COURS CERTIFIE DE PERMACULTURE 72 HEURES

Du mercredi 05 au vendredi 14 Juin 2013

Aux Monts-Gardés –site expérimental agro-forestier Situé à Claye-Souilly en Seine et Marne (77).

http://www.les-monts-gardes.com/

Merci de bien vouloir prendre connaissance des informations ci-dessous et si vous êtes interessés pour participer à ce stage, de nous renvoyer la fiche d'inscription jointe, duement complètée, accompagnée d’un chèque de réservation d’un montant de 100 euros. Contact : Agnès Sourisseau : 06 25 97 45 60 asourisseau@gmail.com atoutboutdechamp@gmail.com

Informations

Fidèle à l’esprit de l’U.P.P. de maintenir un enseignement populaire garantissant le coût par stagiaire le plus bas possible. Les tarifs proposés sont les suivants, ils varient en fonction de l’hébergement.

Participation financière

Hébergement autonome à l’extérieur du site= 420 € (1)

Hébergement camping sur place = 450 € (2)

Ces tarifs incluent la formation, les activités pratiques, le camping sur place le cas échéant et les repas pour les 10 jours.

(1) Le site est situé à 25km de Paris. Les riverains qui ont la possibilité de rentrer chez eux le soir n’ont pas d’hébergement à payer. Il est à noter que des structures d’accueil tout confort existent à proximité : Base de loisirs de Jablines : http://www.baseloisirs-jablines-annet.fr/ Gite des Chaudrons : http://www.amis-nature.org/spip.php?article199 Il est laissé à l’initiative de ceux qui le souhaitent de prendre en charge leur hébergement à l’extérieur.

(2) Il est proposé un camping sur place (toilettes sèches et douche à l’indienne-proximité (5km) d’une base de loisir avec baignade agréable (jablines)

Date limite de pré-incription le 15 Mai 2013

Feuille d'inscription + chèque de 100 euros (à l’ordre de : à tout bout de champ) Solde Il vous sera demandé en début de stage.

L’ACCOMPTE DE 100 € N’EST PAS REMBOURSABLE SAUF SI LE STAGE DEVAIT ETRE ANNULE

La liste finalisée des contacts des participants vous sera communiquée afin de faciliter les co-voiturages. Les Monts-Gardés: Coordonnée GPS: 48°56’53’’N 2°43’12’’E

Adresse d’envoi A TOUT BOUT DE CHAMP Chez Agnès Sourisseau 95, rue d’Avron 75020 Paris

Dates Le cours commence le 05 juin à 9h et se terminera le vendredi 14 juin en fin d’après-midi. (Possibilité d'arriver le 04 au soir)

Intervenant: Steve READ. Emploi de temps indicatif : PETIT DEJ = 8H COURS THEORIQUE 9H REPAS MIDI = 13H COURS PRATIQUE = 14H 16H COURS THEORIQUE = 16:15 REPAS SOIR = 19H SOIREE SELON LES JOURS : discussions, échanges avec des acteurs locaux, musiques, contes, théatre, libre… Attention : Sur place, pas d’eau courante, pas de raccordement au réseau électrique, pas d’accès internet. Une participation à l’organisation (rangement, gestion de l’eau ect…) est vivement souhaitée.

Pour venir ( voir plan d’accès joint): La liste finalisée des contacts des participants vous sera communiquée afin de faciliter les co-voiturages. Les Monts-Gardés : Coordonnée GPS : 48°56’53’’N 2°43’12’’E

Programme - 72h : (Modifications possibles en fonction du lieu et du temps) jour 1 a.m.: présentation des participants, introduction au cours, introduction à la permaculture, société durable p.m. : visite du lieu éthiques, règles et principes de la permaculture

jour 2 a.m : méthodes de design, analyses des ressources et besoins, observation du site, suivre la nature, zones, secteurs, lecture du paysage, patterns de la nature p.m : atelier pratique

jour 3 a.m. : principes d’écologie, flux et cycles, biodiversité, coopération, guildes, facteurs climatiques, relief, végétation, succession naturelle p.m. : rôle de l’arbre, haies, brise-vents, microclimats, ensoleillement, gelées Introduction au projet du design pour le lieu, constitution des équipes, interview des personnes de la ou des fermes.

