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Gisement de fer de Belinga au Gabon – Notre engagement Les différents étapes de notre engagement dès Le 23 septembre 2006 avec mon ONG le MODOI au Gabon au profil de l’initiative, de la dénonciation et du blocage de la cynique convention Chine / Gabon en vue de l’exploitation de la mine de fer de Belinga. ----------------------------------------------------------------------------------- Lundi 19 mai 2008 L'HISTOIRE DU GISEMENT DE FER DE BELINGA http://afriqueaujourdhui.over-blog.org/article-

Gisement de fer de Belinga au Gabon – Notre engagement

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Les différents étapes de notre engagement dès Le 23 septembre 2006 avec mon ONG le MODOI au Gabon au profil de l’initiative, de la dénonciation et du blocage de la cynique convention Chine / Gabon en vue de l’exploitation de la mine de fer de Belinga.

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Gisement de fer de Belinga au Gabon – Notre engagement

Les différents étapes de notre engagement dès Le 23 septembre 2006 avec mon ONG le MODOI au Gabon au profil de l’initiative, de la dénonciation et du blocage de la cynique convention Chine / Gabon en vue de l’exploitation de la mine de fer de Belinga.

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Lundi 19 mai 2008

L'HISTOIRE DU GISEMENT DE FER DE BELINGA

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LES DONNEES TECHNIQUE DU GISEMENT

 :  :

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  :Belinga fait partie des gisements de fer de la région du Haut Ivindo au nord Est du Gabon. Lesquels s’étalent suivant un alignement orienté nord ouest/ Sud Est ; Sur près de 100 km de massif montagneux que sont Minkebé – Belinga – Batouala - Boka Boka avec, 20 km au nord de Belinga, le gisement transfrontaliers d’Avina et de NabédaBelinga comprend donc une dizaine de crêtes minéralisées dont la prospection véritable commencée comme indiquée plus haut en 1958, s’est poursuivie par intermittence jusqu’en 1987.

QUELQUES REPERES HISTORIQUES : la présence du fer au Gabon remonte à la fin du 19 siècle lorsqu’un géologue Français du nom de BARRAT découvre vers 1895, dans la région de Makokou, que les habitants fabriquent des instruments et les armes forgées à base de fer. -  Les études qui suivent font l’objet d’un rapport que BARRAT adresse au bureau minier de l’outre mer, lequel reste sans suite et ce dossier va connaître une période d’hibernation entre 1898 et 1938.-  Cependant, vers les années 1900, le Gouvernement Français de l’époque, dans une optique militaro-politique inhérente à sa rivalité avec le royaume de Belgique, envisage de construire de l’autre côté de la rive du Congo qui abrite la capitale de l’AEF, une voie ferrée devant rallier les principales villes de ses territoires en Afrique Equatoriales Française. En dépit de l’aboutissement des études techniques, ce projet sera abandonné avec l’avènement de la première guerre mondiale.-   En 1938, ROUQUETTE, autre géologue Français de la Direction des mines et de la géologie, entreprend des propositions de surface et son rapport est comme celui de BARRAT trente ans auparavant. Classé sans suite par sa suite par sa hiérarchie. -   De 1954 à 1945, la deuxième guerre mondiale ne permit nullement au projet d’avancer d’avantage. -   En 1954, la Direction de la géologie et des mines de l’Afrique Equatoriale Française entreprend des études de surface aux résultats sensationnelles, notamment dans la zone de Boka Boka, les géologues DEVIGNE et PLEGAT prennent part à cette mission. -   Janvier 1955, Peter TELFAIR, représentant de la Bethleem stel Co à Brazzaville et deux autre géologues : HOLE et PURQUI arrivent au Gabon

