manifestations ne soient organisées par la Ville ou par des associations subventionnées.

L’activité commerciale revitalisée par l’embellisse-ment de l’avenue Marcellin Maurel n’a jamais été si dynamique. Mais la vitalité de la ville se mesure surtout à ses réalisations. Ainsi, «la belle endormie» a vu naître : la Villa Berthe pour les associations, une salle d’orchestre pour le conservatoire, la maison relais pour les plus démunis, la résidence sénior pour rompre l’isolement du 3eme âge, la crèche qui ac-cueillera 60 nourrissons, un skate parc, le stade entièrement rénové, un nouveau CCAS, un ci-néma municipal, un parking gratuit de 70 places aux Meillières, deux centrales photovoltaïques sur des bâtiments publics, des jardins familiaux, deux navettes urbaines gratuites, la création d’un diplôme universitaire, l’acquisition de 5 véhicules électriques, la Cathédrale restaurée… sans comp-ter deux dossiers de sécurité aboutis : le Prat de

Régis Lebigre 2014, un temps d’avance - Mythes ou réalités : Réponse aux détracteurs

la suite…

Page 3: Mythes ou réalités - Régis Lebigre 2014 - Un temps d'avance - Carnet de Campagne n°2

Julian et la gestion de la forêt de La Sine… «La belle endormie» ne dort que d’un œil : 27 ca-méras de vidéo-protection veillent à la sécurité des biens et des personnes. En résumé, jamais aucune mandature n’avait réa-lisé autant de projets en si peu de temps et malgré un contexte de crise sans précédent.

Le Mythe : «À Vence, on ne peut jamais se garer !».

La Réalité : 1 565 places de stationne-ment dont 616 gratuites.

Vence compte 3 parkings en ouvrage soit 644 places en centre-ville auxquelles s’ajoutent 921 places sur voirie (dont 616 places gratuites).

Le Mythe : «À Vence, les parkings sont trop chers».

La Réalité : 95.000€ par an : rien n’est jamais gratuit ! Ce sont les contribuables qui subventionnent les mesures de gratuité.

Sur les 305 places payantes sur voirie, 188 places sont en zone verte. Les zones bleues gratuites ré-glementées ont été étendues (81 places) comme la durée de stationnement, passant de 1h30 à 2h.Tous les samedis le stationnement est gratuit sur l’ensemble de la voirie communale.Pour fidéliser la clientèle des commerces, la Mai-rie a financé en 2012, 28 400 tickets commerçants, soit 40.000€. Ces tickets (offrant 1h30 de station-nement) ne coûtent ainsi aux commerçants que 0,60 ct d’€ pièce au lieu de 3€, la différence étant payée par la Collectivité.La carte à décompte permet un paiement par tranche de 5 minutes afin de ne payer que la durée exacte du stationnement et pas plus.

Le Mythe :«Augmenter la gratuité pour inciter les Vençois à revenir dans le centre-ville».

La Réalité : La Gratuité… Mais pas pour tout le monde !

«Gratuit ?» Qui pourrait être contre le stationne-ment gratuit ? Personne, sauf à connaître le coût d’un parking financé par nos impôts : 1 place en ouvrage coûte à la Collectivité 20.000€ pour sa réalisation et 1.000€ par an pour son ex-ploitation.65% des stationnements en centre-ville sont gratuits. Quant aux autres, leur prix varie de 2€

l’heure à 1€ la journée. «Revenir dans le centre-ville ?» Tous les parkings enregistrent une fréquentation en hausse de 1,27% soit + 5 670 entrées en 2012.La gratuité est une fausse bonne idée. L’expérience ayant démontré que le parking gratuit engendre inévitablement des voitures ventouses.

Le Mythe : «La sécurité baisse et les cam-briolages augmentent (…). La vidéo protection a un côté terrifiant et n’a pas de résultat tangible»

La Réalité : Encore une fois, les chiffres* sont têtus !