jour 4 a.m. : élément eau, cycle de l’eau, l’eau dans le paysage, keylines, mouvement, la récupération d'eau de pluie, stockage, traitement, utilisation et lien avec panneaux et chauffes-eau solaires. p.m.: élément terre : notions de pédologie, conservation du sol, vie du sol, cycles du sol, éléments nutritifs, faune et flore, mycorhizes, test de sol, avancer sur les travaux de design

jour 5 a.m. : bases de l’agriculture respectueuse du sol, fertilité du sol, régénération du sol, potager, plantes annuelles / vivaces, légumineuses, mulch, associations, successions, rotations, équilibre et diversité, semences p.m. : déplacement de sol et travaux du sol, pratique au jardin, avancer sur les travaux de design

jour 6 a.m. : jardin-forêt, verger-potager, agrosylviculture, forêts, semis direct, arbres et arbustes fruitiers, verger, stratégies pour climats tropicaux et arides p.m. : animaux en permaculture : pâturages, rôle et besoins des animaux, abeilles et pollinisation, avancer sur les travaux de design

jour 7 a.m. : eau, aménagements aquatiques, aquaculture, pisciculture, mariculture, p.m. : compostage, toilette compost, épuration naturelle des eaux usées, avancer sur les travaux de design

jour 8 a.m. : habitat : situation, design, matériaux, efficacité énergétique, énergies renouvelables, technologies appropriées, recyclage p.m. : avancer sur les travaux de design.

jour 9 a.m. : design à plus grande échelle, écovillage, écoquartier, stratégies urbaines, espaces verticaux, liens invisibles : réseaux, communauté, organisation locale, économie alternative, S.E.L.s, coopératives, micro-entreprises, accès à la terre p.m. : avancer et terminer les travaux de design

jour 10 a.m. : présentation des designs p.m. : évaluation, le mouvement de la permaculture, projets à venir, remise des certificats et fête !

