L’HEURE DE SA VENGEANCE A SONNE■ Elle veut faire payer ceux qui ont sali DSK ■ Politiques, journalistes, ex-amis : sa terrible liste noire ■ Pourquoi elle ira jusqu’au bout

La bio choc sur son incroyable fi délitéEXCLUSIF

LE NOUVEAU COMBAT DE

JUSTICE

BÉBEL POUR SA FILLE

44 pages spécial été Du rêve : les plus belles plages de France vues du ciel Du sang : la saga des cartels de la drogue Des jeux : gagnez un pick-up Volkswagen à 41500 €Du sexe : les histoires d’amour de l’histoire de FranceDu suspense : XIII, l’épisode inédit

VSD.FR 2,50€ N° 1768 - DU 13 AU 20 JUILLET 2011

AnneSinclair

Marseille, la plage du Prado

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: 2,9

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COUV-VSD1768S001.indd 1 9/07/11 15:09:28

AFFAIRE

DSK

UNE NOUVELLE FOIS HUMILIÉE, ANNE SINCLAIR A DÉCIDÉ DE FAIRE FACE. ELLE RÈGLE DÉJÀ SES

COMPTES AVEC CEUX QUI ONT LÂCHÉ LE COUPLE DANS LA TEMPÊTE MÉDIATIQUE.

P A R C H R I S T O P H E G A U T I E R

L’HEURE DE LA VENGEANCE

Droit devant ! L’ex-présentatrice de « 7 sur 7 » a repris les rênes de son couple.

C’est elle désormais qui marche devant. Convaincue que son époux n’a pas

abusé de la femme de chambre, elle prépare la contre-offensive.

GUERIN-JMP-M

OUSSE/A

BACA

ANNE SINCLAIR

Époque Enquête

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AFFAIRE

DSK

UNE NOUVELLE FOIS HUMILIÉE, ANNE SINCLAIR A DÉCIDÉ DE FAIRE FACE. ELLE RÈGLE DÉJÀ SES

COMPTES AVEC CEUX QUI ONT LÂCHÉ LE COUPLE DANS LA TEMPÊTE MÉDIATIQUE.

P A R C H R I S T O P H E G A U T I E R

L’HEURE DE LA VENGEANCE

Droit devant ! L’ex-présentatrice de « 7 sur 7 » a repris les rênes de son couple.

C’est elle désormais qui marche devant. Convaincue que son époux n’a pas

abusé de la femme de chambre, elle prépare la contre-offensive.

GUERIN-JMP-M

OUSSE/A

BACA

ANNE SINCLAIR

Époque Enquête

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Primaires De déplacement en déplacement, Martine Aubry décline

son programme pour une France juste et rassemblée. Elle est en campagne

présidentielle, dit-elle. Mais, chaque jour, elle doit aussi gérer les nouvelles

venues d’outre-Atlantique.

Époque Reportage

NOUS AVONS SUIVI MARTINE AUBRY À VALENCE. ENTRE DEUX QUESTIONS SUR

L’AFFAIRE DSK, ELLE A TORDU LE COU AUX RAGOTS QUI LA VISENT.

NON SANS HUMOUR.P A R C H R I S T E L L E B E R T R A N D . P H O T O S : J E A N P I C A R D / V S D

EN CAMPAGNECONTRE

LES RUMEURS

Martine Aubry

VSD1768D028.indd 28-29 9/07/11 12:09:01

Primaires De déplacement en déplacement, Martine Aubry décline

son programme pour une France juste et rassemblée. Elle est en campagne

présidentielle, dit-elle. Mais, chaque jour, elle doit aussi gérer les nouvelles

venues d’outre-Atlantique.

Époque Reportage

NOUS AVONS SUIVI MARTINE AUBRY À VALENCE. ENTRE DEUX QUESTIONS SUR

L’AFFAIRE DSK, ELLE A TORDU LE COU AUX RAGOTS QUI LA VISENT.

