Guide Des Religions

7/25/2019 Guide Des Religions

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Guide des religions

pour le volontaire


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Table des matires

I. Introduction

II. Christianisme

II. Islam

III. Bouddhisme

IV. Hindouisme

V. Judasme

VI. Religions traditionnelles africaines

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troductio

La religion a t dfinie pour la premire fois par Cicroncomme le fait de s'occuper d'unenature suprieure que l'on appelle divine et de lui rendre un culte . Dans les langues o leterme est issu du latin religio, la religion est le plus souvent envisage comme ce quiconcerne la relation entre l'humanit et Dieu. lus prcisment de relier les choses ph!siqueset mtaph!siques entre elles, afin de les contr"ler, ou de les ma#triser. Dans le Coran,le termed#n, qui peut $tre considr comme quivalent de celui de religion, dsigne avant tous les

prescriptions de Dieu. %n chinois, le terme & ng i(o)*, invent au d+ut due sicle

pour traduire celui de religion, est connot de l'ide d'un enseignement pour unecommunaut. %nfin, le +ouddhisme est considr comme une religion alors qu'il sem+le n'!

$tre question ni de Dieu, ni de nature divine.

-l n'eiste pas auourd'hui de dfinition qui convienne ( tout ce que l'usage permetd'appeler religion. La religion peut $tre comprise comme une manire de vivre et unerecherche de rponses au questions les plus profondes de l/humanit, en ce sens elle serapporte ( la philosophie. 0ais elle peut aussi $tre vue comme ce qu/il ! a de plus contraire (la raisonet uge s!non!me de superstition.%lle peut $tre personnelle ou communautaire,prive ou pu+lique, lie ( la politiqueou vouloir s/en affranchir. %lle peut aussi se reconna#tredans la dfinition et la pratique d/un culte,d/un enseignement,d/eercices spirituels et decomportements ensocit.

La religion fait l/o+et de recherches universitaires en sciences humaines. Lesdisciplines telles que l'histoire, la sociologie, l'anthropologie ou la ps!chologie, desphnomnes ou des faits dits religieu sans pour autant s'appu!er sur une dfinition quicorrespondrait de manire homogne ( tout ce qui est ainsi tudi. 1elon ierre 2isel, laquestion de savoir ce qu/est une religion est une question ouverte 3 faut4il se contenter depenser que les religions ont touours une forme institutionnelle avec un clerg, des pasteurs,des imams, des moines ou des gourous, ou considrer aussi comme de la religion lespratiques de dveloppement personnel touchant des domaines allant du sport ( laphilosophie, ainsi que ce que les li+raires regroupent sous le terme gnrique d'sotrisme 5

La question de savoir ce qu'est la religion est aussi une question philosophique, la

philosophiepouvant ! apporter des lments de rponse, mais aussi contester les videncesdes dfinitions qui en sont proposes. La notion de religion peut $tre enfin l/o+etd/la+orations thologiques, chaque religion pouvant avoir sa propre apprciation de ce qu/ilconvient d/appeler religion.

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http://fr.wikipedia.org/wiki/Cic%C3%A9ronhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Coranhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Dieuhttp://fr.wikipedia.org/wiki/XXe_si%C3%A8clehttp://fr.wikipedia.org/wiki/XXe_si%C3%A8clehttp://fr.wikipedia.org/wiki/XXe_si%C3%A8clehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Philosophiehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Raisonhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Superstitionhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Politiquehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Cultehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Enseignementhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Soci%C3%A9t%C3%A9http://fr.wikipedia.org/wiki/Sciences_humaineshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Sociologiehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Giselhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Giselhttp://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9veloppement_personnelhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Sporthttp://fr.wikipedia.org/wiki/Philosophiehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Philosophiehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Coranhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Dieuhttp://fr.wikipedia.org/wiki/XXe_si%C3%A8clehttp://fr.wikipedia.org/wiki/XXe_si%C3%A8clehttp://fr.wikipedia.org/wiki/XXe_si%C3%A8clehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Philosophiehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Raisonhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Superstitionhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Politiquehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Cultehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Enseignementhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Soci%C3%A9t%C3%A9http://fr.wikipedia.org/wiki/Sciences_humaineshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Sociologiehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Giselhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Giselhttp://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9veloppement_personnelhttp://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9veloppement_personnelhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Sporthttp://fr.wikipedia.org/wiki/Philosophiehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Philosophiehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Cic%C3%A9ron


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Le Christianisme

6istoire du Christianisme

Le christianisme professe 7 comme le uda8sme et l'islam 7 la foi en un Dieu unique,qui s'est rvl pour la premire fois ( 9+raham, le patriarche commun des trois grandsmonothismes. Cette confession est ne en alestine ( l'poque o cette rgion du roche4:rient tait occupe par les ;omains. a&areth, l'envo! de Dieu )le 0essie* qu'ils attendent. ?out comme ses compagnons, les9p"tres, il se considre comme faisant partie du peuple uif. -l a t +aptis )et circoncis* danssa religion et la pratique. Ce n'est qu'aprs la mort du Christ, que ses disciples crent unereligion nouvelle ( laquelle ils convertissent de nom+reu uifs.

D'a+ord minoritaires et perscuts, les chrtienscl+rent leur culte dans la clandestinit. 0ais en @A@,l'empereur Constantin leur accorde la li+ert de pratiquer leurreligion. %n @B, le christianisme devient la religion officiellede l'%mpire romain et les chrtiens sont placs sous l'autoritde l'v$que de ;ome, le pape. %n AEF, un schisme spare,aprs maintes querelles, le christianisme oriental, dit orthodoe , dont le chef est le patriarche de Constantinople,du christianisme catholique romain. G la fin du Hesicle, un

moine allemand, 0artin Luther, est ( l'origine de la ;forme,schisme qui se produit au sein du christianisme occidental,dont na#tra le protestantisme.

Le ape Ieno#t H- avec lepatriarche de

Constantinople Iartholome -er )photo

prise sur le site du Jigaro, article du @K

K M 4N Ieno#t H- tend la main auorthodoes*

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e Christianisme dans le monde

Le nom+re de chrtiens s'lve ( environ ,@ milliards de cro!ants dans prs de @@ confessions diffrentes.

'anglicanisme est une confession chrtienne dont l'origine remonte au Ae siclelorsque le roi d'9ngleterre 6enri H--- rompit avec le pape. Cette forme du christianisme estauourd'hui prsente principalement dans les pa!s qui ont pu $tre imprgns par la cultureanglaise. :n ne saurait parler de l' Oglise anglicane puisque les diffrentes glises sereconnaissant dans cette confession sont autocphales.

Les Oglises orthodoes reprsentent dans le monde la troisime plus grandeconfession chrtienne en nom+re de fidles aprs l'Oglise catholique et les dnominationsprotestantes. Les %glises orthodoes sont surtout prsentes en %urope de l'%st );ussie o ilsreprsentent EP de toute la confession,


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Ru/est4ce4qui distingue le rotestantisme, le Christianisme :rthodoe et le

Catholicisme 5

Les principales diffrences entre le protestantisme S le catholicisme comprennent les chosessuivantes3

Les protestants ne reconnaissent pas l'autorit du ape. Les protestants se rfrent uniquement ( la Ii+le comme source de doctrine.

-ls rcusent en particulier la tradition. Les protestants ne reconnaissent que deu sacrements )le +apt$me et

l/eucharistie* contre sept che& les catholiques )le +apt$me, l'eucharistie, laconfirmation, la rconciliation )confession ( un pr$tre*, le mariage, l'ordinationS l'onction des malades

Les asteurs rotestants ont le droit de se marier et les femmes peuvent $treasteur. Les protestants croient que =sus est le seul intermdiaire entre Dieu le re et

eu4m$mes. -ls ne croient pas ( l'utilit de la pratique catholique de laconfession.

La notion de saint, signifiant Tmis ( partT, s'applique depuis Luther ( tous leschrtiens puisque tous sont rachets par =sus4Christ et de ce fait sanctifis. -ln'eiste donc pas d'TliteT composes de chrtiens qui seraient plus saints queles autres.

Les protestants ne croient pas ( la transsu+stantiation , doctrine catholique qui

affirme la transformation ph!sique et matrielle des deu espces de lacommunion en vrita+le chair et en vrita+le sang du Christ lors del'eucharistie

Les protestants ne reconnaissent aucun 1aint 3 pour eu ils sont des modles defoi, mais en aucun cas ils ne peuvent intercder entre Dieu et les hommes

R


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L'%glise :rientale admet le divorce S le mariage des pr$tres 3 un homme peutse marier avant de devenir pr$tre, mais non pas aprs avoir reWu le sacerdoce.