Quelques témoignages pour donner des éléments sur la pédagogie de Steve Read : « En ce qui concerne la pédagogie de Steve, personnellement, au début, j’ai été un peu surpris, j'avais du mal à voir la structure de son enseignement, spécialement concernant les éléments de l'initiation. Il m'a expliqué que l'éthique, les principes et la méthodologie sont interdépendants, j’en ai conclu que vouloir les expliquer séparément peut amener à des simplifications qui ne favoriseraient pas le côté adaptable relatif et adaptable de la permaculture. J'étais surpris aussi lors des ateliers pratiques quand Steve dit « Voilà c'est l'heure des ateliers pratiques » et qu’il s’en va. Moi, j'étais habitué à quelque chose de plus formel, présenté... mais de plus en plus je comprends qu’il a une très grande expérience dans la mise en place de conceptions de permaculture, qu’il a enseigné plus de 50 CCP et qu’il possède un contenu pratique et théorique à transmettre d'une très grande richesse. J'ai pu être surpris qu'il n'y ait pas plus de temps dans le programme du stage pour des moments de retours sur les attentes, les contributions et les évaluations des participants. Steve m’a répondu « Quand je vais quelque part, je ne me focalise pas sur mes attentes ». Cela n'empêche pas que ses cours sont interactifs et participatifs. Je me rappelle un CCP où Hoël (Président actuel de l’UPP) a dit aux participants au début du stage que Steve ne pousse pas forcément à intervenir mais qu'il est très content que les participants interviennent, posent des questions, donne des éléments s’ils sont spécialistes dans tel ou tel domaine. Le CCP a un programme qui est régit par une « convention internationale » qui a été mise en place par Bill Molison, et Steve respecte scrupuleusement le contenu de ce programme. Ça vaut la peine de le dire au début du cours. J'ai remarqué que certains professeurs de permaculture focalisent beaucoup plus leurs cours sur une méthodologie participative, cela peut parfois cacher un manque de connaissances pratiques et théoriques. Steve, avec sa grande expérience, et le nombre de conceptions qu'il a mises en place dans plusieurs lieux sur la planète enseigne aussi beaucoup par ce qu'il a fait. Il a aussi un côté artiste et il assure un enseignement aussi bien sonore que visuel et peut même utiliser des mises en scènes, par exemple, pour expliquer certains concepts qui apparaissent complexes. Même si les participants ont parfois l'impression de ne pas avoir assimilé les éléments de l'initiation : les principes, la méthodologie et l'éthique, ils seront répétés et expliqués de plusieurs façons différentes lors de l'exercice de conception, et des ateliers qui suivent. Il y a aussi un élément qu'il faut prendre en compte c'est que Steve est Anglais : « un Anglais ne vous mentira jamais, mais pour rien au monde ne vous dira la vérité ». J'ai l'impression que Steve est farouchement indépendant, et n'aime pas que d'autres décident pour lui. Il a une approche et une pédagogie qui est réfléchie. La structure de l'UPP en est aussi un exemple avec des acteurs liés et autonomes où chaque acteur est responsable d'appliquer l'éthique et les principes de permaculture dans ces activités et de travailler en collaboration quand c'est nécessaire. Une structure qui s'appelle Université POPULAIRE de permaculture fait référence aux concepts des université populaires où l'apprentissage par ses pairs est très importante (après le CCP, le parcours vers le diplôme est gratuit et n'est pas formalisé et structuré comme il peut l'être dans d'autres pays). Je pense que cette structure d'apprentissage laisse libre cours à la créativité des étudiants, cela peut être déstabilisent au début mais permet plus d'initiatives. Cette structure d'enseignement est inspirée par l'observation d'écosystèmes naturels beaucoup plus productifs que des parcours

d'enseignements trop cadrés. ... En tout cas son enseignement a changé ma façon de voir les choses, cela m'a permis d'acquérir une méthodologie et des principes que je peux appliquer dans ma vie de tout les jours. Et j'en suis très reconnaissant. »

Benjamin Burley, Secrétaire de L’Université Populaire de Permaculture

Cour de Mr Steve : Manière anglo-saxonne qui me plait beaucoup et manque en France. Je n’ai et ne ferais pas d’autre PDC (pour l’instant) mais j’imagine que le rôle du « prof » est primordial dans le déroulement du stage. Steve est un artiste, en décalage volontaire avec son étiquette. Il a laissé beaucoup de liberté au groupe tout en réussissant à maintenir de l’engouement dans ses cours avec de nombreux exemples acquis lors de ses expériences nombreuses dans divers pays. Le « plus » de son enseignement est de nous mettre face à la multitude de solutions et fonction du climat et de l’environnement. En 10 jours, difficile de former sur des techniques précises mais l’élaboration d’un compost ou même l’idée de Steve sur le potentiel de Paulianne (lieu d’acceuil du stage) aurait été très enrichissant. La liberté laissée à ce groupe a orienté les discussions vers la vie en collectivité et les systèmes d’organisation ; côté intéressant qui à laissé tout de même certaines personnes en retrait au niveau implication mais c’est aussi la liberté de chacun. Dans ce cas, filmer une réunion et la re-visionner par la suite serait une idée afin d’analyser les différents comportements (chacun se crée son propre monde, mais doit tenir compte de l’environnement présent)… Un « support de cours » était cependant un peu manquant lors de ce stage, et peut être qu’un petit moment focalisé sur les projets personnels de chacun serait à intercaler même si Steve était accessible souvent pour lui demander conseil. Récalcitrant au départ, le déroulement du stage m’a beaucoup plu. Merci dans tous les cas à Steve pour son partage, sa souplesse et son humour so british ;) »

Stagiaire à Paulianne mai 2012 Très bien, c'est une mine d'exemples et d'images et plein de références. J’ai adoré le style, mais je suis pas sûr que cela convienne a tous. On ne peut pas plaire à tout le monde. C'est pas toujours très stricte et cadré, ça dérape parfois, mieux vaut s'accrocher sinon, on peut perdre le fil. Je suis contente de n'avoir rien lu avant d arriver aux cours car certains ont dit « je connaissais déjà ceci ou cela » Moi je ne connaissais rien, et maintenant, je peux approfondir en fonction de mes besoins.