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pour des campagnes complémentaires de prospections de surfaces. -   Septembre 1955, après avoir pris attache avec le Gouverneur Félix EBOUE à Brazzaville et suite aux fructueux résultat de reconnaissance du gisement HOLE, POURQUIE et TELFAIR signent la convention qui crée le syndicat de Mékambo et qui comprend : Betleemn Steel Co, la banque de Paris et de Pays bas  et le Bureau minier de l’outre mer.-  1958, découverte officiel du gisement de Belinga, lequel dépassa toutes les attentes avec des teneures en fer des plus extractives. - 1959, création de la société des mines de Mékambo (SOMIFER) qui va reprendre les actifs de l’ancien syndicat de Mékambo et poursuivre les travaux de prospections, ainsi que les études de mise en exploitation.-   Au cours de la même année, un consortium comprenant les unités de sidérurgie de la France, l’Italie, d’Allemagne, de Belgique, des Etats-Unis et des Pays bas est constitué en vue de la mise en exploitation de Belinga.-  1960 à 1963 ; SOMIFER va tour à tour engager TAMS, un bureau d’ingénieurs conseil (USA) puis le cabinet FOLEY BROTHERS (USA) pour le études de tracé au chemin de fer Owendo-Belinga et le cabinet SEDES (France) pour les études économiques.-  Mai 1963, les études pédologiques sont confiées à l’ORSTOM et un accord entre le Gabon et le fond spécial des Nations Unis et la BIRD.-  1064- poursuite par intermittences des travaux de prospections commencé en 1958 sur Belinga et réalisé par la SOMIFER, le BRGM, la SOCOMINE et l’Etat Gabonais sur les crêtes de plus porteuses.-  1967, mort du Président Léon MBA qui laisse le dossier Belinga à son successeur, le Président Omar BONGO ONDIMBA.-  1973, démarrage des travaux du Transgabonais devant relier Owedo-Franceville-  1986, fin de travaux de construction de chemin de fer Owendo -Franceville-  1987- fin des travaux de prospections entrepris par la SOMIFER, Le BRGM, la SOCOMINE et l’Etat Gabonais sur les crêtes porteuses de Belinga.-  2004 les accords passés entre le gouvernement Gabonais et la CMTR-CRDV (BRESIL) pour l’exploitation du fer de Belinga n’aboutissent pas.-  2006 – la China National Machinery et Equipement Corporation, la Banque d’export Import de Chine et le gouvernement Gabonais signent l’accord cadre de l’exploitation e Belinga.-         (Affaire à suivre)

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GABON: Le jour où la société civile a reprise de la voix... et tout commence - Le 23 septembre 2006

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"La volonté qui a tracé la boussole, le courage qui a initié le débat sur la question de l'exploitation du gisement de fer de Belinga..."  Discours prononcé par Jimmy MAPANGO lors du lancement du MODOI Mouvement pour le développement de l’Ogooué Ivindo le 23 septembre 2006 au centre social d’Akébé plaine Libreville au Gabon.

Sœurs et frères Ogivins.Doyennes et doyens de la provinceMembres du MODOI Mouvement pour le développement de l’Ogooué Ivindo. Mesdames, Messieurs de la presse, chers invités…

Nous vous remercions d’avoir répondu massivement à notre appel.Sœurs et frères Ogivins. Le choix que vous avez porté sur ma personne, Pour diriger le MODOI m’honore fortement. Je pense avoir prit la mesure et bien compris le sens réel de ma mission.

Quand je vous regarde ce matin, je vous sens fatigué des discours, ce qui vous intéresse c’est le travail. Quand je vous regarde Je sens en vous une envie de ne plus être marginalisé dans ce beau pays qu’est le nôtre.

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Oui ! Je sens en vous un désir de sortir de la pauvreté et la misère qui a maintenu notre province, dans l’humiliation des villes et des villages aux édifices obsolètes et de 90% de ses ressortissants contraint dans le chômage et la pauvreté.Vous, vous êtes encore levé ce matin sans savoir à qui vous adressé pour obtenir un travail,  sans la moindre idées de ce que vous allez faire pour nourrir vos ventres affamer, ceux de vos enfants et ceux de vos familles, la question que vous vous posez depuis quelques jours dans vos maisons est pourtant celle de savoir où trouver de l’argent cette année pour inscrire vos enfants à l’école. Qu’une maladie frappe dans la famille vous n’avez que les yeux pour pleurer les pharmacies vous sont fermés pour faute des moyens, pour y accéder aux médicaments.

Aujourd’hui ! En quittant ce lieu quand vous rentrez chez-vous l’image que vous trouverez ne sera que pauvreté, tristesse et désolation.Vous, vous coucherez cette nuit dans cette condition, toute votre nuit sera agité par des cauchemars et des insomnies d’une vie de tourment et de d’humiliation. Au levé demain matin vos problèmes seront encore entiers, la journée de demain sera pire que la journée d’aujourd’hui, la nuit d’aujourd’hui ne sera pas différente de celle d’hier. Un cercle vicieux.

Alors que nous nous levons et dormons chaque jour sur une richesse immense, un don de Dieu et laissé par nos ancêtres le gisement de fer de Belinga l’un des plus grand au monde, avec sa mise en exploitation, la Chine va réaliser son rêve : construire le plus long chemin de fer du monde.Et vous qu’allez-vous obtenir, dans l’exploitation de ce gisement ? Qu’elle rêve réaliserez-vous  avec les dividendes de la dite exploitation ? Je sais que vous vous posez tous les jours ses questions, mais avez-vous  trouvé des réponses ?

Des vies entières ont longtemps sombrées et nombreuses ont été sacrifiées sur l’autel des inégalités sociales, des injustices et des frustrations.Mais aujourd’hui.