L% C1 L'%2L-1% :;?6:D:%L'%glise orthodoe conna#t sept sacrements qui sont nomms m!stres )+apt$me,

chrismation, l'eucharistie, la confession, l'ordination, le mariage, l'onction des malades*. :nvoit qu'il s'agit des m$mes sacrements que ceu admis par le catholicisme, ( une eceptionprs3 la chrismation. La chrismation consiste ( oindre d'huile sainte une personne +aptiseafin qu'elle reWoive le don du 1aint %sprit. %lle suit immdiatement le +apt$me dont onconsidre qu'elle en est comme l'achvement. %lle est en m$me temps le prrequis pourrecevoir l'eucharistie.

L9 L9C% D%1 -C:>%1 D9>1 L9 ;%L-2-:>:;?6:D:%

Les ic"nes, qui ont t au centre du schisme, sontporteuses de message. Ce sont des portraits reprsentant leplus souvent =sus et 0arie. L'epression des personnageset les s!m+oles reprsents ont pour +ut d'amener ( laprire et la contemplation. %n effet, les ic"nes doiventsoutenir la concentration lors de la prire.

R


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e oisson.Durant les premiers sicles,surtout durant les perscutions, leschrtiens utilisaient le mot grec ou lereprsentaient sous forme de poisson.

De ces deu manires ils s!m+olisaientle Christ. Car chacune des lettres quicomposent ce mot en grec donne, enacrostiche, le nom et le titre du Christ,

c'est4(4dire T =sus )-* Christ )* de Dieu )?* le Jils )X* 1auveur )1* T, soit -?X1.

'encens.L'%glise orthodoe utilise l'encens comme s!m+ole de la prire qui montevers Dieu et du parfum du ;o!aume. -l s!m+olise aussi, pendant la prire du fidle, lapropre lvation de sa pense et de son cVur vers le ciel tout comme l'esprit de

sacrifice qui doit caractriser chaque chrtien.

J$tes

chrtiennes

importantes

Yques

. Cet vnement est le cVur m$me dela foi chrtienne. C'est pourquoi les chrtiens seprparent ( la f$te de Yques depuis le d+utdu Car$me,et en particulier tout au long de la1emaine 1aintequicommence le dimanche des;ameau)cl+ration de l'entre solennelle duChrist ( =rusalem*, inclut le eudi 1aint)cl+ration de l'institution de l'%ucharistie etdu1acerdocepar le Christ* et le vendredi1aint)cl+ration de la assion du Christ et de sa

mort sur la croi*. %lle s'achve avec la veille pascale, pendant la nuit du samedi 1aint audimanche de Yques )rsurrection du Christ*.

'9scension.%lle marque l/lvation auciel de =sus aprs sa rsurrection et la fin de sa

prsence terrestre. a

entec"te

.%lle ne peut $tre comprisqu'en lien avec Yques et l'9scension 3 0ortpour le salut du monde )le vendredi saint*,ressuscit )le our de Yques* et parti reoindrele re )( l'9scension*, le Christ envoie auhommes son %sprit )( la entec"te*. C'estpourquoi cette f$te cl"t le temps pascal, quidure sept semaines, et dont elle est lecouronnement .

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http://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=14&Expression=Car%EAmehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=14&Expression=Car%EAmehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=99&Expression=Rameauxhttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=99&Expression=Rameauxhttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=63&Expression=Jeudi%20sainthttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=63&Expression=Jeudi%20sainthttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=63&Expression=Jeudi%20sainthttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=63&Expression=Jeudi%20sainthttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=46&Expression=Eucharistiehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=46&Expression=Eucharistiehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=46&Expression=Eucharistiehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=109&Expression=Sacerdocehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=109&Expression=Sacerdocehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=7&Expression=Ascensionhttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=7&Expression=Ascensionhttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=7&Expression=Ascensionhttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=7&Expression=Ascensionhttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=7&Expression=Ascensionhttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=93&Expression=Pentec%F4tehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=14&Expression=Car%EAmehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=99&Expression=Rameauxhttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=63&Expression=Jeudi%20sainthttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=46&Expression=Eucharistiehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=109&Expression=Sacerdocehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=7&Expression=Ascensionhttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=7&Expression=Ascensionhttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=93&Expression=Pentec%F4te


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'9ssomption de 0arie.

1elon un dogme de l'%glise catholique romaine, la mre de =sus,au terme de sa vie terrestre, a t leve au ciel . L'9ssomption se f$te le AE aoZt.

a ?oussaint )Aer novem+re*. 1i un certain nom+re d'entre eu ont t officiellementreconnus, ( l'issue d'une procdure dite de canonisation , et nous sont donns enmodles, l'%glise sait +ien que +eaucoup d'autres ont galement vcu dans la fidlit (l'%vangileet au service de tous. C'est +ien pourquoi, en ce

our de la ?oussaint,les chrtiens cl+rent tous les saints,connus ou inconnus. Cette f$te est donc aussi l'occasion derappeler que tous les hommes sont appels ( lasaintet, pardes chemins diffrents, parfois surprenants ou inattendus,mais tous accessi+les. La ?oussaint procde d'un our la

commmoration des morts.

'%piphanie

cl+re la manifestation de =sus comme0essie. La f$te est venue d':rient o elle a t fie au anvier 3 f$te des lumires,f$te de l'eau, elle est +eaucoup plus la cl+ration de l'inauguration du ministrepu+lic du Christ, lors de son +apt$meau =ourdain, qu'une festivit des vnements del'enfance de =sus.

>o[l. our les chrtiens, la f$te de >o[l )du latin natalis,TnaissanceT, TnativitT* cl+re la naissance de =sus, Jils de Dieu, le1auveur attendu, annonc par les prophtes.

=sus veut dire en h+reu TDieu sauveT. Ce nom m$me rvle sonidentit et sa mission, sauver les hommes et les conduire vers lere.

1ources 3

http3KK\\\.onelittleangel.comKsagesseKreligionKorthodoie.asp5level]

http3KK\\\.eglise.catholique.frKaccueil.htlm

http3KK\\\.larousse.frKenc!clopedieKdiversKchristianismeKAMF^FM

http3KK\\\.lefigaro.frKactualite4franceKMKK@KAA4M@9;?J-2A4

+enoit4vi4tend4la4main4au4orthodoes.php

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http://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=47&Expression=Evangilehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=47&Expression=Evangilehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=47&Expression=Evangilehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=121&Expression=Toussainthttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=121&Expression=Toussainthttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=112&Expression=Saintet%E9http://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=112&Expression=Saintet%E9http://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=42&Expression=Epiphaniehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=42&Expression=Epiphaniehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=42&Expression=Epiphaniehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=73&Expression=Messiehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=74&Expression=Minist%E8rehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=11&Expression=Bapt%EAmehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=11&Expression=Bapt%EAmehttp://www.onelittleangel.com/sagesse/religion/orthodoxie.asp?level=2http://www.eglise.catholique.fr/accueil.htlmhttp://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/christianisme/184748http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2008/06/30/01016-20080630ARTFIG00261-benoit-xvi-tend-la-main-aux-orthodoxes.phphttp://www.lefigaro.fr/actualite-france/2008/06/30/01016-20080630ARTFIG00261-benoit-xvi-tend-la-main-aux-orthodoxes.phphttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=47&Expression=Evangilehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=121&Expression=Toussainthttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=112&Expression=Saintet%E9http://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=42&Expression=Epiphaniehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=73&Expression=Messiehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=74&Expression=Minist%E8rehttp://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?&lexiqueID=11&Expression=Bapt%EAmehttp://www.onelittleangel.com/sagesse/religion/orthodoxie.asp?level=2http://www.eglise.catholique.fr/accueil.htlmhttp://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/christianisme/184748http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2008/06/30/01016-20080630ARTFIG00261-benoit-xvi-tend-la-main-aux-orthodoxes.phphttp://www.lefigaro.fr/actualite-france/2008/06/30/01016-20080630ARTFIG00261-benoit-xvi-tend-la-main-aux-orthodoxes.php


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'-slam

-ntroductionL'islam est une religion a+rahamique articule autour du Coran, que le dogmeislamique considre comme le recueil de la parole de Dieu rvle ( 0ahomet,

considr par les adhrents de l'islam comme le dernier prophte de Dieu, au H--e

sicle en 9ra+ie.


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sunnisme, qui reprsente entre M et MEP des musulmans, et le chiisme rencontrprincipalement en -raQ et en -ran. es origines

L'-slam est apparu en 9ra+ieau H--e sicle de l're chrtienne. G mi4cheminentre l'ocan -ndien et la 0diterrane, deu villes distantes l'une de l'autre de plus deF Qilomtres mais toutes deu relativement proches de la mer ;ouge, La 0eQQe )ouLa 0ecque, en ara+e 0aQQa* et 0dine )9l40adna*, en furent le +erceau.