Du 1er janvier au 31 août 2013, la délinquance a reculé de - 23,08%. Les cambriolages enregistrent une baisse specta-culaire : - 61,84%. L’atteinte aux biens baisse de 22,41%. Les vols reculent de moins 24,21%. Les dégradations chutent de moins 23,08%. Les escroqueries, in-fractions économiques et financières sont en recul de 23,81%.Seules les atteintes volontaires à l’intégrité phy-sique augmentent de 9,26%. Elles incluent le nombre des femmes battues tristement en hausse sur le territoire Français et en particulier dans les Alpes-Maritimes… *Bilan chiffré Gendarmerie Nationale 2013.

Le Mythe : «Le commerce Vençois en voie de disparition»

La Réalité : Vence, un «centre com-mercial» à ciel ouvert : une vraie Ville, une vraie identité.

Aucune zone commerciale ne pourra rivaliser avec un ensemble de petits commerces de proxi-mité dans un lieu patrimonial modernisé, vivant et accueillant !

La rénovation urbaine a fortement bénéficié aux petits commerces. De très belles enseignes ont ouvert boutique en cœur de ville. Nous avons encouragé la rénovation des façades en finançant 75.000€. Toujours en soutien du petit commerce, le plan FISAC coûtera in fine 800.000€. Nous multiplions les initiatives et les aides également envers l’artisanat local.

Le Mythe : «On privilégie les entreprises étrangères pour la réalisation des travaux»

La Réalité : Vence comme toutes les collectivités de France est soumise à la même loi des appels d’offres concernant la dépense publique.

Les aménagements, créations ou réfections de voirie sont soumis à des appels d’offres lancés par La Ville ou la Métropole. Au-delà d’un seuil fi-nancier, cette consultation doit légalement être lancée à l’échelle européenne. Il arrive que les entreprises locales ne puissent, par des critères techniques et logistiques, se positionner sur cer-tains types de travaux nécessitant un matériel de pointe. Notre SEM recourt régulièrement à des entreprises Vençoises que ce soit pour l’entretien et la réhabilitation de ses logements ou pour l’en-tretien et la rénovation des parkings.

Le Mythe : «C’est la Métropole qui gou-verne (…). Les élus doivent apprendre à faire à la Métropole des propositions réalistes mais fermes»

La Réalité : Vence est très respectée et concrètement soutenue.

La rénovation urbaine, la station d’épuration, l’aménagement des entrées de Ville… sont juste-ment des propositions faites à la Métropole. Etait-ce réaliste ? Sans doute puisque la Métropole a choisi fermement de les financer et de les réaliser.18 millions d’€ pour la station d’épuration, 2 mil-lions d’€ pour la rénovation du cœur de Ville, 800.000€ pour l’entrée de Ville… financés par l’ensemble des contribuables de la Métropole. Nous avons décidément encore tout à apprendre ! Pour chacun de ces projets, le Conseil Municipal a décidé ; la Métropole a financé. Qui fera mieux ?

Le Mythe : «Une quatre voies pour l’ave-nue Emile Hugues qui va devenir une autoroute».

La Réalité : 1 voie descendante et 2 voies montantes sont à l’étude dans le cadre d’un éventuel projet d’aménagement.

Si nous choisissons ce type d’aménagement, il sera financé par la Métropole. Bien loin d’une avenue «transformée en autoroute», il s’agirait de deux voies montantes accompagnées d’un tourne à droite vers le centre-ville (une seule voie des-cendante étant conservée). C’est ainsi que nous comptons prendre soin des habitants qui résident sur cette avenue comme de la sécurité des piétons.Faire croire aux riverains que nous allons construire une quatre voies sous leurs fenêtres a pour seul but de faire oublier toutes nos me-sures d’embellissement et de sécurisation sur nos routes… Au lieu de se consacrer à répandre des rumeurs, il serait plus constructif de s’investir dans la promotion du transport en commun et du covoiturage. n

Régis Lebigre 2014, un temps d’avance - Mythes ou réalités : Réponse aux détracteurs

Page 4: Mythes ou réalités - Régis Lebigre 2014 - Un temps d'avance - Carnet de Campagne n°2