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Nous sollicitons l’ouverture d’un dialogue direct, avec le Père de la Nation, le chef de l’Etat ; Nous avons observé l’homme et sa politique depuis des années, il nous a convaincus qu’il est le seul capable dans notre pays qui met en pratique la devise Dialogue Tolérance Paix, et il demeure. Que, c’est encore lui, qui trouve des solutions durables et concertées à chaque situation qui survient dans notre pays et au-delà. Et nous dirons au Président de la République.

Que l’exploitation du fer de Belinga n’est pas remise en cause, elle pousse plutôt à des interrogations. Nous dirons au Chef de l’État que, le sang qui coule dans nos veines est fait de fer de Belinga laissé par nos aïeux (Mékambo ville fer, ville des forgerons), dans lequel nous avons placé nos espoirs de développement et d’emplois depuis des générations.

Il nous paraît plus  qu’incompréhensible et injuste, q’une usine de transformation locale de fer n’est pas été une nécessité ?Oui, nous

dirons au Père de la nation Que, nous sommes vos enfants, mais, pour la réalisation de ce merveilleux projet que nous a laissé le Père de l’Indépendance le Président Léon MBA. Nous comptons sur votre équité : Chacun à sa place et une place pour chacun, pour ce faire nous nous mettrons à vos côtés pour la réalisation, car l’amour de la patrie est notre force.

Sœurs et frères Ogivins.Doyennes et doyens de la provinceMesdames, Messieurs de la presse, chers invités…Nous, filles et fils de l’Ogooué Ivindo Membres du MODOI

Nous avons un rêve ; C’est celui de voir enfin notre province apporter un souffle nouveau au développement de notre pays, mais pas, dans le développement confus qui a suivi les indépendances. Nous disons aussi que rien de significatif n’arrive sans rêve. Pour qu’une chose vraiment grande se produise, il faut un rêve immense.

Mais rêver seul ne suffit pas : De toute notre force nous devons nous battre pour réaliser notre rêve. Alors nous avons un plan. C’est celui de voir des partenaires de divers horizons de ce monde participer au

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développement de la province, Nous dévoilerons le moment venu le plan de développement de la province de l’Ogooué Ivindo. En l’absence de toute lisibilité du plan du gouvernement pour cette province.

Les experts originaires de Makokou, Mékambo, Ovan et Booué, issus de tous les bords politiques, de la société civile, ainsi que des confessions religieuses, ont planché sur les problèmes spécifiques de chaque localité. Ce plan a été conçu pour être exécuté avant, pendant et après l’exploitation du gisement de fer de Belinga. Ce plan va générer plus de quatre cent cinquante mille emploies, autour de l’exploitation de Belinga sur trente années durant.   Certaines régions de ce monde ont été construite par de tel rêve. Irradier la pauvreté et la misère permettre au Gabonais de trouver du travail, d’avoir une maison, de manger leurs trois repas par jour, de se soigner, d’envoyer leurs enfants à l’école, et enfin faire venir des touristes en grand nombre dans la province pour tout simplement pérenniser la position du Gabon pays de paix et d’une économie forte dans le concert des Nations. C’est le but de notre concertation. Avant de remercier le Chef de l’État.

Sœurs et frères Ogivins.Doyennes et doyens de la provinceIl est important que nous ne puissions relever le défi que pose le développement de l’Ogooué Ivindo en restant calé dans nos visées égoïstes, ou en entrant en compétition les uns les autres.

Aussi ! Il est évident je le dis avec force, que chacun de nous prenne ses responsabilités face à l’histoire, prenons part aux débats sur le développement de notre province, par des propositions constructives, et concrètes, mettons tout en œuvre dans la paix afin de réaliser notre rêve.

Nous aspirons à nous affirmer comme des hommes d’exceptions dans notre province prospère, c’est pourtant une bonne chose.Mais, si nous voulons êtres des hommes d’exceptions. Que pourrions-nous faire sans les autres ?  Les gens ne courront vers l’avenir qu’après avoir touché du doigt le passé.

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Comment irions-nous loin sans tenir compte des réussites des  aînés de notre province ; Ceux-là qui nous ont frayé la route ; Et des échecs de ces derniers qui nous ont enseignés. C’est grâce à leur sacrifice à tous que nous allons parvenir au sommet de la réalisation du développement de l’Ogooué Ivindo, pour notre Beau pays le Gabon.

Sœurs et frères Ogivins.Doyennes et doyens de la provinceMembres du MODOI.Mesdames, Messieurs de la presse, chers invités…Je

vous dis merci pour votre attention soutenue,Vive l’Ogooué Ivindo et que Dieu bénisse le GABONLe samedi 10 mai 2008

Jimmy Mapango prend date

Le Président du MODOI donne sa lecture de l'exploitation du gisement de fer de Belinga.