Comme tous les grands mouvements de l'histoire mondiale, l'islam a mis uncertain temps ( s'imposer. 1uivant la tradition musulmane, seule source deconnaissance en la matire, tout commenWa vers l'an A. 0u ammad i+n `9+d 9llh,mem+re d'une famille respecta+le de La 0eQQe et qui avait alors une quarantained'annes, faisait une retraite dans le dsert, non loin de la ville, lorsqu'il eut desvisions. -l se vit invit ( rciter un tete que sa vision lui enseignait. Ces phnomnesetraordinaires cessrent +ient"t pour reprendre trois ans plus tard, mais cette foisd'une faWon rgulire. Ds lors, 0uammad se mit ( transmettre, au nom de Dieu, desmessages sacrs ( ses concito!ens. 1es messages, formuls en une trs +elle langueara+e, constiturent, une fois rassem+ls en un seul recueil, ce que l'on appelle leCoran )al4Rur'n*. Ce mot ara+e, de facture et d'origine s!riaques, signifie rcitation , puis, par etension, tete sacr que l'on rcite , ce tete pouvant $tresoit un message relativement +ref, soit, par antonomase, le livre sacr tout entier.

1ituation contemporaine

%n AA, l'islam comporte officiellement A,E^ milliard de cro!ants, c'est4(4dire ,EPde la population mondiale en AA. La diffusion de l'islam, hors du monde ara+e, s'epliquepar les migrations et les conversions.

L'islam est la seule religion dont le nom figure dans la dsignation officielle deplusieurs Otats, sous la forme de ;pu+lique islamique . ?outefois, ces Otats ne sont pas lesseuls o l'im+rication du civil et du religieu est conforme ( ce que veut la charia comme en9ra+ie 1aoudite.

-l peut se produire une confusion entre 9ra+es et musulmans, principalement ( causede deu facteurs 3 l'origine ara+e de l'islam et la place centrale qu'occupe la langue ara+e danscette religion. -l ! a environ @ millions d'9ra+es, dont la grande maorit est musulmane.9u final, P des musulmans vivent dans le monde ara+e, un cinquime sont situs en9frique su+saharienne, et la plus grande population musulmane du monde est en -ndonsie.D'importantes communauts eistent au >igeria, Iangladesh, 9fghanistan, aQistan, en -ran,en Chine, en %urope, dans l'ancienne 1%%, principalement issus de l'immigrationauquels il faut aouter les conversions, dont le nom+re est trs difficile ( dterminer d'autant

qu'il ! a des conversions en sens inverse et des apostats.

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http://www.universalis.fr/encyclopedie/arabie/http://www.universalis.fr/encyclopedie/la-mecque/http://www.universalis.fr/encyclopedie/arabie/http://www.universalis.fr/encyclopedie/la-mecque/


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e dogme de l'islam

0atriellement parlant, la foidu musulman s'eprime dans des formules diverses dontla plus connue et la plus emplo!e est l'attestation ) shahda* 3 ='atteste que Dieuest uniqueet que 0uammad est l'envo! de Dieu. De m$me, de nom+reu versets du Coran sont trscaractristiques de la foi musulmane et en offrent autant de formulations particulires. 9insi 3 vous qui cro!e& b Cro!e& en Dieu, en son %nvo!, ( l'Ocriture qu'il a communique d'enhaut ( son %nvo!, ( l'Ocriture qu'il avait communique auparavant d'en haut b Ruiconque necroit pas en Dieu, en ses anges, ses Ocritures, ses envo!s et au dernier =our est dans ungarement infini )iv, A@EKA@*.

Les points principau sur lesquels porte la foi sont l'eistence de Dieu, la foi dans les envo!s,les livres sacrs, les anges et les fins dernires, la foi dans le Dcret divin.

e Coran

Le Coran est le livre le plus sacr des musulmans. C'est le premier livre connu ( avoirt crit en ara+e, qu'il a contri+u ( fier. Les musulmans le considrent comme la parole deDieu, transmise ( 0ahomet. Otant illettr, ce sont certains de ces compagnons lettrs pareemple _aid i+n ?ha+it, qui ont mis par crit les versets du Coran au fur et ( mesure desrvlations qu'eut 0ahomet. Ces versets taient crits sur des feuillets, pices de cuir, os plats

prlevs de carcasses d'animau. %n somme, tout support sur lequel les scri+es pouvaientcrire les versets que 0ahomet dictait.

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http://www.universalis.fr/encyclopedie/foi/http://www.universalis.fr/encyclopedie/dieu/http://www.universalis.fr/encyclopedie/foi/http://www.universalis.fr/encyclopedie/dieu/


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C'est le calife et ami de 0ahomet, 9+ou IaQr 9s41iddiq, qui, peu aprs la mort duprophte de l'islam, met _aid i+n ?ha+it ( la t$te d'un comit a!ant pour +ut de runir tous lesversets crits de son vivant pour en faire un seul ouvrage. 9fin d'liminer tous risquesd'erreurs, le comit n'accepta que les crits qui avaient t rdigs en prsence de 0ahomet et

eigea deu tmoins fia+les ( l/appui, qui avaient rellement entendu 0ahomet rciter lesversets en question. C'est le troisime calife galement ami de 0ahomet, :uthman )califeentre l/an @ et l/an @E de l/6gire* qui demanda qu/on en fasse plusieurs copies relies.

1elon le rcit religieu musulman, cette transmission del'archange 2a+riel ( 0ahomet aurait eu lieu de manirefragmentaire par voie auditive, par la voie du r$veprophtique ou par la voie de Tl'inspiration divineT )\ah!*,durant une priode de vingt4trois ans. 9prs des d+atshouleu, le calife al40amum ( Iagdad, vers M proclame leCoran, manifestation de l'attri+ut de 9llah appel Talam de9llahT, par dogme, incr, ternel et inimita+le. Le d+at se

prolongera usqu'au -e

sicle. -+n 6an+al, au prises avecune vrita+le inquisition musulmane, a!ant assign le r"le

des autres crits 4 hadith, sunna dclare finalement le Coran incr de la premire ( ladernire page. -l ne peut donc pas avoir t crit, prcd, ni prolong. 1on origine n'est pashumaine. La seule tude du tete se rsume ( l'apprendre par cVur et ( en rechercher le senstransmis, et ( le mettre en pratique. -l est au cVur de la pratique religieuse de chaquemusulman. our celui4ci, le Coran est un livre saint qui n'a pas su+i d'altration aprs sarvlation, car Dieu a promis que ce livre durerait usqu'( la fin des temps 3 le tete ainsi que

sa signification sont prservs sur ?erre, c'est4(4dire qu'ils eistent est sont dtenus par lamaorit selon un hadith de 0ahomet, mais cela n'emp$che en rien l'eistence de mauvaisesinterprtations che& ceu qui ne sont pas Tverss dans la scienceT.

Le Coran est divis en cent quator&e chapitres nomms sourates, de longueursvaria+les. Ces sourates sont elles4m$mes composes de versets nomms Y!Yt )pluriel del'ara+e Y!ah, preuve , rvlation *. L'ordre des versets et sourates tel qu'on le conna#t at dict par 0ahomet.

La plupart des musulmans ont un grand respect pour le Coran et font les a+lutions,c'est4(4dire se lavent comme pour faire les prires, avant de le lire. Les vieu eemplaires sont+rZls, et non dtruits comme du vieu papier. Le statut thologique du tete le met en effet (

l'cart de toute autre chose 3 le tete contenu dans le livre est cens $tre une manifestation dela puissance de Dieu et est considr par les musulmans comme un miracle accord ( leurprophte.

Les cinq piliers de l'Islam

Les cinq piliers de l'islam constituent le fondement du mode de vie islamique.Ces piliers sont 3 la profession de foi, la prire, la &aQat )soutien financier au pauvres*,le eZne du mois de ;amadan, et le plerinage ( la 0ecque une fois dans la vie pourceu qui en ont les mo!ens.

A* a profession de foi3

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La profession de foi consiste ( dclarer, avec conviction, a ilaha illa 9llah,0ohammadour rasoulou 9llah.Cette dclaration signifie3 T-l n'! a pas d'autre dieuqu'9llah

et 0ohammed est 1on messager )prophte*.T

La premire partie, T-l n'! a pas

d'autre dieu qu'9llahT signifie que nul n'a le droit d'$tre ador ( part Dieu, et que Dieun'a ni partenaire ni fils. Cette profession de foi est appele la shahada, une formuletoute simple qui doit $tre prononce avec conviction par celui ou celle qui veut seconvertir ( l'islam. La profession de foi est le pilier le plus important de l'islam.

* a prire 3

Les musulmans font cinq prires par our. Chacune d'elles ne demande pas plus dequelques minutes. La prire en islam cre un lien direct entre Dieu et la personne qui Le prie,car il n'! a pas d'intermdiaire entre Dieu et cette personne.