Stagiaire à Paulianne mai 2012 « J'ai d'abord été un peu déroutée par l'enseignement de Steve, très théorique, contrairement à ce que laissait présager les exercices de design presque quotidiens prévus dans le programme initial. Cela dit, même si beaucoup des thèmes abordés

sont largement développés dans la littérature disponible, j'ai apprécié qu'il nous fasse partager son expérience. J'aurais aimé quelques exercices pratiques de design,

individuels ou en petits groupes, par exemples sur des parcelles de Paulianne. La grande découverte est la dimension humaine de la permaculture, mise en exergue par l'incroyable défi d'essayer de réaliser un design à 26 individus qui ne se connaissaient

que de quelques jours, ce en quelques heures à peine de travail effectif. Le récit de son expérience de Brixton m'a fait réaliser que ce que j'avais commencé à faire dans

mon quartier et mes projets urbains était aussi de la permaculture. Du coup, je suis maintenant partagée entre le potentiel de Lyon et mon besoin de nature...

Enfin, je trouve très intéressants et stimulants les idées et principes qui sous-tendent l'UPP et ses "satellites". »

Stagiaire à Paulianne mai 2012

« La traversée du Trégor est déjà une joie en soi. L’arrivée à Kerzello pour suivre un

Cours de Design en Permaculture en est une autre. Quand je descends de l’automobile, des personnes sont réunies dans le jardin et discutent. Tout est ouvert,

on monte quelques marches et voila, on se sent concerné. On échange nos prénoms, on papote, il fait bon dehors pour une soirée de mars. Et puis un homme arrive et

salue : il n’est pas très souriant et n’a pas l’air très commode non plus mais quand il me sert la main, je lis le rire dans ses yeux bleus : ouf ! Il ne se prend pas au sérieux celui là.

Celui là, c’est Steeve Read.

Dès le lendemain matin, les cours commencent. Steeve se présente en quelques mots et explique comment il compte animer les douze jours qui vont suivre. Il semble un

peu en retrait, comme s’il prenait la température. Ce n’est apparemment pas le style de personne à vouloir à tout prix se faire apprécier. Non, il est plutôt à l’écoute et

dans une sorte d’attente rieuse de ce qui va se jouer dans notre groupe éphémère. Ce premier contact me plaît bien. J’apprécie également la méthode qu’il nous demande d’appliquer pour nous présenter : il forme des binômes : chaque personne se présente

à l’autre et c’est l’autre qui présente à l’ensemble du groupe celui ou celle qu’il vient d’écouter. Une autre façon de ne pas se poser en « maître de groupe ». Une bonne

façon d’être à l’écoute de ce que l’autre dit. Puis il commence à parler de sa conception de la permaculture. Il écarte délibérément

tout ce que j’ai déjà lu ou entendu sur le sujet et porte tout de suite la question sur un plan plus large, plus spirituel et philosophique. Pour lui, la permaculture est un

moyen de changement non violent et non militant, qui permet d’installer dans le système établi un autre système, pérenne et humain, basé sur un réseau d’entraide et de partage des savoirs, en continuant à se poser des questions sur ce qui est

généralement admis. « L’homme est-il vraiment obligé ou conçu pour boire de l’eau ? » Voici l’une des

premières fantaisies de langage entendue pendant les cours de Steeve, ce qui, à mes yeux, le place immédiatement dans la catégorie des personnes libres et inventives et me laisse présager que je ne vais pas m’ennuyer.