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Jimmy Mapango- Révolté et écoeuré par la désinvolture avec laquelle le gouvernement Gabonais avait négocié et signé le contrat de l’exploitation du gisement de fer de Belinga avec le consortium Chinois de Cmec, (l'un des derniers plus grands gisement de fer au monde) Jimmy Mapango et quelques Cadres de la province de l’Ogooué Ivindo ; (Nicole MOUAPA, Gevin NGUEME LONG, Patrick ZEMBOT, Darel NNO EDOU) ils lancent l’année 2006 à Libreville, le MODOI mouvement pour le développement de l’Ogooué Ivindo. Avec pour cheval de batail « la bonne gouvernance et le développement » dénoncer la convention en brisant le tabou qu’imposait le débat sur la question de Belinga.  Voici l’interview qu’il accorde au journal Echos du

nord. Le 15 novembre 2007 à Libreville au Gabon.

Echos du nord : Pouvez-vous nous présenter votre ONG ?Jimmy Mapango : le MODOI est né à la suite du constat après lecture de la convention humiliante et inique, qui avait été signé entre notre gouvernement et le consortium Chinois Cmec, pour l’exploitation du gisement de fer de Belinga. Le MODOI est aussi né pour être une force de proposition afin d’aider notre pays à sortir de la mal gouvernance qui n’a que trop duré. C’est parce que nous avons encore en mémoire les sagas du Pétrole de l’uranium, du bois et du manganèse dans les provinces sœurs du Haut Ogooué et de l’Ogooué Maritime qui ont tout simplement servi à enrichir une caste des personnes sans véritablement réaliser le développement de notre pays. Entant que originaire de la province marginalisée de l’Ogooué Ivindo nous avons pensé nécessaire et fort de l’opportunité qui nous était offerte par le débat sur la question de nous constituer en ONG.

E.N : Quels objectifs visez-vous concrètement et quelle est votre assise ?J.M : Nous demandons la juste redistribution des revenus de l’exploitation. Et le développement conséquent de la province de l’Ogooué Ivindo longtemps laissé pour compte, mais surtout un développement de pointe pour le Gabon qui tienne compte du temps et du contexte qui est le nôtre. Quant à notre assise nous sommes à ce jour membre des coalitions PUBLIEZ CE QUE VOUS PAYEZ,

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Coalition contre la vie chère, Coalition contre les dérives sectaires et religieuses, et la plate forme environnement Gabon.

E.N : Quelle est votre position sur l’exploitation du gisement de fer de

Belinga ?J.M : Pour nous l’annonce, enfin de l’exploitation de Belinga était plus que salutaire, vu que dans la province nous attendions la réalisation de ce projet depuis le Père de l’indépendance, le Président Léon MBA, cependant l’empressement inspiré d’un zèle improbable de notre gouvernement et à la lecture des événements, nous avait conduit à comprendre toutes les demi vérités que distillait le gouvernement. C’est alors que nous découvrions ; que les décisions concernent l’exploitation du gisement de fer de Belinga était incomplètes, car elles semblaient n’avoir pas pris en compte les aspirations profondes de nos populations. Notre conclusion fut de ne pas remettre en cause l’exploitation, mais de relever plutôt les interrogations et de les poser sur la place publique en brisant le tabou du débat sur la question de Belinga.Je cite pèle mêle la question

de la marginalisation et du développement de l’Ogooué Ivindo, celle de la géopolitique (la sous représentation des Ogivins au gouvernement. La question des 30 000 emplois annoncés, le problème que posait la protection de l’environnement, la question d’une usine de transformation de fer, pour rompre net avec l’économie de rente et la commercialisation des matières premières sans valeur ajouté et plus value, le manque d’information en direction des populations Ogivines et Gabonaises dans leurs ensemble. Le remboursement de l’emprunt de 1600 milliard  de dollars et la question de l’annuité, la duré de remboursement, le plan social des futurs employés de la Comibel à la fin de l’exploitation, enfin la question cruciale de l’absence de manque de toute lisibilité de la par du gouvernement d’un plan de développement qui doit être financé par les revenus de Belinga.

E.N : des voix s’élèvent désormais pour demander et voir même la révision de convention signée avec le consortium Chinois. Que dit réellement cette convention ?J.M : Cette convention consacre majestueusement plus de 85 % des de la Comibel aux Chinois, et honteusement 15% aux signataires Gabonais, elle est signé et non daté, sans qu’une étude impacte environnementale est été réalisé au préalable. Elle exonère la

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Comibel d’impôts, elle rend le Gabon responsable de toute calamité qui surviendrait pendant l’exploitation. Elle donne libre cour aux Chinois de piller d’autres richesses que le fer, au cas où il ne trouve pas les quantités projetées. Cette convention qui nous obtient 1600 milliards de  francs, nous ne savons pas exactement pourquoi ! Admettons que le Gabon gagne en infrastructures quelle est la garantie après le chantier de l’utilisation et l’entretien, lorsque l’on sait qu’il n’y a aucun plan de développement.Telle quelle est écrite cette convention notre avenir, celui des générations futur et celui du pays est dangereusement mis en demeure de manière cynique et effrayant. Non ! Pour nous, cette convention est sénile et moribonde.