Lorsqu'une personne prie, elle ressent au fond d'elle4m$me du +onheur, de la pai etdu +ien4$tre, et elle sent que Dieu est satisfait d'elle. Le prophte 0ohammed a dit3 Iilal,appelle les gens ( la prire, que nous so!ons rconforts par elle. Iilal tait un compagnon de0ohammed ( qui on avait confi la tYche d'appeler les gens ( la prire.

Les prires se font ( l'au+e, ( midi, au milieu de l'aprs4midi, au coucher du soleil, etdans la soire.


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millions de personnes, provenant des quatre coins du monde, se rendent chaque anne ( la0ecque. Iien qu'il ! ait touours de nom+reu visiteurs ( la 0ecque, le haannuel doit $trefait au dou&ime mois du calendrier islamique. Les plerins de see masculin portent unv$tement spcial d'une grande simplicit qui limine toute distinction de classes ou de

culture afin que tous soient gau devant Dieu.armi les rites du 6a, il ! a l'o+ligation de tourner sept fois autour de la aa+a et de

faire sept fois l'aller4retour entre les collines de 1afa et 0ar\a, comme l'avait fait 6agarlorsqu'elle cherchait de l'eau. %nsuite, les plerins se reoignent ( 9rafa o ils prient Dieu etLui demandent pardonU pour +eaucoup, ce moment fait penser ( un aperWu du =our du

=ugement.

1!m+oles et reprsentations

Les sunnites ne sacralisent pas d'ic"nes. 1elon plusieurs hadiths de 0ahomet, lamaldiction de Dieu s'a+at sur toute personne produisant )par le dessin, la sculpture...* un $tredot d'Yme ! compris les animau, car cela est considr par eu comme allant contre l'espritdu monothisme.


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L'anne islamique est lunaire et dure AA ours de moins que l'anne solaire. Lesmusulmans cl+rent la grande f$te du 1acrifice, ou -d al49dha, ( la fin du plerinage annuel( La 0ecque. Cette f$te comporte plusieurs rites entourant le sacrifice d'un animal consacr (

0ina, prs de La 0ecque, et elle commmore la fondation de La 0ecque et la foi monothisted'9+raham et de son fils -sma[l.

La petite f$te, -d al4Jitr)f$te de la rupture du eZne*, termine les M ours de eZne duramadan, qui est le neuvime mois du calendrier musulman. %lle commence au moment dela nouvelle lune. Les musulmans chi'ites ont une f$te additionnelle qui porte le nom dupremier mois islamique, le muharram, pendant lequel elle est cl+re.


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e Iouddhisme

Introduction

Le +ouddhisme est, selon les points devue traditionnels, une philosophie, unespiritualit ou une religion apparue en-nde au Hme sicle avant =4C.

Le +ouddhisme prsente un ensem+leramifi de pratiques mditatives, depratiques thiques, de thories

ps!chologiques, philosophiques,cosmogoniques et cosmologiques,a+ordes dans la perspective de la +odhi

Tl'veilT. 9 l'instar dua8nisme,le +ouddhisme est ( l'origine une tradition shramana,et non +rahmanique )comme l'est l'hindouisme*.

Iien que le +ouddhisme soit communment perWu comme une religion sansdieu, que la notion d/un dieu crateur soit a+sente de la plupart des formes du+ouddhisme, la vnration et le culte du Iouddha historique en tant que Ihagavat

oue un r"le important dans le ?heravadaet particulirement dans le 0aha!anaquilui donnent un statut de quasi4dieu contri+uant ( flouter les notions de dieu et dedivinit dans le +ouddhisme.

9u commencement

Iouddha tait un prince indien du Ee sicle avant =sus Christ qui tait arriv (la conclusion qu/il devait ! avoir davantage pendant la vie et aprs la mort que ce queprtendaient les savants +rahmanes. -l dveloppa un enseignement universel +as sur

les F no+les vrits. Les +ouddhistes orthodoes associrent E o+ligations ( cesprincipes de +ase 3 ne pas tuer d/$tres vivants, $tre gnreu et vivre une vie chaste)cli+at pour les moines et fidlit envers son pou pour les autres*, ne pas mentir,+lasphmer ou critiquer et ne pas consommer d/alcool ni d/autres su+stances quientra#nent l/ivresse.

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http://fr.wikipedia.org/wiki/Psychologiehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Psychologiehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Philosophiehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Cosmogoniehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Cosmologie_religieusehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Bodhihttp://fr.wikipedia.org/wiki/Ja%C3%AFnismehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Ja%C3%AFnismehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Shramanahttp://fr.wikipedia.org/wiki/Theravadahttp://fr.wikipedia.org/wiki/Mahayanahttp://fr.wikipedia.org/wiki/Psychologiehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Philosophiehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Cosmogoniehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Cosmologie_religieusehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Bodhihttp://fr.wikipedia.org/wiki/Ja%C3%AFnismehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Shramanahttp://fr.wikipedia.org/wiki/Theravadahttp://fr.wikipedia.org/wiki/Mahayana


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a vrita+le foi

G l/chelle mondiale, on estime le nom+re de +ouddhistes ( A millions, sanscompter les nom+reu s!mpathisants. 1/il ! en a autant, c/est parce que dans plusieurspa!s et rgions, Tla vrita+le foiT a t interprte diffremment. 9u =apon, en?ha8lande et en Core )et galement dans certains cercles occidentau*, c/est surtoutle +ouddhisme &en qui est populaire.

Le &en est en quelque sorte l/art du nant, du vide a+solu, de l/esprit pur, en+ref le >irvana, un tat d/illumination que l/on ne peut atteindre que par lamditation. Les +ouddhistes ti+tains accordent galement une grande importance (la mditation mais pour aider les autres et apprendre ( les comprendre, d/o leur foiin+ranla+le en la douceur et la +ont fondamentales de l/6omme, en la valeur de la

compassion, en un comportement amical et un sentiment de fraternit entre tous les$tres vivants.

Le chef spirituel des +ouddhistes est 1a 1aintet Le Dala8 Lama, n en AB@E etconsidr comme la AFe rincarnation de Iouddha. L/histoire de cette prdestination a unegrande valeur s!m+olique )sans rincarnation, pas d/illumination* mais est souvent utilisepar les sceptiques pour ridiculiser le mouvement. ourtant, le Dala8 Lama lui4m$me est unmodle de +on sens, +ien conscient des pro+lmes et des points sensi+les de notre poque.Depuis qu/il a t chass du ?i+et par les Chinois en ABEB, il parcourt inlassa+lement lemonde, pas autant pour militer en faveur de la li+ration de sa patrie que pour partager sasagesse et ses ides avec des personnes de toutes les races et de toutes les convictionsreligieuses.

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?etes sacrs3 ali Canon )?ripitaQa*, de nom+reu sutras maha!ana.

angue d'origine3 ali.

ieu de rituel3 ?emple, salle de mditation.

;alit3 9ucune, rien n'est permanent.

a ratique du Iouddhisme

A* Ru'est4ce que la pratique du +ouddhisme5

:n entend touours les +ouddhistes dire qu'ils pratiquent le +ouddhisme .?out d'a+ord, la

pratique

se rfre le plus souvent ( une activit spcifique, commela mditation ou le chant que l'on fait tous les ours. ar eemple, une personnepratiquant le =odo 1hu )?erre ure* aponais rcite le >em+utsu tous les ours. Les+ouddhistes _en et ?heravada pratiquent la +havana )mditation* tous les ours.

* : pratiquer le +ouddhisme5

Les +ouddhistes ont des autels. Ce qu/il ! a ( l/intrieur d/un autel varie d'unesecte ( l/autre mais on trouve dans la maorit d/entre eu une statue du Bouddha, des+ougies, des fleurs, des encens et un petit +ol d'eau. rendre soin de l'autel c/est aussiprendre soin de la pratique.

Ruels sont les s!m+oles du +ouddhisme5

-l eiste dans le +ouddhisme huit s!m+oles auspicieu qui drivent tous del/iconographie indienne. Dans la lgende +ouddhiste, les s!m+oles reprsentent des offres des

dieu faitesau Iouddha aprs son illumination. Les s!m+oles peuvent $tre trouvs dans l'artde la plupart des coles du +ouddhisme, en particulier dans le +ouddhisme ti+tain. Danscertains monastres chinois, les s!m+oles sont placs sur des socles en lotus devant les statuesdu Iouddha.

A* e parasol

Ieaucoup pensent que ce s!m+ole est un parapluiemais c'est fau, il s'agit plut"t d'un parasol +ouddhiste.