Un Mythe… si loin de toute réalité

Monsieur Dombreval a présenté un premier projet aux Meillières qui semble répondre aux vœux les plus chers de 700 Vençois : «des lieux pour faire la fête», «un pôle bien-être» et un nouveau parking payant en lieu et place d’un parking gratuit ! Monsieur Dombreval, à force de prendre de la hauteur de vue, semble ne pas savoir que les préoccupations premières des Français sont le logement et l’emploi.Qui peut croire à cette opération de communi-cation ? Si les rêves ont toute leur place en pé-riode d’abondance, la clairvoyance quant aux priorités et la rigueur financière s’imposent en période de crise. Un parking de 360 places (7,2 millions d’€ d’investissement + 360.000€ de fonctionne-ment annuel = 10 points d’impôts), une salle de spectacle, un centre d’affaires, des loge-ments et un pôle bien-être (pour la seule salle de spectacle : 4 millions d’€ d’investissement et 250.000€ de fonctionnement annuel = 6 points d’impôts)… A ce premier projet estimé modestement à 12 millions d’euros, rajoutons 5 millions d’€ de patrimoine foncier que représente l’actuel par-king gratuit + 300.000€ le coût de destruction et de reconstruction du dojo. L’addition s’élève à 17 millions d’€ pour un projet de loisirs et de bien-être, bétonnant tout un quartier et en-gloutissant dans ce seul projet bien plus que la capacité totale d’investissement de la Com-mune. Tout ceci sans compter qu’aucun in-vestisseur ne réalisera un tel équipement sans des garanties de recettes équivalentes aux dépenses engagées et sans un échange de constructibilité qui reviendrait à vendre Vence à des privés... pour des équipements de fêtes et de bien-être !Tout ceci bien évidemment sans augmen-ter nos impôts et en comptant sur la prise en charge totale de la Métropole, de la Région et du Conseil général ! Comme si ces institu-tions n’étaient pas elles-mêmes financées par nos impôts ! Comme si ces institutions avaient une santé financière suffisante pour financer de surcroît des projets ne relevant pas de leurs compétences !! Et que dire d’un barreau rou-tier d’1 million d’€ qui serait situé à moins de 500 mètres du chemin de Cantemerle reliant déjà le centre-ville ?

Si Monsieur Dombreval avait une connais-sance minimum des dossiers de la Ville, il saurait que nous avons des dépenses incom-pressibles dans le domaine des risques majeurs et de la solidarité. Si nous pouvons diverger sur les projets pour une Ville, la gestion financière, elle, ne supporte en période de crise ni ama-teurisme, ni approximation.

Régis Lebigre

Régis Lebigre 2014, un temps d’avance - Mythes ou réalités : Réponse aux détracteurs

NE

PAS

JETE

R S

UR

LA

VO

IE P

UB

LIQ

UE

-

Im

pri

sur

pap

ier

recy

clé

par

l’im

pri

mer

ie T

RULL

I, SI

RET

: 350

083

796

00

010

- N

ovem

bre

2013

- D

irec

teu

r de

pu

blic

atio

n :

Rich

ard

Belt

ram

e - C

RÉD

IT IM

AG

ES :

© —

VU

LE

CA

ND

IDA

T.

La réalité en imagesFaute de propositions constructives pour Vence, des équipes en lice pour les municipales, cherchent à effrayer les Vençois. La technique est ancienne et couramment utilisée : faire peur par de fausses informations puis se po-sitionner en sauveur… comme par hasard à la veille des élections munici-pales ! C’est ainsi qu’ils prétendent servir Vence… Je préfère vous montrer quelques réalisations qui transforment notre vie quotidienne.

Avant Aprés

Voici ce qu’il faut savoir pour en finir avec les rumeurs toxiques. Seuls les faits

et les actes vous permettront de juger.

Avenue Marcellin Maurel

Place Antony Mars

La Maison des Associations déménage à la Villa Berthe

Le conservatoireLe bâtiment Saint-Jacques

L’entrée de VilleLa crèche de Vosgelade

Mais encore…