E.N : Après le pétrole, le manganèse et l’uranium les observateurs estimes que notre pays n’a point atteint le niveau de développement digne d’un pays qui regorge d’autant des richesses. Quelles sont les assurances que cette fois c’est la bonne ?J.M : Le combat qui est le notre est que ; cette fois soit la bonne, nous devons tous œuvrer pour que désormais la transparence soit le leitmotiv de notre gestion, le combat pour le développement durable est un cause juste qui doit nous rassembler malgré nos différences . Nous ONG nous demandons à nos gouvernants de gérer nos ressources dans l’intérêt exclusif  des générations présentes et futures. En un mots, nous réaffirmons l’exigence et d’équité.Nous, nous efforcerons autant que possible d’alerter les autorités Gabonaises et l’opinion publique nationale et internationale afin qu’aujourd’hui ne soit plus comme hier. E.N : Avez-vous des propositions concrètes à faire au gouvernement ?J.M : Primo, que le Président de la République nomme une commission qui travaillera et lui rendra directement compte des conclusions des études de faisabilités et d’impactes environnementales, ainsi que le lancement éventuel des travaux. Ladite commission sera constituée des techniciens, des économistes, des scientifiques, des sociologues et de la société civile. Elle va cerner réellement les contours de ce vaste projet, dit « chantier du siècle »  Cette commission devra tenir compte des intérêts du Gabon et des Gabonais à cours, à moyen et à long terme.

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Deuxio, que le Président de la république dénonce cette convention devenue caduc, pour laver l’humiliation faite à l’élite politique, administrative et intellectuelle de notre pays 47 ans après son indépendance. Cet accord inique qui jette le trouble et le discorde parmi les paisibles citoyens. Bien heureusement le Président de la République n’a pas ratifié ladite convention.Tercio, Nous proposons qu’à la suite de ce qui précède, les filles et les fils de chaque département, chaque ville, chaque province de notre pays écrive un plan de développement qui devra être financé par les revenus de l’exploitation de Belinga.Quatro, nous proposons que les revenus financiers de Belinga soient inscrits dans la loi des finances après ratification des futurs accords. Comme il est aussi. Plus  qu’important de créer un fond en dépôt pour les génération futures.Et si toutes ses propositions sont insuffisantes il ne restera au gouvernement qu’à ouvrir un compte bancaire à chaque Gabonais, ou sera reversée sa part des revenus de Belinga.  E.N : Votre mot de fin.J.M : Nos parents ont laissé à nos Pères un pays vierge sur le plan du développement, mais immensément richesse de ses ressources humaines, de son soul sol et de sa diversité culturelle, le devoir de nos père est de nous léger un héritage dont nous n’aurions pas à souffrir de sa gestion, pour que nous passions la main sans peine à la génération qui va suivre.Et je vous donne la liberté de vous avertir que Dieu qui donne des richesse ne permettra pas cette exploitation si nous ne nous accordons pas, le fer n’est ni le pétrole, ni l’uranium, ni le manganèse, encore moins le bois, le fer compte beaucoup pour le Dieu vivant.Il est tout simplement question que le fer de Belinga ne soit bradé et que les revenu de l’exploitation puissent bénéficier à chaque Gabonaise et à chaque Gabonais. Ce n’est pas égoïste.

Jeudi 15 mai 2008

GISEMENT DE FER DE BELINGA

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Le glas de la fin du bradage de nos richesses commence ici

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Désormais, qu’au Gabon, les richesses ne soient plus négociées avec une légèreté qui

frise le mépris de ce pays et de ses populations. Pour cause cette inique convention qui

bradait la mine de fer de Belinga et humiliait notre intelligentsia, elle consacrait 85%

des part aux Chinois et 15% au Gabon. C’est une victoire de l’ensemble des ONG

nationales et internationales, qu’il faut saluer ici. Quelques leaders de la société civile

Gabonaise

Chronologie d’une victoire annoncée :