Le parapluie protge contre la pluie alors que leparasol protge contre la chaleur. C'est d/a+ord un s!m+ole de

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http://comprendrebouddhisme.com/histoire/signification-et-historique-du-bouddhisme.htmlhttp://comprendrebouddhisme.com/histoire/signification-et-historique-du-bouddhisme.htmlhttp://comprendrebouddhisme.com/histoire/signification-et-historique-du-bouddhisme.html


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la dignit ro!ale et la protection de la chaleur du soleil. -l reprsente dans le+ouddhisme la protection de la souffrance.

* es deu poissons dorsLes deu poissons taient ( l'origine le s!m+ole de la rivireXamuna et du 2ange, mais ils sont devenus le s!m+ole de la+onne fortune par la suite pour les hindous et les +ouddhistes.Dans le +ouddhisme, les deu poissons sont aussi s!m+ole des$tres vivants qui pratiquent le dharma et qui ne doivent pascraindre de se no!er dans l'ocan de souffrance puisqu/ils peuventli+rement migrer )en choisissant leur renaissance* comme des

poissons dans l'eau.

@* e coquillage

%n 9sie, la conque a longtemps t utilise comme un cor de+ataille. Dans les temps anciens la conque +lanche reprsentaitgalement la caste Irahmane au 6indous. Dans le +ouddhisme, uneconque +lanche reprsente le son de la dharma.

F* a roue du Dharma ou DharmachaQra

La roue du Dharma s!m+olise la loi +ouddhiste. %lle est le

s!m+ole le plus important du +ouddhisme et reprsentel'enseignement du Iouddha qui fZt le premier ( la mettre enmouvement. %lle reprsente aussi le c!cle sans fin de lanaissance et la renaissance. Ruand le +ouddha a prononc sonpremier sermon, il a epos sa doctrine des quatre no+lesvrits et des huit marches.9insi, la roue est souvent reprsente par quatre ou huit

+ranches s!m+olisant les quatre no+les vrits et les huit marches.

E* a fleur de otus

Le lotus est profondment enracin dans la +oue et latige se dveloppe ( travers l'eau som+re. 1es racines sontdans la vase, sa tige est dans l'eau et sa fleur flottemaestueusement sur l'eau.

Ceci reprsente la progression de l'Yme au traversd'a+ord du matrialisme, en passant par l'eau de l'eprienceavant d'atteindre le soleil de l'illumination. Dans le

+ouddhisme, le lotus reprsente la vrita+le nature des $tres, qui a lieu ( travers lesamsara dans la +eaut et la clart de l'illumination.

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Les couleurs du lotus sont aussi importants 3j Ilanc 3 couleur mentale et spirituelle de puret

j ;ouge 3 Le cVur, de compassion et d'amourj Ileu 3 1agesse et le contr"le des sensj ;ose 3 Le Iouddha historiquej Hiole t3 0!stique

L* a +annire de la victoire

La +annire de la victoire symbolise la victoire duIouddha sur le dmon 0arra et sur ce que reprsente 0ara 3 lapassion, la peur de la mort, la fiert et la luure.

^* a vase

La vase de trsor est remplie de choses prcieuses etsacres. %lle s!m+olise la longue vie et la prosprit.

M* /ternel nVud

Le nVud ternel avec ses lignes lies dans une structureferme reprsente la dpendance et l'interdpendance de tousles phnomnes. -l s!m+olise aussi la loi de cause ( effet etl'union de la compassion et la sagesse.

es f$tes +ouddhistes

Les f$tes +ouddhistes commmorent le Iouddha historique, les fondateurs decertains mouvements +ouddhistes et les enseignements +ouddhistes inscrits dans lesc!cles de la nature. La communaut aponaise du Canada suit l'cole +ouddhiste du

="do41hinshZ. Le s!stme de datation de cette cole fie la naissance du Iouddha au Mavril, our cl+r sous le nom de kesaQ ou 6anamatsuri)festival des fleurs*. 1onillumination, sur laquelle repose le fondement de la doctrine +ouddhiste, est cl+rele M dcem+re sous le nom de our du Iodhi)l'Oveil*. Le AE fvrier, our du >irvana oudu arinirvYna, on cl+re son dcs, qui aurait eu lieu au >pal en FM av. =.4C.,d'aprs la tradition. Le mouvement du ="do41hinshZ a t fond par 1hinran 1honin)AA^@4A*, dont la naissance et la mort sont commmores par des f$tes, le A maiet le A anvier respectivement. 9u quinoes de printemps et d'automne, la plupart

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des +ouddhistes cl+rent le our de la Dvotion, qui met en valeur l'enseignement deIouddha sur les si perfections, qui permettent de mener une vie quili+re ( l'imagede l'univers au moment de l'quinoe. Che& les +ouddhistes aponais, la plus grande

f$te est le :4Ion, en uillet ou en aoZt. Les fidles visitent alors les cimetires etaccomplissent divers rites pour commmorer les anc$tres de leur famille.

La tradition +ouddhiste du ?heravYda, rpandue che& les 9siatiques du 1ud4%st,cl+re deu grandes f$tes. Le HaishYQha, f$te de la pleine lune de mai, commmorela naissance, l'illumination et la mort du IouddhaU le Has )car$me*, priode declaustration monastique commenWant en uillet, est prcd par une f$te et se termineen octo+re par une plus grande f$te, qui marque la fin du car$me. Les +ouddhistes detradition ?heravYda cl+rent galement le DharmachaQQa, qui rappelle la

proclamation de la doctrine par Iouddha, le our de la pleine lune en uillet. LeDharmavia!acl+re le travail missionnaire effectu par l'empereur indien 9shoQa,qui a introduit la foi au 1ri LanQa.

1ources 3

http3KKfr.vivat.+eKcultureKarticle.asp5pageid]A^^

http3KKfr.\iQipedia.orgK\iQiKIouddhisme

http3KKcomprendre+ouddhisme.com

http3KK\\\.thecanadianenc!clopedia.comKinde.cfm5g>m]?C%Sarams]JA9;?J^^

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http://fr.vivat.be/culture/article.asp?pageid=1772http://fr.wikipedia.org/wiki/Bouddhismehttp://comprendrebouddhisme.com/http://www.thecanadianencyclopedia.com/index.cfm?PgNm=TCE&Params=F1ARTF0006767http://www.thecanadianencyclopedia.com/index.cfm?PgNm=TCE&Params=F1ARTF0006767http://fr.vivat.be/culture/article.asp?pageid=1772http://fr.wikipedia.org/wiki/Bouddhismehttp://comprendrebouddhisme.com/http://www.thecanadianencyclopedia.com/index.cfm?PgNm=TCE&Params=F1ARTF0006767http://www.thecanadianencyclopedia.com/index.cfm?PgNm=TCE&Params=F1ARTF0006767


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L/6indouisme

-ntroduction

9vec plus de A^ millions de pratiquants, l'hindouisme est auourd'hui latroisime religion la plus rpandue aprs le christianisme et l'islam. ar rapport auautres religions du monde, l'hindouisme n'a ni de dogmes ni de prophtes. Laparticularit de l'hindouisme est d'englo+er pas mal de concepts philosophiques quisont arrivs en -nde par le +iais de conqu$tes. L'hindouisme n'est donc pas unereligion organise, mais assimile les diffrentes tendances religieuses en -nde hormisles religions +ien distinctes )+ouddhisme, siQhisme*.

Divinits

Dans l'hindouisme, on croit au Irahman, qui est un principe divin en @ 3Irahma le crateur, Hishnu le rotecteur, et 1hiva le destructeur. Irahman est enquelque sorte la ralit supr$me. 0ais associes ( lui, il ! a des milliers de petitesdivinits qui sont elles aussi reconnues. Ce qui est particulier dans la notion de dieu del'hindouisme, c'est que le Irahman est plus un concept philosophique qu'un principeactif. :n mdite dessus mais on ne l'adore pas. -l n'eiste pas d'$tre Dieu , en tantque personne ou volont, mais le principe divin vit et se meut en tout. L'univers estdivin. le Irahman se trouve dans un sourire, dans une fourmi, dans un ruisseau.

e s!stme des castes

L'hindouisme fonctionne avec un s!stme de castes 3 on pense que Irahma )le

dieu crateur* a cr 0anu, le premier homme U de la t$te de 0anu sont venus lesIrahmins )les plus saints*, des mains de 0anu sont venus les shatri!as )ceu quisont au gouvernement et ( l'arme*, de la cuisse sont venus les Hais!as )les artisans*.Les 1udras, eu, viennent des pieds de 0anu )ce sont ceu qui servent les autres U ilssont eclus d'une grande partie de la vie religieuse*. %t puis il ! a ceu qui sont horscaste 3 les parias )qui sont des rprouvs, eclus de la vie sociale et religieuse*.