NON SANS HUMOUR.P A R C H R I S T E L L E B E R T R A N D . P H O T O S : J E A N P I C A R D / V S D

EN CAMPAGNECONTRE

LES RUMEURS

Martine Aubry

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Pendant le grand prix, j’aurais dû louer les chambres ! » Sylvie Cian-telli garde son sens de l’humour. Pourtant, alors que le monde (pres-que) entier se réjouit du mariage du prince Albert II, son humeur n’est pas à la fête. Depuis près de deux ans, Sylvie et son mari Steve vivent avec leurs trois filles dans un im-meuble entièrement vide de La

Condamine, près du port de Monaco. Dans ce « vil-lage » aux habitations ocre à taille humaine, la plupart des locataires ont été expulsés. Le propriétaire a été le dernier à vendre leur logement à un promoteur bien connu de la principauté : la société Pastor (lire encadré). Mi-janvier, ils ont reçu une lettre les infor-mant que leur bail ne serait pas renouvelé. L’immeu-ble va être détruit pour laisser place à un « domaine », des « HLM » de luxe réservés aux Monégasques. Eux n’y vivront jamais. Car la famille Ciantelli a beau ré-sider à Monaco depuis 1856, ils n’en ont pas la na-tionalité. Ils sont Enfants du pays. Cette communau-té, sans défi nition légale, englobe tous les étrangers nés à Monaco ou qui y vivent depuis plus de qua-rante ans. Les Français en constituent la majeure par-tie, suivis des Italiens. Leur seul avantage ? Avoir ac-cès à des loyers réduits dans des immeubles anciens. Les Ciantelli paient 900 euros pour 60 mètres carrés. Sans cela, impossible de (sur)vivre dans un État où le mètre carré se paie 46 000 euros en moyenne. « Mo-naco, ce n’est pas que les paillettes ! s’insurge Sylvie. Quand nous partons en mobile home immatriculé ici, les vacanciers nous prennent pour des extrater-restres. Qu’est-ce que des personnes qui vivent sur le Rocher viendraient faire dans un camping ? Mais il y a des gens ordinaires, à Monaco ! » Sylvie est mère au foyer, son mari électricien. Une classe moyenne garante de la mixité sociale au pays des milliardaires, mais qui est peu à peu contrainte à l’exode.

Selon la loi 1235, la seule qui protège les Enfants du pays, le nouveau propriétaire a l’obligation de reloger

les Ciantelli aux mêmes conditions. À ce jour, ils n’ont reçu aucune pro-position et devront par-tir le 31 août. « Nous at-tendons sans savoir de quoi l’avenir sera fait, en subissant des pressions pour nous pousser à partir », raconte Sylvie en feuilletant l’énorme dossier orange qui re-trace leur cas. La cage d’escalier tombe en rui-ne, les autres apparte-ments ont été forcés. Sans chauffage, la moi-sissure envahit les pla-cards. Une grue a été installée à 3 mètres de

leur porte. « Nous venons de découvrir que le permis de destruction n’avait pas encore été accepté, conclut Sylvie. Nous sommes expulsés en toute illégalité. » Ils ne sont pas les seuls à subir les intimidations. Discrè-tement, on pousse dehors ceux qui n’ont pas les moyens de vivre ni d’apporter des capitaux sur le Ro-cher. Ouvriers, artisans, professeurs, commerçants : ils ont construit la ville et fait tourner son économie. Désormais, elle n’a plus besoin d’eux. « Ils ont com-mencé à détruire l’immeuble de ma mère à coups de

INSTALLÉS EN PRINCIPAUTÉ DEPUIS DES GÉNÉRATIONS, LES « ENFANTS DU PAYS » ONT FAIT VIVRE LE ROCHER. DÉSORMAIS INUTILE AUX PROMOTEURS, CETTE CLASSE MOYENNE EST PEU À PEU MISE À LA PORTE. P A R A N A S T A S I A S V O B O D A

CES FRANÇAISDONT MONACO NE VEUT PLUS

Époque Enquête

C. M

OIR

EN

C/H

EM

ISP

HÈ

RE

Pris en otages Sylvie Ciantelli et sa famille vivent dans un immeuble vidé depuis deux ans. Expulsés, ils attendent

leur relogement. En vain...