- 23 septembre 2006 : Naissance du MODOI bonne gouvernance et développement, le mouvement pour le développement de l’Ogooué Ivindo. Il Jette un pavé dans la marre des eaux troubles de notre gouvernement, en brisant le tabou qu’imposait le débat sur la question de cet immense gisement de fer. Découvert par un Français du nom de BARRAT vers 1895, dans la région de Makokou. Après différentes conférences de presse qui dénonçaient la dite convention signée entre les Chinois de Cmec et le gouvernement Gabonais. La marginalisation de la province. Après des sensibilisations dans la province de l’Ogooué Ivindo, dans divers quartiers de Libreville. Jimmy Mapango Président n’avait cessé de marteler lors de ses sorties "que les décisions concernent l’exploitation du gisement de fer de Belinga était incomplètes, car elles semblaient n’avoir pas pris en compte les aspiration profondes de nos populations »  il disait encore que « tel que les choses se présentaient l’exploitation n’était pas remise en cause, mais poussaient plutôt à des interrogations » décisions concernent l’exploitation du gisement de fer de Belinga était incomplètes, car elles semblaient n’avoir pas pris en compte les aspirations profondes de nos populations

- 14 septembre 2007 le Président de la République, convoque les ONG nationales et internationales, les corps diplomatique, et toute la classe politique Gabonaise à la cité de la démocratie. Que Belinga se fera comme le chemin de fer Owendo Franceville même s’il faut pactiser avec le Diable. Et qu’il étai le premier écologiste. Le Chef de l’Etat donnait à l’occasion, la garantie de la préservation de l’environnement.    - 7 jours après le Président de la République reçoit au Palais rénovation le ONG environnementales au Palais rénovation. La délégation conduit par le porte parole de la Coalition Publiez ce que vous payez Marc ONA ESSANGUI obtiennent la promesse de deux représentant des la société civile dans les futures négociations.

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- 5 octobre 2008 : le MODOI ratifie la charte de la coalition Publiez ce que vous payez, Contre la vie chère au Gabon et la plate forme environnement.

- 15 octobre 2008 : les ONG nationales dévoilent la convention Cmec chinois et le gouvernement Gabonais.

- 19 octobre 2008 : Le MODOI anime une conférence de presse pour donner sa lecture de l’exploitation du gisement de fer de Belinga voir (Jimmy Mapango prend date) interview donné à la suite de cette sortie.

- 5 jours plu tard : en conseil des ministre le Délégation gouvernementale pour le suivi de Belinga est nommé avec en son sein un représentant des ONG (Société civile). Le communiqué final du conseil des ministres annonces la suspension de la convention décriée avec les Chinois et reconduit une nouvelle négociation pour une nouvelle

- 7 décembre 2007 : Met en place la Comibel (Compagnie minière de Belinga)Après avoir annoncer une première fois que le Gabon détient désormais 25% des parts de la Comibel au lieu de 15% comme précédemment les négociations se poursuivent toujours. Jusqu’à ce jour aiguisant en même tempsnotre vigilance. Car il se saura être question d’un quelconque manquement des intérêts du pays.

Lundi 19 mai 2008

A PROPOS DE L'AFFAIRE BELINGA (A suivre)

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LES CHINOIS DISQUALIFIES, LE GOUVERNEMENT DISQUALIFIE...

Deux siècles sont passés.Des années sont passées, depuis qu’un Français du nom de BARRAT découvre vers

Page 15: Gisement de fer de Belinga au Gabon – Notre engagement

1895 dans la région de Makokou, que les habitants fabriques des instruments et des

armes forgées à base de fer.

Deux siècles plutard. Après qu’en 1959, la société minière de Mékambo (SOMIFER)

fut crée, par la France, l’Italie, l’Allemagne, la Belgique, les Etats-Unis et les pays bas,

constituer en un consortium en vue de la mise en exploitation de Belinga.

Deux siècles plutard Après qu’en 1967 le Père de notre Indépendance, le Président

Léon MBA est laissé le dossier Belinga à son successeur le Père de la Nation de

Président Omar Bongo.

Deux siècles plutard Après qu’en l’an 2006, la China National & Equipment

Corporation, la banque Import Export de China et notre gouvernement est signés une

convention pour l’exploitation de Belinga. Dénoncée en sont temps par le MODOI.

Décriée ensuite  avec force et énergie par les ONG et la majorité des Gabonais, à cause

de son contenu inique et humiliant pour notre pays et son intelligentsia.

Deux siècles plutard. En cette année 2008. Nous voilà toujours à la case départ, rien

n’est toujours décidé, rien n’est encore joué, rien n’est toujours clarifié pour Belinga.

Toutes ses indécisions nous contraignent à rester dans la prison de la longue nuit du

sous développement, dans laquelle nous sommes plongé, depuis la nuit des temps.

Alors que certaines nations de ce monde en sont sortie et réalisent aujourd’hui les

rêves les plus fous de notre humanité.

Tel l’invention de l’avion, de l’informatique, de l’Internet, la conquête de l’espace en

elle-même restera pour toujours une aventure courageuse, audacieuse, époustouflante

et majestueuse. Ces nations envoient désormais des Hommes comme des touristes

dans l’espace, c’est extraordinaire.