Tout au long du stage, il revient bien entendu aux fondamentaux de la permaculture

et déroule jour après jour, sous les yeux parfois ébahis de ceux qui ont oublié le sens de l’humour, un fil de pensée original et drôle qui nous secoue tous un peu.

Steeve bouge tout le temps, comme pour rester connecté avec ce qui l’entoure. Il s’étire, s’assoit, se relève, parle en équilibre sur une jambe, puis sur l’autre, module la tonalité de sa voix quand il sent que nous nous endormons un peu, retire ses

chaussettes, virevolte et pirouette, puis redevient calme, voire grave. Il griffonne sur un semblant de tableau, casse la craie, se passe la main dans les cheveux pour les

ébouriffer un peu plus, triture ses petites fiches, les mélange et y revient comme s’il avait perdu le cheminement de son discours. Discours vécu par moi comme une douche d’énergie, de liberté, joyeux et mouvant comme un poème.

« L’écologie du désordre produit de l’énergie ».

« SUPER (P)U se fiche de ce que je mets dans ma bouche mais moi, non ». « De même que je ne prêterais pas mes fausses dents, je ne prête pas ma faux». « Les seules limites sont le manque d’imagination et de prospective ».

Et de nous raconter comment il a autrefois construit une automobile tout en bois, qui

faisait aussi baignoire quand il pleuvait, fait rare au Royaume Uni, comme chacun sait. Une fois, je lui demande ce qui, pour lui, peut constituer une source d’énergie sur une

prairie nue. Il me dévisage un moment et répond assez sèchement : les orties.

D’accord, je retiens la leçon et curieusement, une partie de mes doutes concernant mon projet personnel d’installation s’envole.

C’est comme ça un CCP animé par Steeve Read : il pose et explique les bases de ce

qui constitue la permaculture, puis il invite au questionnement, dans une dynamique de groupe rarement expérimentée ailleurs. Tous les jours, nous nous rendons quelques heures dans le jardin ou dans la campagne environnante et nous reprenons

le cours et le questionnement. Que voyez-vous ? Comment définissez-vous l’écosystème dont vous faites partie ? Comment vous regardez-vous dans cet

écosystème ? Quels sont les produits ou les personnes qui entrent et sortent de cet écosystème ? Quels sont les flux énergétiques qui le parcourent ? Que savez-vous faire ? Quelles

sont les traditions ou l’histoire du lieu où vous vivez ? Quels sont vos besoins ?

L’expérience et les connaissances de Steeve dans des domaines allant de la plomberie à la botanique en passant par les arts martiaux, la chimie ou l’électricité semblent illimités et je commence à comprendre comment et pourquoi curiosité, inventivité,

observation, partage des savoirs et permaculture sont étroitement liés et mènent, sinon à l’autogestion, au moins à plus d’autonomie.

« Etre évolutionnaire, pas révolutionnaire ». J’ai souvent à l’esprit cette phrase de Steeve, entrée en résonance avec ce qui m’anime. La façon dont il nous a enseigné la

permaculture et ce qu’il m’a permis de vivre à Kerzello ont été déterminant dans la réalisation de mon projet, installation aux débuts hasardeux dans une prairie nue,

aujourd’hui lieu de vie en construction permanente. Mister Read is an elegant man ».

Stagiaire à Paulianne mai 2012

Fiche d’inscription CCP du 05 juin au 14 juin 2013 – Monts-Gardés (77) :

Nom

Prénom

Date de naissance

Adresse

Courriel

Téléphones

Profession

Experience ou connaissances liés aux thèmes qui seront abordés

Autres centres d'intérêt

Préférences alimentaires et/ou allergies

Notifications médicales (éventuellement)

Contact en cas d'urgence.

Formule de stage = 420 € ou 450 € (préciser votre choix d’hébergement)

Jour d’arrivée et mode de transport

Toute autre information dont vous désirez nous faire part