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Pendant le grand prix, j’aurais dû louer les chambres ! » Sylvie Cian-telli garde son sens de l’humour. Pourtant, alors que le monde (pres-que) entier se réjouit du mariage du prince Albert II, son humeur n’est pas à la fête. Depuis près de deux ans, Sylvie et son mari Steve vivent avec leurs trois filles dans un im-meuble entièrement vide de La

Condamine, près du port de Monaco. Dans ce « vil-lage » aux habitations ocre à taille humaine, la plupart des locataires ont été expulsés. Le propriétaire a été le dernier à vendre leur logement à un promoteur bien connu de la principauté : la société Pastor (lire encadré). Mi-janvier, ils ont reçu une lettre les infor-mant que leur bail ne serait pas renouvelé. L’immeu-ble va être détruit pour laisser place à un « domaine », des « HLM » de luxe réservés aux Monégasques. Eux n’y vivront jamais. Car la famille Ciantelli a beau ré-sider à Monaco depuis 1856, ils n’en ont pas la na-tionalité. Ils sont Enfants du pays. Cette communau-té, sans défi nition légale, englobe tous les étrangers nés à Monaco ou qui y vivent depuis plus de qua-rante ans. Les Français en constituent la majeure par-tie, suivis des Italiens. Leur seul avantage ? Avoir ac-cès à des loyers réduits dans des immeubles anciens. Les Ciantelli paient 900 euros pour 60 mètres carrés. Sans cela, impossible de (sur)vivre dans un État où le mètre carré se paie 46 000 euros en moyenne. « Mo-naco, ce n’est pas que les paillettes ! s’insurge Sylvie. Quand nous partons en mobile home immatriculé ici, les vacanciers nous prennent pour des extrater-restres. Qu’est-ce que des personnes qui vivent sur le Rocher viendraient faire dans un camping ? Mais il y a des gens ordinaires, à Monaco ! » Sylvie est mère au foyer, son mari électricien. Une classe moyenne garante de la mixité sociale au pays des milliardaires, mais qui est peu à peu contrainte à l’exode.

Selon la loi 1235, la seule qui protège les Enfants du pays, le nouveau propriétaire a l’obligation de reloger

les Ciantelli aux mêmes conditions. À ce jour, ils n’ont reçu aucune pro-position et devront par-tir le 31 août. « Nous at-tendons sans savoir de quoi l’avenir sera fait, en subissant des pressions pour nous pousser à partir », raconte Sylvie en feuilletant l’énorme dossier orange qui re-trace leur cas. La cage d’escalier tombe en rui-ne, les autres apparte-ments ont été forcés. Sans chauffage, la moi-sissure envahit les pla-cards. Une grue a été installée à 3 mètres de

leur porte. « Nous venons de découvrir que le permis de destruction n’avait pas encore été accepté, conclut Sylvie. Nous sommes expulsés en toute illégalité. » Ils ne sont pas les seuls à subir les intimidations. Discrè-tement, on pousse dehors ceux qui n’ont pas les moyens de vivre ni d’apporter des capitaux sur le Ro-cher. Ouvriers, artisans, professeurs, commerçants : ils ont construit la ville et fait tourner son économie. Désormais, elle n’a plus besoin d’eux. « Ils ont com-mencé à détruire l’immeuble de ma mère à coups de

INSTALLÉS EN PRINCIPAUTÉ DEPUIS DES GÉNÉRATIONS, LES « ENFANTS DU PAYS » ONT FAIT VIVRE LE ROCHER. DÉSORMAIS INUTILE AUX PROMOTEURS, CETTE CLASSE MOYENNE EST PEU À PEU MISE À LA PORTE. P A R A N A S T A S I A S V O B O D A

CES FRANÇAISDONT MONACO NE VEUT PLUS

Époque Enquête

C. M

OIR

EN

C/H

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HÈ

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Pris en otages Sylvie Ciantelli et sa famille vivent dans un immeuble vidé depuis deux ans. Expulsés, ils attendent

leur relogement. En vain...