Pendant ce temps, les cyniques de notre pays ont décidé de perpétuer le pillage de nos

richesses. Ils veulent sournoisement coût que coût y parvenir, si nous ne nous

réveillons pas pour arrêter leur course meurtrière. Ils ont décidé de nous maintenir

dans le caveau, au mépris du droit à la vie, des intérêts de nos populations, des lois et

des règlements de la république.

Ayant pour seul but de réaliser leur funeste dessein « la cupidité et l’arrogance ». Dite

leurs. Oui ! Prouvons-les  que le Gabon auquel aspire notre génération, a banni de son

objectif, toute idée de médiocrité et de corruption. Un tel aveuglement acharné à

Page 16: Gisement de fer de Belinga au Gabon – Notre engagement

vouloir détruire coût que coût son propre pays et ses habitants nous paraissent

effrayants et bizarres.

Si la négociation actuelle. Donne aux Chinois les 7000 km2 autour de Belinga et les

100 km de par et d’autre le long de la voie ferré. Cela voudrait dire que tout l’or, le

bois, le diamant et autre richesse qui s’y trouve appartiendraient désormais aux

Chinois. Oui, cela voudrais dire, que même nos villages, nos plantations, nos

cimetières et tous les souvenirs des lieux ou ont vécu nos ancêtres et où aurait pu vivre

nos descendants seront ravagé, effacé de la carte de l’Ogooué Ivindo du Gabon et du

monde.

Alors dites-nous aussi, à combien a été vendu chaque Gabonais aux Chinois ? Mais,

l’heure est proche, l’heure ou les Chinois s’apercevront distinctement. Que hier avec la

première convention signée. Ils ont été rouler dans le fer et aujourd’hui les voilà noyer

au fond des chutes de kongou par ses fonctionnaires véreux. Les chutes de Kongou qui

se trouvent en plein centre du parc de l’Ivindo que le gouvernement à donné un chèque

en blanc aux Chinois pour le dévaster sans études impactes au préalable. Nous

sommes tenté de dire. Que ces fonctionnaires  n’ont pas trahit le Gabon, mais ils ont

plutôt réussi à rouler les chinois.

 

Mercredi 28 mai 2008

BELINGA SE FERA

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Il se fera sur le socle "Gabon d'abord"...

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  Nous avons appris le samedi 25 mai 2008 qu’un énième contrat a été signé entre les Chinois de Cmec et le gouvernement Gabonais, en vue de l’exploitation de Belinga. Mais nous savons aussi que les négociations qui aurai pu se dérouler en présence des désignés, c'est-à-dire la (délégation gouvernementale pour le suivie de Belinga, à l’intérieur de laquelle se trouve le représentant de ONG. Et de la Comibel, Compagnie minière de Belinga) ont tout simplement été conduit par le ministère des mines et quelques fonctionnaires qui se sont rendu en Chine. Nous avons déjà dit à propos de cette exploitation « cette exploitation ne se fera pas à moins que les intérêts de nos populations soit prit en compte car le fer n’est ni le manganèse, l’uranium, la pétrole et le bois »Nous au MODOI nous avons déjà disqualifié et les chinois et le gouvernement. Pour cause de désinvolture dans la conduite des négociations. Nous restons sceptique et attendons de voir le nouveau contrat avant de nous prononcer.

Mardi 1 juillet 2008

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BELINGA DERNIERE NOUVELLE

http://afriqueaujourdhui.over-blog.org/article-20906289.html

COMMUNIQUE DE PRESSE DU MODOI 

 

Une nouvelle convention pour Belinga,Une nouvelle ENTOURLOUPE d’une longue saga.  Deux siècles sont passé Des années sont passées, depuis qu’un Français du nom de BARRAT découvre vers 1895 dans la région de Makokou, que les habitants fabriquent des instruments et des armes forgés à base de fer.

En 1959, la société minière de Mékambo (SOMIFER) fut crée, par la France, l’Italie, l’Allemagne, la Belgique, les Etats-Unis et les pays bas, constitués en un consortium en vue de la mise en exploitation de Belinga.

Après qu’en 1967 le Père de notre Indépendance le Président Léon MBA ait laissé le dossier Belinga à son successeur le Président Omar Bongo Ondimba.

En cette année 2008, nous voilà toujours à la case départ, rien n’est toujours décidé, rien n’est encore joué, rien n’est toujours clarifié pour Belinga ! 

Une énième convention signée à ce jour dans la confusion totale, laisse présager une entourloupe. Cela suscite une fois de plus notre étonnement, et nous fait constater l’aveuglement acharné de nos gouvernants à vouloir coûte que coûte détruire ce pays, maintenir

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les populations dans l’extrême pauvreté et les assujettir à jamais. Ce constat nous parait effrayant et bizarre pour des patriotes qui se vantent d’aimer la patrie.