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Concept religieu

Le s!stme des castes prend appui sur la loi du arma. Celle 7 ci veut quel'eistence prsente d'un homme soit conditionne par ses vies antrieures. Ruand onagit de faWon droite, on avance, on volue vers la li+ration du c!cle des naissances etdes morts successives. :n se rincarne dans un tat suprieur 4 on peut par eemplem$me devenir un dieu. ar contre, si l'on agit mal, on se rincarne dans quelquechose d'infrieur et l'on s'loigne de la li+ration du c!cle des vies successives. %neffet, si un homme est dans une condition misra+le, c'est qu'il n'a pas t +on, dansses vies antrieures et il pa!e les consquences de ses fautes dans la vie prsente. Le+ut de l'hindou est de sortir de ce c!cle de vies successives pour atteindre le >irvanaet la flicit ternelle.

a!s hindouistes

La religion hindouiste est surtout o+serve en 9sie et particulirementprsente dans les pa!s suivants3 >pal, -nde, -le 7 0aurice. Hoici une cartographie dela religion hindouiste 3

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J$tes 6indouistes

9vec ses @@ millions dedivinits, l'hindouisme rservede nom+reuses occasions def$tes. Les f$tes hindouistes sedroulent surtout au niveaulocal, mais quelques grandesf$tes ont lieu ( l'chellenationale dont

2anesh Chaturthi 3 aucours de cette f$te ladivinit 2anesh estvnreU elle duretouours un nom+re

impair de ours, usqu'( on&e et elle a lieu durant la priode aoZtK septem+re.o Le premier our de la cl+ration, les -ndiens, aprs s'$tre +aigns en

signe de purification, vont acheter une reprsentation de 2anesh et la

rapporte en procession che& eu o elle est installe sur un autel. L'idoleest conserve plusieurs ours pendant lesquels des prires sont rcitesson intention, et des offrandes lui sont faites

6oli ) La f$te des couleurs * 3 cette f$te marque la fin de l'hiver et a lieudurant la priode fvrier 7 marsU la divinit rishna est honore ( l'occasion decette f$te

oetite curiosit 3

il est coutumed'asperger des amis et des inconnusavec de la poudre colore qui, enfonction de la couleur, a dessignifications +ien distinctes3 le vertpour l'harmonie, l'orange pourl'optimisme, le +leu pour la vitalit etle rouge pour la oie.

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Le Di\ali 3 cette f$te cl+re la victoire du Ion sur le 0al, de la lumire sur le

noir et vise ( ce que les hindous se rendent comptent de leurs forceso 1elon la rgion, de diffrentes traditions ! sont associsU en gnral cettef$te dure entre @ et E ours

o :rigine de la f$te 3celle 7 ci est lie ( la commmoration du retour duDieu ;Yma ( 9!odh!a qui a vaincu un dmon aprs que ce dernier aitenlev la femme de ;YmaU selon la lgende les ha+itants d'9!odh!aaurait allum des lampes ( huile vu qu'il faisait noir lors du retour de;Yma

o?raditions autour du Di\ali 3si on allumait ( l'origine que des +ougies,les -ndiens em+ellissent de nos ours leurs maisons avec des guirlandesillumines qui font penser au dcorations de >o[l

1ources 3

%traits de l/%nc!clopdie


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e =uda8sme

-ntroduction

Le =uda8sme n'est pas une religion mais un tat, une confession. :n na#t uif sil'on est de mre uive )c'est la confession de la mre qui est dterminante*. Le faitd'$tre uif est indpendant de toute pratique religieuse. :n ne peut devenir uif quetrs difficilement en prouvant son dsir profond de vivre une vie uive.

2rands principes

;eligion monothiste 3 le monothisme uif donnera par la suite naissance auchristianisme et ( l'islam

%sprance messianique 3 les =uifs attendent l'arrive d'un 0essie pour instaurerun ;o!aume d'amour et de pai

1urvie de l'Yme ;surrection des morts

es principau tetes

La Ii+le3 l'9ncien ?estament se compose de trois sortes d'Ocrits3 la ?hora, lesrophtes et les Ocrits des 1ages

La ?hora 3 c'est la loi fondamentale. %lle comprend cinq livres crits, selon denom+reu historiens, par 0o8se lui4m$me et formant le entateuque. La ?horadonne la totalit des prescriptions au peuple uif3 ce sont les lois de 0o8se.

Le ?almud 3 renferme toutes les interprtations et tous les ommentaires !e la "i#le$%rit !u &esi'le avant ($)*$ au +&esi'le !e notre 're, -est un ouvra.e !-a!aptation!e la ora au u!asme vu, uoti!ien$

Le ?almud envisage tous les aspects de la vie pratique sous l'angle du uda8smeen epliquant la ?hora.

Diffrents courants du =uda8sme

Les 9shQna&es 3 originaires des nom+reuses communauts qui vivaient aunord et ( l'est de l'%urope. -ls s'eprimaient entre eu en Xiddish, langue udo4germanique.

Les para!es originaires du sud de l'%urope et de l'9frique du nord.

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G l'intrieur de ces deu grands groupes, il ! a diverses communautsdistinctes par la rigueur de leurs pratiques religieuses. :n distingue ainsi les

=uifs

ultra4orthodoes )o+servance stricte* des =uifs li+rau.

%ntre les deu, divers degrseistent. Les =uifs orthodoes sont reconnaissa+les ( leurs v$tements noirs t!piques.Les uifs li+rau ha+itent surtout dans les pa!s anglo4saons.

e =uda8sme dans le monde

9uourd'hui on compte A@ millions de =uifs au monde dont la plupart viventau %tats4


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effet pour fonction de reproduire le rituel des Qor+anot )offrandes* qui se tenaientdans le ?emple de =rusalem et les ustensiles et rcipients de cuisine, ainsi que lesaliments doivent $tre accepta+les pour raliser cet acte de saintet.

as de porc )et par ailleurs interdiction du porc sous toute forme3 ! compris lecuir*3 il ! a plusieurs raisons ( cet interdit dont celle de l'impuret du porc

Les animau doivent avoir t a+attus rituellement )ce qui vite de fairesouffrir les animau*, et leur viande doit avoir t saigne

as de mlange entre produits carns et laitiers

_oom sur quelques f$tes uives

;och 6achana )en septem+re ou octo+re* 3 il s'agit du >ouvel 9n uif,cl+r pendant deuoursU ;och 6achana estgalement le our du

ugement lors duquel leshommes sont ugs pourleurs actes de l'annepasse. ?andis que les+ons et les mauvais sontinscrits dans des livres,

les mo!ens ont di ours)usqu'( la f$te du Xomippour* pour serepentir afin d'$tre inscrit dans le livre des +ons.o

?raditions lies au ;och 6achana 3

:n souffle dans le chofar )corne de +lier* pour inviter ( se repentir -l est aussi d/usage de tremper du pain ou de la pomme dans du miel, en

demandant ( Dieu d/accorder uneanne de faveurs

Le +lanc est de rigueur. -l s!m+olisel/humilit et la puret, rappelant qu/ilest ncessaire de se purifier pour serapprocher de Dieu.

:n se rend prs d/un cours d/eau pour !vider ce qui reste dans les poches3 ils/agit de eter s!m+oliquement sespchs dans la mer.

0ets s!m+oliques 3 la ta+le de f$tecomporte des aliments s!m+olisantl/anne que l/on espre heureuse et les

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aliments aigres ou Ypres sont vits )il est de coutume de manger desgrenades*U aussi on ne parle traditionnellement que de ?orah lors du repas.

Xom ippour )en septem+re ou octo+re* 3 il s'agit de la f$te la plusimportante dans le uda8sme qui co8ncide avec l'achvement des di ours depnitenceU Cette f$te, appele aussi le 2rand ardon, permet ( l'$tre humaind'o+tenir le pardon divin pour ses fautes.o ?raditions lies 3

our o+tenir le pardon,trois dmarches sontncessaires 4N Le eZne

usqu'au coucher desoleil, la prire et

l'aum"ne )9 cet effet des+oites charges derecevoir les aum"nes, les troncs de ?seQada ,sont accroches autroncs d'ar+res*

Le our du Xom ippouril est interdit de travailler,de se laver, de manger ou

+oire

1oucot )J$te des Ca+anes* 3 durant les F annes du sour dans le dsert dupeuple d'-sra[l, il ha+ita dans des huttes de fortune et +nficia de la protectiondivine et de ses miracles. Chaque anne, ( l'automne, les uifs construisent desca+anes avec un toit de feuillage qui laisse entrevoir le ciel et en font leurrsidence principale durant M

ours, en revivant ainsi l'poque du

dsert.

69>:


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o0ets traditionnels 3

-l est d'us et de coutume de consommer des plats frits dans de l'huiled'olive dont les +eignets soufgani!a qui contiennent de la confiture (

l'intrieur.o ?raditions lies ( l'6anouccah 3 Lors de l'6anouccah on o ue au sevivon 3

cu+e dont l/une des faces est une pointe etdont la face oppose comporte le manche.Les quatre autres facettes sont marqueschacune d/une lettre h+ra8que et indique sion gagne ou pas la mise )gnralement dessucreries*, si on doit augmenter celle4ci ou sion en gagne la moiti.