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LES ORPHELINSDE JOHN GALLIANO

EN DÉPIT DES DISCOURS OFFICIELS, LA MAISON DE COUTURE NE S’EST PAS TOUT À FAIT REMISE DU DÉPART DE SON STYLISTE.

REPORTAGE DANS LES ATELIERS, JUSTE AVANT UN DÉFILÉ. P A R S Y L V I E L O T I R O N . P H O T O S : S O P H I E C A R R E P O U R V S D

Tout en images Mode

DIORULTIMES RETOUCHES À la veille du défi lé de haute-couture automne-hiver

2011-2012, la première d’atelier opère des ajustements totalement invisibles pour le commun des mortels mais qui n’échappent pas à l’œil affûté de Bill Gaytten, (au premier plan, à dr.), l’ancien assistant

de John Galliano, qui occupe provisoirement le poste de directeur du studio.

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LES ORPHELINSDE JOHN GALLIANO

EN DÉPIT DES DISCOURS OFFICIELS, LA MAISON DE COUTURE NE S’EST PAS TOUT À FAIT REMISE DU DÉPART DE SON STYLISTE.

REPORTAGE DANS LES ATELIERS, JUSTE AVANT UN DÉFILÉ. P A R S Y L V I E L O T I R O N . P H O T O S : S O P H I E C A R R E P O U R V S D

Tout en images Mode

DIORULTIMES RETOUCHES À la veille du défi lé de haute-couture automne-hiver

2011-2012, la première d’atelier opère des ajustements totalement invisibles pour le commun des mortels mais qui n’échappent pas à l’œil affûté de Bill Gaytten, (au premier plan, à dr.), l’ancien assistant

de John Galliano, qui occupe provisoirement le poste de directeur du studio.

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MarseilleDès que pointe le soleil, toute la ville semble

se donner rendez-vous sur ce spot 100 % sport et fun de la cité phocéenne.

U ne bande de sable précédée d’une chaussée submergée par les vagues dès que souffl ait un mistral à décorner les

cocus. Voilà à quoi ressemblait le Prado avant 1977. Depuis, 26 hectares d’espaces verts ga-gnés sur la mer, bordés par 10 hectares de pla-ges de sable et de graviers, ont été éri-gés à l’aide des remblais issus de la construction du métro marseillais. Au gré des pelouses émaillées de par-cours de remise en forme, d’aires de pique-nique et d’enceintes sportives, minots et bimbos se succèdent sans disconti-nuer. Tout Marseille s’ébaubit sur ce coin de plage, entre la Corniche et la Pointe-Rouge. Parler chantant, démarche chaloupée, lunette de soleil sur le nez, maillot de l’OM enroulé dans le short, ça crie, ça rit, ça frime et ça dra-gue sec. Jouissif spectacle pour l’étranger (celui

qui vit au-dessus de Valence) peu habitué aux pagnolades. Plus loin au Stade d’été (4 500 pla-ces), c’est le royaume des pros. Des frères Cantona et de leur beach soccer. Mais aussi des meilleurs beach-volleyeurs mondiaux qui s’y affrontent chaque année. De quoi donner le

vire-vire (tournis) au Bateau Ivre de Jean Amado. Une sculpture hommage à Arthur Rimbaud, qui vint par trois fois à Marseille avant d’y mourir à son retour d’Aden (Yémen). Posée sur une petite butte de terre, dissimulée derriè-

re une haie, cette étrange statue de 11,5 mètres de haut représente un bateau et une ville fortifi ée. En remontant en direction du Vieux- Port, s’arrêter au n°174 de la corniche Kennedy, au marégraphe. C’est ici qu’en 1897 a été établi le niveau zéro, référent de toutes les cartes marines et terrestres hexagonales. �

Le tour de France des plages (2/8)

La plage du PradoPAR LIONEL BRET. PHOTOS : STÉPHANE COMPOINT/BUREAU 233 POUR VSD

Dans le vent En plus de la vue imprenable sur les îles du Frioul, on

vient au Prado pour bronzer, draguer et aussi s’adonner au kite et

au windsurf. Aux portes de la ville, ces plages sont facilement accessibles

à pied ou en bus.