Tous ses abus savamment pensés nous contraignent à rester dans la prison de la longue nuit obscure des ténèbres du sous développement, avec ses médiocrités, ses corruptions, dans laquelle nous sommes plongés depuis la nuit des temps.

Si la nouvelle convention de l’exploitation du gisement de fer de Belinga ne trouve pas en matière de développement l’intérêt des populations de l’Ogooué Ivindo et des Gabonais dans leur ensemble, le MODOI s’engage à empêcher l’accès au site de Belinga à tous.

Et si d’aventure un passage en force est tenté, et bien ; en ce moment là, tous ceux qui oseront, vont tout simplement disparaître les uns après les autres dans la forêt brumeuse de Belinga, ou les ombres sont visibles de jour comme de nuit. 

Nous affirmons avec force qu’à l’état actuel, les négociateurs Gabonais et Chinois sont désormais disqualifiés à rêver sur l’exploitation de Belinga. Belinga ne sera jamais bradé… JAMAIS, JAMAIS. Nous tenons ces affirmations pour des vérités immuables. Fait à Libreville le 3 juin 2008Président  Th. Jimmy Mapango

Mardi 9 décembre 2008

CMEC : BELINGA, L’EXPLOITATION PEU ATTENDRE

LES HESITATIONS DU CONSORTIUM CHINOIS....

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http://afriqueaujourdhui.over-blog.org/article-25617693.html

Le ras le bol des populations lors des journées contre la vie chère à Libreville place de la paix...

C’est pour diverse raison que l’exploitation du gisement de fer de Belinga prend du

retard. La crise financière, la crise économique vient à point nommé donner la bonne

excuse. Ajoutons les cours du fer sur les marchés qui ne sont pas de nature à

motiver des investissements d’une telle importance.

 

Il y a aussi tous les pots de vin distribué aux uns et aux autres et dont qu’ils ne

cessent d’en réclamer toujours. Le tout dans un cocktail confus de fin de règne qui

ne dit pas son nom. Il faut rappeler que la première convention de 2006 qui donnait

85 % aux Chinois de Cmec et 15 % pour le Gabon qui avait été dénoncé par le

Modoi puis par l’ensemble des ONG et révisé en 2008 donnant 75 % aux Chinois et

25 % pour le Gabon cette nouvelle convention pour l’instant joue les cachoteries.

 

Même si pour certain cet accord semble faire un début d’unanimité, il n’en demeure

pas moins que Th. Jimmy Mapango Président du Modoi avait au nom de son ONG

menacé d’interdire l’accès au site de Belinga si les intérêts des populations et des

Gabonais n’était pas prit en compte dans cette nouvelle convention. C’est là ; la

motivation de notre ONG depuis l’initiative de la dénonciation de la première

convention. « Il n’y aura pas exploitation si le Gabon n’en sort pas de cette

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convention avec plus de 50 % de part dans la Comibel (compagnie minière de

Belinga) c’est comme ça nous ne bougerons plus, c’est le busines » signé Jimmy

Mapango

 

Pour ce qui est du plan de développement que le Modoi avait écrit dès 2006

« Belinga développement » il martela « Il n’y aura pas d’exploitation du gisement de

Belinga si notre plan de développement n’est pas aussi prit en compte et réalisé par

des personne intègrent qui ont fait leur preuves dans le refus de la corruption » en ce

moment Jimmy Mapango est en tournée en Europe, en Amérique et en Asie pour

intéresser les potentiels investisseurs avec succès, dans ce projet de développement

qui peut générer plus de 400 milles emplois. Présenté comme un véritable plan

d’aménagement du territoire qui transformera les provinces de l’Ogooué Ivindo et

l’Estuaire voir le reste du Gabon. « Avec ce projet il est évident que nous pouvons

contribuer à freiner l’immigration vers l’Europe,  parce que le Gabon seul et même la

cemac ne pourront fournir autant de main d’œuvre »

 

Il pense qu’après l’échec de la gestion des revenus du pétrole, du manganèse,

d’uranium et du bois, l’exploitation du gisement de fer de Belinga est une opportunité

pour le Gabon de relever le défi de la pauvreté, et de la misère, avec 75 % des

pauvres dans ce pays de seulement 1 200 000 habitants, avec un PIB de 8500 $

l’espérance de vie étant de 52 ans et la mortalité infantile de 67% et une 

alphabétisation à 46%.

 

Un pays qui donne ce jour l’image d’un échec cuisant d’un pseudo-développement

de façade. Gouverné par une classe politique des repus séniles et en manque

d’imagination et d’audace. Gaillardie par l’impunité et le gaspillage.