1ources3http3KK\\\.ladocumentationfrancaise.frKcatalogueK@@@@@AMEAK@@@@AMEA%.pdfhttp3KK\\\.philoE.comK?etes4referencesK>atan2il+ertLe=udaismeA^@.htm

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http://www.ladocumentationfrancaise.fr/catalogue/3303331280651/3303321280651_EX.pdfhttp://www.ladocumentationfrancaise.fr/catalogue/3303331280651/3303321280651_EX.pdfhttp://www.philo5.com/Textes-references/NatanGilbert_LeJudaisme_010723.htmhttp://www.ladocumentationfrancaise.fr/catalogue/3303331280651/3303321280651_EX.pdfhttp://www.ladocumentationfrancaise.fr/catalogue/3303331280651/3303321280651_EX.pdfhttp://www.philo5.com/Textes-references/NatanGilbert_LeJudaisme_010723.htm


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;eligions traditionnelles africaines

-ntroduction

Les religions traditionnelles africaines sont l'ensem+ledes religions traditionnelles des diffrents peuples del'9frique su+saharienne. Leurs origines remontent (une poque trs ancienne.

%n 9frique, deuime continent de la plante par sataille, les adeptes de religions africaines sont rpartiesen F@ pa!s, et se chiffrent ( plus de A millions, ce quireprsente ^P des adeptes des religionstraditionnelles dans le monde U ils ne reprsententcependant, dans toute l'9frique, que AP de lapopulation, FEP des 9fricains tant chrtiens et FPenviron musulmans, ce qui n'emp$che pas que cesdeu religions soient parfois trs nettement

influences dans leur pratique par la religion traditionnelle originelle, interprtesquelquefois de manire particulire, ( la lumire des coutumes africaines )on note

une grande influence des anciennes religions traditionnelles, notamment au sein desOglises africaines indpendantes.

C'est la conqu$te de l'9frique du >ord et de l'9frique de l'%st par les 9ra+es,au H--e et H---e sicles, qui fit passer ces rgions sous l'hgmonie de l'islam,religion dominante usqu'au -e sicle U la colonisation europenne, ( partir du Hesicle, fut tout aussi dterminante, en ce qui concerne l'Vuvre de christianisation, quine devint efficace qu'( partir du -e sicle, quand JranWais, 9nglais, ortugais,9llemands et -taliens se partagrent une grand partie du continent.

Le cadre religieu du continent africain, si l'on tient compte des diffrentes

structures conomiques et sociales et de la compleit des d!namiques historiques)dplacement des populations, modifications des formes de production, etc.*, estauourd'hui d'une grande richesse qui correspond ( la varit ethnique de lapopulation. %n effet, si chaque population ngro4africaine a hrit de la religionoriginelle, dans la valle du >il, qui fait partie intgrante de son hritage culturel, parla suite s'est opre une diversification dans la pratique, dans les noms donns (chaque lment de la religion, suivant les langues, le milieu, etc. 0ais toutes lesreligions africaines traditionnelles gardent le modle d'origine, une +ase communesurtout centre sur le culte des anc$tres, la cro!ance en la rincarnation, le cotinitiatique et ceci che& la maorit des peuples ou ethnies en 9frique su+saharienne, laplace particulire que tient la femme. Le prosl!tisme n'est pas rpandu parmi les

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peuples ngro4africains, car la religion africaine est partout sem+la+le, seuls les nomsdonns au lments religieu changent selon les peuples. De plus en 9friquereligion et tradition se confondent, ne font qu'un.

1ituation de la religion africaine auourd/hui

La religion traditionnelle africaine TsurvitT, partout en 9frique, surtout par dess!ncrtismes avec l'islam et le christianisme. %n effet, si une grande partie desafricains sont auourd'hui musulmans ou chrtiens, leur islam ou leur christianisme,reste trs influenc par la religion d'origine.

L'a+andon maoritaire de la religion africaine par les 9fricains, entra#ne uneperte de la composition de celle4ci. Ce qui fait que +eaucoup d'9fricains considrent,que la religion africaine ( l'heure actuelle, devient de moins en moins riche, et n'offreplus l'aspect complet, des religions islamique ou chrtienne, au niveau de la pratique.Ogalement la propagande de l'islam et du christianisme, face ( la religion africaine,n'arrange pas cette dernire, qui est maintenant perWue par +eaucoup d'9fricains,comme de la sorcellerie, du paganisme, des cultes mal dfinis.

Cependant, il ! a certains pa!s et peuples, o l'on peut o+server des vrita+lesrsistances, parmi les pratiquants de la religion africaine, et qui ne laissent place (aucun s!ncrtisme. ?el est le cas au Ienin, ou les pratiquants de la religion africainesont maoritaires, ainsi que dans de nom+reu pa!s du golfe de 2uine, par les

peuples Jon4g+e, %\e, Xoru+aen particulier, avec leHodou. 9u Cameroun che& lesIamilQset lesIamouns. 9u 2a+on, che& une partie des Jangs, des 0itsogo,avec leI\iti.9u 0ali, de nom+reu0andingues, surtout 0alinQset Iam+araset Dogons,sont demeurs de religion africaine. 9u 1ngal, che& les 1ereres, Diolas, les ethniesde la rgion orientale, les IadiaranQs, nom+reu sont ceu rests ( la religionafricaine. %n 9frique Centrale, parmi la grande nation des ongos, du groupeIantous. Che& les peuples >ilotes de la valle de l':mo, DinQa, >uer, 6amer,>!angatom, etc. Les divers groupes masa8svers le en!a et la ?an&anie. Che& les1honas en 9frique australe.

-l eiste des communauts Hodou, qui ne pratiquent pas le s!ncrtisme, endehors de l'9frique, en 6a8ti et au Irsil. -l ! a galement le courant mite ouamite, dans la Diaspora africaine comme en 9frique. miteen rapport a emet,nom donn ( l'ancienne Og!pte par les %g!ptiens anciens, considr par lesafrocentriquescomme signifiant la terre des noirs. -l s'agit de la religion africaine, oles noms des lments qui la composent, sont repris de la religion g!ptienne antique,car le schma reste le m$me.

0algr cela, la religion africaine perd du terrain chaque our, car ses vrita+lestenants sont souvent Ygs, et peu sont ceu parmi la eunesse africaine, qui acceptentde continuer la tradition spirituelle, ou +ien de se faire initier. L'avenir de la religionafricaine reste incertain.

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http://fr.wikipedia.org/wiki/Beninhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Ewehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Yorubashttp://fr.wikipedia.org/wiki/Vodouhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Bamil%C3%A9k%C3%A9shttp://fr.wikipedia.org/wiki/Bamounshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Fangshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Mitsogohttp://fr.wikipedia.org/wiki/Bwitihttp://fr.wikipedia.org/wiki/Mandingueshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Malink%C3%A9shttp://fr.wikipedia.org/wiki/Bambarashttp://fr.wikipedia.org/wiki/Dogonshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Serereshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Diolashttp://fr.wikipedia.org/wiki/Badiarank%C3%A9shttp://fr.wikipedia.org/wiki/Kongoshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Bantoushttp://fr.wikipedia.org/wiki/Dinkahttp://fr.wikipedia.org/wiki/Nuerhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Hamerhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Masa%C3%AFshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Shonashttp://fr.wikipedia.org/wiki/Ha%C3%AFtihttp://fr.wikipedia.org/wiki/Br%C3%A9silhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Kemethttp://fr.wikipedia.org/wiki/Afrocentrismehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Beninhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Ewehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Yorubashttp://fr.wikipedia.org/wiki/Vodouhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Bamil%C3%A9k%C3%A9shttp://fr.wikipedia.org/wiki/Bamounshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Fangshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Mitsogohttp://fr.wikipedia.org/wiki/Bwitihttp://fr.wikipedia.org/wiki/Mandingueshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Malink%C3%A9shttp://fr.wikipedia.org/wiki/Bambarashttp://fr.wikipedia.org/wiki/Dogonshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Serereshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Diolashttp://fr.wikipedia.org/wiki/Badiarank%C3%A9shttp://fr.wikipedia.org/wiki/Kongoshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Bantoushttp://fr.wikipedia.org/wiki/Dinkahttp://fr.wikipedia.org/wiki/Nuerhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Hamerhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Masa%C3%AFshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Shonashttp://fr.wikipedia.org/wiki/Ha%C3%AFtihttp://fr.wikipedia.org/wiki/Br%C3%A9silhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Kemethttp://fr.wikipedia.org/wiki/Afrocentrisme


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Cro!ances principales

?out est li. ?out est vivant. ?out est interdpendant. 4 9madou 6ampYt IY citpar 9minata ?raor.Les religions africaines secaractrisent par la cro!ance en uneforce vitale cosmique, Dieu, quimane ( la fois des esprits de la>ature, des anc$tres, des chefs detri+u et des pr$tres inities a l'aspectsotrique 3

L'esprit est la force, la vie qui setrouve en toute chose. ?raditionorale africaine.