AS

SIS

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NT :

C

ÔM

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Spécial été Vue du ciel

Marseille

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MarseilleDès que pointe le soleil, toute la ville semble

se donner rendez-vous sur ce spot 100 % sport et fun de la cité phocéenne.

U ne bande de sable précédée d’une chaussée submergée par les vagues dès que souffl ait un mistral à décorner les

cocus. Voilà à quoi ressemblait le Prado avant 1977. Depuis, 26 hectares d’espaces verts ga-gnés sur la mer, bordés par 10 hectares de pla-ges de sable et de graviers, ont été éri-gés à l’aide des remblais issus de la construction du métro marseillais. Au gré des pelouses émaillées de par-cours de remise en forme, d’aires de pique-nique et d’enceintes sportives, minots et bimbos se succèdent sans disconti-nuer. Tout Marseille s’ébaubit sur ce coin de plage, entre la Corniche et la Pointe-Rouge. Parler chantant, démarche chaloupée, lunette de soleil sur le nez, maillot de l’OM enroulé dans le short, ça crie, ça rit, ça frime et ça dra-gue sec. Jouissif spectacle pour l’étranger (celui

qui vit au-dessus de Valence) peu habitué aux pagnolades. Plus loin au Stade d’été (4 500 pla-ces), c’est le royaume des pros. Des frères Cantona et de leur beach soccer. Mais aussi des meilleurs beach-volleyeurs mondiaux qui s’y affrontent chaque année. De quoi donner le

vire-vire (tournis) au Bateau Ivre de Jean Amado. Une sculpture hommage à Arthur Rimbaud, qui vint par trois fois à Marseille avant d’y mourir à son retour d’Aden (Yémen). Posée sur une petite butte de terre, dissimulée derriè-

re une haie, cette étrange statue de 11,5 mètres de haut représente un bateau et une ville fortifi ée. En remontant en direction du Vieux- Port, s’arrêter au n°174 de la corniche Kennedy, au marégraphe. C’est ici qu’en 1897 a été établi le niveau zéro, référent de toutes les cartes marines et terrestres hexagonales. �

Le tour de France des plages (2/8)

La plage du PradoPAR LIONEL BRET. PHOTOS : STÉPHANE COMPOINT/BUREAU 233 POUR VSD

Dans le vent En plus de la vue imprenable sur les îles du Frioul, on

vient au Prado pour bronzer, draguer et aussi s’adonner au kite et

au windsurf. Aux portes de la ville, ces plages sont facilement accessibles

à pied ou en bus.

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Spécial été Vue du ciel

Marseille

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Huit semaines en cargo de Shanghai à Hambourg (2/8)

Pendant tout l’été embarquez pour un long périple avec « VSD ». Deuxième épisode : la vie à bord de l’« Amerigo Vespucci ».

TEXTES ET PHOTOS : PATRICK LANDMANN POUR VSD

marinMonstre

Poste de pilotage La passerelle est le pont supérieur du château. Le pupitre de manœuvre

de la timonerie est équipé de nombreux instruments, dont le fameux télégraphe (transmetteur d’ordre de puissance

moteur), la télécommande de barre et autres appareils de navigation et de communication.

Spécial été L’aventure VSD

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Huit semaines en cargo de Shanghai à Hambourg (2/8)

Pendant tout l’été embarquez pour un long périple avec « VSD ». Deuxième épisode : la vie à bord de l’« Amerigo Vespucci ».

TEX TES ET P H O TO S : P A TR IC K LA NDMA NN P O UR V S D

marinMonstre

Poste de pilotage La passerelle est le pont supérieur du château. Le pupitre de manœuvre

de la timonerie est équipé de nombreux instruments, dont le fameux télégraphe (transmetteur d’ordre de puissance

moteur), la télécommande de barre et autres appareils de navigation et de communication.

Spécial été L’aventure VSD

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