Cette force se traduitnotamment par la fcondit, que cesoit celle des hommes,des plantesoudes animau. -l est donc normal quetout ce qui permet la fcondit soit

considr comme positif, et ngatif tout ce qui lui fait o+stacle 3

Le +ien, c'est tout ce qui favorise, augmente la force vitale U le mal c'est tout ce qui lacontrarie, la diminue. ?radition orale africaine d'aprs 9lassane >da\.

Cultes et rites sont au service du dveloppement de cette force vitale et laprotgent des forces du mal qui tentent de l'affai+lir. ?out tourne autour des deup"les de la vie et de la dcadence.La mort n'tant pas ici homologu au nant, la mortn'est pas uge comme une dcadence dans les religions africaines, car elle est

considre comme une fin, +ien sZr, mais une fin qui indique un nouveaucommencement 3

Ceu qui sont morts ne sont pas morts... les morts ne sont pas sous la terre. -ls sontdans l'om+re qui frmit. -ls sont dans l'eau qui coule. -ls sont dans l'eau qui dort. -ls

sont dans la case, ils sont dans la foule. Les morts ne sont pas morts. Iigaro Diop.

our que cette force vitale cosmiquepuisse se dvelopper, il faut qu'il ! ait unecontinuit et un rapport troit avec les origines m!thiques de la familleet de la tri+u 3

1i la +ranche veut fleurir, qu'elle honore ses racines. acere J. ?itinga.

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http://fr.wikipedia.org/wiki/Croyancehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Naturehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Fertilit%C3%A9http://fr.wikipedia.org/wiki/Hommehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Hommehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Plantehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Animalhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Viehttp://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9cadencehttp://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9anthttp://fr.wikipedia.org/wiki/Famillehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Croyancehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Naturehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Fertilit%C3%A9http://fr.wikipedia.org/wiki/Hommehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Plantehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Animalhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Viehttp://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9cadencehttp://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9anthttp://fr.wikipedia.org/wiki/Famille


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-l faut respecter les traditionsen les consolidant 3 ! renoncer, c'est4(4dire allercontre l'ordre sacr et social ta+li par les anc$tres, signifie limiter la force vitale,voire la dtruire. r$tres, guerriers et hros sont considrs comme les messagers des

divinits, ou comme les interprtes de la volont des anc$tres. -ls ont dvoil auhommes les secrets du feu et de la procration, et leur ont enseign la culture desplanteset la pratique de divers mtiers. Les anc$tres dfunts continuent de faire partiede la communaut des vivants, puisque les uns et les autres sont lis par la ncessitd'une assistance rciproque 3

1i un homme tom+e malade ou se +lesse, cela ne ncessite de prime a+ord aucuntraitement surnaturel et une simple intervention mdicale suffit. %n cas d'chec, une

communion avec les anc$tres s'impose. ?radition orale africaine.

1elon la pense religieuseafricaine, tout $tre est dot d'une Yme, 4c'est4(4dire d'un principe vital 3 ?out ce qui vit a une Yme. ?raditionorale africaine.

La cro!ance en la rincarnationdesYmes, rpandue dans une grande partie de

l'humanit )en 9sie par eemple*, est trs+ien ta+lie en 9frique su+4saharienne 3

?oute naissance est la renaissance d'un

anc$tre. ?radition orale africaine.

Dans le contete des religionsafricaines, cette cro!ance est minemment multiforme. 9u niveau populaire, larincarnation fait en gnral partie des vidences quotidiennes, alors qu'( un niveauplus rfleif, elle s'inscrit dans des constructions anthropologiques parfois trscomplees.

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http://fr.wikipedia.org/wiki/Traditionhttp://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9roshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Secrethttp://fr.wikipedia.org/wiki/Feuhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Procr%C3%A9ationhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Plantehttp://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9incarnationhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Asiehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Traditionhttp://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9roshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Secrethttp://fr.wikipedia.org/wiki/Feuhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Procr%C3%A9ationhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Plantehttp://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9incarnationhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Asie


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0!the des origines che& les 9che\a K 9n!ana

Les 9n!ana vivent en _am+ie, au 0o&am+ique et au 0ala\i o on les appelle

9che\a. -ls sont millions. Leur m!the des origines de l/$tre humain raconte queChauta )Dieu* vivait au sommet des nuages. La terre tait alors aride et strile car ilne pleuvait pas. Chauta fit pleuvoir sur le mont >&alan!ama. G l/aide de trois rivires,il prpara sur une pente de la montagne un terrain fertile. Chauta descendit alors deses nuages, amenant avec lui deu $tres humains, un homme et une femme, ainsi quetous les animau que nous connaissons. C/est de cette poque que date la premireempreinte d/un pied humain que l/on peut encore voir de nos ours sur un rocher.Chauta donna ( l/homme les outils pour cultiver la terre, une houe et une pioche. G lafemme, il donna les ustensiles pour cuisiner les repas de sa famille. %n ces temps4l(, iln/! avait pas de distinction entre les animau domestiques et ceu de la +rousse. %taucune hostilit entre les animau et les humains. Les rivires fournissaient le poissonen a+ondance. Les ar+res en grandissant formrent un +osquet spcial qui devint leQasitu, le sanctuaire de Chauta.

0ais voil( qu/en ouant avec deu +aguettes de +ois, l/homme et la femmeinventrent le feu. -ls mirent ainsi le feu au +osquet ce qui produisit incendie,destruction et cendres. La chvre et le chien se rfugirent dans la maison deshommes. Les autres animau s/enfuirent au loin, en +rousse. La colre naquit ce our4l( dans le cVur des hommes et dans celui des animau. L/homme se mit ( chasser le

gi+ier et les animau voulurent depuis lors se venger en attaquant les humains. Ruant( Chauta, suffoquant dans la fume, dgoZt par l/odeur du sang rpandu, il nesupporta plus de vivre sur cette terre o les hommes rpandaient la haine et letrou+le. -l retourna demeurer sur ses nuages. -l dcida qu/( leur mort, les humainsdeviendraient des esprits et le reoindraient l(4haut. 0ais tant qu/ils vivaient sur laterre, les humains devaient rendre un culte ( Chauta dans le +osquet sacr et auesprits des anc$tres dans leurs villages.

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Dogmes et cro!ances des religions traditionnelles africaines

Les 9n!ana

considrent que cesdcisions de Dieu sontdfinitives. -ls croient enun Dieu +on, qu/il est la+ont m$me, et qu/il nechangera pas la situationdans laquelle les humainseu4m$mes se sont mis. -lsse sont privs de laprsence de Dieu. Otantdonn le nouvel ordre dela cration, les humainsdoivent faire alliance avecles gnies de la nature, des

animau et surtout avec les esprits des dfunts. Les mi!am+o )coutumes et rituels*rglent la relation o+ligatoire avec le monde spirituel pour tous les descendants. Cescoutumes rglent tous les aspects de la vie. D/un peuple ( l/autre, il peut ! avoir desvariations, mais les coutumes se ressem+lent. La ;?9 est au service de la vie, de laforce vitale.

Le cro!ant ;?9 se sent responsa+le de son prochain. Ce qu/une personne faitou refuse de faire a des consquences pour les autres, pour la communaut. La ;?9n/est pas une mode passagre. C/est comme la peau 3 elle fait partie de la personne,sans qu/on puisse s/en d+arrasser. :n n/enseigne pas la ;?9 dans les coles. :napprend par imitation, par l/o+servation des anciens, par la participation au rites etau initiations.

La ;?9 encourage ( l/hospitalit, ( la tendresse, ( l/unit, ( l/amour, ( la

reconnaissance, au travail et ( l/entraide. L/ide de Dieu est celle d/un $tretranscendant, supr$me et unique. Les cro!ants ;?9 ont le sens du sacr et du m!stre)le rite qui initie*. :n respectera certains lieu, certaines personnes, certains o+ets encontact avec le sacr et le monde des anc$tres. Ruand une personne meurt, c/estqu/elle reoint ce monde des anc$tres. 9insi, le monde invisi+le de Dieu, des gnies etde des esprits ancestrau est touours prsent ( l/esprit du cro!ant. Les anc$trestiennent une place spciale de mdiateurs entre Dieu et les humains. Ceu4cichercheront ( dcouvrir les intentions des dfunts et leur offriront des sacrifices.

Dans les ;?9, on croit que les fautes d/une personne font du tort au autres. -l! a donc des rites de purification pour rta+lir le +ien4$tre de toute la communaut.

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Documents

Guide Des Religions